Titre : Le Constitutionnel : journal du commerce, politique et littéraire
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1852-05-08
Contributeur : Véron, Louis (1798-1867). Rédacteur
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32747578p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 08 mai 1852 08 mai 1852
Description : 1852/05/08 (Numéro 129). 1852/05/08 (Numéro 129).
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Identifiant : ark:/12148/bpt6k669644w
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2011
iVUMEUO 129.
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1852.-SAMEDI 8 MAI.
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DÉPAJRTEMENS. ^{T/TK
JN NUMÉRO : 20 CENTIMES.
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fû<|m!nû^aiJO*J : é Mï DxNAfli, dirèctémi ^
ialï etchei M. ' ' ' " " Ji
de l'etenir l'esprit d'entreprise,- ens^déter^'
njinant d'après 1$ ; sltuà^icfô. fîdaiiç;'^ âu
pays. S l'esprit, d'eatreprisô :ge montre 1 ,irré 7 !
solu, 's'il hésité t ,^%'engà^ér,;tpalgi^ X'4bpi|r!
dance des capi taux, u ii>xfaut i ie« «timtir^ri '
et lui dooner jjpus; le^ '|à5QÙràgeiQèi^ t ,4§ I
n&ture i vaMjcre traire, ' il' devi^nVjêmér^rei
se JaucètSaqs.jdësy aflaireSiqui dépassèntles
ressource^ disponibles,! i il 1 J'ajat'Modérer
dans,son ardeur,.afin de préVenir riés
barras prèjudiixables.àtoiislès iQtérats^i/bâîi
bUeté consiste .à discerner ce' qu'exigent lés,
circonstances, ^tà"savoir.;agir,au môçôeni
opportun.. j J .- ../m ••••«;'! \
- Lorsqu'^près li£ cou| , ''â i Etkt âii;24è<îèmT
bre, te triompbB de:la caiise de l'^dre-ét l'af-;
fermissementtie la, ^aiî4uilljHpul)liîûVren-\
dirent la «onûanceiux^ capitaux,'; îè p;oûVèr r
nement dut '.seçondéi 1 , le g .|Çi^veffleftt:d'eî,T ;
pansion et de pregres qui succédait à; une
longue p ; ériode de c«inpressioi4|l y|'avait
line masse d.é réservés disponibles 1 ^pil n'aK
tendaient qu'ùné ^oppasipn-^ypràble'pour!
ebèmip de fcry quin'ayâitp^ së relevjgf dfrt ?
puis'quatrçr^QS- OuVûîniaitaùiki là^teliers
métailuiigiques,et l'on assurait l'acbèveïnent
deg principales lignes dé notre,réseau: -y .' i ,
Telle a été, en: effet, la COnd^jlfé, 3tt goi}»
vernement. lia ^rpvomél'eaprit d'entreprise
qui était frappé diûertiedeJjids'Iâ révcflutioii
de février. SeS efforts-Obt été couronnés d'un
plein suecès. ïlest parvenu-ài.conclure cette
Parisa Lyon et à.Avigàpnyqui pesait sur rros;
Qqa^ce? ?|r quetfAssèmblee l<^àUve.j3$Y#î t
pui imener à tien. Il a-assuréle développe^
mënî dè.nôs Çgaès liinor^ d^l'e^Çtdii;
ôr. Vnrr.ln.^,
njqins ^içgulièreipeçt, Ralentie iS pp, & QQSe
révoiuâoxmaité^ et de replacer la Franôe aû
niveau des pays ymsinà^ i .
Le gouvernement |iY^it:U-Pîanquê fle prur
dence,- avaitf-ll été frop vtt&en ;ffUtorisantî ces
traVjàuî ? iSOUSj ag lé tyaspdsbàs: Â.impork '
" *■ *' *'« . _a — , ~mïw*rXt\r»*rl J -.'W*îrfi*K r>\
présentent,
quatre années: Il s'agit de lignes appartenant
l?t plupart au,, tésea]A général'(ipiit lié^ecy,-
tion a été décrétée ^pàr-i -uns loi qulidate.^
18421, ,Lja dépense qu'^s Rivent. entraîner
qU^, répartie--sur un^certain notnbre d*afi-|
nées, elle était èïLrappôrVavêc leà forces du!
pays; - "* '■ n 6 : r ^
. À quelle causé f^ÙirÛ àQ^.attrihlier.i'es-''
pèçe-de lourdeur ^ui s'e^t; manifôstée'dâptfis
quelques jo.urs^r .'ifr'.^atcUé'^eV c&enùfls,
de fet-?' 'C'est que- les i ^»ffipagnies 1 , lôin'^ej
itoijérer les .appela'de fôçdèén raisopi soême''
de'la ë)mtxltafféitëde;leurfe;demande^-leS;ont;
aU ciontraire porté?) -i ►cLçs'jSÔrnïo'é^,t)ôrs /K
proportion' aveo" ( lês^.^)esoins ihiiîiédîatfeÇ'JÛi
lieu 4e s'eatènc&e; ppur jécbeïonper 4^ yer.-;
ce,
paç dangerèyx, parc^ ( ^uê lê^ rejsçj'iirfciis^soût •
abondantes, èipaicàquelèà xiQÙlveaùi titres,..
malgré un ejrèôfgëmënt ^çd^èn^^a^ëif-i :
drojat à, çé classer encore ,ààeifc'VaPidèwm^ !
gouvenieme'nt dëvailtenir cpiiîpte^t ! qu11 8é
pris J 'èn considération^ '* * '' 1 , " 1 1: '' v r.'f " r 'f ^
v ^insi^aprè^^voirstim^éi'^prit ^'énWe-
prisçjè g9uverteœent,;pàç.ÛQe appréctationj
intelligente-de la situation,--s'est :décidé ; à48 ;
contenir.pendant, qUelqué s temps, avivait
préparé et envoyé aûj cpnsëil d'Etat ifn 'pro^
jst.de loi çour là concussion du chemin de
fer dé ^àj-i^ &^àenè^à Çhe^bpurg. e4
diail.un. autre pourilaGoncessioniduchémin
de Bordeaux à Tâtilô'use.- Q\ielqUe avancées
fe fussent .ces affairés, il a prislè s : agé parti
Içsajôiîrnêr^'afin^è, nè, Ija^, Ic^ssèr émfeltre
ufliflquveile.quantii&à'acUon^ et d'obliga-
tionsqui auralent'buencombrer- le marcbéi 1
nc6mmencéi;a ; ^i|i^êmç ' ièg 'chemins, afin
depepas fpr§jo^jffrir da f jetard aux'popu-
lations intérésséesj piais> pour lë's coticëdeiy
S'attendra que .'lë^lili'es en, arcoil^tipo se
< sôient'classés et' qù'on puisse Mrft
! \§lappel ^uXrqapitam pans prqdutre aucune
! espèce d'embarrasj ^ ■■j uk if ,.:v \
l' Nul doute ' (Juip feët âcté dé prudence n'exe^-
, cé une-irifliiènce îa^able, suy. lasltpatipn. !
|LaàBanqUô de! Eraac&. pourra, de son -côté,
• aider à là brinnè teniîe desi'Meurs si,' tout en"
sq H î^^tenaiit 'dàii'i ; les ^imites,',^.' A pa-J
gessepaelle'-Venti prêter, ûnconçours efficace
aux opérations de chemins'de fer. Ce grand
établissëtâènt 'possédé d'énormes capitaux
don^ilja'a p ^s4' en 3 PXM? jFP ijir çpaqi ,ne les ap-,
; piïquerait-ilpas àu faciliter .les versemens des
, aetions et'des obligations rëcemmeni émises?
iTôutlf iQonàey;gagnerait : jes actionnaires
'et lés porteurs d'obligations, qui pourraient
prendre 1 leur'temps^ là Banque, qui tirerait-,
.parti dé Son àrgeht;et qui ne courrait'âuciin'
srjisque ? avec la , triple garantie de. l'Etat, du
: . Jet,- ^#.lfai^'rjaï|Lleiir^ epflh ^'i^dùs,-
! trié'«t. Je -commerce-jen;générali qui.^e res
sentiraient dès'facilités donnéès àcqs opéra-
Uibris. ' " ' "•-■'"i'-' 1 , ,;f
-. fineaspurëf du vresto, 7 que-, la Banque -est
jtput'à-fait disposée à eàfiter dans cette-voie.
! Ç?f ^tj-ÇÙe ■ Mï
Ijjoo, apr^tRï-ow jèçji ion prémiçî.Vêrssr
;meat-de 450;fi , ifstr -ses;" actions ^sèsobti^
; gaiidps,; a? jdonn^àu^gorteuijs' 'Je dr ( oit de Je '
U estii.qùestion, 'dit-onv. d'un [ arrangement
;en s vsrti^ ^a^^él'ta'lBang'ùe se chargerait';
fd'ôpérfer^àreictem g. le.vir placp, Jes^'er-/,
jsepienspaf ^ifjpationi naoyennant ^jrj in-
jtérêt À/0 s&É&eSiâyainces. ;Ôa comprend •;
éiémeùi'fie .sçfturiiéi: •. { '-i j.
; : ^o'us 'annoïïçîdns hier Vàû^meiitation
i été encore plus considérable en avril qu'en*
! mars/Noils^apprenons' "que le retenu : du,
l mplâ d'wtt a dépassé,^ Q à iQ millions .le
îiàevena Au ..mois correspondant ' d&i l'année
■dertfêrér Tfotïs-rie croyonspàs qù'il $ ait lin
; autre exemple .d'une pareille, augmeptatioii
eriflinjsijtil moiSîi :■>?<- < J. B erat,. m
"i '• A *- 4 :uki
! " J tors(ple '(toçtrjinék' 'âu socialisa^"étaient
; encore ;.bayjtexnç]à£,professées,. et [exerçaient.
sur une partie de- -population leur désas-p ;
treusèiinfiaenCe^ieS évéquesdeia province de :
Paris, Téuûis ten çoncile sous Is presidence de >
lelir'ar'chèvêqiieV i-fendireût' un,décret contre 1
mçipbres ^u'/^ergé à fair^-.'dfr la. r^fûtatioii
de ces erreurs, un des objets principaux df-
lçi^rs jirédicatijDns. M.lîarpbevêquede Paris",
(^nuné.jrèmièi pasteur,de, la province,' a
ebtreprïsyçle commenter.! et* ,dé, développer,
successivement JeSr ,décrets du -concile qu'il
présidait.iOn* se souvient du remar-
'quab.le fliandemç&t dan? lequel 1-illustrp pré
lat a monlré-quaJa> propriété,-tant attaquée:
impbâsible' de la, détruire» çans,.renverser
L'ordre 'ét^bU^'àr.Bifeull^tb.ême e.i,.sans" ûte^
àjf èQC^té.sôtt J p°lnt d'apph^j, ^'.-j
^es evene&eûs'politiques 'ont fléterinmç
M. .l'arbjifiyêque' aê Pàrisà suspendre.guelj
qu$", ; tem{îsie'cours de ses, util,é§ ^aseigoer
njeng.'" ( « IliS'èstfait âujtqur .'de nôus^aitrjl, un
grand silënfce; let nous avons dû nous-mêinç
il:l'hait laissée, «t vient appoïtei; al'aiïtôria
té" humaine;'le concours ,'de la parolç.diym^
dans l'cèuVre ;d'apaisement,': de conciliation
ét d'instruction, qqi^t l^lpier ,lés 'p^ssipn^
prëïa.t{lèfëh4 àujourd.'hi^ cont^ç lës Iheori^
q\ens ( ae l'anarchie ; ii, s'adresse a ui?è erreur
noir moins funeste et non mbins.perûdëiijiépj
explqitée par,l^ socialispie.Jl combat les ^o-
Shistesqui ,'se prétenilantles seuls i^éfen'seurSj
e la dignité buffl a ine,.détruisent lacharitéd^
ûs ne vç^entyoir.qu'U^è ^ùiïiiÇatiori. p
tabliV, ,1e vr.aji caractère de l'aupaôn,e fjiité ëfc,
demandée au'pom de .DiçuVil enseignç l'ori-,
gine et.'Ià" nature, $yine d^ ,là jcnaritç ;» II' .en"
racontèiles^ifacles/'oueclaient làgran^'ur^
^t la supêriorité:dëJa.foLcbrétiennë. f '!;"
'm
l Mr.inim f>i
-" ; 'Nddà r ay.ons pajclé'd'tfn àve^lémientdon
né' par lé; préfet ^ll^^-Vilétiné au %eàt
. Cburrifr'fe fafyeïçigîie^^n'y^ci'jte'tex^ \ v]
-' -W « Nous, préfet' 4lUe-e1>-Vjlaii5B^ «fflcier, 4P Ja hk-
gion-d'Honneur, ,yvt jla. loL^ut' la presse.en, date du
17 octobre'1851; vu la circulaire minisJ,én l eUa di; |fi
Vuurt premiéV â^ic1e J flu~joTirnàl : Û Petit -CouA-ie)-
de la Bretagne du 30 avril, commençant par ceskidts:
« Il en est-âe-l^EmpweKGomtim-des^joHtes de coqs »,
et-finissant ,parxenx- ^ » yu urr deuxième article^ dvî même"journal; "com
mençant par caa',rtiola ii« QuelqUos:]burnaux s'occu-
. pent des cris proférés », et finissant par ceux-ci :
«C'est exécuté commè Trt obmôi'and'omènt de marche.»
