Titre : Le Journal
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1907-06-07
Contributeur : Xau, Fernand (1852-1899). Directeur de publication
Contributeur : Letellier, Henri (1867-1960). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34473289x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 07 juin 1907 07 juin 1907
Description : 1907/06/07 (A16,N5363). 1907/06/07 (A16,N5363).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG87 Collection numérique : BIPFPIG87
Description : Collection numérique : BIPFPIG13 Collection numérique : BIPFPIG13
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Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k7625975s
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-220
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/11/2014
7 - &-©
LE JOTJRNAU
1
r
NOUVELLES DIVERSES
Statistique municipale
Le service de la statistique municipale a
compté pendant la 22e semaine 886 décès,
au lieu de 1,021- pendant la semaine pré-
cédente et au lieu de 954, moyenne ordi-
naire de la saison. Ce chiffre est le plus
faible qui ait été observé depuis le début
de l'année.
Les maladies épidémiques causent très
peu de décès. Toutefois, le nombre des
malades atteints de scarlatine continue à
augmenter (453 cas nouveaux contre la
moyenne 83). La rougeole devient égale-
ment très répandue (459 cas nouveaux au
lieu de 267, moyenne des trois dernières
années).
Il y a eu 34 morts violentes dont 13 sui-
cides.
On a célébré à Paris 550 mariages.
On a enregistré la naissance de 955 en-
fants, vivants (523 garçons et 432 filles),
dont 728 légitimes et 227 illégitimes. Par-
mi des derniers, 43 ont été reconnus
séance tenante.
Les instructions
Vols à l'asile de Ville-Evrard. - A la
suite d'un vol de lingerie, succédant à
d'autres vols très nombreux, et d'impor-
tance variable, accomplis au préjudice de
l'asile d'aliénés de Ville-Evrard, le Par-
quet de Pontoise, saisi d'une plainte, pro-
cède actuellement à une information judi-
ciaire.
Les jeux dangereux. - Le Parquet de
Pontoise fait rechercher l'auteur du jet
d'une bille au passage d'un train allant de
Paris-Nord à Enghien. Après avoir brisé
la vitre d'un compartiment, le projectile
blessa, à Fcell droit, M. Henri de Jong,
courtier - en diamants, 124, boulevard de
Montmorency, à Deuil.
Un vol de 20,000 frantPar ordon-
nance de M. le juge trois
Anglais, Davidson-Bay^ Btirtèt,
viennent d'être renvoyés adevaint le tribunal
correctionnel, sous l'inculpation de vol. Ils
avaient soustrait à un de leurs compatrio-
tes, M. Ree, une somme de 20,000 francs en
usant du. procédé classique du vol à l'amé-
ricaine. Ils seront défendus par Me Emile
Destrez.
Un foueut d'orgue assoinni d. M. André,
juge d'instruction, a fait subir, hier, l'inter-
rogatoire de forme à Jean Sorennes, le char-
retier qui, rue Crozatier, assomma son ri-
val, le manchot Pescchi. L'inculpé, sur le
compte de qui -l'on a recueilli les meilleurs
renseignements, a déclaré qu'il avait voulu
se venger de Pescchi, qui lui avait pris sa
montre et son argent.
Courtier infidèle. — Sur mandat de M. le
juge d'instruction Barat, on a arrêté, hier,
à Rontchouk (Bulgarie), un courtier en dia-
mants, Léon Dinar, originaire de Constanti-
nople, qui, le 25 mai dernier, avait quitté
son domicile, 15, rue Saulnier, à Paris, em-
portant 124,000 francs de perles qui lui
avaient été confiés. Le gouvernement fran-
1 çais réclame l'extradition du fugitif.
l OUSAUSOY achète cher BIJOUI
Autopsie nécessaire
Mlle Marie-Louise Le Guillou, vingt-trois
ans, employée de commerce, 13, rue du Vi-
vier, a été trouvée morte, hier, dans son lo-
gement.
Le décès ayant paru suspect au médecin
de l'état civil, le corps a été transporté à la
Morgue aux fins d'autopsie.
Abandonné
Nous racontions récemment qu'au cours
d'une crise de folie subite, une dame Duval,
286, rue de Vaugirard, avait tenté d'étran-
gler son fils. Celui-ci, âgé de quatorze ans,
a été recueilli par des voisins charitables;
mais ces braves gens vont être dans l'obli-
gation de le confier à l'Assistance publique,
à moins qu'ils ne trouvent pour lui un emploi
quelconque. Ce serait faire une bonne action
que d'occuper cet enfant.
Homonymie
M. Jourdain, négociant, 17, faubourg
Montmartre, n'a de commun que le nom
avec l'anarchiste faiix monnayeur.
Les cycles sont vendus avec un premier
versement 4e dix francs par cent francs
aux Grands Magasins Dufayel et les ma-
chines à coudre avec un premier verse-
ment de trois .francs. La brochure explica-
tive est envoyée franco.
AlloI allo l
Toujours infatigables et insaisissables,
les voleurs de câblçs électriques ont opéré,
la nuit dernière, entre les gares d'Epinay
et de Deuil, où ils ont coupé 2,100 mètres
de fils de bronze.
E. Pic, avocat-conseil, 78, rue de Rivoli
matin, et 5 à 7. Tél. 128-15. :
Le remords
Joseph Renaud,surveillant à l'octroi d'As-
ïiières, se présentait hier devant M. Briy,
commissaire de police du quartier Notre-
Dame, en disant :
— Je suis un misérable, j'ai volé à -la
caisse de l'octroi 900 francs que j'ai perdus
au jeu, envoyez-moi en prison.
M. Briy a fait droit à sa requête.
Disparu
On est sans nouvelles d'un petit entre-
preneur de Deuil, M. Alfred-Alphonse Ber-
thon, âgé de vingt-neuf ans, 3, rue du Cro-'
chet, qui n'a pas reparu chez lui depuis le
14 mai.
Les trains en retard ->—-
Plusieurs trains de la ligne du Havre ont
subi hier des retards allant jusqu'à trois
heures. En voici la cause :
La Compagnie de l'Ouest, ainsi qu'elle
l'avait fait savoir au public, fait procéder
en ce moment à des réparations sous le
tunnel de Rolleboise, entre Bonnières et
Vernon. Les cordages d'un cintre s'étant
rompus, le cintre tomba en travers des
voies qu'il obstrua. Aucun train ne put pas-
fier de deux heures de l'après-midi à cinq
heures et demie. Ce ne fut que vers sept
heures que la circulation des trains put être
complètement rétablie.
Les anciens « sous-offs » du génie 1
Ce soir réunion mensuelle suivie de sau-
terie, au siège social, café du Globe, 8, bou-
levard de Strasbourg.
OUSAUSOY.kx?ery. 4,Beul. Italiens,
A l'église de Gonesse
La femme du sacristain de l'église de
GoneSse a surpris et fait arrêter un repris
de justice, nommé François Potin, âgé de
quarante-trois ns, qui, à l'aide d'un ciseau
à froid, avait l'facturé les troncs du maître-
autel. -
Le malfaiteur traînait avec lui trois en-
fants en bas-âge, qui ont été recueillis à
l'hôpital, tandis que le père était dirigé sur
la prison de Pontoise.
Surveillance, missions secrètes, divorcé.
Auxiliaire, 92, rue de Rivoli.
La folie
Un individu discourait et gesticulait, la
nuit dernière, vers deux heures et demie du
matin, dans* la rue Caulaincourt ; il jetait
des ordres à d'invisibles automédons, leur
ordonnait de faire avancer leurs voitures,
commandait du champagne à celui-ci, s'éton-
nait près de tel autre de la lenteur de la
cérémonie, etc. Les agents le conduisirent
au'poste de police, d'où le malheureux fou,
Jules Jouanot, garçon restaurateur, trente-
sept ans, qui se croyait revenu au jour de
son mariage, a été conduit à l'infirmerie
spéciale du Dépôt.
OUSAUSOY achète cher BIJOUX
Par les toits
M. Hardouin, propriétaire de l'immeuble
sis passage de Ménilmontant n° 11, s'aperce-
vait depuis quelques jours que des quan-
tités de débris de cuivre, plomb et zinc em-
magasinés dans ses greniers, disparais-
saient sans qu'on pût capturer les cambrio-
leurs. Il informa M. Hocquet, commissaire
de police du quartier Saint-Ambroise, qui
chargea son secrétaire, M. Plasson, de pro-
céder à une enquête.
