Titre : L'Intransigeant
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1896-02-26
Contributeur : Rochefort, Henri (1831-1913). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32793876w
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Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 26 février 1896 26 février 1896
Description : 1896/02/26 (Numéro 5705). 1896/02/26 (Numéro 5705).
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Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol Lc2-3980
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
*ectionneilh, aprt*h 3 jrfoiifoirle de M* Totl-
; 'eb&rd,,««)«! à.q««tre mois ’ ! "^soiL- avec appijcaftan deffÂfoi Bérengef
- ' SbV.
La Montagne qui. glisse >
'* , . ..]ShnBS,.21i févri^*. .
•■' -'ïlhisdeo.OOÛperstïMiBSseaont-renduesdaàa
* -la tourné» d’bier tria* ©ftmd’Conibft pour sc
* ■ fendre - compte thx désastre dé la montagne
‘du Gouffre, qui-aeSi^è-de plus en plue fja
. ! poussée; Oé sauver teu* le» matériaux.pos-
• • siule4,,£oit de la-voie téWTO, soit de ■Poutfl-
‘ 1âge cfe- la conefessio» desl-mines -du- puits * • &mîtt; Grand’Cûiiibe avait un' personnel de; 600
' ’ persounés, hommes, eC fêifoues,. qu’on ta
,, diriger sur les-autres,concessions.
.. La Compagnie-das-mine*, fait procédera
* ■ dés : barrages pourpiwer à 1’;Ji.onda.cion-qui
• - pourrait surveuirpar suite du ciéplàcemeat
" du lit'du Gârdpa.'t'te‘gagner,. on le craint
. beaucoup, les autres concessions, folies qifo
’(>-Xebuitede Trosroï. ■' v - ... ' ■ . '?
■ B’après des renseignements, déjà on -1856
.-. des affaissements -de/terrain se août prp-
t "' duitst et. en 1835 oh'.' avait .construit le fa-
/ îJPteux mur de. iéntêsnèment pour appuyer
>.4& base .de 1k.montagne .pEôa'de la, voie
• -ierréa ■ . ' ■' #
.*• 1 Lb glissement va oestitoner sa'mârch#;
^;3a.'grande masfsô glisse -snr le banc dforgife
qui. lui sert die tpeujg|3jpi,. elle! .descendra fa-
l * te/emêpii dansjlft ^;ir.doh et viefidrase,butter
. dans la rnomogae.qui foi.-fait-face; ç’est tfi.
... qn’elle, s'arrêtera,,’Lsé Gardon. forcément
'•changera «on lit;ifcaisf i!' -trouvera \bieh
*'moyen, de se îairë, une glac-e dans la, vallée
I’w.Go»ftre.'
... Quelles seront..tei»-coaséquences de^ qé
• phénomène géologique-?!l est bien difficile
- rue. le- déterminer, tant ‘ que la montagne
’ nXura pas'!trouvé' soû/nqu^.eau point cPao,-
’ pui.Mâisceseràççrtaiaeme^l’abanüonde fa
r mine,. la. voie du cbenûn de for- dé l’autre, câté dp
■ GardQû. M faudra, frànphir la rivière- qt
7 ' cqnstçuiro uépont très,long, car ie lit dju
(JaifdoflL eat très large, sùjhiçe point, deux
‘ <^ts niètres einvijçq»,.'.'.' . .
:> NECROLOGIE
: f On annonce ia mprt,; ... ...
' • De SI. péaoljHt*.' préÇident. du. conseil
s général «é ea 1851, M. Benoist représentait. da-
< - puis de longues années le -canton de Lizy-
■ -syr-Gurcq au conseil général. II était eptr
‘'-au Sénat le 15 njaçs, 1&9I, à,, là nlort de
’'M. Fquchor de Careife. - •
! .-. Oe SS> Lefortj.scnsrpréfet de Géx-’- ’
: :Tqmû?
IFaits - divers
, • > » *..>.. •... - ; <
ffpe : . (forange; trenvaille. '--i hdlp
- Rosé Gourjean, âgée d’une ' vingtaine d'an*
nées, avait . quitfé , 'fout- dernièrement sop
service auprès de Mine, de h-.-, demeurant
boulevard.Haussm a nq.
Le ünge dé la jeuxip fille ayant été donné
* % là blanchisseuse ; avec celui dfes" patrons
de la maison, elle retourna avant-hier le
chercher,/ • ■-->
“Quelle ne fut pas sa surprise hier matin,
» en voulant mettre up pantalon propre, u’y
trouver dans ia jambe-gaucho ’ un-titré, -dé
chemins de fer eapagqqla, valant environ,
85 0 francs.
Elle s ? en alla faire part de sa trouvaille à
* pon ancienne patronne, puis à la bianchisr
»euse,per.;onne ne pouvait dire comme ut le
titre était allé se mchèr “dans cette singu»-
- lière cachette. :
■' Mile Gourjean l*a.déposé chez la commis-'
•aire de police de Champs-Elysées.
1 Un csri'MC- —■ Hier après-midi, M; Ber
nard, commissaire aux déiégaiion» judi
ciaires, a. procédé àl’arrestâtioa d’ûnMrDi,.,;
habitant "aux environs de Paris, à la;Goür-
, peuve, ineulpé d ! eacroquerie. :
Cet individu avait fait un certsin nombre
‘- de dupes, en sollicitant la participation dé
commerçants et industriels à dès exposi
tions et en détournant leg fonds versés,. "
M. Meyer, juge d’imtfuction, est chargé
de suivre cette affairé.
- Xi^ocsuiSe dans àne voitnret —.Ua
étrange acei onze heures et demie, boulevard Saint-,
fiérinain, en face du ministère de la-guerre.-
Hné Voiture' d|te s tapissière, appartenant
à un entrepreneur dé déménagement dé ia
arue de Grenelle et chargée decmonbles,
«passait sur le boulevard, quand tout à coup
iun jet de flammes jaillit dé chargement-Le,
; conducteur-sauta à bas dé son’slég : et dé-
4ela à la bâte son cheyaj, car le feu gagnait
-«rapidement. f ' •
- Des passants cassèrent fa vitre d\ra ayer->
-tisseur, et quelques minutes- plus tard les
^pompiers de la Chambre - des : députés, ’du'
ministère de la guerre; de la rue du Vieux-
Colombier et de la. place Denfert-Boche-
treau arrivaient.. Ils inondèrent la yoiture.
-dont le chargement a -été entièrement coa-
-éumé.
On ignore comment le fêu a pris. On sup
pose qu'un passant aura jeté une allumette
'enflammée ou une cigarette - mal éteinte qui
aura communiqué lé feu à la paille dont là
«voiture était remplie.. . .
Cet incendie sur la voie publique avait
attiré, ou s’en doute, une fouie considérable
dé curieux.
A Au Cours des Styljes s. — Telle
fliflîseigflfif, qu'^yaft^hoisiteîip-, j»ée«-:
cïrmt q«ù, il y a q.uelques. tnois,. sjUnsîàllaït
à îtosny-çaus-Bois pty ouvrait un, gommeréo
’ dé fruiterie. - f - •'
Toujours abondamment gàrriie de; nSab-.-L
eh an dises fraîches et •VarîôèB, 1 - la UOuvelie-
boutique ne déserqplissaifc, pas de clients-
' âttir'és- par le bon' marché du à Cours dés
Halles En vertu, dé ta loi des compénsà-
; tmn's', les concufréntâ dur fruitier voyaient
: ïefurâ'hôûtiqdes désertées. '
0r| fà semaine dernière,, ïes; maratchefs
de Rosny, victimes depuis longtemps de
vols nombreux et ayant organisé une : sur-,
Véîtlafrt'èe qui ont été assez heureux pour pincer leur vô-
lemv qui- n’était^ aiitre-qù^ Ifiieureux. frui-
tlérd 11 « Cours des Halles n. —• - - 1
II 1 Ven - est peu fàflu que. le commerçant
ne fût lynché et paç lés m'àcaîc'hers et.; par
les fruliiers de la localité.
sixième, exj.)osjf-on..SèulS,'ltjs l P-Wflufls.d orî-
i j \ i-. ---. .a." -
ïîa faux officier. —* M: X..., lieutenant
dç.cavalerie, attaché an 1 . conseil .de guerre à
Paci% - recevait,- arant-hier . apcès.-midi, ta,
visite «.‘un sous-lieutenant ■ portant l’uni-
forme.du 8 B r?égim.e,nt. de drâgQns, qui lùi
déclara qne, de passage-àParis, il était^aads
ressources, par suite de pertead-’argedt au
jeu,.oL .qu’il venait solliciter-de-lui un so-
- 3 .î
" — J^ti. fait, déclara le visiteur, la cànç- f*
rpagbecle Madagascar^. je?mai nomma Eugène '
Ddaviia) çt c’eat. sur le- champ de. bataille
que j’ai gagné: me» galons» - ' j
Ai. X..., désüreax - de' prèndre quelques
renseignements^'invita' L’officier & se ,pr$-
:sènter le fl.endemaia à ,ht caserne.'' ;
Entre teflipSjil s’informa;à' ia. Plâço et là,il
.acquit la certit>jde. qù^il.'aÿtrtt ;éu;àlïaire-à:
un escroc, le nom d'Ëueène Delavise étant 1
incOTiiî n àu 8° dragons., ‘
WV 'AV M*;»O.UW J ,L ÿ. UUUlcl^
qu’il n’avait jamais été' mflitafre, rnàis.seu-
I®n» 0 At.marchand fies .quafce-saispns. Lés!
affaires n’allant pas, U'ayâit. emprunt • à .im
ami â(X) francs et avait acheté, au Temple,
le costume d’officier avec Tèq-iièl il espérait
sè procurer des mo^epa.d^xi^ence.
Joli_moudç. •— Dçiix çopgfnis, Anatole
R-...-et Gabriel M..,., tous. doux souteneur^,
avaient rossé leurs maîtresses,’ lès deux
aoBurs, et leur- avaient, pris. 8Ü. francs
qu’elles,avaient cachés.-,
Muni»- de- l’argent,' ifs»- sOj çandaient aux
Halles Iprsqqe, arrivé^. g,q,';ooin de la rué
Etienne-Marcel et de- la rue Montmartrq,
U., se jeta sur son compagnon, un couteau
à.ia main, l.a : terrassa, le. blessa grièvement
au ventre et LU prit,Ies3>0 francs.
• TLe .meurtrier fut arrêté quelques pas plus
loin. li a.prétendu qu’il.avait lait ça pour
a d’ailleurs rpfusé daKport^r
rtre
Le. blessé
„ à«?elfes donnaientl'bien yolqn.tiejfs.î’fifgchf
qui lëur a étà.prîà de tokç£7‘‘ r '''- *
R... p.’en a pas" ntôiâs ’été envoyé.au Dô«-
r». «-..O-,
“CçttjmjmiezTos p&abéoai e\« 15-^d.i3% bd St-flernui» ,
T* r*''"'"" ' ' T v '.T'1. " v '
CrazettG < 3 Lul Jour» '|.
»>-~» .Exploit »»-■ sàiaxs^avH. — On a; arrêté,
-h ! er, un. souteneur, nommé Aùçcilste- B..{; gui
f if y a iièux jours, avait grièvement bléssèj'rue
d’Ârgout, son ancienne maîtresse Clémence
Huard* M. Cochefert -a- troijvé < à -son-domicile';
une grande quantité de fausses clés et pinces-
monseigneur, sans compter das plans très bien
dressés de diverses villas des environs de
Par,îs,. qite le, malfaiteur, devait dévaliser cetfe
semaine.
«¥>- nfiRNIKRs àçHOS DO MARDI GRaS. — Nous
avons relaté la tentative tte, meurtre commise
le mardi gras, à huit -heures du soir, boultv-
vard Bonne-Nouvelle, sur un jeune homme
homme Fournelle. . .
A la suit^ d’une dénonciation anonyme, on
vient (^arrêter sept Individus et quatre fem
mes compromis dans cette affaire.
Le meurtrier,.dit « Polo »,.es.t ié seul' de la
bande quf n’a pas encore subi de condamna r
tiou. - >..
r -—« Les çaudrioleurs,,. -y» Des, cambrioleurs
restée inconnus se sont: introduits;, dans là
journée-.d’hier, dans plusieurs appartements
situés'.au quatrième étage de la maison sise
AU numéro h de 1a rue Alfred-Sievens: notam r
ment chez une demoiselle B..., où ils ont prié:
15,000 francs de titre de la Ville de Paris et'
pour W francs d’aütrt-S valeurs et bijoux
Âhez.. d’autres locataires» léq -voleurs ont cm-
porté dés objets et de l’.ajgeht, iê tout s’éle
vant k 15,000 francs.' ’
—- L'accident de M. iÎAt.GUièftW. — L’état ûg
santé de M. Alexandre Pal .il 1ère -fils, qui a été, '
•copime.H0usd‘ayoo6 djt,_ victi.no d’un accident-: -
de' bicyclette,' est toujours très grave. Les
médecins ont jugé jusqu’ici impossible lej.
tyausport.dù malade de la Marti.niére à Claire-
fontaine, où M. Palgulèro possède une ,,pr,o-î
priéto. Clairefontaiue n’est- eepbhdant * éloigné
du l'eu de l’accident que de quatre kilomètres.'
