Presse et revues
12 pages
Titre : Paris-soir
Éditeur : s.n. (Paris)
Date d'édition : 1934-02-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34519208g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 21 février 1934 21 février 1934
Description : 1934/02/21 (ED4,A12,N3789). 1934/02/21 (ED4,A12,N3789).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG31 Collection numérique : BIPFPIG31
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
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Description : Collection numérique : BIPFPIG13 Collection numérique : BIPFPIG13
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Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k7637705b
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-235
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/02/2015
6
Paris-soir
LE CINEMA
/><* Programme d'u¡ourd"hu. ☆
Actualités Clné-Paris-solr (5, av. de la République), P. de 10 a 24 ù.
Actualités Clnéphone (6, bd des Italiens). Perm. de 12 à 24 h.
Actualités Ciné-Auto (31, bd des Italiens). Perm de 12 à 24 h.
Agriculteurs, 15 et 21 b. : La Déchéance de Miss Drake.
Apollo, Perm. 14 n. à 2 h. du matin : Le Monde change - Tombeur.
+ Artistic, 14 h.30 et 20 h. 30 : Lady 10u (vers. orig.).
Aubert-Palace. Perm. 10 à 24 h. : Georges et Georgette.
AuteoiLBon-Clnéma. 20 h. 30 : Jugement de minuit - Cognasse.
BARBES, 14 n. 3U, 20 n. 30 : Simone est comme ça.
Bonaparte, 15 h. et 21 h. : Madame Bovary.
Bouffes-du-Nord, 14 h.30, 20 h.30 : Une femme survint.
Boulvardia, Perm. 12 à 24 h. : Le chant du prisonnier.
* Caméo, Perm. 10 n. a 0 n". 30 : La vie privée d'Henri VIII.
CAPITOLE, 20 h. 30 : Simone est comme ça (Perchicot).
Casino de GreneUe, 20 b. 40 : Colomba • Du haut en bas.
Carillon, Perm. de 10 a 24 h. : Knock.
Champs-Elysées, P. 14h.30 et 19h., soir. 21D.15 ; Comme tu me veux.
Cigale-Ciné, 14 h. 30 et 20 h. 30 ; Simone est comme ça.
Cime-Opéra, Perm. 2 h. à 8 h., soir. 9 h. : Madame Bovary.
CINE-PATHE-ORLEANS, 14 h.45, 20 h.45 : Le Petit roi.
Clichy-Palace, Perm. 14 h. à 19h.,soir.20b.4S : Le coq du régiment.
Cluny-Palace, 14h.30, 20h.30 : Abbé Constantin - Crime S. Bonnard.
+ Colisée, Perm.14h.50 à 19b.30, soir.21h. : Melody Crulse.
+ Convention, 14 h.30 et 20 h.30 : Fakir du Grand Hôtel.
Comoedia, 14 b.30, 20 h. : Ame de clown - En prise directe.
Courcelles, Perm. 14 h.30 à 19 h., soir. 21 h. : Take a chance.
Delta : Simone est comme ça.
DEMOURS, Soir. 20 h. 45 : L'Amour guide (M. Chevalier).
i
Edouard-VU, Perm. 14 h.30 a 19 h., soir. 21 h. : Hoopla.
Eldorado, Perm. 12 h. â 19 h., soir. à 20 h.30 : Fakir du gd HOtel.
+ Elysée-Gaumont, P. 14 h. à 1 h. Design for living (Sérén. à 3).
EBMITAGE-CLUB-DES-URSULINES, 15h.15 et 21b.: Les sans-soucis
Fourmi, 14 h. 30 : Metteur en scène - Dr Mabuse.
Gaité-Rochechouart, Perm. 14 h. a 19 h., soir. 20 h. 30 : Le Tunnel.
+ Gambetta, 14 h. 30 et 20 h. 40 : L'Illustre Maurin.
+ Ganmont-PaIace.'Perm.14b. à 19b., soir,21b.: L'Agonie des Algies.
+ Gaumont-Théâtre, Perm. de 10 à 24 h. : Mireille.
Gloria-Palace, P.14 à 19h.,20h.45: La flue du rég.. Ecole d. auteurs.
+ Grand-Ciné-Aubert, 14 h.30 et 20 h.30 : Fakir du Gd Hôtel.
+ Grenelle-Aubert, 14 h. 30 et 20 h. 30 : L'Illustre Maurin.
IMPERIAL, Perm.de 14h.30 a 0 h.30: Leopol le bien aime (M.Simon)
Impérator, Mat.14h.30, soir. 20h.30: Jènny Frlsco Vive la classe.
Klnêrama. 13 a 24 h.: Caprice princesse - Une vie trépidante.
Lord-Byron, 14h.30, 16H.45 et 21h.l5 : The Bowery.
Longer, 14 h. 30 et 20 h. 45 : Le sexe faible (V. Boucher).
LUTETIA. Perm. de 14 h. a 19 h., 20 h.30 : Charlemagne (Raimu).
LYON-PATHE, 14 h. 30, 20 h. 30 : Le sexe faible (V. Boucher).
Madeleine, 12 h. 30 à 1 h. 30 : Esquimaux.
Maillot-Palace, Perm.de 14h.a I9h.,solr.20h.40: Simone est comm.ça.
+ Marcadet-Palace, 14 h.30 et 20 h.30 : Fakir du gd Hôtel.
MARIGNAN, Perm. de 14 h. 30 a 24 h. : La Bataille.
MARIVAUX, 14h.l5,16h.30,P.20h.30 à 2 h. : Les Misérables (2* fUm)
MAX-LINDER, 14 h.. 16 h.30, 20 h.45 : King-Kong.
METROPOLE, 20 h.45 : Simone est comme ça.
Miracles, 16 h. et 22 h. : Catherine de Russie.
Moncey (50,a.de Clichy) P. 1411.30. 19h.45, 20h.30 : Tunnel (J.Gallm)
Montcalm, Mat. I5h.,soir.20h.45 : Tendron d'Achille - Gd amour.
Montrouge-Aubert, 14 h.30 et 20 h.30 : Fakir du gd Hôtel.
+ Montrouge-Théâtre, 14 h.30 et 20 h.30 : Le Tunnel.
MOULIN-ROUGE, 14 h., 16 h.30, 21h.35 : La Châtelaine du Liban.
MOZART-PATHE, 14h.45 et 20 h.45 : L'Amour guide (M. Chevalier)
+ Olympia, Perm. 10 h.30 a 3 h. du mat. : N'épouse pas ta fille.
OMNIA-PATEIE : Relâche.
Pagode, Perm. de 14 h. 15 a 19 h., soir. a 21 h. : J'étais une espionne
Palace-ltalle (PMtaUe) 14h.30, 20h.30 : Simone est comme ça.
+ Palais-Rochechouart, 14 h.30, 20h.30 : Fakir du Gd Hôtel.
+ Paradis, 20 h, 30 : L'Illustre Maurin.
Panthéon, 14h.30, 16h.45, soir.21 h. : Brennendes Gehelmnis (s.t.fr.).
Paramonnt, Perm. 9 h.30 à 2 h. du mat. : Les Misérables.
Raspail-216, 1411.30, 16h.30, 20h.30 et 22h.30 : The sUver cord.
+ Réglna-Palace, 14 h.30 et 20 b.30 : L'Illustre Maurin.
♦ Rex, Perm. de 12 b. a 1 h. du mat. : Trois pour cent.
ROYAL, Perm. de 14 à 19 h., s. 20 h.45 : Aventures du Roi Pausole.
Roxy, 14 h.45 et 20 h.30 : Gendre M. Poirier - Jofrot.
SAINT-MARCEL, 20 n.45 : Le sexe faible (V. Boucher).
+ Saint-Paul-Aubert, 14 b.30 et 20 h.30 : Fakir du Gd BOte"
Secrétan, 14 b.30, 20 h.30 ; Une vie trépidante Colomba.
SELECT, 14 h.45 et 20 h.30 : L'Amour guide (M. Chevalier).
SEVRES-PATHE, Perm. 14 à 19 h., s. 20 h.45 : Cavalcade.
Splendide-Ctnéma, I4b.30, 16h.30, 20h.45 : Le chemin du bonheur.
SplendJde-15t, 14 h.30, 20 h.45 : Une vie trépidante.
Studio-Acacias, 14 h., 21 h. 15 : lOnty Yesterday.
Studio-Caumartin, Perm. de 14 h. a 19 h., soir. 21 h.: Lady for a day.
Studio-Diamant, 15 h. et 21 h. : Below the sea.
Studio-Etoile, 14 b.30, 16 h.45, 21 h. : Symphonie Inachevée.
Studio-Parnasse, Mat. 15 b., soir. 9 h. : Okralna.
Studlo-28, Perm. 15 h. à 19 h., soir. 21 b. : International folles.
Studlo-Universel(31.a.Opéra):P.14h. a 20h.,s.21b.l5: Chanteuse cabar.
Ternes, 14 n.30 et 20 n.30 : Colomba - Surprises sleeping.
Tivoli. 14 h.30 et 20 h. 40 : Fakir Gd HOtel.
Ursulines, 15 n. 15 et 21 h. : La rue sans nom.
VICTOR-HUGO, 14 b.30 et 20 h. 45 : Knoch (L. Jouvet).
Washington, Perm. 14 h.30 a 24 b. : Mad age - Big Money (s.-t.fr.).
- Demain à 10 heures au Courcelles, les Films Elte présenteront -
« Mary Rose et Rose Marie » et à 10 heures au Palais-Ro-
chechouart, G.F.F.A. présentera « Chourlnette ».
Pour le programme détaillé des salles soulignées, consulter la publicité.
Les salles en majuscules appartiennent au circuit Pathé-Natan
Les salles précédées du signe. appartiennent au circuit G.F.F.A. et Jacques Haïk.
