Titre : Le Populaire : journal-revue hebdomadaire de propagande socialiste et internationaliste ["puis" socialiste-internationaliste]
Auteur : Parti socialiste SFIO (France). Auteur du texte
Auteur : Parti socialiste (France). Fédération (Paris). Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Limoges)
Éditeur : Parti socialisteParti socialiste (Paris)
Date d'édition : 1938-06-26
Contributeur : Blum, Léon (1872-1950). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34393339w
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 36344 Nombre total de vues : 36344
Description : 26 juin 1938 26 juin 1938
Description : 1938/06/26 (Numéro 5611). 1938/06/26 (Numéro 5611).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG87 Collection numérique : BIPFPIG87
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k823080p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-60603
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2011
r HUIT.
LE POPULAIRE
w-i-n
L, ,*a Haute Couture a fait cette année un effort marqué vers le
luxueux, le magnifique, le splendide I
". Bien entendu, lorsque nous regardons ces robes merveilleuses
nous songeons avec regret qu'elles ne pareront que d'élégantes oisives
dont la'fortune est faite du travail d'autrui.
Mais nous songeons aussi que la plus belle des robes doit son
existence à d'obscurs travailleurs. Point de tissu sans le tisserand, point
de modèle sans un cerveau créateur, point d'exécution sans les petites
mains agiles, à l'index marqué de trous d'aiguilles, dès cousettes innom-
brables.
" Et lorsque j'admire ou que j'indique la beauté d'une toilette, ce
n'est pas à celle qui la portera que je pense, mais à tous les travailleurs
. qui l'ont faite ce qu'elle est et c'est un peu pour rendre hommage à
ces anonymes que je vous là décris.
Cette saison, il suffit de regarder pour être éblouie, tant les mo-
dèles sont éclatants: dentelle, soierie, ruban, broderie, plumes et fleurs,
toutes les ressources de la Mode sont utilisées.
La mousseline de soie ne manque pas à l'appel: imprimée de lar-
.ges fleurs, elle fait de jolies robes d'été qui n'attendent que le soleil...
Pour le soir, on la retrouve unie et de plusieurs tons se superpo-
sant, ce qui donne, avec le mouvement, des effets de coloris tout à
fait remarquables.
Le tulle noir sur lequel on incruste de la dentelle, on applique des
motifs de broderie, contribue à la somptuosité de la Mode.
La guipure blanche s'oppose au marocain noir, la guipure marine
constitue jupe et court manteau s'accompagnant d'une blouse de va-
lenciennes.
Sur un fourreau de satin noir, d'étranges fleurs brodées en soie
de couleurs vives rappellent les tuniques d'Extrême-Orient.
Il faut encore signaler le collet de dentelle noire et les gros noeuds
de taffetas sur les robes légères. Disons aussi l'usage, presque immo-
déré des fleurs dont la présence donne tant de grâce et de charme
à tou+e toilette. GERMAINE DEGROND.
USONS DES COULEURS !
USONS, n'abusons pas, et tâchons
d'assortir avec goût les dif-
férents tons de notre toilette.
Pbur vous donner quelque idée
voici des ensembles notés au hasard de
leur rencontre :
Avec une robe moutarde, un manteau
noir bord à bord, chapeau,, gants et sac
noirs.
Pour une robe rayée bleu, vert, rouge,
le manteau, sera strictement assorti à
l'un des tons.
Mais avec une robe de lainage chiné
rose éteint, vous pourrez mettre un gi-
let vert, même feutre; tandis que gants,
chaussures et sac seront bordeaux.
Le bleu lin fait bon ménage en ja-
quette, sur une jupe brique, et une blou-
se jaune à pois verts ira avec un costu-
me vert.
Là, le boléro' est bordeaux doublé du
bleu de la blouse, la jupe étant de mê-
me couleur que le boléro.
Le rose én costume peut s'accompa-
gner d'un feutre bleu vif et d'une
écharpe assortie.
Avec un manteau jaune bordé d'une
tresse noire, la robe et le chapeau se-
ront noirs.
Evitez le gris opposé au noir, c'est af-
freusement ? corbillard > .' mats sou-
venez-vous que votre feutre orange ne
sera pas déplacé avec la robe verte su/r
laquelle vous épinglerez des capucines
assorties à la teinte du, chapeau.
