162
LA PATRIE
que comme un seul bloc, et menaçant
cTexclusion tous ceux qui persisteraient
à vouloir faire bande à part.
Cette douche a bien pu avoir aussi son
effet ... salutaire.
*
* *
Je disais, il y a huit jours, que si Talaat
bey était remplacé par un dissident, au
cune conjecture ne serait exagérée.
Talaat bey a été remplacé, mais pas
par un ... conservateur.
C’est Séïd bey, député de Smyrne, qui
a pris la direction des Unionistes.
Talaat ou Séïd c’est, à peu près, blanc
bonnet...
La retraite de Talaat bey aurait eu une
toute autre portée, si, par exemple, il
avait cédé la présidence à Medjdi effendi
ou à Habib bey.
Il n’en est rien.
*
* *
Le sionisme a, de nouveau, fortement
occupé la Chambre.
Les députés de Jérusalem, Rouhi-el-Ha-
lidi et Said beys, y voient un véritable
danger pour l’Etat ottoman.
Vartkès effendi a pris à la tribune la
défense des Juifs.
Parmi tant de questions existantes, a-t-il
dit, le sionisme manquait. Voici qu’on crée
cette question. Jusqu’ici, en Turquie, les Juifs
n’étaient pas persécutés. On veut provoquer
aussi dans notre pays un mouvement antisé
mite. A Texemple de jadis où les Arméniens
étaient considérés comme des traîtres, on veut
aujourd’hui suspecter les Israélites. On a tort
de soulever de pareilles questions, car le peu
ple ignorant va traiter les Juifs ainsi qu’il a
traité les Arméniens.
Rouhi bey.— Nous ne mettons pas en
cause les Juifs ottomans.
Vartkès effendi.— Le peuple ne pour
ra pas faire cette différence et s’attaquera à
tout Juif.
Feïzi effendi.— Les Turcs ne sont pas
des sauvages.
Vartkès effendi.— J ai vu égorger mon
père sous mes yeux. Je ne dis pas que les
Turcs sont des sauvages ; mais ceux qui ont
commis ce crime sont des sauvages.
Ayant déjà parlé, dans une précédente
causerie, de la doctrine du Dr Herzl, je
crois inutile d’y revenir.
Je répéterai, simplement, qu’elle n’est
guère dangereuse.
#
* *
On reprochait à Emroullah effendi, ci-
devant titulaire du Méarif, de ne rien faire
pour l’instruction publique.
— Si vous voulez que je fasse quelque
chose, répondait invariablemet l’ex-minis
tre, donnez-moi de l’argent.
On ne lui en donna pas, et Emroullah
effendi s’en alla, ou plutôt il fut dégommé,
après une lutte à outrance pour garder son
portefeuille.
On trouva que son successeur, Babanza-
dé Ismaïl Hakki bey, voulait... trop faire.
Et on le débarqua pour cette activité...
en perspective, sans même se demander
par quel tour de force extraordinaire il
allait — sans galette — révolutionner le
Méarif.
Le titulaire actuel, sénateur et historio
graphe de l’Empire, Abdurrahman Chéref
bey, se propose, paraît-il, de réaliser des
économies.
C'est renversant !
De tous les ministres qui se sont succé
dés à l’instcuction publique depuis l’ère
constitutionnelle, Abdurrahman Chéref
bey est le premier à juger que ce dépar
tement a assez et même trop de ressour
ces et qu’il faudrait rogner sur son budget.
Ses prédécesseurs s’égosillaient à ré
clamer de l’argent.
Lui, non seulement n’en demande pas,
mais se montre même disposé à en ren
dre sur le peu qu’on a... ou qu’on n’a
pas donné pour nos écoles.
Encore une fois, c’est renversant î
#
* *
Le sénateur Zareh Dilber effendi, dans
une des récentes séances de la Chambre
haute, a proposé l’institution, comme en
Europe, d’un jury auprès des tribunaux
ottomans.
L’honorable sénateur s’est exprimé
ainsi :
Ayant été longtemps dans la carrière judi-
cière, je puis dire par expérience que beau
coup de personnes dont l’acquittement s’im
posait ont été condamnées parce que les juges
n’avaient pas la faculté d’agir suivant leur
propre conscience. Or, c’est une chose qui
n’arriverait plus avec le jury.
Le ministre de la justice, tout en recon
naissant que le système de jury est une
manifestation de la souverainité natio
nale, a objecté que le moment n’en était
pas venu pour ce pays.
Je trouve — n’en déplaise à Dilber ef
fendi — qu’en cela Nejmeddine bey a rai
son.
Où sont en Turquie les éléments propres
à former des jurys ?