. M.Falguière,qui est rentré à’Paris hier matin;
rçtouramra ce soir même auprès de son fils. T
Pièce anatomique. — Hier matin, à dix
heures, M. Hippolyte, demeurant Hl, rue du;
Cheyalarct, a trouvé, place Pinel, un crâne
hnmaiu, qu’il a porté ch z M. Perruche, com
missaire de police. On croit se trouver en pré
sence d’une pièce anatomique. '
. La personne qui, le 54.-décembre 1895, a
relevé un monsieur qui avait été renversé par
une voiture, boulevard flaqssmanu, au Coin
de la rue Haiévy et l’a conduit chez le phar
macien, est prié de se faire connaître. .
Ecrire à Bru, ; iô, 1Ç, ruo' Etex, 16. - j
r-r-; ! L’Exposition bes proppits français. —
Le copùté de pvopagalioq.de^ produits fran
gine cÿ'de fabriçafciicht-fnançaifS- ,sèrou,t-adnda
à cette exposition. .. ? - , i .
h# êkche. -a Lèà préfèts» Sèrit dùtôrisôs,'
^ stfd fà* dérfiandé' dn sértîèfe' 1 d’in'A^ectïotrpà iù-
■ ferifiëé- dans tous les cofïT , s i éf’éaûV du 1 ' 16- mars
srtf If avril; -fà pêchff du-- brisch'et ét de la
perché.- - .
Mais la pôrîO’dè d v înterdte6on ana'ùèVle du
■ 20;avril’ au SI jiiin comportent dorénavant uûs
exrefrfiotf pouf la truite' dans les affluents dès
' rivières. •
D’ïwfre part, et d’üùè rnaüîérè gphéVàL-, lies
bala ces ddnt fes ànailïëà oht ; * aü' moius-l^
iftîlliitt'ètres . d'écartplnent. sèront * âùtorisé^s-
pour' la pêche ' lié récrévl§§e ( ainsi ,que l’eia- -
! pl’o-l çfercarafes dont là ' çapacité u’éièédefa
pas quatre litres. ’ ' : v : . ; f
Quant au .fagot d’éptees-pbur la mêmp pêche,
if'demeure proscrit, malgré les réclamations;
dé pîusicurssyndicats,’
—f-.- —» '■ ■ 4- ,
■^55“??"
tfwoa
.Opospiratsion réactionnaire ien maçs„ 1896. Ûa;
rcqpfôrence,,faite par les Citoyens-Henri Placé,
Caron et Coilin,sera suivie d’un coneçrt,-; avéc
gracieiix concours^des artistes Ips p.luri aî-
més- de.Ménflmonta'nt. . ; ’
- :..On,- trouvera- des cartes'd’entrée chez- les di
te yen s Héiianax, 39* rue des Amandiers,
Chaussada, 68, rue-Offila;. «
’l *r* .'abl,,»<«A-ûi ,t :
. ^ t*. nr-iff-tnisniâ > (
■ Lire ' le Nouveau^Monde rvd-A[ricaih*
''F1hblmàri0n;-édit.,Sf>it*.Rai!itfév3?f,
. :—r-r —T-— <►’
Lé
Bi vous; Tousses'
PRENEZ DES
BibliagraplXiG
I «
- Notre-Ih%mie*l’Amo iu*; Je ‘nouveaq român
de Jean Aicard, qui viewt î'de ^paraîtra chez (
FiamHMwlon, -met-en- scôna deahnaaeurs de.'
eàvale«-et - de - tauren ix- sauvage«,,< dans le.
'désertdo Camarga -, ce magiqueidécor dgs
1 bords -du- Rhtïne pPôvénçah aiiquèl' l’àute q r
doit Sas- rnspiradon» -les pius^atVacbàntsp.,
Des -passions mipétîiensas-oomrhe le Rtiôqe,
même, des Arlésiennes au protil antiquè,
des courses do taureaux danà -’les-'arenèa
romaines d’Arles, des duels-de toréadors^,
une palpitation de vie dramatique; sous ua
vtiocefloment- de 8oieiL: tei>„eet -,le».njau-yeau
rotha,é do l’auteur du, fioi. .de Camargue et.
4ç l.lf'is bien. _ , *, .” ,
Quelle belle floraison'd’images dans les-
Ch^nssms. de Parie ei.xüailleurs:, par Emile; 1
Goudeau. Elles font couler jusqu’à. Taine
tTivresse ïiés v couleurs', «dêé formés‘et 'dë ifat
inour. Jamais encore le gai poète n’àvait
montré autant- de ch.ftPtïie et d’imùginatiop
que dans- ces tendres - qtjrieASpsrpoésies 'qqi -
feront cet hiver la joie; de lo.ùs.lea safons.<
Ce joli volume paraît'àiiiouri/’hui -chez les 2
éd.fleurs Charpenjtiçp et;FusqueHe^ . !
M-; ;Roné Vigier, l’auteur dUJn. Roman.- d
A’tca;- qui* a causé- une si viÿe • impression, ’
publie aujourd'hui çhexÔliëndpfff iin,nbu r
plainte, et les deux xceurs ont déclaré yeau .tçiuan : Ampdr da Sljve, où il étudie'
uu’ell US Cion.naiônl'. î'jiftn Vrt-ÎGntlhre' I^POtir» h r ’îo' ln'tixx tllftj' noonîji'n J «iran Iinn iMOunnn oil
là Iiitte.dÀ*' passions ;^y-çç- f ^pe,-,yjgAÇ.ùr ef
une”' phissahce d'mnoti'ôn " remarquable^.
Glesfc ; ut» Hypô’ -dbùt :
coup.
• Boiiifèet&ïëiPkitâaqfihie-diijdélermmimiq,
JacquesSautarç.l^nd'je.qnip eçrn'àihd’étofftj, U.-j
vient de puidiô’K "chez les 'éditeurs'Tresse et
Stock un livre remarquable par: la préci
sion avec laquelle sa trouve exposée l’-uni-
, v.ersftlleTnlatioade.causft à effe qui,- d.opiir
naut la:nature, en exclut “tout .suruatura,- *
lisme. L’auteur, ijui s’est déjà fait connaître ■
par une intérêtsaitte ètûdc «psychologique,
Etats d’âme, a le m rite (le traiter des
questions. » >levéea-ea- nue forme simple, en
un stylo clair où perce de temps à autre la :
nofo•émue, Si, ..parfois,-il rudoie la fgsjle^
c’est; parce qu’il ne i% tçq^yè pâs te^e'qUUL
voudrait, éuiancipoe, huiyuine, large de -
çoeur e,t d’esprit. .C’est, avec upe gr8ndojus-
1 te.ase'dé : ^raisonnement qué iVicçivam; après
âyoir;p»$sé en reynê-le;, libre, arbitra, i’aj-
truisme, les. préjugés,, çeiu;fo.i ,social qui, Mns-etre'lë^MirtUUs rêvé par' dés
niYstiques., - vaudra b-éajAgoup ipieux qqe
nolare état actuel, ( .. . ,
;êe,.Bàris. à’obiéhu,. .coùpiië..ik fallait, s’yatteft-
dre, un très" grand sûccés. Plus, d.e doùïe.csnts-'
«qltay,eus,avaient rgpqpfo ,4 I e
pressaient dans^la vaste^sallé, afin de,ppussan
ce cri.de raUlentepi.te Sénat !}»«...y J r
Au bureau; lê citoyen RoùanQtt.assisté des citoyens ,fferthuis, Bedouch jêir
Christy, secrétaire- Au- milieu des applaudig-
.;,nièr e * iconsfülle?; ..'AftdcPar-
t bù l ?;,.Chi-vaJ.i.e.p,iaic'.,,..réctenwi)iç,éiter5Pque-'
rnepjt la auppressii»» q# ceUe tesembiëe.. réat-
ilfo’ÎÇàiçe» '£%®EBfcvn«tv4rio;
avec le suffrage . unive»éïtflèSâ-KW«f^ts&ê'
r-P-freétùefï à .tayapc^n®iAte^ik5«#q®B0^^ i|à**
, pl.u.s mipiines, et...un«dat)gajà)p©itedft>régiteé
l»teœ#awùîi'^fLïî-'ii l vïfte^n=--i
X l’issue de là réunion,- Pojdre^ù^iourSid-
vaqfcà.êté fo'teijàïùnaaSmS^'îS'acîfe*;- . /J ^-
h» <§tQXéha,:asseiablteJ®-.9%tevhie]|!fte9&^,
ha Maison JuiBeupla- d e-Pari^.-.fc, irapaase Pers,
qanstatentj^, que - la recüia te duî’Stoà** n’est
s pasi la disparition'-du coüfiih qBiî d ! apçai ençe
: politique .est. : plutôt d'ordre» écpntehique,|à
preuve, le rejet- daila- lot ^ir te S a< ' c W® a s du*
travail, le .vota-de. la loi Meolhi-Trarieux ;
Qu’il ne: peufc.y avoir de soiutioa que- pér
Ut dissDluiion du Séoat;, ' ■''fà.-rî .. ï .
a Quhl yta liëu, pour-tes-groupehieats orgf-
nisés, do so conoertér eh vué d’Unë actipn ét
d'une propagande poüri àrrfver à uua rerisiaa
qui ne serait paa seulement politique, ma|s
r qui s’altaqùerait àussL % flâ r foffoé'fociàMaq-
tuelle. ■
•• En conMqqènçé^
- peSj organisés, s’il, n’3 : â t>éS -i^u -dë f ' qftei*"uiîe.
• vi.ste orgapi satiop pêuii' §p’üef' uhé^çajmpagije
’âoiit los 'premiers coups portera-enï, "dans les
; circonscriptions des dénutl^qu^ s>^ .4^:
' jugés aptecond;sç’rùti - h. - ' 1
‘ .’l Lès adhésions sonA^ëg^éfcte^foWfahÿ 116 ?^
à ’ la'Matscm du Peuple (te.’Pàriit ^î -WPas$e
,L - -
-Êft: ténu» inaatesignaimi» toao vatsion ; qi|i
;ve.&op t dQnner;qi^,^^BàsX(S^te#a"s:à l’teji.
..... , T tréo, ’-on 1 , parte- déjà, bêaur s qouveaic;d>umeefeing,.-uao teochuràdoprëpâ-
. ‘ ■ ’ 1 ■" ' Lgoadnaecialtteesi;-! L'
E+i,
j,^avô.çav FnjEbMAN,.,-TH-, §or.deaime ! ^l,’!ivOi-
. ca.t Alfotuànd.’ Béleflmaflu, dont nous avons
; annoncé hier .ràrrstqtipw,çesteràan.f0i;t dp
HAju.«qu.’à çft:quaiee.. formalités ,4e l’extra
dition soient reurpliav, - ' -5 :
La poste de Bordeaux a’reçu à l’adresse du
; faq* nj^giiU^v^ pyiifc In tfoçfoar
dau dé Craçovie, deux mandats télégraphi
ques, de 50ü - francs chacun, C’.est bien la
: sàmfoe qù’ilaftehjd^Rr L’admiaïatçàiiôn dés*
i postes- ayant reçu. : do Berlin i'avia de ré
tourner les. mandats, l’argent ne sera pqs
délivré àJFriedrnaib. ..
- Sa inaîlresse, Anna Merten, est làisséé-en
liberté, mais, elle se trouva sans ressources ,■:
. Ç'rieçiinan.ne.possédaitau..çiçnieot da^son.
arrestation que 50 foàncs-.qu’ii a parfogés
avec elle-. ••••'* " ■ * • * -t '■ v ■ •
.tteisMit;
•, Çqratre, lcrgteat v .; r" ; i;' ’ i
Maison* nu. Peuple do -dix-seftième abeondi|-
semknt. --- Djematu m. rert-d:, à huit heures et
demie, grand me ting populaire. — Ordre dp -
jour: » Le"Sénat et te..aùîCfogaùniverseL «. -r
Orateurs : Çioyis Rugnos, - . Efoest Roche, O
Mictjtfl; ,Rçus3,eL; Mpçinj fjeveu;. En-
i.cûê.i 2Q,çètttimes. ? v ‘ . - *
Lb’Révkk, ns Saint-Faroeau" organise poiçr
.je.udi. %7 février, à h,mt r hqujços «L demia.du
soir, dans leq 'salons dp Lac ; SaiateFargéau,
. un grand meeting dé protestation, pppuloiré,,
'ayec l’ordre du jour çù^aut:. I* Les, ./nptiées'
réactjphpaiçcé. du. Sénat.i .St' .misiôftf.dft ià
constitution; 3“A Mazas, tes tripoteurs 1
i Comité socialiste réro'utionnaii-è tedôr
pe.nda-vt .dù onzième arrondissement. —, A
neuf beui’ës, sulie Murat, 66, rue Sedaiue. ’
rr? Parti ouvrier f y a nçais.' Çc rcled’ét ud e s
sociales do la Santé. — A neuf heures, salle
î'aris,-y,.8.5 > juiete la Tomb^soicc*
, Maison du.Peuple de Paris, —r -Conseil
d’administration, h, impasse Pers.
J,e%,Na.turiens, cercle d’é.tpdes.-r Aqoafé,
69, ruo Blanche. «— pq souscrit à partir (le ce
soir, pour le banquet- du: sauiédi 59 février:
(cotisation. 5- francs), en J'honnour de Boehm.