A un tailleur marine, des revers de
piqué, des gants blancs, un chapeau li-
séré de piqué, donneront de la netteté.
Il est de bon goût d'assortir gants
et sac, et si ce n'est trop coûteux, les
chaussures !
Sacs à mains
LA plus grande fantaisie règne dans le
monde des sacs à main, un vent de
folie semble-t-il leur fait perdre toute
raison, car leur forme est parfois
telle qu'elle défie le bon sens.
A côté du sac confortable en box, en
crocodile, de dimensions assez grandes, à
côté du-sac de daim plus réduit, voici
maintes fantaisies.
La sphère garnie de paillettes, la haute
bourse de cuir froncé, le sac en losange,
celui qui simule une coquille, cet autre
qui semble une grosse rose, et encore cet-
te botte de myosotis qui n'est qu'un sac
renfermant rouge, poudre, mouchoir et
clefs.
Ces sacs de fantaisie (fallais écrire de
carnaval .') ne peuvent accompagner que
des toilettes correspondantes, le genre
classique restant le plus pratique.
Mais ne croyez pas que la fantaisie
exclut la qualité, le cuir, est maintenant
travaillé de telle sorte qu'il se prête à
toutes les formes, supporte tous les en-
jolivements que la couture exige de lui.
De-ci de-là...
tt Les ceintures jouent toujours un
grand rôle dans la toilette. Réalisées en
cuir de belle qualité pour les tenues de
sport, elles sont én daim souple pour
les robes de ville.
ÏSiBUNE DES FEMMES SOCIALISTES
fit ' i
La terreur redouble en Allemagne
La vie héroïque et la mort de Liselotte Hermann
' r NE brève, dépêche et quelques H-
U' gries émouvantes de Magdeleine
Pau ont déjà informé les lecteurs
?du « Populaire » de l'exécution
à la hache .de Liselotte Hermann.
Nous voulons cependant ajouter quel-
'ques commentaires dans cette page
que des milliers de femmes lisent tous
leis .dimanches.
f'-' C'est donc fait. Et il faut se résoudre
/à: croire l'incroyable. Hitler a fait exé-
cuter à Ici hache, en même temps que
trois ouvriers antifascistes : Stefan Lo-
vd£, Josef , Steidle et Arthur Goeritz,
'une femme de vingt-huit ans, mère d'un
bébé-' de trois ans.
, L'action internationale menée énergi-
quement depuis des mois' a été vaine.
Vains, les meetings organisés par . les
organisations antifascistes, comme par
?exemple celui du Centre International
pour le Droit et la Liberté en Allema-
gne, ^auquel s'était associé de grand
coeur notre. Comité National des Fem-
mes socialistes. Vaine toute l'agitation
dès-individus et des groupements, vai-
nes les interventions les plus puissan-
ces .' Vains les articles parus ici et ail-
leurs. L'affaire est réglée : Liselotte
Hermann est morte
m ? ?
îifais reprenons sa tragique histoire
pour ja livrer aux femmes de notre
pays. : "
, 1933 : Hitler arrive au pouvoir. La
? terreur commence. Tous les opposants
au régime sont poursuivis et emprison-
nés: La. liste des martyrs du régime s'al-
longe de jour en jour. Les femmes n'é-
»chappent pas aux persécutions. Anti-
fascistes, socialistes, communistes, fem-
mes arrêtées comme otages pour répon- j
dre dg l'action d'un mari, d'un fils, d'un
père, d'un compagnon qu'on n'avait pu
saisir, femmes pacifistes, ont connu les
horreurs des prisons et des camps de
concentration. En 1935, Liselotte. Her-
mann, une? jeune étudiante de l'Ecole
Polytechnique de Stuttgart, se trouve.
être l'objet d'une dénonciation pour ac-
tion illégale émanant d'un espion au
service de la Gestapo. Cette jeune anti-
fasciste, mère d'un tout petit enfant,
est arrêtée et emprisonnée. Elle croit
que, victime d'une tracasserie policière,
elle sera rapidement rendue à son fils,
rendue ~à la vie. Elle ne devait plus re-
voir son fils. Et en entrant dans le
camp de concentration, elle avait dit
adieu à la vie.
m o ?
