Titre : L'Intransigeant
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1881-10-09
Contributeur : Rochefort, Henri (1831-1913). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32793876w
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 09 octobre 1881 09 octobre 1881
Description : 1881/10/09 (Numéro 452). 1881/10/09 (Numéro 452).
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Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol Lc2-3980
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
LlNTRANSIGEAN^
rait èntiôrementj paraît-il, sur l’aiguilleur 1 j e boulevard de Cliçhy. S'asseyant lourde-
aui aurait ouvert le disquet avant que la voie 1 ment sur une des banquettes, la belle pe-
lût complètement libre. C’est donc la Com
pagnie du chemin de fèr du Nord qai leràit
responsable, la gare de Pontoise apparte
nant à son réseau.
Le déblaiement de la voie a commencé
immédiatement, et à’neuf heures et demie
la voie était rendue à la circulation.
Raison duPOKT'NEU È l’EIbsuf ComultU‘biw29^
GODCMII vfsiÿÊF 5 „.
75
Faits divers
' L© temps, -r- Les hauteurs barométri
ques sont supérieures à 770 mill.. dans là,
•plus grande partie de l’Europe.
En Russie, elles surpassent 755 mill. pres
que partout et dsrfis les plaines du :.çétttrtg
atteignent même\78Q milL V' .. . ?•
Au nord-ouest 3 e cetfé aire, d’une impor-'
tance exceptionnelle, la; pression diminue
très rapidement: sous l’action d’une forte
bourrasque, celle-ci occasionne une baisse
barométrique de 19 mill. À Bodo et de 11 à
Stomoway, en même temps Une hausse de
température a lieu sur les côtes-de Nor-
wêee et d’Irlande du souffle lè vent du sud?
ouest. ■
Au sud existent également des pressions
relativement faibles,'elles maintiennent un
temps plqvieux en Algérie et en Italie. , „
Variatlous atmosphérique* d’hier
Theures.du matin.,..v.,7 s auTdessusde 0..
"II/:,.' ,f V' 9» ~ , de 0.
8 heure de l'après-midi IA* •— de 0.
, ,. Uautéup;harométiique : 775 mm. .
, es, W'~. ' -fï: r K5 1 f Çi'n?
• t * ( g. *
Tentative de menrtrc. — Des garr
: diens de la paix, ep: toumée de SerVice hier
au soir, vers onzetieures,' bonlévard de là
Villette, ayant entendu appeler au secours,
s’empressèrent de courir vers l’endroit d’ou
partaient ces-appels désespérés ; ils -se trou—
vèrentalors, en présence de deux indiyiqus •
dont l’un, étendu sur, la. chaussée,- et bai
gnant dans son sang, semblait en proie a de
vives souffrances. L’autre, un couteau tout
sanglant à la main, et contemplant la vic
time d’un air farouche, i se,.tenait debout a
côté de celui qu’il venait de frapper et ma
nifestait* dans un langage étranger, ses re
grets quÂJ. , strri.véwsubite,4esi f agontes
^pêciiâJtd’achever Je mpriboad». jtki»** J ■ -M
Voici ce qui s’était passé :
Ludovico O..., âgé de trente-deux ans,
d’origine italienne, , ouvrier frappeur, s’é
tait pris de querelle, ( dans la soirée, aVéé -I e
Ùàimméde fiujix
lui et exerçant la même profession-. La dis-r
cussion ayant pri* naissance dans un caba-
f retdu bèulevardji Ies 4 éuan®*w«er* durent* «
sur l’invitation du débitant qui craignait
pour sa vaisséllë, quitter l’établissement et
aller vider leur différend sur la voie publi
que.
line lutte corps à corps s’engagea entre
les deux querelleurs, et Ludov.ico, sentant
que son adveçsairprétaifcplHa.Yigoueenx qujfc.
lui, s'arma ite son couteau, en ;bor»' Italien,,
et en frappa le malheure^ ^pleins
poitrine.
Alix cris du blessé, les agents, accouru-
a-ent et te meurtrier fut; conduit-, au. pôsteï
Quant au blessé, dont l’état est-grave, il a
tite sur le retour, car nous avons oublié de
vous dire que la donzelle frise la quaran
taine,héla le garçon, et demanda-ùne tapette
d'eau daf.
-r- T’en as $a« assez donc, vieille édentée !
Plu* souvent "que je lé vas servir l
Ces gracieuses, paroles étaient 4 peine
prononcées que l’ivrognesse -s'emparant
d’un bock qui- traînait sur une table voi
sine, le lança à la tête du malencontreux
serviteur et cela avec tant de violence
qu’atteint en plein front lemalheureux
s’affaissa,.perdant sonsang par .une horrible
blessure.
Pendant qu’un médecin était appelé au
près du blessé, dont l’état est désespéré, la
trop vindicative- Héloïse était conduite au
poste. , . \ „ .d .. ~
.Agression Doetnrne. —.La- partje du
i bçuiev-ardt Jtochechouart, q»r confine A 14
■ ehaussééCHgnancourf; est encCâùhrêfe; 6 ha-
que soir, par des individus, Alphonses de
barrière, n'ayant d’autre ■ métier que celui
de guetteurs nocturnes et de croaheiewre
de serrures. Quand, cependant, ils ne trou-; \
vent point à utiliser leurs aimables talents
de société, ils se rabattent sur leurs chastes
compagnes qui,,«lies, ne-phôment jamais.
Les mameureusés; doivent;, alors obéir, eflte
tons points, à leui% f seigneurs et maîtres*,
même-quand ceux-ci leur imposent 'vin
crime à commettre.
La journée, d’hier n’avait pas été fruc
tueuse pour une de ces hétaïres, l’heure
s’avançait et Monsieur, faisait une- de ces
têtes qui présageaient, en rentrant, une
scène dans laquelle Martin Bâton jouerait
le premier rôle. Le diable sa*iva rÀspasie
des fureurs dejon grincheux seigneur, en
envoyant i eelfe-ci un passant que l’ivres
se rendait peu . difficile et -qui accepta les
propositions que lui fit lahelle. Le couple
se dirigea vers un -de ces garnis borgnes
qui pullulent dans ce quartier. Mais, à pei
ne, l’une tirant l’autre, L’homme et sa com
pagne eurent-ils -pénétré dans la petite rue
sombre où devait briller pour l’imprudent
fétoile du berger, que deux rôdeurs* le
maître de.ja fille et un sien anii, se ruèrent
sur 1$. malheureux* lo terrasSérent rseas,
peine&e| 4àü |i4^»^NMa^'bulfA'»s^.-|(»rite3f!>
. monnaie, idus les Objets de valeur dqntl il
1 était yportéu». Buis ilgipfatonjt la fuite,îlaié-’s
sant l'i vrogne geignant Sur ïë pavé/bù lîTut
trouvé par des agents.
mandé en toute hâte, ne put que constater
la mort.
En face.de cette mortsi mystérieuse, l’au-
tppsie du corps a été ordonnée et se fera
par les soins des médecins attachés à la
Morgue,;oùle corps a été porté..
Départements et Étranger
VÆA.&^A.SXIT'S SS
été transporté à l’hôpital le plus-voisin.^ I dut., é.tre .transporta 4,.1'hôpital, Saint-An
* ~ U . * - , f toine. - -
,. : Les -ffzremr*
• mode ’dù tout, ià douèe Héloïse B..., de sa
profession couturièqa* pUAè&sion-.durôsto.^
nu’^Uo n’exerce plus depuis longtemps, ■[ ,
. I ^aafJ^oqnéfcaeêtee-'eeil^phw-htijrattv^'pêsrencoreërcoïtoaîïrfe
de.coureusejd’aventures.i Disons cependant I,ri ir >rfivîrfi, h.ihîiie
• qu’çll-
l%as
de coi .
qu’à jeun elle, n’estpas; ,l , »iniabl*rSHe, plus
désagréable que la plupai't de ses 'pareillés,
' meirf il aeè 1 /vîw fl’uri «fi*» fin m/>zna,./uum , fJ
il est loin d’en étrq..4o même, quand g-yrea, 1 ’inepnuu. but
de l’alcool obscurcissent* son F bouteille
mais
ries fumées
; cerveau.
