Titre : Bulletin de l'Union des mutilés, réformés et anciens combattants du département de l'Oise
Auteur : Union des mutilés réformés et anciens combattants du département de l'Oise. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Beauvais)
Date d'édition : 1925-05-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327215884
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 530 Nombre total de vues : 530
Description : 01 mai 1925 01 mai 1925
Description : 1925/05/01 (A6,N65). 1925/05/01 (A6,N65).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse Collection numérique : Bibliographie de la presse
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k7588063t
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-20560
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/12/2013
BULLETIN DE L'UNION DES MUTILÉS, REFORMES ET ANCIENS COMBATTANTS 3
1 1
sables au fonctionnement régulier de cette
Caisse.
A cet effet, on nomme une Commission
composée de MM. Mercier, Frédéi ic Petit,
Couion, Toussaint, Brussaux, de Bretizel,
Docteur Ségala, Gossin, Cazottes.
Rapport financier : Situation de la Caisse
de V « Union ». — M. Couion, trésorier géné-
ral, donne connaissance de la situation
financière de r enion au 31 mars 1925. Il fait
connaître que plusieurs Sections n'ont pas
encore réglé leurs comptes de 1924. C'est là
un retard regrettable qui porte un grand
préjudice à la bonne marche de l'Union.
Aussi, croit-il de son devoir de renouveler
à MM. les Trésoriers de regler trimestriel-
lement leurs comptes avec la Caisse cen-
trale. (Approuvé). *
Renouvellement du Comité Directeur. —
Avant de procéder au renouvellement du
Comité Directeur, M. Mercier demande aux
membres sortants s'ils désirent se repré-
senter
MM. Maillard Eugène etmombceuf Henri,
de Mduy, déclarent qu'ils sont démision-
llaires, mais qu'ils présentent à leur place
MM. Lévy Gabriel et Valiergue Léon,
membres da Conseil d'administration, dé-
signés par la Section de Mouy à l'Assem-
blée générale dernière.
D'autre part, M. Grospiron donne lec-
ture d'une lettre de M. Ferret dans la-
» quelle plusieurs autres candidatures sont
proposées et où il envisage la possibilité
d'augmenter le nombre des membres du
Comité Directeur.
Après discussion et échange de vues, il
est décidé de passer au scrutin en mainte-
nant le nombre des membres du C. D. à
vingt et un conformément aux statuts.
Sont nommés membres du Comité Direc-
teur :
MM. René Ferret, Aristide Mercier, André
Poulet, Henri de Kersaint, Louis Cazottes,
Frédéric Petit, Paul Buffarti, Arthur Cou-
ion, Maurice Toussaint, Adrien Becque-
rel, Octave Bérenger, Maurice Brussaux,
J. de'" Bretizel, Marcel Delaherche, René
Devaux, Louis Gossin, Hippolyte Grospi-
ron, Gabriel Lévy, Edmond Maréchal, Marc
Ségala, Léon Valiergue.
Après cette élection, le Conseil décide à
l'unanimité de présenter à l'Assemblée gé-
nérale de V Union un vœu tendant à per-
mettre de porter le nombre des membres
du Comité Directeur à trente au lieu de
vingt et un.
Il est décidé en outre que la nomination
des membres du Bureau de V Union sera
faite à la prochaine réunion du Comité
Directeur.
Mutuelle-Retraite. — M. Gossin donne
connaissance des démarches qu'il a faites
et des difficultés qu'il rencontre en vue de
la création éventuelle de cette Mutuelle.
Si l'Union, dit-il, se trouve dans l'impos-
sibilité de réunir 2.000 adhérents, minimum
lxé par la loi pour former la Société,
il faudra nous réunir à d'autres groupe-
ments dont nous dépendrions.
Au cours d'une discussion à laquelle
prennent part plusieurs camarades, diffé-
rentes solutions sont envisagées et d'un
commun accord le Conseil demande à
M. Gossin de poursuivre l'étude du projet
de fa von à rester si possible dans le cadre
de l'Union.