-™ Coialtée. adhâreats' du - Comité oen-
|fal socialiste révolutioaaaire:
' é** Lo co nité rôvolutionhAiçndù.l ingtlèmc
arrondiraient et la J-unesse b.lanquisto dp
Paris, adhérents, au Comité contrai socialiste
révolutionnaire, organisent pour ië dimanche
Le drame de Porniohbt. — Saint-Na-
\ Xiire : Voici-des»détails Sur l’épouvantable
drauj.èqua nous avons annoncé hier: -f
M. Bouchet, âgé .âa cinquante et tin an^,-
ancien propriétaire du Grand Café de Sain(-
Naznirç. h.ab.itait ?o.i;fliçh.çteavçc.Sé fçnyn,e
■ét ses deux filles depuis qu’il ayoit yepdu
sou- établlsseijtéit^ ' $h ^Ifo alhyê, àgéq 4e,
seize ans, «• tait «h "pension â- S'aint-Marc';
son père l’avait fait sortir hier'et amenée *
avec lui»à'Saint-Nazaixa. ” [
Yoré neuf .heures, du, spîr,jBouchat. s’est
rendu'dans la chambre des enfants'et les a:
tuees de deux coups de revolvor. Au bruit
: des détonations," Mme Béùchët est’ accou
rue; Deux coups de fou. l’ont atteinte à soji
tour», et là malhearéusig famine est.tombée
- ; bai§flée:dansspq.s^ng.; . .. -- ;
. ~ Lé tfjplç,' crime accompli,- Efoqchet,p’esf ’
■ tîr§-trois balles dans la tâte.-- La soeur dp
: M ineïMoüvbet,- qui habilait dans :fa maison; ;
a échappé à ce massacre. Elle a dû énfon- .
«en; la-.porta extérieure poar'aller cherohér
du secours; • , ■ ■ ’ ‘
Ou se perd en,conjectures sur les causes -
de cet horrible drame. Mais elles ne peu
vent tarder â être cOnuues, l’assassin ayant
laissé une -lettré fermée' avec l'indication
suivante : -■ - - ;
* À ouvrir.après ma mort, en proseucç :
do MM. Auger et Eaiilutier, a. moins qu’ils
ne refusent. » . • 1
■ üii second , avis. trQùv.é. également dans la '
poche du ■ meurtrier était ainsi conçu î
«. Prière à Miné. îft direçtricé dés pôsiéàde
foiré parvenir la correspondance qui açri-
yera après ma.mOft, k M- .Qalh^Ohrfl, avocat
à S.aint-Nazairç, » -'' - -
„ DaiftiEEMME'QUI "ACCOUCHE dÉdEUX CHIONS,
— Annecy ; Mme fo.,éu Val-u’Ajol, '-vfon.t
d’accoucher de deux jumeaux de la race
canine. La sage-femme a refusé l’accouche-r.
ÊSt ÿ/eit. Aa- Zyçtiiit'- È’rièùà : Devfx
" ffâVfres dé la floïto isrân;dâisè,'.fô toptari et
la Marie-Jeanne, quittâiétif 'CëS jéUrâ'def-
i- nier§ le ,i>'éïî de Dahoiïet. Arrive^àu îargé
dans’la’bàié de Pélm-pel; !ëâ. rtihVifls’dé la
Mdri£-Jaanné étaient Cduchéë, Hjrsqu’dn
homme àe'tÿjcsrt âperçüt''utie'épâissé 'famée
'Sdfiânt d'u' poste où ddrrhàit l’éçfuipagé;
donnant imméfliatemierit l'àlhrihé; iV éveilla'
ïèé - màfïn» ’éndOrmi^ - qui 1 'se- pfècijpit’èreàt
sur le pont. ■' '.' *• ’ ’
; Ce’ capitaine; ‘ en' fateafit 1 l’appeî ‘dé ses
hommes, reconnut que le'maitèrot Rouillais
tnfonqûhSt;‘ i teafe''«ïùi séîfàîf assez èémrageifx ;
po n r d esceitd fé * dàtisle' pOsfe - sa m ïîieu dès-
‘ fia'ifirriës' - et;'de'la' fumée; afîh dé porter se
cours an malheureux matelot ;
1 'Cèpériîda-nfrua-'nwvifco 8 ,. dom'mé^îiéyêquè,
se, présente• au capitaine et 1 aNHîsnSs
"le plüa jeune,'C’est à moi dè passer lè L pré-
mierl » Et il descendit "sans 'Hésiteef nfaiis,
' biènfôt àspHÿxiéî^i'tomb'a preéffité inàniniél
a.u fond du poste. - • ;-= ’ '
1 - Trois autres'pêcheurs désèendirent,à leur
tour pour porter secours -à leùrs'deux
çdmpâg nolïs ; ; tfe- parvinrent' .if retirer, lb
jeune novice, qui, ramené sur' Iç;;ppnt;-Vë-
’prit Se» sens quelque^ instâhfs^p-i’û3‘ : tard ;
quant, au malheureux Rouillais', lur aussi
“étaitjfomshésiir'fo'pbht;''mais it’était Ehort..
Pendant ce temps-fâ,' je 'Copions, qurnavf-’'
; giiaifr dans fos. mé .néâ- eaux .que. ' la Marie-.
rçnj, à éteindre,
i 'Le aâvil'é'mceji'dîé à dû' relâcher à Paiin- ,
ppl, où ont eu lie.u les obsêquès dér-plhfbij-'
funêito'utlïaiS .'■ *
. ETRANGER, : ■ ■'
, TùRWBUi bourrasque. Adélaïde .- Une
très, violente-, bourrasque s’est abattue., sur-
i ta velle. Vue egHdè aété détruite. Des trauj-
ways ontitA jaiés hofia d,es, rails ; des toi
tures en‘fer ont.çté. emportées par le vent “
Bien qu’il ait' à la disposition de. Faut} Cinq"
Marguerite, l’Opéra a' été,'hier, sur le point (je
faire relâche. , . . ' . .
Mmes Caron,; ' Bpsinonj Berthet^"-<;àrrènê,'
étaient toutes ma^Æ®^;.:'c’est la,, cinquièmé,
Mlle A lams, qui a. chanté le rqjp, ay.eç,beau
coup de succès. ” ' ' ‘--
A la' Coiùédié^Françaisa, hiefo lecture ’aqx
artistes-de Manon Rolartd; comédie; dramati
que en quatre actes;, en' v’ers,' île MM>' Emifo
Bergefo^'feé-^'fîjilte'^e'Sàihte-tÇrcixR'
t: ' "L.a'*!jistrîBùtro'!i de èét oiivràgo U’est pas en
core complète. Cependant, nous-pouvons,dirÿ
'qùë-'lé rôle dê'Mme' Rôlànd""ésé éoflâ .à, ijnie
Bartet, celui.de; Roland. à ,M. Silvain ,et ççlur
dù bolaiùst- Boscq. a M, Pru Ihbn.
' C’ë3t‘M. Wor.us qui’ mettra, en scène la pièqe.
de-MM. Berg-rat et SaintebÇrofx. . : .
Aujourd’hui aura Ivu la foçturë d’une.pteqe
en-trois actes, en vers, de M.; Jean Richepin.
Tit^e : 1 e.Chemineau.
Les Deux Gosses, réclatânb suECès.de l’Am-
bigu, sont » tassés » maintenant, comme, on
dit ens/yle da théâtre,. La pièce»fhüfc .depuis
hier A minuit moins dix.
• v.;- y x:.~ 'f F “ï j
A l’Opêra-rCpjnjqufi, la première.représenta
tion d’Orphée, annoncée, pour^ vepdçedi. çrç-
-chàin,-est ramisa -audiindi S-riiars.' ,
Vendredi, or donnera Alanon.
A la Bodlniôre, aujourd’hui : ;
A trois heures, conférence de M. Maurice Lq-
r .fevre, rr. Çrc.mtera aifoitjou te^a <3wa»aa',cff* s
joujoux, mhsiq'ie. ôq, mm.. cUudjus, Blanc çt
Léopoi i Ùauphin. Interprètes: Mme Jeanqe
Rsjiiaole et M. Isnardon. Chœurs d’ nfants. -
/' A quatre, heures et. .demie,-:. Pwi*-4utotnq-
bile, - '■
Nous appreppna avec ùh vif resçet. la mort
fie. M. Aifr -q çi.aml’un des auteurs dijs, .livrets
de Salammbô ê( dEtolarmonde, qui' a iacÇoihhé
à une piieuiionUe' Co.upLiquée cia. coiigestio'n
cérébral -, dQ>'lj. il. avaitnté atteint à Bruxelles,
où il étaïf! alfo.assister, à la reprise du ’ Tanny
haussee. Ses obséque.; auront lieu 1 aujourd’hui
à Bruxelles. - - • .
M. Alfred Blau — qu’on déeignait généralq-
mcrïl sous lê sobriquet familier - de «Baül».
rr- était qqé figure .parisienne bien, conçue &■;
l’Ojiéra ■•ët dafis toùs.les'théâtres;.* ; y.f 1
'-C'était un-brâvè et loyàl'camarade, très spi
rituel, dont l-inteUigeuce était certainement
. supérieune.aa moflçiste ..I).^gag^-litiérg,ire qu’il
tejgse.'eii ’mpuràij{. i/ ;.j,r.pt-.i{t le. qpusin de: M -
Édouard BÎaù, l’homme de lettres bien connu.
Mlle Mejçy,.la pharaiaptp àrt-isie du.' Vauder
ville, dont on u’a pa« oublié l’originale créa
tion dans MadameSuns-Genë,vient dé remplacer
au .Gymnase, dans Marcelle,. MRe-Uosa .l^rücjc
et a obtenu un très grand succès; '■ •
Le théâtre des Poètes donnera irrévocable
ment, à, la Couiédfo-rBarfaiepn.e,. lep .6, 7* et 8
; març(répétition 'générale, représentations fé- •
riè A et série B) son spectacle composé de lp
Jeunesse de Luther, drame en deux actes de M.
Albert Eua, et ParHœs Zu l eil.a,' légende en finit
tableaux ■ ii vers, do- M. Gabriel Martin, —r W(.,
(iharJes tè^er sîesttrouvé retardé, par suite 1
des travaux de la Uomé iie-Parisienne et d’en
gagements de MM. Taillade, et,.Go^|aq : .et- df
Mme Niù... r-.L.èspe£ta^e'suivaut;co.liip.éàé Bq
Grand Galioto, drame en trois actes avec pro
logue, c(8 M. JofXiEchêgaray, aura lieu le St
Vi-i'r.li /î . lit! - .‘îM 1
Qiîeîiiifeÿ jbii'rpWnjf-ont 8 erreur
qu’un commencement d’incendie avait détruit,
au thêatr'é’ Déja'két! une partie" dès décors dô
là frtè'éë' nouvelle.- -H» n*én est' rien' r 1, tout s’est
bérin'êâ'dhîféir de? paille, ce*qiii’ n’à’ pàs émpe-
ché le public de bien rire, le SOîr, aux folies
dur Vôÿa'ÿë àr Venî&i r .
'-Le'programme du Cirque d’Hiver se corsera
jeudi-.dJurie». attraction" sensationnelle r la
domtesse.de Xiü et, ses- Bons. - .
Robert;. Madaire,- la ■ désopilante pantomime
qui atteindra jeudi sa cinquantième-repré-
Sentation,i. .en .môme temps^ue.les üons de l» comtesse
de X... jüsqu’à épuisement de succès: '
Demain mercredi, àquatre heures,-à» la Bon-
bonniéPa audition- des. /ouvres de M, E. Weil-
1er. — Conférence, de M. H. -Valbel. ,
fînâ jaùne'efrtrès* jolié actrice dé Neùr-Ÿcfrls,
Mlle' Nina Cadix, vient:• d’avoir' nna idée pour
‘le- moïns'originaie'. * - "
Cette jeune personne, qui possède de» dents
admfraWesj pâraf-il; à Imâgi'ué . de s’en faire
évider une sii.f. fo devaùt'pburiiy anchâssçri un
1 diamafo'quâ'fof 1 scvàiV ’adiréssé ces joûry dep-
niers un de'ses’âdihii'atfeuÿst • ’ ’
‘‘"Proïànratloéff 1 '■ ' -s ' -' >'•
.a»y »; ô v V.-r - ’, •
i GOUTTES SA! NT-M ARC
.OéRjJT>ttff^>éhjteI des viepa du sang, le plus .
• : âctircoqnù,.TQut.eapbàrraacios;(y6irh»{jago).
Homme marié, sérieuxl -actif elfatùolli-
. gant;., muni de. très.bphs’ certiflaats. efcd’ex
cellentes références,; "désire- emploi aux
"foçritixres, snrveiilrtnt, insperteur-ou. gérant.
L. Quéruet; 33, rue-Spaibro-etrMeuse;
■ . - VEtbciPEDlE
f . • r.- s- ! : ■ ;. - - . —fa-,- - , •- . - ; ,
AO VÉLODROME D’HlVfiK.' — Voici 1©- prO-
granHiiefoes courses qui seront données, di
manche prochain :
îv Handicap (910 m.): Entrée: 1 fr. Primes de
J 10? fr; aux- gagnants dès séries; de 50 fr; au
meilleur temps, s’il ne dépasse pas 1’- l(T’.