On trouverait, à la rigueur; des jurés...
passables à Constantinople, à Salonique,
à Smyrne.
Mais à Van, Sivas, Erzeroum, Diarbé-
kir, Mossoul et le reste, c’est à dire dans
les huit dizièmes des départements de
l’Empire?
On pourrait sans doute choisir des ju
rés comme on recrute des soldats.
Mais ces jurés prendraient sûrement des
vessies pour des lanternes.
A proprement parler, nous avons à
peine les éléments d’une Chambre.
L’Assemblée actuelle en est la preuve.
Nous ne possédons certainement pas
des éléments de jury.
D’après moi, l’adoption hâtive du sys
tème préconisé ne serait pas qu’une chose
inopportune, ce serait une calamité.
Jusqu’à ce que le niveau intellectuel du
peuple ottoman ait atteint un degré plus
élevé, il est préférable que les verdicts
soient rendus par des juges salariés.
*
* *
La question des cadis de Crète est en
passe de devenir ... une affaire.
11 parait que nous n’en avions pas as
sez — à l’intérieur comme à l’extérieur.
Du moins ce doit être l’avis des parlemen
taires qui ont poussé le gouvernement à
nommer ces cadis.
En l’espèce, nous avons raison et les
Candiotes ont tort.— c’est entendu.
Nous possédons le droit d’envoyer en
Crète : des cadis, un gouverneur-général
et même, au besoin, des troupes. Seule
ment... on nous conteste, de facto sinon
de jure, ce droit incontestable, on nous
empêche de l’exercer.
Nous en avons fait, à maintes reprises
et toujours au détriment de notre amour-
propre, l’ainère expérience.
11 serait vraiment utile, il serait salu
taire que nous arrivions enfin à nous pé
nétrer de cette vérité : certaines revendica
tions — si justes, si légitimes soient-elles
— ne doivent être formulées que si l’on
est à même de les appuyer par la force.
Or, la force nous ne l’avons pas.
Nous l’avons sans doute contre la pe
tite Grèce.Mais nous ne l’avons pas con
tre la grande Europe.
Qu’est-ce qui a, par conséquent, pu dé
cider nos sphères dirigeantes à s’arrêter à
un parti qui n’est ni le plus sage, ni le
plus pratique, à un moment surtout où
nous nous débattons au milieu de mille
difficultés ?
Je ne pense pas qu’elles aient voulu
ménager au pays une nouvelle humilia
tion.
En tout cas, le débarquement des cadis
à la Canée est assez problématique.
Les puissances protectrices ont con
seillé à la Porte de renoncer, quant à pré
sent, à l’envoi de ces magistrats.
Que ferons-nous, si on les empêche de
sortir du bateau ou si on les arrête, aus
sitôt débarqués?
Il y a là un grand point d’interrogation.
Un de nos distingué confrères, parlant
de la déclaration du comité exécutif aux
consuls des puissances, touchant les dan
gers auxquels serait exposé le bateau qui
amènerait les cadis, propose de les en
voyer... parle Barbaros Haïreddine.
Franchement, je souhaite une chose à
cet ingénieux confrère : c’est de se trouver,
pendant vingt-quatre heures, — pas
plus — dans la peau de notre ministre
des affaires étrangères.
Jean MINASSIAN.
La troisième et plus importante
partie de Nouveautés de la maison de
Modes M me EUGÈNE COCCHINO
est arrivée.— N. 336, au dessus des
magasins Au Lion, N. 5. Entrée par
la rue Glavany.
Suspension de 4 journaux
1 —
Les journaux Tanine, Sérati-Musta-
kim, Tanzimat et Néologos ont été sus
pendus par décision de la cour martiale,
pour un temps indéterminé.
Le Tanine est remplacé par le Djénine
avec l’ex-ministre des finances, Djavid
bey comme gérant responsable ; le Tan
zimat, par le Zuhrè. Hassan bey, député
de Prichtina en devient le gérant.
—
Mort d’un prélat arménien
Mgr Tavitian, supérieur du couvent de her-
nouz à ’lèïtoun, vient de mourir à l’âge de OU
ans.. Le défunt avait été surnommé le Lion
de Fernouz, pour son attitude héroïque lors
des mouvements insurectionnels de 1879 et
1890-94.
Capturé une première fois et amené à Cons
tantinople. les fers au cou et au pieds, il n’a
vait eu la vie sauve que grâce à l'intervention,
du patriarche Nersès.
Arrêté une seconde fois en 1894 et écrouè à
la prison d'Alep, il fut remis en liber té à la-
suite des démarches de Mgr Izmirlian.