Les malfaiteurs s'approvisionnaient par
les toits et des gardiens de la paix placés
en surveillance procédèrent à l'arrestation de
Jules et Jean Bondrand, dix-huit et vingt
ans, qui ont été dirigés sur le Dépôt.
D. Meyer, expert, 56, boulevard Haussmann
achète très cher diamants, perles et bijoux.
Nombse. occas., bijoux et colliers de perles.
Affaire à éclaircir
Pour cause de dissentiments conjugaux
les époux Marquet, domiciliés rue Riquet,
dans le quartier de la Villette, s'étaient sé-
parés il y a quatre ans. Le mari, Cocher-li-
vreur, âgé de quarante-quatre ans, garda
avec lui son fils aîné, Maurice, sept ans, et
la mère conserva les deux plus jeunes. De-
puis il ne s'étaient pas rencontres.
Maurice fréquentait assidûment 'l'école
communale de la rue de l'Ourcq, et son père
venait très souvent le chercher vers cinq
heures. Hier soir, une jeune femme se pré-
senta au directeur et lui dit :
— M. Marquet, retardé dans le centre où
il effectue une importante livraison, m'a
chargé de conduire son fils à son domicile ;
comme vous pourriez douter de la véracité
de mes paroles, il m'a remis l'extrait de nais-
sance de Maurice.. ,
La dame montra, en effet , la pièce offi-
cielle et le directeur permit à l'enfant de la
suivre.
Le père, quelques instants plus tard, se
rendit rue de l'Ourcq et, ne trouvant pas
son enfant, demanda des explications. Mis
au courant par le directeur de ce qui s'était
produit, il déposa une plainte entre les mains
de M. Ducrooq, commissaire de police, qui
fait rechercher récolter.
BULLETIN DU TRAVAIL
Réunions du vendredi 7 juin
Bourse du Travail, s, rue du Chàteau-d'Eau
Matin :
salle des Conférences. — Fédération «des Maga-
sins de la Guerre. -
Salle des Commissions. — Troisième étage : Allu-
meurs de gaz.
Auprès-midi :
Salle Bondy. Gr&nitiers. 1
Salle des Conférences. - Choristœ:
Salle des Commissions. — Quatrième étcure : ter-
rassier.
Soir :
Salle, du bas (côté droit). — Fédération des em-
ployés.
Salle d-o commission Bondy. — Découpeurs, es-
tampeurs, outilleurs.
Salifia des Commissions. — Premier étage - Fédé-
ration du bâtiment ; deuxième étage : plombiers,
couvreurs, zingueurs ; troisième étage : peintres ;
quatrième étage: non gradés de l'Assistance pu-
blique ; cinquième étage : services réunis.
Les Petites Annonces du Samedi
doivent être remises à l'Administration
du JOURNAL le vendredi avant midi.
SPECTACLES.
OPERA. — 8 h. — Ariane.
FRANÇAIS. — 8 h. — Mariontt Delorme. *
OPERA-COMIQUE. - 8 h. IIi. - Ariane et Barbe-
Bleue.
VAldJEVILLE. — 1 b. 1/2. - L'Araignée. - 'l:.1
Ruisseau.
VARIETES. -111. ilt. — La Revue du Centenaire
GYMNASE. — 8 h. 1/2. — La Joie du Talion. -
Mademoiselle Josette, ma femme.
SARAH-BERNHARDT. - 8 h. 1/4. — Adrienfle Le-
couvreur.
REJ ANE. - 8 h. i/2. — Zaza.
NOUVEAUTES, r- 8 h. 1/2. — Vous n'avez rien à
déclarer 7 - Bon agent et mauvais cambrioleur.
ANTOINE. - 8 h. 3/4. — L'Echelle. — Les Ames
ennemies.
ATHENEE. — 8 h. 1/2. — Le Truc du Capitaine. —
Le Cœur et le Reste.
CHATELET. — A 3 h. et à 8 h. 1/4. — Séances de
Cinématographe. ,
GAITE. - 8 n. l/Ô. — La Fille à Madame Angot.
PORTE-SAINT-MARTIN. — 8 h. 1/2. — Les Ddui
Gosses.
I'ALAIS-ROYAL - 8 h. 1/2. — La Dame du 23.
LES MATHURINS (213-41), — Je vais m'en aller. —
Le Flirt ambulant. — En pays conquis. — Mlle
L. Guett. Mmes Ch. Lamy, Saint-Paul, H. Baur.
AMBIGU. - 8 h. 1/2. — Les Deux Orphelines.
FOLIES-DRAMATIQUES. - 8 h. 3/4. — Le Coup flg.
Jarnac. -
GRAND-GUIGNOL (tél. 228-34). 9 h. Le Recours en
grâce. La Matérialisation de Miss Murray. En
Plongée. Les Opérations du docteur Verdier etc.
TRIANÔN. — 8 h. 1/2. — L'Enlèvement de la
ToWdad. !
CAPUCINES (tél. 1S&4û). - 9 h. - Son Petit Frère
(Marg. Deval. Polin. - L'Ami da Cercle. —
Phydra.
COMEDIE-ROYALE, 25, r. Caumarttn (tél. 807-36). —
9 h. — Un Réveillon. — Antoinette n'est pas fixée, i
— Octave. — Des lys par ci, Délices par là, revue.
DEJAZET. — 8 h. 1/2. — Il ou Elle. — Tire au
Flanc.
TRETEAU ROYAL, 4, r. Caumartin. Tél. 294-44. —
9 h. : Changeons pas nos habitudes. La Revue (Th.
Cernât, Frey, Silvestre). Le Coup de Phryné, etc.
THEATRE DÉS ARTS. — 8 h. 1/2. - La Favorite
BA-TA-CLAN (tél. 930-12). Faut voir çà ! revue, scè-
nes nouvelles : Le match Jaures-Briand-Clemen-
ceau. Le Sabotage à 1 Ecole. A 10 h. Tableaux viv.
TH. GREVIN. A 3 h. et le soir à 9 b. Le Phoque;
Le Cultivateur de Chicago et les Charbonniers.
Jeudis,dim.et fêt.à 5 h. Bébé Roi et Do.ré,mi,fa,sol
THEATRE DE LA TOUR EIFFEL. A 3 h.: La Revue
Récalcitrante ; Toc-Toc, Tic-Tac ; et Chapeau 1 ! 1
Fauteuils à 2 fr., ascension au 1er étage comprise.
TH MODERNE, Ii, bd des Italiens. En matin, à 3 h.
et en soirée à 9 h. Le Parfum (Mlle Nadir). Dim.,
mardis et jeud.à 5 b.1/2 Luce Trémière et J.Sparck
MONCEY. — 8 h. 1/2. — Les Cloches de Corneville.
MONTMARTRE. — 8 h. 1/2. — Robert Macaire
MONTPARNASSE. — 8 h. 1/2. — Cinématographe.
GRENELLE. — 8 h. 1/2. — Cinématographe.
MONTROUGE. — 8 h. 1/2. — Miss Helyett.
GOBELINS. - 8 b. 1/2. — Cinématographe.
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Ce soir : Le Jour et la Nuit.
PETITE CORRESPONDANCE
1 ir. 75 la ligne
21 mars. Espérance. M écrit dimanche. Reçu let.
0. R. Ch. amis, Je me suis touj. entre vs mains,
V ai conf. aveugle en vs, suis tt soumis je le jure
ierais vot. désir, donn.-moi indic. p. journal. P.
écris à per. ni r. dit. Amitié dévouee. M. S.
25. L. Fi. m; Jour et L. M. AI. J. S. T. à T.
1,904-28. Suis désol., ai écrit 2 fois et suis allé P.
J'écris de nouv. dem. jeudi. Amitiés.
TA. 113. RBç. let. vais bien, part. 17 ou 18, tr. enn.
M pas pouv. te rencont. avant. Ec. ven. Amitiés.
F. 27157. Merci exactitude. Assez bonne santé. Aurez
F peut-être visite demain 5 h. si je viens.
S. C. Si pas renseign. prochns confianc. obéiss.eut.
J'écr. à R. Dout. inj. let. froid, m. tue.
M.C.C.D. Merci de ta let et' souvenir. Voyage incer-
!H tain. Oui, serai heur. te rev. plus tard. Amitiés.
"A B. Nantes. Cantraire.m. précédente annonce, ar-
it riverai dim. soir, il h. Me demander lundi sous
mon nom tr, bonne heure, bint heùmp si poss. Am.
