Titre : L'Action française : organe du nationalisme intégral / directeur politique : Henri Vaugeois ; rédacteur en chef : Léon Daudet
Auteur : Action française. Auteur du texte
Éditeur : Action française (Paris)
Date d'édition : 1923-10-12
Contributeur : Vaugeois, Henri (1864-1916). Directeur de publication
Contributeur : Daudet, Léon (1867-1942). Directeur de publication
Contributeur : Maurras, Charles (1868-1952). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326819451
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 12 octobre 1923 12 octobre 1923
Description : 1923/10/12 (Numéro 284). 1923/10/12 (Numéro 284).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG87 Collection numérique : BIPFPIG87
Description : Collection numérique : BIPFPIG69 Collection numérique : BIPFPIG69
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k761734v
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, GR FOL-LC2-6354
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/01/2011
Ligne d'âcfa française
SALLE D'ARMÉS D'ACTION 1 FRANÇAISE
" La salle Sjaînt : Philippe, salle .d'armes
d'Action française, vient d'être eatièra*
maat réorganisée. Le réputé maître Ac-
ir,tmd, chevalier de la Légion d'honneur,
méd:iinâ militaire, président de la Société
de seccurs-rmitwcls des maîtres d'escrime
de l'armée, a bien voulù accepter la. suc-
■ cession de notre regretté ami Bartoli.
Nos amis seront heureux de pouvoir tra
vailler sous la direction expérimentée d'un
escrimeur qui a passe cinq ans à l'Ecole
de Joinville, dont deux ans comme moni
teur , et un an comme chef de salle, qui
compte 26 années de professorat dans l'ar
mée;- dont 13 comme maître à l'Ecole sut-
périeure de Guerre..
La'salle Saint-Pliilippe, 116, rue du Bac,
'■ jest, ou.vej.tu tous, les jours, de .4 heures du
soir à 7 heures; et les lundi et jeudi, de
8 heures à 10 heures du. soir. Les trois
armes, épée, fleuret et sabre, y seront en-
■ seignées. - > -
Rappelons enfin -que la saîle ; Saint-Phi
lippe', -qui est maintenant-affiliée-à la Fé£
deration nationale d'escrime, prendra part
ù tous les championnats.
Nous invftops tous ribs.;amis qui s'inj-
téressent à l'escrime à s'adresser à M. Beif-
*- nard Denisane, vice-président de la salle
Saint-Philippe, ; 14, rjje 4e- Rome, Paris
NOS REUNIONS ET NOS SECTIONS
. . , PARtS ET" BANLIEUE .
• XV* A rrondissement . — (Camelots' du
. Roi.) — Les Camelots du Roi et" les jeunes
gens désireux de participer à la vente du
Journal le dimanche matin sont priés d'as
sister à la réunion" qui - aura, lieu à la pér*
manence, 97, rue Blomet, vendredi 12 oc-;
tobue, à 8 h. 45 du soir. ;
N kuiLLY-suh- S eine . — Vendredi 12 oc
tobre, à 8 h. 45 du soir, au restaurant
Deliauve, 93 bis, avenue., de Neuilly, ret
prise de là permanence mensuelle.
PROVINCES
A lbi . — La section d'Albi reprendra ses
réunions samedi 13 octobre, à 8 h. 30 du
soir, à la permanence, rue Rpquelaure. :
— Le nombre des ligueurs de la section
va 1 croissant. Parmi les nouveaux venus,
noire-ami H. Chollet a -pris, dernièrement,
la parole dans une'réunion, communiste;
et- a,. pu, malgré une vive obstruction, fai
re entendre quelques vérités d'Action;
ffijeçaise:
D rome . — La constitution d'une section
départementale de l'Action française,;
ayant son centre à Valence, a été d"écidée„
avec des centres de "propagande à Crest,,
Romans et Montélimar. Tous nos amis et'
. lecteurs de la Drômc sont priés d'entrer
en relations avec le secrétaire provisoire,;
le capitaine Roux, "46, rue Pêcherie, Va-:
lence ; pour Romans, Af. Amédée Venin,
3, rue de Ciérieux ; pour Crest, M. Louis-
Marcel, rue Peyrièré ; pou.r Montélimar,
M. C. Lâtarche, Grand'Rue.
M ontmorillon {Vienne). — Dimanche
14 octobre, à 4 heures de l'après-midi,
sallé^ du Vieux-Palais,, conférence .avec la;,
présence de Marie' de Roux, délégué ré-;
gional de Monseigneur le Duc d'Orléans,
bâtonnier de l'ordre des avocats de Poi
tiers, et de Jean Jamais secrétaire régio
nal du Poitou et des Charentes : la doc
trine de l'Action, française et la situation
actuelle* ,
^ NAISSANCE
Nous, apprenons avec plaisir la nais-,
sance, à Bagdad, de Jacqueline de Haute-
. clocque, fille de M. Raoul dè Hautecloç-
qne«ef de Mme. née d'Angladç.
Toutes nos félicitations.,
MARIAGE
Nous avons le plaisir- d'apprendre, le
mariage de notre ami Louis Brochère, li
gueur, de la section d*A. FI de la Haute-
ôriet avec Mlle Bernadette Humbert.
La. bénédiction nuptiale leur-a été don
née^ Iô 6 octobre, en l'église de Fontaine-
lés-LàixeuiL
f-
M. L'ABBE LEMIRE ET « DEDB»
M. l'abbé Lemire, comme maire d'Ha
zebrouck, vient d'interdire, dans cette
ville, l'opérette en viDgue... Le-courage avec
lequel il a bravé le ridicule attaché par
les niais à toute espèce de censure n'a rien
qui puisse étonner de la part de ce,prêtre.
Cependant les journaux font fête au_ petit
acte de bravoure. Le Matin a r envoyé un
reporter demander à M. l'abbé Lèinire .ses
raisons.'
— -Mon vieil Hazehroucli,- nous dit ; l'abbé
Iicmire avec calme, n'a pas besoin de votre
liédé. Je ne l'ai pas vu ni.In, mais mon ad-
Sai
UN PAS DE PLUS DANS LÀ VOIE
DU PROGRES
« Ne me croyez pas bégueule; la question.
n'Était que de savoir: ce «jui convient une
-petite ville flamande qui n'a pas de théâtre,
dont la culture .dramatique-se borne- au- ci-
nema et qui s'en contente. Vous autres Pari
siens, vous avez l'accoutumance; certaines
grivoiseries, vous sont familières .et, je. crois,;
-nullement pernicieuses ; elles seraient, pour
mon brave populo d'ici, tout un événement :
livrerai-je à cette-épreuve, pour le seul pro-
ii! d'un particulier propriétaire d'une salle»
les jeunes gens et les jeunes filles dont j'ai
màné les parents et dont je conhais chacun
par son nom ? Encore s'ils-y tenaient abso
lument ! Mais' vous n'avez, "pas idée à- quel
point Hazebrouck se moque d'; Joir failli con
naître Dédé ct 'd'en être resté la. •
■" Monsieur l'abbé; n'est-il pas vrai que»
vos jeunes gens et. vos jeunes tilles, vous les
privez., aussi-de danser et croyez-vous qu'ils
s'en-consolent aussi facilement que-de n'avoi*
-pas vu Dédé ? .... - ■ ; ■ ;
. .— Je n'ai pas interdit la danse,, proteste le
bon maire ' avec un sourire ■ des "yeux, mais
d'une voix grave : j'en conserve le goût-, bien
au contraire, en limitant aux jours de fêté
nue joie saine et charmante-;. ..je. .veux qu'oii
danse ici pour la ducasse, les enfants, 14
père», la mère, l'oncle et ' la tante, - la ma
trone et l'instituteur, ; Je ne suis pas le der^
nier à aller "voir le" bal de laruè Mouffe-
tard, la nuit du 14- juillet, avec le curé de la
paroisse, vous savez ? J'ai le goût des réjouis-;
Sauces collectives et surtout populaires, tuais
lè plaisir ne doit pas. être la règle quotit
ûienne ; . je suis un démocrate qui ne veut
pas qu'on ait besoin chez nous du fascisme ;
je ne suis pas de ces démagogues dont la li
béralité conduit le peuple à mendier du pain
et des billets de cirque : le plaisir-est fait
pour assaisonner la vie ; -quand il devient
toute la vie, ce n'est plus un : plaisir et ce
n'est pas une vie. Voyez donc où s'en allait le
Directoire, quand il faisait si bien la tête...
