Titre : Montpellier : hebdomadaire illustré de la vie intellectuelle et mondaine
Éditeur : [s.n.] (Montpellier)
Date d'édition : 1924-01-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328200295
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 19 janvier 1924 19 janvier 1924
Description : 1924/01/19 (A2,N15). 1924/01/19 (A2,N15).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG34 Collection numérique : BIPFPIG34
Description : Collection numérique : Collections de Montpellier... Collection numérique : Collections de Montpellier Méditerranée Métropole
Description : Collection numérique : Presse locale ancienne Collection numérique : Presse locale ancienne
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k7367179p
Source : Montpellier Méditerranée Métropole - Médiathèque centrale Emile Zola, 99165
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2021
6
MONTPELLIER
.
La journée, du Commerce
E dimanche 3 février sera la journée du
j| y, Commerce montpelliérain. 1-e cortège
qui se déroulera ce jour-la dans nos rues
sera principalement formé des chars, des
voitures et des groupes imaginés, ornés, dé-
corés, habillés par les principales maisons
de notre place.
L'ingéniosité, l'agrément, parfois même la
somptuosité qui seront déployés dans cette
cavalcade du 11 février feront le plus grand
honneur à ceux de nos concitoyens qui se
préparent à y participer. Ils y trouveront
un triple avantage: attirant lu foule aux
réjouissances carnavalesques ils augmente-
ron du coup les recettes dont le bénéfice
est destiné aux oeuvres charitables; attirant
par une présentation ingénieuse, de forme
imprévue et attachante, l'attention sur leurs
produits et sur leurs marchandises; ils au-
ront chance d'amener chez eux de nouveaux
clients; et enfin ils trouveront dans la pré-
paration de leurs chars et dans leur parti-
cipation à cette joyeuse journée un diver-
tissement agréable.
Cartes d'abonnement
^ E Comité permanent des fêtes de cha-
|| y, rite attire de nouveau l'attention sur
les avantages ides cartes d'abonnement qui
sent offertes au public. Point d'attente aux
guichets, point de change de monnaie. En-
trée commode à tous les corsi, à presque
toutes les séances de danses du Pavillon des
Fêtes, à la grande redoute du lundi gras, au
bal d'enfants.
On peut dès maintenant se procurer ces
cartes d'abonnement au siège social du Co-
mité permanent des fêtes de charité, 2, rue
Montpelliéret, au premier étage, le matin de
9 heures A midi et le soir de 14 heures à
17. heures.
Les prix sont fixés à 110 francs .pour les
messieurs, à 70 francs pour les dames, poul-
ies officiers et les étudiants.
Le réciM de Chleft
sorte que, sans gestes, elle donne tout l'in-
térêt du théâtre, ou tout au moins d'un art
très complet. L'impression dominante, a
côté des merveilleuses qualités du chant,
c'est une vive et subtile intelligence, à qui
n'échappe nulle nuance poétique, nulle in-
tention sentimentale, ironique au naïve.
A la fin du concert, Mme Janacopulos
s'excusa auprès du public d'être un peu en-
rhumée et de n'avoir donné que « le quart
de sa voix ». En quelques rares endroits,
on s'en était un peu avisé, sans que cepen-
dant l'esthétique y fût en péril. Souhaitons
donc de la réentendre en pleine forme.
iMme Janacopulos a chanté vingt-quatre
mélodies, dont quelques-unes fort importan-
tes et dont aucune n'était indifférente. La
rare distinction avec laquelle elle chante
en français l'autorise à chanter aussi en
italien, espagnol et en russe. La souplesse
de sa voix très pure lui permet d'aborder
toutes les écoles, Mozart comme Moussorg-
ski et Borodine, Campra comme Dupart, Ra-
vel et Fauré, de Fallq comme Debussy. Cha-
que style, nettement rendu, donnait sa mar-
que et son charme.
Vivement applaudie, plusieurs fois rappe-
lée à différentes reprises, obligée de chan-
ter une mélodie supplémentaire pour répon-
dre à l'enthousiasme de ses auditeurs, Mme
Janacopulos s'attachait légitimement à faire
partager ces éloges à son accompagnatrice,
Mlle Lola iSchlepian-off, qui sait aussi varier
à merveille son style et suivre intelligem-
ment l'intelligente interprète des grands
maîtres du chant.