Félix. Espérais nouvelles lundi, mardi. Retard fait
craindre. Tranquillise. Amitiés.
A. B. Z. Absent mardi, navré. Projet trop. danger.
A p. être réalisé. Tu ne px télég. Ns en caus. le 16.
25.L. J.n.m'expl.p.v.cond.v.-à-v.d.m. A q.b. tt d. pr. ?
Madeleine-Colombes. Je ne sais que penser de ton
IU silence ; écris-moi my dearling et rassure-moi.
amitiés. J. M.
M.G.G. Com. Je souf. de ton indif. et silence. Ecris.
Lucie. Reçu auj. lett. 4u 30 et du 2. Courage.
C. L. 37. Gare Est soir 10 h. 16, arrivée Belfort*
M 4 h. matin, 9 h. 04, 6 h. 12 Belfort, Montbéliard,
Ligne Delle-Audincourt. Salutations. Parrot.
Garde 7. Reçu lignes, demande résetver après-
U midi jeudi prochain, devrai repartir aussitôt
après rendez-vous trois heures ; aimerais recevoir
lettre la veille en arrivant. Amitiés.
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Mi Pépin se tenait près de la porte d'en-
trée du galon, distribuant des poi^néea de
main à une foule de gens qu'il n avait ja-
niais vus, et préférant encore ceux-là a cer-
tains parents éloignés qui se ruaient sitf lui
pour l'embrasser de force, Il savait par ex-
périence que les jours de mariage ou d'en-
terrement on est la proie dQ personnes
émues qui embrass-ent « mouillé », et dont il
est malaisé de se défendre.
Des co' uples se pressaient sous la voûte,
distraits dans l'aspersion de l'eau bénite
parce qu'ils étaient occupés à reconnaître
leur couronne dans le tas des offrandes. A
voix basse, poussant son mari du coude, la
femme disait enfin :
— Tiens, c'est celle-ci la nôtre. Elle est
bien, pas, pour vingt-cinq francs?
- Epatante. Pourvu que le fleuriste
n'ait pas oublié la carte ?.
Et ils montaient embrasser, ou serrer la
main, selon leur tempérament.
Ceux qui redescendaient formaient des
groupes dans la rue en attendant la levée
du corps. On fumait, on se racontait les
potins du jour, le dernier mot d'un auteur
rosse. Quelques-uns, on les écoutait peu,
parlaient de ce pauvre Pépin, qui allait être
bien seul, ou de cette pauvre Elisabeth, si
sympathique, qui était vraiment morte trop
tôt. On se montrait un membre de l'Institut,
très vieux, avec une énûirme rosette à la
boutonnière.
Il est certaines phrases obligées en cer!
tains cas, celle-ci par exemple : « On dira
ce qu'on voudra, les plus malheureux ne
sont pas ceux qui s'en vont. » A quoi on
doit répondre : « Non, ce sont ceux qui res-
sont rp é.aps pncderue x '.1 (t l~:o lt&nts ne déwuènnt,
tent. » Deux; des assistante de dévouèrent,
et les, autres approuvèrent en hochant la
tête avec la satisfaction d'être débarrassés
d'un cliché qui pèse.
Le maître des cérémonies ayant annoncé
avec la grâce et la majesté traditionnelles
le départ pour l'église, M, Pépin passa :¡è
premier et vint prendre place derrière le
corbillard. Il marchait le dos vqûté, les
jambes lourdes. La soie de son chapeau,
frôlée dans de multiples étreintes, s'était
hérissée çà et là au-dessus du crêpe. Ses
gants de 'Suède noirs, achetés à la hâte et
au jugé par une femme de chambre, n'a-
vaient laissé entrer que la moitié de ses
mains, et aux extrémités des doigta pen-
daient de petites griffes flasques.
Ces menus détails sont les signes ordi-
naires d'une de ces douleurs contenues,
mais violentes, qui écrasent leur homme.-
Les concierges du quartier, dans le cadre
dçs portes cochères, les voisines étalées
sur la barre d'appui des fenêtres, à tous les
étages, faisaient faction depuis une heure
pour ne rien perdre ue ce spectacle nou-
veau qu'est un cortège mortuaire. De jeu-
nes pâtissiers, qui portaient leurs mannes,
de jeunes télégraphistes qui ne portaient
pas leurs dépêches, s'arrêtaient sur le pas-
sage du convoi, la bouche ouverte, intéres-
sés par les plumets des chevaux et les pom-
pons du char funèbre. Des chiens aboyaient
sans raison, pour aboyer, tandis que les
gardiens de la paix, soucieux de faciliter
la circulation, forçaient les voitures et les
omnibus à s'enchevêtrer .dans un fouillis
inextricable.
A l'église, M. Pépin, épuisé par les émo-
tions, se laissa choir sur sa chaise. Mais,
sans doute par humanité et pour qu'il ne
s'abîmât pas dans aea idées noires, pen-
dant les cinquante minutes que dura le ser-
Vice, le même maître des cérémonies le
pria du geste, saluant avec sa grâce inlas-
sable, de vouloir bien se lever quand il
était assis et se rasseoir quand il était de-
bout ; ce qui ne l'empêcha nullement d'en-
tendre le même air de Stradella qu'on lui
avait déjà chanté douze œnts fois dans des
églises diverses en des circonstances analo-
gues.
Le trajet de l'église au cimetière s'effectua
sans autre incident que l'arrestation classi-
que du garçon de magasin qui tient à cou-
per le cortège pour passer de l'autre côté
du boulevard. Des amis pleins de sollicitu-
de pour la santé du yeu! l'avaient obligé de
remettre son chapeau, ce qui leur permet-
tait, à eux aussi, d'avoir le chef couvert.
On ne choisit pas toujours son moment
pour mourir, sans quoi Elisabeth Pépin eût
quitté ce monde avant ou après le 2 août.
Elle s'était montrée pleine d'attentions
pour son mari pendant quinze ans, et elle
eût souffert de voir couler sur ses joues de
grosses gouttes 'où fraternisaient une dou-
leur et une température également excessi-
ves. - t
Les dernières prières furent dites sur la
tombe ouverte, et M. Pépin serra encore
une fois dans le défilé final beaucoup de
mains moites et dévouées.
Une voiture le ramena chez lui, où s'était
installée, sous prétexte de l'assister dans
cette cruelle épreuve, une cousine pauvre
de province, vieille fille laide, acariâtre et
jalouse, laquelle rêvait depuis quarante-huit
heures de prendre la place de la morte et
se tenait prête à offrir à M. Pépin une vertu
notoire laissée pour compte et un désir de
luxe soigneusement dissimulé.
Elle menait déjà lés domestiques en mat-
tresse autoritaire, et commandait, soi-disant
pour ce pauvre Pépin, des menus délicats.
Elle n'avait pas osé aller jusqu'à la terrine
de foies gras, qui est peu deuil malgré la
note noire fournie par les truffes, mais
elle avait eu quelque agrément avec un
certain ris de veau à l'oseille, dont le désir
avait longtemps hanté ses insomnies. M.
Pépin, comme tous, les hommes plongés
dans le désespoir, était hors d'état de con-
trôler les dépenses vulgaires de la table, au
moins pendant les premiers jours. C'était
donc un petit avantage pris sur l'ennemi,
sur la fâcheuse abstinence à laquelle elle
était condamnée en dehors des aubaines
passagères, baptêmes, noces ou enterre-
ments.
M. Pépin ne put mettre moins d'une se-
maine à se débrarasser d'elle. Il dut se ra-
cheter, lui abandonner, au grand dam de
la femme de chambre, quelques robes dé-
fraîchies, des chapeaux fanés, du linge hors
d'usage, de minces bijoux sans valeur, et
elle regagna sa taupinière la rage au cœur
mais le miel sur les lèvres, lui ayant laissé
comprendre, dans un sourire dénué de per-
les, qu'elle était toute à sa disposition pour
le jour où il lui plairait de décéder lui-mê-
me.
II ;
M. Pépin, resté seul, put se livrer à sês
regrets en toute sécurité, et comme il était
méthodique il régla définitivement l'exerci-
ce et les manifestations extérieures de son
deuil.
Le matin, à huit, heures, Constant, domes-
tique- un peu voleur mais relativement
consciencieux, dut lui apporter sur un pla-
teau deux tasses comme au temps où Eli-
sabeth prenait avec lui ce premier repas.
