Titre : Regards
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1937-09-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34447681m
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 16 septembre 1937 16 septembre 1937
Description : 1937/09/16 (N192). 1937/09/16 (N192).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k7635949k
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-52336
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 05/01/2015
UN GRAN D. ROMAN INÉDIT
de Jacques SPITZ
ILLUSTRATIONS de LALANDE
CHAPITRE I
- Le Laboratoire
Carnassier
USTE-EVARISTE MA-
GNE, né à Cahors,
dans le Lot, troisiè-
me fils d'un tonnelier,
avait échappé de jus-
tesse au ridicule d'ê-
tre prénommé Char-
les, comme son père.
Il le devait à sa mère, dont le jugement
fut peut-être éclairé par l'approche de la
mort : elle mourut, en effet, trois jours
après la venue au monde du nouveau-né.
L'enfance du jeune Juste, privé de mère,
se traîna comme tant d'autres enfances
malheureuses dans les ruisseaux d'abord,
sur les bancs de l'école communale en-
suite. Elle se fût peut-être poursuivie sur
ceux de la Correctionnelle si un Frère de
la doctrine chrétienne, dont la sœur était
voisine de la cabane du père -Magne, ne
s'était intéressé à Juste" et ne l'avait fait
entrer au petit séminaire. H s'y montra
relativement studieux, mais peu tenté par
• la vocation ecclésiastique. A vingt ans,
après une suite de hasards variés dont le
miracle est qu'ils aboutirent, un diplôme
de licencié ès-sciences de l'université de
Montpellier vint terminer cette première
période de son existence.
Licencié ès-sciences naturelles, Juste-
Evariste Magne ne trouva pas plâs aisé-
ment qu'avant l'obtention de ce titre, le
moyen de vivre; comme faisaient appa-
remment tous ceux qui l'entouraient. Il
songeait à s'associer avec un ancien domp-
teur devenu montreur de puces savantes,
quand l'autorité militaire l'invita à fran-
chir les grilles de la caserne de Quimperlé,
Finistère. Le soldat Magne se disposait à
servir la patrie avec toute la reconnais-
sance que l'on doit à qui vous alimente
en bœuf bouilli, quand il se découvrit
des pieds plats. Zoologiste, il n'eût pas
dû ignorer cette particularité de sa cons-
titution. Le fait est qu'il l'ignora jusqu'au
jour où le poids du sac et la rudesse de
manières de quelques sous-officiers lui
ouvrirent les yeux sur son inaptitude à la
marche. Rendu à la vie civile, il se fût
retrouvé Evariste comme devant, si un an-
cien voisin de chambrée ne lui avait donné
une lettre de recommandation pour le pro-
fesseur Carnassier.
Carnassier, professeur au Collège de
France, attendait de ses recherches sur
l'hérédité, poursuivies en son laboratoire
de la rue Cujas, le moyen d'entrer à l'A-
cadémie des Sciences, quai Conti. Il
n'avait naturellement besoin de personne.
Cependant, les milliers de mouches dro-
sophiles qu'il entretenait aux fins d'expé-
riences, réclamaient les soins de serviteurs
attentifs. Juste-Evariste accepta avec re-
connaissance d'entrer dans la voie royale
de la recherche scientifique par l'humble
porte des garçons de laboratoire.
Dès lors, deux ans durant, aux appoin-
tements de quatre cents francs par mois,
Magne travailla rue Cujas, soignant; éle-
vant, comptant, examinant des mouches.
Il faut savoir que, sur environ dix mille
mouches drosophiles, on en rencontre une
qui, par quelque détail anatomique : for-
me des ailes, variation dans la couleur
rouge des yeux, aspect de l'abdomen, se
distingue de ses semblables. Cette mouche,
dite mutante, peut transmettre ses carac-
tères particuliers à sa descendance. Le tra-
vail de Magne consistait à croiser les
mouches mutantes et à observer la façon
dont les caractères distinctifs des parents
se répartissaient entre les individus de la
portée. A force de tourner et retourner
des mouches sous la loupe, Juste-Evariste
Magne en était venu à les connaître mieux
qu'aucun homme au monde. Entre temps,
poursuivant tant bien que mal ses études
théoriques, il n'était pas sans avoir ac-
quis, sur le sujet, des idées personnelles,
mais s'abstenait d'en faire part à Carnas-
sier, son patron, dont la froideur était
assez décourageante, et dont les confi-
dences n'allaient guère au delà de ré-
flexions d'une navrante banalité :
— Claude Bernard disait que l'ani-
mal qui a rendu le plus de services à la
science était la grenouille. De nos jours,
mon petit Magne, il dirait la mouche.