Prêts. — Sur la demande de M. le Doc-
teur Verlac, le Conseil émet le vœu que les
prêts ou avances accordés aux mutités par
le Comité départemental de l'Ofrice National
soient signalés Y Union par les soins du
Comité départemental, ceci pour rensei-
gner les présidents de Sections et Groupes
qui ont procédé à l'enquête.
Réunion du Conseil d'administration -
M. Poulin demande que les réunions du
Conseil d'administration aient lieu le plus
souvent possible à Creil ou Compiègne
pour permettre aux membres de ces régions
d'y assister. Le Conseil donne un avis fa-
vorable et décide que la réunion d'octobre
se fera à Creil.
Secours. — Plusieurs secours sont accor-
dés ; pour deux demandes, des renseigne-
ments complémentaires sont nécessaires.
La séance est levée à i3 heures.
ÉCHOS
LA COURSE AUX FLAMBEAUX
C'est une fort belle idée et poétique que
vient d'avoir Gaston Vidal.
Le 14 juillet prochain, au lever du jour,
un aveugle de guerre, allumera, à Verdun,
deux flambeaux qu'il remettra à des cou-
reurs, l'un représentant Paris, l'autre la
province française. Et ils seront transmis,
de kilomètre en kilomètre, à de nouveaux
porteurs jusqu'à l'Arc de Triomphe.
Nos plus grands champions ont accepté
d'établir ce lien vivant entre la ligne de
feu et la tombe de leur frère, le Soldat
inconnu. Et le soir, à l'heure où les gar-
diens de la Flamme ont l'habitude de rani-
mer le feu sous l'Arc de Triomphe, c'est
un flambeau venu de Verdun qui servira
au pieux office.
UNE FARCE DE MELCHISSÉDEC
Le chanteur Melchissédec qui vient de
mourir, avait une fille qui était mariée à un
avocat de Gand. Il se trouvait chez elle, en
vacances, quand éclata la guerre, et n'ayant
pas le temps de rentrer à Paris avant l'arri-
vée des Allemands, il fut contraint de rester
en Belgique jusqu'à la fin des hostilités.
Cocardier et frondeur, « Melchi », comme
on l'appelait familièrement au théâtre, fit
alors tout ce qu'il put pour se moquer des
envahisseurs sans attirer aux siens de
trop graves ennuis. Ce qu'il trouva, de
mieux fut de chanter, chaque matin, d'une
voix tonitruante, Les deux grenadiers, de
Schumann. Or, on sait que dans cette
célèbre mélodie, le compositeur a intercalé
un passage de la Marseillaise. La première
fois que les soldats allemands entendirent
l'hymne français, ils se précipitèrent chez
Melchi pour procéder à son arrestation;
mais lç chanteur leur montra le titre du
morceau placé devant lui et dit d'un air in-
nocent: « Vous voulez m'interdire de chanter
les œuvres d'un de vos meilleurs musi-
ciens ? »
Les soldats, interloqués, s'en allèrent
sans insister. Mais ils revinrent le lende-
main se poster sous les fenêtres de l'artiste
pour avoir le plaisir de l'entendre.
LE COIN DU JARDINIER
LES CAROTTES ,.
Les nombreuses variétés de carottes po-
tagères et fourragères, rouges, blanches,
jaunes, courtes ou longues descendent de
la carotte sauvage ou carotte bâtarde qui
abonde dans les champs.
Les carottes dégénèrent facilement, sur-
tout en terre pauvre ; aussi doit-on les cul-
tiver dans les sols légers, sablo-argileux,
les terres franches, profondes et richement
fumées.
De plus, il est indispensable, si l'on veut
éviter les racines fourchues de ne cultiver
les carottes que dans une terre très vieille
fumée et bien travaillée en tous sens, de
façon à ce qu'elle soit uniformément riche
dans toutes ses parties. Ainsi, le pivot res-
tera la partie principale parce que les radi-
celles, à toutes profondeurs trouveront une
égale nourriture.