Seulement, il n'y avait plus de chocolat que
pour une personne. Il est inutile de gâcher
de l'argent pour affirmer un principe tout
moral.
A neuf heures, M. Pépin montait en
tramway, pour se rendre au champ de re-
pos où gisait la moitié*de lui-même. Il s'a-
genouillait sur la terre, recueilli, et jurait
à Elisabeth une fidélité éternelle.
Il déjeunait et dînait dans la salle à manr
ger. En face de lui, sur un socle, à la place
qu'elle occupait d'ordinaire, il fit dresser
le buste de la défunte, œuvre d'un locataire
artiste, équivalent en nature de plusieurs
termes impayés. Le sculpteur ayant ap-
porté à oe travail unç négligence toute par-
ticulière, la ressemblance était parfaite, et,
si la femme était morte, le buste, lui, était
vivant. Son couvert était mis, et Constant,
d'après les ordres reçus, lui présentait le
plat d'abord, d'une inclination, rapide, dis-
crètement esquissée et sans insister, ce qui
eût attaché un peu de ridicule à une in-
tention touchante.
M. Pépin, qui n'avait jamais passé pour
un Don Juan, se trouvait donc aussi avoir
ses festins de pierre, et il n'est pas douteux
que la présence d'une statue imprime un
caractère auguste à l'accomplissement
d'une fonction assez grossière en somme.
De deux heures à cinq, M. Pépin s'enfer-
mait pour revivre ses souvenirs, dans là
chambre nuptiale où il avait connu les su-
prêmes joies. Ses méditations poignantes
le plongeaient presque immédiatement
dans un sommeil profond, et quand il sor-
tait du sanctuaire, les veux bouffis, on s'ef-
façait avec respect devant l'image austère
de la Douleur en marche.
M. Pépin goûtait une amère volupté dans
la solitude. L'amertume provenait d'un in-
commensurable ennui, la volupté résidait
dans l'orgueil de montrer aux populations
un chagrin de qualité supérieure, et tel que
ne sauraient l'éprouver de petites gens.
111
Les domestiques avaient pris très vite
leur parti dé la disparition de leur bonne
maltresse. La vie est douce, en effet, lors-
qu'on sert un homme qui ignore le prix
des denrées et la quantité de beurre néces-
saire à la confection d'un coulis.
Mais le capitaine Lempereur et le doc-
teur Mille veaux n'étaient pas contents, eux,
ni même résignés.
Nous avons retardé le plus longtemps
possible un aveu que nous devions au lec-
teur. Nous avons même songé à lui cacher
complètement la vérité, car les faiblesses
humaines ont droit à l'oubli, étant descen-
dues avec le corps dans le mystère des
tombes. Mais la moindre indiscrétion pou-
vait rendre vains nos scrupules, et nous
jugeons plus décent de lui apprendre avec
les ménagements voulus qu'Elisabeth, au
moment de son décès, n'avait plus rien à
refuser, ou à accorder, si l'on aime mieux
ce terme, depuis environ quinze années, au
docteur et au capitaine.
Ce n'était pas qu'elle fût portée au liber-
tinage par un esprit vicieux ou un tempé-
rament excessif. Non. Elle savait son inté-
rieur agréable, elle avait plaisir à y rece-
voir de son mieux ses amis intimes. Elle
souhaitait qu'ils fussent heureux chez elle
et par elle, et le docteur qui, à l'exemple
de ses pareils, appréciait en matérialiste
les caractères, faisant allusion à certaines
rondeurs appétissantes, assurait qu'èlle
avait les bosses de l'hospitalité.
Elle s'était donnée avec gentillesse et sim-
plicité, à la première sollicitation, comme
dans son jardin, sur le moindre signe d'en-
vie, on offre une fleur ou un fruit à l'hôte
préféré. Elle préférait le docteur et le capi-
taine, voilà tout, et elle s'était laissé cueil-
lir.
Cet aimable abandon s'étendait jusqu'à
son mari, lequel, hâtons-nous de ie dira
n'en abusait pas.
Dans la plupart des cas,ce. qui fait là gra-
vité des choses, c'est l'idée qu'on y attache,
et la preuve qu'Elisabeth et ses deux invi-
tés n apportaient aucune perversité dans
leurs épanchementa, c'est quelle docteur
était au courant du bonheur du capitaine;
et que le capitaine n'ignorait rien de la fé-
licité du docteur. Cette communauté dr>nç
une possession que les égoïstes, d'pabitude
prétendent garder pour eux seuls, cette en-
tente franche et sincère sur un terrain dont
les accidents mêmes devenaient des points
de contact les avaient rapprochés et unis,
malgré l'opposition de leurs idées pollti-
quès et religieuses. Lempereur s'affirmait
clérical et réactionnaire. Milleveaux, libre-
penseur et démocrate. Elisabeth était le
tampon parfumé et douillet où venaient **
s'amortir et se fondre leurs divergences, fct s
ils offraient une forme nouvelle et intéres-
sante du ménage à trois, le mari ne figu-
rant au tableau, comme sur les livres' de
chasse, que dans la colonne des « divers ».
Le jeudi et le dimanche, dé fondation, le
capitaine et le docteur dînaient cnez. M. et
JIme PepiiT. Après Je dîner, tandis que M.
Pépin lisait le Temps, le guerrier et 1 hom-
me de science se livraient sur l'échiquier
une bataille acharnée et courtoise, dont
l'enjeu généralement était une petite visita
d'Elisabeth en dehors des jours consacrer
Comme ils étaient de même force, les tains
se compensaient. Elle suivait la parti par
politesse et usage du monde, impartiale,
s'étant donné pour règle de ne favorisa
aucun des deux, et attendant du mat. 14
choix de l'heureux mortel à qui elle porte..
fait (en rabiot, disait le capitaine), Fête de
sa chair encore ferme et savoureuse. --
Si l'un ou l'autre des joueurs était. empô-
ché par une circonstance quelconque de
profiter de sa chance, ils-opéraient un vi-
rement à l'amiable. Ils se faisaient des po-
litesses, évidemment sur le dos ou plutôt
sur le front de leur ami Pépin, mais cela
n'avait aucune importance, celui-ci ne se
doutant de rien. Même au début, alors qu'il
s'agissait d'établir leurs petits arrange-
ments, il avait paru un peu gênant que cf
brave Pépin ne fût pas au courant des cho-
ses, çar il lui arrivait de contrecarrer inno-
Gemment .des projets agréables. Mais ck
n'est pas aux amants de prévenir le mih,
ni même à la femme, et ils s'étaient incl'inés
devant l'éternelle routine. :.
PH. MAQUET. ,
(A suiote)
Rappelons à nos Abonnés que toute demanda
de changement d'adresse doft être accompagné*.
de SOIXANTE CENTIMES en timbres-posta pouf
confection de nouvelles bandes*
LE JOTJRNAU
1
r
NOUVELLES DIVERSES
Statistique municipale
Le service de la statistique municipale a
compté pendant la 22e semaine 886 décès,
au lieu de 1,021- pendant la semaine pré-
cédente et au lieu de 954, moyenne ordi-
naire de la saison. Ce chiffre est le plus
faible qui ait été observé depuis le début
de l'année.
Les maladies épidémiques causent très
peu de décès. Toutefois, le nombre des
malades atteints de scarlatine continue à
augmenter (453 cas nouveaux contre la
moyenne 83). La rougeole devient égale-
ment très répandue (459 cas nouveaux au
lieu de 267, moyenne des trois dernières
années).
Il y a eu 34 morts violentes dont 13 sui-
cides.
On a célébré à Paris 550 mariages.
On a enregistré la naissance de 955 en-
fants, vivants (523 garçons et 432 filles),
dont 728 légitimes et 227 illégitimes. Par-
mi des derniers, 43 ont été reconnus
séance tenante.
Les instructions
Vols à l'asile de Ville-Evrard. - A la
suite d'un vol de lingerie, succédant à
d'autres vols très nombreux, et d'impor-
tance variable, accomplis au préjudice de
l'asile d'aliénés de Ville-Evrard, le Par-
quet de Pontoise, saisi d'une plainte, pro-
cède actuellement à une information judi-
ciaire.
Les jeux dangereux. - Le Parquet de
Pontoise fait rechercher l'auteur du jet
d'une bille au passage d'un train allant de
Paris-Nord à Enghien. Après avoir brisé
la vitre d'un compartiment, le projectile
blessa, à Fcell droit, M. Henri de Jong,
courtier - en diamants, 124, boulevard de
Montmorency, à Deuil.