LA belle audition que nous a donnée Mme
Vera Janacopulos ne sera certainement
pas sans lendemain. Il est trop rare d'en-
tendre une aussi belle voix, un art aussi
consommé de la musique et de la diction
pour qu'un nombreux public ne fasse pas
à l'exquise cantatrice l'accueil d'une salle
pleine, aussi vibrante d'enthousiasme que
celle de lundi dernier. En tout cas les ama-
teurs montpelliérâins doivent à iM. .1. Bouil-
lon une particulière gratitude pour leur
avoir fait connaître une virtuose de la voix,
le plus beau, le plus complet et, senible-t-i],
le pius rare des instruments de concert clas-
sique.
Mme Janacopulos est une belle femme
brune, aux formes révélatrices de cette santé
robuste exigée pour les éclats et les longues
tenues du chant. Sa physionomie s'éclaire,
à chaque mélodie, à chaque fragment de
mélodie de l'expression qui convient, en
L'Article de Fred
Que la vie est difficile
• Vis-à-vis du Comité:
Aux yeux de cet assemblage,
Le fait de prendre de l'âge
Semble une calamité.
' .4près tes succès du Caire,
Combien paraîtra précaire
Le séjour de la Maison
Où de loin déjà te guette
La concurrence d'Huguette,
Nouveauté de la saison.
Es-tu toujours aussi triste
Depuis que cet humoriste
Peu galant te châtia?
J'ai grand'peur que ça se corse
Si, passant devant la Corse,
Tu voulus brûler Bastia. '
Vis-tu la physionomie
De la royale momie
Close en son cercueil d'airain?
Tout-An-Ahion qui repose
N'èst-il pas, je le suppose,
Un peu ton contemporain?
Je crois bien que j'exagère,
Mais, sous ma plume légère
Le brocard n'est pas méchant;
Devant l'autel de Thalie,
A les pieds je m'humilie
Avec un zèle touchant.
FUED.
L-
Le QM&tiaotr C&pef
Audition du mercredi 2.3 janvier
,*,q?ous avons déjà signalé le grand intérêt
][\|: et lu rare bonne fortune — qu'offre
l'audition du Quatuor Capel, mercredi pro-
chain. Il ne manque .certes pas en Europe
de h us quatuors; mais le Quatuor Capet
présente, au-dessus de tous, le privilège de
porter à sa perfection l'interprétation fran-
çaise-de cette musique supérieure des qua-
tuors classiques; ses triomphes à l'Etran-
ger sont des triomphes français et il n'est
aucunement exagéré de dire que le Quatuor
Capet est un élément é minent de notre prof
- pàgan'de nationale, il est engagé pour cette
saison dans plus de cent villes différentes
et, fait unique dans les annales d'un qua-
tuor, cette compagnie doit donner l'audition
intégrale des dix-sept quatuors de Beetho-
ven dans six villes au cours de la saison.
Lé programme du mercredi 23 janvier com-
prend :
Le Quatuor en Ut mineur ;:le Mozart,
Le Septième Quatuor de Beethoven.
Le Troisième Quatuor deSehumann,
Voici, pour la documentation préalable de
nos lecteurs, quelques- "enseignements .bio-
graphiques sur les quatre virtuoses qui cons-
tituent ce -célèbre quatuor:
LUCIEN CAPET (i" violon)
Né à Paris en 1873, entra au Conserva-
toire à quinze ans. Elève de Morin, H ob-
tint un premier prix en 1893. Dès sa sortie,
il forma un Quatuor et se consacra à l'étude
des quatuors de Beethoven. Il était, dès
1905, premier violon solo chez Lamoureux.
Il joua maintes l'ois en soliste et son exé-
cution du Concerto de Beethoven à la Société
des Concerts fut une révélation. Peu après,
il constitua 1111 Quatuor stable dont la supé-
riorité fut bientôt incontestée. En 1907, le
Conservatoire de Paris lui confiait une classe
de musique de chambre.
MAURICE HEWITT (a» violon)
Professeur au Conservatoire américain (le
Fontainebleau. Né à Paris en 1884, il entra
au Conservatoire de Paris en 1898 et sortit
en 1904 avec 1111 premier, prix de violon. En
1909, il fut remarqué par Lucien Capet qui
"le choisit pour le rôle délicat de deuxième
violon dans son Quatuor.
HENRI BENOIT (alto)
Né à Montpellier en 1886, il suivit les
cours du Conservatoire de cette ville; puis
il travailla à Paris sous la direction de
Vincent d'Imdy. Il fit plusieurs tournées en
France,et à l'étranger avec différentes socié-
tés de musique de chambre. Dès 1913, il est
chez Lamoureux.
Camille DELOBELLE (violoncelle)
Né à Roubaix en 1892, il entra au Con-
servatoire de Paris en 1913 et en sortit en
1917 avec un premier prix de violoncelle.
