Presse et revues
8 pages
Titre : Le Journal
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1924-10-16
Contributeur : Xau, Fernand (1852-1899). Directeur de publication
Contributeur : Letellier, Henri (1867-1960). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34473289x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 16 octobre 1924 16 octobre 1924
Description : 1924/10/16 (N11687). 1924/10/16 (N11687).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG87 Collection numérique : BIPFPIG87
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Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-220
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/08/2014
4
LE JOURNAL
1
..8 -- JO -- 24
LA VIE MÉDICALE
Le jour sans viande
On parle de nous imposer de nou-
veau un jour sans viande, comme
il fallut bien le faire pendant la
guerre; car ceci, affirme-t-on, doit
contribuer à faire diminuer la
cherté de la vie. Mais cette restric-
tion doit-elle être jugée par l'hygié-
niste comme utile ou comme nuisi-
ble, du point de vue de la santé gé-
.,dtale ?
Laissons d'abord le côté économi-
que, qui n'est pas mon affaire : mais
je ne puis cacher que je suis ici fort
sceptique. Le commerce de la viande
saura bien s'arranger pour n'y rien
perdre : si l'on demande moins de
: viande, elle se vendra plus cher,
parce que le marchand n'entend pas,
:w:voir diminuer ses bénéfices.
Mais passons, car cela n est pas ma
vitrine. Il ne s'agit ici que de discu-.
1er le rôle de la viande dans l'ali-
mentation, et la chose n'est pas si
simple qu'il semble ; je veux dire
qu'il y & beaucoup de « pour » et de
"M contre ».
D'une part, les partisans de la
viande font ressortir qu'elle a une
action excitante et tonique, — ce qui
est indiscutable, — sans favoriser
l'engraissement, et qu'elle est le type
-de l'aliment azoté facilement assimi-
lable : or, nous ne pouvons nous pas-
ser d'azote. Les bons effets de la vian-
de chez l'enfant en voiededéveloppe-
■'jjneâl, après douze ans, sont certains.
TElle est précieuse pour les convales-
cents, au moins temporairement ; en -
un, son usage est un des meilleurs
procédés à mettre en œuvre pour
,,préveiiir la tuberculose. Des statisti-
ques anglaises ont établi nettement
Xque celle-ci se montrait en régression
manifeste dans les milieux populai-
res dès qu'on y augmentait la ration
de viande. 1 - -
Mais voici un autre son de cloche.
,> L'usage régulier et abondant de la
>< ,:\:j mde élève trop la tension vascu-
ÎV. re et nerveuse. Les peuples carni-
.vores sont plus violents que les au-
tres, peut-être plus courageux quand
-->1 le faut, mais moins travailleurs
d une façon continue. Chez l'individu,
.cette tension artérielle constamment
':-'Stimulée peut devenir un facteur
.rartério-sclérosc, avec toutes les
-conséquences de celle-ci. L'usage
:i); bituel de la viande fait que le foie
- !II"use plus vite et développe ainsi
l'arthritisme, la goutte, la-gravelle,
bien plus que lorsque notre ration
quotidienne d'azote est demandée aux
albumines végétales des céréales et
des légumes (le haricot vert, par
exemple, en renferme presque au-
tant qu'elle). Dans l'estomac, la
viande, qui excite bien la sécrétion
gastrique, peut conduire, avec l'abus,
a l'hyperchlorydrie : dans l'intestin,
les produits déqi digestion dévelop-
pent des fermentations putrides,
source d'intoxication chronique, et,
créent un précieux milieu de culture
pour une foule de germes non moins
nuisibles,, facteurs de l'entérite, de
l'appendicite, peut-être du cancer (?).
Les travailleurs qui consomment peu
ou point de viande — et l'expérience
a pu être vérifiée en gfrmd sur des
peuples entiers — sont plus labd-
.'t'ieux. fournissent un meilleur ren-
dement : ils sont peut-être moins
vifs, mais plus Solides. La viande,
sachons-le bien, n'est pas un aliment
producteur de force, tous les physio-
logistes sont d'accord sur ce point, eL
pas plus que pour l'alcool, il ne faut
confondre ici l'illusion de la puis-
sance, que donne l'excitation, avec la
puissance elle-même. Les sportifs
les plus résistants, les champions, ne
l'ignorent pas et renoncent à là
viande et à l'alcool. Ce sont les fécb-
lents, les graisses et surtout le sucre
• qui servent à élaborer l'énergie mus-
- culaire véritable, à la condition u'uti-
liser celle-ci, sinon, vous le savez,
c'est: l'engraissement.. -
Qiiè conclure de tout cela ? C'est
qu'il est impossible d'établir, sur ce
'poirrt, une règle absolue et qui con-
vienne également à tout le monde.
La viande est - inutile à l'enfant
jusqu'à douze .ans, sinon comme un
remède sous forme de viande crue
(râpée et non hachée), s'il est ané-
mique. lymphatique, et surtout en-
clin, par ses hérédités et par son-
milieu, à la tuberculose.
JjfeTdouze à vingt ans; elle devient
précieuse, au contraire. C'est un
tonique nerveux utile, riche en
phosphates naturels donc réellement
assimilables, indispensable pour la
Ctpissance du squelette.
:plus tard, il faut distinguer selon
.les espèces. Le travail au grand air.
aàl demande surtout de la vigueur
jûiisculaire, n'exige réellement que
ttès peu de viande, mais comme, en
même temps, il assure la consomma-
tion, réelle .de l'énergie fournie, elle
DÎbffre point, ici d'ineonv é nie a ta :
oj^st un aliment de luxe, dont nos
races paysannes se sont passées pen-
dant de nombreuses générations,
qu'aucune bonne raison ne doit leur
interdire, mais dont, physiologique-
ment, - elles peuvent fort bien se
penser si elles le veulent, pourvu que
létir! ration de pain reste abondante.
¿¡Le travailleur des villes, l'ouvrier
de-fabriq es, une fois-atteint l'âge'
^Uadulte, n'en a pas beaucoup '.plus
besoin. 'Elle peut cependant lui être
utile, comme stimulant nerveux sur-
tout, donnant de la vivacité, et de
l'adresse : cela vaut beaucoup mieux
que l'alcool. Mais à mesure qu'il
avance en âge, il doit logiquement
en diminuer la ration, car son orga-
nisme l'utilise de moins en moins el
les inconvénients en deviennent plus
nets. La ménagère occupée, à son
domicile, l'ouvrière confinée à l'ate-
lier, en a plus besoin peut-être' qu"
lûi, surtout si les conditions hygiéni-
ques du local où elle passe son exis-
tence (manque d'air et de lumière,
espace confiné, alimentation hâtive
et insuffisante) sont de celles qui fa-
vorisent l'éclosion de la tuberculose
L'employé de bureau est dans le
même cas, du moins jusqu'à trente
ou quarante ans.
Pour le travailleur intellectuel,
s'il est plus confortablement ins-
tallé, la viande est beaucoup moins
utile, et plutôt même néfaste, selon
l'avis très net de mon ami, le doc-
teur Maurice de Fleury, qui s'y con-
naît. Elle exagère chez le sédentaire
la tension sanguine et favorise la
constipa/ion et les intoxications, à
moins qi 'il n'y joigne le contre-poi-
sea d'une grande activité sportive ou
d'un exercice nliysfiaue régulier.
Passé la - Quarantaine, la viande
devient de mrjins en moins utile. de
plus en plus défavorable même. Le
toie vieilli n'en permet plus tillo
assimilation parfaite et ses propre:.
fonctions, comme celles du rein, en
sont troublées. C'est l'heure de l'uri-
cémie, des calculs, de la gravelle el
du cancer. Bien entendu, dès qu'il y
a maladie, constituée, le médecin
doit rester seul juge du cas, et ce sera
Irien- plus souvent pour la proscrire
que pour l'ordonner.
Enfin, chez les vieillards, la viande
fit parfaitement mutile : elle ne doit
être qu'une occasion, aussi peu fré-
quente que possible, de varier leur
menu et de réveiller leur appétit :
mais l'abus, ou môme l'usage régu-
lier, comme à vingt ans, deviendront
vite ici dangereux.
Quant au procédé pour amener,
sans trop s'apercevoir, la réduction
de la consommation de la viande,
une foule de gens savent depuis
longtemps le mettre en pratique en
la supprimant simplement au repas
du soir. Cela devient même une rè-
gle de sagesse pour tout le monde,
après quarante ans ; le sommeil est
alors meilleur, moins intoxiquant,
plus réparateur. Seulement il ne faut
pas la remplacer alors par les cèufs,
qui, pour la toxicité, sont encore bien
plus dangereux qu'elle.
Dioscoride.
POUR LES ANCIENS COMBATTANTS
Les mois d'avanî-guerre
A la suite de mon dernier article de-
mandanl 'le relèvement du taux des pen-
sions pour les victimes de la guerre, j'ai
reçu une lettre d'un mutilé d'avant-
guerre qui se plaint de l'oubli dans le-
quel. on laisse les victimes de sa caté-
gorie..
C'est vrai, et si, personnellement, je
n'ai jamàis élevé de réclamation en leur
faveur, c'est que, hélas I les cris d'impa-
tience des victimes de la dernière guerre
dont je me suis fait' l'interprète dans
cette chronique affluent chaque semaine
dans mon courrier et que je dois forcé-
ment discerner entre tant de souffrances
méconnues.
Mais puisque j'en ai l'occasion, mes lec-
teurs ne m'en voudront pas, j'en suis
sûr. d'attirer l'attention de l'opinion pu-
blique sur le sort vraiment injuste qui
est fait aux mutilés d'avant-guerre.
Pour eux, comme le dit justement mon
correspondant : « Pas de soins gratuits.
pas de réduction sur les tarifs de che-
mins de fer, pas de places de priorité
dans les transports en, commun, pas
d'emplois réservés, etc.
Pourquoi ? -.