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MSÉMBIfi
RÉALISÉ PAR RAYMOND BERNARD CAPRES L'ŒUVRE DE VIC T OQ-HUGO
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FILM PARAI'fOUNr
1 Un chef-d'œuvre de finesse et d'esprit
THE SILVER CORD
Irene Dunne est l'émouvante
interprète du film « The Silver
Cord ».
C'est dans les grandes pages
de la littérature française
que je vais chercher les sujets
de mes prochains films.
nous déclare René Guissart,
qui vient de terminer Primerose
C'était — à Epinay — le dernier jour
de travail de Primerose. Le décor re-
présentait un petit jardin, et seuls
Renée Dennsy et Pierre Moreno se
trouvaient sur le plateau, tous les au-
tres interprètes du film ayant déjà
complètement terminé leurs rôles.
Lorsque le dernier tour de manivelle
eut été donné, je pus m'approcher de
René Guissart.
— Fini, me dit-il, fini ! Mais cela n'a
pas été sans mal, car si en compagnie
de tous mes interprètes, Madeleine Re-
naud, Henri Rollan, Nadine Picard,
Marguerite Moreno, Lucienne Parizet
et les deux artistes que vous avez vus
tout à l'heure, le travail en studio me
fut fort agréable, nous avons tous
beaucoup souffert durant les exté-
rieurs, tournés à la mi-décembre, par
un froid voisin de — 20°. Pourtant, je
suis content : j'aime Primerose, parce
que c'est un film simple, émouvant,
profondément humain. J'ai tourné, ja-
dis, trop de vaudevilles, de comédies
gaies pour ne pas changer de genre.
Dorénavant, c'est dans les grandes pa-
ges de la littérature française que je
veux chercher mes sujets. Je vais d'ail-
leurs bientôt tourner la Glu, de Jean
Richepin, avec Edith Méra et Constant
Rémy comme principaux interprètes-
Voyez-vous, quoi qu'on en dise, c'est en-
core chez nos grands romanciers que
le cinéma peut le plus facilement trou-
ver d'innombrables sources d'inspira-
tion. On a tourné Madame Bovary, la
Bataille, on en a fait de beaux films,
de grands succès.
» La plupart des œuvres d'Anatole
France, de Victor Hugo, de Zola, de
bien d'autres encore, seront certaine-
ment portées à l'écran, et celles qui
l'ont déjà été, ont connu des carrières
durables. Il y a deux ans, nul ne vou-
lait filmer un roman, une œuvre litté-
raire connue. Maintenant, on s'y est
mis, avec juste raison, car en dehors
du public français qui témoigne d'un
intérêt évident pour les films de ce
genre, le public étranger, lui-même, s'y
intéresse. Un film français inspiré par
l'œuvre d'un écrivain connu sera tou-
jours bien accueilli, il constituera une
forme de propagande d'un intérêt cer-
tain pour le cinéma, la culture et l'es-
prit français. Sachez bien que c'est en
m'inspirant de ces principes que j'ai
tourné Primerose, et que je tournerai
la Glu. — S. B.
LA CRITIQUE DES FILMS
« Georges et Georgette »
à l'Aubert-Palace
C'est un tout petit film, gentil, gen-
til, sans grande prétention. Deux ou
trois scènes assez bien venues, font
excuser la pauvreté de ce scénario. Les
aventures de Georges et Georgette ne
nous apportent rien de nouveau, rien
de bien original, c'est du déjà vu, ni
revu, ni corrigé.
Georges est un acteur incompris. Il
le croit, du moins. En vérité, il n'a au-
cun talent et c'est parce qu'il est dé-
pourvu de qualités qu'il s'imagine être
le plus grand.
Suzanne est une jeune fille, blonde
et jolie, qui brûle de monter sur les
planches. Ses démarches demeurent
sans résultat. Georges et Suzanne se
rencontrent, se lient. Lui, joue à la ve-
dette, mais il dépasse la mesure et fait
éclater aux yeux de cette enfant tous
les dons qui lui manquent. Le voilà
contraint d'avouer à Suzanne qu'il pa-
raît tous les soirs sur une scène d'un
music-hall de troisième ordre, qu'il se
déguise en femme, qu'il ne touche
qu'un cachet de 50 francs. ---
un le voit atteint d'un terrible en-
rouement — comme tout cela est en-
fantin ! — et c'est Suzanne qui prend
sa place. Le tour est joué. Suzanne de-
vient ainsi Georgette. Il va de soi qu'elle
triomphe, elle salue, enlève sa perru-
que devant les spectateurs ; ses che-
veux sont lisses et plaqués, elle a tout
à fait l'allure d'un petit homme. Son
succès est tel qu'un manager l'engage
pour une grande tournée à l'étranger et
la voilà partie, toujours accompagnée
par le cabot à la voix cassée.
Passons vite.
Georges s'éprend à Londres d'une
girl.
Un jeune Anglais s'éprend, lui, de
Georgette.
Il l'entraîne, la fait boire, lui tend
une pipe. Il découvrira sa personnalité.
Georges, un beau soir cependant, est
acclamé. On l'engage enfin, tandis que
Suzanne — ex-Georgette — se mariera
avec le jeune Robert.
Meg Lemonnier est charmante, alerte
et spirituelle. Carette ne sait être que
bien, Oudart, dans un rôle de second
plan, se fait remarquer.
Pierre WOLFF.
Écrans et Studios
W Christian Jaque réalise : *Une heure
d'angoisse, production Alex Nalpas.
Après Une Villa d'affaires, il a entrepris
L'Atroce menace, avec Liliane Constan-
tini et Jacques Erwin.
W Aux studios G. F. F. A., Léon Ma-
thot met la dernière main au montage de
Bouboule 1er.
M, Hicks, en voyage d'étude, ne reste-
ra vraisemblablement que quelques jours
parmi nous. Il a été reçu à son arrivée à
Paris par MM. Ike Blumenthal, repré-
sentant général de Paramount pour l'Eu-
rope, et David Souhami, administrateur-
délégué de la Société Française Para-
mount.
W L'Alliance Cinématographique Euro-
péenne a retenu les dates des 27 et 28
février pour les présentations des deux
derniers films de sa nouvelle production
1934. Le 27 février, à l'Aubert-Palace,
10 heures du matin, Kate de Nagy et
Jean-Pierre Aumont dans Un jour vien-
dra, avec Félix Oudart, Marfa Dhervilly,
Gaston Cubosc, José Sergy et Simone
Héliard. Mise en scène de G. Lamprecht.
Dialogue de Serge Veber. Supervision :
Raoul Ploquin.
Le 28 février, Meg Lemonnier dans
Georges et Georgette, avec Félix Oudart,
Charles Redgie, A. Wohlbruck, Pau-
lette Dubost et Carette. Réalisation R.
Schunzel. Collaboration française Roger
Le Bon. Dialogues Henri Falk. Supervi-
sion : Raoul Ploquin.
L'A.C.E. rappelle que, seules, les per-
sonnes munies d'incitations seront admi-
ses aux présentations de l'Aubert-Palace.
Aucune carte corporative, syndicale ou
de presse ne sera acceptée. Cette mesure
est prise uniquement dans le but d'assu-
rer le maximum fie confort à ses invités
et pour éviter ainsi les malentendus qui
pourraient se produire.
W Cari Laemmle junior est parti pour
l'Europe. Il s'est embarqué récemment
à bord de VIle-de-France. Sa première
escale sera Londres, où il doit séjourner
pendant un certain temps.
LORD BYRON
132, Champs-Elysées Balzac 04-22
WALLACE JACKIE
BEERY COOPER
(Obligeamment prêtés par M.G.M)
et GEORGES RAFT
dans
"THE BOWERY"
(NEW-YORK 1886)
.« Il y a longtemps que je n'avais vu
un film aussi robuste, aussi colorié et
aussi savoureux. »
(Pour Vous)
Au même programme :
Les Trois Petits Cochons
UNITED d T mn!oCKMM rV UNITED
AURNTITISETD S JUC 0 WALT DISNEY AURNTIITSETDS
« INTERNATIONAL FOLIES », le film
du rire, continue son 3e mois d'exclusi-
vité au STUDIO 28, 10, rue Tholozé -
Perm. 3 à 7 h. Soir. 9 h. (Marc. 36-07).
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I LA BELGIQUE 1
I EST EN DEUIL I
Hj En suprême hommage au B
ROeà 1
CHEVALIER
I CINEAC I
H présente une rétrospective ■■
H de sa vie de 1909 à 1934 I
H 5, Boulevard des ITALIENS H
■H Permanent de 10 h. à minuit 30
C1N6MA MAC~El—E~i N E
Une étrange
L E T H É A T R E
Le Programme daujourd.'hui ù
)péra, demain : Hamlet, La Nuit ensorcelée.
Comédie-Française, 8 h. 45 Monna Vanna.
)Péra-Comique, 8 h. 30 : Roi d'Ys, Valses.. *
)déon, 8 h. 30 : Colomba, Tempête sur les cotes.
xaité-Lyrique, 8 h.30 ; Le Pays du Spurire (Willy Thunls).
Ubert-ler, » n. : AU pays de Bernadette.
Uhambra, 2 h. 30; 8 h. 30 : La Petite Angot.
Ambassadeurs, prochainement : La Bête Noire.
Uts, 9 h. ; L'Ami Pierrot.
Imblga, 8 h. i5 ; 3 de la Marine (Aiibert). Mat. Jeudi, sam., dim.
lté lier, 9 h. : Richard Ui. (Ch. Dullin)..
Uhénée, prochainement : File Indienne.
gn. ; Bonheur Mesdames (Michel Simon, Koval, Arletty).
JbAtelet. 8 n. 30 Rose de France (Bach. Bourdin, Danièle B ré gis)
Jom.-Cb.-Elysées, Il h. : Au grand largé.. •
Comédie- Mondaine, 9 h. : Un trou dans le mûri ;
Mjazet, an' Jules couche-toL *
irand-tinignol, 9 n. : Le Coup du a mai, Mat. mercr., sam., d1m.'