Il fil en 1918 avec la Société des Concerts
une tournée en Amérique, puis entra dans
l'orchestre .L:\moureux. Nommé en 1919, pro-
fesseur au Conservatoire de Metz, il aban-
donna ce poste pour se consacrer entière-
ment au -Quatuor Capet.
' I ' - ' X
MONTPELLIER
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La journée, du Commerce
E dimanche 3 février sera la journée du
j| y, Commerce montpelliérain. 1-e cortège
qui se déroulera ce jour-la dans nos rues
sera principalement formé des chars, des
voitures et des groupes imaginés, ornés, dé-
corés, habillés par les principales maisons
de notre place.
L'ingéniosité, l'agrément, parfois même la
somptuosité qui seront déployés dans cette
cavalcade du 11 février feront le plus grand
honneur à ceux de nos concitoyens qui se
préparent à y participer. Ils y trouveront
un triple avantage: attirant lu foule aux
réjouissances carnavalesques ils augmente-
ron du coup les recettes dont le bénéfice
est destiné aux oeuvres charitables; attirant
par une présentation ingénieuse, de forme
imprévue et attachante, l'attention sur leurs
produits et sur leurs marchandises; ils au-
ront chance d'amener chez eux de nouveaux
clients; et enfin ils trouveront dans la pré-
paration de leurs chars et dans leur parti-
cipation à cette joyeuse journée un diver-
tissement agréable.
Cartes d'abonnement
^ E Comité permanent des fêtes de cha-
|| y, rite attire de nouveau l'attention sur
les avantages ides cartes d'abonnement qui
sent offertes au public. Point d'attente aux
guichets, point de change de monnaie. En-
trée commode à tous les corsi, à presque
toutes les séances de danses du Pavillon des
Fêtes, à la grande redoute du lundi gras, au
bal d'enfants.
On peut dès maintenant se procurer ces
cartes d'abonnement au siège social du Co-
mité permanent des fêtes de charité, 2, rue
Montpelliéret, au premier étage, le matin de
9 heures A midi et le soir de 14 heures à
17. heures.
Les prix sont fixés à 110 francs .pour les
messieurs, à 70 francs pour les dames, poul-
ies officiers et les étudiants.
Le réciM de Chleft
sorte que, sans gestes, elle donne tout l'in-
térêt du théâtre, ou tout au moins d'un art
très complet. L'impression dominante, a
côté des merveilleuses qualités du chant,
c'est une vive et subtile intelligence, à qui
n'échappe nulle nuance poétique, nulle in-
tention sentimentale, ironique au naïve.
A la fin du concert, Mme Janacopulos
s'excusa auprès du public d'être un peu en-
rhumée et de n'avoir donné que « le quart
de sa voix ». En quelques rares endroits,
on s'en était un peu avisé, sans que cepen-
dant l'esthétique y fût en péril. Souhaitons
donc de la réentendre en pleine forme.
iMme Janacopulos a chanté vingt-quatre
mélodies, dont quelques-unes fort importan-
tes et dont aucune n'était indifférente. La
rare distinction avec laquelle elle chante
en français l'autorise à chanter aussi en
italien, espagnol et en russe. La souplesse
de sa voix très pure lui permet d'aborder
toutes les écoles, Mozart comme Moussorg-
ski et Borodine, Campra comme Dupart, Ra-
vel et Fauré, de Fallq comme Debussy. Cha-
que style, nettement rendu, donnait sa mar-
que et son charme.
Vivement applaudie, plusieurs fois rappe-
lée à différentes reprises, obligée de chan-
ter une mélodie supplémentaire pour répon-
dre à l'enthousiasme de ses auditeurs, Mme
Janacopulos s'attachait légitimement à faire
partager ces éloges à son accompagnatrice,
Mlle Lola iSchlepian-off, qui sait aussi varier
à merveille son style et suivre intelligem-
ment l'intelligente interprète des grands
maîtres du chant.
LA belle audition que nous a donnée Mme
Vera Janacopulos ne sera certainement
pas sans lendemain. Il est trop rare d'en-
tendre une aussi belle voix, un art aussi
consommé de la musique et de la diction
pour qu'un nombreux public ne fasse pas
à l'exquise cantatrice l'accueil d'une salle
pleine, aussi vibrante d'enthousiasme que
celle de lundi dernier. En tout cas les ama-
teurs montpelliérâins doivent à iM. .1. Bouil-
lon une particulière gratitude pour leur
avoir fait connaître une virtuose de la voix,
le plus beau, le plus complet et, senible-t-i],
le pius rare des instruments de concert clas-
sique.