...Des dancings à HazCbrouclt ? Qu'y fe
raient-ils nio'n Dieu, si ce n'est de détériorer
la chère figure traditionnelle de notre petit;
. de notre solide et honnête pays flamand ? Par
lez-moi du brave estaminet paisible, salmt du
pauvre, récréation des honnêtes gens où l'on
trouve encore le pot-au-feu, oû allumer, dans
la cendre rouge, une bonne pipe courônnéé
d'un généreux toupet, la boisson modique et
'loyale," là... -— il cherche le mot et trouve :
■ — l'avenarace de la- patronne, soa hon^teté
aussi, toutes choses, enfin, qui plaisent aux
hommes et. ' rassurent les familles; parlez-,
moi du jeu de bouchon, du tir à l'arc, de nos,,
(belles et gentilles" sociétés qu'il faudrait créer,
monsieur, si leurs bannières n'avaient pas
trois cents- ans ; parlez-moi de tout ce qui
fait le cachet admirable et l'équilibre moral
de nos provinces ; laissez Hazebroucli et Ober-
nai tranquilles avec vos tangos et vos opé
rettes; .. .. -
Nous n'avons pas, aujourd'hui, à nous
occuper du député libéral d'Hazebrouck,
si ce n'est peut-être pour signaler sa I0Ù3-
ble infidélité à son libéralisme» Mais que
M. l'abbé*, maire d'Hazebrouck, est donc tin
brave homme de maire, dévoué h sa ci
té !, Voilà-bien le bon Flamand fidèle aux
anciennes mœurs domestiques et munici
pales.' _. '
Et son acte d'autorité fera exemple. Le
Petit .Eleu iai consacre son principal ar
ticle et l'intitule « L'abbé Lemire a rai
son 1 »: . ■
- Il est malaisé, dit-il, d'imaginer rien de
plus joliment sensé, "de plus solide et'de plus'
convaincant à la fois que les propos tenus
pat le maire d'Hazebrouck: à notre confrère
et rapportés par eelui-ci dans une forme dont
îls'éta-ient bien dignes.
Parfait 1
« REXJSONS L'ARRET *
'• Reliions l'arrêt », dit M. Vonoven,
dans le Figaro, à propos des gifles oppor
tunément décernées à Malvy.
Quelques lecteurs amis du Figaro « s'éton
nent, disent-ils,~du silence gardé par l'édiitorial
sur l'incident Malvy »; Rompons ce silence
pour l'expliquer. f
Nous n'avons, ici, jamais admis la vio-
lenee comme moyen politique.. Dans le Code
dn duel, la voie de fait donne le choix des
armes à celui qui a été frappé, quelque injure
qu'il ait auparavant, proférée et quels que
soient ses torts... D'instict, on court à l'aide
IVinstict, on court
li par plusieurs au
a "mérité quelque châtiment.
de l'homme assailli par plusieurs autres sans
se demander s'il •* ' »
Fidèles à leur ,îigne de conduite qui est i On ne supporte pas l'idée de la correction in-
. —i ■_ -fligee, meme au forçat.
de toujours faire mieux, malgré, les succès
obtenus, Panhard et Levassop viennent
«l'apporter à leur moteur slms-soupapes
q«i semblait, par les résultats acquis, dif
ficilement perfectible, une série a'amélio
rations , qui constituent de gros, de très
gpos progrès.
Aux. anciennes chemises de' fonte, dont
le-.poidi et l'insuffisance de hauteur de lu
mières^ limitaient la puissance du moteur,
ont ététsubstituées des chemises ën acier,
beaucoup plus légères et comportant des
ouvertures plus larges ; une garniture de
métal anti-friction d'une nature, particu
lière facilite le frottement. Cette amélio
ration' considérable «jst complétée jjar une
culasse en acier usiné qui permet, une ré
partition uniforme du métal et évite les
épaisseurs inutiles des culasses fondues,
notamment aux bossages des bougies ce
qui obvie à réchauffement de celles-ci.
Cette- culasse en acier est munie, autre in
aovation remarquable, de 3 segments min
ces qni, remplaçant le segment unique, as
surent une étanchéité absolue du cylin
ire. au moment de la pression maximum,
->ea- segments se trouvant alors tous trois
wdessous des lumières.
Sans être grand clerc, on comprend qu'il
résnîte de cét ensemble de perfectionne
ments/ un meilleur "remplissage des cylin
dres, une parfaite évaci^ation des gaz brû
les, une diminution des effets de l'iner
tie - ; d'où augmentation de la vitesse an
gulaire du moteur et accroissement sen
sible de sa puissance, partant de son ren
dement.
■ Un châssis 12 GV dont les organes fonc
tionnent comportant des coupes placées
aux endroits intéressants, des pièces déta
chées permettent aux visiteurs du Stand
Panhard de toucher du doigt ces nouveaux
dispositiffs. *
A moteur plus puissant, tournant plu*
vite, il faut graissage parfait.
Le graissage à circuit fermé PL, propor-,
lionnel a là puissance, que nous n'avons
plus a décrire, a été amélioré par un sys
tème de rigoles et de canaux disposés de
façon à amener l'huile, aux paliçrs ^t de
la, par l'intérieur du vilebrequin, «us tê
tes de bielles. *
Ce dispositif assure les graissages indé
pendants et sous pression, de chaçee tête
de bielle, sans l'intervention d'une jsompe.
Enfin, à voiture roulant plus vite il faut
des freins sans reproches °anhard-Levas-
sor estiment que les freins aux 4 roues sont
utiles aux grandes vitesses mais que, pour
éviter les déréglages possibles, tout le mé
canisme intermédiaire doit être simplifia'
dans sa construction et amplifié dan.s ses
■ effets ; c'est ce qui a été obtenu par des
■dispositifs, ingénieux qui remplissent
■exactement le but.propose. On . a -même
supprimé les nervures "extérieures des
■tambours pour maintenir l'équilibrage tout
■en facilitant leur nettoyage. _ -
D'autres ; perfectionnements ont encore
ap /Ro rtes aux châssis PL. sans soupa
pes 1323, les décrire tous nous entraine-
Tait trop loin. Nous avons simplement te
nu en publiant cette énumération sommai
re, ,à faire comprendre quel instrument
unique est devenu le moteur sans-soupapes
entre les mains (Je ceux qrui ont été les
premiers a construire en France
Sans bruit, mais sans défaillance, par'
un -travail acharné par leiir perpétuel sou
ci du mieux, .Panhard et Levas sor conti-
naeixt. a-just||ier la ponfiance de leurs
plxents.-, " - - • ™ -
; Il faudrait voir si cet: instinct n'est
§as un conseiller ridicule. M. Vonoven a
eau dire, il ne s'est point porté au se
cours du traître Duval assailli quelque
part, à Vincennes: Et puis les agresseurs
n'étaient pas plusieurs contre un mais
chacun contre une .bonne vingtaine de-
gendarmes et agents, garde prétorienne du
traître, . .
Cependant M. Vonoven partage l'indigna
tion des manifestants r — '
: Il suffit poiir la comprendre, Me-rrfire l'ar-
"rèt du .7 août 1918. L'ancien ministre- de l'In
térieur y est convaincu d'avoir « connu d'exis
tence d'une propagande criminelle destinée à
ruiner la-défense du pays, en portant atteinte
à sa' force morale et- k Son esprit «de disci
pline, cause principale des mutineries mili
taires de mai-juin 1917 ».. *
5 Les juges sénatoriaux affirmaient : encore
". qne loin d'opposer à cette propagande l'ac
tion la plus énergique, l'accnsé a accordé des
subventions à un journal dont les principaux,
rédacteurs ont été condamnés pour intelligen
ces avec l'ennemi; qu'il a facilité par des fa
veurs et des complaisances abusives les agisse
ments criminels d'Almereyàa, de Durai et de
Sébastien Faure ; qu'il a ainsi, dans Texerci-
ce de se$ fonctions de inlnistre de l'Intérieur,
méconnu» violé et trahi les devoirs do sa
charge... »
L e condamné n'eût-il été qu'un incapable,
un^tel arrêt, et qui n'est pas rapporté, inter
dit Ja parole devant les monuments aux morts
de la guerre.. :
_ Mais qui -peut ' empêcher cette ' interdic
tion d'être une simple faribole, en nos
temps où la force organisée est du «ôté
de l'impudente, trahison et même & .son
service ? Qui, si ce n'est les gendarmes
supplémentaires ? E- L.
œ'J.S'SALON DE
STANDS ET BANQUETS
-r.«-
chiffres rigoureusement exacts sont, contrôs
lablto pouç| t§us siési vlsiie'arsj: par s»nim|
examen des modèles exposés.