•Prix i lSOj .93,‘75-èt 50 fr. ' '
Course d’amateurs- (1,G00« m.);' Objet 7 d'art et
mé (ail es., .
' ‘Match Sur 5, î et S Rily Jacquefin contre,un
tandem.
Course-de H)-kilomètres avec ' entraîneurs.
Par séries de ,5,0ü0,m. Prix : 600, 300j'500 et’106
francs. • v . ^
***;L’Ui«on' prcius-ra de, ERAjtçÈ;.— M. Léon
..Bourg ois,, min istro de.lüot&çieup,. vient .d’ap
prouver les statuts de l’Union cyclistq. ; de
■ foajn .ce,, la hOù .vel lp férdôralion: cycliste, .
.-**# A, QVi de.pant?'— Ou annofica de New-
'Ÿork ’qu’nh '’cÿcliste : de vingt airs, pesant le
respectable poids de.515 kilos, porte, un’défi à
‘ tout cyclisté 'da son poids, - pour ii’impqFte
.quelle distance et u’iiupo.rte quel.enjeu., - -
" Il est peu probable que. ce-défi, original soit
relevé^ Ou ne çéneontre pas, tous leajoufs de.
cycliste d’ug pfoejl poi.dà,< .; . v - :
VALVE G1FFARET
La chambre de commerce vient dé faire
remettre a M. Clément le titre de la récom
pense re'fiippçtèe, éç 18%, èq Italie, par la So
ciété des vélocipèdes Clément.
Ce titre est le Grand diplôme d’honneur, la
.plus.haute .récompense décernée à,notre,in«
. âuftrié oatiP.uêle., ' ' , !
P. Vaboatraiu.
Il,—. —i., , , t ,
mÛlL ET TRAVAILLEURS
filousrQpppI.QoyaupciçiriiQecttfans ouvrières que
eûtes leurs com n-nicnSiont iadressées avant sept heures du soir .
Lescommanicatiois des syndicats doivent itre
eviiues de teur cachet et si] nies is
COMMUNICATION * .
Chamêrb syndicale des ouvriers TOURNEURS
Etj optique:; —r D-'inain mercredi, à huit heures
et de diie, sa'le de l’Harmonie, dit, rue d’Angou-
lême,:. -assemblée générale trimestrielle. ' —
Réouverture de la'Bourse du Travail.
Réunion d’aujourd’hui
—. Aux. ou vriers, eu vpiture. Cç spip, i
. huit, heures, cours fifo;!. dq, ufonràg:', U,j ave»
nue .des .'Ç^îùes, et 35, r.ue Üçs.AinâucUerâ, '
Pour-toutes les.communications ouvrières, j
V' ' ‘ 'f-, *'• 'ÂG. Parfat..'
' S.ecitoyen Ad. -Parjat sa Mentira A la
disposition i des déléç-üssd.oa’ «y» Méats
ouvriers et g-roujfos. eorjtoiratifs. tous les ,
spir%..'mav Bureaux de'. t’I.'Br»A.VSâ- ;
ttEANT [t4A,‘rue AfeatnBatrtrè), dé seÿA
ù huit heures.
im itteüi Mfm
ANNONCES ECQM O.VlîQ JES N
- . OFFRS3
' ‘ -,'CB : rtè»ian'ie: ■'. t
.line institutrice R,.étrang, liéfqri axig/Bopua.
condit." Mme Delon, 133, boulev. Sébastopol.
ij De très bonnes ouvrières, l.foiî.erie de sofee*
r céteasfiffi Bfossé' r * ^ r 4l?- Geoffroy-Marie. ■
uw?iàaiiiW''“’ ll| i , '‘^ewa?«->'maHag5Mzjee^sgmBg^aBHBMM»EEgæaga8agaBa^MaB8^HBSiaagimaMa^a(ii(»»iMgOTBa^
FEUILLETON DE UINTRANSIGEAN 7
71
LÉ DftÀStE
DELA .
. ; ‘ ^''Çî’ès't. 'Î5rt"j'’asfé,^diCVîbêrt ‘;"''tü".e|i-1
; tends parfaitemeat le libre-échàtige. > ? 7 (
y 5 — Vofls voyèï oettç jolie cravache avèc î
Luamaoebe Ma ajouta SoleU-Gcfo-1
c hant j- ç’ést lufoguhnae 1 ’^ dOQaée c hfo|’; |
jet je ue lui ai jpas
.4erais..:.;'-îvï:---' ; “ .'.-.f 7 .:.- ■. ' ^ f-; ]'
—: Tu as l’intentiou de... dit Vibert,
’^'.ipév^inêjâèiiif je ^ofoiRei de temçB
en te mps preudrè de l’exercice aux dél-'
pens de ses épaiffes. Il ainxe ceîa, dû reste^
JlL^ît^'-Sôs ’anài|‘|; ; :
U Eii© aifodore, cette ; peti : te Fraaçaise, ellè -
rpèbat-eommeplâtrelM i/j-
> Tu ;^ e; preuâis pas 1 aussi gatëmentj
j j|t Qhéfiÿver Mihpf’L fos petites correction|
que t’aâjpimstrait Langladè. ■
,-Oh! ne me parlez pas de ce butor,
-fit ;SoleilTCouçhant. Jç fié puis pas pen?
aer a lai sans frémir. On ne le juge donç
• fiExceljent petit cfour de fepi-nie, se dit
à part lai ragent de police, et c’est pour
ces charmants êtres-la que, le pîus sour
; yent, nous paasone .pptré vie à travailler j
*et?â souffrir. »
11 reprit à haute voix :
foêfeprocès viendra ffarfo ?
une quinzaine 4e jehra. ,
leil- Oonc fiaa t ; je pe gérai véritablement 1
^ajagqi}Jfl! ; qii’aprés sa condamnation, j
iiiiqae:I4. j'ai Jtoajftyj’â.D.QRRa^’M, pe s’é->
tae‘toute ma vie; maintenant, c’est moi ehappe. J'ai rêvé cette nuit qu’il prenait:
liuibats. *-î> ■(- - .V? C tour-'
m 1 LA PAIX
• i .. s ,y ’ ■>. - / '*
PAR.
ADOLPHE BELOT
L> euxième partie
• ■, ... r., -..Z ■ ..... t
? ' ■ * * «• — - .Vv riT. ..
XVI
^ . - I, -'V;' - 0UÜÿ - --
rr- Pas si bête! ÇfostJ’Anglajs qui est en"’
ma puissance. SL vous saxiézçpniHiejeJé'
fai&aUnrJ Vous.noiftprenfix, j’ai êfo iiat-
noyér aurdessus de sa tête, et lé lançait
par la croisée, l’était 'drôle,- mais celà
eomprométtait singulièrement mon ave
nir. J’ai un mobilier^ mais je n’ai pas en
core de .rentes. ■
—x Tu on auras, dit Vibert, je ne désefo
père pas de toi. ’ ! ‘
— Ni moi non plus , je serais-joliment
à mon aise, si cet affreux colosse pe «fêtait
pas approprié cinq années de ma Vie. -
—-Alors, tu ne tiens pas S ie voir?
**■ Le voir t'.'.'. Ah I.moa Dieu I fit-ejje
en pâlissant, est-ce que vous lui ayez en
core promis ?... Ce serait une indignité ; i
qu’on fasse de moi tout-ce qu’pn voudra,
rpais cela. “ !
— Galmez vous, chère amie. Langladè
3 .erait heureux de votre visite ; mais nous
ne vous contraindrous pas à vous rendre
chez lui. . ..
— Oh! merci, vous_rqe faites du bien.
— Je lui ai simplement promis de lui
doimer de vos nouvelles.
— Vous lui direz que je me porte à
mei‘veille, que j’engraisse, que je prends
des couleurs, que je m’amuse comme une.
petite folle, et qqe j’aj pour aiqaüt le
plus joli des Anglais lq,ui «no rend la
plus heureuse des femmes... Voilà. S’il
n’est pas content, c’est qu’il ne m’a ja
mais aimée. Me promettez- yo.us de lui
' répéter tout-cela ? • . .
— Non» dit Vibert -^qvgnu sérieux.
Ce seyait v^i*ep -®éftiyq noar le - pauyre
diablg. • ; ‘ ; • : ‘ •' *
- — gu-omlf
Ieil-rGoucbant. On. yojt, bien quo voué,
n’avez pas vécu cinq ans avec îuj. Je ne
suis- pas bonne, je l'avoue; je ne suis pas;
fondre à l’excè,?^..; ?.
— Cela sè voit, fit observer Vibert.
— Mais je ne .s.ùU p.as Aùsoi ‘méchante
qpe vous avez l’air de le croire. Quand
on ne me fait pas de mal, je n’en fais
pas. '."-'ï-
p — G’ést bien le moins, dit l’agent de
police. . . .. .
— Voulez-vous , m’être très agréable ?
a^outjt Soleil-Couchaat. -
—yoyons? ,
— Ne parlons jamais plus de mç>n éx-
colossé. - ' ’ ; . ' ■"
— C’est entendu, à-dieu,
— Quoi ! vous partez ?
„ — L’Anglais. n’aurait qu’à me sur-
preudre chez vous,, dit en souriant Vibert.
— Oh ! je ne g fois pas embarrassée pour
si peu, fit-elle en Fiaut. Je voudrais bien
qu’il se permît une observation ! Et ma
cravache, que vous oubliez. Il est parfai
tement entendu antre lui et moi, du
resta, que je joqis (ta la plus graqde li-.
bertg.
-r Eu toutes choses;? demanda Vibert.
—••Surtout en toutes choses. Si vous’
croyez que je vais, m’amuser maintenant
à être fidèle à un. homme. Ah.! maiaqon',
j 8 ;sqr%d’eu prepdré; L’hôure de^'caprîeèé
a squné,.et je voua jë prouverais bièar^i-
vous étiez un Dfljj paoiqs ^roid à iadn
mm> ‘ • ’• - T f : :
ençqre
— Quoi.!.jd.ifr-ynbertj-ypus
'•çpiffée de ces’idéçs-là, ' r . . • ,
' —• Tank’ que vous ne m’aurez pas dé
coiffée, fit-eîlé de bâ voix là plus douce. 7
t— Ne .l’espérez pas, dit-il eq riant:
Elle se campa devant, liii et l ui dît i
'—Décidément, tù né‘mètrouves dono
pas belle? ... .. -
— .Admirable!. contraire». ...
—■ Alors je ne ybqs cofoprends pas.
—Je me comprends encore bien moins,
Répliqua t-iL-." ■ . i ' ' * ’
— SerifiB-yons anjtoqrçux d î u^ç‘(iutrê
fom'me?dema.nda-t-eliè .1 : : f •' -, •
’ — Qh! ne p.arlpng pas d^ cela, di]t brus-;
quement Vibeïti, ' " :
— Cette réponse est un-aveu. S
—’Prenez-la comme yoU3 voudrez. ,
yr- .Eb bieu i si qqelquq jour vbus‘pj;iez|
trop malhéureux à causé de cette femme, '
venez me voir; un cloufohaÿgs bîiutre,
assuré le proverbe, . ! . . • -
— Gela dépeqd du clo.u qiTil f^pt .citas-J
ser, sè dit'Vibért. : ’’’' ,v ' ""
XVII
12
Un homme élégant, encore, jeune, dis
tingué de physionomie et de manières,
apres s’être promenéqueiqué teints','^ur;
le boulevard des Italiens, consulté sa;
montre pour la dixième fois de la-soirée,^
entre'au passage de l’Opéra, ÿ açhèté' une
rosé et une ijrauche de illas blanc,, tra
versa; les. hoiilevards,. prend ..lai rne di-j
Grâfotetont» gravit à la hâte troia étages
un. ^lou m i uflnJkaund '
de? plus, charmantes lui sourit et lui tend
ja main. ,
. Qaelqueç. instantf apr^s^. autre
hpm.inè', Pètit, grêlé, cltétjfj.seglis'sé^riiS-
, tafocùt difls.là mêm&matacm efc,gravit qn
escalier de service, en station.uàùfc Sur-
. çjtaque .marche, .pour yofo si. p.erspnqe. ue
ije§cénd «Ôijicçljlpç'.bu pe iqdntèdgî:-
riëre lui. .-J* ” ’’' * ' ,
Arrivé au troisième étage, il ouvré
doucement Une porte qu’il refermé saqs
bruit; il" s’avance pas,à p«s, sixr la pojinje
dù “pif*d, dans un petit corridor obscur,
et s’arrête devant une autre porte dont le
pnqaean ’supérieur, en- verre dépoli, ne
laisse passer qu’un jour douteux. . " ;
Alors il s’acprojipit par terre, Ucherohp
.dans.la. vi.fre le point lo pins - lamiaeux,
.celui où, le verre a été ramène à sa trana-
pàréncë premièî’e il ne'tarde pas’è- le
trouver et regarda avec at entioû.
Un grand .fou de bois qui,flambe jp^çn*
sefneut dans la cheniiriéé ét‘ une lampe
placée Sür une table éclaireut le salon.