Or, un certain soir de février dont il
devait garder longtemps le souvenir, Ma-
gne sortait du laboratoire le dernier, selon
sa coutume. La température de 25° qui
régnait dans les chambres d'élevage des
mouches lui avait un peu desséché le go-
sier. Il entra dans le petit bistrot qui
faisait l'angle de la rue Victor-Cousin, tt,
ne reculant pas devant la dépense, se
commanda un demi au comptoir. Le pa-
tron le connaissait bien.
- Tenez, monsieur Magne, voilà qui
va vous intéresser, dit-il en lui tendant
l' Intr an.
Magne jeta un regard sur la page :
on y voyait la photographie de la reine
des Halles Centrales, mais le pouce du
patron indiquait un article dans la co-
lonne de gauche :
Une curieuse épidémie
« C'est une bien curieuse aventure qui
arrive en Indochine, aux habitants du vil-
lage de Saravan, chef-lieu du district
du Laos, sur un affluent du Mé-Kong.
Des nuées de mouches, vraisemblable-
ment chassées de la forêt tropicale par
les pluies, se sont abattues sur la contrée
obligeant les indigènes à abandonner leurs
cases et à refluer vers le sud. L'exode des
populations prend des proportions qui
semblent inquiéter l'administration locale.
C'est égal, si fuir devant le tigre était
excusable, fuir devant les mouches ne
fait guère honneur au courage des Lao-
tiens 1 »
— C'est une réclame pour Fly-Tox,
fit Magne dédaigneux.
Le patron, qui souhaitait un peu de
conversation, continuait :
— Ah! monsieur Magne, gardez bien
vos mouches, sans quoi nous saurions à
qui nous en prendre.
— Les hommçs sont plus dangereux,
répliqua Magne pour couper court à l'en-
tretien.
Il paya vingt-cinq sous et, constatant
qu'il ne lui restait plus que sept francs
trente-cinq pour aller jusqu'à la fin du
mois, prit sans joie le chemin du boule-
vard Saint-Michel qui le ramenait chez
lui, rue Visconti. Evidemment, il possé-
dait encore, dans son garde-manger, une
livre de sucre en poudre et un demi ca-
membert, mais le problème du dîner con-
sistait à joindre ces deux denrées extrê-
mes sans trop entamer ses réserves pécu-
niaires, et c'est à quoi il songeait quand
l'aventure entra brusquement dans sa vie :
une voix féminine demandait le chemin
du Panthéon. Surpris, il tourna la tête :
de l'autre côté des grilles du musée de
Cluny, une jeune fille cherchait vaine-
ment la sortie du jardin.
A force de surveiller des mouches en
bocaux, Juste-Evariste Magne avait pris
l'habitude des bêtes captives. A la jeune
fille prisonnière, il indiqua le chemin pour
sortir du musée, en l'accompagnant lui-
même de l'autre côté de la grille, tout le
long du boulevard Saint-Germain, puis
de la rue de Cluny. Au tournant de la
rue du Sommerard, il savait qu'elle s'ap-
pelait Micheline, qu'elle avait dix-sept
ans, qu'elle était arrivée la veille de Châ-
teau,Chinon pour retrouver sa tante, chai-
sière à Saint-Sulpice, en attendant de se
placer dans une maison bourgeoise, qu'elle
se dépêchait de visiter les curiosités de
la capitale pendant qu'elle en avait en-
core le temps, qu'au musée de Cluny tout
était décidément bien vieux, mais bien
entretenu. Quand la jeune Micheline dé-
boucha enfin square de la Sorbonne, Eva-
riste se trouva face à face avec elle et
la regardant machinalement comme il fai-
sait pour les mouches sortant du bocal
d'élevage, il eut un sursaut : Micheline
avait des yeux bleus, alors que les droso-
philes n'avaient habitué Magne qu'à la
gamme des rouges.
Le Panthéon était fermé, mais Saint-
Etienne-du-Mont était ouvert qu'on pou-
vait visiter. Micheline, Parturier de son
nom de famille, suivie de Juste-Evariste
Magne toujours muet, traitait longuement,
en déambulant dans la nef, des beautés
du Morvan, en été surtout, parce que, les
autres mois, il y pleut tout le temps, des
bœufs blancs, des étangs, des orages si
f réquents-qu à-1 a-fin-je-n' avais -plus - peur -
du tonnerre, et de la table d'orientation
au-dessus de Château-Chinon qui donne
la direction de tous les cols, en couleurs,
avec les distances même. Quand, enfin,
elle posa à Juste-E variste une question
discrète sur ses occupations, et qu'il avoua
travailler dans un laboratoire, la stupé-
faction la fit muette. Un laboratoire ! Sa-
vant ! Et l'air si jeune encore ! Son silence
fut si éloquent et si prolongé que Juste
pensa avoir déplu.