Je ne VOIS vraiment pas la amerencc
qu'on pourrait établir entre le malheur
des uns' et des autres. Il ne s'agit pas,
en effet, du point de vue qui nous oc-
cupe, de confronter les circonstances
plus ou moins glorieuses de l'invalidité
contractée1 au service de la patrie ; il s'a-
git simplement de fixer une indemnité et
des avantages proportionnes à un pour-
centage de celte invalidité. Et j'affirme,
certain d'être approuvé par toutes les
victimes de la guerre; que les mutilés
d'avant-guerre ont. les mêmes droits à
réparation que ceux qui leur ont succédé
dans la voie souvent ingrate du sacrifice.
Mais, voilà : la loi du 31 mars 1919
n'a pas prévu la modification (hi sort des
mutilés d'avant 1914 et, pourtant, elle
s'applique aux cas d'après- la
guerre, ce qui accentue l'injustice
J'ai. eu déjà l'occasion de rapporter
une * proposition qui est .devenue la loi
du 18 juillet 1922 et qui assimile les in-
valides d'avant-guerre à ceux de la
guerre 1914-1918. en ce qui concerne le
taux des pensions. C'est une première
étape. 1
Je pense qu'il serait temps de songer
à l'assimilation complète,, cette mesure
ne paraissant pas devoir entraîner une
répercussion financière considérable.
Nous reviendrons prochainement sur ce
sujet. Charles Bertrand.
LA VIE SPORTIVE
La question du réseau routier
A propos de la suggestion de l'Auto-
mobile Club de l'Ouest demandant Qu'on
abandonne l'idée de- la construction de
routes « à grand trafic » pour établir et
entretenir un plus grand réseau de
« routes moyennes J). nous avons reçu
un certain nombre de lettres de lecteurs.
On nous a notamment fait remarquer
qu'il ne s'agissait pas du tout, daiis-
projet combattu par l'A. C. O' d'aban-
donner la contruction et l'entretien des
« routes moyennes", mais de consacrer
une partie du budget 'affecté à la totalité
des voies de communicatjon a rétablisse-
ments de routes à revêtements modernes,
qui sont devenues et deviendront de Uus
en plus une impérieuse nécessité. « Aban-
donner l'idée des routes modernes pour
la remplacer par cello de l'amélioration
précaire des routes existantes, c'est com-
me si on avait préfère améliorer les ,diii -
pences au lieu de créer des lignes dî
chemins de fer. »
La comparaison est très acceptable.
Pour créer le réseau des chemins de fer.
il à fallu faire un effort important. Pour
notre réseau routier. le même effort -oit
se reproduire. On pourrai alors, en même
temps, réaliser le projet de l'A. C. O.^qui
va au plus pressé, et. celui des ponts et
chaussées, qui prévoit la construction de
7.500 kilomètres de routes - à grand trafic
—— M. Pu.
EDUCATION PHYSIQUE -
Vers un office national des sports. —
Les présidents et représentants des grandes
fédérations et unions de sports et d'éduca-
tion sportive se sont réunis le 14 octobre
an mtulstfcre ce l.v guerre, sur la demande
et sous la présidence de M. Paul Deuazct,
comml.ssairo gcnêral.
A l'issue (If? la conférence, Instituée en
vue de coordonner les efforts des différentes
tendances des milieux sportifs afin de les
rattacher au" lnîtHôts généraux du payantes
délégués des fédérations ont renouvelé à
M. Paul Benazet leurs sentiments de dévoue-
ment et teur volonté de collaboration.
Ils estiment quo pour toutes les solutions
nés problèmes ijui se posent en ce qui con-
cerne l'éducation de la jeunesse française,
la création d <;n crnee national chîrgé d'as-
surer la liaison entre les départements mi-
nistériels demrura une nécessite.
Ils font conduire à M. Paul Benazet pour
attirer Pauention du président du conseil
sur l'urgence (('un aménagement définitIf te
cet organe et sur la nécessité de pourvoir
cclul-cl de moyens d'action suffisants pour
réaliser, avec lu, concours des initiatives pri-
vées attachées aux institutions républicaines,
l'œuv.re total'" d'éducation Dosucolaire.
AERONAUTIQUE
Cormier gagne le prix Al/rcd Leblanc. -
L'aéronaute français Albert Cormier gagne
je prix Alfred Leblanc avec un parcours de
plus de 600 Kilomètres, précédant Mar-
quant 28, Henry 3»,'Dcmu.vtcr 4-, Dollfus 5*,
Auger 61, Ravalne je et Thomas 8e.
BOXE
Le prochain adversaire de Taylor. - La
soirée au cours de laquelle Routls doit dis-
puter à Hebrans le titre européen (¡CS poids
plume verra un autre combat International
dont l'un de? antagonistes sera lEt nègre
Jack J'aylor. qui en principe devait rencon-
trer l'Australien George Cook. Mats celui-ci
sera très probablement remplacé par Breit-
teftstraeten — qui vient ce raire match nul à
Berlin avec Cook — à moins cependant que
Cook, (ont les prétentions ont augmenté de-
puis sa double victoire sur Paolino, veuille
bien devenir raisonnable.
Petite Chronique de la T.S.F.
Horaires d'émissions. — Radio électri-
cité signale les émissions nouvelles sui-
vantes :
Allemagne. - La station de Berlin
T.elefunken transmet de 10 h. 30 à
11 h. 30 des concert- sur 75!) mètres de
longueur d'onde avec 1 kilowatt de puis-
sance ; la station de. Koenigswuslcrhau-
sen (LP) transmet de 10 h. 40 à 11 h. 40
des concerts dominicaux sur G80 mètres
de longueur d'onde et avec une puissance
de 5 kilowats.
Suisse. — La station de Lausanne (IiB)
émet en semaine seulement, à 13 h. 30 et
18 h. 55 sur 850 mètres do longueur
d'onde et avec une puissance de 400
watts des bulletins météorologiques or-
dinaires et un communiqué de presse
suisse, durant cInq à huit minutes à' peu
près. On envisage prochainement l'émis-
sion dominicale des cultes.
La station de Gepève (HB) émet, en se-
maine seulement, de 13 h. 15 à 13 h. 30
sur 1,100 mètres de longueur ; les con-
certs du soir sont supprimés.
La station de Zurich émet provisoire-
ment sur G50 mètres avec une puissance
de 500 watts. La modulation est bonne,
mais la réception en est pantois troublée
par les postes côtiers travaillant sur une
longueur d'onde voisine. Depuis le 16
septembre, elle transmet en allemand, à
13 heures, 18 h. 15, 19 heures et de
20 b, 15 à 22 b. 15,
LES COURSES
LE TREMBLAY
Le Grand Prix des Gentlemen
est gagné par le baron de Nexon
en selle sur Rubigny
La Société de Sport de France, en créant
les Épreuves pour gentlemen, aura fait
œuvro très utile. Le prix disputé hier en est
une nouvelle preuve. On peut, en effet,
constater les progrés sensibles de ces gent-
tlemen. Le Grand Prix, disputé hier, a été
pour le baron de IVexon, un de nos mell-
leurs cavaliers, qui a été, avec Hublgny,
maître de la partie du départ à l'arrivée. -
AlAGr::.L.\K.
Résultats et rapports officiels
CHEVAUX I PE3. 1 FEL. || CHEVAU* | PES. | PEL.
lre course - 4 3 1. de course - 1 1.%, 1 1.
Morceau de ROt. à M. Hubigny, il M. A. G.
Fred. Hsîi (F. Wii- Zallropulo (M. de
llafns) 11130 162 50 Nexon) 1162 5011 i 50
:\I.
Ikticule 2!18 * 0 50 Longpré 2141 50 28 »
2° coïïrsë - 1 ¡.¥.J. di» 1Artab.II 3|33 »)80 »
Le Mantouan. à M. II. J;» .course - 2 1.%, cnc.
Bamberger (P. Ha- Masked Marvel, à M.
mel). 1124 » 1 i5 » A. K. Macomber (A.
L.Mantou. 12 »i 6 » 50 14
DUllJleR. 2111 50| 6 » Mask.Ma. 112 » 6 50
ArieF. 3|15 50] 8 » Red.Snba 2 13 » 7 »
3» course - c.tète, 2 1. Cassard. 3. 16 50 9 50
Ranplanplan, M. Boas c* course - 3 1.. 2 1.
(Mart.) 1188 50i47 50 Nialafléttadue DecaZes
Ranplan. 12S »15* » (Breth.) 1!31 510115 »
Bellerive 2|48 50|13 50 Maladet. 119 "I 9 »
Vldouze 3]00 50i22 » Selva. 2119 501 8 50
Rapport éventuel ,
lr* course - 1.000 m. 4" course - 3.000 m.
Very W.|145 50 56 » Grenad.!4S6 501130 »
r>.d.Bé3-!257 50 63 » Longpr. 140 50 56 »
Réticule 30 » 18 » Ktou.llli20S9 B 437 »
Dastos.. 47- » -23 50 |EC.Tille.;i58 50 47 50
Aliiiani.1126 ) 55 » Clow. p.1 20 50 10 »
L.Genet.l 36 50 16 » Artab.111101 » 57 50
2e course - 2.150 uarlous.1 5a » - 26 »
Diables.) 31 » 16 50 La fema. 1344 P
Artel ) 0i 50 33 50 Benuas.1-270 50 loi »
L.Mansjl67 50 58 50 5" course - 1.100 m.
L cSâiS'*? 5oil69 5» l R" Saba 30 50 22 50
i Wn5 î ~° Saba) 30 0 68 50
ITf ihlt? , l M'd.C-oqllS? 4 68 50
G"b¡'t¡e Js L' ^8 50 Clnéma.!510 50 169 »
Gabin/ e 11-6 oO 8o—» campan|3û5 50 S0 »
Cas - 2.000 m. CassardllOl » 37 »
Moi, Il » 13 50 E.S.Mlg.l 81 50' 26 50
Mon 990 » Alabar..;152 50 75 »
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10,0(10 troncs, 1,ÔUU mitres (M. p.)'