■ ‘.'Savarî occupe le' cânàpé’qùi ‘fait faca à
li. porta vitrée. Julia est assise à ses
ÇQ.tûS. - : . [ . • -
' ÊUé est toujours en grand deuil. Ce- <
pendant, si'l’on considère attentivement
certaiae détails: de: sa toiletté, ce deuil est
foqi-us sévere qii’au'refois. La robe, au
liçq,' 4 ’^^ foonjtapté, est-un PPÛ dècpl-
foiflé., ÎJne dentelle apire, recouvre, tea
muJes à J’.çndf.pif QÙ Jlê. crêpe , m’arrête.
.W-iO-it
suivra.)
; 'eb&rd,,««)«! à.q««tre mois
- ' SbV.
La Montagne qui. glisse >
'* , . ..]ShnBS,.21i févri^*. .
•■' -'ïlhisdeo.OOÛperstïMiBSseaont-renduesdaàa
* -la tourné» d’bier tria* ©ftmd’Conibft pour sc
* ■ fendre - compte thx désastre dé la montagne
‘du Gouffre, qui-aeSi^è-de plus en plue fja
. ! poussée; Oé sauver teu* le» matériaux.pos-
• • siule4,,£oit de la-voie téWTO, soit de ■Poutfl-
‘ 1âge cfe- la conefessio» desl-mines -du- puits
' ’ persounés, hommes, eC fêifoues,. qu’on ta
,, diriger sur les-autres,concessions.
.. La Compagnie-das-mine*, fait procédera
* ■ dés : barrages pourpiwer à 1’;Ji.onda.cion-qui
• - pourrait surveuirpar suite du ciéplàcemeat
" du lit'du Gârdpa.'t'te‘gagner,. on le craint
. beaucoup, les autres concessions, folies qifo
’(>-Xebuitede Trosroï. ■' v - ... ' ■ . '?
■ B’après des renseignements, déjà on -1856
.-. des affaissements -de/terrain se août prp-
t "' duitst et. en 1835 oh'.' avait .construit le fa-
/ îJPteux mur de. iéntêsnèment pour appuyer
>.4& base .de 1k.montagne .pEôa'de la, voie
• -ierréa ■ . ' ■' #
.*• 1 Lb glissement va oestitoner sa'mârch#;
^;3a.'grande masfsô glisse -snr le banc dforgife
qui. lui sert die tpeujg|3jpi,. elle! .descendra fa-
l * te/emêpii dansjlft ^;ir.doh et viefidrase,butter
. dans la rnomogae.qui foi.-fait-face; ç’est tfi.
... qn’elle, s'arrêtera,,’Lsé Gardon. forcément
'•changera «on lit;ifcaisf i!' -trouvera \bieh
*'moyen, de se îairë, une glac-e dans la, vallée
I’w.Go»ftre.'
... Quelles seront..tei»-coaséquences de^ qé
• phénomène géologique-?!l est bien difficile
- rue. le- déterminer, tant ‘ que la montagne
’ nXura pas'!trouvé' soû/nqu^.eau point cPao,-
’ pui.Mâisceseràççrtaiaeme^l’abanüonde fa
r mine
■ GardQû. M faudra, frànphir la rivière- qt
7 ' cqnstçuiro uépont très,long, car ie lit dju
(JaifdoflL eat très large, sùjhiçe point, deux
‘ <^ts niètres einvijçq»,.'.'.' . .
:> NECROLOGIE
: f On annonce ia mprt,; ... ...
' • De SI. péaoljHt*.' préÇident. du. conseil
s général «é ea 1851, M. Benoist représentait. da-
< - puis de longues années le -canton de Lizy-
■ -syr-Gurcq au conseil général. II était eptr
‘'-au Sénat le 15 njaçs, 1&9I, à,, là nlort de
’'M. Fquchor de Careife. - •
! .-. Oe SS> Lefortj.scnsrpréfet de Géx-’- ’
: :Tqmû?
IFaits - divers
, • > » *..>.. •... - ; <
ffpe : . (forange; trenvaille. '--i hdlp
- Rosé Gourjean, âgée d’une ' vingtaine d'an*
nées, avait . quitfé , 'fout- dernièrement sop
service auprès de Mine, de h-.-, demeurant
boulevard.Haussm a nq.
Le ünge dé la jeuxip fille ayant été donné
* % là blanchisseuse ; avec celui dfes" patrons
de la maison, elle retourna avant-hier le
chercher,/ • ■-->
“Quelle ne fut pas sa surprise hier matin,
» en voulant mettre up pantalon propre, u’y
trouver dans ia jambe-gaucho ’ un-titré, -dé
chemins de fer eapagqqla, valant environ,
85 0 francs.
Elle s ? en alla faire part de sa trouvaille à
* pon ancienne patronne, puis à la bianchisr
»euse,per.;onne ne pouvait dire comme ut le
titre était allé se mchèr “dans cette singu»-
- lière cachette. :
■' Mile Gourjean l*a.déposé chez la commis-'
•aire de police de Champs-Elysées.
1 Un csri'MC- —■ Hier après-midi, M; Ber
nard, commissaire aux déiégaiion» judi
ciaires, a. procédé àl’arrestâtioa d’ûnMrDi,.,;
habitant "aux environs de Paris, à la;Goür-
, peuve, ineulpé d ! eacroquerie. :
Cet individu avait fait un certsin nombre
‘- de dupes, en sollicitant la participation dé
commerçants et industriels à dès exposi
tions et en détournant leg fonds versés,. "
M. Meyer, juge d’imtfuction, est chargé
de suivre cette affairé.
- Xi^ocsuiSe dans àne voitnret —.Ua
étrange acei
fiérinain, en face du ministère de la-guerre.-
Hné Voiture' d|te s tapissière, appartenant
à un entrepreneur dé déménagement dé ia
arue de Grenelle et chargée decmonbles,
«passait sur le boulevard, quand tout à coup
iun jet de flammes jaillit dé chargement-Le,
; conducteur-sauta à bas dé son’slég : et dé-
4ela à la bâte son cheyaj, car le feu gagnait
-«rapidement. f ' •
- Des passants cassèrent fa vitre d\ra ayer->
-tisseur, et quelques minutes- plus tard les
^pompiers de la Chambre - des : députés, ’du'
ministère de la guerre; de la rue du Vieux-
Colombier et de la. place Denfert-Boche-
treau arrivaient.. Ils inondèrent la yoiture.
-dont le chargement a -été entièrement coa-
-éumé.
On ignore comment le fêu a pris. On sup
pose qu'un passant aura jeté une allumette
'enflammée ou une cigarette - mal éteinte qui
aura communiqué lé feu à la paille dont là
«voiture était remplie.. . .
Cet incendie sur la voie publique avait
attiré, ou s’en doute, une fouie considérable
dé curieux.
A Au Cours des Styljes s. — Telle
fliflîseigflfif, qu'^yaft^hoisiteîip-, j»ée«-:
cïrmt q«ù, il y a q.uelques. tnois,. sjUnsîàllaït
à îtosny-çaus-Bois pty ouvrait un, gommeréo
’ dé fruiterie. - f - •'
Toujours abondamment gàrriie de; nSab-.-L
eh an dises fraîches et •VarîôèB, 1 - la UOuvelie-
boutique ne déserqplissaifc, pas de clients-
' âttir'és- par le bon' marché du à Cours dés
Halles En vertu, dé ta loi des compénsà-
; tmn's', les concufréntâ dur fruitier voyaient
: ïefurâ'hôûtiqdes désertées. '
0r| fà semaine dernière,, ïes; maratchefs
de Rosny, victimes depuis longtemps de
vols nombreux et ayant organisé une : sur-,
Véîtlafrt'èe qui
lemv qui- n’était^ aiitre-qù^ Ifiieureux. frui-
tlérd 11 « Cours des Halles n. —• - - 1
II 1 Ven - est peu fàflu que. le commerçant
ne fût lynché et paç lés m'àcaîc'hers et.; par
les fruliiers de la localité.
sixième, exj.)osjf-on..SèulS,'ltjs l P-Wflufls.d orî-
i j \ i-. ---. .a." -
ïîa faux officier. —* M: X..., lieutenant
dç.cavalerie, attaché an 1 . conseil .de guerre à
Paci% - recevait,- arant-hier . apcès.-midi, ta,
visite «.‘un sous-lieutenant ■ portant l’uni-
forme.du 8 B r?égim.e,nt. de drâgQns, qui lùi
déclara qne, de passage-àParis, il était^aads
ressources, par suite de pertead-’argedt au
jeu,.oL .qu’il venait solliciter-de-lui un so-
- 3 .î
" — J^ti. fait, déclara le visiteur, la cànç- f*
rpagbecle Madagascar^. je?mai nomma Eugène '
Ddaviia) çt c’eat. sur le- champ de. bataille
que j’ai gagné: me» galons» - ' j
Ai. X..., désüreax - de' prèndre quelques
renseignements^'invita' L’officier & se ,pr$-
:sènter le fl.endemaia à ,ht caserne.'' ;
Entre teflipSjil s’informa;à' ia. Plâço et là,il
.acquit la certit>jde. qù^il.'aÿtrtt ;éu;àlïaire-à:
un escroc, le nom d'Ëueène Delavise étant 1
incOTiiî n àu 8° dragons., ‘
WV 'AV M*;»O.UW J ,L ÿ. UUUlcl^
qu’il n’avait jamais été' mflitafre, rnàis.seu-
I®n» 0 At.marchand fies .quafce-saispns. Lés!
affaires n’allant pas, U'ayâit. emprunt • à .im
ami â(X) francs et avait acheté, au Temple,
le costume d’officier avec Tèq-iièl il espérait
sè procurer des mo^epa.d^xi^ence.
Joli_moudç. •— Dçiix çopgfnis, Anatole
R-...-et Gabriel M..,., tous. doux souteneur^,
avaient rossé leurs maîtresses,’ lès deux
aoBurs, et leur- avaient, pris. 8Ü. francs
qu’elles,avaient cachés.-,
Muni»- de- l’argent,' ifs»- sOj çandaient aux
Halles Iprsqqe, arrivé^. g,q,';ooin de la rué
Etienne-Marcel et de- la rue Montmartrq,
U., se jeta sur son compagnon, un couteau
à.ia main, l.a : terrassa, le. blessa grièvement
au ventre et LU prit,Ies3>0 francs.
• TLe .meurtrier fut arrêté quelques pas plus
loin. li a.prétendu qu’il.avait lait ça pour
a d’ailleurs rpfusé daKport^r
rtre
Le. blessé
„ à«?elfes donnaientl'bien yolqn.tiejfs.î’fifgchf
qui lëur a étà.prîà de tokç£7‘‘ r '''- *
R... p.’en a pas" ntôiâs ’été envoyé.au Dô«-
r». «-..O-,
“CçttjmjmiezTos p&abéoai e\« 15-^d.i3% bd St-flernui» ,
T* r*''"'"" ' ' T v '.T'1. " v '
CrazettG < 3 Lul Jour» '|.
»>-~» .Exploit »»-■ sàiaxs^avH. — On a; arrêté,
-h ! er, un. souteneur, nommé Aùçcilste- B..{; gui
f if y a iièux jours, avait grièvement bléssèj'rue
d’Ârgout, son ancienne maîtresse Clémence
Huard* M. Cochefert -a- troijvé < à -son-domicile';
une grande quantité de fausses clés et pinces-
monseigneur, sans compter das plans très bien
dressés de diverses villas des environs de
Par,îs,. qite le, malfaiteur, devait dévaliser cetfe
semaine.
«¥>- nfiRNIKRs àçHOS DO MARDI GRaS. — Nous
avons relaté la tentative tte, meurtre commise
le mardi gras, à huit -heures du soir, boultv-
vard Bonne-Nouvelle, sur un jeune homme
homme Fournelle. . .
A la suit^ d’une dénonciation anonyme, on
vient (^arrêter sept Individus et quatre fem
mes compromis dans cette affaire.
Le meurtrier,.dit « Polo »,.es.t ié seul' de la
bande quf n’a pas encore subi de condamna r
tiou. - >..
r -—« Les çaudrioleurs,,. -y» Des, cambrioleurs
restée inconnus se sont: introduits;, dans là
journée-.d’hier, dans plusieurs appartements
situés'.au quatrième étage de la maison sise
AU numéro h de 1a rue Alfred-Sievens: notam r
ment chez une demoiselle B..., où ils ont prié:
15,000 francs de titre de la Ville de Paris et'
pour W francs d’aütrt-S valeurs et bijoux
Âhez.. d’autres locataires» léq -voleurs ont cm-
porté dés objets et de l’.ajgeht, iê tout s’éle
vant k 15,000 francs.' ’
—- L'accident de M. iÎAt.GUièftW. — L’état ûg
santé de M. Alexandre Pal .il 1ère -fils, qui a été, '
•copime.H0usd‘ayoo6 djt,_ victi.no d’un accident-: -
de' bicyclette,' est toujours très grave. Les
médecins ont jugé jusqu’ici impossible lej.
tyausport.dù malade de la Marti.niére à Claire-
fontaine, où M. Palgulèro possède une ,,pr,o-î
priéto. Clairefontaiue n’est- eepbhdant * éloigné
du l'eu de l’accident que de quatre kilomètres.'