LA PATRIE
que comme un seul bloc, et menaçant
cTexclusion tous ceux qui persisteraient
à vouloir faire bande à part.
Cette douche a bien pu avoir aussi son
effet ... salutaire.
*
* *
Je disais, il y a huit jours, que si Talaat
bey était remplacé par un dissident, au
cune conjecture ne serait exagérée.
Talaat bey a été remplacé, mais pas
par un ... conservateur.
C’est Séïd bey, député de Smyrne, qui
a pris la direction des Unionistes.
Talaat ou Séïd c’est, à peu près, blanc
bonnet...
La retraite de Talaat bey aurait eu une
toute autre portée, si, par exemple, il
avait cédé la présidence à Medjdi effendi
ou à Habib bey.
Il n’en est rien.
*
* *
Le sionisme a, de nouveau, fortement
occupé la Chambre.
Les députés de Jérusalem, Rouhi-el-Ha-
lidi et Said beys, y voient un véritable
danger pour l’Etat ottoman.
Vartkès effendi a pris à la tribune la
défense des Juifs.
Parmi tant de questions existantes, a-t-il
dit, le sionisme manquait. Voici qu’on crée
cette question. Jusqu’ici, en Turquie, les Juifs
n’étaient pas persécutés. On veut provoquer
aussi dans notre pays un mouvement antisé
mite. A Texemple de jadis où les Arméniens
étaient considérés comme des traîtres, on veut
aujourd’hui suspecter les Israélites. On a tort
de soulever de pareilles questions, car le peu
ple ignorant va traiter les Juifs ainsi qu’il a
traité les Arméniens.
Rouhi bey.— Nous ne mettons pas en
cause les Juifs ottomans.
Vartkès effendi.— Le peuple ne pour
ra pas faire cette différence et s’attaquera à
tout Juif.
Feïzi effendi.— Les Turcs ne sont pas
des sauvages.
Vartkès effendi.— J ai vu égorger mon
père sous mes yeux. Je ne dis pas que les
Turcs sont des sauvages ; mais ceux qui ont
commis ce crime sont des sauvages.
Ayant déjà parlé, dans une précédente
causerie, de la doctrine du Dr Herzl, je
crois inutile d’y revenir.
Je répéterai, simplement, qu’elle n’est
guère dangereuse.
#
* *
On reprochait à Emroullah effendi, ci-
devant titulaire du Méarif, de ne rien faire
pour l’instruction publique.
— Si vous voulez que je fasse quelque
chose, répondait invariablemet l’ex-minis
tre, donnez-moi de l’argent.
On ne lui en donna pas, et Emroullah
effendi s’en alla, ou plutôt il fut dégommé,
après une lutte à outrance pour garder son
portefeuille.
On trouva que son successeur, Babanza-
dé Ismaïl Hakki bey, voulait... trop faire.
Et on le débarqua pour cette activité...
en perspective, sans même se demander
par quel tour de force extraordinaire il
allait — sans galette — révolutionner le
Méarif.
Le titulaire actuel, sénateur et historio
graphe de l’Empire, Abdurrahman Chéref
bey, se propose, paraît-il, de réaliser des
économies.
C'est renversant !
De tous les ministres qui se sont succé
dés à l’instcuction publique depuis l’ère
constitutionnelle, Abdurrahman Chéref
bey est le premier à juger que ce dépar
tement a assez et même trop de ressour
ces et qu’il faudrait rogner sur son budget.
Ses prédécesseurs s’égosillaient à ré
clamer de l’argent.
Lui, non seulement n’en demande pas,
mais se montre même disposé à en ren
dre sur le peu qu’on a... ou qu’on n’a
pas donné pour nos écoles.
Encore une fois, c’est renversant î
#
* *
Le sénateur Zareh Dilber effendi, dans
une des récentes séances de la Chambre
haute, a proposé l’institution, comme en
Europe, d’un jury auprès des tribunaux
ottomans.
L’honorable sénateur s’est exprimé
ainsi :
Ayant été longtemps dans la carrière judi-
cière, je puis dire par expérience que beau
coup de personnes dont l’acquittement s’im
posait ont été condamnées parce que les juges
n’avaient pas la faculté d’agir suivant leur
propre conscience. Or, c’est une chose qui
n’arriverait plus avec le jury.
Le ministre de la justice, tout en recon
naissant que le système de jury est une
manifestation de la souverainité natio
nale, a objecté que le moment n’en était
pas venu pour ce pays.
Je trouve — n’en déplaise à Dilber ef
fendi — qu’en cela Nejmeddine bey a rai
son.
Où sont en Turquie les éléments propres
à former des jurys ?