Iymnase, 9 h. ; Le Messager (Gaby Morlay, Francen),
Madeleine, 8h 45 Passage des Princes (H. Rouan. Jane Marnac).
terlgny, prochainement : L'Ecole des contribuables.
lathurina, vendredi : Christiane.
fayot,9b.: Madone du promenoir (St-Uranier, Sim Vtva, Chrlst,Dor.)..
Oebel, 9 h. ; Parole d'honneur (Renouardt, Gravey, Delbot).
lichodlère, 8 h. 30 : Les temps difficiles ( V.Boucher, Baumer, deval).
logador, 8h.30: L'Auberge.du Cheval Blanc (MUton, EL Gilbert).
lontparnanse-Gaston Baty, 9 n. ; Crime et châtiment.
looUn-Bleu, 9 tu 30 : La loterie du nu.
Nouveautés, 8 h. 30 : ici Paria ! (TrameJ, Mauncet, Morenb).
Euvre, 9 h. : Une femme qu'a le cœur trop petite
'.-Royal, 9h.: La Famille Vauberlaln (Louvlgny. 'Mals et Duvallès).
'aris-FoUea, 167, r. Montmartre. 2b., IIb., : Le nu aux nues (revue).
'avUlon, 3 et î b ; Au pays des femmes nues.
'ig^Ue, 8h.30: Chauve-Souris (Oorville, J. Berry, Pasquall).
'te-St-Martin, 8 h. 30 : Valses de Vienne (A. Bauge. L. Tragln).
tenaissance, 9 h. : Cltoyens'I (Constant-Rémy).
iarab-Bembardt. Sff.45 : Alibi -14 (Alerme. Charpin, B.Daussmond).
t-Georges, 9 h. : L'Homme (V. 'Tessier, R. DevUlers, Debucourt).
.'héâtre de Paris, 8 h. 45 ; Tovarltcb (Lefaur. Popesco).
'rianon-Lyrlque, 8 h. 30 : Fille Mme Angot (Ed. Favart, Charplnl).
Variétés, 8 h. 45 : Florestan 1er (Henry Garat, Pauley, J. Francell).
'Ieux-Colombler '(Cie Pitoëff) 9h. :La Polka des Chaises (DIm.M.3h.).
MUSIQUE
Qaveàu,- 9 h. : Art.ur Schnabel.
MUSIC-HALL
Alcazar, 3 h., 9 h. : Le vrai Caf Conc' 1900. -
Bobino, 8 h. 30 ; Tout Paris, revue de Jack Cazol.
Bon Pt Diable, 10, àv. Iéna, Mat. Jeudi, dlm., fêtes.
Casino de Paris, 8 a.45 ; C. Sorel, Vive Paris, Mat. sam., dim.
Casino-St-Martln, 8h.45 : La lanterne du grand 6. Mat. sam. et dlm
Européen, 3h.,9I?.; DrOle d'Epoque, revue (Dorin, Colline, Franconay)
Folies-Bergère, 8h.30: Folies en folie (Mistinguett). Mat.sam.,dim
Folles-Wagram s Relâche pour répétitions.
Gatté-Stndlo : T. 1. J. Mat. (3, 4, 5). Soirée (4, 6, 8). Alina de Silva
Petit-Casino, Café-Conc.,.M.S.:Poulot, Suzanne Malnvllle, Jany Falcou
CABARETS
Brummel, à à 7 h. : Esther Lekaln.
Caveau de la Bolée, 25, rue Hirondelle : 21 h. à 2 B.
Coucou, descendez 1 de Rleux et Merry, Charley, Souplex.
Deux-Anes, 9 h. : Colline, Charley, Souplex, Marsac, Revue nouvelle.
Dix-Francs, 1. rue Etoile, 9 h. : Marc-Hély, Jules Moy. On en parÎe !
Dix-Heures, 10 h. : Martini, J. Rleux et la Revue.
Humour, 9 t. : La Revue de Sarvll; Gabrlelio. ,, Cor, etc.
Lune-Rousse (58, r. Pigalle) Rev. de J. Boyer, Dorin, Miche!, Dac.
Noctambules, 9 h. : Bastia, Dac, Morelly, Pelot, rev. Y. Gulllet
Perchoir, 43, fbg" Montmartre: Bastia, Valller, As-tu vu ma Tante ï
CIRQUES, DANCING, ATTRACTIONS
Ange-Rouge-Dancing, 6, r. Fontaine. Mat. Consomm. 6 fr. Soir.: 8 fr.
Athénien, 16, rue Monceau : Jeudi : soir. Sam. et dim. : M. et S.
Cirque d'Hiver, 8 n. 30 : Spectacle nautique, les Fratellini.
Collséom. le dancing atmosphérique, te. L. J. thé et soirée. Taxt-glrls.
Luna-Park, ouvert samedis, dimanches et fêtes..
Médrano, 9 n. : Joe Jackson, 4 Flnks ayres, Mat. J. S. D.
Moulin-Bleu-Dancing, 5 à 7 h. : Danses nues.
Moaiin Rouge-Bai, 2 h.30. 9 h. : Quadrilles, Ballet : Arlequinades.
Tabarin : < Femmes ». French cancan.
Thés-Dansants, 63, Ch.-Elysées, 4- b.30 a ? b., 2 orchestres, attr.
A MEDRANO
Je crois bien que c'est Renan qui l'a
dit : Aucune idée rfe vaut qu'on lui
fasse le sacrifiee de sa vie. Or, ce n'est
même pas une idée qui incite les Rios
à braver la mort. Cet homme musclé
cette jeune femme souriante accom-
plissent leurs périlleuses p ouésses, cha-
que soir. dans le seul dessein d'assurer,
l'existence qu'ils exposent.-Nul souci de.
gloire. Ce nom bref : les «. Rios ». est
inscrit en petits caractères sur le pro-
gramme de Medrano. S'ils se tuaient.
qui se souviendrait d'eux, sinon quel-
ques amateurs, de cirque ? Et pourtant'
quels, artistes ! Quel travail! *t
Les Rios .n'ont point de filet pour
amortir leur chute éventuelle. S'ils tom-
bent ,si la main de la jeune femme glisse
dans celle de l'homme qui la retient,
c'est l'écrasement inévitable sur le sol.
Ce ebrps délicat, qui semble créé pour
la caresse et le dorlottement, ne sera
plus qu'une masse sanglante, inanimée.
Je l'ai déjà dit, vainement, hélas !
3e filet simpose. Il y a aujourd'hui chez
îles acrobates une surenchère d'héroïsme
inacceptable. C'est à qui présentera le
« numéro » le plus dangereux. Nous
devons nous opposer, nous, critiques, à
cette témérité qui n'a même point
l'avantage d'augmenter notre plaisir
Avec le filet, la : prouesse n'est pas
moins belle à contempler. Avons-nous
besoin qu'on nous rappelle la mort
quand nous assistons aux plus étonnan-
tes manifestations dé la force et de la
vie ?
Les quatre Finks Ayres sont de pro-
digieux patineurs à roulettes. Une jeune
fille, toute blonde, toute rougissante et
d'une grâce nordique ; trois hommes,
dont un est, sinon un géant, un colosse
et dont .un autre, mince et racé, appar-
tenait à cette troupe Wherlwînds qu'on
n'a pas oubliée. Le tourbillon qui ter-
mine le « numéro » en nous montrant
trois corps agrippés à celui du porteur
tournoyant est une merveille de virtuo-
sité et de maîtrise.
Joë Jackson est toujours l'inénarrable
cycliste que vous avez applaudi maintes
fois. Ce fantaisiste acrobate compte
parmi l'es plus puissantes personnalités
de la piste. Je ne referai pas son éloge,
de même que celui dErnest Schumann,
moderne Franconi, des deux Ferraris,
élégants: spécialistes du travail de
« mains à mains », de l'illusionniste
Iugo, et enfin des sept « clowns » déso-
pilants de la maison : Manetti 'et
Rhum ; Cairoli, Carletto et Porto ;
BQulicot et Recordier, qui savent com-
menter avec drôlerie la désolante ac-
tualité.
Pierre VABENNE.
informations
Ce soir:
— A la Comédie-Française, à
20 h. 45, reprise. de Monna Vanna,
de M. Maurice Maeterlinck.
— Au Trianon-Lyrique, à 20 h. 30,
première à bureaux ouverts de
Monsieur Papillon, de MM. Marcel
Favre et- Jean Monet, musique de
M. Guy Lafarge.
BRUITS DE COULISSES
Relâche à l'Opéra-Comi-
que.
A l'Opéra-Comique, en raison du deuil
national, la dixième représentation de
l'abonnement du jeudi série B, 22 fé-
vrier, est renvoyée au lundi soir 26 fé-
vrier. Le repos hebdomadaire sera ainsi
augmenté, pour tout le personnel, de
l'après-midi du 26.
Une revue de Rip
Rip travaille actuellement à une revue
qui aura pour titre Oh 1 Parle m'en. Rien
n'est encore décidé sur te choix de la
scène qui en fera la création.
De Tépran à la scène.
Alex Mandrès, ex-directeur de la Ca-
ricature, vient d'engager Madeleine Guit-
ty pour .créer prochainement le principal
rôle de : Vive la Marquise, opérette en
trois actes, au Théâtre Chansonnia, avant
de partir pour la tournée qu'il prépare.
Débuts.
Jacqueline Francell fera ses débuts
vendredi, dans le rôle d'Adèle de La
Chauve-Souris, en compagnie de Marthe
Nespoulous, nouvelle Rosalinde, et de
Charles Friant, qui en sera désormais
l'amusant Alfred. Ce même soir, le Théâ-
tre Pigalle fêtera la 125. représentation
du chef-d'œuvre de Strauss.