Copjme ôn ilé V «it ilei carburateur Zénith
^ ... demeure toujours en tête des industries de la
r'T . ' carburation, qu'il s'agisse de progrès d'ordr«
Au Palais d'Orsay, M. Poincare a présidé technique ou d'organisation commerpiale, >:
9 ' -
avant-hier le superbe banquet donné «n
l'honneur du 25«. anniversaire de la Cham
bre syndicale de l'Automobile et des Indus
tries qui s'y rattachent. '
Le président du Conseil avait à sa droite
M. le marquis de Dion, présidentiondatsur
de la Chambre syndicale et JU.. Je baron \
Pctiet, président de la commission du
Salon. | ■
., Avaient pris place à la fiable d'honneur
tous les ministres présents a Paris, le maré
chal Foch, les- généraux Gouraud, Dubail, 1
Buat, etc., les préfets de la Seine et de
Police, les présidents.du conseil municipal,
du conseil général," Se" nombre usé S pctsôri- '
nalités des lettres et des arts ainsi que de
la presse et tous les grands constructeurs.
L'heure - des -discours -venue,- M. le., mar-,,
quis de Dion refit l'histoire de cette Cham
bre dont on fête les vingt-cinq années, puis
ce" fut le tour du comte dè Vogué,' président
de l'A. Q. F. ; du baron Petiet, de notre
confrère Henri Desgrange, au nom- de la;
presse et enfin ,d'e M. Poincaré, qui se ré-
.vélauun technicien y^aime^t averti de? cho
ses de l'automobile.
Son discours spiritnel et amusant fut
haché par les applaudissements.
Hier soir, - un nouveau banquet a étf
offert par la maison Hartford dans : les s ai-
Ion du Claridge's, banquet -empreint de là
plus grande cordialité et qui fait le plus
grana honneur à la maison Hartford, .
'A ' • / ' ' ' "
Et, reprenant notre promenade autour
dui Grand Palais, de plus en! plus jenvahi
par la foule, nous voyons chez, Th. Schnei~
der trois modèles 10 ÈV,15 CV et 20 CV. , (
La 10 CV. aux proportions bien étudiées^
qui assurent un confort parfait ; les deux
autres,. établies. en. vue ..d'un long usage,
•confirment pleineme'nt par leur, .fini et.leut
ligné la réputation du grand cons'trûcteun
L'AMORTISSEUR HYDRAULIQUE
" H0UDAILLE îi> .
Barré (de Niort, est un des doyens, un
des pionniers de l'industrie automobilej
Que aire de lui si ce n'est que son ancien^
neté n'existe que sur le papier ; il est lé
plus, moderne de nos constructeurs et il
a su adapter sa fabrication aux besoins in
dustriels, .commerciaux- et agricoles nou
veaux. .
Nous en reparlerons, du restp 4j
v
De nombreux lecteurs nous demandent
dés prix ; voici, à titre d'indication, ie
tarif .de Peugeot : ».
Quadrilette éclairage acétylène. Frs • *,' 9 20Q
,.— . éclairage et démarrage "
érectriques ' 10..200
Landaulet 5 CV, éclairage.-et flémar- - ■
1-qge électriques ;vA-. . .. ; 12.908
VOITURE 10 CV ; %^ .
Voiture type normal, torpédo,. séri^ ' .
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——. conduite intérieure 4 places,
depuis ..;v...... s.....,, .26.000
Voiture type grand luxe, torpédo • ^
4 places ... 21^.300
Voiture type grand luxe, conduite in-,
térieure 4 places 27<.000
Voiture tj^pe sport, torpédo 4 places, 25.000
VOITURE 15 CV ^
Voiture ,type luxe, torpédo 6 places.'. 32.600
.. toirpédo sport touriste . ... . . .i • 40.500?
. — .. torpédo grand sport ...4l-50ft
— ' ..torpédo 6 places, tj'pe cq I q-
3u'e 350 _ francs; la paire, avec une garanti^
0 deux "ans,, c'ést-à-ctire moins cher que de^
appareils extra simples, et, d'autre, part, "aveune garantie double, cela grâce à la produc
tion intensive des usines ROUDAILLE de LE-
VALLOIS. . , . , . ; '
nial" ; .
34.500
VOITURE 18 CV SANS SOUPAPES
Voiture type long, châssis nu; ........ 48.000
. — type .sport,, châssis ou . !JL . « BOj.OÛft
FORD M0NTIER
%■-
Ne participant pas au Salon, expose tous,
ses modèles et spécialités en .son (magasin,
67 rue Pierre-Charron,, à 200 mètres dui
Grand Palais. , . . _ ?
DE DION-BOUTON J |
Lés. nouvelles de Dion-Bouton 10, Î2 et
•20 HP, exposées au. Grand Palais, ne s'im-'
posent pas seulement au point- de vue mé-'
canique. L'élégance, le confort,, le fini des}
carrosseries sont aussi une cause très ap->,
préciable de leur succès. Aux ateliers de
Dion-Bouton chaque carrosserie est une
œuvre .artistique conçue et réalisée avec le;
soin le ptys minutieux. On y a banni lés*
méthodes nouvelles si regrettablement hâ
tives. On y travaille à la série, certes, mais :
cette série. n'est pas américain^: elle est :
« vieille France » et le résultat s'en res
sent. Matériaux, de premier choix, main-i
d'œuvre de premier ordre : les carrosse- :
ries- de Diçn-Bouton comme les ateliers
d'où elles sortent, sont des modèles du
'genre* . ....
AU CARBURATEUR ZENITH
:—_ , . t ...
.t ' ' "
Le distingué-directeur général de là Société
du Carburateur Zéuitli, M. Boulade, entouré de
son fidèle état-majbr, aimablement ' reçoit
constructeurs et visiteurs, donnant & chacun
toutes explications, tous détails sur le mer
veilleux appareil, qui, depuis 16 ans, répand
dans le monde entier le bon renom de l'in
dustrie française. N'oublions pas < que Zénith
a maintenant des usines de production' et des
.succursales: à Parisi Lyon, Bruxelles, Genève,
IYork. Les preuves de la supériorité de Zénoth
sont nombreuses ; un fait caractéristique : les
automobilistes débutants acceptent n'importe
quel carburateur, puis, expérimentés, font po
ser un carburateur Zénith à grande diffusion
sur leurs voitures.
Par ailleurs, les succès de Zénith en . course
et concours dans le -monde entier et dans tons
les domaines, au cours de 1923, sont innom
brables., • : ; ••
Voulez-vous, quelques chiffres, de statisti-
;ue : au salon, 121 constructeurs exposent
70 châssis, voitures on moteurs, 9 construc
teurs équipent 40 châssis de leurs propres
carburateurs, sur les ' 430 châssis qui deman
dent des appareils & l'industrie de la carbura
tion, Zénith seul en équipe 238, soit plus de
" i Ce qui frâpp'e le connaisseur qtiï détaille
les châssis exposés au Salon; c'est la prépon
dérance indiscntable de l'amortisseur dont
■ HQUDAIILB est notie..vie,UX champion.
Un de nos plus grands constructeurs fran- .
; çais, dont Ja renommée est fhondiale, ne pré-
sente-t-il pas ses- voitures avec un amortis
seur hydraulique..; de sa fabrication. •
• ALBA, -ALDA, ARIES, CHENARD et WALC-
ICER, DELAHAYE., DELAUNAY-RELLEVILLE,
FA RM AN, GEORGES IRAT, MINERVA, RO-
CHET-SCHNEIDER, ' SEOQUEVILlLE HCWAU
• DNIG «h RICHARD), G. de BAZELAIRE, D. F.
P., COLOMBE, LA LICORNE, PHILOS, ROL
LAND PILAIN, SCAP, RALF STETYSZ, équi-
-pent les-uns-toutes leurs'voitures, les antres-
certains modèles avec l'amortisseur HOUI-
-DA1LLE. -- ■ :
Toôs les: avions. MORANE-SAUI^NIEH cm-
ijploient le HOIJDAILLE sur leurs ponts d'at-
. teirissage_; devant,,les brillants jésuitata- ob-
tenus les aviations alliées sont, paraît-il, en
■ pourparlers-avec-HOUDAILLE.