Elle passa deux ans dans une atroce
détention, coupée d' « interrogatoires »
au cours desquels elle fut odieusement
maltraitée. Enfin vint le procès devant
le « tribunal du peuple ». Ce tribunal
du peuple institué par un décret du 24
juin 1934 a pour tâche de juger les ad-
versaires politiques du régime et de pré-
tendus traîtres à la patrie. Il se com-
pose de cinq « juges »: un officier des
8. A., un officier des S. S., un officier
de la Reichswehr et deux juristes nom-
més par le Fuhrer lui-même. C'est de-
vant un tel tribunal que comparurent
Liselotte Hermann, Goeritz, Steidle et
Lovaz. C'est par ce tribunal qu'ils
furent condamnés à mort le 12 juin 1937.
? ? ?
L'opinion publique universelle n'est
pas restée indifférente devant le terri-
ble verdict. Nous en avons dénoncé
l'horreur ici-méme et dans la Tribune
des Femmes Socialistes. Le Comité In-
ternational des Femmes Socialistes de
septembre dernier s'est ému et l'a dit.
Avec nous, de nombreux groupements
féminins de tous ordres ont essayé de
remuer l'opinion. Des brochures, des af-
fiches, des photographies ont popularisé
la figure souriante de la jeune mère,
allant « au-devant de la vie », son fils
dans ses bras.
En vain. L'irréparable est consommé.
Et en même temps les persécutions re-
doublent dans le IIP Reich. Au moment
où la hache tombe sur la nuque des an-
tifascistes, des familles entières sont
traquées à Berlin et dans les grandes
villes allemandes. Tout le monde a lu
dans la presse les récite de ces scènes
atroces: le matin, au petit jour, les S.A.
pénètrent dans les maisons où habitent
des familles ? Israélites. Et le massacre
commence... ou commencerait si la fa-
mille entière n'était déjà partie. En fait,
depuis plusieurs jours, des maisonnées
entières, femmes et enfants compris,
errent dans les bois comme des bêtes.
Vraiment, ce qui se passe dans le III'
Reich n'est-il pas de nature à émouvoir
les femmes de notre pays ! Et que fau-
dra-t-il pour leur donner l'amour de la
liberté, le respect de la démocratie, et
- ce qui est mieux - la volonté de
défendre l'une et l'autre dans le Socia-
lisme t
ANDREE MARTY-CAPGRAS.
Réminiscences
++ Certaines maisons proposent le para-
pluie long .et mince à manche- de bois re-
courbé, si dédaigné depuis quelques an-
nées.
++ Voici la coiffure 1900, les cheveux se
relèvent très plaqués sur la nuque et quel-
ques boucles simulent le chignon, sur le
dessus de la tête.
++ Le décolleté dégageant les épaules, et
si en faveur sous le second Empire, est re-
pris pour de nombreuses robes du soir.
4+ Piquet de fleurs ou de plumes, noeud
de tulle dans les cheveux marquent la con-
tribution du passé à la mode du soir.
Petites capotes à bride de velours ou
de satin, vous sembler échappées des por-
traits de nos mères.
La jupe cloche en lainage, la blouse à
gois, la ceinture de cuir verni, mais nous
avons vu cela dans notre enfance...
++ En fil de lin, en soie, les adroites tri-
coteront des blouses de dentelle comme le
firent leur mère.
++ Gros bracelets d'or, plaques ou chaî-
nes, broches à camées,, bijoux d'autrefois
enfouis au fond des coffrets, les voici de
retour...
++ . La grâce de l'éventail se devait de
jouer .son rôle dans le cortège des colifi-
chets d'autrefois. On - le retrouve avec plai-
sir.
Coup d'oeil
à l'entour
La blouse,fleurie qu'on porte avec le
tailleur fantaisie a, pour col, de longs
pans se nouant «ous le menton-
13 <$> 0
Pour une robe à danser, une suite de
noeuds posés de la taille à l'ourlet sem-
blent de légers papillons.
S f 0
Un canotier de paille ceint d'un étroit
ruban, et par dessus un flot de tulle
abritant le visage et se nouant derrière, en
voilà assez pour un chapeau coquet.
S <$> 0
Une jupe noire toute simple devient
très chic si elle est accompagnée d'une
jaquette à carreaux marron et jaunes.