Donc Héloïse se trouvant, hier;hii «>ir,
dans cet état d’ébriété qui avoisine l’ivresse,
entrait en titubant (|uelque|peu dans ub 4e
ces établissements interlope* qui peuplent
■ -Vis Rafhrapo|il:agc,—Un nbmMé'G;'..,
âgè Ôe^O-ans,. menuisiec r «n voulaitdepuis
quelques jours déjà à son camarade d’ate
lier, Jean H..., qu’il soupçonnait de lui
avoir nui dans l’esprit dut patrons A-main?:
tes reprises déjà il avaié déclaré ^quHi-sC
vengerait de son camarade et que sa ven
geance serait terrible : elle le fut,-eu effet.;
S.Payant été chassé hier: jtû £ Spfy
lier, üttribûa celte Âièsui-e - à ' Jean, el sa
rage ne connaissant plus de bornes, il vint
attendre le pauvre garçon à sa sortie. A
peine le malheureux H... venait-il de dé-
passor le seuil dç la porte, que son,redouta-,
'blôr; érmemi se jeta sur . luii le; terrass%
promptement-et Tayaut rénVersé sôùs lui,
lui arracha le nez d’un- seul-coup* de? dent,
et là mpvMt epfcuiià prétfonîiémdnfotbsiplu-» -l
sieurs parties du corps, n’interrompant
cette exéoution sauvage que pour s’écrier :
; « Il faut que je te mange tout vif. »
Heureusement x pour l’infortuné Jean, qui
poussait des hurlements de douleur, plu-
sicui-sr'de - ses camarades d'atelier arrachè
rent le forcené du corps de : sa victime j mai*
non sàna peiné et sans avoir couru- le risqué
d’être mordus à leur tour par cet amateur
de. chair fraîche. , • . - • 1
G... fùt remis entre le* maiias des agents,
et le blessé, dont l'état est des plus sérieux,
Une mort mystérieuse. — Dans un
tdébit.de r wna dJAuüervilliers vient de-^e
. passer un triste événement dont le mystère
■ ■■* - ...J, - .1,.»,»,,.^—..-w» ,
Un individu, habillé en ouvrier, s’y pré
senta'^ s’y fit servir iiàe groseille.
Au moment dé porter le verre à ses lè-
le contenu d’une
en disant
— Ça, c’est uno jpotion çontre tous les
maux. C’est: le pharmacien voisin qui nus
l’avendue. *• . ? - i -
t. A peine avait-il avalé le mélange qu’il
s’affaissa sur lui-même. Un médecin, de*-
lisant, 6 octobre. — Un màlheureux en-
ïant' de' quatorze ans, nommé Alphonse
Payen, travaillait avec son père et manœu
vrait une machine à battre, èhez M. Chail-
loux, cultivateur à FcqjUjilqrsqtfun terrible
accident hé pt4dùêitî i s J -j « ^il, y
Alphonse Payéîi”eutfîexjrasgauché ; saisi;
par une courroie de la machine. 11 fut en
levé Jcjf. tournoya plusieurs fois, autour de
HO'â'BiX; y-SZüii
On releva ce malheureux broyé et déchi
queté. La mort a été presque instantanée:
.â.S&KBVS*'”’ «kii’-iv- •i»**'>*3^K. 4 », -i
: Denain, 7 octobre. —■ Trois ouvriers tra
vaillaient dans la galerie Turenne, à De-
nain, à A76 mètres de profpndeurjorsqu’un
éhoulement les ensevelit toüt à coup. Letp 1 *.
Æàéaarades,?'. saris ’se foncier du dan^er, se.
portèrent à lé'M’secours. V; - t.r
' ' 'Après bien des‘difficultés, ils retirèrent
de dessous les décombres Jules Moura et
Hofmax, qui furent remontés grièvement
blessés et à moitié asphyxiés. ...
Malheureusement, une triste péripétie
signala de sauvetage du troisième mineur, ;
Victor Moura. 11 était presque débarrassé
des-débris amassés sur lui, et ses amis,- le
voyant vivant, ne* doutaient plus déjà du
succès de leurs efforts, lorsqu’un nouvel
éhoulement vint de nouveau le recouvrir.
Quand-on 1 * dégagea, de nouveau, il était*
mort,.. ;
! Bordeaux, A octobre. — M. Belloumeau,
receveur municipal de la ville de Lesparre,
à été mis en état d’arrestation sous l’incul
pation de détournements constatés après
vérification de sâ ; caisse. Le déficit constaté
Seyait .de 1 A,QC 0 , ,et quqlquçs, cebts franc».
La-fàpiillefjjell 0 tuneau attrait-promis, de
désintéresser là vîüe. M. VBelloumeàu a $téj
misàladisposîti&n du pàr^uétd’e téspàire,"
qui instruit l’affaire.
AÏa^sbiixe, 7 octobre, — Le navire • espa
gnol Armonià, allant de. Barcelone,.'à Maj--
seille, avec un chargement de 900 barils es
sence de pétrole, pour compte de là Société
générale des pétroles de notre ville, a sauté
■enmer la Acoprant. • L y
Le capitàme - , le éecbhd el cinq nommes
se sont sauvés; cinq matelots ont péri.
,, tf 7 **.** '
RÉUNIONS & CONFÉRENCES
-Les républicains-dn* départëiaentç d« jla
Vienne,uqyi désirsnt atlbéreF eux stâtiits du
cercle, sont priés de se faire inscrire à la réu-
»jpn qui aui-a Ueir samadi e octobre, .à g heù^
tes et demie du,soir, ail siège social, 03,'rite de
Viavmes. '-i. ■ - .
Le secrétaire : A. Brugeron.
Les victimes du coup d’Etat, frappées dans
le répavtement de la Seine* sont appelées à
une .réunion, privée» i. la mairisF,da .troisième;
arrondissement* samedi 8 octobre, a huit heu
res Çueoir. e On JS.’Çfcupe*a. dal’adjonctidn de
nouveaux candidats s'il y a lieu ; ils auront la
parole pour s’expliquer. — Votation d* » n wh -
sidé aiÿü£ délégué», pendant indurée de leurs
mandats. On sera admis sur la présentation
de. la lettre de M. le préfet de la Seine, convo
quant* l'élection des délégués, où l'on se fera
.reconnaître comme yictjjpe de ^ageÿie, ••
petite: correspondance
m . « r,',! çfi *, I
,J. D..‘.à Ifanc'y.
... . . Lo comitëdont'vous nous'
demande^ l’adresse n’exiçte pas.,, , . . -
ne et
MIÇHghET.. —- fflistefvo de èr/
? S ® 0 V* Bévolutfon C)r«ï*ç*l*e,'S 8 |?cSïuuièa
m* 8 ?,accpmjïagués de 800 gravure» hofa texte,
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GANTS ÀN6LAIS...
■y 60
SAUTS MOSCOVITES Peau glacée, -
Ifanebettes àouïnjre»,t» w femo» .■
figure franche et ouvert», au regard éner
gique. Le-front assez élevé témoigne ;d’une
certaine intelligence. Il est proprement vêtu'4
d’une redingote noirs et s’exprime avec *
une certaine aisance.
L’accusationlui reproche le 5 faits suivants:
;; Pierre Bogros, l’accusé, est né à Messeix,
dans le Puy-de-Dôme, le 2 h septembre 18M).
et est venu à Paris vers l’âge de vingt ans ;
en. 18(58, il se mariait et s’établissait mar
chand de trias logeur, rue de Paris, à Châ-
tillon. De'1868 à’ 1878, le»époux Bogros eu-
Vent dix enfants, dont deux seulement vi
vent encore. Cette puissante fécondité n’ins
pira cependant pas à la femme Bogros des
sentiments de vertu : son inconduite était
notoire ; le mariàui-mâme jgavait'à quoi s’en
ieijir sur cei point. Plusieurs fois Bogros
"avait voulu se Venger^ puisai s’était dit : A
quoi bon? Et u'avaît' pardonné, espérant,
par la douceur, ramener sa femme à,lui.
EnrAternieriiéih oelle-«ir avait ptmr araxirti
uri"lï 0 tanîÔ Bitwtiais, quT S’ètaîtinSTallé dSris
Ja maison, prenant ses repas à la tabla de
famille. Bogros avait, des soupçons, qui ne
tardérë n ti P? Q à se confirmer. Le 9,juillet,
dernier, jl surprenait sa femme dans la
Chambre ^le son hôte. Il enjoignit à ce der-
nier de partir sur-le-champ, et, comme il
Mon mari est passé derrière.. Je qe sais pas >
s'il s’est'jeté sur Biamais, mais ce que -je sais,.
c’est que j'ai entendu crier a l’asfeassin. Ua
instant après,, mon mari s'est, jeté sur moi
dans là voiture. If m'a prise par le bras et m’a
traînée sur le pont du chemin de fer. f
D. II. vous a porté plusieurs coups de cou
teau. On a constaté sur vous sept blessures.
*-R. Non, trois seulement.
- D. Je.dois dire, madame," que c’est vous qui
êtes là cause première de la-mort de Biarnais.
Vous avek la plus détestable moralité. Vous avez
if té la maîtresse de plusieurs dé vos locataires,
notamment d’un nommé Thibault. Vous avez eu
des scènes * ce sujet avec votre mari.Après le
départ de. Thibault, que votre mari a congé
dié, .vous avez noué des relations avec Biar
nais,qui avait quinze ans de moiu* que vous.
Certains témoins déclarent vous avoir enten- ‘
'due tenir à l’égard - de votre mari- des propos
cyniques tels que ceux-ci : « Tu ne c...... donc
j pas pour mg.faisser libre? Si je ne: craignais
'.mettrais ■ du poison dans ton.,
madger. >î '’N i âvez-vous pas, un jour, vous
croyant enceinte*-, acheté des drogues' dont, ;.