A. Dêleau E.Piggle ..]4 Perdre 60 Greenwell
Aninat .JG. Mitcliel!3 Bêilola Ï9 Brethès
Bouciierot. H Le l«n«,'3 ïricotine 59 Wileock
Lazaid- W.Cnnnin. 5 Aigties Belles 59 Semblat.
V'ajliano C. Hnlscy. 3 Tambourine 50 C.Uobbs
H. André KUCunnin: 2 Tritonia M Sharpe
Bac^en3 L. Robert.. 2 Fah* Heller. 52 Ferré
C-'. BMck L. Carter.. ■> Seuillé 52 N. P.
Champion U. Viger*. 2 Sainte Prune 52 N. P.
Chubb, J. Chubb 2 ktb 52 M.Allem.
i. nernfin 2 2.1~Ityb 52- ',I.Allem
J. Colin Dcnmân 2 Lily EliSie 52 Vàtard
Dainpierre. H. Vî^ers î Kue Chartraii 52 Winktield
Derby IL. Carrer. 2 Hcl. of Troy. 52 Ksling
Deschàinps II. C'ount •. 2 Hachure 52 Rabbe
G. Ham Terterolo 2-Lady Vera IC (..GameT
Hennessy Batchelpr 2 Taie a Pull 54 G. Garner
Macomber..1. Brown 2 Sabiba 52 «'XciU
M. de Ho* F. Carter 2 Volubilis 52 N. r.
Perrone U. Cnunt 2 Furina J2 Jenningj
* * **' :
J,Rothach.j Cl. Durai 2 Oriante £2 J. Clay
Wattiune.. Datison 2 Colback .„ 52 F.Williams
ÎVUS PRO.VOSTICS. — 1" course : MAU-
PASSAXT, Samarkand.-— 2* course:' LO-
RETT-Ë VU, etiliatie. - 3* course : ON LES
A EUS, Lamartine. — 4e course : GRILLE-
MOST, Mnzsppa Il. —5< course : IJENBB-
CVLA., lilaclt Prince. —- 6* course : LILY
ELSIE, Furina.
Notes de Musique
-
IfDOUARD RlSLEjf donnera trots récitals,
i J ,salle J-;t'a"c.', les Jeudis 23 et 30 octobre
et 6 novembre il 21 heures. 1 -
L
'ASSOCIATION DES CONCERTS spirItuels
de la Sorbci.vic commencera l'année mu-
sicale le 2 novembre, à 14 h. 30, avec le
Requiem, de Mozart, sous la direction de
M. p. de Saufitères. Abonnement : 14, rue
des- Ecqlcs.
T
OUR EIFFEL. — A 18 b., les Chanteurs
des t UCf de-Paris, avec Eusrénle Buffet.
René de Buxeuii, Hégor et Murarl, accordéo-
niste. Programme : le Beau cher de musi-
que. la barbera. le Huppa-Huppa, par Régor;
Ma chanson. Tommy, rappelle-toi, C'est
l'amour, par Eugénie BulTet; les Trésors ce
l'amour, Ecoutez l'àme des cloches. Avec
ma voiture, pir René de Buxeull; Y a des
loups, Coeur de IOGmc. Zaza, par les Chan-
teurs des rues, accompagnés à l'accordéon
par Murarl.
E
1J
MISSIONS HAPIO-PAIUS DE LA COMPA-
GNIE FRANÇAISE DE RADIOPHONIE. —
13 h., radlo-eonteri. par l'orchestre tzigane :
1. Andalousie la nuit (de Anduaga); 2. la
Chanson du rouet (SnoaJO; 3. Rosé d'amour
(G. JÜien; 4. Fal'l'ric.ets, violoncelle (Husson-
morcl): 5. Femlidsslma (F. Popy); 6. Me-
nuet (P. Faucljev); 7. Catalana (G. Hazigadc);
8. Pavane Louis XIII, violon (E. Thomsou);
9. Zika, czardî hongroise (Mlchlels); 10. Al-
légorie, mélodie (L. Rose); 11. Gavotte (G.
Bernard): 12 Bon cuse, vIoloncelle (A. Pas-
cal); 13. Aub d amour (Predlj); 14. Haba-
nera et St.vilînnu (Volpatti); 15. Canzonetta
(M. i aras); 15 Mazurka de concert, violon
(J. Dclaroret); 17. BiÍllct de Robert te Diable,
do Meyerbcer: 10 b. 45, radio-concert : 1.
Premier motl\'fnll:-Tlt de la sonate op. 14,
plauo (Bjethcve;', ; 2. Troisième sonate, flûte
(Bacli); 3. Roule, piano (Dussek); 4. Octobre
(Retour Cunr» promenade à Verdun), poésie
(Ilélène Picard)5. Nocturne, fiCHe (Maurice
Camo't); 6. Pastorale du dix-huitième siècle,
plan., (Périlhou): 7. Sérénade, flûte Colo-
mer); 8. les Médecins spécialistes (T. Ber-
nard), monoïque; 9. Gavotte, piano (Shar-
res); 10. Valse, flûte (Chopin); 11. Chacone,
piano (L CouV'f-nn); 21 h., radio-concert :
1. Sulcikr" danse orientale (L. Langlois-
Weyts); 2. Pohcf-man (J. Malkll); 3. Grena-
dier, que tu rii'iUlliges, OtHe, fantaisie (Tu-
lou); 4. Au soufflf des zéphirs (L. BllIaut);
5. Quand mèiri'1 : (Hugues Delorme), mono-
logue; 6. Pap-im argentina, violon (Garcia-
MansUlaj; 7. Cl'.aïsf- aux papillons (Ch. Mar-
tin-Slstproii); b. a: Un contrôleur qui con-
rôle (R.-E. Sfulier), b) MlcrobiophQble (P.
Weil); 0. Caqueiage, vIoloncelle (J. Domerc);
10. Canzonctto (E. ToselII-Scassola); 11. Che-
vauchée. COsal/Il, (K Fourdraln).
STATION Ro\nIC,TELEPHO:'\IQUE DE L'E-
COLE SUPERIEURE DES POSTES ET
THLECU'APHE-!. - A 20 h. 45, aualtlon des
prlriclpilcs sci-r.ps de la Fleur merveilleuse,
Dièco en cinn actes de Zamacots.
La santé de Paris
Le service de la statjstlque a compté pen-
dant la 28* décade 956 décès au lieu de 856
pendante dérade précédente et au lieu de
1.038, moyenne décadaire des cinq dernières
années. Il' y a eu 30 morts violentes et
27 suicide. Or. a célébré à Paris 858 ma-
riages. On a enregistré la naissance de
1.183 enfan* vivants (597 garçon et 586
filles), dOu. gO; légitimes et 288 illégitimes.
Parpn ce; derniers, 32 ont été reconnus
séance tenante. Le nombre des naIssances
de la recale correspondante de 1923 est
de t.964,
COURR ER THfATRAL
Belle tentative à l'Opéra
La présentation annoncée d'un grand
film tiré de notre histoire nationale,
dans la salle de l'Opéra, a paru sur-
prendre et a soulevé même des objections
assez vives, sinon très fondées. Quoi
qu'il en soit, il est maintenant officiel
que la bande en question, après avoir
été donnée quelques jours en matinées
zz en soirées chez M. Rouché, passera
ensuite en exclusivité sur un grand écran
du boulevard.
Ce qui fait l'intérêt de cette tentative
et justifiera, je crois, s'il en était besoin,
l'hospitalité accordée à ce spectacle par
notre première scène lyrique, c'est qu'une
importante partition a été spécialement
écrite pour ce film par l'un des maîtres
de la musique contemporaine, M. Henri
Rabaud, le directeur du Conservatoire.
Quelles conditions plus satisfaisantes
pour une exécution de grand style que
la collaboration d'un orchestre comme
celui de l'Opéra ? Si cette tentative
réussit, elle peut ouvrir un immense
débouché pour nos compositeurs et par
cette fusion de deux arts, nous orien-
ter vers de magnifiques spectacles et des
réalisations nouvelles.
Enfin, le cinéma français en rece-
vrait certainement une impulsion nou-
velle, car il s'agit d'un film vraiment
historique, le premier d'une longue sé-
rie embrassant toute l'épopée française,
qui sera de la vraie propagande mon-
diale et, au dedans, un incomparable
instrument d'éducation populaire.
ANTOINE.
SUN TRIOMPHEE
H SANS PRECEDENT A ACCUEILLI AU g
THEATRE DE PARIS
i la pièce nouvelle de M. Charles MÉRÉ g
I LA TENTATION g
R aussi bien '(t , qu'à ï
à la la K
RÉPETITION ( mSr Première I
1 GÉNÉRALE * F8]rtei!tati5J
I VERA SERGINE
g HENRI ROLLAN >
8 I GASTON SEVERIN [
et ALERME
n ont été acclamés avec fauteur i
IL NE RESTE PLUS UNE PLACE I
■ POUR CE SOIR sg
H LA LOCATION pour les Jours suivants ?B
P EST PRISE D'ASSAUT
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JEUDiS et D)MANÇHES,MATt NEE à 2- H ff-
"1 Louvre 94-66 1
j La location est ouverte g
, Samedi grande première
MA FEMME DANSEUSE
Comédie en 3 actes de Itt. Louis DZLLUC
AbellARRIDE, Eve FRANCIS
Michel SIMON
MATHURINS
fTHÉÂTRE DAttNOU,
IKarthe RÉGNIER, Victor BOUCHER I
SI JE VOULAIS !
Henry BOSC et Yolande LAFFON |
j B MATINEES samedis et dimenchesm
LE SINGE OU! PARLE?
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ET DONT ON PARLE
SK3A.XjBA. j B
SlOiil
l^j. yW dans LA ARE I
\J^y) REiULATR CE
QBH Samedi et dimanche : MATINEE QQb
LES REPETITIONS D'AUJOURDHUI :
l' Au Palace, à 14 tj. 30, répétition générale
de Vive la femme, revue en deux actes et
quarante-rlnr: tbbifaux de MM. Léo Lel1è.
vre, -ijeliri Varna et Fernand Rouvray.