Est-il déjà" utile de rappeler que é'est à
notre fameux 75 que nous devons ciripartie
. -la victoiré ; '.qui n» 'sait en.effet ijuè sà-terri-
iiantë rapidité de tir - est entièrement due à -
son célèbre frein' de recul' adapté d'ailleurs
■ sur tous îles-canons français et rii.nos alliés> ^
Or, .«'est de ce-freina désormais historique.
que : 'dceoule 1'amor.tissêur HOUDAILLE,' connu,
de tous et que les-puissantes usines HOU-
D AILLE DE., ÔUFFALO répandent k, profusio4
dans le nouveau monde,
Le "Seul inconvénient dè l'amortisseur à li4
qnide est de nçeessitei* une fabrication très
coûteuse...- d'ailleurs; les automobilistes - s?eq
IN.FQRMATIONS:
Y . MONUMENT AUX MORTS '
DES ARMEES*DE CHAMPAGNE . :
■ ,A la suite de l'appel du 'général Gouraud, An
cien commandant de mière pierre du monument aux morts des ar
mées de Champagne sera posée solennelle
ment le dimanche 4 novembre prochïin, à 14
heures: Le général assistera à -la cérémonii*
• -Ce matin, à11 heures, sur l'emplacement ré
servé. au monument . près de la ferme de(
Navarin (route de Souain-Somme-Py) — un
service l'eiigieux sera célébrée. . ,
L'OFFICE ECONOMIQUE DU RHIN
C'est « Office économique du' Rhin » et ne»i
pas « Office économique de la Ruhr » qn'ii'
faut lire, dans.la liste des, souscriptions déjà
reçues en faveur des victimes des scbnppo de
Dusseldorf, La. fondation de ce Groupement
daU du. m'ois d'août 1922. .
. PETITES NOUVELLES i
l'ambassade d'lta.lie. — On annonce la.
mort de ia baronne Romano-Avezzana, feinme
de l'ambassadeur d'Italie à Paris.
-A l'Association générale des rinitilis de la
guerre. — La- section des 1™ et'"2*-arrondisse
ments, donnera,. .demain samedi, à 20 h. 30;
une grande soirée dè bienfaisance, dana .la
salle jdes fêtes du Journal, 100, rue de Riche
lieu.'. ■ '
.Décès. — - Nous apprenons avec- regret lai
mort d'un grand homme de bien de Pessae
(Gironde), M. Georges.Bourret, un de-nos fi
dèles abonnés et amis. Toutes nos Condoléan
ces à sa famille.
IVIEUBLES-Ol
D^ÂRT-LUSTRERIE i
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Havre,- J^iverpool, et Alexandrie ; communiqué
«!es Halles ; eonrs des cafés ; informations :
Il h. 45 : radio-concert ; 13 b. 45 : cours de
la Bourse .de Paris
16 h. 30 : cours de la Bourse du. Commerce
de Pans; cours des métaux ; cours de la
Bourse ; informations générales ; 16 h. 45
radio-dancing ; 17 h. 45 ; cours des cotons ; •
résultat- des courses ; informations parlemen
taires et judiciaires.
20 h. 3tt : informations î chronique du
taeâtre parRadio-Scenic » : 21 h. ; radio-
concert. • , ! . '
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LES COURSES
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Laffite. —- Nos préférences : *
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Demain, courses à Auteuil. - ! . . ' ;
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1-table toilette vernis citron, 2 chaise*
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vemis citron, composée de : 1 buffet argentier, 1 table 2 allonges, 6 chaises
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nant : 13 assiettes filâtes, r6 as-
. siéttes creuses, ! soupière,
1 : saladier, 1 plat plat, 1 plat
ovale, 1 plat creux, 2 raviers,
1 saucière, 6 bols, 2 carafes;
1 6 gobelets à eau, 6 gobetets à
: bordeaux, 6 gobelets à madère,
6gobelets_ à liquettr, l nappe et
6 serviettes. —La DESSERTE
en plus. 1 Ooȣ
•^1
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995^
Les 79 pièces
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Phlox (M. Van Der-
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AUJOURD'HUI .* ' '
; CHAMPS-EXYSEES. — L'Europe et l'Amé
rique ont été unanimes à: consacrer au Théâ
tre Artistique de Moscau la splendide compa-
firiie de C..-Stanislavski. C'est au théâtre des*
Champs-Elysées, l'an dernier, que'fut produit •
pour la première fois en Europe, le Théâtre;
Artistique de. Moscou, et c'est sur cette- ma-'
gnifique scène qu'il paraîtra aujourd'hui, ;
' avant de partir pour l'Amérique. . '
Le Théâtre Artistique reprendra ses grands'
succès de l'an dernier : Let. Tzar Féodor x Le .
Jardin des Cerises. Il jouera en outre Les
Frères Karcanaz'ow,- La Lacandiera t Ioanoff et :
Un Ennemi 3u.Peuple., . •• •
Aujourd'hui, première représentation, Le
Tzar Féodûr ; samedi, Les Frères Karantazow ; î
dimanche Le Jardin des Cerises. .... I
• >. -• ■;o■ o o.... v.; ...
. COMEDIE-FRANÇAISE. Vautrin, la pièce
écrite, par Edmond Guiraud, avec les person
nages ces roinans de Balzac, réparaît au jour-S
d'ihui aur l'affiche de la jComtadie-Française. i
M. de-Féraudy qui joite le rôle de Vautrin et :
tous les interprètes de la «fréation; 'Des-:
sonnes; Châties Granval,- Roger. _Mon.teaux, I
Paul Numa,. Lafon, Fresnay, Mmes , DussÂe,
Ventura^ Jane 'OPaber, et Catherine Fontenay reprendront leurs, rô
les. _
.. . o 0 o ■■ — ■■■■■.... .
RENAISSANCE. — A p 8 b, 30, répétition gc- ■
-nérale de la' pièee nouvelle en 4s actes de M. •
Charles Méré ; Le Prinçe Jean, dont voici ia
distribution. • ■ •;
MM, André, Brûlé (Lucien €iraud>, Candé
(Marquis " Wavre), Gaston Séverin (Baron :
d Arnheim>, Roger -Vincent (Léopold ; d*Axen), ;
Henry Harment (Liétard), Jean Sky (François)* '
Jepftroy (de Leyde), Clarens (Harlingen), Bayle
(liaron Denis) ; Mmes Madetleine LelV (Gaife
Darlen), Marcelle. Servière. (Mme .de Givrelle),
Marthe- Fabry (Lise de Traças), Hartapêura
ipe
„ --- Ihristv (Hélène),
Capryne (Baronne Denis), Yvonne Carat (Mme
(Fernande Gilleuin), Louise
Capryne (Baronne
de Fouqucreux).
' , i — Soucieux de révéler
au publie parisien des œuvres inédites de jeu
nes auteurs, M. Georges Bravard a décidé d'ou-
vnr la saison par -la création de Madame Thê-
Sîfî ®Péra-honffe en tfois actes, livret de M. de
theman, musique de M. Detraux.
moi
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Odéont 8 h. 30 Un conte-- Gaité-Lyrique, s li. 30 ta Fille do Madame Angot. ■
Cora (M-Mogador), 8 h. 88 Le Masque de Fer.
Champs-Elysées, 8 h. 30 Le Tzar Eéodorj .
Vaudeville. 8 h. 30. L'Enrant.
Variétés, 8 h 1 .-30: Ciboulette.
Pte-Saint-Martin, '8 h.. 30: Mme Sans-Géns, -
Gymnase, 8 h. 45, Les Visnes du Seigneur.
Chfitelet, S b. 30, Capoulade de Marseille.
Sarah-Bornhardt, 15 JL'Als-ion.
Conrvédio des Champs-Elysées, S h. 4 5. La DUËgne.
Renaissance, 8 b: 30 Le Prince Jean. •
Antoinej 8 li. 40 Le Fauteuil 47..
Nouvel-Ambigu, 8 b. 30 Le Maître de son cœur.
Th. de Pari®, 8 h: ' 30-,-L'Esclave errante..
Athénée. S 1k 30. t.a Sonnette «l'alarme.
Edouard-VI>. 8 h. 30. L'Amour masqué.
Capucines, O h. unerevue aux Capucines (de
Th. des Arts, 8 h. 30. Pyymalion
Palais-Rovaîv S h. 30. L'Ecnln.dos Cocottes- < ' ^
Comédie-Marlgny, 8 h. iS Beauté. .
Boufte«-l»ari»i«n» f S h.'!W, "Lit-llauf. ■
Trianon-Lyrique, S h. 30 La Maseotte.
Crand-Gnienol,S h'30 Un drame a, la Salpêtrl«re.
Cir«tu«dO:Parj*8ih. 30. Matinée. làl. dlm. S U. 30.
Déjazet, 8 b. 30. Vlergre et Cocotte.
"Cigaiei » h: «^r Toiis-volles-^ehorse •—
Cluny, S- b. 30. Serve» eliautf .' /
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viqn-en-Thiérache, 28 septembre,
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d'Action française, vient d'être eatièra*
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ir,tmd, chevalier de la Légion d'honneur,
méd:iinâ militaire, président de la Société
de seccurs-rmitwcls des maîtres d'escrime
de l'armée, a bien voulù accepter la. suc-
■ cession de notre regretté ami Bartoli.
Nos amis seront heureux de pouvoir tra
vailler sous la direction expérimentée d'un
escrimeur qui a passe cinq ans à l'Ecole
de Joinville, dont deux ans comme moni
teur , et un an comme chef de salle, qui
compte 26 années de professorat dans l'ar
mée;- dont 13 comme maître à l'Ecole sut-
périeure de Guerre..