Irous avez fait disparaître les bouteilles? —
b.^Nop, monsieur, personne ne peut prouver
ça”. ■■ ■ .
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seront Échangées au RëjdQJboursées.
TK.rraaT2srA'tT3c;
Un ittfltrl qui se wengê
. L’hpmmé quo la cqùf . «Passises -jugeait
hier e'st accusé d’avoir tifé, l’aiàunt.. de sa
mantfemme.
C.'eât no- homme d’environ AO ans, à là
Plusieurs autres témoins viennent affir-
demande au jury de se montrer sévère pour
l’accusé. M° dé Sal, dans une chaleureuse
plaidoirie, demande l’acquittement dé ..son
client. * ‘ * -
Après une courte dèlibèratimi, le jury
rapporte un verdict négatif et- la cour
prononce la mise en liberté immédiate de
Bogros* qui sort au -milieu du ^àumea’e
sympathique de tout l’auditoire. }
J
JBehw jadlelalret
f XOPJOQRS UES i^NAMCIElUI
Le sieur Achard, directeur du Crédit cen
tra?*, vient d’être condamné à quinze moi*
de prison et 50 francs d’amende. .
1 .*♦• #.V,
X-^
.C s
4-IU*
> a* forges Meusy.
Tlû :■
îj ; i' »4jy
xr
Théâtres
«rtik; f «i ■» > * 1 **
La Gaîté ’aùnonce 'décidément pour- mardi la
première rèpréseùtatj.on rdë Mqàftu-Crïjfq, .* • -
X
juillet,
sa maison et ses enfants
Le même jour Biarnais se faisait céder
par son beau-frère, le sieur hagarde, une
chambre sise rue Latérale, à Montrougè- la
femme Bogros vint l’y rejoindre.
. Quelques jour» plus tard, Bogros, qui
avait découvert la retraite des deux!
amants, se rendait rue Latérale et attendait |
sa femme, pour essayer de la ramener
chez jlui. Bile refusa, et s’enfuit loin de son
mari. , .
Bogros revint alors trouver Lagarde, et
le pria de ne plus prêter sa chambre à Biar
nais sa maîtresse, Lagarde le promit,
posa un cadenas'à la porte.de là chambre,
et recommanda à la concierge de ne remet
tre la clef à son beau-frère que s’il était
seul. Bogros, après l’avoir remercié, s’en
rêtqdéna du/côté dekChâfcpOiP J i 1 était neuf*
JheiSirîdu«d|rr*
Laf femn^*l$ogre's'àviiï : donné mf rendez-i
voïrtkABiadBMa; te.lfe:;atài.fcipris ^uhe ^$ 1 *°
ture et s’était fait conduire rue Priault* au
coin de la rue Latérale; ‘ Le fiaere -était ar
rêté depuis quelques minutes quand le mal-
Leureux inari ape^ij^; ââ 'îem^ et : L*. , vît
sortir la tê e. pap ’la portière ' ët faire un 1 ;
geste 4 r&ârnais qù.L ^iyâie;ji%;ri|a4éz-i
Vous. S’élançant alors sur l’ainant de sa
femme, Bogros lui porta par devant trois (
coug^p dé todteài^ dont l’un teaversa la
phiiv{e-dù cœur f laanort fut presque instant
tanée. -
La^femme. JBogros, qui était descendue,
fuir, il la frappa de plusieurs coups de cou
teau, qui, ne
des blessures sans gravité. *
■ A l’audience* JBogros ne nie aucun des
Mts^rMt;i|pnë,,rcptoch^/êTestm*an£lo 1 tf
tant qd’îl 'iracoritela'scènè telle, qu’elle’s'èst 1
(i passée. ■», ■■ ■ ...
1 * ih'ëifest «èryCibopr ï^e^ ^atoW» duteau qu’il employait pôiâr manger. “C5ft-
L ootfamme^îî àvoue j avëir>d*i&: ««JeaAfai.faïËqud
mon devoir. »
Après l’interrogatoire de l’accusé, on
passe à l’audition des témoins.
N La^léposition la plus jattoessààto «yst cqlle
delàf«riipe:£ogros, i fe ji |* '■y Èa-ifemmais Bogimaf «tfiâiëî' femmeJ.J aux
traits flétris, à l’air effronté; elle est mïsé-
rahlemept vêtue - et paraît bien plus âgée
. Voici les passages* les plus-saillants de.sa
déposition : *
* •M;,.îe,;fir*ésidéàS.''_ ... ..
Votre mari et vos enfante?'' ^-'' RI J’étàîs fixée']
Vvec M. Biarnais,. d’aller après la communion
de ma .fille vivr*,avêc lui dans sa çhambre. , I
: D. Vaus treuvëà,çefa tqut.natllFel. —i.fe;'Blài»|
pionsieur, c’est jpâr la fautè de. mon idarî, qui ;
me maltraitait continûëHfemenfr. '• »•>' . .'
| D.^Vous prrtendez.n’êtrela maîtiessààe 1 riel d»ètlte4tre lui appartient. ‘ .. Il ■
vÆ y r ant 4 éiM Duqieur.^ ^ treyjf l’ev-
Sarah ’Bernhàrdt, qui est revenue hier de s»
fructueuse tournéeen province, vient de traiter
avec Fa direction du Théâtre-Français d'Anvers
pour uue représentation,,qui aura Ji«u le 17
Ti ’?»»■%’wi»itfil
‘Voici l^distrlbutidn du’ PetiteïatÇiièï ,^ «6
Claretie* qu’on répète en ce moment àl'Ainbigu ; a
ÆÎMKÎi f: V; ?f i>s Làcr^'çfdhi.ière
Georges Laverdac ; • Montigny
:9» la^eraia . ÿ* «' CosseL,.. : ;.; È ^ fe ^;;*; ;
, Boly ft»- là ' ji, Jt i Sil â .* clartés? b A
Edwards Mortimer J ; :
r,^pajrc*ud fitor i .
-Mme®iraird~'t.. , .y'*- ? '*'ïteçs''L,itcressomïiéFe* i ...
Mme de la Roseraie . .. Laurence Gérard
Petit Jacques "Cécile Daubray
Mme Ropiquet ' ' Derouet'
^a.^omtesse ^ Jcann* Théry
; D’autres; rôlessmoins impprèinfe-eei'Ont joiiés
.par..MM ! iuVollet*i Leiàchc, .Lartnet^ Fleury et
Fernand.
Par suita d f uri^di/f^rond survenu i)a^
four, propriétaire du théâtre des Fantaisies-
■n' .T’îSrbîi; Cvi(»' t théâtre, M, D'ernéstÿ se:trouve dans Tà né*
cessité de suspendre provisoirement ses re#
. présentations, |, wV? f” *,K;* "Jf ■ ‘ • ■'
t-HM.Bei'taud,, ï*r.*toto*à’ra^diciéiï«j]' ! Vièî^i
d’întërdiVÿiàÉM* fdèiité^siw>ftf?des. d«S* •
èorê? coàtmBes,'‘%t«.',"pi‘ifëh(fàrtf''.quàïë" l 'toat# ;
Conjugal ? — R. Out,Monsieur
| 'âitif ayez-vQus.eouché* du là âu’^17. juillet*? 7
j- R; fions loéc8wâ*re *4® |M« Lagarde. Je 08 ^]
tais le matin .et ppUsi f<àif t îi®n» trè* tard ponf
que le çp^ncierge ne me voie pas." * *1
:f D. AeriVops à 1*. scènes, rp ,.R. J’avai»-pri6 jùi
pacre pourX»U»r _ chercBer^différéntï objets ;
que j'avais déposés .dan» la. cham'bre de Biar-
pais. La voitui*et.'dt»lt t arvêtëe.. ; iue. ) Latérale.,
ploitation, ce différend sera porté devant qui
de droit - . „
Cette ^sitaatîàrr* ne ppuvàn't' se-profonger, les
. répétitions de La Poissarde sont poussées acti
vement..
„A bientôt là première,.
Z' 'ltV.,V;>* '■-’X".'’.- ’
r.t
BOURSE DE PÀRIS — Cours du 7 Octobre
. iv*.>->.
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Dernier
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J. février 80r 15;
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2 50 .CR.FONC.AOTR, cpt
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1871.. ..
1875..
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(500 fr.) A 0/0..
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(500 fr.) U 0/0 63
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(100f.)30/0l
(A 00 f.r) 30/0 *57
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B.Hyp. Francei,
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Est-Algér.30/0
EsC5 0/0....w
Est 3 0/0......
Est 3 0/0 nouv.
Ardennes 3 0/0’
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Nord-Est 3 0/0.
Lyon 5 0/0,,...
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Bourbon 3*0/0.]
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Méditerr.5 0/0.