Débuts à la scène
Mlle Lisette Lanvin fera ses débuts à
la scène dans La Bête Noire, la pièce
nouvelle de M. Stève Passeur, en répéti-
tions au Théâtre des Ambassadeurs.
Une revue 1900
Encouragés par le triomphal succès
que remporte le Vrai Oaf' Concl 1900, M.
Varna et ses collaborateurs* préparent une
grande revue de l'époque heureuse, re-
vue des revues d'avant crise, de 1900
à. ? Cette revue sera interprétée par
une de nos plus grandes comédiennes et
passera à l'Alcazar dans une période
très difficile à déterminer, en raison du
succès du Vrai Caf' Conc' 1900. La célè-
bre danseuse Cléo de Mérode ferait par-
tie de la distribution.
La critique étrangère en
France.
L'assemblée générale annuelle de la
c Critique étrangère en France » s'est
tenue à la Maison des Journalistes, le
samedi 17 février 1934. Elle a procédé
aux élections de son Comité directeur,
Ont été élus ou réélus, à l'unanimité :
Président : M. Georges Godchaux; vice-
présidents : MM. Edmond Le Page et
Kendrew (E. G.); secrétaire -général : M.
Marcel Hauriac; trésorier : M. Maurice
Henrion; Archiviste : Mme Godchaux
(Louise) ; syndics : MM. Robert Didier,
de Roessel, G. Seligman.
Ont été nommée secrétaire? honorai-
res : MM. René André et R. Adler et
commissaire : M. Emile Harazsti.
Joë Jackson le vagabond cycliste
qui vient de débuter -à Médrano.
Au Théâtre du Petit-MoUe,
Zig et Puce
sont devenus policiers
Au Théâtre de la Madeleine, tant
d'enfants jouent dans la salle ou sur
la scène, qu'on ne sait plus très bien si
les petits acteurs de- Zig et Puce poli-
ciers interprètent des rôles ou s'amusent
pour leur propre compte.
Voici pourtant quelques tableaux
surprenants, rui font pousser aux gos-
ses des clameurs de joie ! Un cheval
entre dans un salon, un ascenseur en-
lève brusquement un héros de l'aven-
ture. Que tout cela est donc amusant !
Les visages s'illuminent de plaisir et
les couplets écrits par M. de Montbron
pour la féérie tirée par Mlle Lenôtre,
la fille de l'académicien, des albums
d'Alain de Saint-Ogan, sont fredonnés
avec entrain par de petites voix joyeu-
ses. Il est vrai que les airs en sont
déjà connus, afin que les enfants les
retiennent mieux.
Le dessinateur Moriss qui s'est char-
gé de la mise en scène, dirige avec bon-
homie cette troupe endiablée, et Mlle
Mauricette Cebron, de l'Opéra, a réglé
quelques danses simples et gracieuses.
MM. Moriss, Coquillon, Rigault, Fer-
nand Rauzéna et Bragance, Mme Co-
las Bruna tiennent également quelques
rôles dans cette féerie, mais la majo-
rité de l'interprétation se compose d'en-
fants. A Jean Bara a été confié le rôle
de Puce, tandis que les petites Martine
et Jacqueline Dumonceau seront Zig et
Dolly; enfin le petit René Creil repré-
sentera le fameux pingouin Alfred.
Au cours du deuxième acte, un jeune
Roumain, le petit Mirtcha, se fera en-
tendre dans un répertoire inédit, Com-
prenant des chansons spécialement
écrites pour lui par Mme Rosemonde
Gérard et M. Tiarko Richepin.
Zig et Puce policiers sera créé au
Petit Monde le 22, en matinée.
Annie de Mèredieu.
HARRY BAUR, Alice COCEA
- Marg. PIERRY jouent à par-
tir du 23 Février aux MA-
THURINS la comédie de M.
L. VERNEUIL, LE MARI QUE
J'AI VOULU, avec Maurice
BENARD, Denise RADIFE et
Daniel LECOURTOIS. (Loca-
tion ouverte).
X Un million cinq cent mille specta-
teurs sont déjà venus acclamer, au théâ-
tre Mogador, l'Auberge du Cheval Blanc
qui, au dix-huitième mois de ses triom-
phales représentations, continue tou-
jours sa magnifique carrière, avec Geor-
ges Milton en tête de la brillante inter-
prétation. Tous les soirs' à 8 h. 30. Jeudi
et dimanche, matinée à 2 h. 30.
1-8454-,.
O II n'y a pas de taxis flSI
Imais descendez à « Bonne-Nouvelle » I
1 mais SAINT-GRANIER » 1
t présente et joue au. I
t THEATRE MAYOL t
M LA MADONE DU PROMENOIR a
musique
Erreur de date.
C'est par erreur que le récital que doit
donner le pianiste Braïlowsky, au Théâ-
-tre des Champs-Elysées, a été annoncé
par plusieurs quotidiens pour le 21 fé-
vrier. C'est le 21 mars que ce récital aura
lieu.
L'O. S. P. à Toulon.
Une tentative de décentralisation ar-
tistique, dont les résultats se sont révélés
des plus satisfaisants, vient d'être faite
par l'orchestre Symphonique de Paris,
sous la direction du maître Pierre Mon-
.teux, à Toulon, ville où jamais aucun or-
chestre parisien n'avait encore donné de
concerts. Le public, nombreux, parut
goûter très vivement des œuvres moder-
nes et peu entendues en province, telles
que Pétrouchka, et témoigna d'un désir
certain de voir renouveler cette excellen-
te propagande pour la musiqùe moderne,
CONCERTS PASDELOUP CThh-. Ebd-e8s.
Sam. 24-2, 17 h. - Mmes P. GILLl:, PL
GNARI-SALL.ES, G. LEROUX, P. GOR-
DON. - M. M. SINGHER
Beethoven, Bach, Fauré, de Falla
Chef d'orch. : GUSTAVE BRET
Dw 'h.233o GALA JOHANN STRAUSS
avec Mme ELLICE ILLIARD, cantatrice
Valses et ouvertures célèbres
Chef d'orch. : JOHANN STRAUSS
M Th. des Champs-Elysées.
Mercredi 21 février à 21 heures
CHARLOTTE
DAUVIA
VEDETTE POLYDOR
présent, à son récital ses nouv. créât.
J'allume une cigarette, de Dallin
Le mot que j'aime de C.A. Bixio
- LOC. : DURAND-DANDELOT-
Mercredi 21 et mardi 27 février 21 h.
SALLE ERARD, 13, rue du Mail
Deux récitals par le célèbre pianiste
YVES NAT
Le 21 Février Beethoven-Chopin-Bramhs-Uszt
Le 27 février, Festival Schumann
Bill. 10 à 35 fr. Sal. édit Kiesgen ïsaye.
music-hall
X Vrai Caf' Gond 1POO. - Toutes les
vedettes de cette époque heureuse, gom-
meuses, chahuteuses, diseuses, spectacle
essentiellement gai et amusant à YAlcar
zar, 8, Fbg Montmartre (Métro Mont-
martre). Matinée Faut. 10, 7 fr. Soirée
10, 15 fr. - Promenoir 5 francs.
- PETIT-CASINO -
ILe café-concert de Paris 1
) Cette semaine programme gai avec le I
j fantaisiste POULOT - les Marcoli I
z acrobates comiques - Jany Falcou I
Halfa et Cie - les Sotomayor, etc. |
- Mat. et soir. faut. à partr de 3 fr..
cabarets
Le « Club des Lapins »
a ouvert ses portes
au cours d'une nuit
très parisienne
Rarement boîte de nuit ne présenta un
spectacle d'attractions aussi judicieuse-
ment choisi, aussi parfait que le « Club
des Lapins ». Mais jamais aussi, il faut
le dire, bravos ne retentirent aussi una-
nimes, aussi enthousiastes que ceux dont
retentit ce nouvel établissement, jeudi
soir, au cours de son inauguration.
Dans la salle coquette, délicieusement
décortj par J. D. van Caulaert, trè
nombreux vinrent les invités, reçus pajj
Joe Zelli lui-même, dont l'amabilité dé«
bordante a su créer, dès cette première:
nuit, l'atmosphère la plus chaudement
sympathique qui soit. !
On entendit, tout d'abord, Leardy et
Verly qui, faisant leur rentrée à Paris-'
présentent un tour de chant absolument!
charmant. Aux célèbres duettistes succès
dèrent les quatre « Etoiles bleues », ces!
exquises chanteuses du Perchoir dont lai
succès fut considérable. Puis, le chan.
sonnier Paul Clérono, et, enfin, Evelyni
Dowe dont le charmé; le talent, atteiJ
gnent au maximum d'effet. La douceur,;
la mélancolie de sa voix, de son regarda
de ses attitudes conquirent d'emblée tous;
les convives. Elle était accompagnée du;
pianiste Alex Stone qui eut, lui aussi, sar
part de compliments. 1
Nul doute qu'avec un programme sem-*
blable le « Club des Lapins » ne deviennai
le plus célèbre cabaret de nuit parisien.)
Des chansons portu
gaises 1
Une belle artiste portugaise, Mlle Co.,
rina Freire est actuellement l'hôtesse de
Paris. Elle fait entendre au cabaret Ro-
coco les vieilles chansons de son pays
les fados qu'on entend encore dans le^
rues de Lisbonne et de Porto et qui céJ
lèbrent les amours des rois portugais eti
les exploits de Vasco de Gama. C'est
dans le pittoresque costume des femme.
du peuple portugaises qu'elle chante d"
ve.nt le public parisien. 1
-
X Un spectacle signé « Dix-Heures «
Est garanti gai pour deux heures t
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CABANE CUBAINE, 42, r. Fontalne, Rumba.
CLUB DES LAPINS, 16. rue Caumartin.