Un vol de 20,000 frantPar ordon-
nance de M. le juge trois
Anglais, Davidson-Bay^ Btirtèt,
viennent d'être renvoyés adevaint le tribunal
correctionnel, sous l'inculpation de vol. Ils
avaient soustrait à un de leurs compatrio-
tes, M. Ree, une somme de 20,000 francs en
usant du. procédé classique du vol à l'amé-
ricaine. Ils seront défendus par Me Emile
Destrez.
Un foueut d'orgue assoinni d. M. André,
juge d'instruction, a fait subir, hier, l'inter-
rogatoire de forme à Jean Sorennes, le char-
retier qui, rue Crozatier, assomma son ri-
val, le manchot Pescchi. L'inculpé, sur le
compte de qui -l'on a recueilli les meilleurs
renseignements, a déclaré qu'il avait voulu
se venger de Pescchi, qui lui avait pris sa
montre et son argent.
Courtier infidèle. — Sur mandat de M. le
juge d'instruction Barat, on a arrêté, hier,
à Rontchouk (Bulgarie), un courtier en dia-
mants, Léon Dinar, originaire de Constanti-
nople, qui, le 25 mai dernier, avait quitté
son domicile, 15, rue Saulnier, à Paris, em-
portant 124,000 francs de perles qui lui
avaient été confiés. Le gouvernement fran-
1 çais réclame l'extradition du fugitif.
l OUSAUSOY achète cher BIJOUI
Autopsie nécessaire
Mlle Marie-Louise Le Guillou, vingt-trois
ans, employée de commerce, 13, rue du Vi-
vier, a été trouvée morte, hier, dans son lo-
gement.
Le décès ayant paru suspect au médecin
de l'état civil, le corps a été transporté à la
Morgue aux fins d'autopsie.
Abandonné
Nous racontions récemment qu'au cours
d'une crise de folie subite, une dame Duval,
286, rue de Vaugirard, avait tenté d'étran-
gler son fils. Celui-ci, âgé de quatorze ans,
a été recueilli par des voisins charitables;
mais ces braves gens vont être dans l'obli-
gation de le confier à l'Assistance publique,
à moins qu'ils ne trouvent pour lui un emploi
quelconque. Ce serait faire une bonne action
que d'occuper cet enfant.
Homonymie
M. Jourdain, négociant, 17, faubourg
Montmartre, n'a de commun que le nom
avec l'anarchiste faiix monnayeur.
Les cycles sont vendus avec un premier
versement 4e dix francs par cent francs
aux Grands Magasins Dufayel et les ma-
chines à coudre avec un premier verse-
ment de trois .francs. La brochure explica-
tive est envoyée franco.
AlloI allo l
Toujours infatigables et insaisissables,
les voleurs de câblçs électriques ont opéré,
la nuit dernière, entre les gares d'Epinay
et de Deuil, où ils ont coupé 2,100 mètres
de fils de bronze.
E. Pic, avocat-conseil, 78, rue de Rivoli
matin, et 5 à 7. Tél. 128-15. :
Le remords
Joseph Renaud,surveillant à l'octroi d'As-
ïiières, se présentait hier devant M. Briy,
commissaire de police du quartier Notre-
Dame, en disant :
— Je suis un misérable, j'ai volé à -la
caisse de l'octroi 900 francs que j'ai perdus
au jeu, envoyez-moi en prison.
M. Briy a fait droit à sa requête.
Disparu
On est sans nouvelles d'un petit entre-
preneur de Deuil, M. Alfred-Alphonse Ber-
thon, âgé de vingt-neuf ans, 3, rue du Cro-'
chet, qui n'a pas reparu chez lui depuis le
14 mai.
Les trains en retard ->—-
Plusieurs trains de la ligne du Havre ont
subi hier des retards allant jusqu'à trois
heures. En voici la cause :
La Compagnie de l'Ouest, ainsi qu'elle
l'avait fait savoir au public, fait procéder
en ce moment à des réparations sous le
tunnel de Rolleboise, entre Bonnières et
Vernon. Les cordages d'un cintre s'étant
rompus, le cintre tomba en travers des
voies qu'il obstrua. Aucun train ne put pas-
fier de deux heures de l'après-midi à cinq
heures et demie. Ce ne fut que vers sept
heures que la circulation des trains put être
complètement rétablie.
Les anciens « sous-offs » du génie 1
Ce soir réunion mensuelle suivie de sau-
terie, au siège social, café du Globe, 8, bou-
levard de Strasbourg.
OUSAUSOY.kx?ery. 4,Beul. Italiens,
A l'église de Gonesse
La femme du sacristain de l'église de
GoneSse a surpris et fait arrêter un repris
de justice, nommé François Potin, âgé de
quarante-trois ns, qui, à l'aide d'un ciseau
à froid, avait l'facturé les troncs du maître-
autel. -
Le malfaiteur traînait avec lui trois en-
fants en bas-âge, qui ont été recueillis à
l'hôpital, tandis que le père était dirigé sur
la prison de Pontoise.
Surveillance, missions secrètes, divorcé.
Auxiliaire, 92, rue de Rivoli.
La folie
Un individu discourait et gesticulait, la
nuit dernière, vers deux heures et demie du
matin, dans* la rue Caulaincourt ; il jetait
des ordres à d'invisibles automédons, leur
ordonnait de faire avancer leurs voitures,
commandait du champagne à celui-ci, s'éton-
nait près de tel autre de la lenteur de la
cérémonie, etc. Les agents le conduisirent
au'poste de police, d'où le malheureux fou,
Jules Jouanot, garçon restaurateur, trente-
sept ans, qui se croyait revenu au jour de
son mariage, a été conduit à l'infirmerie
spéciale du Dépôt.
OUSAUSOY achète cher BIJOUX
Par les toits
M. Hardouin, propriétaire de l'immeuble
sis passage de Ménilmontant n° 11, s'aperce-
vait depuis quelques jours que des quan-
tités de débris de cuivre, plomb et zinc em-
magasinés dans ses greniers, disparais-
saient sans qu'on pût capturer les cambrio-
leurs. Il informa M. Hocquet, commissaire
de police du quartier Saint-Ambroise, qui
chargea son secrétaire, M. Plasson, de pro-
céder à une enquête.
Les malfaiteurs s'approvisionnaient par
les toits et des gardiens de la paix placés
en surveillance procédèrent à l'arrestation de
Jules et Jean Bondrand, dix-huit et vingt
ans, qui ont été dirigés sur le Dépôt.
D. Meyer, expert, 56, boulevard Haussmann
achète très cher diamants, perles et bijoux.
Nombse. occas., bijoux et colliers de perles.
Affaire à éclaircir
Pour cause de dissentiments conjugaux
les époux Marquet, domiciliés rue Riquet,
dans le quartier de la Villette, s'étaient sé-
parés il y a quatre ans. Le mari, Cocher-li-
vreur, âgé de quarante-quatre ans, garda
avec lui son fils aîné, Maurice, sept ans, et
la mère conserva les deux plus jeunes. De-
puis il ne s'étaient pas rencontres.
Maurice fréquentait assidûment 'l'école
communale de la rue de l'Ourcq, et son père
venait très souvent le chercher vers cinq
heures. Hier soir, une jeune femme se pré-
senta au directeur et lui dit :
— M. Marquet, retardé dans le centre où
il effectue une importante livraison, m'a
chargé de conduire son fils à son domicile ;
comme vous pourriez douter de la véracité
de mes paroles, il m'a remis l'extrait de nais-
sance de Maurice.. ,
La dame montra, en effet , la pièce offi-
cielle et le directeur permit à l'enfant de la
suivre.
Le père, quelques instants plus tard, se
rendit rue de l'Ourcq et, ne trouvant pas
son enfant, demanda des explications. Mis
au courant par le directeur de ce qui s'était
produit, il déposa une plainte entre les mains
de M. Ducrooq, commissaire de police, qui
fait rechercher récolter.
BULLETIN DU TRAVAIL
Réunions du vendredi 7 juin
Bourse du Travail, s, rue du Chàteau-d'Eau
Matin :
salle des Conférences. — Fédération «des Maga-
sins de la Guerre. -
Salle des Commissions. — Troisième étage : Allu-
meurs de gaz.
Auprès-midi :
Salle Bondy. Gr&nitiers. 1
Salle des Conférences. - Choristœ:
Salle des Commissions. — Quatrième étcure : ter-
rassier.
