l'KL 568 rÉL,
1. 1. 1 1 1 1" 1
porta définitivement, le le>- de la li.ste républi-
caine, par 16,543 voix (31,621 votants, ;iS,r,j,,
inscrits). 11 reprit sa place dans la majorité
il s'est prononcé, dans la dernière session, ]),,“'̃
le rétablissement du scrutin d'ammdisseii.H t
(11 février 1889), contre l'ajournement indélii'i
de la revision de la Constitution, pour les pour-
suites contre trois députés membres de la Li
des patriotes, restrictif de la liberté de la presse, pour \»'-
.poursuites contre le général Boulanger.
PÉLISSiÉ DE 'LA MIRANDOLE (Antojx-
J.;>skph), député de 1837 à 1842 et de 1840 ;t
1848, né à Kouftiac (Lot) le 14 août 1786, iN-it
à Paris le 9 septembre 1850, propriétaire >-<\
maire de Mirandol, fut élu, le 4 novembre ls;;7
député du 2« collège du Lot (Cahors), par l;jn
voix (205 votants, 262 inscrits), contre 47 a
M. Borthon, et fut réélu, le 2 mars 1839, par r
158 voix (178 votants). Il prit place au centre
gauche et vota contre le ministère Mole, lois
de la coalition. Il ne se représenta pas aux
élections du 9 juillet 1842; mais, de nouveau
candidat à Cahors, le 1er août 1846, il fut réélu
par 185 voix (226 votants, 336 inscrits), contre
40 voix à M. Cayx, et parut se rapprocher alors
de l'opposition libérale. 11 rentra dans la vie
privée aux événement de 1848.
PÉLISSIER (Henri-Félix, comte be), députe
de 1815 à 1816, né à Castres (Tarn) le 8 no-
vembre 1763, mort au château de Jonquières
(Tarn) le 23 janvier 1844, entra, le 8 novembre
1778, à 15 ans, comme cadet au régiment d'in-
fanterie du Maine, puis servit en qualité de
lieutenant aux dragons de Condé (1er octobre
1779). Il émigra à la Révolution, servit à l'armée
des princes avec le grade de capitaine dans la
légion deMirabeau, devint major le 10 décembre
1791, lieutenant-colonel le 28 avril 1792, colonel
le 8 septembre 1793, frt blessé à l'attaque des
lignes de Wissembourg le 13 octobre suivant.
commanda en second," en 1794, la légion de
Mirabeau, fut de nouveau blessé à Ober-Ram-
lach le 13 août 1796, et, en 1798, fut mis à la
tête d'une compagnie de la garde noble à pied.
Chevalier de Saint-Louis du 26 novembre 1793,
il rentra en France en 1801, après le licencie-
ment définitif de l'armée de Condé, resta sans
emploi, sous l'Empire, mais obtint, après l'abdi-
cation, en 1814, de la bienveillance du duc
d'Angoulême, le commandement provisoire de
Toulouse. Promu maréchal de camp le 23 août
1814, et commandeur de Saint-Louis le 27 dé-
cembre suivant, il était commandant à Nîmes,
lorsque Napoléon débarqua au golfe de Juan. Il
fit d'inutiles efforts pour amener ses troupes à
combattre l'empereur, fut arrêté à Montpellier,
et, rendu à la liberté sur parole, obtint l'auto-
risation de se retirerdans sa terrede Jonquières.
A la seconde Restauration, il se porta candidat
à la députation, et fut élu, le 22 août 1815, dé-
puté du grand collège du Tarn, par 132 voix
(175 votants, 245 inscrits); il prit place dans la
majorité ultra royaliste de la Chambre introu-
vable, et fut appelé successivement au com-
mandement militaire du Tarn (15 août 1816), à
celui de la Vendée (21 avril 1820), et à celui de
l'Aube (6 juin 1821). Chevalier de la Légion
d'honneur du 18 mars 1820, officier du 23 mai
1825, il fut admis à la retraite le 5 mars 1832.