— Au Studlc des Champs-Elysées, à 21 h.,
répétltior générale de A l'ombre du mal,
pièce en trot: actes de M. H.-n. Lenor-
mand.
LA PREMIERE ET LA REOUVERTURE DE
CE SOIR :
A l'Odéon, * 20 h. 30, première représen-
tation d,, rsabeall, chronique de France en
quatre acte; do M. Paul Fort.
— A !P Maison de l'OEuvrc, à 20 h. 30,
réouvert ire avel' lu Profession de Mme War-
ren, de «tmard Sl:a\v.
REPETITIONS AJOURNES :
A l'Opéra, h répétition générale de Nerto,
qui deva!t ètr= donnée ce soir, est remise
à une date ultérieure par suite d'une indis-
position de Mlltî Fanny Hcldy.
— Au Théâtre de la Maaeleine, Mlle Jeanne
Marnac ayant été prise d'une extinction de
voix nécessitp-' -' î ces soins immédiat?. la di-
rection s'est trouvée dans l'obligation de
remettre la répétition générale de Manon,
fille galante,-Qlll devait avoir lieu hier soir.
La nouvelle ç.atf' sera fixée" aujourd'hui.
0
PERA-COMïQl'K. — Le Journal officiel
d'hier publiait l'arrété du ministre de
lusiruut'on pufiikiue et des beaux-arts par
equel MM. Loiii; Masson et Georges Hlcou
sont nommée cl'recteurs du Théâtre national
,de ropéra-Coirîiqi pour une période Ce
sept années, A partir du lij octobre 1925.
Cet arrête est on date du 13 octobre 1924.
F
►ORTE-SAINT-MARTIN. —& 14 h. 45 et à
20 h. 45, l'Amour avec Francen, Corclade,
n. L'UDOSC ec flinie L. l'nona. Mat. <;.im dim.
D
L
lALÀIS-ROYAl, — Aujourd'hui, à 14 h. 30,
matinée de le Monsieur de 5 heures.
A
niE-NEE. — Aujourd'hui, à 14 h. 30, ma-
tinée ave (e Cœur dispose. Tous les
soirs a vu n. su.
K
ENAISSAACE. — L'exquise Gaby Morlay,
aux côtés de Grétlllat, Pierre Blancha'r.
Gili.'ès et Franco Eliys, triomphe chaque
soir dans le dente, la pièce d'amour la plus,
hardie signée de nos deux grands auteurs,
MM. Maurice IIor.pay. de l'Académie fran-
çaise. e. Hynrl Dnvernols Samedi m!ltln¡Sp
n
a
AITE-LYmOijE — Aujourd'hui, en mati-
née et soirée, lec Cloches de Corneville
A
nuuuu. — i!i ii. 30, vieil uetrtclberg avec
}qu'c sa belle distribution, yo.30, ie Lys.
N
OUVEAUTEb (24. Bff OzSO!lriril).- Auj.
mat. de farnilîe, la Guitare el le jazz-band.
G
IIA.\D-GUIONOL — fous les soirs. la
Nuit tragique, de Raspoutine. Succès
triomphal.
F
OLlES-I)RAM -. Embrassez-moi déchaîne
le rire. Cet Lccicrca. Ducouret. Groulllet.
c
LUNY. Demain, première de Faut réparer
Sophie. i
Prince-Rigadln jouera Faut réparer Sophie.
Géo- T,ecomte jouera Faut réparer Sophie.
Lulu Watler jouera Faut réparer Sophie.
Marcel SpJblo:i jouera Faut réparer Sophie.
D
■EUX-MASQUES (Th. Fontaine). — Gros
succès d" drame le Droit de mort avec
Pàem Dax et cT- ftoî des coctis,plèce ultra gale.
T
iH. COMOEDÏA. — Palau, le célèbre fan-
taisiste joue Coeur d'artichaut. Mat. sam.
L
A GAITE-ROCHECHOUART poursuit son
immsnsft C;uecp.", avec la désopilante opé.
rette-vaudevill? - C'est un entant de l'a-
mour. ?lei. que des vedettes
D
E MARSEILLE : Le Théâtre des Variétés
vient d3 rf présenter avec un granc
succès le Beau voyage, opérette en trois
actes di Mi. Charles Quine! et Pierre d'Au-
mien, musiqu de Victor Jaeobl.
FRANÇAIS, 1" h. 30, L'Eternelle présence,
Œdipe 9 Co'rnf 20 h. 45, Aimer.
OPERA-rOMIQ^E, 13 h. 30, Don Quichotte;
20 h., Werther
ODEON, 14 h., la Mégère apprivoisée; 20.30,
Isabeliu.
VAUDEVILLE, 21 h., Maman.
vAÎMETES 20 h. 45, Madame l'Archidue.
GYM."XA.S£, 20 h. 45, les Vignes du Seigneur
TH. DE P\ms. 20 h. 30. la Tentation.
P.-SU.MARTlrX. M.S l'Amour, Franeen,PitoclT.
PA-LAIS-ROY., 14.30. 20.30, le M. de 5 heures.
SAIHH •MER.N'H ARUT. 20 45, les :\'O//J} ri,'lie»
ATHENEE, li h. 30, 20.30, le Cœur dispose.
RENAISSANCE, i'0.45. 'e Geste (G. Morlay)
MARKïNY. 20 h. 45. liai
BOUFFES-PARiS.. 14.30, 20.45, Troublez-moi.
GAlTE, 14.4 SO 30, les Cloches de Cornev.
CI1ATELET, 14. il. 30, 20 h. 30, Bouboule.
EIV-VIL 21 h., l'Ecole des tem.. caus Antoine.
TH. ETOILE, 20.45, la Ilevue de Printemps
ANTOINE. 20 h 30 Ma cousine de Varsovie
AMBIGU, 14.30.Vieil Heidelberg; 20.30,le Lys.
FEMINA. 21 n., spect. do ia Cliauve-Souris.
CAPUCINES (Tél. (lUl iiô40,. 21 h., Ça. 1
TH. MAUELEIME. Proch.Manon, fille galante.
TU MICHEL. 20 h. 45, te Mari d'Aline.
Tli. DAUNOU. 21 h.. Si je voulais.
LA POTIN 1ERE, 21 t)., Vn chien QUI rapporte:
Mvriïl'RINS. Reiârhe le 17. Va fem. dans
NOUVEAUT.,1/ 45 20.45,la Guitare et le jazz.
COMEDIE-CAUM., 21 h., le Singe qui parle
AVENUE. 21 11., (ide-duchesse et (Jarç. d'ét.
TH. DES ARTS, 21 h.. la Rivale de l'homme.
SCAl.A, 20.30 la Gare requl (Marcel Simon).
FOLIES-T)RAM A"i ](.)., 21 II., Embrassez-moi,
GD-GUIGNOL, 20.:W,Nuit trag. de Raspoutine.
ATELIER (MonTmartre). 20.45, le Veau gras.
THIANO:'i-LYHIVI;E, 20 h. 30, le Petit duc.
DEJAZET, 20 h. 30. Tire-au-Flanc.
llA-TA-CLAN, 20 h. 30, la Divorcée.
CLUNY, 20.45. En plein raid! rev. (G.Dornayt
"-MASQ. 20.45, Droit de mort; Roi des cocus
COMEDIE-MONDAINE. 20 b. 30, l't£tranqère
AI.HER l'-lpr, 20 h. 30, Je peux un flue
CÔMOEDIA,2i b.Cœm' d'a?,l iclt. (Pal,-i u, Cali u zac).
MOULIN-BLEU, 21 b.. Passions perverses
ELDORADO 20 h. 30, Bibi-la-Purée (Biscot).
TEKNES. 20.45. les Mousquetaires au couv
MO\*TROUUE,20.45,
G Al "E-R()CH.20.30,C'esi un enf. de l'amour
HOrJF.-;'\I)RJ), 20.30. Un vrai gosse de riche.
i'\OUV.. THEA TlU;. 20.30. Ma tante d'Uonft.
L'"BHI. matinée pt soirée. 4 nu f'£ip'II'>,'e
CONCERTS TOUCHE. Mat. 15.30. Soir 20.45.
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H Parmi les principaux claus citons
B Lo divan des fumeuses,, la serre if
Baux camélias, T.S.F., vision de rêve, le
H vitrai) ensorcelé, les sept péchés .capi-SS
H taux, Diane au bain, les désaxés, les
H messes rosss, la marche dans le vide.
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H Générale pour la presse. H
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firent fia gloire et sa réputation mondiale :
la troupe Pérèzotf, les SERNALACK, les Bar-
tros, les Ocap, la célèbre écuyère Carmen
DOLORES, les Arragon Allegris, Debrll,
Léonce et Karry, les chevaux, les clowns et
les cow-boys du Rodéo de Buffalo.
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Le SUN TIMES a demandé à ses lecteurs 1
OU PEUT-ON VOIR
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20,756 lecteurs de ts les pays ont indiqué
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Le Music=Hail des Etoiles
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LA FORMIDABLE REVUE | |
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^lesPH00UES'SEs|
S es Oquij¡br'stes
S et longleurs
dans la PISTE NAUTIQUE S
J|avecles naïadesS,
S ? LE ROI Ou Ct?T D
N. L'ENIGME ;. N
C ET 15 ATTRACTIO 45 NOUVELLES Si
IŒIZm
g DERNtERE SEMAtNE DE LA ?
CHASSE aux LIONS
§ Les ALEXIME, rois du trapèze volant K
et 20 ATTRACTIONS fif
BMBMHi MATINES r» SOIREE *HBBBB
SAMEDI INAUGURATION 1
| 18 I dis laiinées dansaniesaul
I Octobre | PARADIS I
Tout Paris connaît déjà cette sanem
m féerique où les jeux de lumière se com- B
H binent harmonieusement et ou toutes H
B les nuits en soupe ! on danse l on
3'amuae ! B
1 A partir de samedi prochain on y
S dansera tous les Jours en matinée. Une !
g piste spéciale a éé réservé? pour le the H
S On y applaudira les meilleures attra.- K
i tions. Les fameux orchestres NA,.,-
S NELLI et DARLAY y joueront les der- H
I niera airs en vogue, et lo « PARADIS » la
fi sera bientôt le rendez-vous de ta clien- Si
b tèle la plus « select ». - EJYl'KbK -B
CO, rue Pigritè.