» Considérant qu'en,cherchant à mettre^ en .sugpi-
cionHâ loyâulé>du J gouVeiuemeh^ 1 %.i i *eii voùlani ri
diculisera i.'arariceia.goleaiiijtédii 10, mai; il'iqtelri
tion du rédacteur.-a été d'èloiguer l^ CjOniianoç.«én^-
qûc d'insinuation
tenue dans le deuxième ai^ifile.çfctïdg na,tûre. à nuit;^
à la.cqusidératjott, ,de? pouvoirs ■ publics et. de -l'ar
mée» arrêtons r " " ' .
->«susvisée',un pnsinieravertisseniènfe est, donné,aujour»
cal Je Petit, Cpwrieii.de ta ■fi'-ftagne, dans la. person
ne de M/.LeçcocV.' son gérant,, et, de M. ph. de X,a
V}llebrune; sonsrédactsur. ett chef. '' ■• • • ' ' I«J '•>]
-•i» ^Arti 3; Cet ayèstissement'feri'. inséré éuîïtête dii
ptys prochain njiméro du journal) flqi{ eu çst.|'oJbjet
"» Art, , a- Le cpmmissaire, centrftU .est* chargé , de
l'exécution'et de la notification du présent arrêté: ' '
» Fait à Rennes, le 30'avriï 1832.'-J ■ > l " fl i <■ <>!
.si■' _ ' ■ ». ie préfet, «oB^sor. 5 «s •;
giïp.'. qui ' à drpjt d'étré'exigeânta et dîfflpiléf
en faif de* ^hkritç^ j.en^' spprit^ëment .â,
cetld* société 'tant' accùsée/'tànt.'Qsïomhiéè..
An ïnilieu de,la corruption j 'dés .failjles--
^és et'des vices du temp^nWnjoBurçerçt
qon^tédé îa bieuMsance. Cette société frgç-,
çaise. qu'on*,accusée d'être, JifliùîMipg' et,
sans entrailles', qu^on ^a- ,représe^téë cpmme"
indifférente et.ffbidïi çi*la., pauyrql'é,, tjs^ aû;
QQnjr^rp,.plus, prodigue encore pour le biènJ,
que pqur le mal. çy Pajis. çe^tre dé .tous lès;'
viçes^èstàussi lé théâtr^ qe" tp'utpç les ver{,(13. ;
liés éçriv^ris.les plussages ojàt fait,trop jbbn'
?^^e I^lqiiefpis d& ce q^'il-ya & bifcii-,
faisant, de.jîliantab^,, de,, ; jçnago^fique
de Pàris. 3 pè copyiçjif pas d'endormir;
la sociétéjffapçaise -par d'fixpe^sives.loûan-,,
gêsy. il p'ëst, p^à tQQÎUS, iôjuste fit moins im,'.
poljtique.de faâénigr,ë^ outre.mÊSpre.,,.
; ; Cl]CHÊyAL-CÙ.Rl(JÎIT.
isjb'in,n.-'i û.
soûmïhkmLs sommes avertis, le Pu-
^fùbiiTcëim^uitv^'v:''
« M.lç ministre*de îa -policé générale nous a
fait adresser hier. êcfiS/" pic. mîiiistèie d'huissier, la -
signification officielle qu6îVoiciî :'ï' j-»
.«stfeLe-cainistfeâa^potice générale,'- ' ; ' n
a » Vu l'prti<4® é?;der la ^Opn^titution, portant 1
compte-rendu de^'lséances- jd^Xorps Législatif par
les journaux ou t'ottt "autre* mo^fen de publicatiop, na
consistera què dans là-t'enroduction-ûu procès-vet ^
hql dressé à «l'issue, da *l\aque géaflee par les soins
dm président du Corps Législatif.
» Vu l'art. 32, g 3 au'ïlécrërsrgânique sur la pres
se, en (late du.t7,féyrier tv&2{ ;n . /> -ui^sW. ',1 >>1
^t) CoQaidérant|que daps sojï numéro .dy.i5 m&i pré
sent qaoia, Jè joui^naL le. Public ^ reproduit 4'ane ma-^
nièra, incomplète .lé.procês^ViM-Dal,'de,l»' séance du a
Corps'Législatifd^ lundi ,3 mai 1,8S2 ; ' ? ' '
? '"1; - - " J
- » Att. l«. Au3è termes de Tart)Mè 3ï' du"décret du' :
17 février. 18h2j un •premier ffipertissement est donBê,»
au.jovrpal le t P.vblic^àtwa ,1a, pcrspppe,^^. 4. Xa-
martinièrè, propriétaire : g§r4nt. . ...
» Art, 3. M. Je préfet de ' police ,es|i éharfeè' de r&.j
xê'c'ution du présent arrêté*." * •" ' r /
» Fait à Paris , le-« mai laSi'"'»-»''" - '>■* '• '' b
^ou.i if- 'V!-. j) lje'ministr&dé4a jpallce'gé'néralfc,
'.! ! « i -ip«î .. .;<>•> i,i.» Signé.:iDBM4UPi8j-- !
- ,,n .pour dpipliatipttf- -w;, ?.i j !» ' » ,1 i -;i 1 ■ ■-«
, ,i j> U) préfet de-poliç§,,sigpé . 4
Le '^«ShVâjpîitq bii'Post-'Scripîùtfi! f "" u '
« On nàus' appâftet à. l'i nst^Df j£, procè&^verbal
âf ,lâ,,séancë,'du ,f,'. Çe document forme ,24 pages[ (
eç petit-fexte'., J\yec, la. mei.Ueurç,'volonté,,'du mo^r-i
ie, nous nè pourrions'l'insérer'Sans le réduire;,çt,^
Je ( réduirp, ce.^çrai^^ilep çomrç/ipç,'jurisprudence
ïuji .yienlj.d'ètre, 4xpè par ravertis^éoient, qye fleùs.j.
ayons reçù^ou^'fjÇjtame? doiio obligés de npjpo^t.,
réjrp^uire çe.^ocèsT.yerbal^,, ïir; '; „
publié à Boulogne. Voici l'arrêté qui lè con
cerne r<
•j t • " ■ j » ' i : '-f j ' f i * N<'i 't J i»' ' ■ f . » /{ ( .11 . > t •»' ' < 'y : y 1 *!
<*.Nous,'.préfetdu Pawïç-Calais,,î, y.'. '" ' . , . "
» Vu les artiéles- pUbJiés 'dfmslTe joijrâal la. 'Co
lonne «t- l'Observait^ 'ixjtamtaenti' dèià^iâséi'ësfaux*
numéros das li.maTSv'4 malilenuatSi^aous.
Jes titres suivans : Les -.mauvaises, habihude^y la-. Dic
tature.administrative a cessé, Annonça judiciaires: ' '
» Vu l'artl'àa'Ûudécret-du!7 fèvi-ieflSSî;
. » Gonsidéranique^ malgré-de_récentes condamna-'
tions, ,1e rédacteur-gérant ,du 4qurnaV/a Colonne, ejl
l'Observateur et. ses collaborateurs ^poursuivent',le
système d'attaqile et de' diffamation qu'jls ont cons-,
tammentjpratiqué contre les personnes; - - •
- » Qu'ils s'appliquent à tromper l'esprit publioipar
des appréciaiions fausses,, pas .des ingjuaiMtious -mal-,
veillantes; '
Que le but de letlFrédaction, 'pris® dâns'son : en-'
semble,;eatjcb. déeonsidérer tout.ee qui toucheiaux>
fonctions publiques.et: àl'aujorité-:, ..j.iijs i.< r;t
' » Considérant qu'une telle persistance," h'elïe était
tfiléréej jurait pour tcsultatjîe faire de ce journal un'
instriiment de désordre et de trouble 5- o;.-1 .
.-p,Qu'il -çst. d»îdeyoir 4el'adp}inistrAfioa:(alors
meme que le mépris- général,, faiyustiee.d^ ces pu-,
blications Systématiquement ïnalvèillantesou inexae-
tès)> d'intervenir pour réprimer 1 tout ce qui dans les'
jouruaûïiporte. atteinte'. àilaJvérité.surjles hommeSi
,j> Sur la proposition.'de M-. 3e sous-prSfet déJBôb»;
l9ë ne ' A*'it" :K,i I *'--1
' » Art", l". jLe "r^dactêuE-géïint de L /2 ^'êàonàé et\
MSbserh)dtvkifie$i 'invité : à île pab'$erdtè de- ' vue;' •'*'
l'avewtv les obligations et.'les convenances 'dont l'att-!
servatioa.^st r^Gqtgmjindée |à la presse./ -. ,.. f , . , îf;
» Cet avis lui est" donné à titré de Brémier avertis,- '
semervt, suivant'les dispositions.du décret précité
. dj 1M/ le îsous^préfët ide^Soulogne -est chargé
de J'exécutioQ-, du! présent arrêté/ qui sera .ipséré en
tétei.dudit journal' par application da l'art. 19 du dé-'
cret.du 17îêvfier'18{>â. •
» Arras, 4-^^1-1852'.