On peut, si on le juge nécessaire, complé-
ter la fumure des carrés par l'apport par
mètre carré de 15 grammes de nitrate de
soude, 20 de superphosphate et 6 de sulfate
de potasse.
De même que toutes les racines, celle de
la carotte est plus tendre lorsqu'elle est
consommée, alors qu'elle n'a pas encore
atteint son complet développement.
Anssi, doit-on, si l'on veut avoir des
légumes fondants et savoureux faire des
semis successifs.
Voici, pour la pleine terre, quelques in-
dications pour ces semis.
Aussitôt que le sol des cotières est res-
suyé, on peut y semer à la volée, à raison
de un gramme par mètre carré, la carotte
grelot et surtout la .C. rouge courte de
Hollande.
q Puis, de quinzaine en quinzaine, jusque
vers le 10 août, on sème la C. "Ollg demi-
longue sans-cœur Nantaise, vieille et ex-
cellente variété au cœur très rouge, à la
racine à peu près complètement cylin-
drique.
En mai, on sème les earottes pour la
provision d'hiver.
La Nantaise est très souvent employée ;
mais pour la fin de la consommation, il
serait bon de semer aussi la C. rouge longue
de Saint-Valéry à la racine bien rouge,
allongée, d'une saveur douee et de bonne
garde.
A part pour le premier semis, il est pré-
férable de procéder par rayons distants de
0 m. 10 à 0 m. 30 suivant les variétés.
Pour éviter dçs irrégularités dans la
levée, il est recommandé de mélanger la
graine avec du sable humide trois ou
quatre jours avant le semis et de la laisser
ainsi dans un local chauffé, puis de la
semer dans les sillons entre deux couches
de terreau.
Une fois le semis confié à. la terre, on le
marche pour bien faire adhérer les graines
et assurer la levée la plus rapide.
Les racines sont plus belles et de forme
plus régulière en terrain bien préparé et
dont on maintient l'humidité par des arro-
sages fréquents l'été (s'il y à lieu).
Les planches doivent être entretenues
en bon état de propreté ; chaque éclaircie
ou repiquage (car on peut repiquer, mais
1 1
sables au fonctionnement régulier de cette
Caisse.
A cet effet, on nomme une Commission
composée de MM. Mercier, Frédéi ic Petit,
Couion, Toussaint, Brussaux, de Bretizel,
Docteur Ségala, Gossin, Cazottes.
Rapport financier : Situation de la Caisse
de V « Union ». — M. Couion, trésorier géné-
ral, donne connaissance de la situation
financière de r enion au 31 mars 1925. Il fait
connaître que plusieurs Sections n'ont pas
encore réglé leurs comptes de 1924. C'est là
un retard regrettable qui porte un grand
préjudice à la bonne marche de l'Union.
Aussi, croit-il de son devoir de renouveler
à MM. les Trésoriers de regler trimestriel-
lement leurs comptes avec la Caisse cen-
trale. (Approuvé). *
Renouvellement du Comité Directeur. —
Avant de procéder au renouvellement du
Comité Directeur, M. Mercier demande aux
membres sortants s'ils désirent se repré-
senter
MM. Maillard Eugène etmombceuf Henri,
de Mduy, déclarent qu'ils sont démision-
llaires, mais qu'ils présentent à leur place
MM. Lévy Gabriel et Valiergue Léon,
membres da Conseil d'administration, dé-
signés par la Section de Mouy à l'Assem-
blée générale dernière.
D'autre part, M. Grospiron donne lec-
ture d'une lettre de M. Ferret dans la-
» quelle plusieurs autres candidatures sont
proposées et où il envisage la possibilité
d'augmenter le nombre des membres du
Comité Directeur.