01 LUNA-PARK%
ICa coir, 1ro Elimir.c oiro du H
CHAMPIONNAT D'HIVER i
DANSES MODERNES AMATEURS 1
5,000 FRANCS DE PRIX I
Les numéros de 1 a 15 passe, oni, povrH
le ONE STEP SKOTISH, BLUES
{ "IJ
ARLES FALLUT, c'est régulier.
Triomphe t't la Pie qui chante.
rtita Diamond, Jeanne Fusier,
Tout vous charme, tout vous enchante.
C'est, rée-ulier.
lj
U IN E- R OU s Allons-y ! On trouvera
peut-être <1e if*, place cette semaine.
M
OULIN-ROl'Gli BAL. — Matinée et soirée
tous les jours. Ballet, quadrille, attrac-
tions, danses toute la nuit.
B
AL DE L. BOULE-NOIRE, sous-sol (le la
Cigale. — H('l.ovatlon du bal musette du
second Empire avec danses de l'époque.
L
- D;< DANSE. — Les professeurs
Rouisel e; Balloy (Mme) reprendront
leurs cours de dimanche le 19 du courant,
14, Faubg Saint-Honoré, près rue Royale.
O
L
AL.A1S POMI-EJEN (5S,r.St-Dldier). Ce soir
h 21 h., g, bal Sam., dim., mat. et soir.
FOLIES-BERGERE, 20 h. 30, Cœurs en folie.
OLYMPIA, M. et à.,musio-hall; 17 h., dancing1.
CASINO PARI 14 30, 20.30, Revue olympiq.
PALACE. 20.30, Viv,, la femme (M.Chevalier).
CO.VC! MAYOI H.30. 20.30, rev. Toute nue.
EMPIRE (NV.60-585 M.S. Yv. Guilbert, 20 att.
CHHI.E, 20 h. 30. Tu vents la boute !
ALI-IAMLRA, 14.30, 20.30, Rigoletto, Swanson.
NOUVE.AU-CJBQLÏE, 14.30, 20.3,0, spect. d'attr.
CIRQUE PAUL», î-i.30, 20.30,chasse aux lions.
CIRO. D'HIVER les Fratellini. Auj. mat. soir.
EUROPEEN. illat. et soir, Georgius et sa Cie.
CONCORDIA..M.S. Carjol, le Harem à Dudule
KVHS:\AI., 14.30,Mat. T.l.raut.1.60, Solr.20.30.
NOCTAMBULES. Privas. Hyspa, Martini.Cazol.
FÙRSY-MAURICET (Tr.69-67), Ilerriot rend!i
LUNE-R.,Bonnaud.Hyspa,Michel,Secrét.Rleux
2-ANES, 21 h., Hé! rM/ hautt suc. Marc.10-26
PIE QUI CHARTE. 21 h., revue av.Ch. Fallût.
OUAT'Z'ARTS. 21 b., GabrIella. la revue.
CHAT-NOIR. 21 h. Curieux, original, gai.
COUCOU (Arch.25-02), 21 h., J.Moy, Noël. Rev.
MOULIN-ROUGE BAL, 16.20, 21 h. tte la nuit.
COI.1SEUM (65,r.Rochech.). On danse mat.et s.
LUNA-PARK. Mat. et s.. grand bal. skatlng
M AGIC-CITY. T.I.S., bal, 2 orch.Dim.mat. 5 fr.
BULLIER. 20.30, marc,'1.JeiHlt.5ame(1l,dim.M.S
TAV. FANTASIO, eonc.,att.,danscs, 9 à 4 mat.
PALAIS POMPEIEN, jeudi soir, sam.,dlm.m.s.
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CARILLON (perm.), te Golem. film Juif excl.
DELTA. 14.40. 20.40. Messaline, impératrice
Les boulangeries lyonnaises
fermeront le dimanche
LYON, 15. octobre. — A la suite c.:'un accord
intervenu entre les syndicats patronaux et
ouvriers de 1 yon et de la banlieue, le préfet
du Rhône prend un arrêté suivant lequel :
1° les "boulangeries devront fermer doré-
navant tou. les dimanches à-Lyon et dans
la plupart des communes limitrophes; le
colportage du pain est interdit le dimanche;
2° f:ès le 21 octobre, le travail de nuit sera
supprimé dans les boulangeries; les ouvriers
commencèrent le travail seulement à i heu-
res du matin.
L'hommage de
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au bon goût français
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LE JOURNAL
1
..8 -- JO -- 24
LA VIE MÉDICALE
Le jour sans viande
On parle de nous imposer de nou-
veau un jour sans viande, comme
il fallut bien le faire pendant la
guerre; car ceci, affirme-t-on, doit
contribuer à faire diminuer la
cherté de la vie. Mais cette restric-
tion doit-elle être jugée par l'hygié-
niste comme utile ou comme nuisi-
ble, du point de vue de la santé gé-
.,dtale ?
Laissons d'abord le côté économi-
que, qui n'est pas mon affaire : mais
je ne puis cacher que je suis ici fort
sceptique. Le commerce de la viande
saura bien s'arranger pour n'y rien
perdre : si l'on demande moins de
: viande, elle se vendra plus cher,
parce que le marchand n'entend pas,
:w:voir diminuer ses bénéfices.
Mais passons, car cela n est pas ma
vitrine. Il ne s'agit ici que de discu-.
1er le rôle de la viande dans l'ali-
mentation, et la chose n'est pas si
simple qu'il semble ; je veux dire
qu'il y & beaucoup de « pour » et de
"M contre ».
D'une part, les partisans de la
viande font ressortir qu'elle a une
action excitante et tonique, — ce qui
est indiscutable, — sans favoriser
l'engraissement, et qu'elle est le type
-de l'aliment azoté facilement assimi-
lable : or, nous ne pouvons nous pas-
ser d'azote. Les bons effets de la vian-
de chez l'enfant en voiededéveloppe-
■'jjneâl, après douze ans, sont certains.
TElle est précieuse pour les convales-
cents, au moins temporairement ; en -
un, son usage est un des meilleurs
procédés à mettre en œuvre pour
,,préveiiir la tuberculose. Des statisti-
ques anglaises ont établi nettement
Xque celle-ci se montrait en régression
manifeste dans les milieux populai-
res dès qu'on y augmentait la ration
de viande. 1 - -
Mais voici un autre son de cloche.
,> L'usage régulier et abondant de la
>< ,:\:j mde élève trop la tension vascu-
ÎV. re et nerveuse. Les peuples carni-
.vores sont plus violents que les au-
tres, peut-être plus courageux quand
-->1 le faut, mais moins travailleurs
d une façon continue. Chez l'individu,
.cette tension artérielle constamment
':-'Stimulée peut devenir un facteur
.rartério-sclérosc, avec toutes les
-conséquences de celle-ci. L'usage
:i); bituel de la viande fait que le foie
- !II"use plus vite et développe ainsi
l'arthritisme, la goutte, la-gravelle,
bien plus que lorsque notre ration
quotidienne d'azote est demandée aux
albumines végétales des céréales et
des légumes (le haricot vert, par
exemple, en renferme presque au-
tant qu'elle). Dans l'estomac, la
viande, qui excite bien la sécrétion
gastrique, peut conduire, avec l'abus,
a l'hyperchlorydrie : dans l'intestin,
les produits déqi digestion dévelop-
pent des fermentations putrides,
source d'intoxication chronique, et,
créent un précieux milieu de culture
pour une foule de germes non moins
nuisibles,, facteurs de l'entérite, de
l'appendicite, peut-être du cancer (?).
Les travailleurs qui consomment peu
ou point de viande — et l'expérience
a pu être vérifiée en gfrmd sur des
peuples entiers — sont plus labd-
.'t'ieux. fournissent un meilleur ren-
dement : ils sont peut-être moins
vifs, mais plus Solides. La viande,
sachons-le bien, n'est pas un aliment
producteur de force, tous les physio-
logistes sont d'accord sur ce point, eL
pas plus que pour l'alcool, il ne faut
confondre ici l'illusion de la puis-
sance, que donne l'excitation, avec la
puissance elle-même. Les sportifs
les plus résistants, les champions, ne
l'ignorent pas et renoncent à là
viande et à l'alcool. Ce sont les fécb-
lents, les graisses et surtout le sucre
• qui servent à élaborer l'énergie mus-
- culaire véritable, à la condition u'uti-
liser celle-ci, sinon, vous le savez,
c'est: l'engraissement.. -
Qiiè conclure de tout cela ? C'est
qu'il est impossible d'établir, sur ce
'poirrt, une règle absolue et qui con-
vienne également à tout le monde.
La viande est - inutile à l'enfant
jusqu'à douze .ans, sinon comme un
remède sous forme de viande crue
(râpée et non hachée), s'il est ané-
mique. lymphatique, et surtout en-
clin, par ses hérédités et par son-
milieu, à la tuberculose.
JjfeTdouze à vingt ans; elle devient
précieuse, au contraire. C'est un
tonique nerveux utile, riche en
phosphates naturels donc réellement
assimilables, indispensable pour la
Ctpissance du squelette.
:plus tard, il faut distinguer selon
.les espèces. Le travail au grand air.
aàl demande surtout de la vigueur
jûiisculaire, n'exige réellement que
ttès peu de viande, mais comme, en
même temps, il assure la consomma-
tion, réelle .de l'énergie fournie, elle
DÎbffre point, ici d'ineonv é nie a ta :
oj^st un aliment de luxe, dont nos
races paysannes se sont passées pen-
dant de nombreuses générations,
qu'aucune bonne raison ne doit leur
interdire, mais dont, physiologique-
ment, - elles peuvent fort bien se
penser si elles le veulent, pourvu que
létir! ration de pain reste abondante.