À - i>.
ai i
«.f:.*'i «-ia-.i ; .'.n 11 >"-n*T -«w»
Nous avons. feit^çQnnaître les ^positions,
du projet.de sépatusrfioqsultq pslatif.à ror-.
gaqisation^la haiiter couîj dej ûsjLiçe», ,quj .'a
été récemment soumis, jpa?. M„ Abbatucci>.-
miqistre'de la justice,^ aux délibérations du
conseil d'Etat. L^Qçomijejdeçettçloi s'écarte
en hea^qoup dep'ojrpts des articles dfilaCoja^,'
titutionde d§4s, irégjant A'organisâtipnde la
hau\e cpiir instit}içe> à. çett^sép'pqu^j, .Les:
dispositions des la nouvelle IqiSQUt pratique^
et', libérais :> éjl«^ ..nouç -paraissent {réunir j
heureusement toutes. Jes pqnqiUon^.gu'^xij,'
gentl'iijstruciion,et le.jugement^me/Jet;"
'imparlial.de? fifîpies: CQinrnift çoptr^ïa çurè: -
té de lE(at,. .i.-;,]; i y 1 jsi • s !i >
.Une importante innovation >, ântoiJuite,
dans jIq sênatus-consûltë, [Çonsjsîefâtdàns,
la. séparation- de- la haute cp,uïî. de y us'tiçe i
en. deu?, j fthambres,, J,' upé "po^i'jnstrufH. '
tion, 1'av.tre--,pour ,1e jugemen tr.des ; affaire^,,
Sous-l'eiupire de la Congtjtu.lioflijde., i848j-.
la/haute jCour' de, justicej^pp«.pomitrenàit^
? d'une seule chambre ; les àctës d'instruction'
taient fait?., gui vaut, les n^odç.',9rdipaifei eu'
biênjpar l'un des merobrçgdelâçourdélégùé;
par lejiprésident ^t qui prppai{,ensuitopait
au jugement. Cette réunion dujdiquble.ca-
rac.tèr.e^'instpuçteup^t 4ejugq4âns iâ>P9ï-
so/inë. des ,m&pé^ : jpàf istrats, ^ôtait jine ga
.ji'sggitie, aux: accusés ;nonfaisant dlsparaitiîei.'I/inslitution d'une cham-
-bre d'instruction présente -un .autre 1 ava^i-
ifege, car si -lfefr-actes de la procédure- ont
•diminué" Pimportânïïê'iiS* l'frffafreTiéférée'
ld hauté Wto, éIlfe,per|aet.dje^:.rèpv,oyér X e
Juéemefl'^à.f.lajustiçe/.or4îqaire, ^'d'éviter;
iiyisi ^convocation d'unej oridiQtion suprè-i
pie.dônt la. majesté ne doit conpaîtreque des
£ttentats.menaçanspoiœJe;salutpûblic.>i >■
- > La Constitution de 1848'était réçtée touet-
te sur - Ia manière ( dqnt la haUtè cour procé
derait' dans lïnstruetfon çt,te jugement des!
àffairés'; la sagesse s de^ magistrats appelés à
£ formçr, ,|ril|un'ai .suprême .étaits Wie ga
rantie contre,,% eicès ae.ppuvojiqùft l'ab-
seqçe a,'une législation préciser pouvait per-,
mettra ^ néanmoins xien n'empêchait'iacour
de ee.plaJcep-aU'dessus^des règles 'dû 'droit,
commun et de négliger léè, formes tutélâirés
potir' lek; accùsés, 'dont le législâtëtita fait •
la, ! conditi otf absolue de."tc»utë poursuite .cri
minelle!^ 'dans la nouvelle Joi^àfu contraire,
il est' toit. qq.e Ja.haujV cqqr- procédé»! sui-
yant'. les -formé? prescrites par le Code d'inS-
truetion criminelle. /i; .i - -î 3-r *
■. Jïous - ne- parlent pas des dispositions ïè*
làtives'iàJa'"convocation' de la haute cour, ét
Jn^ - (•-> .. -.1 à "
Morin, députés au Corps LégiSlàtif pom ' le
"département^ de la* Dirôme, ont ^dre^sôîa
•'lettre 1 ' suivante* du CoûrHèr de, la,.Jérôme et
dè-'VArdechë ï lh ' .'.'V, , •t »>r i> K ia X» ->vi *• **'•
, *' t *\ • " A* « J-m
jde,£ec"ojûrs ri)ilitgires..i,?« ;ïb . : "J"' 1
.. .^Noii^nou^ e^iaerjonS, à.cônp'SÛr, trfeTietf-
,çeu^.,de.,ppuvoin«fiitquteâi choses mettre au séfj
_T.ice,4e çpsjjÇQnçitojejis, notris "zëlô -éf jrtotré'dê-
voùpjent .Ma,ijs il importe ,(jueje«ux t d'en tre : èûx
J[ui veulent ^ieft. y, receurir .ne s'expoîenl psia à
aire-fîiire ftiussç; Jo^tje.à leurâ dém'archés.^ ~"<î
- : » ,Eft.çofiséquençe ) i,poiis croyons mtileJde dont
rier, ,par la ; voie de wtre jourftal^-dë la "publicité à
la lettf e^{jivanjt^,gui 'nous 3est-ibritè pat l'un dfe
les,miiji^ïes, on Keponsttà une reeomfnànd»-
1ion que* nous ..nous étiona fait un:devoîf 'de liiî
-adresser .m ,
r .il - L £fifi u-. i.
-s,'-. - ; «-Monsieur,-
a J"î> - 1 j'' , a •<
Paris; 24 avril. 1
' •>' l ' < ''
11.-..,.
» Un avia iaséPé-ah Monitiur^du 18 m'âtS 18S"£
\\ s nravonn mia lao minîr
droiïs et' lê'é âtinbutib'ns du pouvoir éxéeuf
tif exigeaient des,jcnodiflQatipns ,êf^Aéirétab.lk.runitè qui doit régir la délé-
gatipn du pouvoir judiciairéi La Constitutioii
de..£848, ne désignait qtre les fonctions 1 de
représentant du peuple icoïnme iqcompàti-
bles âvefl eellèfe dé j uré! près la h'aute cour j;
le sénatus-coùsjilté prononcé, une incompa-i
tibilité, absolue entré' cettéde ministre,'de Sénateur, dé député au-Corps
Législatif,' dé membre du Conseil (l'Etat, et,
en ©ut*;e, icomme .conséquence d'un sage re
tour,aux principes du droit'commun, il ad
met pour les fonctions de juré près là-haute
cour, toutes les iffcflmp^tibilités, incapacité
ou excuses réglées paries différentes lois sur
ïéjufy." J ,. •(' ' * ,, || . t f »
: lln estjien. changé" en ,çû;.quL tQuche la
dé'çlaration dft culpabili té ; ; ellei ne, peut être
rendue,qu'à la majorité deç deux i tiers des
voix: mais Me sénatus-consulbe ; -comblant
une lacune de là Constitution-de 4848, dis
pose que le jury de la haute çotir peut prô-
nônTOrH'àdmîssiD.h "dé citcpnstances atté
nuantes en fàyeu,'r.de l'accpsé, 'et ique^a, dé-;
ol^râtion,. à cet égard, çst rendue à la .simple
majorité;,;, } , -, - >. - .il -
i. Nous.avons vôulu établir un parallèle ra-
pidte.çntrei'le£ articles; deia Constitution de
i848'7relatifs '^^l'organisation de M la haule-
ciouf ,3 èt"ie5 dispositions" J du éénat(is-c6n^ (
suite f *pr6posë' par ,1e gouvernenient jfjjafii»!
d,^' liijfi.ùx. faire appi'éçier |'^spriti '4',équité,
^.'aidjeté Içs. derrières. ,ta première haute,
cour justices été instituée,par,laConsti-<■
tution de. 1791 et, maintenue soùs-ieâ Cons^-
titutions dé l'an III et'dé l'an YIIl; e»'4&î$-
et en 1830, elle' fut remplacée ; pâr la cham-
brèdeispairs; dont lecaractèiffpolitique sem
blait 1 cepehdant exclure les a'ttribtitipns judi-
ciâirêsquelaChàrte lui conréraii dans cèr tains
cas; mais Ja^nais jusqu'à.ce Jour, les pouvoirs
de', r cette #àute juridiction p'oçtj é^'aussi
nettement déûnisètréglçs' t qù;ils le serent par.
le.' sénatus-CQnsûlte.j Lescûisipositionsrde.'Cei
projetsonfcclaireset précises ; elles Repous
sent todte ambiguité;>eten assurant à ; la re-
presSioh M rectitude 'impartiale' quv' fait sa'
force, elles réservent àiix âccusés toutes les
-Nanties qi^ sauvegardent les droits.de là-
fepsç,, ^. j, • , j-,, , j i f. ,
Le pepi$H}ire ,4e îlâi rédaction, l. B9N1?a»b, .■ f
i "i lit* i.i. 'i '^M»wii) , [iiî
d'impression, ,que les Jpctpurs -attentifs au...
ront eux-mêmes relevée. t)n nous a fait dire,
que l'itisuffiÈance des recettes était de 48 mil- <
Irons. La «ofmpafaisoades chiffrés des k-eoet^.
tes etdes dépenses nïonW q»ie la difféAnce
,esi de 40 millîcfns àù Jïép' Bç- 48 v Cette ( îïïsuf-'
Bsàn^e' pourrà^'ope 'êtr,e facdeiriéiit cowyer^e'
par lès,apilu}atibps' de .bré^it^^quî^ont, épi
moyenne, de Souillions tojis-le&an^o' ■ .-<•
U --- 7 — - "ifi u, i f '• ' ' I ''il -1 '> •
.M
«fjpas^ar lst soie hiérârehiquèi
^L»iJe suis.dont; àTtgret; forc^ de tous iiifvitèr
» à soumettre à l'autorité compétente, -Êhargéè
j> d'apprécier toutes .les flemârideè Avant dé me le
. A près, àtoic lu. cëtte 'piëce,' jios' compairio'tes
çGmprendront^ue ]e--sojti JdeJéurs intérêts, tou't-à-
nos
dea-qu'ib.seraientidàns l'iiïtêûtioH' de faire', par
ia.fijière.ildmiûxatraîirejet'ïionipàr'ia Bôtré, pour ideg questionsldecettôiiatûre, se trbuve frap
pée ainsi d'avan ce_d'jine 3 c» Agréez, Monsieur le,rédaptçur, l'assurance de
is sentnHeris .di&tuigUiéâ.-'i-ii '-î"
1 ç? jla. ^EMI^E/^okin, SAPEY,
; ,Jir : » Ueputês de laJ)rôme. »
_ ; DÉPÈCHE jjÉLÊjîhAlpèrQÛ^^
tiBerlin;'7'hiàl.ïi> T
"ÏJÙO
S ul
dé
royal concernant/la o^mpositian future de la pre^
mièi;eclianji)^',^;^ lll0 . ; .-..nj-t,, . f /, : .-t
La commission a conclura rejet. : ' j ,' ,£ - : :AI '' ' J
-. Aprèsiune îongttë dîStfu^sîôn^ là' kecisn^e .dbiffl,
bre a ^rejeté [irojfeï .du'gouvernemerit 'et ia prôn
position de la commispn,-^
.3 iitW U«.uU - .''j..' 1 »'l Si
{jjî^5s ■' ''' J| ''- ' "■
r. Une ordonnance-dé-police ;-en,dât^ d^ ce'
jour> règle les mesures- d'ordre et de sûretc'
, à obsérvpppendànt fêtes.,iïiijitaires, djes
t I 2 wûs^p félons connaître
■' S n ^PP S ' 1-itile.jles dispositions lessentielles,-
;.pn sai| que la distribution des aigles et la
revue sont fixées au lundi 10 mai» Le màrdf
,1,1, un ibai/sera/ donné à l'Ecolê-Militaire.-
j Le mercredi 1-2, un feu d'artifice-sèra, tiré suf
les hauteurs du -mcadéro. Le même jour,
.ilyaùfô'bàiiàuM dé Mo couverts et spec
tacle aux .Tuileries.-, . UJ t ; „ ..