0^0
Avec le costume boléro on porte sou-
vent la.blouse de foulard dont le drapé
forme pans, lesquels se nouent en cein-
ture.
0 <®> 0
On aime sur les petites robes de laina-
ge uni une cordelière de couleur, ou une
ceinture de rubans tressés;
0 ?$> 0
Le foulard à pois se coupe de bandes
unies ou de bandes de poie plus petits.
0 0
Une robe de fin lainage noir a des
manches en deux parties. Celle partant
un peu au-dessus du coude est en satin
ciré, de même que la large ceinture aux
pans tombant sur le côté.
0 <ê> 0
Un tailleur rayé noir sur gris est bordé
de tresse noire et garni d'abeilles en cor-
donnet également noir;
Bavez-vous que l'on fait-des parures
imitant la plume, en cellophane t On
les porte en écharpe.
PARONS
notre maison
CELLES d'entre vous qui ont la-satis-
faction d'habiter la campagne
doivent apporter tous leurs soins
à la parure de leur maison, au
moment du renouveau.
Il faut semer au pied du perron hari-
cots d'Espagne, capucines grimpantes
ou volubilis. Les mêmes graines prépa-
reront autour des grillages une parure
de fleurs.
Utilisez une brouette d'enfant peinte
au ripolin clair, de la façon suivante ;
emplissez-la de terre, en ayant soin de
ménager quelques trous dans le fond
pour l'écoulement de l'eau.
Semez dedans, ou plantez des myoso-
tis, des cylènes, des capucines naines,
puis abandonnez cette brouette dans un
coin du jardin, bien choisi, ou sur la
pelouse.
Vous avez de vieux sabots de bois de-
venus trop petits, recouvrez-les d'une
couche dé peinture, emplissez-les de ter-
re et faites-y pousser quelque fleur. Ces
sabots accrochés de chaque côté de la
porte d'entrée y feront une coquette
parure.
Dans le vestibule, vous pourrez pen-
dre un petit lit. de poupée en bois aux
colonnettes sculptées, duquel retombe-
ront des feuillages.
Si vous n'avez point de tonnelle, mais
une petite grange, arrangez celle-ci avec
soin, que le sol en soit net, ainsi que les
murs, même si ceux-ci doivent rester
blanchis à la chaux tout simplement.
Accrochez quelques belles gravures,
une étroite étagère de-ci de-là pour sou-
tenir des pots de fougère. Disposez un
ou deux fauteuils, une table de bois
peinte de couleur vive, et vous aurez là
un endroit charmant pour vous réfugier
pendant la chaleur ou pendant la pluie...
ABONNEZ-VOUS !
FAITES DES ABONNES !
Détails
Sur les blouses de- lingerie, la petite va-
lenciennes tuyautée est gracieuse.
0 <» 0
Avec une robe rayée, on porte un man-
teau fixé i la taille, mais largement ouvert
devant.
0^0
Une toilette d'organza fleuri d'allure un
peu habillée s'accompagnera d'une capeline
en paille d'Italie garnie de fleurs autant que
possible assorties aux impressions.
00
Pour fermer-un corsage de voile noir,-un
gros oeillet rose est fixé au col.
0 0
Sur une robe de velua jaune, ceinture et
boutons sont verts.
0 0
Une robe de lainage sable présente l'o-
riginalité que le corsage est fait ; d'un gilet
rayé marron et vert, les manches étant bei-
ges.
0^0
Le foulard jaune i pois bordeaux ou noirs
fait de jolies blouses se portant avec un
tailleur uni.
0 0
Un chapeau sans fond au mouvement re-
levé derrière se pose sur . les cheveux qui
apparaissent ainsi.
0 0
Une petite toque se porte avec une échar-
pe qui, croisant derrière, revient se nouer
sous le menton.
0 0
Les petits noeuds de ruban font merveille
sur une robe de tulle.
0 3> 0
Un décolleté rond, pour le soir, se borde
de fleurs.
Pour les chemisiers, on utilise avec
succès les tissus rayés.
L'été reverra les gants 1 de dentelle et
de tissu ajouré : soie ou fil. Quelques
mitaines seront risquées... .