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il
Paris-soir
LE CINEMA
/><* Programme d'u¡ourd"hu. ☆
Actualités Clné-Paris-solr (5, av. de la République), P. de 10 a 24 ù.
Actualités Clnéphone (6, bd des Italiens). Perm. de 12 à 24 h.
Actualités Ciné-Auto (31, bd des Italiens). Perm de 12 à 24 h.
Agriculteurs, 15 et 21 b. : La Déchéance de Miss Drake.
Apollo, Perm. 14 n. à 2 h. du matin : Le Monde change - Tombeur.
+ Artistic, 14 h.30 et 20 h. 30 : Lady 10u (vers. orig.).
Aubert-Palace. Perm. 10 à 24 h. : Georges et Georgette.
AuteoiLBon-Clnéma. 20 h. 30 : Jugement de minuit - Cognasse.
BARBES, 14 n. 3U, 20 n. 30 : Simone est comme ça.
Bonaparte, 15 h. et 21 h. : Madame Bovary.
Bouffes-du-Nord, 14 h.30, 20 h.30 : Une femme survint.
Boulvardia, Perm. 12 à 24 h. : Le chant du prisonnier.
* Caméo, Perm. 10 n. a 0 n". 30 : La vie privée d'Henri VIII.
CAPITOLE, 20 h. 30 : Simone est comme ça (Perchicot).
Casino de GreneUe, 20 b. 40 : Colomba • Du haut en bas.
Carillon, Perm. de 10 a 24 h. : Knock.
Champs-Elysées, P. 14h.30 et 19h., soir. 21D.15 ; Comme tu me veux.
Cigale-Ciné, 14 h. 30 et 20 h. 30 ; Simone est comme ça.
Cime-Opéra, Perm. 2 h. à 8 h., soir. 9 h. : Madame Bovary.
CINE-PATHE-ORLEANS, 14 h.45, 20 h.45 : Le Petit roi.
Clichy-Palace, Perm. 14 h. à 19h.,soir.20b.4S : Le coq du régiment.
Cluny-Palace, 14h.30, 20h.30 : Abbé Constantin - Crime S. Bonnard.
+ Colisée, Perm.14h.50 à 19b.30, soir.21h. : Melody Crulse.
+ Convention, 14 h.30 et 20 h.30 : Fakir du Grand Hôtel.
Comoedia, 14 b.30, 20 h. : Ame de clown - En prise directe.
Courcelles, Perm. 14 h.30 à 19 h., soir. 21 h. : Take a chance.
Delta : Simone est comme ça.
DEMOURS, Soir. 20 h. 45 : L'Amour guide (M. Chevalier).
i
Edouard-VU, Perm. 14 h.30 a 19 h., soir. 21 h. : Hoopla.
Eldorado, Perm. 12 h. â 19 h., soir. à 20 h.30 : Fakir du gd HOtel.
+ Elysée-Gaumont, P. 14 h. à 1 h. Design for living (Sérén. à 3).
EBMITAGE-CLUB-DES-URSULINES, 15h.15 et 21b.: Les sans-soucis
Fourmi, 14 h. 30 : Metteur en scène - Dr Mabuse.
Gaité-Rochechouart, Perm. 14 h. a 19 h., soir. 20 h. 30 : Le Tunnel.
+ Gambetta, 14 h. 30 et 20 h. 40 : L'Illustre Maurin.
+ Ganmont-PaIace.'Perm.14b. à 19b., soir,21b.: L'Agonie des Algies.
+ Gaumont-Théâtre, Perm. de 10 à 24 h. : Mireille.
Gloria-Palace, P.14 à 19h.,20h.45: La flue du rég.. Ecole d. auteurs.
+ Grand-Ciné-Aubert, 14 h.30 et 20 h.30 : Fakir du Gd Hôtel.
+ Grenelle-Aubert, 14 h. 30 et 20 h. 30 : L'Illustre Maurin.
IMPERIAL, Perm.de 14h.30 a 0 h.30: Leopol le bien aime (M.Simon)
Impérator, Mat.14h.30, soir. 20h.30: Jènny Frlsco Vive la classe.
Klnêrama. 13 a 24 h.: Caprice princesse - Une vie trépidante.
Lord-Byron, 14h.30, 16H.45 et 21h.l5 : The Bowery.
Longer, 14 h. 30 et 20 h. 45 : Le sexe faible (V. Boucher).
LUTETIA. Perm. de 14 h. a 19 h., 20 h.30 : Charlemagne (Raimu).
LYON-PATHE, 14 h. 30, 20 h. 30 : Le sexe faible (V. Boucher).
Madeleine, 12 h. 30 à 1 h. 30 : Esquimaux.
Maillot-Palace, Perm.de 14h.a I9h.,solr.20h.40: Simone est comm.ça.
+ Marcadet-Palace, 14 h.30 et 20 h.30 : Fakir du gd Hôtel.
MARIGNAN, Perm. de 14 h. 30 a 24 h. : La Bataille.
MARIVAUX, 14h.l5,16h.30,P.20h.30 à 2 h. : Les Misérables (2* fUm)
MAX-LINDER, 14 h.. 16 h.30, 20 h.45 : King-Kong.
METROPOLE, 20 h.45 : Simone est comme ça.
Miracles, 16 h. et 22 h. : Catherine de Russie.
Moncey (50,a.de Clichy) P. 1411.30. 19h.45, 20h.30 : Tunnel (J.Gallm)
Montcalm, Mat. I5h.,soir.20h.45 : Tendron d'Achille - Gd amour.
Montrouge-Aubert, 14 h.30 et 20 h.30 : Fakir du gd Hôtel.
+ Montrouge-Théâtre, 14 h.30 et 20 h.30 : Le Tunnel.
MOULIN-ROUGE, 14 h., 16 h.30, 21h.35 : La Châtelaine du Liban.
MOZART-PATHE, 14h.45 et 20 h.45 : L'Amour guide (M. Chevalier)
+ Olympia, Perm. 10 h.30 a 3 h. du mat. : N'épouse pas ta fille.
OMNIA-PATEIE : Relâche.
Pagode, Perm. de 14 h. 15 a 19 h., soir. a 21 h. : J'étais une espionne
Palace-ltalle (PMtaUe) 14h.30, 20h.30 : Simone est comme ça.
+ Palais-Rochechouart, 14 h.30, 20h.30 : Fakir du Gd Hôtel.
+ Paradis, 20 h, 30 : L'Illustre Maurin.
Panthéon, 14h.30, 16h.45, soir.21 h. : Brennendes Gehelmnis (s.t.fr.).
Paramonnt, Perm. 9 h.30 à 2 h. du mat. : Les Misérables.
Raspail-216, 1411.30, 16h.30, 20h.30 et 22h.30 : The sUver cord.
+ Réglna-Palace, 14 h.30 et 20 b.30 : L'Illustre Maurin.
♦ Rex, Perm. de 12 b. a 1 h. du mat. : Trois pour cent.
ROYAL, Perm. de 14 à 19 h., s. 20 h.45 : Aventures du Roi Pausole.
Roxy, 14 h.45 et 20 h.30 : Gendre M. Poirier - Jofrot.
SAINT-MARCEL, 20 n.45 : Le sexe faible (V. Boucher).
+ Saint-Paul-Aubert, 14 b.30 et 20 h.30 : Fakir du Gd BOte"
Secrétan, 14 b.30, 20 h.30 ; Une vie trépidante Colomba.
SELECT, 14 h.45 et 20 h.30 : L'Amour guide (M. Chevalier).
SEVRES-PATHE, Perm. 14 à 19 h., s. 20 h.45 : Cavalcade.
Splendide-Ctnéma, I4b.30, 16h.30, 20h.45 : Le chemin du bonheur.
SplendJde-15t, 14 h.30, 20 h.45 : Une vie trépidante.
Studio-Acacias, 14 h., 21 h. 15 : lOnty Yesterday.
Studio-Caumartin, Perm. de 14 h. a 19 h., soir. 21 h.: Lady for a day.
Studio-Diamant, 15 h. et 21 h. : Below the sea.
Studio-Etoile, 14 b.30, 16 h.45, 21 h. : Symphonie Inachevée.
Studio-Parnasse, Mat. 15 b., soir. 9 h. : Okralna.
Studlo-28, Perm. 15 h. à 19 h., soir. 21 b. : International folles.
Studlo-Universel(31.a.Opéra):P.14h. a 20h.,s.21b.l5: Chanteuse cabar.
Ternes, 14 n.30 et 20 n.30 : Colomba - Surprises sleeping.
Tivoli. 14 h.30 et 20 h. 40 : Fakir Gd HOtel.
Ursulines, 15 n. 15 et 21 h. : La rue sans nom.
VICTOR-HUGO, 14 b.30 et 20 h. 45 : Knoch (L. Jouvet).
Washington, Perm. 14 h.30 a 24 b. : Mad age - Big Money (s.-t.fr.).
- Demain à 10 heures au Courcelles, les Films Elte présenteront -
« Mary Rose et Rose Marie » et à 10 heures au Palais-Ro-
chechouart, G.F.F.A. présentera « Chourlnette ».
Pour le programme détaillé des salles soulignées, consulter la publicité.
Les salles en majuscules appartiennent au circuit Pathé-Natan
Les salles précédées du signe. appartiennent au circuit G.F.F.A. et Jacques Haïk.
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RÉALISÉ PAR RAYMOND BERNARD CAPRES L'ŒUVRE DE VIC T OQ-HUGO
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FREDERIC MARCH
GARY COOPER
MIRIAM HOPKINS
Edw. Ev. HORTON
m""i.c£u6tÙV&
FILM PARAI'fOUNr
1 Un chef-d'œuvre de finesse et d'esprit
THE SILVER CORD
Irene Dunne est l'émouvante
interprète du film « The Silver
Cord ».