On trouverait, à la rigueur; des jurés...
passables à Constantinople, à Salonique,
à Smyrne.
Mais à Van, Sivas, Erzeroum, Diarbé-
kir, Mossoul et le reste, c’est à dire dans
les huit dizièmes des départements de
l’Empire?
On pourrait sans doute choisir des ju
rés comme on recrute des soldats.
Mais ces jurés prendraient sûrement des
vessies pour des lanternes.
A proprement parler, nous avons à
peine les éléments d’une Chambre.
L’Assemblée actuelle en est la preuve.
Nous ne possédons certainement pas
des éléments de jury.
D’après moi, l’adoption hâtive du sys
tème préconisé ne serait pas qu’une chose
inopportune, ce serait une calamité.
Jusqu’à ce que le niveau intellectuel du
peuple ottoman ait atteint un degré plus
élevé, il est préférable que les verdicts
soient rendus par des juges salariés.
*
* *
La question des cadis de Crète est en
passe de devenir ... une affaire.
11 parait que nous n’en avions pas as
sez — à l’intérieur comme à l’extérieur.
Du moins ce doit être l’avis des parlemen
taires qui ont poussé le gouvernement à
nommer ces cadis.
En l’espèce, nous avons raison et les
Candiotes ont tort.— c’est entendu.
Nous possédons le droit d’envoyer en
Crète : des cadis, un gouverneur-général
et même, au besoin, des troupes. Seule
ment... on nous conteste, de facto sinon
de jure, ce droit incontestable, on nous
empêche de l’exercer.
Nous en avons fait, à maintes reprises
et toujours au détriment de notre amour-
propre, l’ainère expérience.
11 serait vraiment utile, il serait salu
taire que nous arrivions enfin à nous pé
nétrer de cette vérité : certaines revendica
tions — si justes, si légitimes soient-elles
— ne doivent être formulées que si l’on
est à même de les appuyer par la force.
Or, la force nous ne l’avons pas.
Nous l’avons sans doute contre la pe
tite Grèce.Mais nous ne l’avons pas con
tre la grande Europe.
Qu’est-ce qui a, par conséquent, pu dé
cider nos sphères dirigeantes à s’arrêter à
un parti qui n’est ni le plus sage, ni le
plus pratique, à un moment surtout où
nous nous débattons au milieu de mille
difficultés ?
Je ne pense pas qu’elles aient voulu
ménager au pays une nouvelle humilia
tion.
En tout cas, le débarquement des cadis
à la Canée est assez problématique.
Les puissances protectrices ont con
seillé à la Porte de renoncer, quant à pré
sent, à l’envoi de ces magistrats.
Que ferons-nous, si on les empêche de
sortir du bateau ou si on les arrête, aus
sitôt débarqués?
Il y a là un grand point d’interrogation.
Un de nos distingué confrères, parlant
de la déclaration du comité exécutif aux
consuls des puissances, touchant les dan
gers auxquels serait exposé le bateau qui
amènerait les cadis, propose de les en
voyer... parle Barbaros Haïreddine.
Franchement, je souhaite une chose à
cet ingénieux confrère : c’est de se trouver,
pendant vingt-quatre heures, — pas
plus — dans la peau de notre ministre
des affaires étrangères.
Jean MINASSIAN.
La troisième et plus importante
partie de Nouveautés de la maison de
Modes M me EUGÈNE COCCHINO
est arrivée.— N. 336, au dessus des
magasins Au Lion, N. 5. Entrée par
la rue Glavany.
Suspension de 4 journaux
1 —
Les journaux Tanine, Sérati-Musta-
kim, Tanzimat et Néologos ont été sus
pendus par décision de la cour martiale,
pour un temps indéterminé.
Le Tanine est remplacé par le Djénine
avec l’ex-ministre des finances, Djavid
bey comme gérant responsable ; le Tan
zimat, par le Zuhrè. Hassan bey, député
de Prichtina en devient le gérant.
—
Mort d’un prélat arménien
Mgr Tavitian, supérieur du couvent de her-
nouz à ’lèïtoun, vient de mourir à l’âge de OU
ans.. Le défunt avait été surnommé le Lion
de Fernouz, pour son attitude héroïque lors
des mouvements insurectionnels de 1879 et
1890-94.
Capturé une première fois et amené à Cons
tantinople. les fers au cou et au pieds, il n’a
vait eu la vie sauve que grâce à l'intervention,
du patriarche Nersès.
Arrêté une seconde fois en 1894 et écrouè à
la prison d'Alep, il fut remis en liber té à la-
suite des démarches de Mgr Izmirlian.
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