Mme Janacopulos est une belle femme
brune, aux formes révélatrices de cette santé
robuste exigée pour les éclats et les longues
tenues du chant. Sa physionomie s'éclaire,
à chaque mélodie, à chaque fragment de
mélodie de l'expression qui convient, en
L'Article de Fred
Que la vie est difficile
• Vis-à-vis du Comité:
Aux yeux de cet assemblage,
Le fait de prendre de l'âge
Semble une calamité.
' .4près tes succès du Caire,
Combien paraîtra précaire
Le séjour de la Maison
Où de loin déjà te guette
La concurrence d'Huguette,
Nouveauté de la saison.
Es-tu toujours aussi triste
Depuis que cet humoriste
Peu galant te châtia?
J'ai grand'peur que ça se corse
Si, passant devant la Corse,
Tu voulus brûler Bastia. '
Vis-tu la physionomie
De la royale momie
Close en son cercueil d'airain?
Tout-An-Ahion qui repose
N'èst-il pas, je le suppose,
Un peu ton contemporain?
Je crois bien que j'exagère,
Mais, sous ma plume légère
Le brocard n'est pas méchant;
Devant l'autel de Thalie,
A les pieds je m'humilie
Avec un zèle touchant.
FUED.
L-
Le QM&tiaotr C&pef
Audition du mercredi 2.3 janvier
,*,q?ous avons déjà signalé le grand intérêt
][\|: et lu rare bonne fortune — qu'offre
l'audition du Quatuor Capel, mercredi pro-
chain. Il ne manque .certes pas en Europe
de h us quatuors; mais le Quatuor Capet
présente, au-dessus de tous, le privilège de
porter à sa perfection l'interprétation fran-
çaise-de cette musique supérieure des qua-
tuors classiques; ses triomphes à l'Etran-
ger sont des triomphes français et il n'est
aucunement exagéré de dire que le Quatuor
Capet est un élément é minent de notre prof
- pàgan'de nationale, il est engagé pour cette
saison dans plus de cent villes différentes
et, fait unique dans les annales d'un qua-
tuor, cette compagnie doit donner l'audition
intégrale des dix-sept quatuors de Beetho-
ven dans six villes au cours de la saison.
Lé programme du mercredi 23 janvier com-
prend :
Le Quatuor en Ut mineur ;:le Mozart,
Le Septième Quatuor de Beethoven.
Le Troisième Quatuor deSehumann,
Voici, pour la documentation préalable de
nos lecteurs, quelques- "enseignements .bio-
graphiques sur les quatre virtuoses qui cons-
tituent ce -célèbre quatuor:
LUCIEN CAPET (i" violon)
Né à Paris en 1873, entra au Conserva-
toire à quinze ans. Elève de Morin, H ob-
tint un premier prix en 1893. Dès sa sortie,
il forma un Quatuor et se consacra à l'étude
des quatuors de Beethoven. Il était, dès
1905, premier violon solo chez Lamoureux.
Il joua maintes l'ois en soliste et son exé-
cution du Concerto de Beethoven à la Société
des Concerts fut une révélation. Peu après,
il constitua 1111 Quatuor stable dont la supé-
riorité fut bientôt incontestée. En 1907, le
Conservatoire de Paris lui confiait une classe
de musique de chambre.
MAURICE HEWITT (a» violon)
Professeur au Conservatoire américain (le
Fontainebleau. Né à Paris en 1884, il entra
au Conservatoire de Paris en 1898 et sortit
en 1904 avec 1111 premier, prix de violon. En
1909, il fut remarqué par Lucien Capet qui
"le choisit pour le rôle délicat de deuxième
violon dans son Quatuor.
HENRI BENOIT (alto)
Né à Montpellier en 1886, il suivit les
cours du Conservatoire de cette ville; puis
il travailla à Paris sous la direction de
Vincent d'Imdy. Il fit plusieurs tournées en
France,et à l'étranger avec différentes socié-
tés de musique de chambre. Dès 1913, il est
chez Lamoureux.
Camille DELOBELLE (violoncelle)
Né à Roubaix en 1892, il entra au Con-
servatoire de Paris en 1913 et en sortit en
1917 avec un premier prix de violoncelle.
Il fil en 1918 avec la Société des Concerts
une tournée en Amérique, puis entra dans
l'orchestre .L:\moureux. Nommé en 1919, pro-
fesseur au Conservatoire de Metz, il aban-
donna ce poste pour se consacrer entière-
ment au -Quatuor Capet.
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