. M.Falguière,qui est rentré à’Paris hier matin;
rçtouramra ce soir même auprès de son fils. T
Pièce anatomique. — Hier matin, à dix
heures, M. Hippolyte, demeurant Hl, rue du;
Cheyalarct, a trouvé, place Pinel, un crâne
hnmaiu, qu’il a porté ch z M. Perruche, com
missaire de police. On croit se trouver en pré
sence d’une pièce anatomique. '
. La personne qui, le 54.-décembre 1895, a
relevé un monsieur qui avait été renversé par
une voiture, boulevard flaqssmanu, au Coin
de la rue Haiévy et l’a conduit chez le phar
macien, est prié de se faire connaître. .
Ecrire à Bru, ; iô, 1Ç, ruo' Etex, 16. - j
r-r-; ! L’Exposition bes proppits français. —
Le copùté de pvopagalioq.de^ produits fran
gine cÿ'de fabriçafciicht-fnançaifS- ,sèrou,t-adnda
à cette exposition. .. ? - , i .
h# êkche. -a Lèà préfèts» Sèrit dùtôrisôs,'
^ stfd fà* dérfiandé' dn sértîèfe' 1 d’in'A^ectïotrpà iù-
■ ferifiëé- dans tous les cofïT , s i éf’éaûV du 1 ' 16- mars
srtf If avril; -fà pêchff du-- brisch'et ét de la
perché.- - .
Mais la pôrîO’dè d v înterdte6on ana'ùèVle du
■ 20;avril’ au SI jiiin comportent dorénavant uûs
exrefrfiotf pouf la truite' dans les affluents dès
' rivières. •
D’ïwfre part, et d’üùè rnaüîérè gphéVàL-, lies
bala ces ddnt fes ànailïëà oht ; * aü' moius-l^
iftîlliitt'ètres . d'écartplnent. sèront * âùtorisé^s-
pour' la pêche ' lié récrévl§§e ( ainsi ,que l’eia- -
! pl’o-l çfercarafes dont là ' çapacité u’éièédefa
pas quatre litres. ’ ' : v : . ; f
Quant au .fagot d’éptees-pbur la mêmp pêche,
if'demeure proscrit, malgré les réclamations;
dé pîusicurssyndicats,’
—f-.- —» '■ ■ 4- ,
■^55“??"
tfwoa
.Opospiratsion réactionnaire ien maçs„ 1896. Ûa;
rcqpfôrence,,faite par les Citoyens-Henri Placé,
Caron et Coilin,sera suivie d’un coneçrt,-; avéc
gracieiix concours^des artistes Ips p.luri aî-
més- de.Ménflmonta'nt. . ; ’
- :..On,- trouvera- des cartes'd’entrée chez- les di
te yen s Héiianax, 39* rue des Amandiers,
Chaussada, 68, rue-Offila;. «
’l *r* .'abl,,»<«A-ûi ,t :
. ^ t*. nr-iff-tnisniâ > (
■ Lire ' le Nouveau^Monde rvd-A[ricaih*
''F1hblmàri0n;-édit.,Sf>it*.Rai!itfév3?f,
. :—r-r —T-— <►’
Lé
Bi vous; Tousses'
PRENEZ DES
BibliagraplXiG
I «
- Notre-Ih%mie*l’Amo iu*; Je ‘nouveaq român
de Jean Aicard, qui viewt î'de ^paraîtra chez (
FiamHMwlon, -met-en- scôna deahnaaeurs de.'
eàvale«-et - de - tauren ix- sauvage«,,< dans le.
'désertdo Camarga -, ce magiqueidécor dgs
1 bords -du- Rhtïne pPôvénçah aiiquèl' l’àute q r
doit Sas- rnspiradon» -les pius^atVacbàntsp.,
Des -passions mipétîiensas-oomrhe le Rtiôqe,
même, des Arlésiennes au protil antiquè,
des courses do taureaux danà -’les-'arenèa
romaines d’Arles, des duels-de toréadors^,
une palpitation de vie dramatique; sous ua
vtiocefloment- de 8oieiL: tei>„eet -,le».njau-yeau
rotha,é do l’auteur du, fioi. .de Camargue et.
4ç l.lf'is bien. _ , *, .” ,
Quelle belle floraison'd’images dans les-
Ch^nssms. de Parie ei.xüailleurs:, par Emile; 1
Goudeau. Elles font couler jusqu’à. Taine
tTivresse ïiés v couleurs', «dêé formés‘et 'dë ifat
inour. Jamais encore le gai poète n’àvait
montré autant- de ch.ftPtïie et d’imùginatiop
que dans- ces tendres - qtjrieASpsrpoésies 'qqi -
feront cet hiver la joie; de lo.ùs.lea safons.<
Ce joli volume paraît'àiiiouri/’hui -chez les 2
éd.fleurs Charpenjtiçp et;FusqueHe^ . !
M-; ;Roné Vigier, l’auteur dUJn. Roman.- d
A’tca;- qui* a causé- une si viÿe • impression, ’
publie aujourd'hui çhexÔliëndpfff iin,nbu r
plainte, et les deux xceurs ont déclaré yeau .tçiuan : Ampdr da Sljve, où il étudie'
uu’ell US Cion.naiônl'. î'jiftn Vrt-ÎGntlhre' I^POtir» h r ’îo' ln'tixx tllftj' noonîji'n J «iran Iinn iMOunnn oil
là Iiitte.dÀ*' passions ;^y-çç- f ^pe,-,yjgAÇ.ùr ef
une”' phissahce d'mnoti'ôn " remarquable^.
Glesfc ; ut» Hypô’ -dbùt :
coup.
• Boiiifèet&ïëiPkitâaqfihie-diijdélermmimiq,
JacquesSautarç.l^nd'je.qnip eçrn'àihd’étofftj, U.-j
vient de puidiô’K "chez les 'éditeurs'Tresse et
Stock un livre remarquable par: la préci
sion avec laquelle sa trouve exposée l’-uni-
, v.ersftlleTnlatioade.causft à effe qui,- d.opiir
naut la:nature, en exclut “tout .suruatura,- *
lisme. L’auteur, ijui s’est déjà fait connaître ■
par une intérêtsaitte ètûdc «psychologique,
Etats d’âme, a le m rite (le traiter des
questions. » >levéea-ea- nue forme simple, en
un stylo clair où perce de temps à autre la :
nofo•émue, Si, ..parfois,-il rudoie la fgsjle^
c’est; parce qu’il ne i% tçq^yè pâs te^e'qUUL
voudrait, éuiancipoe, huiyuine, large de -
çoeur e,t d’esprit. .C’est, avec upe gr8ndojus-
1 te.ase'dé : ^raisonnement qué iVicçivam; après
âyoir;p»$sé en reynê-le;, libre, arbitra, i’aj-
truisme, les. préjugés,, çeiu;fo.i ,social qui, Mns-etre'lë^MirtUUs rêvé par' dés
niYstiques., - vaudra b-éajAgoup ipieux qqe
nolare état actuel, ( .. . ,
;êe,.Bàris. à’obiéhu,. .coùpiië..ik fallait, s’yatteft-
dre, un très" grand sûccés. Plus, d.e doùïe.csnts-'
«qltay,eus,avaient rgpqpfo ,4 I e
pressaient dans^la vaste^sallé, afin de,ppussan
ce cri.de raUlentepi
Au bureau; lê citoyen RoùanQtt.
Christy, secrétaire- Au- milieu des applaudig-
.;,nièr e * iconsfülle?; ..'AftdcPar-
t bù l ?;,.Chi-vaJ.i.e.p,iaic'.,,..réctenwi)iç,éiter5Pque-'
rnepjt la auppressii»» q# ceUe tesembiëe.. réat-
ilfo’ÎÇàiçe» '£%®EBfcvn«tv4rio;
avec le suffrage . unive»éïtflèSâ-KW«f^ts&ê'
r-P-freétùefï à .tayapc^n®iAte^ik5«#q®B0^^ i|à**
, pl.u.s mipiines, et...un«dat)gajà)p©itedft>régiteé
l»teœ#awùîi'^fLïî-'ii l vïfte^n=--i
X l’issue de là réunion,- Pojdre^ù^iourSid-
vaqfcà.êté fo'teijàïùnaaSmS^'îS'acîfe*;- . /J ^-
h» <§tQXéha,:asseiablteJ®-.9%tevhie]|!fte9&^,
ha Maison JuiBeupla- d e-Pari^.-.fc, irapaase Pers,
qanstatentj^, que - la recüia te duî’Stoà** n’est
s pasi la disparition'-du coüfiih qBiî d ! apçai ençe
: politique .est. : plutôt d'ordre» écpntehique,|à
preuve, le rejet- daila- lot ^ir te S a< ' c W® a s du*
travail, le .vota-de. la loi Meolhi-Trarieux ;
Qu’il ne: peufc.y avoir de soiutioa que- pér
Ut dissDluiion du Séoat;, ' ■''fà.-rî .. ï .
a Quhl yta liëu, pour-tes-groupehieats orgf-
nisés, do so conoertér eh vué d’Unë actipn ét
d'une propagande poüri àrrfver à uua rerisiaa
qui ne serait paa seulement politique, ma|s
r qui s’altaqùerait àussL % flâ r foffoé'fociàMaq-
tuelle. ■
•• En conMqqènçé^
- peSj organisés, s’il, n’3 : â t>éS -i^u -dë f ' qftei*"uiîe.
• vi.ste orgapi satiop pêuii' §p’üef' uhé^çajmpagije
’âoiit los 'premiers coups portera-enï, "dans les
; circonscriptions des dénutl^qu^ s>^ .4^:
' jugés aptecond;sç’rùti - h. - ' 1
‘ .’l Lès adhésions sonA^ëg^éfcte^foWfahÿ 116 ?^
à ’ la'Matscm du Peuple (te.’Pàriit ^î -WPas$e
,L - -
-Êft: ténu» inaatesignaimi» toao vatsion ; qi|i
;ve.&op t dQnner;qi^,^^BàsX(S^te#a"s:à l’teji.
..... , T tréo,
. ‘ ■ ’ 1 ■" ' Lgoadnaecialtteesi;-! L'
E+i,
j,^avô.çav FnjEbMAN,.,-TH-, §or.deaime ! ^l,’!ivOi-
. ca.t Alfotuànd.’ Béleflmaflu, dont nous avons
; annoncé hier .ràrrstqtipw,çesteràan.f0i;t dp
HAju.«qu.’à çft:quaiee.. formalités ,4e l’extra
dition soient reurpliav, - ' -5 :
La poste de Bordeaux a’reçu à l’adresse du
; faq* nj^giiU^v^ pyiifc In tfoçfoar
dau dé Craçovie, deux mandats télégraphi
ques, de 50ü - francs chacun, C’.est bien la
: sàmfoe qù’ilaftehjd^Rr L’admiaïatçàiiôn dés*
i postes- ayant reçu. : do Berlin i'avia de ré
tourner les. mandats, l’argent ne sera pqs
délivré àJFriedrnaib. ..
- Sa inaîlresse, Anna Merten, est làisséé-en
liberté, mais, elle se trouva sans ressources ,■:
. Ç'rieçiinan.ne.possédaitau..çiçnieot da^son.
arrestation que 50 foàncs-.qu’ii a parfogés
avec elle-. ••••'* " ■ * • * -t '■ v ■ •
.tteisMit;
•, Çqratre, lcrgteat v .; r" ; i;' ’ i
Maison* nu. Peuple do -dix-seftième abeondi|-
semknt. --- Djematu m. rert-d:, à huit heures et
demie, grand me ting populaire. — Ordre dp -
jour: » Le"Sénat et te..aùîCfogaùniverseL «. -r
Orateurs : Çioyis Rugnos, - . Efoest Roche, O
Mictjtfl; ,Rçus3,eL; Mpçinj fjeveu;. En-
i.cûê.i 2Q,çètttimes. ? v ‘ . - *
Lb’Révkk, ns Saint-Faroeau" organise poiçr
.je.udi. %7 février, à h,mt r hqujços «L demia.du
soir, dans leq 'salons dp Lac ; SaiateFargéau,
. un grand meeting dé protestation, pppuloiré,,
'ayec l’ordre du jour çù^aut:. I* Les, ./nptiées'
réactjphpaiçcé. du. Sénat.i .St' .misiôftf.dft ià
constitution; 3“A Mazas, tes tripoteurs 1
i Comité socialiste réro'utionnaii-è tedôr
pe.nda-vt .dù onzième arrondissement. —, A
neuf beui’ës, sulie Murat, 66, rue Sedaiue. ’
rr? Parti ouvrier f y a nçais.' Çc rcled’ét ud e s
sociales do la Santé. — A neuf heures, salle
î'aris,-y,.8.5 > juiete la Tomb^soicc*
, Maison du.Peuple de Paris, —r -Conseil
d’administration, h, impasse Pers.
J,e%,Na.turiens, cercle d’é.tpdes.-r Aqoafé,
69, ruo Blanche. «— pq souscrit à partir (le ce
soir, pour le banquet- du: sauiédi 59 février:
(cotisation. 5- francs), en J'honnour de Boehm.