5 y'-,- î > ■ '""I i I" • =•
,Le,déQlé 'des troupes,-à la. suite de là Bénëdic- 1
tion des aigles s'exécutera dans l-'ordre suivant 'i-
..l'.JLe génjéraJMagnan/^cbnjmandàDt en chef, et
;spn.état-majorj;t ; i j ,n iu; • ' ' ..«i ■ ' •
i 2° Les dêputations de l'école d'application da ;
[l!artillerig;et, dp génib„'et-fdé .l'école'PolytfechKi-
;W) 1,'école ,d'application dui. corps d'état-major^
■l'écolç.jîpéeialg! militaire- :, saus les ordres- des
commandatià respectifs de ces établisseu)ensj :
L^.©5péral ..(îarrelet, • comnHûidadt: toutes sfes
troupes, à pied (y compris les dêputations) et son
état-major;. . ,- t ;i • i m ■ ■■ 1
t ..4°. La djépqfotion des invalides elles dêputations
des- vétérans, .flomtqanaiées par le:général"Saubôul; '
S" Les dêputations des bataillons de chasseurs à"
'piçd-; d^ .^tai|loos, d'infantisrie légère d'Afrique,
ides jéquipa^, de ligne, des compagnies; de discf- ;
jpline. d^s .bajtailloiie, de tirailWurs'J indigène?, lès
|bataipops de chômes àçied ert garnison à.Parie/
;la compagnie des équipages. de. ligne y lesaouvriei-s :
kUadmiRi&tiraji<>a et les infirmiers, oemmandéti par
le,généré F«reyj -o .it, ■ , "«..>« ■' :
députions des rétiniens de lign'& e'tlé^
gère, des regimens d'infanterie de marine','des' ré-
4ftn,de l^riilé.e de PariS)(à;raiïêa d^efUi Bàtair-
îomroaijdées ,p&r-]e-génér^l Martin dè Botiiion •
,,7° Les, brigades 4e, la 2"-.diviàio'n de l'arniée de '
?$is:(deu*,J)aJ4Uto«9:pMTCgiiheni),:sous tes oiv'l
lî^deçlepigjgpner^uxrespectifs. cptomandéês' p4r,
y tf>t ♦* o , y t '»»}< * « f »» î "»» t */'l J* i ' ,f
^ L.L» —
\ IILIT MILLE PIEDS
••• 31.]. , .1 I'. I L >->i jC-« —
- 'I- v ,s ï.rî.'îblÎH 4ÎJ0V
PHESSISR VOLUME.
J rm
a v-rî c
"- î'.ob -r..: i ii«> t --
- ' " V PÀLiïÉRÎNt* ' t * ~
j-.. m' Niji/tVl « —
. îï/L< .é;?:. a; i?P u b'J- :':i\ no'ifp fipid
PalttièHno; .^nî^aiia' Voû réd't^ç|s^r-"
mpe » ■* '' ' M * , ' * H . \
a Je nè voûi iérâî 1 pkif fà triste et tô^'gîe'
hiko'irë, de ' 'mes résistances^efdé me§ 'côm-
batà J càr rài'résisté 'd'aboM;. |e you^le ré-:
pèteVj'ai combattu çdptr# inoi-mêmé loya-
Iement, avec le désir sincère dt> triompher.
Mais j'étais si fatalement prédestiné f,çette,
nè faisaient,.que i'ènfqncefd,avantage.; I( fai
llit bieû énîln me déclarerykincu, e.t j'eTn'a-
bahdonnaldès-lprs à,ma destinée?, , ;
p . Un, jouï pourtant, ] je m'imaginai qpp
j'allais ressaisir les, rênes de ma volonté.et
rester maître,. du champ de bataille ; je m'é-
tàjs si bien,' raispnné, si biën!goùrmandé,
j'avais ' "évoqué 1 devant. ïpot, âyeç une,, telle "
clairvoyâticB^ line impartialité Si absôiuè.
les impossibilités, les dangers,,les, tortures
ottjè nie. précipitai^, .aveu^lémèpt^we j'en
aeud.uce ipl HVyo
à sa, cbaînéiUlTie nous laisse erpire up ips- ;
tant à' notre force que ptiur fâiïeéclater'
mieux notre faiblesse.
» CommçXéteis danscettedisp^ition d'es
prit, il y-eut,'à la &iav uûé.grande file où
ie fus invité. Ma présence y fit presque sen-
sation; je dus* le crôiïe a^ 'moins/en enten-
begH^alabrais^q^'on. m'ayftit dpn#,, et les
;piq| belleSifempaes, d^ la cour me lemoj--
: gna,ieijt,assez parleur? regards,par leurs sou-
; rjr^ : aue ç'éfeit bien 4 moi M'jls s'adfes-
i saient..Maisétait-il pou? mp^ans l'univers
|eptier,t d'autres, "que^ellfi qu'iavjiit
!toutnjop.culte pt tout mou amour? JLa ^iqe,
ie^é^nême'me.iÛt l'honneur pe ; m'engagcr,â
danser ayec)éUi?. £ommé,après.la danse, je la
irecondyisais ,à ; sop!siège, j'aperçû^,,pour là
:prçpiiçm. fpis, ; '4â princesse éblouissante de
paru/e, ^bloiyssaple y dé bça^té. ^e rougis, je
miUi§; mes. genqujt,"§e, dérobèrent. sous moi r
jet,' au lieu d'oi}rir mon bras àlâ. reine, je fus,
•obligéjtpmber..jSa Majesté, étennéè, ode regarda
■fixéin.eut, et,frappée sans do,ute demapalp'ur,
jdu tiOplgverseipent,de.tous paes traits, elle ine
jdepiànjia si je,^ irqûyais mal. Jp'jbâlbùtiai
U1 «« ^vitiinA nmVtCkitunoc^A /Irsni
fpôînt qu'elle n'attribuât mon troublé à la
dis.tinçtiftn,dppteUe m'avait, hpnt^ré.en dan
sait ayéç moii-iCette erreur jpae sauva. Je me
remispa!r d^résj pt quand je fus pnfin.ren.:,.
nu a la,libérté f je mf réfugiai dans un foin
du salon,où je pissat tout le .reste de la nij.it
plongé dans une contemplation, silencieuse.
Et voila,. Hudéntz, comrpp i'etais. gUéril
j •» Q'.est de. ce mom e 9t queje cessai de'lut-
|vemmer: encore, e.nry rétpurnanj, le fer, mille
jet mille fpis. Je,cherchais avec ardeup toutes
lesl nccasions* dp, rencontrer la princesse ,
sidqîmèm^ iri^n!, jdufuime tremblément
qui avaient $dlli,rme -pérore; au. bal; de.- Ja
capr, Qpel éjbitmpn : wt^mori,,éspé) , àpcè ?
jEh-| Iç-^âyaisfje mo^mêm® ?, J'aimai!?, popr
aimer, içnmmel'Oiseau chante, pour,çhantqr;.
je\p'esp^ais' rien, je. ne, voulait .riçn que
yfwc,,la 1 pri Q pes§e s , et la voir toiijour^. Je me-
fondais «nettement compte de p^a pqsilion,.-
pu^ je nayaiStpaSjiiue seyfe des illusiops dont
iVmoprjë^ i^ riçhe ? je,,sa.vfti? flûe la prinf
ç^se ignorait mon -nom etpeut-^t^.pion-
^S,tfiûe,&ilqu'pUe n ayaU fr, peine Remarqué
WPrése^, ^oiqu'elïti^pi'é^, yu & |ant dp,
fois, ; sou. apx. pof,tes,du. palaiSj,. soit $ la
f *■« ' I4 i > i * 1 \}\X 00 ,
vu**#;:;*** ^
Îtorfcfere-de-soa* carrosser soit ïneàie--aux
êtes 4e, & m o 9-Pbsp.!i4té 5
âneme, vp,% le, airâji-je^ n<\. me déplaisait-',
t' as,. Je, Jrç^vaiç.je'.iiè sais "quel"bp'njheuç.i
ti-angé à^e^tér.jÇpçfopdii pour el}é dans là,'
ifôule, l'a,iorer en seçfet.; Voilà, yojlà Jie.yé-,
iritable àmpur^jàl. apnnë tout et né réclame,,
jriepi en échange!;) Il.se sacjrifie, e|,le prix d e
jspn sapriffçe eslsôitsacrifice même.Onm'pur n
xait demandés} je consentirais)à passer ainsi;,
itpufe ma'vie, qpe j'eu^eVrepôndu; ÛuiJ
» » t Cri jour vint, qependant, et ç eét'Té.na-^
tâit,'un my s 1ère, ^enfoui 'dânsJé plu? profond,
dé mes£ptrai jîes,. mai spaùh potence et .saiis T
dpûte aussi m°n nom. La .cpnr étaij^à Car ;
serte. J'ét?is de g§r(iq â .l^'po^e^'u palais.
•La • pripeesse .était .sortiè^en .carfoàe/p&m" •
tune promenadp,'dans les environs. Un,orage !
avait, éclaté. CQmme elle rentrait et/pif son ::
carrosse était déjà arrête au |ia^ du p'érrôn',
m'aperçus, Qûe le's marches où. elle tj.evg.it
dqsçendre étaiént f ,mouillées'par. là plûie'i j
J'y ptendls àl'insutpt mon inauteaif saps mé-
ponnerle témp^.delaréflexïop,. pa. gnricésjsp
m'en répompenser,
sa; main^sùrmon , , t/ ,
marchepied $e la voiture su^ lé, premi^rde ij jj
gré du perron! Je'sus' plus* ; ïar4,vqu'el}e|
çivait été réprimandée pouf cette, ïî|fraction
â l'étiquette, et moi" je fus envoyé aux ai-rêts )
pour.liuit jours .par, .mon, çplonel; à Èsti-
^ mez-vous tfès beureux, me dit-il ,sévère- 7
» ment, qup yotre inconvenance ait eu lieu ? t
» à Casertè' : ce,séjour de la,campagne, relà- ,<
j> che toujours un pçu la règle du : palais», À >
b Naples, vous ne yop^en seriez pas. tira, â «
P si bon marché". Ouè ceci' vôuij çprvè.de le-
|> .çoij. Soye? à,,l,'ayeriir plus .circonspect et jj
| moins téméraire, » Je le laissai parler.tani: r
quil, voulut sans l'interrpmpre ; ^ lui don-
nai raison sur tous les points', et je *,passai .
mes huit jou^s d'arrêts dans uu emvremeùi
tel,- qu'il approchait paffois dés limites;-dç,.;
laf folip. ^on ( piieauT ( àa mjainavaii,tou,cbé mPnbjàiJj s , , j
| J> t ^.quelque'temps 4® là^ la cour, rétour-î' ; ,
na a Naple8., Uq mat4çi que, mô^ séryiee m' 8 -- - s
•> *«■">» i .-c... : ï . r n >
-^vait appelé* tlans*- r intérieur ^des-apparte^- ^e^aigQerf^lifr^ta-- : le^inouchcrnreHe^efe-
. tviotic! ItirnoinnAcca nnsen /Intront WIAI SVA+o.!* . 1« W A«t;Ai.A. .Tl 4^*^.1 m ■ ,r*i » .
me^îj, 1^'Rr.incesse passa, dçvapt^mçi» pétait,
la premièrq.fois ,qua je,la ffiyoya|^;,depuis.Ja
petite,ay^ptur.ede Càsej;t'e:'J^fus;pris'comme-i
toujours,,a, sa yu§ ( , dUrn t,el saisissemçpt.què,
j'ojibliai-fiè lin rendre les nonaem"s militai-'
rès que l'on, devait^" tpûs.lës-membre,S, 4® 14.
famûlg royale. ÊJlie f aperçut dp ma distrac-f.
tion-; mais,.loin de s'en ciïçnsèj;', elle-meje-j
garda ^n souriant, et ce souifire était sj gf-
fable, ; si. bienveillant,, qu'il .sémblâft dire
«,Je vous pârdpnne 1 p.£^eut-être*:j'g Je vous,
» comprends! ». Puis, tourriapt Iesj-yeux au-!