¿¡Le travailleur des villes, l'ouvrier
de-fabriq es, une fois-atteint l'âge'
^Uadulte, n'en a pas beaucoup '.plus
besoin. 'Elle peut cependant lui être
utile, comme stimulant nerveux sur-
tout, donnant de la vivacité, et de
l'adresse : cela vaut beaucoup mieux
que l'alcool. Mais à mesure qu'il
avance en âge, il doit logiquement
en diminuer la ration, car son orga-
nisme l'utilise de moins en moins el
les inconvénients en deviennent plus
nets. La ménagère occupée, à son
domicile, l'ouvrière confinée à l'ate-
lier, en a plus besoin peut-être' qu"
lûi, surtout si les conditions hygiéni-
ques du local où elle passe son exis-
tence (manque d'air et de lumière,
espace confiné, alimentation hâtive
et insuffisante) sont de celles qui fa-
vorisent l'éclosion de la tuberculose
L'employé de bureau est dans le
même cas, du moins jusqu'à trente
ou quarante ans.
Pour le travailleur intellectuel,
s'il est plus confortablement ins-
tallé, la viande est beaucoup moins
utile, et plutôt même néfaste, selon
l'avis très net de mon ami, le doc-
teur Maurice de Fleury, qui s'y con-
naît. Elle exagère chez le sédentaire
la tension sanguine et favorise la
constipa/ion et les intoxications, à
moins qi 'il n'y joigne le contre-poi-
sea d'une grande activité sportive ou
d'un exercice nliysfiaue régulier.
Passé la - Quarantaine, la viande
devient de mrjins en moins utile. de
plus en plus défavorable même. Le
toie vieilli n'en permet plus tillo
assimilation parfaite et ses propre:.
fonctions, comme celles du rein, en
sont troublées. C'est l'heure de l'uri-
cémie, des calculs, de la gravelle el
du cancer. Bien entendu, dès qu'il y
a maladie, constituée, le médecin
doit rester seul juge du cas, et ce sera
Irien- plus souvent pour la proscrire
que pour l'ordonner.
Enfin, chez les vieillards, la viande
fit parfaitement mutile : elle ne doit
être qu'une occasion, aussi peu fré-
quente que possible, de varier leur
menu et de réveiller leur appétit :
mais l'abus, ou môme l'usage régu-
lier, comme à vingt ans, deviendront
vite ici dangereux.
Quant au procédé pour amener,
sans trop s'apercevoir, la réduction
de la consommation de la viande,
une foule de gens savent depuis
longtemps le mettre en pratique en
la supprimant simplement au repas
du soir. Cela devient même une rè-
gle de sagesse pour tout le monde,
après quarante ans ; le sommeil est
alors meilleur, moins intoxiquant,
plus réparateur. Seulement il ne faut
pas la remplacer alors par les cèufs,
qui, pour la toxicité, sont encore bien
plus dangereux qu'elle.
Dioscoride.
POUR LES ANCIENS COMBATTANTS
Les mois d'avanî-guerre
A la suite de mon dernier article de-
mandanl 'le relèvement du taux des pen-
sions pour les victimes de la guerre, j'ai
reçu une lettre d'un mutilé d'avant-
guerre qui se plaint de l'oubli dans le-
quel. on laisse les victimes de sa caté-
gorie..
C'est vrai, et si, personnellement, je
n'ai jamàis élevé de réclamation en leur
faveur, c'est que, hélas I les cris d'impa-
tience des victimes de la dernière guerre
dont je me suis fait' l'interprète dans
cette chronique affluent chaque semaine
dans mon courrier et que je dois forcé-
ment discerner entre tant de souffrances
méconnues.
Mais puisque j'en ai l'occasion, mes lec-
teurs ne m'en voudront pas, j'en suis
sûr. d'attirer l'attention de l'opinion pu-
blique sur le sort vraiment injuste qui
est fait aux mutilés d'avant-guerre.
Pour eux, comme le dit justement mon
correspondant : « Pas de soins gratuits.
pas de réduction sur les tarifs de che-
mins de fer, pas de places de priorité
dans les transports en, commun, pas
d'emplois réservés, etc.
Pourquoi ? -.
Je ne VOIS vraiment pas la amerencc
qu'on pourrait établir entre le malheur
des uns' et des autres. Il ne s'agit pas,
en effet, du point de vue qui nous oc-
cupe, de confronter les circonstances
plus ou moins glorieuses de l'invalidité
contractée1 au service de la patrie ; il s'a-
git simplement de fixer une indemnité et
des avantages proportionnes à un pour-
centage de celte invalidité. Et j'affirme,
certain d'être approuvé par toutes les
victimes de la guerre; que les mutilés
d'avant-guerre ont. les mêmes droits à
réparation que ceux qui leur ont succédé
dans la voie souvent ingrate du sacrifice.
Mais, voilà : la loi du 31 mars 1919
n'a pas prévu la modification (hi sort des
mutilés d'avant 1914 et, pourtant, elle
s'applique aux cas d'après- la
guerre, ce qui accentue l'injustice
J'ai. eu déjà l'occasion de rapporter
une * proposition qui est .devenue la loi
du 18 juillet 1922 et qui assimile les in-
valides d'avant-guerre à ceux de la
guerre 1914-1918. en ce qui concerne le
taux des pensions. C'est une première
étape. 1
Je pense qu'il serait temps de songer
à l'assimilation complète,, cette mesure
ne paraissant pas devoir entraîner une
répercussion financière considérable.
Nous reviendrons prochainement sur ce
sujet. Charles Bertrand.
LA VIE SPORTIVE
La question du réseau routier
A propos de la suggestion de l'Auto-
mobile Club de l'Ouest demandant Qu'on
abandonne l'idée de- la construction de
routes « à grand trafic » pour établir et
entretenir un plus grand réseau de
« routes moyennes J). nous avons reçu
un certain nombre de lettres de lecteurs.
On nous a notamment fait remarquer
qu'il ne s'agissait pas du tout, daiis-
projet combattu par l'A. C. O' d'aban-
donner la contruction et l'entretien des
« routes moyennes", mais de consacrer
une partie du budget 'affecté à la totalité
des voies de communicatjon a rétablisse-
ments de routes à revêtements modernes,
qui sont devenues et deviendront de Uus
en plus une impérieuse nécessité. « Aban-
donner l'idée des routes modernes pour
la remplacer par cello de l'amélioration
précaire des routes existantes, c'est com-
me si on avait préfère améliorer les ,diii -
pences au lieu de créer des lignes dî
chemins de fer. »
La comparaison est très acceptable.
Pour créer le réseau des chemins de fer.
il à fallu faire un effort important. Pour
notre réseau routier. le même effort -oit
se reproduire. On pourrai alors, en même
temps, réaliser le projet de l'A. C. O.^qui
va au plus pressé, et. celui des ponts et
chaussées, qui prévoit la construction de
7.500 kilomètres de routes - à grand trafic
—— M. Pu.
EDUCATION PHYSIQUE -
Vers un office national des sports. —
Les présidents et représentants des grandes
fédérations et unions de sports et d'éduca-
tion sportive se sont réunis le 14 octobre
an mtulstfcre ce l.v guerre, sur la demande
et sous la présidence de M. Paul Deuazct,
comml.ssairo gcnêral.
A l'issue (If? la conférence, Instituée en
vue de coordonner les efforts des différentes
tendances des milieux sportifs afin de les
rattacher au" lnîtHôts généraux du payantes
délégués des fédérations ont renouvelé à
M. Paul Benazet leurs sentiments de dévoue-
ment et teur volonté de collaboration.
Ils estiment quo pour toutes les solutions
nés problèmes ijui se posent en ce qui con-
cerne l'éducation de la jeunesse française,
la création d <;n crnee national chîrgé d'as-
surer la liaison entre les départements mi-
nistériels demrura une nécessite.
Ils font conduire à M. Paul Benazet pour
attirer Pauention du président du conseil
sur l'urgence (('un aménagement définitIf te
cet organe et sur la nécessité de pourvoir
cclul-cl de moyens d'action suffisants pour
réaliser, avec lu, concours des initiatives pri-
vées attachées aux institutions républicaines,
l'œuv.re total'" d'éducation Dosucolaire.
AERONAUTIQUE
Cormier gagne le prix Al/rcd Leblanc. -
L'aéronaute français Albert Cormier gagne
je prix Alfred Leblanc avec un parcours de
plus de 600 Kilomètres, précédant Mar-
quant 28, Henry 3»,'Dcmu.vtcr 4-, Dollfus 5*,
Auger 61, Ravalne je et Thomas 8e.
BOXE
Le prochain adversaire de Taylor. - La
soirée au cours de laquelle Routls doit dis-
puter à Hebrans le titre européen (¡CS poids
plume verra un autre combat International
dont l'un de? antagonistes sera lEt nègre
Jack J'aylor. qui en principe devait rencon-
trer l'Australien George Cook. Mats celui-ci
sera très probablement remplacé par Breit-
teftstraeten — qui vient ce raire match nul à
Berlin avec Cook — à moins cependant que
Cook, (ont les prétentions ont augmenté de-
puis sa double victoire sur Paolino, veuille
bien devenir raisonnable.
Petite Chronique de la T.S.F.
Horaires d'émissions. — Radio électri-
cité signale les émissions nouvelles sui-
vantes :
Allemagne. - La station de Berlin
T.elefunken transmet de 10 h. 30 à
11 h. 30 des concert- sur 75!) mètres de
longueur d'onde avec 1 kilowatt de puis-
sance ; la station de. Koenigswuslcrhau-
sen (LP) transmet de 10 h. 40 à 11 h. 40
des concerts dominicaux sur G80 mètres
de longueur d'onde et avec une puissance
de 5 kilowats.
Suisse. — La station de Lausanne (IiB)
émet en semaine seulement, à 13 h. 30 et
18 h. 55 sur 850 mètres do longueur
d'onde et avec une puissance de 400
watts des bulletins météorologiques or-
dinaires et un communiqué de presse
suisse, durant cInq à huit minutes à' peu
près. On envisage prochainement l'émis-
sion dominicale des cultes.