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Lyon fus.a.30/0
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Médoc 30/0'.. ;*
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95 M
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: f•V •*
377 50
BULLETMÎ TIHAMCÎEB
i..;
La, Rente*, qui avait, débuté à peu .près dans
! les mêmes,cours queceux de «la clôture d’hier,
' en s'inscrivant à 116.25, perd entièrement sa
bonne contenance e|. finit assez malit 116.06. .
Le 3 0i0, ouvert A 8A.A5, clôture à 8A.G5; l’A-
mortissable est coté 85.63- et le nouveau 8 A. 68 ; -
, L’Italien tombe de 90.20 à 89.90 ;,.le Tnrfe est,
tm peu mieux à 15.80. ;
Le Russe fait 93.80: le' Hongrois. 103.25’; Të"
Florin, 81.60, v '*
La Bancpie de France continue le mouvement
ascensioonelqu’eUeauitdepuislongtexnpssans
interruption, et malgré le bond énornae qu'eUe*
avait faiï .hier dàns ce sens, tlle fait de non- ;
caisses * pendant:, cette semaine: on. croit que *
demain, se modelant .encore une fois sur sa-
sœur d outre-Màncbe* elle va élever le taux de
Jlôscoinptfi. * ■ | */ •’ • '
Les institutions de cféditt donf le" marché:
est,toujours, l’objet de toutes los préférences
de là spéculation avaient commencé la,journée
avec un nouvel entrain. Il s’èstun peu calmé
vers la fin de la bourse.
Le Crédit foncier' est à l-,725j
La Banque d’escompte continue son mouve
ment denausse, et nous la croyons'appelés â
. une.élévation plus-importante encore. En*de- '
hors de la décision qui va être soumise â
■l’assemblée des actionnaires relativement à' là
libération-dû versement de 125 fr. par action
par le capital de réserve, on parle de la fusion
prochaine de la Banque d’escompte avec di- ■
verses autres; institutions financières de cré
dit, et on croit savoir que les conditions de
cette fusion séront:très avantageuses pour la
Banque d'éscompte. Elle atteint déjà' auiour-
d'hui 885.
..La,Société générale sort de" son apathie,
nous la trouvons aujourd'hui à 870 après 900
francs- On parle très sérieusement de la ces
sion par cette-,Société à une compagnie de fi
nanciers da ses affaires péruviennes. Débar- !
. râssée de cette lourd* charge; la Société géné
rale peut espérer le retour de jours plus heu
reux.
- L’Union-générale fait'toujours' l’étonnement;
des gens sérieux en se maintenant à 2,150 et',
ne* faiblit que très peu vers la clôture, à 2,1/(5.
La Banque hypothécaire de France est très
demandée: Les actions du Crédit général fran
çais sont bien tenues. La Banque de prêts à :
l’industrie est ferme à 620;
Dans sa séance du 5 octobre, le conseil d'ad
ministration de la Banque de prêts à l’industrie
a décidé la distribution d/un* acompte defdi-
•• vidende de 15 frants par action:
r Cettè-ihesure confirme les données que irons
avions déjà fournies sur l'excellente.situation
de la Bapque de prêts à d’industrie. . .
, La Banque parisienne se négocie* courato—
? ment dan» les environs de 790 fr. f ,, U, ;
... P.... ,
PROGRAMMB. DÜ âAMEDl "8 ÜCTOÊRE
- -«ffiBRL.i-Xto.3iA
„ . „ Fianst ^ *|
Op. 5 a., de J. Barbier et Cabré,
mnsiqn» de Gounod /
Faust*. _ . MM; Bosquiaj,
MéphjStopbélès Lorrain >-
Valentin * Melchisecfech
Wagner * Lambert]
MargueriteMmesGriswolét* -
Siébel Janvier
Marthe; Kiyet-Gr etoier
- »? ’■? FRANÇAIS; »l»4 • '
Lc Dernier quartier:
le tlonée eù Teà
; -**'.«TetiaMile*'', • ]
Com. en ' V à., Ëd. Vitttetm*
Bellac prudhofi
Roger dn Céraa Delaumçr
Paul Raymond Truftiert
Touloneier ' Garrauq
cénéraldéBriai»' Martel?
Virot Joüet»' 1
, jaidn®! 1 ® 8 *® Hé^
ville Mmes M. Brohau
Mme de Loudan B. Riquec'.
JëanneHaymoud Reichemberg
Lucy Watson - E. Broisat *
SuzannedeVilliersJ. Samary
umt M> de Cérau Lloyd-
OPERA-COMIQUE. — 7 h. 3{A
Les contes d’noffaattkut
ir oivfaiitastique en 4 a.
* Talazac
wu,;cui
HolMatin
LindorfT
Coppelius
Le Dr Miracla
Crespel .
Andrès
Cochenille .
Frantz
Spalanzani
Wilhem '
Stella
Olympia •
Antonia-
La Muse :
Rickiausse
Taskin
Eelhomme
Grivot
Gourdoni
Collin
h
*■* B .
’lsasEc
M 0 I 6
Chevalier
ODÉONi — 7 h. 1x3.
Le
golfe d’an bal mesqoé
com. 1 a., par Mme de Bawr
, La JSelle affaire
comédie en 3 actes* en prose
d’Edouard Cadol
Le Hlephte -
‘pALAIS-'RÛŸALi
La
JParele de Birbnnsae
, , Divorçons ;,
' l'a. de MM. vicTorîën Sar-
dou et Enfile de Najac.
e.
â h. nu
GYMNASE. — 7 h, »I»
Le Duel de Pierrot
pièce en 5 actes;
La Soareupe ■ ■
comédia, en L a«te.
On demande
an gouverneur
CHATELET. — 7 h,» r ,.
BlieUel fitregall
FANTAISIES-PARI^. *'8 h. *
.. -.^Wllfedies ■la-P’allic
drame en 5 actes, et 7 tabl.,
de A. Bqqi^e&is. et Lemoine.
POR^Ê-Sït-MARTI^V— 8 b.»x*
La D«eke aa Dots
Féerie en 30 tabl. et 60 trans
formations, . de MAL" H. «t
Th. Cogfiiarâ, ErneSfiBlum
et Raoul' Tôcné. ‘ *
VARIÉTÉS. — 8 h. »i».
Le Renard, hleuï >
Com, 1 ac.,dfe AT. Hetanequîn
NiinleSae
Vaud. en 3 ac., de MM. Henne-
quin et Millaud
GAÎTÉ. — 8 fl. «x* -
1 Ccï K»*W'ofe*''
Drame en 5 actes et 7
tabl,
NOUVEAUTÉS' — 8 fi-.
La Vente à Ta ta
VAUDEVILLE. - 8 h. US
Le Cbevaltor Baptiste
c., 1 a., de Bisson et Sylvane
Un Vovagc d’asrttncnf
C.,3a.. de Gondinet et Bisson
FA710NS. —8h.»p«.
Le due «le Kandos
drame en 5 à. et fi tableaux
■ d’Arthur Arnould.
Clermont MM. Simon
Cucbillo [
Paul de Kandos { Kenolr
Vigo Mondet
Mono, ■ Petit#?
duo dé Randds* ; Dalberg ,
Gaston fcapierre» ^ânetal
Sylvain Riva
laMariquifa MmesAntQ,nine„
Mme- Èapierre Daudoirdr
Jeannè de Léon Schmidt. ■■
BbrfmsA ”
Anriétie dOKandOS 1
Carmencita
d’Escorval
, . AMBTGü;,- 7> fiX" -
" ’ L’AnrémàtoIrt
Drame en 5 setes’et $ tableaux* 1
-COMÉDIE PARISIENNE— &to
L*;:c.’.< : téo. ,. ’.*•.
Pièce en 5-a.* de Ml J. Malus
Gh.Brëmont MM.P. Esquier
Villeray
FL-RieharéP
Garnier
Bértal*,-
Delorra* ,
Bellot»
'Didier!* : i.
Gillÿ * - -î
" Colombier
Bascôw ’
-Ai4Jeebtin»
Sigismond <0 .
G. Dertilin ; ;
De^Terville “
BaFon.Oscar ;■
Samt-Léon , ’
UrfedomestiqUà’
téa "\ M*^l
Mme Derblin Dorbacb
Blanohw ,. Cassotby ’.t
Carolinè* ■ Bafie* 1
Georuina Luthès
Wanüa. <■'; : .’ /Verneun.
, ...FOLIES-I]RAM. — » h. ,”l>»
**C ïi^’.^ÈHenl* 1 **>(,•■' ■.
pièce en I acte, de M. Daniel
Lit Klîë* «TG
op.-oom. en 3 actes,/de MM.
Clairvillev Siraudin’ eé Kon-
* *ning, mus. de"M* C.Lepocq:
Pomponnât MM. Sim. Max
Larivaudiêre Luoo-
Pitouf , Urbain
'Clairette ; M»» Simon Giïàrd
Lange" B.Jost
Amarantlie* , A Cuineti j
Pippo
Lauréat-
LFriteUiut
Roccô
•Betthia>■.= ■
PiàmeftsB
Ratarlitl.