Nos illustrations
En haut (à gauche) : Crêpe rose et
vert pâle drapé de Jean Forest
En haut (à droite) : Ensemble du soir
particulièrement chic de Schiaparelli
En bas : La maison Gaston présente
ces deux robes du soir : l'une en
mousseline bleu clair avec incrusta-
tion de dentelle noire; l'autre en
mousseline rose, imprimée et pailletée
MALADIES URINAIRES et ^FEMMES
Résultats remarquables; rapides par trait, nouveau,
facile etdiscret. 1 à 3 appjicâ t. prostate. Impuissance,
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LE POPULAIRE
w-i-n
L, ,*a Haute Couture a fait cette année un effort marqué vers le
luxueux, le magnifique, le splendide I
". Bien entendu, lorsque nous regardons ces robes merveilleuses
nous songeons avec regret qu'elles ne pareront que d'élégantes oisives
dont la'fortune est faite du travail d'autrui.
Mais nous songeons aussi que la plus belle des robes doit son
existence à d'obscurs travailleurs. Point de tissu sans le tisserand, point
de modèle sans un cerveau créateur, point d'exécution sans les petites
mains agiles, à l'index marqué de trous d'aiguilles, dès cousettes innom-
brables.
" Et lorsque j'admire ou que j'indique la beauté d'une toilette, ce
n'est pas à celle qui la portera que je pense, mais à tous les travailleurs
. qui l'ont faite ce qu'elle est et c'est un peu pour rendre hommage à
ces anonymes que je vous là décris.
Cette saison, il suffit de regarder pour être éblouie, tant les mo-
dèles sont éclatants: dentelle, soierie, ruban, broderie, plumes et fleurs,
toutes les ressources de la Mode sont utilisées.
La mousseline de soie ne manque pas à l'appel: imprimée de lar-
.ges fleurs, elle fait de jolies robes d'été qui n'attendent que le soleil...
Pour le soir, on la retrouve unie et de plusieurs tons se superpo-
sant, ce qui donne, avec le mouvement, des effets de coloris tout à
fait remarquables.
Le tulle noir sur lequel on incruste de la dentelle, on applique des
motifs de broderie, contribue à la somptuosité de la Mode.
La guipure blanche s'oppose au marocain noir, la guipure marine
constitue jupe et court manteau s'accompagnant d'une blouse de va-
lenciennes.
Sur un fourreau de satin noir, d'étranges fleurs brodées en soie
de couleurs vives rappellent les tuniques d'Extrême-Orient.
Il faut encore signaler le collet de dentelle noire et les gros noeuds
de taffetas sur les robes légères. Disons aussi l'usage, presque immo-
déré des fleurs dont la présence donne tant de grâce et de charme
à tou+e toilette. GERMAINE DEGROND.
USONS DES COULEURS !
USONS, n'abusons pas, et tâchons
d'assortir avec goût les dif-
férents tons de notre toilette.
Pbur vous donner quelque idée
voici des ensembles notés au hasard de
leur rencontre :
Avec une robe moutarde, un manteau
noir bord à bord, chapeau,, gants et sac
noirs.
Pour une robe rayée bleu, vert, rouge,
le manteau, sera strictement assorti à
l'un des tons.
Mais avec une robe de lainage chiné
rose éteint, vous pourrez mettre un gi-
let vert, même feutre; tandis que gants,
chaussures et sac seront bordeaux.
Le bleu lin fait bon ménage en ja-
quette, sur une jupe brique, et une blou-
se jaune à pois verts ira avec un costu-
me vert.
Là, le boléro' est bordeaux doublé du
bleu de la blouse, la jupe étant de mê-
me couleur que le boléro.
Le rose én costume peut s'accompa-
gner d'un feutre bleu vif et d'une
écharpe assortie.
Avec un manteau jaune bordé d'une
tresse noire, la robe et le chapeau se-
ront noirs.
Evitez le gris opposé au noir, c'est af-
freusement ? corbillard > .' mats sou-
venez-vous que votre feutre orange ne
sera pas déplacé avec la robe verte su/r
laquelle vous épinglerez des capucines
assorties à la teinte du, chapeau.
A un tailleur marine, des revers de
piqué, des gants blancs, un chapeau li-
séré de piqué, donneront de la netteté.
Il est de bon goût d'assortir gants
et sac, et si ce n'est trop coûteux, les
chaussures !