C'est dans les grandes pages
de la littérature française
que je vais chercher les sujets
de mes prochains films.
nous déclare René Guissart,
qui vient de terminer Primerose
C'était — à Epinay — le dernier jour
de travail de Primerose. Le décor re-
présentait un petit jardin, et seuls
Renée Dennsy et Pierre Moreno se
trouvaient sur le plateau, tous les au-
tres interprètes du film ayant déjà
complètement terminé leurs rôles.
Lorsque le dernier tour de manivelle
eut été donné, je pus m'approcher de
René Guissart.
— Fini, me dit-il, fini ! Mais cela n'a
pas été sans mal, car si en compagnie
de tous mes interprètes, Madeleine Re-
naud, Henri Rollan, Nadine Picard,
Marguerite Moreno, Lucienne Parizet
et les deux artistes que vous avez vus
tout à l'heure, le travail en studio me
fut fort agréable, nous avons tous
beaucoup souffert durant les exté-
rieurs, tournés à la mi-décembre, par
un froid voisin de — 20°. Pourtant, je
suis content : j'aime Primerose, parce
que c'est un film simple, émouvant,
profondément humain. J'ai tourné, ja-
dis, trop de vaudevilles, de comédies
gaies pour ne pas changer de genre.
Dorénavant, c'est dans les grandes pa-
ges de la littérature française que je
veux chercher mes sujets. Je vais d'ail-
leurs bientôt tourner la Glu, de Jean
Richepin, avec Edith Méra et Constant
Rémy comme principaux interprètes-
Voyez-vous, quoi qu'on en dise, c'est en-
core chez nos grands romanciers que
le cinéma peut le plus facilement trou-
ver d'innombrables sources d'inspira-
tion. On a tourné Madame Bovary, la
Bataille, on en a fait de beaux films,
de grands succès.
» La plupart des œuvres d'Anatole
France, de Victor Hugo, de Zola, de
bien d'autres encore, seront certaine-
ment portées à l'écran, et celles qui
l'ont déjà été, ont connu des carrières
durables. Il y a deux ans, nul ne vou-
lait filmer un roman, une œuvre litté-
raire connue. Maintenant, on s'y est
mis, avec juste raison, car en dehors
du public français qui témoigne d'un
intérêt évident pour les films de ce
genre, le public étranger, lui-même, s'y
intéresse. Un film français inspiré par
l'œuvre d'un écrivain connu sera tou-
jours bien accueilli, il constituera une
forme de propagande d'un intérêt cer-
tain pour le cinéma, la culture et l'es-
prit français. Sachez bien que c'est en
m'inspirant de ces principes que j'ai
tourné Primerose, et que je tournerai
la Glu. — S. B.
LA CRITIQUE DES FILMS
« Georges et Georgette »
à l'Aubert-Palace
C'est un tout petit film, gentil, gen-
til, sans grande prétention. Deux ou
trois scènes assez bien venues, font
excuser la pauvreté de ce scénario. Les
aventures de Georges et Georgette ne
nous apportent rien de nouveau, rien
de bien original, c'est du déjà vu, ni
revu, ni corrigé.
Georges est un acteur incompris. Il
le croit, du moins. En vérité, il n'a au-
cun talent et c'est parce qu'il est dé-
pourvu de qualités qu'il s'imagine être
le plus grand.
Suzanne est une jeune fille, blonde
et jolie, qui brûle de monter sur les
planches. Ses démarches demeurent
sans résultat. Georges et Suzanne se
rencontrent, se lient. Lui, joue à la ve-
dette, mais il dépasse la mesure et fait
éclater aux yeux de cette enfant tous
les dons qui lui manquent. Le voilà
contraint d'avouer à Suzanne qu'il pa-
raît tous les soirs sur une scène d'un
music-hall de troisième ordre, qu'il se
déguise en femme, qu'il ne touche
qu'un cachet de 50 francs. ---
un le voit atteint d'un terrible en-
rouement — comme tout cela est en-
fantin ! — et c'est Suzanne qui prend
sa place. Le tour est joué. Suzanne de-
vient ainsi Georgette. Il va de soi qu'elle
triomphe, elle salue, enlève sa perru-
que devant les spectateurs ; ses che-
veux sont lisses et plaqués, elle a tout
à fait l'allure d'un petit homme. Son
succès est tel qu'un manager l'engage
pour une grande tournée à l'étranger et
la voilà partie, toujours accompagnée
par le cabot à la voix cassée.
Passons vite.
Georges s'éprend à Londres d'une
girl.
Un jeune Anglais s'éprend, lui, de
Georgette.
Il l'entraîne, la fait boire, lui tend
une pipe. Il découvrira sa personnalité.
Georges, un beau soir cependant, est
acclamé. On l'engage enfin, tandis que
Suzanne — ex-Georgette — se mariera
avec le jeune Robert.
Meg Lemonnier est charmante, alerte
et spirituelle. Carette ne sait être que
bien, Oudart, dans un rôle de second
plan, se fait remarquer.
Pierre WOLFF.
Écrans et Studios
W Christian Jaque réalise : *Une heure
d'angoisse, production Alex Nalpas.
Après Une Villa d'affaires, il a entrepris
L'Atroce menace, avec Liliane Constan-
tini et Jacques Erwin.
W Aux studios G. F. F. A., Léon Ma-
thot met la dernière main au montage de
Bouboule 1er.
M, Hicks, en voyage d'étude, ne reste-
ra vraisemblablement que quelques jours
parmi nous. Il a été reçu à son arrivée à
Paris par MM. Ike Blumenthal, repré-
sentant général de Paramount pour l'Eu-
rope, et David Souhami, administrateur-
délégué de la Société Française Para-
mount.
W L'Alliance Cinématographique Euro-
péenne a retenu les dates des 27 et 28
février pour les présentations des deux
derniers films de sa nouvelle production
1934. Le 27 février, à l'Aubert-Palace,
10 heures du matin, Kate de Nagy et
Jean-Pierre Aumont dans Un jour vien-
dra, avec Félix Oudart, Marfa Dhervilly,
Gaston Cubosc, José Sergy et Simone
Héliard. Mise en scène de G. Lamprecht.
Dialogue de Serge Veber. Supervision :
Raoul Ploquin.
Le 28 février, Meg Lemonnier dans
Georges et Georgette, avec Félix Oudart,
Charles Redgie, A. Wohlbruck, Pau-
lette Dubost et Carette. Réalisation R.
Schunzel. Collaboration française Roger
Le Bon. Dialogues Henri Falk. Supervi-
sion : Raoul Ploquin.
L'A.C.E. rappelle que, seules, les per-
sonnes munies d'incitations seront admi-
ses aux présentations de l'Aubert-Palace.
Aucune carte corporative, syndicale ou
de presse ne sera acceptée. Cette mesure
est prise uniquement dans le but d'assu-
rer le maximum fie confort à ses invités
et pour éviter ainsi les malentendus qui
pourraient se produire.
W Cari Laemmle junior est parti pour
l'Europe. Il s'est embarqué récemment
à bord de VIle-de-France. Sa première
escale sera Londres, où il doit séjourner
pendant un certain temps.
LORD BYRON
132, Champs-Elysées Balzac 04-22
WALLACE JACKIE
BEERY COOPER
(Obligeamment prêtés par M.G.M)
et GEORGES RAFT
dans
"THE BOWERY"
(NEW-YORK 1886)
.« Il y a longtemps que je n'avais vu
un film aussi robuste, aussi colorié et
aussi savoureux. »
(Pour Vous)
Au même programme :
Les Trois Petits Cochons
UNITED d T mn!oCKMM rV UNITED
AURNTITISETD S JUC 0 WALT DISNEY AURNTIITSETDS
« INTERNATIONAL FOLIES », le film
du rire, continue son 3e mois d'exclusi-
vité au STUDIO 28, 10, rue Tholozé -
Perm. 3 à 7 h. Soir. 9 h. (Marc. 36-07).
REX
TROIS POUR CENT
SIGNORET
Rendez-vous à
L'AUBERT-PALACE
GEORGES et
GEORGETTE
- Studio Universel HMI
I 31, avenue de l'Opéra. Opé. 01-12
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PATHE-NATAN
7e SEMAINE
LA BATAILLE
AVEC
CHARLES BOYER
et
ANNABELLA 1
En matinée, fauteuils à partir de 8 francs
et en soirée, à partir de 10 francs
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PATHÉ-NATAN
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En matinée, fauteuils à partir de 6 fre
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nHunuBM
I LA BELGIQUE 1
I EST EN DEUIL I
Hj En suprême hommage au B
ROeà 1
CHEVALIER
I CINEAC I
H présente une rétrospective ■■
H de sa vie de 1909 à 1934 I
H 5, Boulevard des ITALIENS H
■H Permanent de 10 h. à minuit 30
C1N6MA MAC~El—E~i N E
Une étrange
L E T H É A T R E
Le Programme daujourd.'hui ù
)péra, demain : Hamlet, La Nuit ensorcelée.
Comédie-Française, 8 h. 45 Monna Vanna.
)Péra-Comique, 8 h. 30 : Roi d'Ys, Valses.. *
)déon, 8 h. 30 : Colomba, Tempête sur les cotes.
xaité-Lyrique, 8 h.30 ; Le Pays du Spurire (Willy Thunls).
Ubert-ler, » n. : AU pays de Bernadette.
Uhambra, 2 h. 30; 8 h. 30 : La Petite Angot.
Ambassadeurs, prochainement : La Bête Noire.
Uts, 9 h. ; L'Ami Pierrot.
Imblga, 8 h. i5 ; 3 de la Marine (Aiibert). Mat. Jeudi, sam., dim.
lté lier, 9 h. : Richard Ui. (Ch. Dullin)..
Uhénée, prochainement : File Indienne.
gn. ; Bonheur Mesdames (Michel Simon, Koval, Arletty).