Soir :
Salle, du bas (côté droit). — Fédération des em-
ployés.
Salle d-o commission Bondy. — Découpeurs, es-
tampeurs, outilleurs.
Salifia des Commissions. — Premier étage - Fédé-
ration du bâtiment ; deuxième étage : plombiers,
couvreurs, zingueurs ; troisième étage : peintres ;
quatrième étage: non gradés de l'Assistance pu-
blique ; cinquième étage : services réunis.
Les Petites Annonces du Samedi
doivent être remises à l'Administration
du JOURNAL le vendredi avant midi.
SPECTACLES.
OPERA. — 8 h. — Ariane.
FRANÇAIS. — 8 h. — Mariontt Delorme. *
OPERA-COMIQUE. - 8 h. IIi. - Ariane et Barbe-
Bleue.
VAldJEVILLE. — 1 b. 1/2. - L'Araignée. - 'l:.1
Ruisseau.
VARIETES. -111. ilt. — La Revue du Centenaire
GYMNASE. — 8 h. 1/2. — La Joie du Talion. -
Mademoiselle Josette, ma femme.
SARAH-BERNHARDT. - 8 h. 1/4. — Adrienfle Le-
couvreur.
REJ ANE. - 8 h. i/2. — Zaza.
NOUVEAUTES, r- 8 h. 1/2. — Vous n'avez rien à
déclarer 7 - Bon agent et mauvais cambrioleur.
ANTOINE. - 8 h. 3/4. — L'Echelle. — Les Ames
ennemies.
ATHENEE. — 8 h. 1/2. — Le Truc du Capitaine. —
Le Cœur et le Reste.
CHATELET. — A 3 h. et à 8 h. 1/4. — Séances de
Cinématographe. ,
GAITE. - 8 n. l/Ô. — La Fille à Madame Angot.
PORTE-SAINT-MARTIN. — 8 h. 1/2. — Les Ddui
Gosses.
I'ALAIS-ROYAL - 8 h. 1/2. — La Dame du 23.
LES MATHURINS (213-41), — Je vais m'en aller. —
Le Flirt ambulant. — En pays conquis. — Mlle
L. Guett. Mmes Ch. Lamy, Saint-Paul, H. Baur.
AMBIGU. - 8 h. 1/2. — Les Deux Orphelines.
FOLIES-DRAMATIQUES. - 8 h. 3/4. — Le Coup flg.
Jarnac. -
GRAND-GUIGNOL (tél. 228-34). 9 h. Le Recours en
grâce. La Matérialisation de Miss Murray. En
Plongée. Les Opérations du docteur Verdier etc.
TRIANÔN. — 8 h. 1/2. — L'Enlèvement de la
ToWdad. !
CAPUCINES (tél. 1S&4û). - 9 h. - Son Petit Frère
(Marg. Deval. Polin. - L'Ami da Cercle. —
Phydra.
COMEDIE-ROYALE, 25, r. Caumarttn (tél. 807-36). —
9 h. — Un Réveillon. — Antoinette n'est pas fixée, i
— Octave. — Des lys par ci, Délices par là, revue.
DEJAZET. — 8 h. 1/2. — Il ou Elle. — Tire au
Flanc.
TRETEAU ROYAL, 4, r. Caumartin. Tél. 294-44. —
9 h. : Changeons pas nos habitudes. La Revue (Th.
Cernât, Frey, Silvestre). Le Coup de Phryné, etc.
THEATRE DÉS ARTS. — 8 h. 1/2. - La Favorite
BA-TA-CLAN (tél. 930-12). Faut voir çà ! revue, scè-
nes nouvelles : Le match Jaures-Briand-Clemen-
ceau. Le Sabotage à 1 Ecole. A 10 h. Tableaux viv.
TH. GREVIN. A 3 h. et le soir à 9 b. Le Phoque;
Le Cultivateur de Chicago et les Charbonniers.
Jeudis,dim.et fêt.à 5 h. Bébé Roi et Do.ré,mi,fa,sol
THEATRE DE LA TOUR EIFFEL. A 3 h.: La Revue
Récalcitrante ; Toc-Toc, Tic-Tac ; et Chapeau 1 ! 1
Fauteuils à 2 fr., ascension au 1er étage comprise.
TH MODERNE, Ii, bd des Italiens. En matin, à 3 h.
et en soirée à 9 h. Le Parfum (Mlle Nadir). Dim.,
mardis et jeud.à 5 b.1/2 Luce Trémière et J.Sparck
MONCEY. — 8 h. 1/2. — Les Cloches de Corneville.
MONTMARTRE. — 8 h. 1/2. — Robert Macaire
MONTPARNASSE. — 8 h. 1/2. — Cinématographe.
GRENELLE. — 8 h. 1/2. — Cinématographe.
MONTROUGE. — 8 h. 1/2. — Miss Helyett.
GOBELINS. - 8 b. 1/2. — Cinématographe.
FOLIES-BERGERE Locat. tél. 102-59. - Pretty
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Sandillot et jos. Leroux. «La Moto Infernale".
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i /ifllulrlllnl 8 h. 1/2. Les Colles de la Femme.
Fugère, Mary Perrett. Elynette. Concert : E. Lekain
MOULIN-BOUGE (tél. 508-63). « Eglé opérette
MOULIN-ROUGE mythologique, en 2 actes et 3
tabl. (Eva Duperret, Caumont, Pougaud, Morton).
APMf~ r. de Cllchy (272-21). 8 h. 1/2. Tony
APftOLl LI A v Wilson et Héloïse. Darras Bros. The 8
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IVArTAiVRllI 1?^ t.r.Champollion (q.Latin). 9 h.
1 iiiïiwLLLu Legay,Privas,Hyspa,Lemercier,
Montoya.Revue die Marinier et Mérall.Mlle. Suz.Ellen.,
LUNE RM~~P 86 bd Clichy (tél. 687-48). eh.1/2.
LUNE ïlUÇiJoEi Chepfer, Bonnaud, Numa Blés,
Lucy Pezet. Le Calvaire. Le Sacre de Clemenceau Ier
BAL TARARIN ?67-92). Quadrilles excentriq.Les
ilea de New-York. T* les soirs
Apéritif-concert. Samedi 8 juin. Bal des Canotières.
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CdiIt RQUE METROPOLE Picquet.Programme iné-
dit et attractions extraordinaires. Le clown Foottit.
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CIRQUE MEDRAPiO Attract. nouvelle». Matin.
jeudis, dim. et fêtes,à 2 h.l/2.(Tél.240-65).Loc.ll à 6 h.
TlIlt TRE (111 PATRE à cM ote d. Variétés
i Mnt t KR Hi~iMA
De 2 à 6 h., 8 à 12.Monopole des Nouveautés Pathé.
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CMA-COmT j" 3 à 6 h. le soir à. 8 h.1/!'
IlINiEUA THEATRE 27. bd des Italiens, le plus
B&f 1 Wl1 nfjA I Slffi lux. établissem. du monde.
TI les jre matin, et solr.Matin. du jeudi progr. spéc.
MUSEE GREVIN Les Catacombes. Le Cirque. Bo-
irllJijffiU llREif ltl naparte à Malmaison. Au ciné-
ma: En Terre Sainte, Voyage & Jérusalem, etc.
MAIII SU! ûe FUÏCTTTL? BAL, jeudis, sam., dim.
IflllULlii la U/ILIll i Ci Matin, dim. et fêtes.2 h.
mil irn Tous les jeudis, GALAS. Samedis, di-
DULLILII manches et fêtes grande soirée dan-
sante. Quadrille excentrique. Jeux variés, etc., etc.
TOUR EIFFEL ouvte de 10 h.mat. à la nuit, 1er ét.
OUR Llf r fjL Restaur.-Brassfirie, déjeun. 4 fr. et
à la carte. Matinées au théâtre*Bim. et fêtes, à 3 h.
GRANDS /tflTO 4 VI7I 2 à 6 h-, attrart. variées,
MAGASINS Ulf A ILL dimanch. et fêtes exceptés
DK^USdMI/9I TS" .F?AIB!\l bd des Italiens. Ts les soirs
M~iMM a ilVLIIlil à 8 h.1/2. vues cinématogra-
phiques de Méliès, exclusives, uniques en leur genre
9 B7 CJfi(¡J CABARET ARTISTIQUE, attraction^ uni-
lI if îJ Llfijaj ques au monde. — Tous les soirs de 8 h.