Sacs à mains
LA plus grande fantaisie règne dans le
monde des sacs à main, un vent de
folie semble-t-il leur fait perdre toute
raison, car leur forme est parfois
telle qu'elle défie le bon sens.
A côté du sac confortable en box, en
crocodile, de dimensions assez grandes, à
côté du-sac de daim plus réduit, voici
maintes fantaisies.
La sphère garnie de paillettes, la haute
bourse de cuir froncé, le sac en losange,
celui qui simule une coquille, cet autre
qui semble une grosse rose, et encore cet-
te botte de myosotis qui n'est qu'un sac
renfermant rouge, poudre, mouchoir et
clefs.
Ces sacs de fantaisie (fallais écrire de
carnaval .') ne peuvent accompagner que
des toilettes correspondantes, le genre
classique restant le plus pratique.
Mais ne croyez pas que la fantaisie
exclut la qualité, le cuir, est maintenant
travaillé de telle sorte qu'il se prête à
toutes les formes, supporte tous les en-
jolivements que la couture exige de lui.
De-ci de-là...
tt Les ceintures jouent toujours un
grand rôle dans la toilette. Réalisées en
cuir de belle qualité pour les tenues de
sport, elles sont én daim souple pour
les robes de ville.
ÏSiBUNE DES FEMMES SOCIALISTES
fit ' i
La terreur redouble en Allemagne
La vie héroïque et la mort de Liselotte Hermann
' r NE brève, dépêche et quelques H-
U' gries émouvantes de Magdeleine
Pau ont déjà informé les lecteurs
?du « Populaire » de l'exécution
à la hache .de Liselotte Hermann.
Nous voulons cependant ajouter quel-
'ques commentaires dans cette page
que des milliers de femmes lisent tous
leis .dimanches.
f'-' C'est donc fait. Et il faut se résoudre
/à: croire l'incroyable. Hitler a fait exé-
cuter à Ici hache, en même temps que
trois ouvriers antifascistes : Stefan Lo-
vd£, Josef , Steidle et Arthur Goeritz,
'une femme de vingt-huit ans, mère d'un
bébé-' de trois ans.
, L'action internationale menée énergi-
quement depuis des mois' a été vaine.
Vains, les meetings organisés par . les
organisations antifascistes, comme par
?exemple celui du Centre International
pour le Droit et la Liberté en Allema-
gne, ^auquel s'était associé de grand
coeur notre. Comité National des Fem-
mes socialistes. Vaine toute l'agitation
dès-individus et des groupements, vai-
nes les interventions les plus puissan-
ces .' Vains les articles parus ici et ail-
leurs. L'affaire est réglée : Liselotte
Hermann est morte
m ? ?
îifais reprenons sa tragique histoire
pour ja livrer aux femmes de notre
pays. : "
, 1933 : Hitler arrive au pouvoir. La
? terreur commence. Tous les opposants
au régime sont poursuivis et emprison-
nés: La. liste des martyrs du régime s'al-
longe de jour en jour. Les femmes n'é-
»chappent pas aux persécutions. Anti-
fascistes, socialistes, communistes, fem-
mes arrêtées comme otages pour répon- j
dre dg l'action d'un mari, d'un fils, d'un
père, d'un compagnon qu'on n'avait pu
saisir, femmes pacifistes, ont connu les
horreurs des prisons et des camps de
concentration. En 1935, Liselotte. Her-
mann, une? jeune étudiante de l'Ecole
Polytechnique de Stuttgart, se trouve.
être l'objet d'une dénonciation pour ac-
tion illégale émanant d'un espion au
service de la Gestapo. Cette jeune anti-
fasciste, mère d'un tout petit enfant,
est arrêtée et emprisonnée. Elle croit
que, victime d'une tracasserie policière,
elle sera rapidement rendue à son fils,
rendue ~à la vie. Elle ne devait plus re-
voir son fils. Et en entrant dans le
camp de concentration, elle avait dit
adieu à la vie.
m o ?