PÉLISSIER (Amable-Jean-Jacqïtes), DUC de
Malakoff, sénateur du second Empire, né à
Maromme (Seine-Inférieure) le 6 novembre 1794,
riennes ci cornua-iça la publication de la Carte
île Fronce de t'i-tot-major, dont il présenta
les premières feuilles à Louis-Philippe en 1833.
Il avait été élu, le f> juillet 1831, député du
1er collège de la Haute-Garonne (Toulouse),
par 3:-iS voix (482 votants, 754 inscrits) contre
lit) à M. de Malsret. Réélu, le 21 juin 1834.
par 392 voix (fid! votants, 702 inscrits) contre
74 voix à M. do Chateaubriand et 21 à M. Cazc,
il fut blessé ion- de l'attentat de Fieschi, et
nommé pair de France le octobre 1837. A la
Chambre, il avait vote en général avec l'oppo-
sition, et demandé le rappel des membres ce la
famille impériale à la Chambre des pairs, il
prit part aux discussions relatives au recrute-
ment de l'année, à ia réorganisation du corps
d'état-inajor, et tit valoir l'utilité des voies fer-
rées au point de vue militaire. Appelé au co-
mité consultatif d'état-major en 1H41, il fut
placé dans la section de réserve en 1845. En
1840, il accepta de présider Y Union électorale,
et fut élu, le 10 mars 1850, représentant de
l'Ariège à l'Assemblée législative, en rempla-
cement de M. Pillies, condamné pour l'affaire
du 13 juin, par 34,923 voix (53.014 votants,
73,043 inscrits), contre 15. 1 91) à M Aristide Pilhes j
1,408a M. Ch. »SiI\-cstre et 483 à M. Latheulade,
J! ejpo-ea dans la maiorité, demanda l'érection
n"'une°statue équestre" de Xapoléon I«* sur l'es-
planade des Invalides, se montra partisan de !a
politique du prince Louis-Napoléon et, après le
coup d'Etat, fit partie de la Commission consul-
tative. Conseiller général de Seine-et-Marne, il
entra au nouveau Sénat le 26 janvier 1852.
Membre de la commission pour la publication
de la correspondance de Napoléon Ier, et mem-
bre, par décret impérial, de l'Académie des
sciences morales et politiques en 1855, M. Pe-
let a publié Mémoires sur la guerre de 1809
(1824, 4 volumes): Des principales opérations
de la campagne de 181V (paru dans le Specta-
teur militaire dont il fut l'un des fondateurs);
Introduction aux campagnes de l'Empereur
Napoléon en tm~>, 1800, 1807 et 1809 (3 vo-
lumes); Mémoires militaires relatifs à la suc-
cession d'Espcr/ne sous Lovis XIV (9 volumes
et atlas); enfin il a très assidûment collaboré
au Spectateur vil if aire.
PELISSECFrkdkric-Gustave), député del881
à 1885, et de 1886 à 1889, né à Saiut-Chély-
d'Apcher (Lozère) le 12 février 1853, étudia le
droit et se fit recevoir docteur. Sous-préfet de
Florac (1877), il donna sa démission en 1880, et
se présenta, le 20 février 1881, comme candidat
à la Chambre des députés dans la circonscrip-
tion de Marvejols, dont le siège était devenu
vacant par suite du décès de M. de Chambrun.
Elu par 6,636 voix (11, 0G4 votants, 14,124 ins-
crits), contre 4,416 à M. Brun de Villeret, il prit
place à gauche, mais vit son élection invalidée
le 23 juillet, comme ayant eu lieu avant l'expi-
ration du délai imposé par la loi à tout fonction-
naire de l'ordre administratif qui aspire à la
députation. M. Pelisse se représenta le 21 août
1881 il tut alors confirmé dans son mandat
par 8,071 voix ^9,552 votants, 15,476 inscrits).