à 2 heures. — 53, boulevard de Clichy, 53.
tAP~!~ î!t'A~fHM
JÂRDi\ D'ACCLISIATATION
JARDIN DES TOUS *
Ttnc~tjpc LI^
TUILERIES ■X- soiRS CONCERT
LE TAI DICTE1 bateau-restaurant de Paris à St-
1 Garipain. Départ tqus les jours
du quai d'Orsay (en face la ., gare), à. 10 h. 1/2..
FUTilIPH1 11 min.Parts. 152 trains pr'jr f lÛtlA
[il\UlllEill Etablissement thermal LAwIiW
Ce soir : Le Jour et la Nuit.
PETITE CORRESPONDANCE
1 ir. 75 la ligne
21 mars. Espérance. M écrit dimanche. Reçu let.
0. R. Ch. amis, Je me suis touj. entre vs mains,
V ai conf. aveugle en vs, suis tt soumis je le jure
ierais vot. désir, donn.-moi indic. p. journal. P.
écris à per. ni r. dit. Amitié dévouee. M. S.
25. L. Fi. m; Jour et L. M. AI. J. S. T. à T.
1,904-28. Suis désol., ai écrit 2 fois et suis allé P.
J'écris de nouv. dem. jeudi. Amitiés.
TA. 113. RBç. let. vais bien, part. 17 ou 18, tr. enn.
M pas pouv. te rencont. avant. Ec. ven. Amitiés.
F. 27157. Merci exactitude. Assez bonne santé. Aurez
F peut-être visite demain 5 h. si je viens.
S. C. Si pas renseign. prochns confianc. obéiss.eut.
J'écr. à R. Dout. inj. let. froid, m. tue.
M.C.C.D. Merci de ta let et' souvenir. Voyage incer-
!H tain. Oui, serai heur. te rev. plus tard. Amitiés.
"A B. Nantes. Cantraire.m. précédente annonce, ar-
it riverai dim. soir, il h. Me demander lundi sous
mon nom tr, bonne heure, bint heùmp si poss. Am.
Félix. Espérais nouvelles lundi, mardi. Retard fait
craindre. Tranquillise. Amitiés.
A. B. Z. Absent mardi, navré. Projet trop. danger.
A p. être réalisé. Tu ne px télég. Ns en caus. le 16.
25.L. J.n.m'expl.p.v.cond.v.-à-v.d.m. A q.b. tt d. pr. ?
Madeleine-Colombes. Je ne sais que penser de ton
IU silence ; écris-moi my dearling et rassure-moi.
amitiés. J. M.
M.G.G. Com. Je souf. de ton indif. et silence. Ecris.
Lucie. Reçu auj. lett. 4u 30 et du 2. Courage.
C. L. 37. Gare Est soir 10 h. 16, arrivée Belfort*
M 4 h. matin, 9 h. 04, 6 h. 12 Belfort, Montbéliard,
Ligne Delle-Audincourt. Salutations. Parrot.
Garde 7. Reçu lignes, demande résetver après-
U midi jeudi prochain, devrai repartir aussitôt
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Mi Pépin se tenait près de la porte d'en-
trée du galon, distribuant des poi^néea de
main à une foule de gens qu'il n avait ja-
niais vus, et préférant encore ceux-là a cer-
tains parents éloignés qui se ruaient sitf lui
pour l'embrasser de force, Il savait par ex-
périence que les jours de mariage ou d'en-
terrement on est la proie dQ personnes
émues qui embrass-ent « mouillé », et dont il
est malaisé de se défendre.
Des co' uples se pressaient sous la voûte,
distraits dans l'aspersion de l'eau bénite
parce qu'ils étaient occupés à reconnaître
leur couronne dans le tas des offrandes. A
voix basse, poussant son mari du coude, la
femme disait enfin :
— Tiens, c'est celle-ci la nôtre. Elle est
bien, pas, pour vingt-cinq francs?
- Epatante. Pourvu que le fleuriste
n'ait pas oublié la carte ?.
Et ils montaient embrasser, ou serrer la
main, selon leur tempérament.
Ceux qui redescendaient formaient des
groupes dans la rue en attendant la levée
du corps. On fumait, on se racontait les
potins du jour, le dernier mot d'un auteur
rosse. Quelques-uns, on les écoutait peu,
parlaient de ce pauvre Pépin, qui allait être
bien seul, ou de cette pauvre Elisabeth, si
sympathique, qui était vraiment morte trop
tôt. On se montrait un membre de l'Institut,
très vieux, avec une énûirme rosette à la
boutonnière.
Il est certaines phrases obligées en cer!
tains cas, celle-ci par exemple : « On dira
ce qu'on voudra, les plus malheureux ne
sont pas ceux qui s'en vont. » A quoi on
doit répondre : « Non, ce sont ceux qui res-
sont rp é.aps pncderue x '.1 (t l~:o lt&nts ne déwuènnt,
tent. » Deux; des assistante de dévouèrent,
et les, autres approuvèrent en hochant la
tête avec la satisfaction d'être débarrassés
d'un cliché qui pèse.
Le maître des cérémonies ayant annoncé
avec la grâce et la majesté traditionnelles
le départ pour l'église, M, Pépin passa :¡è
premier et vint prendre place derrière le
corbillard. Il marchait le dos vqûté, les
jambes lourdes. La soie de son chapeau,
frôlée dans de multiples étreintes, s'était
hérissée çà et là au-dessus du crêpe. Ses
gants de 'Suède noirs, achetés à la hâte et
au jugé par une femme de chambre, n'a-
vaient laissé entrer que la moitié de ses
mains, et aux extrémités des doigta pen-
daient de petites griffes flasques.
Ces menus détails sont les signes ordi-
naires d'une de ces douleurs contenues,
mais violentes, qui écrasent leur homme.-
Les concierges du quartier, dans le cadre
dçs portes cochères, les voisines étalées
sur la barre d'appui des fenêtres, à tous les
étages, faisaient faction depuis une heure
pour ne rien perdre ue ce spectacle nou-
veau qu'est un cortège mortuaire. De jeu-
nes pâtissiers, qui portaient leurs mannes,
de jeunes télégraphistes qui ne portaient
pas leurs dépêches, s'arrêtaient sur le pas-
sage du convoi, la bouche ouverte, intéres-
sés par les plumets des chevaux et les pom-
pons du char funèbre. Des chiens aboyaient
sans raison, pour aboyer, tandis que les
gardiens de la paix, soucieux de faciliter
la circulation, forçaient les voitures et les
omnibus à s'enchevêtrer .dans un fouillis
inextricable.
A l'église, M. Pépin, épuisé par les émo-
tions, se laissa choir sur sa chaise. Mais,
sans doute par humanité et pour qu'il ne
s'abîmât pas dans aea idées noires, pen-
dant les cinquante minutes que dura le ser-
Vice, le même maître des cérémonies le
pria du geste, saluant avec sa grâce inlas-
sable, de vouloir bien se lever quand il
était assis et se rasseoir quand il était de-
bout ; ce qui ne l'empêcha nullement d'en-
tendre le même air de Stradella qu'on lui
avait déjà chanté douze œnts fois dans des
églises diverses en des circonstances analo-
gues.
Le trajet de l'église au cimetière s'effectua
sans autre incident que l'arrestation classi-
que du garçon de magasin qui tient à cou-
per le cortège pour passer de l'autre côté
du boulevard. Des amis pleins de sollicitu-
de pour la santé du yeu! l'avaient obligé de
remettre son chapeau, ce qui leur permet-
tait, à eux aussi, d'avoir le chef couvert.
On ne choisit pas toujours son moment
pour mourir, sans quoi Elisabeth Pépin eût
quitté ce monde avant ou après le 2 août.
Elle s'était montrée pleine d'attentions
pour son mari pendant quinze ans, et elle
eût souffert de voir couler sur ses joues de
grosses gouttes 'où fraternisaient une dou-
leur et une température également excessi-
ves. - t
Les dernières prières furent dites sur la
tombe ouverte, et M. Pépin serra encore
une fois dans le défilé final beaucoup de
mains moites et dévouées.
Une voiture le ramena chez lui, où s'était
installée, sous prétexte de l'assister dans
cette cruelle épreuve, une cousine pauvre
de province, vieille fille laide, acariâtre et
jalouse, laquelle rêvait depuis quarante-huit
heures de prendre la place de la morte et
se tenait prête à offrir à M. Pépin une vertu
notoire laissée pour compte et un désir de
luxe soigneusement dissimulé.