Elle passa deux ans dans une atroce
détention, coupée d' « interrogatoires »
au cours desquels elle fut odieusement
maltraitée. Enfin vint le procès devant
le « tribunal du peuple ». Ce tribunal
du peuple institué par un décret du 24
juin 1934 a pour tâche de juger les ad-
versaires politiques du régime et de pré-
tendus traîtres à la patrie. Il se com-
pose de cinq « juges »: un officier des
8. A., un officier des S. S., un officier
de la Reichswehr et deux juristes nom-
més par le Fuhrer lui-même. C'est de-
vant un tel tribunal que comparurent
Liselotte Hermann, Goeritz, Steidle et
Lovaz. C'est par ce tribunal qu'ils
furent condamnés à mort le 12 juin 1937.
? ? ?
L'opinion publique universelle n'est
pas restée indifférente devant le terri-
ble verdict. Nous en avons dénoncé
l'horreur ici-méme et dans la Tribune
des Femmes Socialistes. Le Comité In-
ternational des Femmes Socialistes de
septembre dernier s'est ému et l'a dit.
Avec nous, de nombreux groupements
féminins de tous ordres ont essayé de
remuer l'opinion. Des brochures, des af-
fiches, des photographies ont popularisé
la figure souriante de la jeune mère,
allant « au-devant de la vie », son fils
dans ses bras.
En vain. L'irréparable est consommé.
Et en même temps les persécutions re-
doublent dans le IIP Reich. Au moment
où la hache tombe sur la nuque des an-
tifascistes, des familles entières sont
traquées à Berlin et dans les grandes
villes allemandes. Tout le monde a lu
dans la presse les récite de ces scènes
atroces: le matin, au petit jour, les S.A.
pénètrent dans les maisons où habitent
des familles ? Israélites. Et le massacre
commence... ou commencerait si la fa-
mille entière n'était déjà partie. En fait,
depuis plusieurs jours, des maisonnées
entières, femmes et enfants compris,
errent dans les bois comme des bêtes.
Vraiment, ce qui se passe dans le III'
Reich n'est-il pas de nature à émouvoir
les femmes de notre pays ! Et que fau-
dra-t-il pour leur donner l'amour de la
liberté, le respect de la démocratie, et
- ce qui est mieux - la volonté de
défendre l'une et l'autre dans le Socia-
lisme t
ANDREE MARTY-CAPGRAS.
Réminiscences
++ Certaines maisons proposent le para-
pluie long .et mince à manche- de bois re-
courbé, si dédaigné depuis quelques an-
nées.
++ Voici la coiffure 1900, les cheveux se
relèvent très plaqués sur la nuque et quel-
ques boucles simulent le chignon, sur le
dessus de la tête.
++ Le décolleté dégageant les épaules, et
si en faveur sous le second Empire, est re-
pris pour de nombreuses robes du soir.
4+ Piquet de fleurs ou de plumes, noeud
de tulle dans les cheveux marquent la con-
tribution du passé à la mode du soir.
Petites capotes à bride de velours ou
de satin, vous sembler échappées des por-
traits de nos mères.
La jupe cloche en lainage, la blouse à
gois, la ceinture de cuir verni, mais nous
avons vu cela dans notre enfance...
++ En fil de lin, en soie, les adroites tri-
coteront des blouses de dentelle comme le
firent leur mère.
++ Gros bracelets d'or, plaques ou chaî-
nes, broches à camées,, bijoux d'autrefois
enfouis au fond des coffrets, les voici de
retour...
++ . La grâce de l'éventail se devait de
jouer .son rôle dans le cortège des colifi-
chets d'autrefois. On - le retrouve avec plai-
sir.
Coup d'oeil
à l'entour
La blouse,fleurie qu'on porte avec le
tailleur fantaisie a, pour col, de longs
pans se nouant «ous le menton-
13 <$> 0
Pour une robe à danser, une suite de
noeuds posés de la taille à l'ourlet sem-
blent de légers papillons.
S f 0
Un canotier de paille ceint d'un étroit
ruban, et par dessus un flot de tulle
abritant le visage et se nouant derrière, en
voilà assez pour un chapeau coquet.
S <$> 0
Une jupe noire toute simple devient
très chic si elle est accompagnée d'une
jaquette à carreaux marron et jaunes.
0^0
Avec le costume boléro on porte sou-
vent la.blouse de foulard dont le drapé
forme pans, lesquels se nouent en cein-
ture.