JbAtelet. 8 n. 30 Rose de France (Bach. Bourdin, Danièle B ré gis)
Jom.-Cb.-Elysées, Il h. : Au grand largé.. •
Comédie- Mondaine, 9 h. : Un trou dans le mûri ;
Mjazet, an' Jules couche-toL *
irand-tinignol, 9 n. : Le Coup du a mai, Mat. mercr., sam., d1m.'
Iymnase, 9 h. ; Le Messager (Gaby Morlay, Francen),
Madeleine, 8h 45 Passage des Princes (H. Rouan. Jane Marnac).
terlgny, prochainement : L'Ecole des contribuables.
lathurina, vendredi : Christiane.
fayot,9b.: Madone du promenoir (St-Uranier, Sim Vtva, Chrlst,Dor.)..
Oebel, 9 h. ; Parole d'honneur (Renouardt, Gravey, Delbot).
lichodlère, 8 h. 30 : Les temps difficiles ( V.Boucher, Baumer, deval).
logador, 8h.30: L'Auberge.du Cheval Blanc (MUton, EL Gilbert).
lontparnanse-Gaston Baty, 9 n. ; Crime et châtiment.
looUn-Bleu, 9 tu 30 : La loterie du nu.
Nouveautés, 8 h. 30 : ici Paria ! (TrameJ, Mauncet, Morenb).
Euvre, 9 h. : Une femme qu'a le cœur trop petite
'.-Royal, 9h.: La Famille Vauberlaln (Louvlgny. 'Mals et Duvallès).
'aris-FoUea, 167, r. Montmartre. 2b., IIb., : Le nu aux nues (revue).
'avUlon, 3 et î b ; Au pays des femmes nues.
'ig^Ue, 8h.30: Chauve-Souris (Oorville, J. Berry, Pasquall).
'te-St-Martin, 8 h. 30 : Valses de Vienne (A. Bauge. L. Tragln).
tenaissance, 9 h. : Cltoyens'I (Constant-Rémy).
iarab-Bembardt. Sff.45 : Alibi -14 (Alerme. Charpin, B.Daussmond).
t-Georges, 9 h. : L'Homme (V. 'Tessier, R. DevUlers, Debucourt).
.'héâtre de Paris, 8 h. 45 ; Tovarltcb (Lefaur. Popesco).
'rianon-Lyrlque, 8 h. 30 : Fille Mme Angot (Ed. Favart, Charplnl).
Variétés, 8 h. 45 : Florestan 1er (Henry Garat, Pauley, J. Francell).
'Ieux-Colombler '(Cie Pitoëff) 9h. :La Polka des Chaises (DIm.M.3h.).
MUSIQUE
Qaveàu,- 9 h. : Art.ur Schnabel.
MUSIC-HALL
Alcazar, 3 h., 9 h. : Le vrai Caf Conc' 1900. -
Bobino, 8 h. 30 ; Tout Paris, revue de Jack Cazol.
Bon Pt Diable, 10, àv. Iéna, Mat. Jeudi, dlm., fêtes.
Casino de Paris, 8 a.45 ; C. Sorel, Vive Paris, Mat. sam., dim.
Casino-St-Martln, 8h.45 : La lanterne du grand 6. Mat. sam. et dlm
Européen, 3h.,9I?.; DrOle d'Epoque, revue (Dorin, Colline, Franconay)
Folies-Bergère, 8h.30: Folies en folie (Mistinguett). Mat.sam.,dim
Folles-Wagram s Relâche pour répétitions.
Gatté-Stndlo : T. 1. J. Mat. (3, 4, 5). Soirée (4, 6, 8). Alina de Silva
Petit-Casino, Café-Conc.,.M.S.:Poulot, Suzanne Malnvllle, Jany Falcou
CABARETS
Brummel, à à 7 h. : Esther Lekaln.
Caveau de la Bolée, 25, rue Hirondelle : 21 h. à 2 B.
Coucou, descendez 1 de Rleux et Merry, Charley, Souplex.
Deux-Anes, 9 h. : Colline, Charley, Souplex, Marsac, Revue nouvelle.
Dix-Francs, 1. rue Etoile, 9 h. : Marc-Hély, Jules Moy. On en parÎe !
Dix-Heures, 10 h. : Martini, J. Rleux et la Revue.
Humour, 9 t. : La Revue de Sarvll; Gabrlelio. ,, Cor, etc.
Lune-Rousse (58, r. Pigalle) Rev. de J. Boyer, Dorin, Miche!, Dac.
Noctambules, 9 h. : Bastia, Dac, Morelly, Pelot, rev. Y. Gulllet
Perchoir, 43, fbg" Montmartre: Bastia, Valller, As-tu vu ma Tante ï
CIRQUES, DANCING, ATTRACTIONS
Ange-Rouge-Dancing, 6, r. Fontaine. Mat. Consomm. 6 fr. Soir.: 8 fr.
Athénien, 16, rue Monceau : Jeudi : soir. Sam. et dim. : M. et S.
Cirque d'Hiver, 8 n. 30 : Spectacle nautique, les Fratellini.
Collséom. le dancing atmosphérique, te. L. J. thé et soirée. Taxt-glrls.
Luna-Park, ouvert samedis, dimanches et fêtes..
Médrano, 9 n. : Joe Jackson, 4 Flnks ayres, Mat. J. S. D.
Moulin-Bleu-Dancing, 5 à 7 h. : Danses nues.
Moaiin Rouge-Bai, 2 h.30. 9 h. : Quadrilles, Ballet : Arlequinades.
Tabarin : < Femmes ». French cancan.
Thés-Dansants, 63, Ch.-Elysées, 4- b.30 a ? b., 2 orchestres, attr.
A MEDRANO
Je crois bien que c'est Renan qui l'a
dit : Aucune idée rfe vaut qu'on lui
fasse le sacrifiee de sa vie. Or, ce n'est
même pas une idée qui incite les Rios
à braver la mort. Cet homme musclé
cette jeune femme souriante accom-
plissent leurs périlleuses p ouésses, cha-
que soir. dans le seul dessein d'assurer,
l'existence qu'ils exposent.-Nul souci de.
gloire. Ce nom bref : les «. Rios ». est
inscrit en petits caractères sur le pro-
gramme de Medrano. S'ils se tuaient.
qui se souviendrait d'eux, sinon quel-
ques amateurs, de cirque ? Et pourtant'
quels, artistes ! Quel travail! *t
Les Rios .n'ont point de filet pour
amortir leur chute éventuelle. S'ils tom-
bent ,si la main de la jeune femme glisse
dans celle de l'homme qui la retient,
c'est l'écrasement inévitable sur le sol.
Ce ebrps délicat, qui semble créé pour
la caresse et le dorlottement, ne sera
plus qu'une masse sanglante, inanimée.
Je l'ai déjà dit, vainement, hélas !
3e filet simpose. Il y a aujourd'hui chez
îles acrobates une surenchère d'héroïsme
inacceptable. C'est à qui présentera le
« numéro » le plus dangereux. Nous
devons nous opposer, nous, critiques, à
cette témérité qui n'a même point
l'avantage d'augmenter notre plaisir
Avec le filet, la : prouesse n'est pas
moins belle à contempler. Avons-nous
besoin qu'on nous rappelle la mort
quand nous assistons aux plus étonnan-
tes manifestations dé la force et de la
vie ?
Les quatre Finks Ayres sont de pro-
digieux patineurs à roulettes. Une jeune
fille, toute blonde, toute rougissante et
d'une grâce nordique ; trois hommes,
dont un est, sinon un géant, un colosse
et dont .un autre, mince et racé, appar-
tenait à cette troupe Wherlwînds qu'on
n'a pas oubliée. Le tourbillon qui ter-
mine le « numéro » en nous montrant
trois corps agrippés à celui du porteur
tournoyant est une merveille de virtuo-
sité et de maîtrise.
Joë Jackson est toujours l'inénarrable
cycliste que vous avez applaudi maintes
fois. Ce fantaisiste acrobate compte
parmi l'es plus puissantes personnalités
de la piste. Je ne referai pas son éloge,
de même que celui dErnest Schumann,
moderne Franconi, des deux Ferraris,
élégants: spécialistes du travail de
« mains à mains », de l'illusionniste
Iugo, et enfin des sept « clowns » déso-
pilants de la maison : Manetti 'et
Rhum ; Cairoli, Carletto et Porto ;
BQulicot et Recordier, qui savent com-
menter avec drôlerie la désolante ac-
tualité.
Pierre VABENNE.
informations
Ce soir:
— A la Comédie-Française, à
20 h. 45, reprise. de Monna Vanna,
de M. Maurice Maeterlinck.
— Au Trianon-Lyrique, à 20 h. 30,
première à bureaux ouverts de
Monsieur Papillon, de MM. Marcel
Favre et- Jean Monet, musique de
M. Guy Lafarge.
BRUITS DE COULISSES
Relâche à l'Opéra-Comi-
que.
A l'Opéra-Comique, en raison du deuil
national, la dixième représentation de
l'abonnement du jeudi série B, 22 fé-
vrier, est renvoyée au lundi soir 26 fé-
vrier. Le repos hebdomadaire sera ainsi
augmenté, pour tout le personnel, de
l'après-midi du 26.
Une revue de Rip
Rip travaille actuellement à une revue
qui aura pour titre Oh 1 Parle m'en. Rien
n'est encore décidé sur te choix de la
scène qui en fera la création.
De Tépran à la scène.
Alex Mandrès, ex-directeur de la Ca-
ricature, vient d'engager Madeleine Guit-
ty pour .créer prochainement le principal
rôle de : Vive la Marquise, opérette en
trois actes, au Théâtre Chansonnia, avant
de partir pour la tournée qu'il prépare.
Débuts.