RENAISSANCE,*—*7 b-, 3 [A. -
La*
Ba'iïïsv anrs. CaniéUa«
vaudeville en un acte. de
JL- .Crémïeux.: oï Jaime.Tds..
JL/éESiS «rêvé .
opérette 3 a., de Crémieuxet*
Ilèrvë, mus, d’Hervé. ,
CHATEAU-D’EAU. — 8 h.»[«.
*«r auspanvreü !
drame en U, a- et 6 - tableaux
deM. Alexis Bouvier.. _
CLUNYi —8 hr »îir.
Les ïîraconsiiers
Cp.-b. en 5 ac. de MM. Chivo'
et Duru, m. d’Offenbacb
BOUFFES-PARISIENS. —81»
l'Xè' l*arjf ile GlraSamel
, C, en 1 a, de M. J. Henry
La SSasetftté
«p.-e» 3 toMAf, DuruetGhivni
mus. Mi E. Audrau
Moriet
Hittemàtis
-iaucourt
Mmes Montfiazon
Miller
Rive»
, DEJAZET. - 8 b.JJS. r i*
• tottàrené-tf«#f*»g
pièce, 1 a., de Vast-Ricouavd
LaQéqiiieiàUR.' ' * :
■ vàuttOvVfitf en**/Pactes
de Vast-Ricouard et* l'rogoff
BOUFFES-DU-NORD.—3 h.»l*'
ifyilifércs
! d« ïa €er.¥tiîac *^ : ;
TILE ATR., DE- BEL1JJVILLE.
L’Arnanrler
' dê Santiago
Rohert-IIeudln.—Tout
les* soirs à 8 h. iji, preetidi
gitation, magie.
.Cirque*: Fernande».. —■
Tous- les 1 * séirs à*- 8 b. Ajî,.
spectacle équestre. ■
Folles-Hier gère. —îija
Tous les soi)*o : Divertisse
ments, saynètes, panto
mimes, gymnastes; clowns-,
acrobates, excentricités*.
" L. Mayeur èt son- orchestrai
[ATHÉNÉE-COMIQUE.- 8h.li2
RîStcires de femmes
■ vaudeville en un acte,
><: de MM. Bataillejét Fugère* .
K' -Lc caBj'tztoéB' S^iÿcrBSn* m-1
Cbmedie-houTTé' tirï* 3 actes, '*
de B, Raymond et Burani -
■ ■ Palaee-ThciUto
Tous les eoirs, le Ballet mi
lanais el.s;ïfcUacle. varié.—
lie samedi, fuie de nuit-
Ed©n> - CaI3«Py, 5, ÿU»
■ du* faut».-' Poissenniotes — :
Curieux musée do nj'uraâ d*
cires, chambre des horreurs^
portraits-fidèles des priori*
paux personnages et des
grands criminels. Ouvert du
10 h. du matin à 10 b. du
soir.
Rippedraii» de PmIs)
/£o«m Je» soies à 8 lit 1 / 2 »—,
Rc'piS^fflitetioii suppléât*
ttdte, te i iteures, jeudis i
Huuachoe et fêtes.
rait èntiôrementj paraît-il, sur l’aiguilleur 1 j e boulevard de Cliçhy. S'asseyant lourde-
aui aurait ouvert le disquet avant que la voie 1 ment sur une des banquettes, la belle pe-
lût complètement libre. C’est donc la Com
pagnie du chemin de fèr du Nord qai leràit
responsable, la gare de Pontoise apparte
nant à son réseau.
Le déblaiement de la voie a commencé
immédiatement, et à’neuf heures et demie
la voie était rendue à la circulation.
Raison duPOKT'NEU È l’EIbsuf ComultU‘biw29^
GODCMII vfsiÿÊF 5 „.
75
Faits divers
' L© temps, -r- Les hauteurs barométri
ques sont supérieures à 770 mill.. dans là,
•plus grande partie de l’Europe.
En Russie, elles surpassent 755 mill. pres
que partout et dsrfis les plaines du :.çétttrtg
atteignent même\78Q milL V' .. . ?•
Au nord-ouest 3 e cetfé aire, d’une impor-'
tance exceptionnelle, la; pression diminue
très rapidement: sous l’action d’une forte
bourrasque, celle-ci occasionne une baisse
barométrique de 19 mill. À Bodo et de 11 à
Stomoway, en même temps Une hausse de
température a lieu sur les côtes-de Nor-
wêee et d’Irlande du souffle lè vent du sud?
ouest. ■
Au sud existent également des pressions
relativement faibles,'elles maintiennent un
temps plqvieux en Algérie et en Italie. , „
Variatlous atmosphérique* d’hier
Theures.du matin.,..v.,7 s auTdessusde 0..
"II/:,.' ,f V' 9» ~ , de 0.
8 heure de l'après-midi IA* •— de 0.
, ,. Uautéup;harométiique : 775 mm. .
, es, W'~. ' -fï: r K5 1 f Çi'n?
• t * ( g. *
Tentative de menrtrc. — Des garr
: diens de la paix, ep: toumée de SerVice hier
au soir, vers onzetieures,' bonlévard de là
Villette, ayant entendu appeler au secours,
s’empressèrent de courir vers l’endroit d’ou
partaient ces-appels désespérés ; ils -se trou—
vèrentalors, en présence de deux indiyiqus •
dont l’un, étendu sur, la. chaussée,- et bai
gnant dans son sang, semblait en proie a de
vives souffrances. L’autre, un couteau tout
sanglant à la main, et contemplant la vic
time d’un air farouche, i se,.tenait debout a
côté de celui qu’il venait de frapper et ma
nifestait* dans un langage étranger, ses re
grets quÂJ. , strri.véwsubite,4esi f agontes
^pêciiâJtd’achever Je mpriboad». jtki»** J ■ -M
Voici ce qui s’était passé :
Ludovico O..., âgé de trente-deux ans,
d’origine italienne, , ouvrier frappeur, s’é
tait pris de querelle, ( dans la soirée, aVéé -I e
Ùàimméde fiujix
lui et exerçant la même profession-. La dis-r
cussion ayant pri* naissance dans un caba-
f retdu bèulevardji Ies 4 éuan®*w«er* durent* «
sur l’invitation du débitant qui craignait
pour sa vaisséllë, quitter l’établissement et
aller vider leur différend sur la voie publi
que.
line lutte corps à corps s’engagea entre
les deux querelleurs, et Ludov.ico, sentant
que son adveçsairprétaifcplHa.Yigoueenx qujfc.
lui, s'arma ite son couteau, en ;bor»' Italien,,
et en frappa le malheure^ ^pleins
poitrine.
Alix cris du blessé, les agents, accouru-
a-ent et te meurtrier fut; conduit-, au. pôsteï
Quant au blessé, dont l’état est-grave, il a
tite sur le retour, car nous avons oublié de
vous dire que la donzelle frise la quaran
taine,héla le garçon, et demanda-ùne tapette
d'eau daf.
-r- T’en as $a« assez donc, vieille édentée !
Plu* souvent "que je lé vas servir l
Ces gracieuses, paroles étaient 4 peine
prononcées que l’ivrognesse -s'emparant
d’un bock qui- traînait sur une table voi
sine, le lança à la tête du malencontreux
serviteur et cela avec tant de violence
qu’atteint en plein front lemalheureux
s’affaissa,.perdant sonsang par .une horrible
blessure.
Pendant qu’un médecin était appelé au
près du blessé, dont l’état est désespéré, la
trop vindicative- Héloïse était conduite au
poste. , . \ „ .d .. ~
.Agression Doetnrne. —.La- partje du
i bçuiev-ardt Jtochechouart, q»r confine A 14
■ ehaussééCHgnancourf; est encCâùhrêfe; 6 ha-
que soir, par des individus, Alphonses de
barrière, n'ayant d’autre ■ métier que celui
de guetteurs nocturnes et de croaheiewre
de serrures. Quand, cependant, ils ne trou-; \
vent point à utiliser leurs aimables talents
de société, ils se rabattent sur leurs chastes
compagnes qui,,«lies, ne-phôment jamais.
Les mameureusés; doivent;, alors obéir, eflte
tons points, à leui% f seigneurs et maîtres*,
même-quand ceux-ci leur imposent 'vin
crime à commettre.
La journée, d’hier n’avait pas été fruc
tueuse pour une de ces hétaïres, l’heure
s’avançait et Monsieur, faisait une- de ces
têtes qui présageaient, en rentrant, une
scène dans laquelle Martin Bâton jouerait
le premier rôle. Le diable sa*iva rÀspasie
des fureurs dejon grincheux seigneur, en
envoyant i eelfe-ci un passant que l’ivres
se rendait peu . difficile et -qui accepta les
propositions que lui fit lahelle. Le couple
se dirigea vers un -de ces garnis borgnes
qui pullulent dans ce quartier. Mais, à pei
ne, l’une tirant l’autre, L’homme et sa com
pagne eurent-ils -pénétré dans la petite rue
sombre où devait briller pour l’imprudent
fétoile du berger, que deux rôdeurs* le
maître de.ja fille et un sien anii, se ruèrent
sur 1$. malheureux* lo terrasSérent rseas,
peine&e| 4àü |i4^»^NMa^'bulfA'»s^.-|(»rite3f!>
. monnaie, idus les Objets de valeur dqntl il
1 était yportéu». Buis ilgipfatonjt la fuite,îlaié-’s
sant l'i vrogne geignant Sur ïë pavé/bù lîTut
trouvé par des agents.
mandé en toute hâte, ne put que constater
la mort.