La station de Gepève (HB) émet, en se-
maine seulement, de 13 h. 15 à 13 h. 30
sur 1,100 mètres de longueur ; les con-
certs du soir sont supprimés.
La station de Zurich émet provisoire-
ment sur G50 mètres avec une puissance
de 500 watts. La modulation est bonne,
mais la réception en est pantois troublée
par les postes côtiers travaillant sur une
longueur d'onde voisine. Depuis le 16
septembre, elle transmet en allemand, à
13 heures, 18 h. 15, 19 heures et de
20 b, 15 à 22 b. 15,
LES COURSES
LE TREMBLAY
Le Grand Prix des Gentlemen
est gagné par le baron de Nexon
en selle sur Rubigny
La Société de Sport de France, en créant
les Épreuves pour gentlemen, aura fait
œuvro très utile. Le prix disputé hier en est
une nouvelle preuve. On peut, en effet,
constater les progrés sensibles de ces gent-
tlemen. Le Grand Prix, disputé hier, a été
pour le baron de IVexon, un de nos mell-
leurs cavaliers, qui a été, avec Hublgny,
maître de la partie du départ à l'arrivée. -
AlAGr::.L.\K.
Résultats et rapports officiels
CHEVAUX I PE3. 1 FEL. || CHEVAU* | PES. | PEL.
lre course - 4 3 1. de course - 1 1.%, 1 1.
Morceau de ROt. à M. Hubigny, il M. A. G.
Fred. Hsîi (F. Wii- Zallropulo (M. de
llafns) 11130 162 50 Nexon) 1162 5011 i 50
:\I.
Ikticule 2!18 * 0 50 Longpré 2141 50 28 »
2° coïïrsë - 1 ¡.¥.J. di» 1Artab.II 3|33 »)80 »
Le Mantouan. à M. II. J;» .course - 2 1.%, cnc.
Bamberger (P. Ha- Masked Marvel, à M.
mel). 1124 » 1 i5 » A. K. Macomber (A.
L.Mantou. 12 »i 6 » 50 14
DUllJleR. 2111 50| 6 » Mask.Ma. 112 » 6 50
ArieF. 3|15 50] 8 » Red.Snba 2 13 » 7 »
3» course - c.tète, 2 1. Cassard. 3. 16 50 9 50
Ranplanplan, M. Boas c* course - 3 1.. 2 1.
(Mart.) 1188 50i47 50 Nialafléttadue DecaZes
Ranplan. 12S »15* » (Breth.) 1!31 510115 »
Bellerive 2|48 50|13 50 Maladet. 119 "I 9 »
Vldouze 3]00 50i22 » Selva. 2119 501 8 50
Rapport éventuel ,
lr* course - 1.000 m. 4" course - 3.000 m.
Very W.|145 50 56 » Grenad.!4S6 501130 »
r>.d.Bé3-!257 50 63 » Longpr. 140 50 56 »
Réticule 30 » 18 » Ktou.llli20S9 B 437 »
Dastos.. 47- » -23 50 |EC.Tille.;i58 50 47 50
Aliiiani.1126 ) 55 » Clow. p.1 20 50 10 »
L.Genet.l 36 50 16 » Artab.111101 » 57 50
2e course - 2.150 uarlous.1 5a » - 26 »
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V'ajliano C. Hnlscy. 3 Tambourine 50 C.Uobbs
H. André KUCunnin: 2 Tritonia M Sharpe
Bac^en3 L. Robert.. 2 Fah* Heller. 52 Ferré
C-'. BMck L. Carter.. ■> Seuillé 52 N. P.
Champion U. Viger*. 2 Sainte Prune 52 N. P.
Chubb, J. Chubb 2 ktb 52 M.Allem.
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J. Colin Dcnmân 2 Lily EliSie 52 Vàtard
Dainpierre. H. Vî^ers î Kue Chartraii 52 Winktield
Derby IL. Carrer. 2 Hcl. of Troy. 52 Ksling
Deschàinps II. C'ount •. 2 Hachure 52 Rabbe
G. Ham Terterolo 2-Lady Vera IC (..GameT
Hennessy Batchelpr 2 Taie a Pull 54 G. Garner
Macomber..1. Brown 2 Sabiba 52 «'XciU
M. de Ho* F. Carter 2 Volubilis 52 N. r.
Perrone U. Cnunt 2 Furina J2 Jenningj
* * **' :
J,Rothach.j Cl. Durai 2 Oriante £2 J. Clay
Wattiune.. Datison 2 Colback .„ 52 F.Williams
ÎVUS PRO.VOSTICS. — 1" course : MAU-
PASSAXT, Samarkand.-— 2* course:' LO-
RETT-Ë VU, etiliatie. - 3* course : ON LES
A EUS, Lamartine. — 4e course : GRILLE-
MOST, Mnzsppa Il. —5< course : IJENBB-
CVLA., lilaclt Prince. —- 6* course : LILY
ELSIE, Furina.
Notes de Musique
-
IfDOUARD RlSLEjf donnera trots récitals,
i J ,salle J-;t'a"c.', les Jeudis 23 et 30 octobre
et 6 novembre il 21 heures. 1 -
L
'ASSOCIATION DES CONCERTS spirItuels
de la Sorbci.vic commencera l'année mu-
sicale le 2 novembre, à 14 h. 30, avec le
Requiem, de Mozart, sous la direction de
M. p. de Saufitères. Abonnement : 14, rue
des- Ecqlcs.
T
OUR EIFFEL. — A 18 b., les Chanteurs
des t UCf de-Paris, avec Eusrénle Buffet.
René de Buxeuii, Hégor et Murarl, accordéo-
niste. Programme : le Beau cher de musi-
que. la barbera. le Huppa-Huppa, par Régor;
Ma chanson. Tommy, rappelle-toi, C'est
l'amour, par Eugénie BulTet; les Trésors ce
l'amour, Ecoutez l'àme des cloches. Avec
ma voiture, pir René de Buxeull; Y a des
loups, Coeur de IOGmc. Zaza, par les Chan-
teurs des rues, accompagnés à l'accordéon
par Murarl.
E
1J
MISSIONS HAPIO-PAIUS DE LA COMPA-
GNIE FRANÇAISE DE RADIOPHONIE. —
13 h., radlo-eonteri. par l'orchestre tzigane :
1. Andalousie la nuit (de Anduaga); 2. la
Chanson du rouet (SnoaJO; 3. Rosé d'amour
(G. JÜien; 4. Fal'l'ric.ets, violoncelle (Husson-
morcl): 5. Femlidsslma (F. Popy); 6. Me-
nuet (P. Faucljev); 7. Catalana (G. Hazigadc);
8. Pavane Louis XIII, violon (E. Thomsou);
9. Zika, czardî hongroise (Mlchlels); 10. Al-
légorie, mélodie (L. Rose); 11. Gavotte (G.
Bernard): 12 Bon cuse, vIoloncelle (A. Pas-
cal); 13. Aub d amour (Predlj); 14. Haba-
nera et St.vilînnu (Volpatti); 15. Canzonetta
(M. i aras); 15 Mazurka de concert, violon
(J. Dclaroret); 17. BiÍllct de Robert te Diable,
do Meyerbcer: 10 b. 45, radio-concert : 1.
Premier motl\'fnll:-Tlt de la sonate op. 14,
plauo (Bjethcve;', ; 2. Troisième sonate, flûte
(Bacli); 3. Roule, piano (Dussek); 4. Octobre
(Retour Cunr» promenade à Verdun), poésie
(Ilélène Picard)5. Nocturne, fiCHe (Maurice
Camo't); 6. Pastorale du dix-huitième siècle,
plan., (Périlhou): 7. Sérénade, flûte Colo-
mer); 8. les Médecins spécialistes (T. Ber-
nard), monoïque; 9. Gavotte, piano (Shar-
res); 10. Valse, flûte (Chopin); 11. Chacone,
piano (L CouV'f-nn); 21 h., radio-concert :
1. Sulcikr" danse orientale (L. Langlois-
Weyts); 2. Pohcf-man (J. Malkll); 3. Grena-
dier, que tu rii'iUlliges, OtHe, fantaisie (Tu-
lou); 4. Au soufflf des zéphirs (L. BllIaut);
5. Quand mèiri'1 : (Hugues Delorme), mono-
logue; 6. Pap-im argentina, violon (Garcia-
MansUlaj; 7. Cl'.aïsf- aux papillons (Ch. Mar-
tin-Slstproii); b. a: Un contrôleur qui con-
rôle (R.-E. Sfulier), b) MlcrobiophQble (P.
Weil); 0. Caqueiage, vIoloncelle (J. Domerc);
10. Canzonctto (E. ToselII-Scassola); 11. Che-
vauchée. COsal/Il, (K Fourdraln).
STATION Ro\nIC,TELEPHO:'\IQUE DE L'E-
COLE SUPERIEURE DES POSTES ET
THLECU'APHE-!. - A 20 h. 45, aualtlon des
prlriclpilcs sci-r.ps de la Fleur merveilleuse,
Dièco en cinn actes de Zamacots.
La santé de Paris
Le service de la statjstlque a compté pen-
dant la 28* décade 956 décès au lieu de 856
pendante dérade précédente et au lieu de
1.038, moyenne décadaire des cinq dernières
années. Il' y a eu 30 morts violentes et
27 suicide. Or. a célébré à Paris 858 ma-
riages. On a enregistré la naissance de
1.183 enfan* vivants (597 garçon et 586
filles), dOu. gO; légitimes et 288 illégitimes.
Parpn ce; derniers, 32 ont été reconnus
séance tenante. Le nombre des naIssances
de la recale correspondante de 1923 est
de t.964,
COURR ER THfATRAL
Belle tentative à l'Opéra
La présentation annoncée d'un grand
film tiré de notre histoire nationale,
dans la salle de l'Opéra, a paru sur-
prendre et a soulevé même des objections
assez vives, sinon très fondées. Quoi
qu'il en soit, il est maintenant officiel
que la bande en question, après avoir
été donnée quelques jours en matinées
zz en soirées chez M. Rouché, passera
ensuite en exclusivité sur un grand écran
du boulevard.