Il siégea à l'union républicaine, et vota avec la
majorité opportuniste pour les ministères Gam-
betta et J. Ferry, contre la séparation de
l'Eglise et de l'Etat. pour les crédits de l'expé-
dition du Tonkin. Aux élections du 4 octobre
1885, portésur la liste républicaine de la Lozère,
il échoua avec 8,248 voix (31,382 votants). Mais
cette élection fut invalidée et, de nouveau
candidat le 14 février 1886, M. Pelisse l'em-
1. 1. 1 1 1 1" 1
porta définitivement, le le>- de la li.ste républi-
caine, par 16,543 voix (31,621 votants, ;iS,r,j,,
inscrits). 11 reprit sa place dans la majorité
il s'est prononcé, dans la dernière session, ]),,“'̃
le rétablissement du scrutin d'ammdisseii.H t
(11 février 1889), contre l'ajournement indélii'i
de la revision de la Constitution, pour les pour-
suites contre trois députés membres de la Li
des patriotes,
.poursuites contre le général Boulanger.
PÉLISSiÉ DE 'LA MIRANDOLE (Antojx-
J.;>skph), député de 1837 à 1842 et de 1840 ;t
1848, né à Kouftiac (Lot) le 14 août 1786, iN-it
à Paris le 9 septembre 1850, propriétaire >-<\
maire de Mirandol, fut élu, le 4 novembre ls;;7
député du 2« collège du Lot (Cahors), par l;jn
voix (205 votants, 262 inscrits), contre 47 a
M. Borthon, et fut réélu, le 2 mars 1839, par r
158 voix (178 votants). Il prit place au centre
gauche et vota contre le ministère Mole, lois
de la coalition. Il ne se représenta pas aux
élections du 9 juillet 1842; mais, de nouveau
candidat à Cahors, le 1er août 1846, il fut réélu
par 185 voix (226 votants, 336 inscrits), contre
40 voix à M. Cayx, et parut se rapprocher alors
de l'opposition libérale. 11 rentra dans la vie
privée aux événement de 1848.
PÉLISSIER (Henri-Félix, comte be), députe
de 1815 à 1816, né à Castres (Tarn) le 8 no-
vembre 1763, mort au château de Jonquières
(Tarn) le 23 janvier 1844, entra, le 8 novembre
1778, à 15 ans, comme cadet au régiment d'in-
fanterie du Maine, puis servit en qualité de
lieutenant aux dragons de Condé (1er octobre
1779). Il émigra à la Révolution, servit à l'armée
des princes avec le grade de capitaine dans la
légion deMirabeau, devint major le 10 décembre
1791, lieutenant-colonel le 28 avril 1792, colonel
le 8 septembre 1793, frt blessé à l'attaque des
lignes de Wissembourg le 13 octobre suivant.
commanda en second," en 1794, la légion de
Mirabeau, fut de nouveau blessé à Ober-Ram-
lach le 13 août 1796, et, en 1798, fut mis à la
tête d'une compagnie de la garde noble à pied.
Chevalier de Saint-Louis du 26 novembre 1793,
il rentra en France en 1801, après le licencie-
ment définitif de l'armée de Condé, resta sans
emploi, sous l'Empire, mais obtint, après l'abdi-
cation, en 1814, de la bienveillance du duc
d'Angoulême, le commandement provisoire de
Toulouse. Promu maréchal de camp le 23 août
1814, et commandeur de Saint-Louis le 27 dé-
cembre suivant, il était commandant à Nîmes,
lorsque Napoléon débarqua au golfe de Juan. Il
fit d'inutiles efforts pour amener ses troupes à
combattre l'empereur, fut arrêté à Montpellier,
et, rendu à la liberté sur parole, obtint l'auto-
risation de se retirerdans sa terrede Jonquières.
A la seconde Restauration, il se porta candidat
à la députation, et fut élu, le 22 août 1815, dé-
puté du grand collège du Tarn, par 132 voix
(175 votants, 245 inscrits); il prit place dans la
majorité ultra royaliste de la Chambre introu-
vable, et fut appelé successivement au com-
mandement militaire du Tarn (15 août 1816), à
celui de la Vendée (21 avril 1820), et à celui de
l'Aube (6 juin 1821). Chevalier de la Légion
d'honneur du 18 mars 1820, officier du 23 mai
1825, il fut admis à la retraite le 5 mars 1832.
PÉLISSIER (Amable-Jean-Jacqïtes), DUC de
Malakoff, sénateur du second Empire, né à
Maromme (Seine-Inférieure) le 6 novembre 1794,
riennes ci cornua-iça la publication de la Carte
île Fronce de t'i-tot-major, dont il présenta
les premières feuilles à Louis-Philippe en 1833.