En face.de cette mortsi mystérieuse, l’au-
tppsie du corps a été ordonnée et se fera
par les soins des médecins attachés à la
Morgue,;oùle corps a été porté..
Départements et Étranger
VÆA.&^A.SXIT'S SS
été transporté à l’hôpital le plus-voisin.^ I dut., é.tre .transporta 4,.1'hôpital, Saint-An
* ~ U . * - , f toine. - -
,. : Les -ffzremr*
• mode ’dù tout, ià douèe Héloïse B..., de sa
profession couturièqa* pUAè&sion-.durôsto.^
nu’^Uo n’exerce plus depuis longtemps, ■[ ,
. I ^aafJ^oqnéfcaeêtee-'eeil^phw-htijrattv^'pêsrencoreërcoïtoaîïrfe
de.coureusejd’aventures.i Disons cependant I,ri ir >rfivîrfi, h.ihîiie
• qu’çll-
l%as
de coi .
qu’à jeun elle, n’estpas; ,l , »iniabl*rSHe, plus
désagréable que la plupai't de ses 'pareillés,
' meirf il aeè 1 /vîw fl’uri «fi*» fin m/>zna,./uum , fJ
il est loin d’en étrq..4o même, quand g-yrea, 1 ’inepnuu. but
de l’alcool obscurcissent* son F bouteille
mais
ries fumées
; cerveau.
Donc Héloïse se trouvant, hier;hii «>ir,
dans cet état d’ébriété qui avoisine l’ivresse,
entrait en titubant (|uelque|peu dans ub 4e
ces établissements interlope* qui peuplent
■ -Vis Rafhrapo|il:agc,—Un nbmMé'G;'..,
âgè Ôe^O-ans,. menuisiec r «n voulaitdepuis
quelques jours déjà à son camarade d’ate
lier, Jean H..., qu’il soupçonnait de lui
avoir nui dans l’esprit dut patrons A-main?:
tes reprises déjà il avaié déclaré ^quHi-sC
vengerait de son camarade et que sa ven
geance serait terrible : elle le fut,-eu effet.;
S.Payant été chassé hier: jtû £ Spfy
lier, üttribûa celte Âièsui-e - à ' Jean, el sa
rage ne connaissant plus de bornes, il vint
attendre le pauvre garçon à sa sortie. A
peine le malheureux H... venait-il de dé-
passor le seuil dç la porte, que son,redouta-,
'blôr; érmemi se jeta sur . luii le; terrass%
promptement-et Tayaut rénVersé sôùs lui,
lui arracha le nez d’un- seul-coup* de? dent,
et là mpvMt epfcuiià prétfonîiémdnfotbsiplu-» -l
sieurs parties du corps, n’interrompant
cette exéoution sauvage que pour s’écrier :
; « Il faut que je te mange tout vif. »
Heureusement x pour l’infortuné Jean, qui
poussait des hurlements de douleur, plu-
sicui-sr'de - ses camarades d'atelier arrachè
rent le forcené du corps de : sa victime j mai*
non sàna peiné et sans avoir couru- le risqué
d’être mordus à leur tour par cet amateur
de. chair fraîche. , • . - • 1
G... fùt remis entre le* maiias des agents,
et le blessé, dont l'état est des plus sérieux,
Une mort mystérieuse. — Dans un
tdébit.de r wna dJAuüervilliers vient de-^e
. passer un triste événement dont le mystère
■ ■■* - ...J, - .1,.»,»,,.^—..-w» ,
Un individu, habillé en ouvrier, s’y pré
senta'^ s’y fit servir iiàe groseille.
Au moment dé porter le verre à ses lè-
le contenu d’une
en disant
— Ça, c’est uno jpotion çontre tous les
maux. C’est: le pharmacien voisin qui nus
l’avendue. *• . ? - i -
t. A peine avait-il avalé le mélange qu’il
s’affaissa sur lui-même. Un médecin, de*-
lisant, 6 octobre. — Un màlheureux en-
ïant' de' quatorze ans, nommé Alphonse
Payen, travaillait avec son père et manœu
vrait une machine à battre, èhez M. Chail-
loux, cultivateur à FcqjUjilqrsqtfun terrible
accident hé pt4dùêitî i s J -j « ^il, y
Alphonse Payéîi”eutfîexjrasgauché ; saisi;
par une courroie de la machine. 11 fut en
levé Jcjf. tournoya plusieurs fois, autour de
HO'â'BiX; y-SZüii
On releva ce malheureux broyé et déchi
queté. La mort a été presque instantanée:
.â.S&KBVS*'”’ «kii’-iv- •i»**'>*3^K. 4 », -i
: Denain, 7 octobre. —■ Trois ouvriers tra
vaillaient dans la galerie Turenne, à De-
nain, à A76 mètres de profpndeurjorsqu’un
éhoulement les ensevelit toüt à coup. Letp 1 *.
Æàéaarades,?'. saris ’se foncier du dan^er, se.
portèrent à lé'M’secours. V; - t.r
' ' 'Après bien des‘difficultés, ils retirèrent
de dessous les décombres Jules Moura et
Hofmax, qui furent remontés grièvement
blessés et à moitié asphyxiés. ...
Malheureusement, une triste péripétie
signala de sauvetage du troisième mineur, ;
Victor Moura. 11 était presque débarrassé
des-débris amassés sur lui, et ses amis,- le
voyant vivant, ne* doutaient plus déjà du
succès de leurs efforts, lorsqu’un nouvel
éhoulement vint de nouveau le recouvrir.
Quand-on 1 * dégagea, de nouveau, il était*
mort,.. ;
! Bordeaux, A octobre. — M. Belloumeau,
receveur municipal de la ville de Lesparre,
à été mis en état d’arrestation sous l’incul
pation de détournements constatés après
vérification de sâ ; caisse. Le déficit constaté
Seyait .de 1 A,QC 0 , ,et quqlquçs, cebts franc».
La-fàpiillefjjell 0 tuneau attrait-promis, de
désintéresser là vîüe. M. VBelloumeàu a $téj
misàladisposîti&n du pàr^uétd’e téspàire,"
qui instruit l’affaire.
AÏa^sbiixe, 7 octobre, — Le navire • espa
gnol Armonià, allant de. Barcelone,.'à Maj--
seille, avec un chargement de 900 barils es
sence de pétrole, pour compte de là Société
générale des pétroles de notre ville, a sauté
■enmer la Acoprant. • L y
Le capitàme - , le éecbhd el cinq nommes
se sont sauvés; cinq matelots ont péri.
,, tf 7 **.** '
RÉUNIONS & CONFÉRENCES
-Les républicains-dn* départëiaentç d« jla
Vienne,uqyi désirsnt atlbéreF eux stâtiits du
cercle, sont priés de se faire inscrire à la réu-
»jpn qui aui-a Ueir samadi e octobre, .à g heù^
tes et demie du,soir, ail siège social, 03,'rite de
Viavmes. '-i. ■ - .
Le secrétaire : A. Brugeron.
Les victimes du coup d’Etat, frappées dans
le répavtement de la Seine* sont appelées à
une .réunion, privée» i. la mairisF,da .troisième;
arrondissement* samedi 8 octobre, a huit heu
res Çueoir. e On JS.’Çfcupe*a. dal’adjonctidn de
nouveaux candidats s'il y a lieu ; ils auront la
parole pour s’expliquer. — Votation d* » n wh -
sidé aiÿü£ délégué», pendant indurée de leurs
mandats. On sera admis sur la présentation
de. la lettre de M. le préfet de la Seine, convo
quant* l'élection des délégués, où l'on se fera
.reconnaître comme yictjjpe de ^ageÿie, ••
petite: correspondance
m . « r,',! çfi *, I
,J. D..‘.à Ifanc'y.
... . . Lo comitëdont'vous nous'
demande^ l’adresse n’exiçte pas.,, , . . -
ne et
MIÇHghET.. —- fflistefvo de èr/
? S ® 0 V* Bévolutfon C)r«ï*ç*l*e,'S 8 |?cSïuuièa
m* 8 ?,accpmjïagués de 800 gravure» hofa texte,
Pn*: : payahleB IO (V. p«s-
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ini|i a ^ia.jbrodées., tF.Bg.
GANTS ÀN6LAIS...
■y 60
SAUTS MOSCOVITES Peau glacée, -
Ifanebettes àouïnjre»,t» w femo» .■
figure franche et ouvert», au regard éner
gique. Le-front assez élevé témoigne ;d’une
certaine intelligence. Il est proprement vêtu'4
d’une redingote noirs et s’exprime avec *
une certaine aisance.