La'salle Saint-Pliilippe, 116, rue du Bac,
'■ jest, ou.vej.tu tous, les jours, de .4 heures du
soir à 7 heures; et les lundi et jeudi, de
8 heures à 10 heures du. soir. Les trois
armes, épée, fleuret et sabre, y seront en-
■ seignées. - > -
Rappelons enfin -que la saîle ; Saint-Phi
lippe', -qui est maintenant-affiliée-à la Fé£
deration nationale d'escrime, prendra part
ù tous les championnats.
Nous invftops tous ribs.;amis qui s'inj-
téressent à l'escrime à s'adresser à M. Beif-
*- nard Denisane, vice-président de la salle
Saint-Philippe, ; 14, rjje 4e- Rome, Paris
NOS REUNIONS ET NOS SECTIONS
. . , PARtS ET" BANLIEUE .
• XV* A rrondissement . — (Camelots' du
. Roi.) — Les Camelots du Roi et" les jeunes
gens désireux de participer à la vente du
Journal le dimanche matin sont priés d'as
sister à la réunion" qui - aura, lieu à la pér*
manence, 97, rue Blomet, vendredi 12 oc-;
tobue, à 8 h. 45 du soir. ;
N kuiLLY-suh- S eine . — Vendredi 12 oc
tobre, à 8 h. 45 du soir, au restaurant
Deliauve, 93 bis, avenue., de Neuilly, ret
prise de là permanence mensuelle.
PROVINCES
A lbi . — La section d'Albi reprendra ses
réunions samedi 13 octobre, à 8 h. 30 du
soir, à la permanence, rue Rpquelaure. :
— Le nombre des ligueurs de la section
va 1 croissant. Parmi les nouveaux venus,
noire-ami H. Chollet a -pris, dernièrement,
la parole dans une'réunion, communiste;
et- a,. pu, malgré une vive obstruction, fai
re entendre quelques vérités d'Action;
ffijeçaise:
D rome . — La constitution d'une section
départementale de l'Action française,;
ayant son centre à Valence, a été d"écidée„
avec des centres de "propagande à Crest,,
Romans et Montélimar. Tous nos amis et'
. lecteurs de la Drômc sont priés d'entrer
en relations avec le secrétaire provisoire,;
le capitaine Roux, "46, rue Pêcherie, Va-:
lence ; pour Romans, Af. Amédée Venin,
3, rue de Ciérieux ; pour Crest, M. Louis-
Marcel, rue Peyrièré ; pou.r Montélimar,
M. C. Lâtarche, Grand'Rue.
M ontmorillon {Vienne). — Dimanche
14 octobre, à 4 heures de l'après-midi,
sallé^ du Vieux-Palais,, conférence .avec la;,
présence de Marie' de Roux, délégué ré-;
gional de Monseigneur le Duc d'Orléans,
bâtonnier de l'ordre des avocats de Poi
tiers, et de Jean Jamais secrétaire régio
nal du Poitou et des Charentes : la doc
trine de l'Action, française et la situation
actuelle* ,
^ NAISSANCE
Nous, apprenons avec plaisir la nais-,
sance, à Bagdad, de Jacqueline de Haute-
. clocque, fille de M. Raoul dè Hautecloç-
qne«ef de Mme. née d'Angladç.
Toutes nos félicitations.,
MARIAGE
Nous avons le plaisir- d'apprendre, le
mariage de notre ami Louis Brochère, li
gueur, de la section d*A. FI de la Haute-
ôriet avec Mlle Bernadette Humbert.
La. bénédiction nuptiale leur-a été don
née^ Iô 6 octobre, en l'église de Fontaine-
lés-LàixeuiL
f-
M. L'ABBE LEMIRE ET « DEDB»
M. l'abbé Lemire, comme maire d'Ha
zebrouck, vient d'interdire, dans cette
ville, l'opérette en viDgue... Le-courage avec
lequel il a bravé le ridicule attaché par
les niais à toute espèce de censure n'a rien
qui puisse étonner de la part de ce,prêtre.
Cependant les journaux font fête au_ petit
acte de bravoure. Le Matin a r envoyé un
reporter demander à M. l'abbé Lèinire .ses
raisons.'
— -Mon vieil Hazehroucli,- nous dit ; l'abbé
Iicmire avec calme, n'a pas besoin de votre
liédé. Je ne l'ai pas vu ni.In, mais mon ad-
Sai
UN PAS DE PLUS DANS LÀ VOIE
DU PROGRES
« Ne me croyez pas bégueule; la question.
n'Était que de savoir: ce «jui convient une
-petite ville flamande qui n'a pas de théâtre,
dont la culture .dramatique-se borne- au- ci-
nema et qui s'en contente. Vous autres Pari
siens, vous avez l'accoutumance; certaines
grivoiseries, vous sont familières .et, je. crois,;
-nullement pernicieuses ; elles seraient, pour
mon brave populo d'ici, tout un événement :
livrerai-je à cette-épreuve, pour le seul pro-
ii! d'un particulier propriétaire d'une salle»
les jeunes gens et les jeunes filles dont j'ai
màné les parents et dont je conhais chacun
par son nom ? Encore s'ils-y tenaient abso
lument ! Mais' vous n'avez, "pas idée à- quel
point Hazebrouck se moque d'; Joir failli con
naître Dédé ct 'd'en être resté la. •
■" Monsieur l'abbé; n'est-il pas vrai que»
vos jeunes gens et. vos jeunes tilles, vous les
privez., aussi-de danser et croyez-vous qu'ils
s'en-consolent aussi facilement que-de n'avoi*
-pas vu Dédé ? .... - ■ ; ■ ;
. .— Je n'ai pas interdit la danse,, proteste le
bon maire ' avec un sourire ■ des "yeux, mais
d'une voix grave : j'en conserve le goût-, bien
au contraire, en limitant aux jours de fêté
nue joie saine et charmante-;. ..je. .veux qu'oii
danse ici pour la ducasse, les enfants, 14
père», la mère, l'oncle et ' la tante, - la ma
trone et l'instituteur, ; Je ne suis pas le der^
nier à aller "voir le" bal de laruè Mouffe-
tard, la nuit du 14- juillet, avec le curé de la
paroisse, vous savez ? J'ai le goût des réjouis-;
Sauces collectives et surtout populaires, tuais
lè plaisir ne doit pas. être la règle quotit
ûienne ; . je suis un démocrate qui ne veut
pas qu'on ait besoin chez nous du fascisme ;
je ne suis pas de ces démagogues dont la li
béralité conduit le peuple à mendier du pain
et des billets de cirque : le plaisir-est fait
pour assaisonner la vie ; -quand il devient
toute la vie, ce n'est plus un : plaisir et ce
n'est pas une vie. Voyez donc où s'en allait le
Directoire, quand il faisait si bien la tête...
...Des dancings à HazCbrouclt ? Qu'y fe
raient-ils nio'n Dieu, si ce n'est de détériorer
la chère figure traditionnelle de notre petit;
. de notre solide et honnête pays flamand ? Par
lez-moi du brave estaminet paisible, salmt du
pauvre, récréation des honnêtes gens où l'on
trouve encore le pot-au-feu, oû allumer, dans
la cendre rouge, une bonne pipe courônnéé
d'un généreux toupet, la boisson modique et
'loyale," là... -— il cherche le mot et trouve :
■ — l'avenarace de la- patronne, soa hon^teté
aussi, toutes choses, enfin, qui plaisent aux
hommes et. ' rassurent les familles; parlez-,
moi du jeu de bouchon, du tir à l'arc, de nos,,
(belles et gentilles" sociétés qu'il faudrait créer,
monsieur, si leurs bannières n'avaient pas
trois cents- ans ; parlez-moi de tout ce qui
fait le cachet admirable et l'équilibre moral
de nos provinces ; laissez Hazebroucli et Ober-
nai tranquilles avec vos tangos et vos opé
rettes; .. .. -
Nous n'avons pas, aujourd'hui, à nous
occuper du député libéral d'Hazebrouck,
si ce n'est peut-être pour signaler sa I0Ù3-
ble infidélité à son libéralisme» Mais que
M. l'abbé*, maire d'Hazebrouck, est donc tin
brave homme de maire, dévoué h sa ci
té !, Voilà-bien le bon Flamand fidèle aux
anciennes mœurs domestiques et munici
pales.' _. '
Et son acte d'autorité fera exemple. Le
Petit .Eleu iai consacre son principal ar
ticle et l'intitule « L'abbé Lemire a rai
son 1 »: . ■
- Il est malaisé, dit-il, d'imaginer rien de
plus joliment sensé, "de plus solide et'de plus'
convaincant à la fois que les propos tenus
pat le maire d'Hazebrouck: à notre confrère
et rapportés par eelui-ci dans une forme dont
îls'éta-ient bien dignes.