— Que croyiez-vous donc que je
faisais? demanda-t-il humblement.
10
de Jacques SPITZ
ILLUSTRATIONS de LALANDE
CHAPITRE I
- Le Laboratoire
Carnassier
USTE-EVARISTE MA-
GNE, né à Cahors,
dans le Lot, troisiè-
me fils d'un tonnelier,
avait échappé de jus-
tesse au ridicule d'ê-
tre prénommé Char-
les, comme son père.
Il le devait à sa mère, dont le jugement
fut peut-être éclairé par l'approche de la
mort : elle mourut, en effet, trois jours
après la venue au monde du nouveau-né.
L'enfance du jeune Juste, privé de mère,
se traîna comme tant d'autres enfances
malheureuses dans les ruisseaux d'abord,
sur les bancs de l'école communale en-
suite. Elle se fût peut-être poursuivie sur
ceux de la Correctionnelle si un Frère de
la doctrine chrétienne, dont la sœur était
voisine de la cabane du père -Magne, ne
s'était intéressé à Juste" et ne l'avait fait
entrer au petit séminaire. H s'y montra
relativement studieux, mais peu tenté par
• la vocation ecclésiastique. A vingt ans,
après une suite de hasards variés dont le
miracle est qu'ils aboutirent, un diplôme
de licencié ès-sciences de l'université de
Montpellier vint terminer cette première
période de son existence.
Licencié ès-sciences naturelles, Juste-
Evariste Magne ne trouva pas plâs aisé-
ment qu'avant l'obtention de ce titre, le
moyen de vivre; comme faisaient appa-
remment tous ceux qui l'entouraient. Il
songeait à s'associer avec un ancien domp-
teur devenu montreur de puces savantes,
quand l'autorité militaire l'invita à fran-
chir les grilles de la caserne de Quimperlé,
Finistère. Le soldat Magne se disposait à
servir la patrie avec toute la reconnais-
sance que l'on doit à qui vous alimente
en bœuf bouilli, quand il se découvrit
des pieds plats. Zoologiste, il n'eût pas
dû ignorer cette particularité de sa cons-
titution. Le fait est qu'il l'ignora jusqu'au
jour où le poids du sac et la rudesse de
manières de quelques sous-officiers lui
ouvrirent les yeux sur son inaptitude à la
marche. Rendu à la vie civile, il se fût
retrouvé Evariste comme devant, si un an-
cien voisin de chambrée ne lui avait donné
une lettre de recommandation pour le pro-
fesseur Carnassier.
Carnassier, professeur au Collège de
France, attendait de ses recherches sur
l'hérédité, poursuivies en son laboratoire
de la rue Cujas, le moyen d'entrer à l'A-
cadémie des Sciences, quai Conti. Il
n'avait naturellement besoin de personne.
Cependant, les milliers de mouches dro-
sophiles qu'il entretenait aux fins d'expé-
riences, réclamaient les soins de serviteurs
attentifs. Juste-Evariste accepta avec re-
connaissance d'entrer dans la voie royale
de la recherche scientifique par l'humble
porte des garçons de laboratoire.
Dès lors, deux ans durant, aux appoin-
tements de quatre cents francs par mois,
Magne travailla rue Cujas, soignant; éle-
vant, comptant, examinant des mouches.
Il faut savoir que, sur environ dix mille
mouches drosophiles, on en rencontre une
qui, par quelque détail anatomique : for-
me des ailes, variation dans la couleur
rouge des yeux, aspect de l'abdomen, se
distingue de ses semblables. Cette mouche,
dite mutante, peut transmettre ses carac-
tères particuliers à sa descendance. Le tra-
vail de Magne consistait à croiser les
mouches mutantes et à observer la façon
dont les caractères distinctifs des parents
se répartissaient entre les individus de la
portée. A force de tourner et retourner
des mouches sous la loupe, Juste-Evariste
Magne en était venu à les connaître mieux
qu'aucun homme au monde. Entre temps,
poursuivant tant bien que mal ses études
théoriques, il n'était pas sans avoir ac-
quis, sur le sujet, des idées personnelles,
mais s'abstenait d'en faire part à Carnas-
sier, son patron, dont la froideur était
assez décourageante, et dont les confi-
dences n'allaient guère au delà de ré-
flexions d'une navrante banalité :
— Claude Bernard disait que l'ani-
mal qui a rendu le plus de services à la
science était la grenouille. De nos jours,
mon petit Magne, il dirait la mouche.