L’accusationlui reproche le 5 faits suivants:
;; Pierre Bogros, l’accusé, est né à Messeix,
dans le Puy-de-Dôme, le 2 h septembre 18M).
et est venu à Paris vers l’âge de vingt ans ;
en. 18(58, il se mariait et s’établissait mar
chand de trias logeur, rue de Paris, à Châ-
tillon. De'1868 à’ 1878, le»époux Bogros eu-
Vent dix enfants, dont deux seulement vi
vent encore. Cette puissante fécondité n’ins
pira cependant pas à la femme Bogros des
sentiments de vertu : son inconduite était
notoire ; le mariàui-mâme jgavait'à quoi s’en
ieijir sur cei point. Plusieurs fois Bogros
"avait voulu se Venger^ puisai s’était dit : A
quoi bon? Et u'avaît' pardonné, espérant,
par la douceur, ramener sa femme à,lui.
EnrAternieriiéih oelle-«ir avait ptmr araxirti
uri"lï 0 tanîÔ Bitwtiais, quT S’ètaîtinSTallé dSris
Ja maison, prenant ses repas à la tabla de
famille. Bogros avait, des soupçons, qui ne
tardérë n ti P? Q à se confirmer. Le 9,juillet,
dernier, jl surprenait sa femme dans la
Chambre ^le son hôte. Il enjoignit à ce der-
nier de partir sur-le-champ, et, comme il
Mon mari est passé derrière.. Je qe sais pas >
s'il s’est'jeté sur Biamais, mais ce que -je sais,.
c’est que j'ai entendu crier a l’asfeassin. Ua
instant après,, mon mari s'est, jeté sur moi
dans là voiture. If m'a prise par le bras et m’a
traînée sur le pont du chemin de fer. f
D. II. vous a porté plusieurs coups de cou
teau. On a constaté sur vous sept blessures.
*-R. Non, trois seulement.
- D. Je.dois dire, madame," que c’est vous qui
êtes là cause première de la-mort de Biarnais.
Vous avek la plus détestable moralité. Vous avez
if té la maîtresse de plusieurs dé vos locataires,
notamment d’un nommé Thibault. Vous avez eu
des scènes * ce sujet avec votre mari.Après le
départ de. Thibault, que votre mari a congé
dié, .vous avez noué des relations avec Biar
nais,qui avait quinze ans de moiu* que vous.
Certains témoins déclarent vous avoir enten- ‘
'due tenir à l’égard - de votre mari- des propos
cyniques tels que ceux-ci : « Tu ne c...... donc
j pas pour mg.faisser libre? Si je ne: craignais
'.mettrais ■ du poison dans ton.,
madger. >î '’N i âvez-vous pas, un jour, vous
croyant enceinte*-, acheté des drogues' dont, ;.
Irous avez fait disparaître les bouteilles? —
b.^Nop, monsieur, personne ne peut prouver
ça”. ■■ ■ .
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laire-la demande^- --
Toutes les 'marchandises sont garanties de
ixe-Quaiité-ri dé lifê F^tïcatioiï.
Celles/dont laquetlitén’auraitpas. riponduà
U Garantie loyale donnée parjd Maison
seront Échangées au RëjdQJboursées.
TK.rraaT2srA'tT3c;
Un ittfltrl qui se wengê
. L’hpmmé quo la cqùf . «Passises -jugeait
hier e'st accusé d’avoir tifé, l’aiàunt.. de sa
mantfemme.
C.'eât no- homme d’environ AO ans, à là
Plusieurs autres témoins viennent affir-
demande au jury de se montrer sévère pour
l’accusé. M° dé Sal, dans une chaleureuse
plaidoirie, demande l’acquittement dé ..son
client. * ‘ * -
Après une courte dèlibèratimi, le jury
rapporte un verdict négatif et- la cour
prononce la mise en liberté immédiate de
Bogros* qui sort au -milieu du ^àumea’e
sympathique de tout l’auditoire. }
J
JBehw jadlelalret
f XOPJOQRS UES i^NAMCIElUI
Le sieur Achard, directeur du Crédit cen
tra?*, vient d’être condamné à quinze moi*
de prison et 50 francs d’amende. .
1 .*♦• #.V,
X-^
.C s
4-IU*
> a* forges Meusy.
Tlû :■
îj ; i' »4jy
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Théâtres
«rtik; f «i ■» > * 1 **
La Gaîté ’aùnonce 'décidément pour- mardi la
première rèpréseùtatj.on rdë Mqàftu-Crïjfq, .* • -
X
juillet,
sa maison et ses enfants
Le même jour Biarnais se faisait céder
par son beau-frère, le sieur hagarde, une
chambre sise rue Latérale, à Montrougè- la
femme Bogros vint l’y rejoindre.
. Quelques jour» plus tard, Bogros, qui
avait découvert la retraite des deux!
amants, se rendait rue Latérale et attendait |
sa femme, pour essayer de la ramener
chez jlui. Bile refusa, et s’enfuit loin de son
mari. , .
Bogros revint alors trouver Lagarde, et
le pria de ne plus prêter sa chambre à Biar
nais sa maîtresse, Lagarde le promit,
posa un cadenas'à la porte.de là chambre,
et recommanda à la concierge de ne remet
tre la clef à son beau-frère que s’il était
seul. Bogros, après l’avoir remercié, s’en
rêtqdéna du/côté dekChâfcpOiP J i 1 était neuf*
JheiSirîdu«d|rr*
Laf femn^*l$ogre's'àviiï : donné mf rendez-i
voïrtkABiadBMa; te.lfe:;atài.fcipris ^uhe ^$ 1 *°
ture et s’était fait conduire rue Priault* au
coin de la rue Latérale; ‘ Le fiaere -était ar
rêté depuis quelques minutes quand le mal-
Leureux inari ape^ij^; ââ 'îem^ et : L*. , vît
sortir la tê e. pap ’la portière ' ët faire un 1 ;
geste 4 r&ârnais qù.L ^iyâie;ji%;ri|a4éz-i
Vous. S’élançant alors sur l’ainant de sa
femme, Bogros lui porta par devant trois (
coug^p dé todteài^ dont l’un teaversa la
phiiv{e-dù cœur f laanort fut presque instant
tanée. -
La^femme. JBogros, qui était descendue,
fuir, il la frappa de plusieurs coups de cou
teau, qui, ne
des blessures sans gravité. *
■ A l’audience* JBogros ne nie aucun des
Mts^rMt;i|pnë,,rcptoch^/êTestm*an£lo 1 tf
tant qd’îl 'iracoritela'scènè telle, qu’elle’s'èst 1
(i passée. ■», ■■ ■ ...
1 * ih'ëifest «èryCibopr ï^e^ ^atoW» du
L ootfamme^îî àvoue j avëir>d*i&: ««JeaAfai.faïËqud
mon devoir. »
Après l’interrogatoire de l’accusé, on
passe à l’audition des témoins.
N La^léposition la plus jattoessààto «yst cqlle
delàf«riipe:£ogros, i fe ji |* '■y Èa-ifemmais Bogimaf «tfiâiëî' femmeJ.J aux
traits flétris, à l’air effronté; elle est mïsé-
rahlemept vêtue - et paraît bien plus âgée
. Voici les passages* les plus-saillants de.sa
déposition : *
* •M;,.îe,;fir*ésidéàS.''_ ... ..
Votre mari et vos enfante?'' ^-'' RI J’étàîs fixée']
Vvec M. Biarnais,. d’aller après la communion
de ma .fille vivr*,avêc lui dans sa çhambre. , I
: D. Vaus treuvëà,çefa tqut.natllFel. —i.fe;'Blài»|
pionsieur, c’est jpâr la fautè de. mon idarî, qui ;
me maltraitait continûëHfemenfr. '• »•>' . .'
| D.^Vous prrtendez.n’êtrela maîtiessààe 1 riel d»ètlte4tre lui appartient. ‘ .. Il ■
vÆ y r ant 4 éiM Duqieur.^ ^ treyjf l’ev-
Sarah ’Bernhàrdt, qui est revenue hier de s»
fructueuse tournéeen province, vient de traiter
avec Fa direction du Théâtre-Français d'Anvers
pour uue représentation,,qui aura Ji«u le 17
Ti ’?»»■%’wi»itfil
‘Voici l^distrlbutidn du’ PetiteïatÇiièï ,^ «6
Claretie* qu’on répète en ce moment àl'Ainbigu ; a
ÆÎMKÎi f: V; ?f i>s Làcr^'çfdhi.ière
Georges Laverdac ; • Montigny
:9» la^eraia . ÿ* «' CosseL,.. : ;.; È ^ fe ^;;*; ;
, Boly ft»- là ' ji, Jt i Sil â .* clartés? b A
Edwards Mortimer J ; :
r,^pajrc*ud fitor i .
-Mme®iraird~'t.. , .y'*- ? '*'ïteçs''L,itcressomïiéFe* i ...