Parfait 1
« REXJSONS L'ARRET *
'• Reliions l'arrêt », dit M. Vonoven,
dans le Figaro, à propos des gifles oppor
tunément décernées à Malvy.
Quelques lecteurs amis du Figaro « s'éton
nent, disent-ils,~du silence gardé par l'édiitorial
sur l'incident Malvy »; Rompons ce silence
pour l'expliquer. f
Nous n'avons, ici, jamais admis la vio-
lenee comme moyen politique.. Dans le Code
dn duel, la voie de fait donne le choix des
armes à celui qui a été frappé, quelque injure
qu'il ait auparavant, proférée et quels que
soient ses torts... D'instict, on court à l'aide
IVinstict, on court
li par plusieurs au
a "mérité quelque châtiment.
de l'homme assailli par plusieurs autres sans
se demander s'il •* ' »
Fidèles à leur ,îigne de conduite qui est i On ne supporte pas l'idée de la correction in-
. —i ■_ -fligee, meme au forçat.
de toujours faire mieux, malgré, les succès
obtenus, Panhard et Levassop viennent
«l'apporter à leur moteur slms-soupapes
q«i semblait, par les résultats acquis, dif
ficilement perfectible, une série a'amélio
rations , qui constituent de gros, de très
gpos progrès.
Aux. anciennes chemises de' fonte, dont
le-.poidi et l'insuffisance de hauteur de lu
mières^ limitaient la puissance du moteur,
ont ététsubstituées des chemises ën acier,
beaucoup plus légères et comportant des
ouvertures plus larges ; une garniture de
métal anti-friction d'une nature, particu
lière facilite le frottement. Cette amélio
ration' considérable «jst complétée jjar une
culasse en acier usiné qui permet, une ré
partition uniforme du métal et évite les
épaisseurs inutiles des culasses fondues,
notamment aux bossages des bougies ce
qui obvie à réchauffement de celles-ci.
Cette- culasse en acier est munie, autre in
aovation remarquable, de 3 segments min
ces qni, remplaçant le segment unique, as
surent une étanchéité absolue du cylin
ire. au moment de la pression maximum,
->ea- segments se trouvant alors tous trois
wdessous des lumières.
Sans être grand clerc, on comprend qu'il
résnîte de cét ensemble de perfectionne
ments/ un meilleur "remplissage des cylin
dres, une parfaite évaci^ation des gaz brû
les, une diminution des effets de l'iner
tie - ; d'où augmentation de la vitesse an
gulaire du moteur et accroissement sen
sible de sa puissance, partant de son ren
dement.
■ Un châssis 12 GV dont les organes fonc
tionnent comportant des coupes placées
aux endroits intéressants, des pièces déta
chées permettent aux visiteurs du Stand
Panhard de toucher du doigt ces nouveaux
dispositiffs. *
A moteur plus puissant, tournant plu*
vite, il faut graissage parfait.
Le graissage à circuit fermé PL, propor-,
lionnel a là puissance, que nous n'avons
plus a décrire, a été amélioré par un sys
tème de rigoles et de canaux disposés de
façon à amener l'huile, aux paliçrs ^t de
la, par l'intérieur du vilebrequin, «us tê
tes de bielles. *
Ce dispositif assure les graissages indé
pendants et sous pression, de chaçee tête
de bielle, sans l'intervention d'une jsompe.
Enfin, à voiture roulant plus vite il faut
des freins sans reproches °anhard-Levas-
sor estiment que les freins aux 4 roues sont
utiles aux grandes vitesses mais que, pour
éviter les déréglages possibles, tout le mé
canisme intermédiaire doit être simplifia'
dans sa construction et amplifié dan.s ses
■ effets ; c'est ce qui a été obtenu par des
■dispositifs, ingénieux qui remplissent
■exactement le but.propose. On . a -même
supprimé les nervures "extérieures des
■tambours pour maintenir l'équilibrage tout
■en facilitant leur nettoyage. _ -
D'autres ; perfectionnements ont encore
ap /Ro rtes aux châssis PL. sans soupa
pes 1323, les décrire tous nous entraine-
Tait trop loin. Nous avons simplement te
nu en publiant cette énumération sommai
re, ,à faire comprendre quel instrument
unique est devenu le moteur sans-soupapes
entre les mains (Je ceux qrui ont été les
premiers a construire en France
Sans bruit, mais sans défaillance, par'
un -travail acharné par leiir perpétuel sou
ci du mieux, .Panhard et Levas sor conti-
naeixt. a-just||ier la ponfiance de leurs
plxents.-, " - - • ™ -
; Il faudrait voir si cet: instinct n'est
§as un conseiller ridicule. M. Vonoven a
eau dire, il ne s'est point porté au se
cours du traître Duval assailli quelque
part, à Vincennes: Et puis les agresseurs
n'étaient pas plusieurs contre un mais
chacun contre une .bonne vingtaine de-
gendarmes et agents, garde prétorienne du
traître, . .
Cependant M. Vonoven partage l'indigna
tion des manifestants r — '
: Il suffit poiir la comprendre, Me-rrfire l'ar-
"rèt du .7 août 1918. L'ancien ministre- de l'In
térieur y est convaincu d'avoir « connu d'exis
tence d'une propagande criminelle destinée à
ruiner la-défense du pays, en portant atteinte
à sa' force morale et- k Son esprit «de disci
pline, cause principale des mutineries mili
taires de mai-juin 1917 ».. *
5 Les juges sénatoriaux affirmaient : encore
". qne loin d'opposer à cette propagande l'ac
tion la plus énergique, l'accnsé a accordé des
subventions à un journal dont les principaux,
rédacteurs ont été condamnés pour intelligen
ces avec l'ennemi; qu'il a facilité par des fa
veurs et des complaisances abusives les agisse
ments criminels d'Almereyàa, de Durai et de
Sébastien Faure ; qu'il a ainsi, dans Texerci-
ce de se$ fonctions de inlnistre de l'Intérieur,
méconnu» violé et trahi les devoirs do sa
charge... »
L e condamné n'eût-il été qu'un incapable,
un^tel arrêt, et qui n'est pas rapporté, inter
dit Ja parole devant les monuments aux morts
de la guerre.. :
_ Mais qui -peut ' empêcher cette ' interdic
tion d'être une simple faribole, en nos
temps où la force organisée est du «ôté
de l'impudente, trahison et même & .son
service ? Qui, si ce n'est les gendarmes
supplémentaires ? E- L.
œ'J.S'SALON DE
STANDS ET BANQUETS
-r.«-
chiffres rigoureusement exacts sont, contrôs
lablto pouç| t§us siési vlsiie'arsj: par s»nim|
examen des modèles exposés.
Copjme ôn ilé V «it ilei carburateur Zénith
^ ... demeure toujours en tête des industries de la
r'T . ' carburation, qu'il s'agisse de progrès d'ordr«
Au Palais d'Orsay, M. Poincare a présidé technique ou d'organisation commerpiale, >:
9 ' -
avant-hier le superbe banquet donné «n
l'honneur du 25«. anniversaire de la Cham
bre syndicale de l'Automobile et des Indus
tries qui s'y rattachent. '
Le président du Conseil avait à sa droite
M. le marquis de Dion, présidentiondatsur
de la Chambre syndicale et JU.. Je baron \
Pctiet, président de la commission du
Salon. | ■
., Avaient pris place à la fiable d'honneur
tous les ministres présents a Paris, le maré
chal Foch, les- généraux Gouraud, Dubail, 1
Buat, etc., les préfets de la Seine et de
Police, les présidents.du conseil municipal,
du conseil général," Se" nombre usé S pctsôri- '
nalités des lettres et des arts ainsi que de
la presse et tous les grands constructeurs.
L'heure - des -discours -venue,- M. le., mar-,,
quis de Dion refit l'histoire de cette Cham
bre dont on fête les vingt-cinq années, puis
ce" fut le tour du comte dè Vogué,' président
de l'A. Q. F. ; du baron Petiet, de notre
confrère Henri Desgrange, au nom- de la;
presse et enfin ,d'e M. Poincaré, qui se ré-
.vélauun technicien y^aime^t averti de? cho
ses de l'automobile.
Son discours spiritnel et amusant fut
haché par les applaudissements.
Hier soir, - un nouveau banquet a étf
offert par la maison Hartford dans : les s ai-
Ion du Claridge's, banquet -empreint de là
plus grande cordialité et qui fait le plus
grana honneur à la maison Hartford, .