Jacqueline Francell fera ses débuts
vendredi, dans le rôle d'Adèle de La
Chauve-Souris, en compagnie de Marthe
Nespoulous, nouvelle Rosalinde, et de
Charles Friant, qui en sera désormais
l'amusant Alfred. Ce même soir, le Théâ-
tre Pigalle fêtera la 125. représentation
du chef-d'œuvre de Strauss.
Débuts à la scène
Mlle Lisette Lanvin fera ses débuts à
la scène dans La Bête Noire, la pièce
nouvelle de M. Stève Passeur, en répéti-
tions au Théâtre des Ambassadeurs.
Une revue 1900
Encouragés par le triomphal succès
que remporte le Vrai Oaf' Concl 1900, M.
Varna et ses collaborateurs* préparent une
grande revue de l'époque heureuse, re-
vue des revues d'avant crise, de 1900
à. ? Cette revue sera interprétée par
une de nos plus grandes comédiennes et
passera à l'Alcazar dans une période
très difficile à déterminer, en raison du
succès du Vrai Caf' Conc' 1900. La célè-
bre danseuse Cléo de Mérode ferait par-
tie de la distribution.
La critique étrangère en
France.
L'assemblée générale annuelle de la
c Critique étrangère en France » s'est
tenue à la Maison des Journalistes, le
samedi 17 février 1934. Elle a procédé
aux élections de son Comité directeur,
Ont été élus ou réélus, à l'unanimité :
Président : M. Georges Godchaux; vice-
présidents : MM. Edmond Le Page et
Kendrew (E. G.); secrétaire -général : M.
Marcel Hauriac; trésorier : M. Maurice
Henrion; Archiviste : Mme Godchaux
(Louise) ; syndics : MM. Robert Didier,
de Roessel, G. Seligman.
Ont été nommée secrétaire? honorai-
res : MM. René André et R. Adler et
commissaire : M. Emile Harazsti.
Joë Jackson le vagabond cycliste
qui vient de débuter -à Médrano.
Au Théâtre du Petit-MoUe,
Zig et Puce
sont devenus policiers
Au Théâtre de la Madeleine, tant
d'enfants jouent dans la salle ou sur
la scène, qu'on ne sait plus très bien si
les petits acteurs de- Zig et Puce poli-
ciers interprètent des rôles ou s'amusent
pour leur propre compte.
Voici pourtant quelques tableaux
surprenants, rui font pousser aux gos-
ses des clameurs de joie ! Un cheval
entre dans un salon, un ascenseur en-
lève brusquement un héros de l'aven-
ture. Que tout cela est donc amusant !
Les visages s'illuminent de plaisir et
les couplets écrits par M. de Montbron
pour la féérie tirée par Mlle Lenôtre,
la fille de l'académicien, des albums
d'Alain de Saint-Ogan, sont fredonnés
avec entrain par de petites voix joyeu-
ses. Il est vrai que les airs en sont
déjà connus, afin que les enfants les
retiennent mieux.
Le dessinateur Moriss qui s'est char-
gé de la mise en scène, dirige avec bon-
homie cette troupe endiablée, et Mlle
Mauricette Cebron, de l'Opéra, a réglé
quelques danses simples et gracieuses.
MM. Moriss, Coquillon, Rigault, Fer-
nand Rauzéna et Bragance, Mme Co-
las Bruna tiennent également quelques
rôles dans cette féerie, mais la majo-
rité de l'interprétation se compose d'en-
fants. A Jean Bara a été confié le rôle
de Puce, tandis que les petites Martine
et Jacqueline Dumonceau seront Zig et
Dolly; enfin le petit René Creil repré-
sentera le fameux pingouin Alfred.
Au cours du deuxième acte, un jeune
Roumain, le petit Mirtcha, se fera en-
tendre dans un répertoire inédit, Com-
prenant des chansons spécialement
écrites pour lui par Mme Rosemonde
Gérard et M. Tiarko Richepin.
Zig et Puce policiers sera créé au
Petit Monde le 22, en matinée.
Annie de Mèredieu.
HARRY BAUR, Alice COCEA
- Marg. PIERRY jouent à par-
tir du 23 Février aux MA-
THURINS la comédie de M.
L. VERNEUIL, LE MARI QUE
J'AI VOULU, avec Maurice
BENARD, Denise RADIFE et
Daniel LECOURTOIS. (Loca-
tion ouverte).
X Un million cinq cent mille specta-
teurs sont déjà venus acclamer, au théâ-
tre Mogador, l'Auberge du Cheval Blanc
qui, au dix-huitième mois de ses triom-
phales représentations, continue tou-
jours sa magnifique carrière, avec Geor-
ges Milton en tête de la brillante inter-
prétation. Tous les soirs' à 8 h. 30. Jeudi
et dimanche, matinée à 2 h. 30.
1-8454-,.
O II n'y a pas de taxis flSI
Imais descendez à « Bonne-Nouvelle » I
1 mais SAINT-GRANIER » 1
t présente et joue au. I
t THEATRE MAYOL t
M LA MADONE DU PROMENOIR a
musique
Erreur de date.
C'est par erreur que le récital que doit
donner le pianiste Braïlowsky, au Théâ-
-tre des Champs-Elysées, a été annoncé
par plusieurs quotidiens pour le 21 fé-
vrier. C'est le 21 mars que ce récital aura
lieu.
L'O. S. P. à Toulon.
Une tentative de décentralisation ar-
tistique, dont les résultats se sont révélés
des plus satisfaisants, vient d'être faite
par l'orchestre Symphonique de Paris,
sous la direction du maître Pierre Mon-
.teux, à Toulon, ville où jamais aucun or-
chestre parisien n'avait encore donné de
concerts. Le public, nombreux, parut
goûter très vivement des œuvres moder-
nes et peu entendues en province, telles
que Pétrouchka, et témoigna d'un désir
certain de voir renouveler cette excellen-
te propagande pour la musiqùe moderne,
CONCERTS PASDELOUP CThh-. Ebd-e8s.
Sam. 24-2, 17 h. - Mmes P. GILLl:, PL
GNARI-SALL.ES, G. LEROUX, P. GOR-
DON. - M. M. SINGHER
Beethoven, Bach, Fauré, de Falla
Chef d'orch. : GUSTAVE BRET
Dw 'h.233o GALA JOHANN STRAUSS
avec Mme ELLICE ILLIARD, cantatrice
Valses et ouvertures célèbres
Chef d'orch. : JOHANN STRAUSS
M Th. des Champs-Elysées.
Mercredi 21 février à 21 heures
CHARLOTTE
DAUVIA
VEDETTE POLYDOR
présent, à son récital ses nouv. créât.
J'allume une cigarette, de Dallin
Le mot que j'aime de C.A. Bixio
- LOC. : DURAND-DANDELOT-
Mercredi 21 et mardi 27 février 21 h.
SALLE ERARD, 13, rue du Mail
Deux récitals par le célèbre pianiste
YVES NAT
Le 21 Février Beethoven-Chopin-Bramhs-Uszt
Le 27 février, Festival Schumann
Bill. 10 à 35 fr. Sal. édit Kiesgen ïsaye.
music-hall
X Vrai Caf' Gond 1POO. - Toutes les
vedettes de cette époque heureuse, gom-
meuses, chahuteuses, diseuses, spectacle
essentiellement gai et amusant à YAlcar
zar, 8, Fbg Montmartre (Métro Mont-
martre). Matinée Faut. 10, 7 fr. Soirée
10, 15 fr. - Promenoir 5 francs.
- PETIT-CASINO -
ILe café-concert de Paris 1
) Cette semaine programme gai avec le I
j fantaisiste POULOT - les Marcoli I
z acrobates comiques - Jany Falcou I
Halfa et Cie - les Sotomayor, etc. |
- Mat. et soir. faut. à partr de 3 fr..
cabarets
Le « Club des Lapins »
a ouvert ses portes
au cours d'une nuit
très parisienne
Rarement boîte de nuit ne présenta un
spectacle d'attractions aussi judicieuse-
ment choisi, aussi parfait que le « Club
des Lapins ». Mais jamais aussi, il faut
le dire, bravos ne retentirent aussi una-
nimes, aussi enthousiastes que ceux dont
retentit ce nouvel établissement, jeudi
soir, au cours de son inauguration.
Dans la salle coquette, délicieusement
décortj par J. D. van Caulaert, trè
nombreux vinrent les invités, reçus pajj
Joe Zelli lui-même, dont l'amabilité dé«
bordante a su créer, dès cette première:
nuit, l'atmosphère la plus chaudement
sympathique qui soit. !
On entendit, tout d'abord, Leardy et
Verly qui, faisant leur rentrée à Paris-'
présentent un tour de chant absolument!
charmant. Aux célèbres duettistes succès
dèrent les quatre « Etoiles bleues », ces!
exquises chanteuses du Perchoir dont lai
succès fut considérable. Puis, le chan.
sonnier Paul Clérono, et, enfin, Evelyni
Dowe dont le charmé; le talent, atteiJ
gnent au maximum d'effet. La douceur,;
la mélancolie de sa voix, de son regarda
de ses attitudes conquirent d'emblée tous;
les convives. Elle était accompagnée du;
pianiste Alex Stone qui eut, lui aussi, sar
part de compliments. 1
Nul doute qu'avec un programme sem-*
blable le « Club des Lapins » ne deviennai
le plus célèbre cabaret de nuit parisien.)
Des chansons portu
gaises 1
Une belle artiste portugaise, Mlle Co.,
rina Freire est actuellement l'hôtesse de
Paris. Elle fait entendre au cabaret Ro-
coco les vieilles chansons de son pays
les fados qu'on entend encore dans le^
rues de Lisbonne et de Porto et qui céJ
lèbrent les amours des rois portugais eti
les exploits de Vasco de Gama. C'est
dans le pittoresque costume des femme.
du peuple portugaises qu'elle chante d"
ve.nt le public parisien. 1
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