Mme de la Roseraie . .. Laurence Gérard
Petit Jacques "Cécile Daubray
Mme Ropiquet ' ' Derouet'
^a.^omtesse ^ Jcann* Théry
; D’autres; rôlessmoins impprèinfe-eei'Ont joiiés
.par..MM ! iuVollet*i Leiàchc, .Lartnet^ Fleury et
Fernand.
Par suita d f uri^di/f^rond survenu i)a^
four, propriétaire du théâtre des Fantaisies-
■n' .T’îSrbîi; Cvi(»' t théâtre, M, D'ernéstÿ se:trouve dans Tà né*
cessité de suspendre provisoirement ses re#
. présentations, |, wV? f” *,K;* "Jf ■ ‘ • ■'
t-HM.Bei'taud,, ï*r.*toto*à’ra^diciéiï«j]' ! Vièî^i
d’întërdiVÿiàÉM* fdèiité^siw>ftf?des. d«S* •
èorê? coàtmBes,'‘%t«.',"pi‘ifëh(fàrtf''.quàïë" l 'toat# ;
Conjugal ? — R. Out,Monsieur
| 'âitif ayez-vQus.eouché* du là âu’^17. juillet*? 7
j- R; fions loéc8wâ*re *4® |M« Lagarde. Je 08 ^]
tais le matin .et ppUsi f<àif t îi®n» trè* tard ponf
que le çp^ncierge ne me voie pas." * *1
:f D. AeriVops à 1*. scènes, rp ,.R. J’avai»-pri6 jùi
pacre pourX»U»r _ chercBer^différéntï objets ;
que j'avais déposés .dan» la. cham'bre de Biar-
pais. La voitui*et.'dt»lt t arvêtëe.. ; iue. ) Latérale.,
ploitation, ce différend sera porté devant qui
de droit - . „
Cette ^sitaatîàrr* ne ppuvàn't' se-profonger, les
. répétitions de La Poissarde sont poussées acti
vement..
„A bientôt là première,.
Z' 'ltV.,V;>* '■-’X".'’.- ’
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BOURSE DE PÀRIS — Cours du 7 Octobre
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La, Rente*, qui avait, débuté à peu .près dans
! les mêmes,cours queceux de «la clôture d’hier,
' en s'inscrivant à 116.25, perd entièrement sa
bonne contenance e|. finit assez malit 116.06. .
Le 3 0i0, ouvert A 8A.A5, clôture à 8A.G5; l’A-
mortissable est coté 85.63- et le nouveau 8 A. 68 ; -
, L’Italien tombe de 90.20 à 89.90 ;,.le Tnrfe est,
tm peu mieux à 15.80. ;
Le Russe fait 93.80: le' Hongrois. 103.25’; Të"
Florin, 81.60, v '*
La Bancpie de France continue le mouvement
ascensioonelqu’eUeauitdepuislongtexnpssans
interruption, et malgré le bond énornae qu'eUe*
avait faiï .hier dàns ce sens, tlle fait de non- ;
caisses * pendant:, cette semaine: on. croit que *
demain, se modelant .encore une fois sur sa-
sœur d outre-Màncbe* elle va élever le taux de
Jlôscoinptfi. * ■ | */ •’ • '
Les institutions de cféditt donf le" marché:
est,toujours, l’objet de toutes los préférences
de là spéculation avaient commencé la,journée
avec un nouvel entrain. Il s’èstun peu calmé
vers la fin de la bourse.
Le Crédit foncier' est à l-,725j
La Banque d’escompte continue son mouve
ment denausse, et nous la croyons'appelés â
. une.élévation plus-importante encore. En*de- '
hors de la décision qui va être soumise â
■l’assemblée des actionnaires relativement à' là
libération-dû versement de 125 fr. par action
par le capital de réserve, on parle de la fusion
prochaine de la Banque d’escompte avec di- ■
verses autres; institutions financières de cré
dit, et on croit savoir que les conditions de
cette fusion séront:très avantageuses pour la
Banque d'éscompte. Elle atteint déjà' auiour-
d'hui 885.
..La,Société générale sort de" son apathie,
nous la trouvons aujourd'hui à 870 après 900
francs- On parle très sérieusement de la ces
sion par cette-,Société à une compagnie de fi
nanciers da ses affaires péruviennes. Débar- !
. râssée de cette lourd* charge; la Société géné
rale peut espérer le retour de jours plus heu
reux.
- L’Union-générale fait'toujours' l’étonnement;
des gens sérieux en se maintenant à 2,150 et',
ne* faiblit que très peu vers la clôture, à 2,1/(5.
La Banque hypothécaire de France est très
demandée: Les actions du Crédit général fran
çais sont bien tenues. La Banque de prêts à :
l’industrie est ferme à 620;
Dans sa séance du 5 octobre, le conseil d'ad
ministration de la Banque de prêts à l’industrie
a décidé la distribution d/un* acompte defdi-
•• vidende de 15 frants par action:
r Cettè-ihesure confirme les données que irons
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de la Bapque de prêts à d’industrie. . .
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Op. 5 a., de J. Barbier et Cabré,
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Com. en ' V à., Ëd. Vitttetm*
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OPERA-COMIQUE. — 7 h. 3{A
Les contes d’noffaattkut
ir oivfaiitastique en 4 a.
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Le
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com. 1 a., par Mme de Bawr
, La JSelle affaire
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d’Edouard Cadol
Le Hlephte -
‘pALAIS-'RÛŸALi
La
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, , Divorçons ;,
' l'a. de MM. vicTorîën Sar-
dou et Enfile de Najac.
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La Soareupe ■ ■
comédia, en L a«te.
On demande
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BlieUel fitregall
FANTAISIES-PARI^. *'8 h. *
.. -.^Wllfedies ■la-P’allic
drame en 5 actes, et 7 tabl.,
de A. Bqqi^e&is. et Lemoine.
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Com, 1 ac.,dfe AT. Hetanequîn
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1 Ccï K»*W'ofe*''
Drame en 5 actes et 7
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La Vente à Ta ta
VAUDEVILLE. - 8 h. US
Le Cbevaltor Baptiste
c., 1 a., de Bisson et Sylvane
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drame en 5 à. et fi tableaux
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Clermont MM. Simon
Cucbillo [
Paul de Kandos { Kenolr
Vigo Mondet
Mono, ■ Petit#?
duo dé Randds* ; Dalberg ,
Gaston fcapierre» ^ânetal
Sylvain Riva
laMariquifa MmesAntQ,nine„
Mme- Èapierre Daudoirdr
Jeannè de Léon Schmidt. ■■
BbrfmsA ”
Anriétie dOKandOS 1
Carmencita
d’Escorval
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" ’ L’AnrémàtoIrt
Drame en 5 setes’et $ tableaux* 1
-COMÉDIE PARISIENNE— &to
L*;:c.’.< : téo. ,. ’.*•.
Pièce en 5-a.* de Ml J. Malus
Gh.Brëmont MM.P. Esquier
Villeray
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Mme Derblin Dorbacb
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Carolinè* ■ Bafie* 1
Georuina Luthès
Wanüa. <■'; : .’ /Verneun.
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**C ïi^’.^ÈHenl* 1 **>(,•■' ■.
pièce en I acte, de M. Daniel
Lit Klîë* «TG
op.-oom. en 3 actes,/de MM.
Clairvillev Siraudin’ eé Kon-
* *ning, mus. de"M* C.Lepocq:
Pomponnât MM. Sim. Max
Larivaudiêre Luoo-
Pitouf , Urbain
'Clairette ; M»» Simon Giïàrd
Lange" B.Jost
Amarantlie* , A Cuineti j
Pippo
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PiàmeftsB
Ratarlitl.
RENAISSANCE,*—*7 b-, 3 [A. -
La*
Ba'iïïsv anrs. CaniéUa«
vaudeville en un acte. de
JL- .Crémïeux.: oï Jaime.Tds..
JL/éESiS «rêvé .
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BOUFFES-PARISIENS. —81»
l'Xè' l*arjf ile GlraSamel
, C, en 1 a, de M. J. Henry
La SSasetftté
«p.-e» 3 toMAf, DuruetGhivni
mus. Mi E. Audrau
Moriet
Hittemàtis
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Mmes Montfiazon
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Rive»
, DEJAZET. - 8 b.JJS. r i*
• tottàrené-tf«#f*»g
pièce, 1 a., de Vast-Ricouavd
LaQéqiiieiàUR.' ' * :
■ vàuttOvVfitf en**/Pactes
de Vast-Ricouard et* l'rogoff
BOUFFES-DU-NORD.—3 h.»l*'
ifyilifércs
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TILE ATR., DE- BEL1JJVILLE.
L’Arnanrler
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Rohert-IIeudln.—Tout
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Tous- les 1 * séirs à*- 8 b. Ajî,.
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Folles-Hier gère. —îija
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RîStcires de femmes
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K' -Lc caBj'tztoéB' S^iÿcrBSn* m-1
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