tour.de ^appartement;,* t; . ^ [' !>H
, ., « Personne, ne yous a. yu, .me, lii^lfi
». voix basse : cette fois* vous n'iresz pas amc.,
»>rêtsU, ! , i/xv'SÏli ,,/?*,
. j>;Elle,m'avait4onp reconnu/ Ëllç me con-,
naissai().,,Ene se .^ouyenajrque, j'avais-été;
puni à caisse d'elle, cquime^ë'-mème avait"
été réprimandée çaiise; 4e ; moi,J[p' u'é^r
tais plus ^out à fcpt. jin. étranger; pojir. ellp,-
II,y avait entre pous Un li^n',. p/ësqiie, u,n sSït
cret. N'étàis-je pas, 'ami, le plus heureux dss ,,
homrnqs?,;., .. ..7 ..r^^.Vî
,» Yous trouvez, je, le çrain?., loi^§ ces dér ;(
•tails ,bien puerij^., Mais,- de fy quol yivent.lçs .
passions ? N,'e5tr.ee pas de ces. mjllé puérilités,, i
. dçjces mille. nensj que.l'amour,frans|lgure
I et que sa baguette ench^téè jtrâpsforipe èn,
• évéuemfens? Il m'e^ reyi^.'ëÂpp'f^ uu à îa
mémoire; kouffrez que jè votis le Raconte; çe '
sera le dernier; nops eptj-eîpris «nfuite; d in^ -
Jes entrailles àêmes d^^ àrc^nè| mysférieiix. ,
que. la mort, -héias.!, yjept" dq .dèpouer si .
brusquement.^. s n j ,V
0 Pendant une; cpjùrsê, a* Porticiy pendant;
laquelle j'escortais la.voiture royale ,■ je ga"jJi
lopaisià l'une 4es portières,; celle précisé- -
ment dgicôté de laquelle la t princessê- é'ait
assise. Il était impossible 'qu'elle ne rae-,y)t •
pas et qu'plle .'no m'eut pas reconnu. Quant j
a moi", j'osais à peifie la regarder,udâns'la
Crainte que le saisissement que .j'çpro^ypis
toujours à sa vue ne m e déçonefrtàt aqpoiii^,<
da me faire perdre les éviers. Tout à-coup*
une des glaces-dn .çarrQsse, se brisa, \ r je pei
son meuchoir ; ppis^-au bout, de. quelques
instans, la blessure, sans douté, ay^ pessé.
'ar,la,pqi;îi§E& dl ,tpmb|ij?i.beur,eu§emÊPtr
toour ; môi ï'^plevaij sansm'arrêter, aype
la pointeûfte rpgn épée et jIq, fiàpliai furtiyer,-
^nent. d'ans ^spoijtrme.^lqn .mouvement,
avait été, si prompt, que personne i?p l'avait
remarqué, A jpq^onne,. exqçp,té;la pripçegsp,
jquj.jHjugft ex.ce.§si,yemep t,et ^ç.rpjet^ dans Igj
i'ond dû carrosse,jsans pluç.p.araitrp aila ppr^
iièfe, comme,4^)il'ayaii.sou i yer|t, J lait .;ftupa-
rayapt. Jl. était : vi,sible quq mpn. aydSCPÀ-;
jvait blessée^, je, n'en pus. dputeç,, car, depuis
ce, jou^.ellejalTecla, chaque Çôisqijie je,la re-,
L 'is,dejgie 1 me pôiiltrfconp^r^iPlus dê sou-,
ire'sj plusder^gardsj .§( >n œi} -était de:glaç% :
pn.visagft,4^marbrq« - '
quelfiprix ^ayais-je acheté i*»..; J'étais au-
ésespoir.de 4qi a^oir dqplu 4 çt 4'aatant,plus
plaindre, que je n'avais auèun mo.yenid%
i^jqsijfie^jjo^çe^ueij'aurais pu, tenter
ôur.r^ntrer.gn graoe auprè? d'elle.,n"éûjt,été <
p ma parj. qu'une.pôuvelle offense.-Jamais,
ricore je n'avais été si malheureux^et jamajs (
[çpujs.jene-île fus -davantage^ J^ T #n'étais
f endu. coupable '.d'une injure involontaire
sans.dojite et pa|[4onnable §- tgnt d'amour,
mais enfin que, la princesse* avait .ressentie et
pont «lie mé ■ pynifsait .gévèiremen^ Ôh !,
combien ..dors» je ({regrettais; • çes.,premiers
temps ,4>ùi n'étant pas j connu; d'elle pt;me-
! éroant dans-Ja lpule^ je pouvais 1»l§rèloig\r, §an§ cr&inte!et 1 saps i .i , cmord'$ J Je
'osais maiptenant leyer ! lps.ygu? 1 siy: elle,de,
ëur de rftnçoptrerifes sieps^td'y lire.le. mé-_
ris. -je. ne me flattais pa? même d'y .trouver/
eîa#olène>i, Juoi .iô> vM'S'.acM
», Lorsqu'ellepa^sait devant moiindiffé-
entç e.t flere, ; sans; m'hpnorer d'un regard, ;
edétQprpais humblement la-vue, -et.jç de-
nandais à la terre de m'engloulif jdans.son
i iein. Puis, quand j!avaisflfli,mM service, au
jieu de chercher des distractions otites di
versions, j'allais m'ensevçUrjdanSjlasQU&ide
èL4ai|s ma.îdQ.u|eaS. torrsssîsde m®,larmes
|e;mpuchoir dérobé par surprise, iCèpay^si,
hèJ.i.j'aJtachaisipej lèvres sur h. pré»
iéujfc t doq.t,ili portait la traqfe et,j'aurais
Qqnp iouUe mmpour. un moJU.qift distje^.
pur un seul regard de celle que j'ay»'i» oféi
VW^ÇMSsSsWÎBan-»»»»»;'. i »»<-»»»<«
fensee-pour l'avoir trop âlméè elirritée.sanV "
ffgtppr,''i i • m ■ b - >r't r.', u. t ■<
I -%;Le (Suicide im,'avait souri «omme dn'ëûr
âsile^ lorsque,.léprpuvanb.ltes'premièrëè at- -
jteintes Ide >cetiamouri impossible,» ^je -Voulais
m'y,soustraire;à toutprixf; âLrévint alors me
f tenter, mais fois: ayeetant dë-sédue-'
jtions, tant d'insistadce) que{jè Succombai"
âjla tentation, - iNe î-pouvant plus-vivre ainsi,
le résolus :de. .mourir, et! si Je. n'exécutai i
pas sur - le - champ cette résolution funes-^ 0
îe». «'est jqnîiL reste-àu jfpnd ides malheurs les
-plus I désespéra .un levain ; d'espérance qûi "
pttache à la ^ie^ari-midernier'lih'i-^ Avant"
de'leïompcej smedisfje/essiàydns'd'tlà parti
Extrême ? qa'jes^îce, 1 que je risque it qifai-je "
!:perdre?*Si.j'écbï)uej je n'en serai-ni plus"
tipioins malpeureux, et ib sera toiijours ti
•anps 4'eu fiqiri -r iCet ajournement conclu "
ayee mo^même, je.met sonUs plus Lalmè, et a
jne..misja chercher iavec un ^aog-froid si-
nistre-ca moyen-suprême quideVaitiné sau- 0
Ver ou me perdre tout-à-fait. -* *;• j, - D 11 «
-^Le.basardi'leitiel'pejit-'êtsre,! vint-à m tidç. ,1'appri^^parffiûes acàma'ràdeâ -que là '
)tincessa. faisait ■ fair^S^on-portrait par le-
jçintro du roij ,Je> pris sur-le-champ mon
>arti;ifit qudique je ne cobnussè pas le peiri-- -
re, j'allai Le trouver.ie matin même. -« ;
,« Monsieuc/lui dis-je, j'ai fait un pari
> -considérable jet' vous seul ! pouvëz me le
>, faire gagner.- Le;voùlez-vous ? ' i ■ -. ' ,
De qUbiis'agit^il?"t ni|» .-i - !r >
• —» Yous! faites le portrait de la princesse *
et j'ai parié que je la-verrais poser. Mebeî-
.pour yatr&éleve, votre aide,:vôtre broyeur
de.couleurs, vbtee Ijiveiirde pinceaux,'tout
•ce que vousTOUdrez; pourvu que j-'ëattel
Qùe je 'gagne seulement m'a gageure; je
prends toiib le rèsfe sur meti. » > ■
t» Le peintre refusa pet; C'était Un,coûrti-
;an ; il craignait dff' èe comprômettre et de
jerdre sa place de pèintre officiel', pins j'in-
iistaisjfplus fl rse:-.montrait rétif, et mes 10s'*
ancesi n'eprént aucun» succès. ^Lê. voyant 1
;Qurd;àimes prièces^je m'adressai à, son in-
érêtetûavibrâr £in ly.i les fibres-toujours si-
cteiies àiémouvvir d'e la-cupidité. »-*1 i 4
je lierds mott pari, ïui dis-je^Je éè- !
> s"--J
miRGMll : rue de fWM (Palftift-ltsyal), n: lOi
r f. i » .> ■,* s .* f ïa «. .* ■> ; * ;/ • •»
B
1852.-SAMEDI 8 MAI.
-, " '.*> .» ■■ <"'i!i-r-nla •*>' . U <■»a
,-PBXX J>S fc'M09KSa3^Jf« *£ .-.Î I
PtUTg , . . H ff,.,pi^,TBlMBSTRB.
DÉPAJRTEMENS. ^{T/TK
JN NUMÉRO : 20 CENTIMES.
; -»i ::n sifr-mitT'i .» -K aa
bi aéonoemenf datent du 1» et 1S
■ t K > ■■'.> ■>'>< idt ehaqut oiàwt! ; ;Iô ?• x.
-. i;> inu ' .<- jîii-ïl-f^ns ;>! ut^ta i»?
. nui LE* PAT? ÉTimawi^!«»!Jcilortèït!i' '
.tableau (pU.BQrapiibU6dan8le:jDTn1iaB 1 , ''î £ : ?up
les 10 et M do chagu« moit^ î t ■> i::- t;v uo-< fi:»'}
— !:v
— > .î V.poiion il iD !
- Fadrmefc, tràxxco,pour îa mmUot^ dîSi'(^J*
ai Xea -arKolef'déjjosés ii
;
- \ ■ ' -, 1 W , : :' Le devoir d'unbon gouvernement ety'ir^M
.tipre de travaux, .p'utli^^^'fîiuiifcki.ôu.