'A ' • / ' ' ' "
Et, reprenant notre promenade autour
dui Grand Palais, de plus en! plus jenvahi
par la foule, nous voyons chez, Th. Schnei~
der trois modèles 10 ÈV,15 CV et 20 CV. , (
La 10 CV. aux proportions bien étudiées^
qui assurent un confort parfait ; les deux
autres,. établies. en. vue ..d'un long usage,
•confirment pleineme'nt par leur, .fini et.leut
ligné la réputation du grand cons'trûcteun
L'AMORTISSEUR HYDRAULIQUE
" H0UDAILLE îi> .
Barré (de Niort, est un des doyens, un
des pionniers de l'industrie automobilej
Que aire de lui si ce n'est que son ancien^
neté n'existe que sur le papier ; il est lé
plus, moderne de nos constructeurs et il
a su adapter sa fabrication aux besoins in
dustriels, .commerciaux- et agricoles nou
veaux. .
Nous en reparlerons, du restp 4j
v
De nombreux lecteurs nous demandent
dés prix ; voici, à titre d'indication, ie
tarif .de Peugeot : ».
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,.— . éclairage et démarrage "
érectriques ' 10..200
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Voiture type grand luxe, torpédo • ^
4 places ... 21^.300
Voiture type grand luxe, conduite in-,
térieure 4 places 27<.000
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0 deux "ans,, c'ést-à-ctire moins cher que de^
appareils extra simples, et, d'autre, part, "ave
tion intensive des usines ROUDAILLE de LE-
VALLOIS. . , . , . ; '
nial" ; .
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FORD M0NTIER
%■-
Ne participant pas au Salon, expose tous,
ses modèles et spécialités en .son (magasin,
67 rue Pierre-Charron,, à 200 mètres dui
Grand Palais. , . . _ ?
DE DION-BOUTON J |
Lés. nouvelles de Dion-Bouton 10, Î2 et
•20 HP, exposées au. Grand Palais, ne s'im-'
posent pas seulement au point- de vue mé-'
canique. L'élégance, le confort,, le fini des}
carrosseries sont aussi une cause très ap->,
préciable de leur succès. Aux ateliers de
Dion-Bouton chaque carrosserie est une
œuvre .artistique conçue et réalisée avec le;
soin le ptys minutieux. On y a banni lés*
méthodes nouvelles si regrettablement hâ
tives. On y travaille à la série, certes, mais :
cette série. n'est pas américain^: elle est :
« vieille France » et le résultat s'en res
sent. Matériaux, de premier choix, main-i
d'œuvre de premier ordre : les carrosse- :
ries- de Diçn-Bouton comme les ateliers
d'où elles sortent, sont des modèles du
'genre* . ....
AU CARBURATEUR ZENITH
:—_ , . t ...
.t ' ' "
Le distingué-directeur général de là Société
du Carburateur Zéuitli, M. Boulade, entouré de
son fidèle état-majbr, aimablement ' reçoit
constructeurs et visiteurs, donnant & chacun
toutes explications, tous détails sur le mer
veilleux appareil, qui, depuis 16 ans, répand
dans le monde entier le bon renom de l'in
dustrie française. N'oublions pas < que Zénith
a maintenant des usines de production' et des
.succursales: à Parisi Lyon, Bruxelles, Genève,
I
sont nombreuses ; un fait caractéristique : les
automobilistes débutants acceptent n'importe
quel carburateur, puis, expérimentés, font po
ser un carburateur Zénith à grande diffusion
sur leurs voitures.
Par ailleurs, les succès de Zénith en . course
et concours dans le -monde entier et dans tons
les domaines, au cours de 1923, sont innom
brables., • : ; ••
Voulez-vous, quelques chiffres, de statisti-
;ue : au salon, 121 constructeurs exposent
70 châssis, voitures on moteurs, 9 construc
teurs équipent 40 châssis de leurs propres
carburateurs, sur les ' 430 châssis qui deman
dent des appareils & l'industrie de la carbura
tion, Zénith seul en équipe 238, soit plus de
" i Ce qui frâpp'e le connaisseur qtiï détaille
les châssis exposés au Salon; c'est la prépon
dérance indiscntable de l'amortisseur dont
■ HQUDAIILB est notie..vie,UX champion.
Un de nos plus grands constructeurs fran- .
; çais, dont Ja renommée est fhondiale, ne pré-
sente-t-il pas ses- voitures avec un amortis
seur hydraulique..; de sa fabrication. •
• ALBA, -ALDA, ARIES, CHENARD et WALC-
ICER, DELAHAYE., DELAUNAY-RELLEVILLE,
FA RM AN, GEORGES IRAT, MINERVA, RO-
CHET-SCHNEIDER, ' SEOQUEVILlLE HCWAU
• DNIG «h RICHARD), G. de BAZELAIRE, D. F.
P., COLOMBE, LA LICORNE, PHILOS, ROL
LAND PILAIN, SCAP, RALF STETYSZ, équi-
-pent les-uns-toutes leurs'voitures, les antres-
certains modèles avec l'amortisseur HOUI-
-DA1LLE. -- ■ :
Toôs les: avions. MORANE-SAUI^NIEH cm-
ijploient le HOIJDAILLE sur leurs ponts d'at-
. teirissage_; devant,,les brillants jésuitata- ob-
tenus les aviations alliées sont, paraît-il, en
■ pourparlers-avec-HOUDAILLE.
Est-il déjà" utile de rappeler que é'est à
notre fameux 75 que nous devons ciripartie
. -la victoiré ; '.qui n» 'sait en.effet ijuè sà-terri-
iiantë rapidité de tir - est entièrement due à -
son célèbre frein' de recul' adapté d'ailleurs
■ sur tous îles-canons français et rii.nos alliés> ^
Or, .«'est de ce-freina désormais historique.
que : 'dceoule 1'amor.tissêur HOUDAILLE,' connu,
de tous et que les-puissantes usines HOU-
D AILLE DE., ÔUFFALO répandent k, profusio4
dans le nouveau monde,
Le "Seul inconvénient dè l'amortisseur à li4
qnide est de nçeessitei* une fabrication très
coûteuse...- d'ailleurs; les automobilistes - s?eq
IN.FQRMATIONS:
Y . MONUMENT AUX MORTS '
DES ARMEES*DE CHAMPAGNE . :
■ ,A la suite de l'appel du 'général Gouraud, An
cien commandant de
mées de Champagne sera posée solennelle
ment le dimanche 4 novembre prochïin, à 14
heures: Le général assistera à -la cérémonii*
• -Ce matin, à11 heures, sur l'emplacement ré
servé. au monument . près de la ferme de(
Navarin (route de Souain-Somme-Py) — un
service l'eiigieux sera célébrée. . ,
L'OFFICE ECONOMIQUE DU RHIN
C'est « Office économique du' Rhin » et ne»i
pas « Office économique de la Ruhr » qn'ii'
faut lire, dans.la liste des, souscriptions déjà
reçues en faveur des victimes des scbnppo de
Dusseldorf, La. fondation de ce Groupement
daU du. m'ois d'août 1922. .
. PETITES NOUVELLES i
l'ambassade d'lta.lie. — On annonce la.
mort de ia baronne Romano-Avezzana, feinme
de l'ambassadeur d'Italie à Paris.
-A l'Association générale des rinitilis de la
guerre. — La- section des 1™ et'"2*-arrondisse
ments, donnera,. .demain samedi, à 20 h. 30;
une grande soirée dè bienfaisance, dana .la
salle jdes fêtes du Journal, 100, rue de Riche
lieu.'. ■ '
.Décès. — - Nous apprenons avec- regret lai
mort d'un grand homme de bien de Pessae
(Gironde), M. Georges.Bourret, un de-nos fi
dèles abonnés et amis. Toutes nos Condoléan
ces à sa famille.
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^Programme du vendredi octobre
Radiolcu — 12 h. 30 : cours des cotons du'
Havre,- J^iverpool, et Alexandrie ; communiqué
«!es Halles ; eonrs des cafés ; informations :
Il h. 45 : radio-concert ; 13 b. 45 : cours de
la Bourse .de Paris
16 h. 30 : cours de la Bourse du. Commerce
de Pans; cours des métaux ; cours de la
Bourse ; informations générales ; 16 h. 45
radio-dancing ; 17 h. 45 ; cours des cotons ; •
résultat- des courses ; informations parlemen
taires et judiciaires.
20 h. 3tt : informations î chronique du
taeâtre parRadio-Scenic » : 21 h. ; radio-
concert. • , ! . '
.TOITPiFri
LES COURSES
" Aujourd'hui, à 2 heures, courses à MaisOns-
Laffite. —- Nos préférences : *
PRIX DE MAURECOURT (à vendre, 4:000
francs, 2.000 mètres). — Berncutl, Campistron.