-™ Coialtée. adhâreats' du - Comité oen-
|fal socialiste révolutioaaaire:
' é** Lo co nité rôvolutionhAiçndù.l ingtlèmc
arrondiraient et la J-unesse b.lanquisto dp
Paris, adhérents, au Comité contrai socialiste
révolutionnaire, organisent pour ië dimanche
Le drame de Porniohbt. — Saint-Na-
\ Xiire : Voici-des»détails Sur l’épouvantable
drauj.èqua nous avons annoncé hier: -f
M. Bouchet, âgé .âa cinquante et tin an^,-
ancien propriétaire du Grand Café de Sain(-
Naznirç. h.ab.itait ?o.i;fliçh.çteavçc.Sé fçnyn,e
■ét ses deux filles depuis qu’il ayoit yepdu
sou- établlsseijtéit^ ' $h ^Ifo alhyê, àgéq 4e,
seize ans, «• tait «h "pension â- S'aint-Marc';
son père l’avait fait sortir hier'et amenée *
avec lui»à'Saint-Nazaixa. ” [
Yoré neuf .heures, du, spîr,jBouchat. s’est
rendu'dans la chambre des enfants'et les a:
tuees de deux coups de revolvor. Au bruit
: des détonations," Mme Béùchët est’ accou
rue; Deux coups de fou. l’ont atteinte à soji
tour», et là malhearéusig famine est.tombée
- ; bai§flée:dansspq.s^ng.; . .. -- ;
. ~ Lé tfjplç,' crime accompli,- Efoqchet,p’esf ’
■ tîr§-trois balles dans la tâte.-- La soeur dp
: M ineïMoüvbet,- qui habilait dans :fa maison; ;
a échappé à ce massacre. Elle a dû énfon- .
«en; la-.porta extérieure poar'aller cherohér
du secours; • , ■ ■ ’ ‘
Ou se perd en,conjectures sur les causes -
de cet horrible drame. Mais elles ne peu
vent tarder â être cOnuues, l’assassin ayant
laissé une -lettré fermée' avec l'indication
suivante : -■ - - ;
* À ouvrir.après ma mort, en proseucç :
do MM. Auger et Eaiilutier, a. moins qu’ils
ne refusent. » . • 1
■ üii second , avis. trQùv.é. également dans la '
poche du ■ meurtrier était ainsi conçu î
«. Prière à Miné. îft direçtricé dés pôsiéàde
foiré parvenir la correspondance qui açri-
yera après ma.mOft, k M- .Qalh^Ohrfl, avocat
à S.aint-Nazairç, » -'' - -
„ DaiftiEEMME'QUI "ACCOUCHE dÉdEUX CHIONS,
— Annecy ; Mme fo.,éu Val-u’Ajol, '-vfon.t
d’accoucher de deux jumeaux de la race
canine. La sage-femme a refusé l’accouche-r.
ÊSt ÿ/eit. Aa- Zyçtiiit'- È’rièùà : Devfx
" ffâVfres dé la floïto isrân;dâisè,'.fô toptari et
la Marie-Jeanne, quittâiétif 'CëS jéUrâ'def-
i- nier§ le ,i>'éïî de Dahoiïet. Arrive^àu îargé
dans’la’bàié de Pélm-pel; !ëâ. rtihVifls’dé la
Mdri£-Jaanné étaient Cduchéë, Hjrsqu’dn
homme àe'tÿjcsrt âperçüt''utie'épâissé 'famée
'Sdfiânt d'u' poste où ddrrhàit l’éçfuipagé;
donnant imméfliatemierit l'àlhrihé; iV éveilla'
ïèé - màfïn» ’éndOrmi^ - qui 1 'se- pfècijpit’èreàt
sur le pont. ■' '.' *• ’ ’
; Ce’ capitaine; ‘ en' fateafit 1 l’appeî ‘dé ses
hommes, reconnut que le'maitèrot Rouillais
tnfonqûhSt;‘ i teafe''«ïùi séîfàîf assez èémrageifx ;
po n r d esceitd fé * dàtisle' pOsfe - sa m ïîieu dès-
‘ fia'ifirriës' - et;'de'la' fumée; afîh dé porter se
cours an malheureux matelot ;
1 'Cèpériîda-nfrua-'nwvifco 8 ,. dom'mé^îiéyêquè,
se, présente• au capitaine et 1 aNHîsnSs
"le plüa jeune,'C’est à moi dè passer lè L pré-
mierl » Et il descendit "sans 'Hésiteef nfaiis,
' biènfôt àspHÿxiéî^i'tomb'a preéffité inàniniél
a.u fond du poste. - • ;-= ’ '
1 - Trois autres'pêcheurs désèendirent,à leur
tour pour porter secours -à leùrs'deux
çdmpâg nolïs ; ; tfe- parvinrent' .if retirer, lb
jeune novice, qui, ramené sur' Iç;;ppnt;-Vë-
’prit Se» sens quelque^ instâhfs^p-i’û3‘ : tard ;
quant, au malheureux Rouillais', lur aussi
“étaitjfomshésiir'fo'pbht;''mais it’était Ehort..
Pendant ce temps-fâ,' je 'Copions, qurnavf-’'
; giiaifr dans fos. mé .néâ- eaux .que. ' la Marie-.
rçnj, à éteindre,
i 'Le aâvil'é'mceji'dîé à dû' relâcher à Paiin- ,
ppl, où ont eu lie.u les obsêquès dér-plhfbij-'
funêito'utlïaiS .'■ *
. ETRANGER, : ■ ■'
, TùRWBUi bourrasque. Adélaïde .- Une
très, violente-, bourrasque s’est abattue., sur-
i ta velle. Vue egHdè aété détruite. Des trauj-
ways ontitA jaiés hofia d,es, rails ; des toi
tures en‘fer ont.çté. emportées par le vent “
Bien qu’il ait' à la disposition de. Faut} Cinq"
Marguerite, l’Opéra a' été,'hier, sur le point (je
faire relâche. , . . ' . .
Mmes Caron,; ' Bpsinonj Berthet^"-<;àrrènê,'
étaient toutes ma^Æ®^;.:'c’est la,, cinquièmé,
Mlle A lams, qui a. chanté le rqjp, ay.eç,beau
coup de succès. ” ' ' ‘--
A la' Coiùédié^Françaisa, hiefo lecture ’aqx
artistes-de Manon Rolartd; comédie; dramati
que en quatre actes;, en' v’ers,' île MM>' Emifo
Bergefo^'feé-^'fîjilte'^e'Sàihte-tÇrcixR'
t: ' "L.a'*!jistrîBùtro'!i de èét oiivràgo U’est pas en
core complète. Cependant, nous-pouvons,dirÿ
'qùë-'lé rôle dê'Mme' Rôlànd""ésé éoflâ .à, ijnie
Bartet, celui.de; Roland. à ,M. Silvain ,et ççlur
dù bolaiùst- Boscq. a M, Pru Ihbn.
' C’ë3t‘M. Wor.us qui’ mettra, en scène la pièqe.
de-MM. Berg-rat et SaintebÇrofx. . : .
Aujourd’hui aura Ivu la foçturë d’une.pteqe
en-trois actes, en vers, de M.; Jean Richepin.
Tit^e : 1 e.Chemineau.
Les Deux Gosses, réclatânb suECès.de l’Am-
bigu, sont » tassés » maintenant, comme, on
dit ens/yle da théâtre,. La pièce»fhüfc .depuis
hier A minuit moins dix.
• v.;- y x:.~ 'f F “ï j
A l’Opêra-rCpjnjqufi, la première.représenta
tion d’Orphée, annoncée, pour^ vepdçedi. çrç-
-chàin,-est ramisa -audiindi S-riiars.' ,
Vendredi, or donnera Alanon.
A la Bodlniôre, aujourd’hui : ;
A trois heures, conférence de M. Maurice Lq-
r .fevre, rr. Çrc.mtera aifoitjou te^a <3wa»aa',cff* s
joujoux, mhsiq'ie. ôq, mm.. cUudjus, Blanc çt
Léopoi i Ùauphin. Interprètes: Mme Jeanqe
Rsjiiaole et M. Isnardon. Chœurs d’ nfants. -
/' A quatre, heures et. .demie,-:. Pwi*-4utotnq-
bile, - '■
Nous appreppna avec ùh vif resçet. la mort
fie. M. Aifr -q çi.aml’un des auteurs dijs, .livrets
de Salammbô ê( dEtolarmonde, qui' a iacÇoihhé
à une piieuiionUe' Co.upLiquée cia. coiigestio'n
cérébral -, dQ>'lj. il. avaitnté atteint à Bruxelles,
où il étaïf! alfo.assister, à la reprise du ’ Tanny
haussee. Ses obséque.; auront lieu 1 aujourd’hui
à Bruxelles. - - • .
M. Alfred Blau — qu’on déeignait généralq-
mcrïl sous lê sobriquet familier - de «Baül».
rr- était qqé figure .parisienne bien, conçue &■;
l’Ojiéra ■•ët dafis toùs.les'théâtres;.* ; y.f 1
'-C'était un-brâvè et loyàl'camarade, très spi
rituel, dont l-inteUigeuce était certainement
. supérieune.aa moflçiste ..I).^gag^-litiérg,ire qu’il
tejgse.'eii ’mpuràij{. i/ ;.j,r.pt-.i{t le. qpusin de: M -
Édouard BÎaù, l’homme de lettres bien connu.
Mlle Mejçy,.la pharaiaptp àrt-isie du.' Vauder
ville, dont on u’a pa« oublié l’originale créa
tion dans MadameSuns-Genë,vient dé remplacer
au .Gymnase, dans Marcelle,. MRe-Uosa .l^rücjc
et a obtenu un très grand succès; '■ •
Le théâtre des Poètes donnera irrévocable
ment, à, la Couiédfo-rBarfaiepn.e,. lep .6, 7* et 8
; març(répétition 'générale, représentations fé- •
riè A et série B) son spectacle composé de lp
Jeunesse de Luther, drame en deux actes de M.
Albert Eua, et ParHœs Zu l eil.a,' légende en finit
tableaux ■ ii vers, do- M. Gabriel Martin, —r W(.,
(iharJes tè^er sîesttrouvé retardé, par suite 1
des travaux de la Uomé iie-Parisienne et d’en
gagements de MM. Taillade, et,.Go^|aq : .et- df
Mme Niù... r-.L.èspe£ta^e'suivaut;co.liip.éàé Bq
Grand Galioto, drame en trois actes avec pro
logue, c(8 M. JofXiEchêgaray, aura lieu le St
Vi-i'r.li /î . lit! - .‘îM 1
Qiîeîiiifeÿ jbii'rpWnjf-ont 8 erreur
qu’un commencement d’incendie avait détruit,
au thêatr'é’ Déja'két! une partie" dès décors dô
là frtè'éë' nouvelle.- -H» n*én est' rien' r 1, tout s’est
bérin'êâ'dhîféir de? paille, ce*qiii’ n’à’ pàs émpe-
ché le public de bien rire, le SOîr, aux folies
dur Vôÿa'ÿë àr Venî&i r .
'-Le'programme du Cirque d’Hiver se corsera
jeudi-.dJurie». attraction" sensationnelle r la
domtesse.de Xiü et, ses- Bons. - .
Robert;. Madaire,- la ■ désopilante pantomime
qui atteindra jeudi sa cinquantième-repré-
Sentation,i. .
de X... jüsqu’à épuisement de succès: '
Demain mercredi, àquatre heures,-à» la Bon-
bonniéPa audition- des. /ouvres de M, E. Weil-
1er. — Conférence, de M. H. -Valbel. ,
fînâ jaùne'efrtrès* jolié actrice dé Neùr-Ÿcfrls,
Mlle' Nina Cadix, vient:• d’avoir' nna idée pour
‘le- moïns'originaie'. * - "
Cette jeune personne, qui possède de» dents
admfraWesj pâraf-il; à Imâgi'ué . de s’en faire
évider une sii.f. fo devaùt'pburiiy anchâssçri un
1 diamafo'quâ'fof 1 scvàiV ’adiréssé ces joûry dep-
niers un de'ses’âdihii'atfeuÿst • ’ ’
‘‘"Proïànratloéff 1 '■ ' -s ' -' >'•
.a»y »; ô v V.-r - ’, •
i GOUTTES SA! NT-M ARC
.OéRjJT>ttff^>éhjteI des viepa du sang, le plus .
• : âctircoqnù,.TQut.eapbàrraacios;(y6irh»{jago).
Homme marié, sérieuxl -actif elfatùolli-
. gant;., muni de. très.bphs’ certiflaats. efcd’ex
cellentes références,; "désire- emploi aux
"foçritixres, snrveiilrtnt, insperteur-ou. gérant.
L. Quéruet; 33, rue-Spaibro-etrMeuse;
■ . - VEtbciPEDlE
f . • r.- s- ! : ■ ;. - - . —fa-,- - , •- . - ; ,
AO VÉLODROME D’HlVfiK.' — Voici 1©- prO-
granHiiefoes courses qui seront données, di
manche prochain :
îv Handicap (910 m.): Entrée: 1 fr. Primes de
J 10? fr; aux- gagnants dès séries; de 50 fr; au
meilleur temps, s’il ne dépasse pas 1’- l(T’.
•Prix i lSOj .93,‘75-èt 50 fr. ' '
Course d’amateurs- (1,G00« m.);' Objet 7 d'art et
mé (ail es., .
' ‘Match Sur 5, î et S Rily Jacquefin contre,un
tandem.
Course-de H)-kilomètres avec ' entraîneurs.