As» •
i:,: .1' t'/: I ,J,1 yifi:,'ii-U }
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/O r / " ' V,\ v "
i v,:v. ■!- UU-IL 4:;V^L-A ■ -.a
ii ; -.ih-i'.-i kk " t ^ /Cj'; >-*
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1-, }:.0!, 'jjfq ri) Ju,fi';jtr b 4 'ii.if
Tit 1 T' j 1 1\AT Tfirt 1 /i TTI71 1 a ,J ' J
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-3-à '.t!,'!' c. s' 1 >,'< ' - ' j'] "'J'J.' ÎU.;><'PO'J ■>
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LITTÉBAÏRË
j) rj 'i-t-j ■■' ''i ' ■■ î
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<-* J • iJfj i:('c .. w s . i • u t i;i-u
fû<|m!nû^aiJO*J : é Mï DxNAfli, dirèctémi ^
ialï etchei M. ' ' ' " " Ji
de l'etenir l'esprit d'entreprise,- ens^déter^'
njinant d'après 1$ ; sltuà^icfô. fîdaiiç;'^ âu
pays. S l'esprit, d'eatreprisô :ge montre 1 ,irré 7 !
solu, 's'il hésité t ,^%'engà^ér,;tpalgi^ X'4bpi|r!
dance des capi taux, u ii>xfaut i ie« «timtir^ri '
et lui dooner jjpus; le^ '|à5QÙràgeiQèi^ t ,4§ I
n&ture i vaMjcre
se JaucètSaqs.jdësy aflaireSiqui dépassèntles
ressource^ disponibles,! i il 1 J'ajat'Modérer
dans,son ardeur,.afin de préVenir riés
barras prèjudiixables.àtoiislès iQtérats^i/bâîi
bUeté consiste .à discerner ce' qu'exigent lés,
circonstances, ^tà"savoir.;agir,au môçôeni
opportun.. j J .- ../m ••••«;'! \
- Lorsqu'^près li£ cou| , ''â i Etkt âii;24è<îèmT
bre, te triompbB de:la caiise de l'^dre-ét l'af-;
fermissementtie la, ^aiî4uilljHpul)liîûVren-\
dirent la «onûanceiux^ capitaux,'; îè p;oûVèr r
nement dut '.seçondéi 1 , le g .|Çi^veffleftt:d'eî,T ;
pansion et de pregres qui succédait à; une
longue p ; ériode de c«inpressioi4|l y|'avait
line masse d.é réservés disponibles 1 ^pil n'aK
tendaient qu'ùné ^oppasipn-^ypràble'pour!
ebèmip de fcry quin'ayâitp^ së relevjgf dfrt ?
puis'quatrçr^QS- OuVûîniaitaùiki là^teliers
métailuiigiques,et l'on assurait l'acbèveïnent
deg principales lignes dé notre,réseau: -y .' i ,
Telle a été, en: effet, la COnd^jlfé, 3tt goi}»
vernement. lia ^rpvomél'eaprit d'entreprise
qui était frappé diûertiedeJjids'Iâ révcflutioii
de février. SeS efforts-Obt été couronnés d'un
plein suecès. ïlest parvenu-ài.conclure cette
Parisa Lyon et à.Avigàpnyqui pesait sur rros;
Qqa^ce? ?|r quetfAssèmblee l<^àUve.j3$Y#î t
pui imener à tien. Il a-assuréle développe^
mënî dè.nôs Çgaès liinor^ d^l'e^Çtdii;
ôr. Vnrr.ln.^,
njqins ^içgulièreipeçt, Ralentie iS pp, & QQSe
révoiuâoxmaité^ et de replacer la Franôe aû
niveau des pays ymsinà^ i .
Le gouvernement |iY^it:U-Pîanquê fle prur
dence,- avaitf-ll été frop vtt&en ;ffUtorisantî ces
traVjàuî ? iSOUSj ag lé tyaspdsbàs: Â.impork '
" *■ *' *'« . _a — , ~mïw*rXt\r»*rl J -.'W*îrfi*K r>\
présentent,
quatre années: Il s'agit de lignes appartenant
l?t plupart au,, tésea]A général'(ipiit lié^ecy,-
tion a été décrétée ^pàr-i -uns loi qulidate.^
18421, ,Lja dépense qu'^s Rivent. entraîner
qU^, répartie--sur un^certain notnbre d*afi-|
nées, elle était èïLrappôrVavêc leà forces du!
pays; - "* '■ n 6 : r ^
. À quelle causé f^ÙirÛ àQ^.attrihlier.i'es-''
pèçe-de lourdeur ^ui s'e^t; manifôstée'dâptfis
quelques jo.urs^r .'ifr'.^atcUé'^eV c&enùfls,
de fet-?' 'C'est que- les i ^»ffipagnies 1 , lôin'^ej
itoijérer les .appela'de fôçdèén raisopi soême''
de'la ë)mtxltafféitëde;leurfe;demande^-leS;ont;
aU ciontraire porté?) -i ►cLçs'jSÔrnïo'é^,t)ôrs /K
proportion' aveo" ( lês^.^)esoins ihiiîiédîatfeÇ'JÛi
lieu 4e s'eatènc&e; ppur jécbeïonper 4^ yer.-;
ce,
paç dangerèyx, parc^ ( ^uê lê^ rejsçj'iirfciis^soût •
abondantes, èipaicàquelèà xiQÙlveaùi titres,..
malgré un ejrèôfgëmënt ^çd^èn^^a^ëif-i :
drojat à, çé classer encore ,ààeifc'VaPidèwm^ !
gouvenieme'nt dëvailtenir cpiiîpte^t ! qu11 8é
pris J 'èn considération^ '* * '' 1 , " 1 1: '' v r.'f " r 'f ^
v ^insi^aprè^^voirstim^éi'^prit ^'énWe-
prisçjè g9uverteœent,;pàç.ÛQe appréctationj
intelligente-de la situation,--s'est :décidé ; à48 ;
contenir.pendant, qUelqué s temps, avivait
préparé et envoyé aûj cpnsëil d'Etat ifn 'pro^
jst.de loi çour là concussion du chemin de
fer dé ^àj-i^ &^àenè^à Çhe^bpurg. e4
diail.un. autre pourilaGoncessioniduchémin
de Bordeaux à Tâtilô'use.- Q\ielqUe avancées
fe fussent .ces affairés, il a prislè s : agé parti
Içsajôiîrnêr^'afin^è, nè, Ija^, Ic^ssèr émfeltre
ufliflquveile.quantii&à'acUon^ et d'obliga-
tionsqui auralent'buencombrer- le marcbéi 1
nc6mmencéi;a ; ^i|i^êmç ' ièg 'chemins, afin
depepas fpr§jo^jffrir da f jetard aux'popu-
lations intérésséesj piais> pour lë's coticëdeiy
S'attendra que .'lë^lili'es en, arcoil^tipo se
< sôient'classés et' qù'on puisse Mrft
! \§lappel ^uXrqapitam pans prqdutre aucune
! espèce d'embarrasj ^ ■■j uk if ,.:v \
l' Nul doute ' (Juip feët âcté dé prudence n'exe^-
, cé une-irifliiènce îa^able, suy. lasltpatipn. !
|LaàBanqUô de! Eraac&. pourra, de son -côté,
• aider à là brinnè teniîe desi'Meurs si,' tout en"
sq H î^^tenaiit 'dàii'i ; les ^imites,',^.' A pa-J
gessepaelle'-Venti prêter, ûnconçours efficace
aux opérations de chemins'de fer. Ce grand
établissëtâènt 'possédé d'énormes capitaux
don^ilja'a p ^s4' en 3 PXM? jFP ijir çpaqi ,ne les ap-,
; piïquerait-ilpas àu faciliter .les versemens des
, aetions et'des obligations rëcemmeni émises?
iTôutlf iQonàey;gagnerait : jes actionnaires
'et lés porteurs d'obligations, qui pourraient
prendre 1 leur'temps^ là Banque, qui tirerait-,
.parti dé Son àrgeht;et qui ne courrait'âuciin'
srjisque ? avec la , triple garantie de. l'Etat, du
: . Jet,- ^#.lfai^'rjaï|Lleiir^ epflh ^'i^dùs,-
! trié'«t. Je -commerce-jen;générali qui.^e res
sentiraient dès'facilités donnéès àcqs opéra-
Uibris. ' " ' "•-■'"i'-' 1 , ,;f
-. fineaspurëf du vresto, 7 que-, la Banque -est
jtput'à-fait disposée à eàfiter dans cette-voie.
! Ç?f ^tj-ÇÙe ■ Mï
Ijjoo, apr^tRï-ow jèçji ion prémiçî.Vêrssr
;meat-de 450;fi , ifstr -ses;" actions ^sèsobti^
; gaiidps,; a? jdonn^àu^gorteuijs' 'Je dr ( oit de Je '
U estii.qùestion, 'dit-onv. d'un [ arrangement
;en s vsrti^ ^a^^él'ta'lBang'ùe se chargerait';
fd'ôpérfer^àreictem g. le.vir placp, Jes^'er-/,
jsepienspaf ^ifjpationi naoyennant ^jrj in-
jtérêt À/0 s&É&eSiâyainces. ;Ôa comprend •;
éiémeùi'fie .sçfturiiéi: •. { '-i j.
; : ^o'us 'annoïïçîdns hier Vàû^meiitation
i été encore plus considérable en avril qu'en*
! mars/Noils^apprenons' "que le retenu : du,
l mplâ d'wtt a dépassé,^ Q à iQ millions .le
îiàevena Au ..mois correspondant ' d&i l'année
■dertfêrér Tfotïs-rie croyonspàs qù'il $ ait lin
; autre exemple .d'une pareille, augmeptatioii
eriflinjsijtil moiSîi :■>?<- < J. B erat,. m
"i '• A *- 4 :uki
! " J tors(ple '(toçtrjinék' 'âu socialisa^"étaient
; encore ;.bayjtexnç]à£,professées,. et [exerçaient.
sur une partie de- -population leur désas-p ;
treusèiinfiaenCe^ieS évéquesdeia province de :
Paris, Téuûis ten çoncile sous Is presidence de >
lelir'ar'chèvêqiieV i-fendireût' un,décret contre 1
mçipbres ^u'/^ergé à fair^-.'dfr la. r^fûtatioii
de ces erreurs, un des objets principaux df-
lçi^rs jirédicatijDns. M.lîarpbevêquede Paris",
(^nuné.jrèmièi pasteur,de, la province,' a
ebtreprïsyçle commenter.! et* ,dé, développer,
successivement JeSr ,décrets du -concile qu'il
présidait.iOn* se souvient
'quab.le fliandemç&t dan? lequel 1-illustrp pré
lat a monlré-quaJa> propriété,-tant attaquée:
impbâsible' de la, détruire» çans,.renverser
L'ordre 'ét^bU^'àr.Bifeull^tb.ême e.i,.sans" ûte^
àjf èQC^té.sôtt J p°lnt d'apph^j, ^'.-j
^es evene&eûs'politiques 'ont fléterinmç
M. .l'arbjifiyêque' aê Pàrisà suspendre.guelj
qu$", ; tem{îsie'cours de ses, util,é§ ^aseigoer
njeng.'" ( « IliS'èstfait âujtqur .'de nôus^aitrjl, un
grand silënfce; let nous avons dû nous-mêinç
il:l'hait laissée, «t vient appoïtei; al'aiïtôria
té" humaine;'le concours ,'de la parolç.diym^
dans l'cèuVre ;d'apaisement,': de conciliation
ét d'instruction, qqi^t l^lpier ,lés 'p^ssipn^
prëïa.t{lèfëh4 àujourd.'hi^ cont^ç lës Iheori^
q\ens ( ae l'anarchie ; ii, s'adresse a ui?è erreur
noir moins funeste et non mbins.perûdëiijiépj
explqitée par,l^ socialispie.Jl combat les ^o-
Shistesqui ,'se prétenilantles seuls i^éfen'seurSj
e la dignité buffl a ine,.détruisent lacharitéd^
ûs ne vç^entyoir.qu'U^è ^ùiïiiÇatiori. p
tabliV, ,1e vr.aji caractère de l'aupaôn,e fjiité ëfc,
demandée au'pom de .DiçuVil enseignç l'ori-,
gine et.'Ià" nature, $yine d^ ,là jcnaritç ;» II' .en"
racontèiles^ifacles/'oueclaient làgran^'ur^
^t la supêriorité:dëJa.foLcbrétiennë. f '!;"
'm
l Mr.inim f>i
-" ; 'Nddà r ay.ons pajclé'd'tfn àve^lémientdon
né' par lé; préfet ^ll^^-Vilétiné au %eàt
. Cburrifr'fe fafyeïçigîie^^n'y^ci'jte'tex^ \ v]
-' -W « Nous, préfet' 4lUe-e1>-Vjlaii5B^ «fflcier, 4P Ja hk-
gion-d'Honneur, ,yvt jla. loL^ut' la presse.en, date du
17 octobre'1851; vu la circulaire minisJ,én l eUa di; |fi
Vuurt premiéV â^ic1e J flu~joTirnàl : Û Petit -CouA-ie)-
de la Bretagne du 30 avril, commençant par ceskidts:
« Il en est-âe-l^EmpweKGomtim-des^joHtes de coqs »,
et-finissant ,parxenx-
mençant par caa',rtiola ii« QuelqUos:]burnaux s'occu-
. pent des cris proférés », et finissant par ceux-ci :
«C'est exécuté commè Trt obmôi'and'omènt de marche.»