" PRIX JUB D'ORANGE (8.000 francs^ 1.000
mètres). ^- Gravite,-Omosity,
, £? IX .P E atECY (à vendre, 5.ÛÔ0 francs,
-1.700 metresî, — Mène, Cresne. - •
PRIX DE SEÏNE-ET-OISE (20.000 francs,
•1.400 mètres).,— Heldifann, Bramble.
PRIX DE LASTOURS -(6.000 francs# 1.600
.métrés). — Boisdes lies; -Loubajac.
PRIX DE LA RAPEE. (6.000 francs, 2.200
.métrés). — Le Pavillon, Arrowbeadi
Demain, courses à Auteuil. - ! . . ' ;
— ♦ ■ I , . , ,. si " , .
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RESULTATS DU. 11 OCTOBRE
Prix dé la Croix Saint-Ouen. — 1. Page
Blanche (G. Kréèl) ;.2. Gold Virgin ; 3. Sainte
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tendu soferiè, composé de :
1 canapé bergère à'coussin,
2 fauteuils bergère à coussin, rfg gan 4jS|
l.adll Y '
SALON médaillon, véritable AUBUSSQN,
1 canapé, 4 fauteuils. ÀUeurs, l*s 5 pièces
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!iiiiiiiiiiiini[iiiniii[iiiiiiiiiii[iiiiiHiiiiiiiiii!iiiiiiii[iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiiiniiiiiiiii[iniiiiiiiiiii!iiiiiiniiiiiniiiiiiiiiiinimimii[iitnin
GHAiViBRE Â GOUÔHERI SALLE A MANGER
style Louis XVI, pouf S personnes; 1 armoire à glnce vernis citron et bronzes,
] jit vernis citron et bronzes, 1 table de. iwit vemis citroni et bronzes^ tsdmmler, 1 matelas,
1 traversin* 2 oreillers, 1 couverture, ~
t COGvre-pieds, 2 draps, 2 taies d"prcU-
ler, 1 table de milieu vernis citron»
1-table toilette vernis citron, 2 chaise*
cannées vernis citron, 1 garniture de
' toilette5 pièces, 2 descentes délit, 1 rai*
i roir, i sean, 1 liroc.' A A A
LES 28PIECES f P» '
CK^BREACOUCHES
çenre anglais, pour 2 person
nes! 1 armoire 2 portes, à glae^
vernis pitchpin, 1 lit fer cintré, couleur
noir et or, le surplus, même composi
tion queri-dessus (meubles^vernis pitchpin uns -bronzes}.. ^
JLes 2S pièces
vemis citron, composée de : 1 buffet argentier, 1 table 2 allonges, 6 chaises
cannées,. 1 service complet, de
table et. de verres, compre
nant : 13 assiettes filâtes, r6 as-
. siéttes creuses, ! soupière,
1 : saladier, 1 plat plat, 1 plat
ovale, 1 plat creux, 2 raviers,
1 saucière, 6 bols, 2 carafes;
1 6 gobelets à eau, 6 gobetets à
: bordeaux, 6 gobelets à madère,
6gobelets_ à liquettr, l nappe et
6 serviettes. —La DESSERTE
en plus. 1 Ooȣ
•^1
-• «• uV ;i A •
«
995^
Les 79 pièces
llllllil!!liIlll!llllll!llillllllllllU!lllllllliUlIIIII!!llilll]llllininiliiniillllillllHlllHllllll!lllll!llllllliRililllllllllllIllllllIlillîllllllllllliiiH!UUIIIIIiillllilIilllIl!Ullllllllllil!lliUUIlllllllUlilillil[ililillllI!!ll[ilii
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OUVERT ai^AWOHËS-' : iT^ FÊTES
Prix de Nampel. — 1.
ton) ; ■ 2. Lord JPialmers ;
tants. '
Phlox (M. Van Der-
3. -Zappcîorr. 8 par-
COURRIER DES THEATRES!
AUJOURD'HUI .* ' '
; CHAMPS-EXYSEES. — L'Europe et l'Amé
rique ont été unanimes à: consacrer au Théâ
tre Artistique de Moscau la splendide compa-
firiie de C..-Stanislavski. C'est au théâtre des*
Champs-Elysées, l'an dernier, que'fut produit •
pour la première fois en Europe, le Théâtre;
Artistique de. Moscou, et c'est sur cette- ma-'
gnifique scène qu'il paraîtra aujourd'hui, ;
' avant de partir pour l'Amérique. . '
Le Théâtre Artistique reprendra ses grands'
succès de l'an dernier : Let. Tzar Féodor x Le .
Jardin des Cerises. Il jouera en outre Les
Frères Karcanaz'ow,- La Lacandiera t Ioanoff et :
Un Ennemi 3u.Peuple., . •• •
Aujourd'hui, première représentation, Le
Tzar Féodûr ; samedi, Les Frères Karantazow ; î
dimanche Le Jardin des Cerises. .... I
• >. -• ■;o■ o o.... v.; ...
. COMEDIE-FRANÇAISE. Vautrin, la pièce
écrite, par Edmond Guiraud, avec les person
nages ces roinans de Balzac, réparaît au jour-S
d'ihui aur l'affiche de la jComtadie-Française. i
M. de-Féraudy qui joite le rôle de Vautrin et :
tous les interprètes de la «fréation; 'Des-:
sonnes; Châties Granval,- Roger. _Mon.teaux, I
Paul Numa,. Lafon, Fresnay, Mmes , DussÂe,
Ventura^ Jane 'OPaber,
les. _
.. . o 0 o ■■ — ■■■■■.... .
RENAISSANCE. — A p 8 b, 30, répétition gc- ■
-nérale de la' pièee nouvelle en 4s actes de M. •
Charles Méré ; Le Prinçe Jean, dont voici ia
distribution. • ■ •;
MM, André, Brûlé (Lucien €iraud>, Candé
(Marquis " Wavre), Gaston Séverin (Baron :
d Arnheim>, Roger -Vincent (Léopold ; d*Axen), ;
Henry Harment (Liétard), Jean Sky (François)* '
Jepftroy (de Leyde), Clarens (Harlingen), Bayle
(liaron Denis) ; Mmes Madetleine LelV (Gaife
Darlen), Marcelle. Servière. (Mme .de Givrelle),
Marthe- Fabry (Lise de Traças), Hartapêura
ipe
„ --- Ihristv (Hélène),
Capryne (Baronne Denis), Yvonne Carat (Mme
(Fernande Gilleuin), Louise
Capryne (Baronne
de Fouqucreux).
' , i — Soucieux de révéler
au publie parisien des œuvres inédites de jeu
nes auteurs, M. Georges Bravard a décidé d'ou-
vnr la saison par -la création de Madame Thê-
Sîfî ®Péra-honffe en tfois actes, livret de M. de
theman, musique de M. Detraux.
moi
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Il-ftg» i'kilnelMi. JEi-fonn-, hliM,
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Oi»#rn. R h. Boris Godonnov. • >
Opéra-Comique, 8 b. Carmen.
Comédis-Française, S' h. 15 Vautrin.
Odéont 8 h. 30 Un conte--
Cora (M-Mogador), 8 h. 88 Le Masque de Fer.
Champs-Elysées, 8 h. 30 Le Tzar Eéodorj .
Vaudeville. 8 h. 30. L'Enrant.
Variétés, 8 h 1 .-30: Ciboulette.
Pte-Saint-Martin, '8 h.. 30: Mme Sans-Géns, -
Gymnase, 8 h. 45, Les Visnes du Seigneur.
Chfitelet, S b. 30, Capoulade de Marseille.
Sarah-Bornhardt, 15 JL'Als-ion.
Conrvédio des Champs-Elysées, S h. 4 5. La DUËgne.
Renaissance, 8 b: 30 Le Prince Jean. •
Antoinej 8 li. 40 Le Fauteuil 47..
Nouvel-Ambigu, 8 b. 30 Le Maître de son cœur.
Th. de Pari®, 8 h: ' 30-,-L'Esclave errante..
Athénée. S 1k 30. t.a Sonnette «l'alarme.
Edouard-VI>. 8 h. 30. L'Amour masqué.
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Th. des Arts, 8 h. 30. Pyymalion
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Comédie-Marlgny, 8 h. iS Beauté. .
Boufte«-l»ari»i«n» f S h.'!W, "Lit-llauf. ■
Trianon-Lyrique, S h. 30 La Maseotte.
Crand-Gnienol,S h'30 Un drame a, la Salpêtrl«re.
Cir«tu«dO:Parj*8ih. 30. Matinée. làl. dlm. S U. 30.
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CHRONIQUE DU MONDE
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