Par séries de ,5,0ü0,m. Prix : 600, 300j'500 et’106
francs. • v . ^
***;L’Ui«on' prcius-ra de, ERAjtçÈ;.— M. Léon
..Bourg ois,, min istro de.lüot&çieup,. vient .d’ap
prouver les statuts de l’Union cyclistq. ; de
■ foajn .ce,, la hOù .vel lp férdôralion: cycliste, .
.-**# A, QVi de.pant?'— Ou annofica de New-
'Ÿork ’qu’nh '’cÿcliste : de vingt airs, pesant le
respectable poids de.515 kilos, porte, un’défi à
‘ tout cyclisté 'da son poids, - pour ii’impqFte
.quelle distance et u’iiupo.rte quel.enjeu., - -
" Il est peu probable que. ce-défi, original soit
relevé^ Ou ne çéneontre pas, tous leajoufs de.
cycliste d’ug pfoejl poi.dà,< .; . v - :
VALVE G1FFARET
La chambre de commerce vient dé faire
remettre a M. Clément le titre de la récom
pense re'fiippçtèe, éç 18%, èq Italie, par la So
ciété des vélocipèdes Clément.
Ce titre est le Grand diplôme d’honneur, la
.plus.haute .récompense décernée à,notre,in«
. âuftrié oatiP.uêle., ' ' , !
P. Vaboatraiu.
Il,—. —i., , , t ,
mÛlL ET TRAVAILLEURS
filousrQpppI.QoyaupciçiriiQecttfans ouvrières que
eûtes leurs com n-nicnSiont i
Lescommanicatiois des syndicats doivent itre
eviiues de teur cachet et si] nies is
COMMUNICATION * .
Chamêrb syndicale des ouvriers TOURNEURS
Etj optique:; —r D-'inain mercredi, à huit heures
et de diie, sa'le de l’Harmonie, dit, rue d’Angou-
lême,:. -assemblée générale trimestrielle. ' —
Réouverture de la'Bourse du Travail.
Réunion d’aujourd’hui
—. Aux. ou vriers, eu vpiture. Cç spip, i
. huit, heures, cours fifo;!. dq, ufonràg:', U,j ave»
nue .des .'Ç^îùes, et 35, r.ue Üçs.AinâucUerâ, '
Pour-toutes les.communications ouvrières, j
V' ' ‘ 'f-, *'• 'ÂG. Parfat..'
' S.ecitoyen Ad. -Parjat sa Mentira A la
disposition i des déléç-üssd.oa’ «y» Méats
ouvriers et g-roujfos. eorjtoiratifs. tous les ,
spir%..'mav Bureaux de'. t’I.'Br»A.VSâ- ;
ttEANT [t4A,‘rue AfeatnBatrtrè), dé seÿA
ù huit heures.
im itteüi Mfm
ANNONCES ECQM O.VlîQ JES N
- . OFFRS3
' ‘ -,'CB : rtè»ian'ie: ■'. t
.line institutrice R,.étrang, liéfqri axig/Bopua.
condit." Mme Delon, 133, boulev. Sébastopol.
ij De très bonnes ouvrières, l.foiî.erie de sofee*
r céteasfiffi Bfossé' r * ^ r 4l?- Geoffroy-Marie. ■
uw?iàaiiiW''“’ ll| i , '‘^ewa?«->'maHag5Mzjee^sgmBg^aBHBMM»EEgæaga8agaBa^MaB8^HBSiaagimaMa^a(ii(»»iMgOTBa^
FEUILLETON DE UINTRANSIGEAN 7
71
LÉ DftÀStE
DELA .
. ; ‘ ^''Çî’ès't. 'Î5rt"j'’asfé,^diCVîbêrt ‘;"''tü".e|i-1
; tends parfaitemeat le libre-échàtige. > ? 7 (
y 5 — Vofls voyèï oettç jolie cravache avèc î
Luamaoebe Ma ajouta SoleU-Gcfo-1
c hant j- ç’ést lufoguhnae 1 ’^ dOQaée c hfo|’; |
jet je ue lui ai jpas
.4erais..:.;'-îvï:---' ; “ .'.-.f 7 .:.- ■. ' ^ f-; ]'
—: Tu as l’intentiou de... dit Vibert,
en te mps preudrè de l’exercice aux dél-'
pens de ses épaiffes. Il ainxe ceîa, dû reste^
JlL^ît^'-Sôs ’anài|‘|; ; :
U Eii© aifodore, cette ; peti : te Fraaçaise, ellè -
rpèbat-eommeplâtrelM i/j-
> Tu ;^ e; preuâis pas 1 aussi gatëmentj
j j|t Qhéfiÿver Mihpf’L fos petites correction|
que t’aâjpimstrait Langladè. ■
,-Oh! ne me parlez pas de ce butor,
-fit ;SoleilTCouçhant. Jç fié puis pas pen?
aer a lai sans frémir. On ne le juge donç
• fiExceljent petit cfour de fepi-nie, se dit
à part lai ragent de police, et c’est pour
ces charmants êtres-la que, le pîus sour
; yent, nous paasone .pptré vie à travailler j
*et?â souffrir. »
11 reprit à haute voix :
foêfeprocès viendra ffarfo ?
une quinzaine 4e jehra. ,
leil- Oonc fiaa t ; je pe gérai véritablement 1
^ajagqi}Jfl! ; qii’aprés sa condamnation, j
iiiiqae:I4. j'ai Jtoajftyj’â.D.QRRa^’M, pe s’é->
tae‘toute ma vie; maintenant, c’est moi ehappe. J'ai rêvé cette nuit qu’il prenait:
liuibats. *-î> ■(- - .V? C tour-'
m 1 LA PAIX
• i .. s ,y ’ ■>. - / '*
PAR.
ADOLPHE BELOT
L> euxième partie
• ■, ... r., -..Z ■ ..... t
? ' ■ * * «• — - .Vv riT. ..
XVI
^ . - I, -'V;' - 0UÜÿ - --
rr- Pas si bête! ÇfostJ’Anglajs qui est en"’
ma puissance. SL vous saxiézçpniHiejeJé'
fai&aUnrJ Vous.noiftprenfix, j’ai êfo iiat-
noyér aurdessus de sa tête, et lé lançait
par la croisée, l’était 'drôle,- mais celà
eomprométtait singulièrement mon ave
nir. J’ai un mobilier^ mais je n’ai pas en
core de .rentes. ■
—x Tu on auras, dit Vibert, je ne désefo
père pas de toi. ’ ! ‘
— Ni moi non plus , je serais-joliment
à mon aise, si cet affreux colosse pe «fêtait
pas approprié cinq années de ma Vie. -
—-Alors, tu ne tiens pas S ie voir?
**■ Le voir t'.'.'. Ah I.moa Dieu I fit-ejje
en pâlissant, est-ce que vous lui ayez en
core promis ?... Ce serait une indignité ; i
qu’on fasse de moi tout-ce qu’pn voudra,
rpais cela. “ !
— Galmez vous, chère amie. Langladè
3 .erait heureux de votre visite ; mais nous
ne vous contraindrous pas à vous rendre
chez lui. . ..
— Oh! merci, vous_rqe faites du bien.
— Je lui ai simplement promis de lui
doimer de vos nouvelles.
— Vous lui direz que je me porte à
mei‘veille, que j’engraisse, que je prends
des couleurs, que je m’amuse comme une.
petite folle, et qqe j’aj pour aiqaüt le
plus joli des Anglais lq,ui «no rend la
plus heureuse des femmes... Voilà. S’il
n’est pas content, c’est qu’il ne m’a ja
mais aimée. Me promettez- yo.us de lui
' répéter tout-cela ? • . .
— Non» dit Vibert -^qvgnu sérieux.
Ce seyait v^i*ep -®éftiyq noar le - pauyre
diablg. • ; ‘ ; • : ‘ •' *
- — gu-omlf
Ieil-rGoucbant. On. yojt, bien quo voué,
n’avez pas vécu cinq ans avec îuj. Je ne
suis- pas bonne, je l'avoue; je ne suis pas;
fondre à l’excè,?^..; ?.
— Cela sè voit, fit observer Vibert.
— Mais je ne .s.ùU p.as Aùsoi ‘méchante
qpe vous avez l’air de le croire. Quand
on ne me fait pas de mal, je n’en fais
pas. '."-'ï-
p — G’ést bien le moins, dit l’agent de
police. . . .. .
— Voulez-vous , m’être très agréable ?
a^outjt Soleil-Couchaat. -
—yoyons? ,
— Ne parlons jamais plus de mç>n éx-
colossé. - ' ’ ; . ' ■"
— C’est entendu, à-dieu,
— Quoi ! vous partez ?
„ — L’Anglais. n’aurait qu’à me sur-
preudre chez vous,, dit en souriant Vibert.
— Oh ! je ne g fois pas embarrassée pour
si peu, fit-elle en Fiaut. Je voudrais bien
qu’il se permît une observation ! Et ma
cravache, que vous oubliez. Il est parfai
tement entendu antre lui et moi, du
resta, que je joqis (ta la plus graqde li-.
bertg.
-r Eu toutes choses;? demanda Vibert.
—••Surtout en toutes choses. Si vous’
croyez que je vais, m’amuser maintenant
à être fidèle à un. homme. Ah.! maiaqon',
j 8 ;sqr%d’eu prepdré; L’hôure de^'caprîeèé
a squné,.et je voua jë prouverais bièar^i-
vous étiez un Dfljj paoiqs ^roid à iadn
mm> ‘ • ’• - T f : :
ençqre
— Quoi.!.jd.ifr-ynbertj-ypus
'•çpiffée de ces’idéçs-là, ' r . . • ,
' —• Tank’ que vous ne m’aurez pas dé
coiffée, fit-eîlé de bâ voix là plus douce. 7
t— Ne .l’espérez pas, dit-il eq riant:
Elle se campa devant, liii et l ui dît i
'—Décidément, tù né‘mètrouves dono
pas belle? ... .. -
— .Admirable!. contraire». ...
—■ Alors je ne ybqs cofoprends pas.
—Je me comprends encore bien moins,
Répliqua t-iL-." ■ . i ' ' * ’
— SerifiB-yons anjtoqrçux d î u^ç‘(iutrê
fom'me?dema.nda-t-eliè .1 : : f •' -, •
’ — Qh! ne p.arlpng pas d^ cela, di]t brus-;
quement Vibeïti, ' " :
— Cette réponse est un-aveu. S
—’Prenez-la comme yoU3 voudrez. ,
yr- .Eb bieu i si qqelquq jour vbus‘pj;iez|
trop malhéureux à causé de cette femme, '
venez me voir; un cloufohaÿgs bîiutre,
assuré le proverbe, . ! . . • -
— Gela dépeqd du clo.u qiTil f^pt .citas-J
ser, sè dit'Vibért. : ’’’' ,v ' ""
XVII
12
Un homme élégant, encore, jeune, dis
tingué de physionomie et de manières,
apres s’être promenéqueiqué teints','^ur;
le boulevard des Italiens, consulté sa;
montre pour la dixième fois de la-soirée,^
entre'au passage de l’Opéra, ÿ açhèté' une
rosé et une ijrauche de illas blanc,, tra
versa; les. hoiilevards,. prend ..lai rne di-j
Grâfotetont» gravit à la hâte troia étages
un. ^lou m i uflnJkaund '
de? plus, charmantes lui sourit et lui tend
ja main. ,
. Qaelqueç. instantf apr^s^. autre
hpm.inè', Pètit, grêlé, cltétjfj.seglis'sé^riiS-
, tafocùt difls.là mêm&matacm efc,gravit qn
escalier de service, en station.uàùfc Sur-
. çjtaque .marche, .pour yofo si. p.erspnqe. ue
ije§cénd «Ôijicçljlpç'.bu pe iqdntèdgî:-
riëre lui. .-J* ” ’’' * ' ,
Arrivé au troisième étage, il ouvré
doucement Une porte qu’il refermé saqs
bruit; il" s’avance pas,à p«s, sixr la pojinje
dù “pif*d, dans un petit corridor obscur,
et s’arrête devant une autre porte dont le
pnqaean ’supérieur, en- verre dépoli, ne
laisse passer qu’un jour douteux. . " ;
Alors il s’acprojipit par terre, Ucherohp
.dans.la. vi.fre le point lo pins - lamiaeux,
.celui où, le verre a été ramène à sa trana-
pàréncë premièî’e il ne'tarde pas’è- le
trouver et regarda avec at entioû.
Un grand .fou de bois qui,flambe jp^çn*
sefneut dans la cheniiriéé ét‘ une lampe
placée Sür une table éclaireut le salon.
■ ‘.'Savarî occupe le' cânàpé’qùi ‘fait faca à
li. porta vitrée. Julia est assise à ses
ÇQ.tûS. - : . [ . • -
' ÊUé est toujours en grand deuil. Ce- <
pendant, si'l’on considère attentivement
certaiae détails: de: sa toiletté, ce deuil est
foqi-us sévere qii’au'refois. La robe, au
liçq,' 4 ’^^ foonjtapté, est-un PPÛ dècpl-
foiflé., ÎJne dentelle apire, recouvre, tea
muJes à J’.çndf.pif QÙ Jlê. crêpe , m’arrête.
.W-iO-it
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