Ce qui fait l'intérêt de cette tentative
et justifiera, je crois, s'il en était besoin,
l'hospitalité accordée à ce spectacle par
notre première scène lyrique, c'est qu'une
importante partition a été spécialement
écrite pour ce film par l'un des maîtres
de la musique contemporaine, M. Henri
Rabaud, le directeur du Conservatoire.
Quelles conditions plus satisfaisantes
pour une exécution de grand style que
la collaboration d'un orchestre comme
celui de l'Opéra ? Si cette tentative
réussit, elle peut ouvrir un immense
débouché pour nos compositeurs et par
cette fusion de deux arts, nous orien-
ter vers de magnifiques spectacles et des
réalisations nouvelles.
Enfin, le cinéma français en rece-
vrait certainement une impulsion nou-
velle, car il s'agit d'un film vraiment
historique, le premier d'une longue sé-
rie embrassant toute l'épopée française,
qui sera de la vraie propagande mon-
diale et, au dedans, un incomparable
instrument d'éducation populaire.
ANTOINE.
SUN TRIOMPHEE
H SANS PRECEDENT A ACCUEILLI AU g
THEATRE DE PARIS
i la pièce nouvelle de M. Charles MÉRÉ g
I LA TENTATION g
R aussi bien '(t , qu'à ï
à la la K
RÉPETITION ( mSr Première I
1 GÉNÉRALE * F8]rtei!tati5J
I VERA SERGINE
g HENRI ROLLAN >
8 I GASTON SEVERIN [
et ALERME
n ont été acclamés avec fauteur i
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QBH Samedi et dimanche : MATINEE QQb
LES REPETITIONS D'AUJOURDHUI :
l' Au Palace, à 14 tj. 30, répétition générale
de Vive la femme, revue en deux actes et
quarante-rlnr: tbbifaux de MM. Léo Lel1è.
vre, -ijeliri Varna et Fernand Rouvray.
— Au Studlc des Champs-Elysées, à 21 h.,
répétltior générale de A l'ombre du mal,
pièce en trot: actes de M. H.-n. Lenor-
mand.
LA PREMIERE ET LA REOUVERTURE DE
CE SOIR :
A l'Odéon, * 20 h. 30, première représen-
tation d,, rsabeall, chronique de France en
quatre acte; do M. Paul Fort.
— A !P Maison de l'OEuvrc, à 20 h. 30,
réouvert ire avel' lu Profession de Mme War-
ren, de «tmard Sl:a\v.
REPETITIONS AJOURNES :
A l'Opéra, h répétition générale de Nerto,
qui deva!t ètr= donnée ce soir, est remise
à une date ultérieure par suite d'une indis-
position de Mlltî Fanny Hcldy.
— Au Théâtre de la Maaeleine, Mlle Jeanne
Marnac ayant été prise d'une extinction de
voix nécessitp-' -' î ces soins immédiat?. la di-
rection s'est trouvée dans l'obligation de
remettre la répétition générale de Manon,
fille galante,-Qlll devait avoir lieu hier soir.
La nouvelle ç.atf' sera fixée" aujourd'hui.
0
PERA-COMïQl'K. — Le Journal officiel
d'hier publiait l'arrété du ministre de
lusiruut'on pufiikiue et des beaux-arts par
equel MM. Loiii; Masson et Georges Hlcou
sont nommée cl'recteurs du Théâtre national
,de ropéra-Coirîiqi pour une période Ce
sept années, A partir du lij octobre 1925.
Cet arrête est on date du 13 octobre 1924.
F
►ORTE-SAINT-MARTIN. —& 14 h. 45 et à
20 h. 45, l'Amour avec Francen, Corclade,
n. L'UDOSC ec flinie L. l'nona. Mat. <;.im dim.
D
L
lALÀIS-ROYAl, — Aujourd'hui, à 14 h. 30,
matinée de le Monsieur de 5 heures.
A
niE-NEE. — Aujourd'hui, à 14 h. 30, ma-
tinée ave (e Cœur dispose. Tous les
soirs a vu n. su.
K
ENAISSAACE. — L'exquise Gaby Morlay,
aux côtés de Grétlllat, Pierre Blancha'r.
Gili.'ès et Franco Eliys, triomphe chaque
soir dans le dente, la pièce d'amour la plus,
hardie signée de nos deux grands auteurs,
MM. Maurice IIor.pay. de l'Académie fran-
çaise. e. Hynrl Dnvernols Samedi m!ltln¡Sp
n
a
AITE-LYmOijE — Aujourd'hui, en mati-
née et soirée, lec Cloches de Corneville
A
nuuuu. — i!i ii. 30, vieil uetrtclberg avec
}qu'c sa belle distribution, yo.30, ie Lys.
N
OUVEAUTEb (24. Bff OzSO!lriril).- Auj.
mat. de farnilîe, la Guitare el le jazz-band.
G
IIA.\D-GUIONOL — fous les soirs. la
Nuit tragique, de Raspoutine. Succès
triomphal.
F
OLlES-I)RAM -. Embrassez-moi déchaîne
le rire. Cet Lccicrca. Ducouret. Groulllet.
c
LUNY. Demain, première de Faut réparer
Sophie. i
Prince-Rigadln jouera Faut réparer Sophie.
Géo- T,ecomte jouera Faut réparer Sophie.
Lulu Watler jouera Faut réparer Sophie.
Marcel SpJblo:i jouera Faut réparer Sophie.
D
■EUX-MASQUES (Th. Fontaine). — Gros
succès d" drame le Droit de mort avec
Pàem Dax et cT- ftoî des coctis,plèce ultra gale.
T
iH. COMOEDÏA. — Palau, le célèbre fan-
taisiste joue Coeur d'artichaut. Mat. sam.
L
A GAITE-ROCHECHOUART poursuit son
immsnsft C;uecp.", avec la désopilante opé.
rette-vaudevill? - C'est un entant de l'a-
mour. ?lei. que des vedettes
D
E MARSEILLE : Le Théâtre des Variétés
vient d3 rf présenter avec un granc
succès le Beau voyage, opérette en trois
actes di Mi. Charles Quine! et Pierre d'Au-
mien, musiqu de Victor Jaeobl.
FRANÇAIS, 1" h. 30, L'Eternelle présence,
Œdipe 9 Co'rnf 20 h. 45, Aimer.
OPERA-rOMIQ^E, 13 h. 30, Don Quichotte;
20 h., Werther
ODEON, 14 h., la Mégère apprivoisée; 20.30,
Isabeliu.
VAUDEVILLE, 21 h., Maman.
vAÎMETES 20 h. 45, Madame l'Archidue.
GYM."XA.S£, 20 h. 45, les Vignes du Seigneur
TH. DE P\ms. 20 h. 30. la Tentation.
P.-SU.MARTlrX. M.S l'Amour, Franeen,PitoclT.
PA-LAIS-ROY., 14.30. 20.30, le M. de 5 heures.
SAIHH •MER.N'H ARUT. 20 45, les :\'O//J} ri,'lie»
ATHENEE, li h. 30, 20.30, le Cœur dispose.
RENAISSANCE, i'0.45. 'e Geste (G. Morlay)
MARKïNY. 20 h. 45. liai
BOUFFES-PARiS.. 14.30, 20.45, Troublez-moi.
GAlTE, 14.4 SO 30, les Cloches de Cornev.
CI1ATELET, 14. il. 30, 20 h. 30, Bouboule.
EIV-VIL 21 h., l'Ecole des tem.. caus Antoine.
TH. ETOILE, 20.45, la Ilevue de Printemps
ANTOINE. 20 h 30 Ma cousine de Varsovie
AMBIGU, 14.30.Vieil Heidelberg; 20.30,le Lys.
FEMINA. 21 n., spect. do ia Cliauve-Souris.
CAPUCINES (Tél. (lUl iiô40,. 21 h., Ça. 1
TH. MAUELEIME. Proch.Manon, fille galante.
TU MICHEL. 20 h. 45, te Mari d'Aline.
Tli. DAUNOU. 21 h.. Si je voulais.
LA POTIN 1ERE, 21 t)., Vn chien QUI rapporte:
Mvriïl'RINS. Reiârhe le 17. Va fem. dans
NOUVEAUT.,1/ 45 20.45,la Guitare et le jazz.
COMEDIE-CAUM., 21 h., le Singe qui parle
AVENUE. 21 11., (ide-duchesse et (Jarç. d'ét.
TH. DES ARTS, 21 h.. la Rivale de l'homme.
SCAl.A, 20.30 la Gare requl (Marcel Simon).
FOLIES-T)RAM A"i ](.)., 21 II., Embrassez-moi,
GD-GUIGNOL, 20.:W,Nuit trag. de Raspoutine.
ATELIER (MonTmartre). 20.45, le Veau gras.
THIANO:'i-LYHIVI;E, 20 h. 30, le Petit duc.
DEJAZET, 20 h. 30. Tire-au-Flanc.
llA-TA-CLAN, 20 h. 30, la Divorcée.
CLUNY, 20.45. En plein raid! rev. (G.Dornayt
"-MASQ. 20.45, Droit de mort; Roi des cocus
COMEDIE-MONDAINE. 20 b. 30, l't£tranqère
AI.HER l'-lpr, 20 h. 30, Je peux un flue
CÔMOEDIA,2i b.Cœm' d'a?,l iclt. (Pal,-i u, Cali u zac).
MOULIN-BLEU, 21 b.. Passions perverses
ELDORADO 20 h. 30, Bibi-la-Purée (Biscot).
TEKNES. 20.45. les Mousquetaires au couv
MO\*TROUUE,20.45,
G Al "E-R()CH.20.30,C'esi un enf. de l'amour
HOrJF.-;'\I)RJ), 20.30. Un vrai gosse de riche.
i'\OUV.. THEA TlU;. 20.30. Ma tante d'Uonft.
L'"BHI. matinée pt soirée. 4 nu f'£ip'II'>,'e
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B Lo divan des fumeuses,, la serre if
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