Après discussion et échange de vues, il
est décidé de passer au scrutin en mainte-
nant le nombre des membres du C. D. à
vingt et un conformément aux statuts.
Sont nommés membres du Comité Direc-
teur :
MM. René Ferret, Aristide Mercier, André
Poulet, Henri de Kersaint, Louis Cazottes,
Frédéric Petit, Paul Buffarti, Arthur Cou-
ion, Maurice Toussaint, Adrien Becque-
rel, Octave Bérenger, Maurice Brussaux,
J. de'" Bretizel, Marcel Delaherche, René
Devaux, Louis Gossin, Hippolyte Grospi-
ron, Gabriel Lévy, Edmond Maréchal, Marc
Ségala, Léon Valiergue.
Après cette élection, le Conseil décide à
l'unanimité de présenter à l'Assemblée gé-
nérale de V Union un vœu tendant à per-
mettre de porter le nombre des membres
du Comité Directeur à trente au lieu de
vingt et un.
Il est décidé en outre que la nomination
des membres du Bureau de V Union sera
faite à la prochaine réunion du Comité
Directeur.
Mutuelle-Retraite. — M. Gossin donne
connaissance des démarches qu'il a faites
et des difficultés qu'il rencontre en vue de
la création éventuelle de cette Mutuelle.
Si l'Union, dit-il, se trouve dans l'impos-
sibilité de réunir 2.000 adhérents, minimum
lxé par la loi pour former la Société,
il faudra nous réunir à d'autres groupe-
ments dont nous dépendrions.
Au cours d'une discussion à laquelle
prennent part plusieurs camarades, diffé-
rentes solutions sont envisagées et d'un
commun accord le Conseil demande à
M. Gossin de poursuivre l'étude du projet
de fa von à rester si possible dans le cadre
de l'Union.
Prêts. — Sur la demande de M. le Doc-
teur Verlac, le Conseil émet le vœu que les
prêts ou avances accordés aux mutités par
le Comité départemental de l'Ofrice National
soient signalés Y Union par les soins du
Comité départemental, ceci pour rensei-
gner les présidents de Sections et Groupes
qui ont procédé à l'enquête.
Réunion du Conseil d'administration -
M. Poulin demande que les réunions du
Conseil d'administration aient lieu le plus
souvent possible à Creil ou Compiègne
pour permettre aux membres de ces régions
d'y assister. Le Conseil donne un avis fa-
vorable et décide que la réunion d'octobre
se fera à Creil.
Secours. — Plusieurs secours sont accor-
dés ; pour deux demandes, des renseigne-
ments complémentaires sont nécessaires.
La séance est levée à i3 heures.
ÉCHOS
LA COURSE AUX FLAMBEAUX
C'est une fort belle idée et poétique que
vient d'avoir Gaston Vidal.
Le 14 juillet prochain, au lever du jour,
un aveugle de guerre, allumera, à Verdun,
deux flambeaux qu'il remettra à des cou-
reurs, l'un représentant Paris, l'autre la
province française. Et ils seront transmis,
de kilomètre en kilomètre, à de nouveaux
porteurs jusqu'à l'Arc de Triomphe.
Nos plus grands champions ont accepté
d'établir ce lien vivant entre la ligne de
feu et la tombe de leur frère, le Soldat
inconnu. Et le soir, à l'heure où les gar-
diens de la Flamme ont l'habitude de rani-
mer le feu sous l'Arc de Triomphe, c'est
un flambeau venu de Verdun qui servira
au pieux office.
UNE FARCE DE MELCHISSÉDEC
Le chanteur Melchissédec qui vient de
mourir, avait une fille qui était mariée à un
avocat de Gand. Il se trouvait chez elle, en
vacances, quand éclata la guerre, et n'ayant
pas le temps de rentrer à Paris avant l'arri-
vée des Allemands, il fut contraint de rester
en Belgique jusqu'à la fin des hostilités.