Elle menait déjà lés domestiques en mat-
tresse autoritaire, et commandait, soi-disant
pour ce pauvre Pépin, des menus délicats.
Elle n'avait pas osé aller jusqu'à la terrine
de foies gras, qui est peu deuil malgré la
note noire fournie par les truffes, mais
elle avait eu quelque agrément avec un
certain ris de veau à l'oseille, dont le désir
avait longtemps hanté ses insomnies. M.
Pépin, comme tous, les hommes plongés
dans le désespoir, était hors d'état de con-
trôler les dépenses vulgaires de la table, au
moins pendant les premiers jours. C'était
donc un petit avantage pris sur l'ennemi,
sur la fâcheuse abstinence à laquelle elle
était condamnée en dehors des aubaines
passagères, baptêmes, noces ou enterre-
ments.
M. Pépin ne put mettre moins d'une se-
maine à se débrarasser d'elle. Il dut se ra-
cheter, lui abandonner, au grand dam de
la femme de chambre, quelques robes dé-
fraîchies, des chapeaux fanés, du linge hors
d'usage, de minces bijoux sans valeur, et
elle regagna sa taupinière la rage au cœur
mais le miel sur les lèvres, lui ayant laissé
comprendre, dans un sourire dénué de per-
les, qu'elle était toute à sa disposition pour
le jour où il lui plairait de décéder lui-mê-
me.
II ;
M. Pépin, resté seul, put se livrer à sês
regrets en toute sécurité, et comme il était
méthodique il régla définitivement l'exerci-
ce et les manifestations extérieures de son
deuil.
Le matin, à huit, heures, Constant, domes-
tique- un peu voleur mais relativement
consciencieux, dut lui apporter sur un pla-
teau deux tasses comme au temps où Eli-
sabeth prenait avec lui ce premier repas.
Seulement, il n'y avait plus de chocolat que
pour une personne. Il est inutile de gâcher
de l'argent pour affirmer un principe tout
moral.
A neuf heures, M. Pépin montait en
tramway, pour se rendre au champ de re-
pos où gisait la moitié*de lui-même. Il s'a-
genouillait sur la terre, recueilli, et jurait
à Elisabeth une fidélité éternelle.
Il déjeunait et dînait dans la salle à manr
ger. En face de lui, sur un socle, à la place
qu'elle occupait d'ordinaire, il fit dresser
le buste de la défunte, œuvre d'un locataire
artiste, équivalent en nature de plusieurs
termes impayés. Le sculpteur ayant ap-
porté à oe travail unç négligence toute par-
ticulière, la ressemblance était parfaite, et,
si la femme était morte, le buste, lui, était
vivant. Son couvert était mis, et Constant,
d'après les ordres reçus, lui présentait le
plat d'abord, d'une inclination, rapide, dis-
crètement esquissée et sans insister, ce qui
eût attaché un peu de ridicule à une in-
tention touchante.
M. Pépin, qui n'avait jamais passé pour
un Don Juan, se trouvait donc aussi avoir
ses festins de pierre, et il n'est pas douteux
que la présence d'une statue imprime un
caractère auguste à l'accomplissement
d'une fonction assez grossière en somme.
De deux heures à cinq, M. Pépin s'enfer-
mait pour revivre ses souvenirs, dans là
chambre nuptiale où il avait connu les su-
prêmes joies. Ses méditations poignantes
le plongeaient presque immédiatement
dans un sommeil profond, et quand il sor-
tait du sanctuaire, les veux bouffis, on s'ef-
façait avec respect devant l'image austère
de la Douleur en marche.
M. Pépin goûtait une amère volupté dans
la solitude. L'amertume provenait d'un in-
commensurable ennui, la volupté résidait
dans l'orgueil de montrer aux populations
un chagrin de qualité supérieure, et tel que
ne sauraient l'éprouver de petites gens.
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Les domestiques avaient pris très vite
leur parti dé la disparition de leur bonne
maltresse. La vie est douce, en effet, lors-
qu'on sert un homme qui ignore le prix
des denrées et la quantité de beurre néces-
saire à la confection d'un coulis.
Mais le capitaine Lempereur et le doc-
teur Mille veaux n'étaient pas contents, eux,
ni même résignés.
Nous avons retardé le plus longtemps
possible un aveu que nous devions au lec-
teur. Nous avons même songé à lui cacher
complètement la vérité, car les faiblesses
humaines ont droit à l'oubli, étant descen-
dues avec le corps dans le mystère des
tombes. Mais la moindre indiscrétion pou-
vait rendre vains nos scrupules, et nous
jugeons plus décent de lui apprendre avec
les ménagements voulus qu'Elisabeth, au
moment de son décès, n'avait plus rien à
refuser, ou à accorder, si l'on aime mieux
ce terme, depuis environ quinze années, au
docteur et au capitaine.
Ce n'était pas qu'elle fût portée au liber-
tinage par un esprit vicieux ou un tempé-
rament excessif. Non. Elle savait son inté-
rieur agréable, elle avait plaisir à y rece-
voir de son mieux ses amis intimes. Elle
souhaitait qu'ils fussent heureux chez elle
et par elle, et le docteur qui, à l'exemple
de ses pareils, appréciait en matérialiste
les caractères, faisant allusion à certaines
rondeurs appétissantes, assurait qu'èlle
avait les bosses de l'hospitalité.
Elle s'était donnée avec gentillesse et sim-
plicité, à la première sollicitation, comme
dans son jardin, sur le moindre signe d'en-
vie, on offre une fleur ou un fruit à l'hôte
préféré. Elle préférait le docteur et le capi-
taine, voilà tout, et elle s'était laissé cueil-
lir.
Cet aimable abandon s'étendait jusqu'à
son mari, lequel, hâtons-nous de ie dira
n'en abusait pas.
Dans la plupart des cas,ce. qui fait là gra-
vité des choses, c'est l'idée qu'on y attache,
et la preuve qu'Elisabeth et ses deux invi-
tés n apportaient aucune perversité dans
leurs épanchementa, c'est quelle docteur
était au courant du bonheur du capitaine;
et que le capitaine n'ignorait rien de la fé-
licité du docteur. Cette communauté dr>nç
une possession que les égoïstes, d'pabitude
prétendent garder pour eux seuls, cette en-
tente franche et sincère sur un terrain dont
les accidents mêmes devenaient des points
de contact les avaient rapprochés et unis,
malgré l'opposition de leurs idées pollti-
quès et religieuses. Lempereur s'affirmait
clérical et réactionnaire. Milleveaux, libre-
penseur et démocrate. Elisabeth était le
tampon parfumé et douillet où venaient **
s'amortir et se fondre leurs divergences, fct s
ils offraient une forme nouvelle et intéres-
sante du ménage à trois, le mari ne figu-
rant au tableau, comme sur les livres' de
chasse, que dans la colonne des « divers ».
Le jeudi et le dimanche, dé fondation, le
capitaine et le docteur dînaient cnez. M. et
JIme PepiiT. Après Je dîner, tandis que M.
Pépin lisait le Temps, le guerrier et 1 hom-
me de science se livraient sur l'échiquier
une bataille acharnée et courtoise, dont
l'enjeu généralement était une petite visita
d'Elisabeth en dehors des jours consacrer
Comme ils étaient de même force, les tains
se compensaient. Elle suivait la parti par
politesse et usage du monde, impartiale,
s'étant donné pour règle de ne favorisa
aucun des deux, et attendant du mat. 14
choix de l'heureux mortel à qui elle porte..
fait (en rabiot, disait le capitaine), Fête de
sa chair encore ferme et savoureuse. --
Si l'un ou l'autre des joueurs était. empô-
ché par une circonstance quelconque de
profiter de sa chance, ils-opéraient un vi-
rement à l'amiable. Ils se faisaient des po-
litesses, évidemment sur le dos ou plutôt
sur le front de leur ami Pépin, mais cela
n'avait aucune importance, celui-ci ne se
doutant de rien. Même au début, alors qu'il
s'agissait d'établir leurs petits arrange-
ments, il avait paru un peu gênant que cf
brave Pépin ne fût pas au courant des cho-
ses, çar il lui arrivait de contrecarrer inno-
Gemment .des projets agréables. Mais ck
n'est pas aux amants de prévenir le mih,
ni même à la femme, et ils s'étaient incl'inés
devant l'éternelle routine. :.
PH. MAQUET. ,
(A suiote)
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