» Considérant qu'en,cherchant à mettre^ en .sugpi-
cionHâ loyâulé>du J gouVeiuemeh^ 1 %.i i *eii voùlani ri
diculisera i.'arariceia.goleaiiijtédii 10, mai; il'iqtelri
tion du rédacteur.-a été d'èloiguer l^ CjOniianoç.«én^-
qûc d'insinuation
tenue dans le deuxième ai^ifile.çfctïdg na,tûre. à nuit;^
à la.cqusidératjott, ,de? pouvoirs ■ publics et. de -l'ar
mée» arrêtons r " " ' .
->«
cal Je Petit, Cpwrieii.de ta ■fi'-ftagne, dans la. person
ne de M/.LeçcocV.' son gérant,, et, de M. ph. de X,a
V}llebrune; sonsrédactsur. ett chef. '' ■• • • ' ' I«J '•>]
-•i» ^Arti 3; Cet ayèstissement'feri'. inséré éuîïtête dii
ptys prochain njiméro du journal) flqi{ eu çst.|'oJbjet
"» Art, , a- Le cpmmissaire, centrftU .est* chargé , de
l'exécution'et de la notification du présent arrêté: ' '
» Fait à Rennes, le 30'avriï 1832.'-J ■ > l " fl i <■ <>!
.si■' _ ' ■ ». ie préfet, «oB^sor. 5 «s •;
giïp.'. qui ' à drpjt d'étré'exigeânta et dîfflpiléf
en faif de* ^hkritç^ j.en^' spprit^ëment .â,
cetld* société 'tant' accùsée/'tànt.'Qsïomhiéè..
An ïnilieu de,la corruption j 'dés .failjles--
^és et'des vices du temp^nWnjoBurçerçt
qon^tédé îa bieuMsance. Cette société frgç-,
çaise. qu'on*,accusée d'être, JifliùîMipg' et,
sans entrailles', qu^on ^a- ,représe^téë cpmme"
indifférente et.ffbidïi çi*la., pauyrql'é,, tjs^ aû;
QQnjr^rp,.plus, prodigue encore pour le biènJ,
que pqur le mal. çy Pajis. çe^tre dé .tous lès;'
viçes^èstàussi lé théâtr^ qe" tp'utpç les ver{,(13. ;
liés éçriv^ris.les plussages ojàt fait,trop jbbn'
?^^e I^lqiiefpis d& ce q^'il-ya & bifcii-,
faisant, de.jîliantab^,, de,, ; jçnago^fique
de Pàris. 3 pè copyiçjif pas d'endormir;
la sociétéjffapçaise -par d'fixpe^sives.loûan-,,
gêsy. il p'ëst, p^à tQQÎUS, iôjuste fit moins im,'.
poljtique.de faâénigr,ë^ outre.mÊSpre.,,.
; ; Cl]CHÊyAL-CÙ.Rl(JÎIT.
isjb'in,n.-'i û.
soûmïhkmLs sommes avertis, le Pu-
^fùbiiTcëim^uitv^'v:''
« M.lç ministre*de îa -policé générale nous a
fait adresser hier. êcfiS/" pic. mîiiistèie d'huissier, la -
signification officielle qu6îVoiciî :'ï' j-»
.«stfeLe-cainistfeâa^potice générale,'- ' ; ' n
a » Vu l'prti<4® é?;der la ^Opn^titution, portant 1
compte-rendu de^'lséances- jd^Xorps Législatif par
les journaux ou t'ottt "autre* mo^fen de publicatiop, na
consistera què dans là-t'enroduction-ûu procès-vet ^
hql dressé à «l'issue, da *l\aque géaflee par les soins
dm président du Corps Législatif.
» Vu l'art. 32, g 3 au'ïlécrërsrgânique sur la pres
se, en (late du.t7,féyrier tv&2{ ;n . /> -ui^sW. ',1 >>1
^t) CoQaidérant|que daps sojï numéro .dy.i5 m&i pré
sent qaoia, Jè joui^naL le. Public ^ reproduit 4'ane ma-^
nièra, incomplète .lé.procês^ViM-Dal,'de,l»' séance du a
Corps'Législatifd^ lundi ,3 mai 1,8S2 ; ' ? ' '
? '"1; - - " J
- » Att. l«. Au3è termes de Tart)Mè 3ï' du"décret du' :
17 février. 18h2j un •premier ffipertissement est donBê,»
au.jovrpal le t P.vblic^àtwa ,1a, pcrspppe,^^. 4. Xa-
martinièrè, propriétaire : g§r4nt. . ...
» Art, 3. M. Je préfet de ' police ,es|i éharfeè' de r&.j
xê'c'ution du présent arrêté*." * •" ' r /
» Fait à Paris , le-« mai laSi'"'»-»''" - '>■* '• '' b
^ou.i if- 'V!-. j) lje'ministr&dé4a jpallce'gé'néralfc,
'.! ! « i -ip«î .. .;<>•> i,i.» Signé.:iDBM4UPi8j-- !
- ,,n .pour dpipliatipttf- -w;, ?.i j !» ' » ,1 i -;i 1 ■ ■-«
, ,i j> U) préfet de-poliç§,,sigpé . 4
Le '^«ShVâjpîitq bii'Post-'Scripîùtfi! f "" u '
« On nàus' appâftet à. l'i nst^Df j£, procè&^verbal
âf ,lâ,,séancë,'du ,f,'. Çe document forme ,24 pages[ (
eç petit-fexte'., J\yec, la. mei.Ueurç,'volonté,,'du mo^r-i
ie, nous nè pourrions'l'insérer'Sans le réduire;,çt,^
Je ( réduirp, ce.^çrai^^ilep çomrç/ipç,'jurisprudence
ïuji .yienlj.d'ètre, 4xpè par ravertis^éoient, qye fleùs.j.
ayons reçù^ou^'fjÇjtame? doiio obligés de npjpo^t.,
réjrp^uire çe.^ocèsT.yerbal^,, ïir; '; „
publié à Boulogne. Voici l'arrêté qui lè con
cerne r<
•j t • " ■ j » ' i : '-f j ' f i * N<'i 't J i»' ' ■ f . » /{ ( .11 . > t •»' ' < 'y : y 1 *!
<*.Nous,'.préfetdu Pawïç-Calais,,î, y.'. '" ' . , . "
» Vu les artiéles- pUbJiés 'dfmslTe joijrâal la. 'Co
lonne «t- l'Observait^ 'ixjtamtaenti' dèià^iâséi'ësfaux*
numéros das li.maTSv'4 malilenuatSi^aous.
Jes titres suivans : Les -.mauvaises, habihude^y la-. Dic
tature.administrative a cessé, Annonça judiciaires: ' '
» Vu l'artl'àa'Ûudécret-du!7 fèvi-ieflSSî;
. » Gonsidéranique^ malgré-de_récentes condamna-'
tions, ,1e rédacteur-gérant ,du 4qurnaV/a Colonne, ejl
l'Observateur et. ses collaborateurs ^poursuivent',le
système d'attaqile et de' diffamation qu'jls ont cons-,
tammentjpratiqué contre les personnes; - - •
- » Qu'ils s'appliquent à tromper l'esprit publioipar
des appréciaiions fausses,, pas .des ingjuaiMtious -mal-,
veillantes; '
Que le but de letlFrédaction, 'pris® dâns'son : en-'
semble,;eatjcb. déeonsidérer tout.ee qui toucheiaux>
fonctions publiques.et: àl'aujorité-:, ..j.iijs i.< r;t
' » Considérant qu'une telle persistance," h'elïe était
tfiléréej jurait pour tcsultatjîe faire de ce journal un'
instriiment de désordre et de trouble 5- o;.-1 .
.-p,Qu'il -çst. d»îdeyoir 4el'adp}inistrAfioa:(alors
meme que le mépris- général,, faiyustiee.d^ ces pu-,
blications Systématiquement ïnalvèillantesou inexae-
tès)> d'intervenir pour réprimer 1 tout ce qui dans les'
jouruaûïiporte. atteinte'. àilaJvérité.surjles hommeSi
,j> Sur la proposition.'de M-. 3e sous-prSfet déJBôb»;
l9ë ne ' A*'it" :K,i I *'--1
' » Art", l". jLe "r^dactêuE-géïint de L /2 ^'êàonàé et\
MSbserh)dtvkifie$i 'invité : à île pab'$erdtè de- ' vue;' •'*'
l'avewtv les obligations et.'les convenances 'dont l'att-!
servatioa.^st r^Gqtgmjindée |à la presse./ -. ,.. f , . , îf;
» Cet avis lui est" donné à titré de Brémier avertis,- '
semervt, suivant'les dispositions.du décret précité
. dj 1M/ le îsous^préfët ide^Soulogne -est chargé
de J'exécutioQ-, du! présent arrêté/ qui sera .ipséré en
tétei.dudit journal' par application da l'art. 19 du dé-'
cret.du 17îêvfier'18{>â. •
» Arras, 4-^^1-1852'.
À - i>.
ai i
«.f:.*'i «-ia-.i ; .'.n 11 >"-n*T -«w»
Nous avons. feit^çQnnaître les ^positions,
du projet.de sépatusrfioqsultq pslatif.à ror-.
gaqisation^la haiiter couîj dej ûsjLiçe», ,quj .'a
été récemment soumis, jpa?. M„ Abbatucci>.-
miqistre'de la justice,^ aux délibérations du
conseil d'Etat. L^Qçomijejdeçettçloi s'écarte
en hea^qoup dep'ojrpts des articles dfilaCoja^,'
titutionde d§4s, irégjant A'organisâtipnde la
hau\e cpiir instit}içe> à. çett^sép'pqu^j, .Les:
dispositions des la nouvelle IqiSQUt pratique^
et', libérais :> éjl«^ ..nouç -paraissent {réunir j
heureusement toutes. Jes pqnqiUon^.gu'^xij,'
gentl'iijstruciion,et le.jugement^me/Jet;"
'imparlial.de? fifîpies: CQinrnift çoptr^ïa çurè: -
té de lE(at,. .i.-;,]; i y 1 jsi • s !i >
.Une importante innovation >, ântoiJuite,
dans jIq sênatus-consûltë, [Çonsjsîefâtdàns,
la. séparation- de- la haute cp,uïî. de y us'tiçe i
en. deu?, j fthambres,, J,' upé "po^i'jnstrufH. '
tion, 1'av.tre--,pour ,1e jugemen tr.des ; affaire^,,
Sous-l'eiupire de la Congtjtu.lioflijde., i848j-.
la/haute jCour' de, justicej^pp«.pomitrenàit^
? d'une seule chambre ; les àctës d'instruction'
taient fait?., gui vaut, les n^odç.',9rdipaifei eu'
biênjpar l'un des merobrçgdelâçourdélégùé;
par lejiprésident ^t qui prppai{,ensuitopait
au jugement. Cette réunion dujdiquble.ca-
rac.tèr.e^'instpuçteup^t 4ejugq4âns iâ>P9ï-
so/inë. des ,m&pé^ : jpàf istrats, ^ôtait jine ga
.ji'sggitie, aux: accusés ;non
-bre d'instruction présente -un .autre 1 ava^i-
ifege, car si -lfefr-actes de la procédure- ont
•diminué" Pimportânïïê'iiS* l'frffafreTiéférée'
ld hauté Wto, éIlfe,per|aet.dje^:.rèpv,oyér X e
Juéemefl'^à.f.lajustiçe/.or4îqaire, ^'d'éviter;
iiyisi ^convocation d'unej oridiQtion suprè-i
pie.dônt la. majesté ne doit conpaîtreque des
£ttentats.menaçanspoiœJe;salutpûblic.>i >■
- > La Constitution de 1848'était réçtée touet-
te sur - Ia manière ( dqnt la haUtè cour procé
derait' dans lïnstruetfon çt,te jugement des!