Cocardier et frondeur, « Melchi », comme
on l'appelait familièrement au théâtre, fit
alors tout ce qu'il put pour se moquer des
envahisseurs sans attirer aux siens de
trop graves ennuis. Ce qu'il trouva, de
mieux fut de chanter, chaque matin, d'une
voix tonitruante, Les deux grenadiers, de
Schumann. Or, on sait que dans cette
célèbre mélodie, le compositeur a intercalé
un passage de la Marseillaise. La première
fois que les soldats allemands entendirent
l'hymne français, ils se précipitèrent chez
Melchi pour procéder à son arrestation;
mais lç chanteur leur montra le titre du
morceau placé devant lui et dit d'un air in-
nocent: « Vous voulez m'interdire de chanter
les œuvres d'un de vos meilleurs musi-
ciens ? »
Les soldats, interloqués, s'en allèrent
sans insister. Mais ils revinrent le lende-
main se poster sous les fenêtres de l'artiste
pour avoir le plaisir de l'entendre.
LE COIN DU JARDINIER
LES CAROTTES ,.
Les nombreuses variétés de carottes po-
tagères et fourragères, rouges, blanches,
jaunes, courtes ou longues descendent de
la carotte sauvage ou carotte bâtarde qui
abonde dans les champs.
Les carottes dégénèrent facilement, sur-
tout en terre pauvre ; aussi doit-on les cul-
tiver dans les sols légers, sablo-argileux,
les terres franches, profondes et richement
fumées.
De plus, il est indispensable, si l'on veut
éviter les racines fourchues de ne cultiver
les carottes que dans une terre très vieille
fumée et bien travaillée en tous sens, de
façon à ce qu'elle soit uniformément riche
dans toutes ses parties. Ainsi, le pivot res-
tera la partie principale parce que les radi-
celles, à toutes profondeurs trouveront une
égale nourriture.
On peut, si on le juge nécessaire, complé-
ter la fumure des carrés par l'apport par
mètre carré de 15 grammes de nitrate de
soude, 20 de superphosphate et 6 de sulfate
de potasse.
De même que toutes les racines, celle de
la carotte est plus tendre lorsqu'elle est
consommée, alors qu'elle n'a pas encore
atteint son complet développement.
Anssi, doit-on, si l'on veut avoir des
légumes fondants et savoureux faire des
semis successifs.
Voici, pour la pleine terre, quelques in-
dications pour ces semis.
Aussitôt que le sol des cotières est res-
suyé, on peut y semer à la volée, à raison
de un gramme par mètre carré, la carotte
grelot et surtout la .C. rouge courte de
Hollande.
q Puis, de quinzaine en quinzaine, jusque
vers le 10 août, on sème la C. "Ollg demi-
longue sans-cœur Nantaise, vieille et ex-
cellente variété au cœur très rouge, à la
racine à peu près complètement cylin-
drique.
En mai, on sème les earottes pour la
provision d'hiver.
La Nantaise est très souvent employée ;
mais pour la fin de la consommation, il
serait bon de semer aussi la C. rouge longue
de Saint-Valéry à la racine bien rouge,
allongée, d'une saveur douee et de bonne
garde.
A part pour le premier semis, il est pré-
férable de procéder par rayons distants de
0 m. 10 à 0 m. 30 suivant les variétés.
Pour éviter dçs irrégularités dans la
levée, il est recommandé de mélanger la
graine avec du sable humide trois ou
quatre jours avant le semis et de la laisser
ainsi dans un local chauffé, puis de la
semer dans les sillons entre deux couches
de terreau.
Une fois le semis confié à. la terre, on le
marche pour bien faire adhérer les graines
et assurer la levée la plus rapide.
Les racines sont plus belles et de forme
plus régulière en terrain bien préparé et
dont on maintient l'humidité par des arro-
sages fréquents l'été (s'il y à lieu).
Les planches doivent être entretenues
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