Il avait été élu, le f> juillet 1831, député du
1er collège de la Haute-Garonne (Toulouse),
par 3:-iS voix (482 votants, 754 inscrits) contre
lit) à M. de Malsret. Réélu, le 21 juin 1834.
par 392 voix (fid! votants, 702 inscrits) contre
74 voix à M. do Chateaubriand et 21 à M. Cazc,
il fut blessé ion- de l'attentat de Fieschi, et
nommé pair de France le octobre 1837. A la
Chambre, il avait vote en général avec l'oppo-
sition, et demandé le rappel des membres ce la
famille impériale à la Chambre des pairs, il
prit part aux discussions relatives au recrute-
ment de l'année, à ia réorganisation du corps
d'état-inajor, et tit valoir l'utilité des voies fer-
rées au point de vue militaire. Appelé au co-
mité consultatif d'état-major en 1H41, il fut
placé dans la section de réserve en 1845. En
1840, il accepta de présider Y Union électorale,
et fut élu, le 10 mars 1850, représentant de
l'Ariège à l'Assemblée législative, en rempla-
cement de M. Pillies, condamné pour l'affaire
du 13 juin, par 34,923 voix (53.014 votants,
73,043 inscrits), contre 15. 1 91) à M Aristide Pilhes j
1,408a M. Ch. »SiI\-cstre et 483 à M. Latheulade,
J! ejpo-ea dans la maiorité, demanda l'érection
n"'une°statue équestre" de Xapoléon I«* sur l'es-
planade des Invalides, se montra partisan de !a
politique du prince Louis-Napoléon et, après le
coup d'Etat, fit partie de la Commission consul-
tative. Conseiller général de Seine-et-Marne, il
entra au nouveau Sénat le 26 janvier 1852.
Membre de la commission pour la publication
de la correspondance de Napoléon Ier, et mem-
bre, par décret impérial, de l'Académie des
sciences morales et politiques en 1855, M. Pe-
let a publié Mémoires sur la guerre de 1809
(1824, 4 volumes): Des principales opérations
de la campagne de 181V (paru dans le Specta-
teur militaire dont il fut l'un des fondateurs);
Introduction aux campagnes de l'Empereur
Napoléon en tm~>, 1800, 1807 et 1809 (3 vo-
lumes); Mémoires militaires relatifs à la suc-
cession d'Espcr/ne sous Lovis XIV (9 volumes
et atlas); enfin il a très assidûment collaboré
au Spectateur vil if aire.
PELISSECFrkdkric-Gustave), député del881
à 1885, et de 1886 à 1889, né à Saiut-Chély-
d'Apcher (Lozère) le 12 février 1853, étudia le
droit et se fit recevoir docteur. Sous-préfet de
Florac (1877), il donna sa démission en 1880, et
se présenta, le 20 février 1881, comme candidat
à la Chambre des députés dans la circonscrip-
tion de Marvejols, dont le siège était devenu
vacant par suite du décès de M. de Chambrun.
Elu par 6,636 voix (11, 0G4 votants, 14,124 ins-
crits), contre 4,416 à M. Brun de Villeret, il prit
place à gauche, mais vit son élection invalidée
le 23 juillet, comme ayant eu lieu avant l'expi-
ration du délai imposé par la loi à tout fonction-
naire de l'ordre administratif qui aspire à la
députation. M. Pelisse se représenta le 21 août
1881 il tut alors confirmé dans son mandat
par 8,071 voix ^9,552 votants, 15,476 inscrits).
Il siégea à l'union républicaine, et vota avec la
majorité opportuniste pour les ministères Gam-
betta et J. Ferry, contre la séparation de
l'Eglise et de l'Etat. pour les crédits de l'expé-
dition du Tonkin. Aux élections du 4 octobre
1885, portésur la liste républicaine de la Lozère,
il échoua avec 8,248 voix (31,382 votants). Mais
cette élection fut invalidée et, de nouveau
candidat le 14 février 1886, M. Pelisse l'em-
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