Or, un certain soir de février dont il
devait garder longtemps le souvenir, Ma-
gne sortait du laboratoire le dernier, selon
sa coutume. La température de 25° qui
régnait dans les chambres d'élevage des
mouches lui avait un peu desséché le go-
sier. Il entra dans le petit bistrot qui
faisait l'angle de la rue Victor-Cousin, tt,
ne reculant pas devant la dépense, se
commanda un demi au comptoir. Le pa-
tron le connaissait bien.
- Tenez, monsieur Magne, voilà qui
va vous intéresser, dit-il en lui tendant
l' Intr an.
Magne jeta un regard sur la page :
on y voyait la photographie de la reine
des Halles Centrales, mais le pouce du
patron indiquait un article dans la co-
lonne de gauche :
Une curieuse épidémie
« C'est une bien curieuse aventure qui
arrive en Indochine, aux habitants du vil-
lage de Saravan, chef-lieu du district
du Laos, sur un affluent du Mé-Kong.
Des nuées de mouches, vraisemblable-
ment chassées de la forêt tropicale par
les pluies, se sont abattues sur la contrée
obligeant les indigènes à abandonner leurs
cases et à refluer vers le sud. L'exode des
populations prend des proportions qui
semblent inquiéter l'administration locale.
C'est égal, si fuir devant le tigre était
excusable, fuir devant les mouches ne
fait guère honneur au courage des Lao-
tiens 1 »
— C'est une réclame pour Fly-Tox,
fit Magne dédaigneux.
Le patron, qui souhaitait un peu de
conversation, continuait :
— Ah! monsieur Magne, gardez bien
vos mouches, sans quoi nous saurions à
qui nous en prendre.
— Les hommçs sont plus dangereux,
répliqua Magne pour couper court à l'en-
tretien.
Il paya vingt-cinq sous et, constatant
qu'il ne lui restait plus que sept francs
trente-cinq pour aller jusqu'à la fin du
mois, prit sans joie le chemin du boule-
vard Saint-Michel qui le ramenait chez
lui, rue Visconti. Evidemment, il possé-
dait encore, dans son garde-manger, une
livre de sucre en poudre et un demi ca-
membert, mais le problème du dîner con-
sistait à joindre ces deux denrées extrê-
mes sans trop entamer ses réserves pécu-
niaires, et c'est à quoi il songeait quand
l'aventure entra brusquement dans sa vie :
une voix féminine demandait le chemin
du Panthéon. Surpris, il tourna la tête :
de l'autre côté des grilles du musée de
Cluny, une jeune fille cherchait vaine-
ment la sortie du jardin.
A force de surveiller des mouches en
bocaux, Juste-Evariste Magne avait pris
l'habitude des bêtes captives. A la jeune
fille prisonnière, il indiqua le chemin pour
sortir du musée, en l'accompagnant lui-
même de l'autre côté de la grille, tout le
long du boulevard Saint-Germain, puis
de la rue de Cluny. Au tournant de la
rue du Sommerard, il savait qu'elle s'ap-
pelait Micheline, qu'elle avait dix-sept
ans, qu'elle était arrivée la veille de Châ-
teau,Chinon pour retrouver sa tante, chai-
sière à Saint-Sulpice, en attendant de se
placer dans une maison bourgeoise, qu'elle
se dépêchait de visiter les curiosités de
la capitale pendant qu'elle en avait en-
core le temps, qu'au musée de Cluny tout
était décidément bien vieux, mais bien
entretenu. Quand la jeune Micheline dé-
boucha enfin square de la Sorbonne, Eva-
riste se trouva face à face avec elle et
la regardant machinalement comme il fai-
sait pour les mouches sortant du bocal
d'élevage, il eut un sursaut : Micheline
avait des yeux bleus, alors que les droso-
philes n'avaient habitué Magne qu'à la
gamme des rouges.
Le Panthéon était fermé, mais Saint-
Etienne-du-Mont était ouvert qu'on pou-
vait visiter. Micheline, Parturier de son
nom de famille, suivie de Juste-Evariste
Magne toujours muet, traitait longuement,
en déambulant dans la nef, des beautés
du Morvan, en été surtout, parce que, les
autres mois, il y pleut tout le temps, des
bœufs blancs, des étangs, des orages si
f réquents-qu à-1 a-fin-je-n' avais -plus - peur -
du tonnerre, et de la table d'orientation
au-dessus de Château-Chinon qui donne
la direction de tous les cols, en couleurs,
avec les distances même. Quand, enfin,
elle posa à Juste-E variste une question
discrète sur ses occupations, et qu'il avoua
travailler dans un laboratoire, la stupé-
faction la fit muette. Un laboratoire ! Sa-
vant ! Et l'air si jeune encore ! Son silence
fut si éloquent et si prolongé que Juste
pensa avoir déplu.
— Que croyiez-vous donc que je
faisais? demanda-t-il humblement.
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