0 <®> 0
On aime sur les petites robes de laina-
ge uni une cordelière de couleur, ou une
ceinture de rubans tressés;
0 ?$> 0
Le foulard à pois se coupe de bandes
unies ou de bandes de poie plus petits.
0 0
Une robe de fin lainage noir a des
manches en deux parties. Celle partant
un peu au-dessus du coude est en satin
ciré, de même que la large ceinture aux
pans tombant sur le côté.
0 <ê> 0
Un tailleur rayé noir sur gris est bordé
de tresse noire et garni d'abeilles en cor-
donnet également noir;
Bavez-vous que l'on fait-des parures
imitant la plume, en cellophane t On
les porte en écharpe.
PARONS
notre maison
CELLES d'entre vous qui ont la-satis-
faction d'habiter la campagne
doivent apporter tous leurs soins
à la parure de leur maison, au
moment du renouveau.
Il faut semer au pied du perron hari-
cots d'Espagne, capucines grimpantes
ou volubilis. Les mêmes graines prépa-
reront autour des grillages une parure
de fleurs.
Utilisez une brouette d'enfant peinte
au ripolin clair, de la façon suivante ;
emplissez-la de terre, en ayant soin de
ménager quelques trous dans le fond
pour l'écoulement de l'eau.
Semez dedans, ou plantez des myoso-
tis, des cylènes, des capucines naines,
puis abandonnez cette brouette dans un
coin du jardin, bien choisi, ou sur la
pelouse.
Vous avez de vieux sabots de bois de-
venus trop petits, recouvrez-les d'une
couche dé peinture, emplissez-les de ter-
re et faites-y pousser quelque fleur. Ces
sabots accrochés de chaque côté de la
porte d'entrée y feront une coquette
parure.
Dans le vestibule, vous pourrez pen-
dre un petit lit. de poupée en bois aux
colonnettes sculptées, duquel retombe-
ront des feuillages.
Si vous n'avez point de tonnelle, mais
une petite grange, arrangez celle-ci avec
soin, que le sol en soit net, ainsi que les
murs, même si ceux-ci doivent rester
blanchis à la chaux tout simplement.
Accrochez quelques belles gravures,
une étroite étagère de-ci de-là pour sou-
tenir des pots de fougère. Disposez un
ou deux fauteuils, une table de bois
peinte de couleur vive, et vous aurez là
un endroit charmant pour vous réfugier
pendant la chaleur ou pendant la pluie...
ABONNEZ-VOUS !
FAITES DES ABONNES !
Détails
Sur les blouses de- lingerie, la petite va-
lenciennes tuyautée est gracieuse.
0 <» 0
Avec une robe rayée, on porte un man-
teau fixé i la taille, mais largement ouvert
devant.
0^0
Une toilette d'organza fleuri d'allure un
peu habillée s'accompagnera d'une capeline
en paille d'Italie garnie de fleurs autant que
possible assorties aux impressions.
0
Pour fermer-un corsage de voile noir,-un
gros oeillet rose est fixé au col.
0
Sur une robe de velua jaune, ceinture et
boutons sont verts.
0 0
Une robe de lainage sable présente l'o-
riginalité que le corsage est fait ; d'un gilet
rayé marron et vert, les manches étant bei-
ges.
0^0
Le foulard jaune i pois bordeaux ou noirs
fait de jolies blouses se portant avec un
tailleur uni.
0 0
Un chapeau sans fond au mouvement re-
levé derrière se pose sur . les cheveux qui
apparaissent ainsi.
0 0
Une petite toque se porte avec une échar-
pe qui, croisant derrière, revient se nouer
sous le menton.
0 0
Les petits noeuds de ruban font merveille
sur une robe de tulle.
0 3> 0
Un décolleté rond, pour le soir, se borde
de fleurs.
Pour les chemisiers, on utilise avec
succès les tissus rayés.
L'été reverra les gants 1 de dentelle et
de tissu ajouré : soie ou fil. Quelques
mitaines seront risquées... .
Nos illustrations
En haut (à gauche) : Crêpe rose et
vert pâle drapé de Jean Forest
En haut (à droite) : Ensemble du soir
particulièrement chic de Schiaparelli
En bas : La maison Gaston présente
ces deux robes du soir : l'une en
mousseline bleu clair avec incrusta-
tion de dentelle noire; l'autre en
mousseline rose, imprimée et pailletée
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