àffairés'; la sagesse s de^ magistrats appelés à
£ formçr, ,|ril|un'ai .suprême .étaits Wie ga
rantie contre,,% eicès ae.ppuvojiqùft l'ab-
seqçe a,'une législation préciser pouvait per-,
mettra ^ néanmoins xien n'empêchait'iacour
de ee.plaJcep-aU'dessus^des règles 'dû 'droit,
commun et de négliger léè, formes tutélâirés
potir' lek; accùsés, 'dont le législâtëtita fait •
la, ! conditi otf absolue de."tc»utë poursuite .cri
minelle!^ 'dans la nouvelle Joi^àfu contraire,
il est' toit. qq.e Ja.haujV cqqr- procédé»! sui-
yant'. les -formé? prescrites par le Code d'inS-
truetion criminelle. /i; .i - -î 3-r *
■. Jïous - ne- parlent pas des dispositions ïè*
làtives'iàJa'"convocation' de la haute cour, ét
Jn^ - (•-> .. -.1 à "
Morin, députés au Corps LégiSlàtif pom ' le
"département^ de la* Dirôme, ont ^dre^sôîa
•'lettre 1 ' suivante* du CoûrHèr de, la,.Jérôme et
dè-'VArdechë ï lh ' .'.'V, ,
, *' t *\ • " A* « J-m
jde,£ec"ojûrs ri)ilitgires..i,?« ;ïb . : "J"' 1
.. .^Noii^nou^ e^iaerjonS, à.cônp'SÛr, trfeTietf-
,çeu^.,de.,ppuvoin«fiitquteâi choses mettre au séfj
_T.ice,4e çpsjjÇQnçitojejis, notris "zëlô -éf jrtotré'dê-
voùpjent .Ma,ijs il importe ,(jueje«ux t d'en tre : èûx
J[ui veulent ^ieft. y, receurir .ne s'expoîenl psia à
aire-fîiire ftiussç; Jo^tje.à leurâ dém'archés.^ ~"<î
- : » ,Eft.çofiséquençe ) i,poiis croyons mtileJde dont
rier, ,par la ; voie de wtre jourftal^-dë la "publicité à
la lettf e^{jivanjt^,gui 'nous 3est-ibritè pat l'un dfe
les,miiji^ïes, on Keponsttà une reeomfnànd»-
1ion que* nous ..nous étiona fait un:devoîf 'de liiî
-adresser .m ,
r .il - L £fifi u-. i.
-s,'-. - ; «-Monsieur,-
a J"î> - 1 j'' , a •<
Paris; 24 avril. 1
' •>' l ' < ''
11.-..,.
» Un avia iaséPé-ah Monitiur^du 18 m'âtS 18S"£
\\ s nravonn mia lao minîr
droiïs et' lê'é âtinbutib'ns du pouvoir éxéeuf
tif exigeaient des,jcnodiflQatipns ,
gatipn du pouvoir judiciairéi La Constitutioii
de..£848, ne désignait qtre les fonctions 1 de
représentant du peuple icoïnme iqcompàti-
bles âvefl eellèfe dé j uré! près la h'aute cour j;
le sénatus-coùsjilté prononcé, une incompa-i
tibilité, absolue entré' cetté
Législatif,' dé membre du Conseil (l'Etat, et,
en ©ut*;e, icomme .conséquence d'un sage re
tour,aux principes du droit'commun, il ad
met pour les fonctions de juré près là-haute
cour, toutes les iffcflmp^tibilités, incapacité
ou excuses réglées paries différentes lois sur
ïéjufy." J ,. •(' ' * ,, || . t f »
: lln estjien. changé" en ,çû;.quL tQuche la
dé'çlaration dft culpabili té ; ; ellei ne, peut être
rendue,qu'à la majorité deç deux i tiers des
voix: mais Me sénatus-consulbe ; -comblant
une lacune de là Constitution-de 4848, dis
pose que le jury de la haute çotir peut prô-
nônTOrH'àdmîssiD.h "dé citcpnstances atté
nuantes en fàyeu,'r.de l'accpsé, 'et ique^a, dé-;
ol^râtion,. à cet égard, çst rendue à la .simple
majorité;,;, } , -, - >. - .il -
i. Nous.avons vôulu établir un parallèle ra-
pidte.çntrei'le£ articles; deia Constitution de
i848'7relatifs '^^l'organisation de M la haule-
ciouf ,3 èt"ie5 dispositions" J du éénat(is-c6n^ (
suite f *pr6posë' par ,1e gouvernenient jfjjafii»!
d,^' liijfi.ùx. faire appi'éçier |'^spriti '4',équité,
^.'aidjeté Içs. derrières. ,ta première haute,
cour justices été instituée,par,laConsti-<■
tution de. 1791 et, maintenue soùs-ieâ Cons^-
titutions dé l'an III et'dé l'an YIIl; e»'4&î$-
et en 1830, elle' fut remplacée ; pâr la cham-
brèdeispairs; dont lecaractèiffpolitique sem
blait 1 cepehdant exclure les a'ttribtitipns judi-
ciâirêsquelaChàrte lui conréraii dans cèr tains
cas; mais Ja^nais jusqu'à.ce Jour, les pouvoirs
de', r cette #àute juridiction p'oçtj é^'aussi
nettement déûnisètréglçs' t qù;ils le serent par.
le.' sénatus-CQnsûlte.j Lescûisipositionsrde.'Cei
projetsonfcclaireset précises ; elles Repous
sent todte ambiguité;>eten assurant à ; la re-
presSioh M rectitude 'impartiale' quv' fait sa'
force, elles réservent àiix âccusés toutes les
-Nanties qi^ sauvegardent les droits.de là-
fepsç,, ^. j, • , j-,, , j i f. ,
Le pepi$H}ire ,4e îlâi rédaction, l. B9N1?a»b, .■ f
i "i lit* i.i. 'i '^M»wii) , [iiî
d'impression, ,que les Jpctpurs -attentifs au...
ront eux-mêmes relevée. t)n nous a fait dire,
que l'itisuffiÈance des recettes était de 48 mil- <
Irons. La «ofmpafaisoades chiffrés des k-eoet^.
tes etdes dépenses nïonW q»ie la difféAnce
,esi de 40 millîcfns àù Jïép' Bç- 48 v Cette ( îïïsuf-'
Bsàn^e' pourrà^'ope 'êtr,e facdeiriéiit cowyer^e'
par lès,apilu}atibps' de .bré^it^^quî^ont, épi
moyenne, de Souillions tojis-le&an^o' ■ .-<•
U --- 7 — - "ifi u, i f '• ' ' I ''il -1 '> •
.M
«fjpas^ar lst soie hiérârehiquèi
^L»iJe suis.dont; àTtgret; forc^ de tous iiifvitèr
» à soumettre à l'autorité compétente, -Êhargéè
j> d'apprécier toutes .les flemârideè Avant dé me le
. A près, àtoic lu. cëtte 'piëce,' jios' compairio'tes
çGmprendront^ue ]e--sojti JdeJéurs intérêts, tou't-à-
nos
dea-qu'ib.seraientidàns l'iiïtêûtioH' de faire', par
ia.fijière.ildmiûxatraîirejet'ïionipàr'ia Bôtré,
pée ainsi d'avan ce_d'jine 3 c
is sentnHeris .di&tuigUiéâ.-'i-ii '-î"
1 ç? jla. ^EMI^E/^okin, SAPEY,
; ,Jir : » Ueputês de laJ)rôme. »
_ ; DÉPÈCHE jjÉLÊjîhAlpèrQÛ^^
tiBerlin;'7'hiàl.ïi> T
"ÏJÙO
S ul
dé
royal concernant/la o^mpositian future de la pre^
mièi;eclianji)^',^;^ lll0 . ; .-..nj-t,, . f /, : .-t
La commission a conclura rejet. : ' j ,' ,£ - : :AI '' ' J
-. Aprèsiune îongttë dîStfu^sîôn^ là' kecisn^e .dbiffl,
bre a ^rejeté [irojfeï .du'gouvernemerit 'et ia prôn
position de la commispn,-^
.3 iitW U«.uU - .''j..' 1 »'l Si
{jjî^5s ■' ''' J| ''- ' "■
r. Une ordonnance-dé-police ;-en,dât^ d^ ce'
jour> règle les mesures- d'ordre et de sûretc'
, à obsérvpppendànt fêtes.,iïiijitaires, djes
t I 2 wûs^p félons connaître
■' S n ^PP S ' 1-itile.jles dispositions lessentielles,-
;.pn sai| que la distribution des aigles et la
revue sont fixées au lundi 10 mai» Le màrdf
,1,1, un ibai/sera/ donné à l'Ecolê-Militaire.-
j Le mercredi 1-2, un feu d'artifice-sèra, tiré suf
les hauteurs du -mcadéro. Le même jour,
.ilyaùfô'bàiiàuM dé Mo couverts et spec
tacle aux .Tuileries.-, . UJ t ; „ ..
5 y'-,- î > ■ '""I i I" • =•
,Le,déQlé 'des troupes,-à la. suite de là Bénëdic- 1
tion des aigles s'exécutera dans l-'ordre suivant 'i-
..l'.JLe génjéraJMagnan/^cbnjmandàDt en chef, et
;spn.état-majorj;t ; i j ,n iu; • ' ' ..«i ■ ' •
i 2° Les dêputations de l'école d'application da ;
[l!artillerig;et, dp génib„'et-fdé .l'école'PolytfechKi-
;W) 1,'école ,d'application dui. corps d'état-major^
■l'écolç.jîpéeialg! militaire- :, saus les ordres- des
commandatià respectifs de ces établisseu)ensj :
L^.©5péral ..(îarrelet, • comnHûidadt: toutes sfes
troupes, à pied (y compris les dêputations) et son
état-major;. . ,- t ;i • i m ■ ■■ 1
t ..4°. La djépqfotion des invalides elles dêputations
des- vétérans, .flomtqanaiées par le:général"Saubôul; '
S" Les dêputations des bataillons de chasseurs à"
'piçd-; d^ .^tai|loos, d'infantisrie légère d'Afrique,
ides jéquipa^, de ligne, des compagnies; de discf- ;
jpline. d^s .bajtailloiie, de tirailWurs'J indigène?, lès
|bataipops de chômes àçied ert garnison à.Parie/
;la compagnie des équipages. de. ligne y lesaouvriei-s :
kUadmiRi&tiraji<>a et les infirmiers, oemmandéti par
le,généré F«reyj -o .it, ■ , "«..>« ■' :
députions des rétiniens de lign'& e'tlé^
gère, des regimens d'infanterie de marine','des' ré-
4ftn,de l^riilé.e de PariS)(à;raiïêa d^efUi Bàtair-
,,7° Les, brigades 4e, la 2"-.diviàio'n de l'arniée de '
?$is:(deu*,J)aJ4Uto«9:pMTCgiiheni),:sous tes oiv'l
lî^deçlepigjgpner^uxrespectifs. cptomandéês' p4r,
y tf>t ♦* o , y t '»»}< * « f »» î "»» t */'l J* i ' ,f
^ L.L» —
\ IILIT MILLE PIEDS
••• 31.]. , .1 I'. I L >->i jC-« —
- 'I- v ,s ï.rî.'îblÎH 4ÎJ0V
PHESSISR VOLUME.
J rm
a v-rî c
"- î'.ob -r..: i ii«> t --
- ' " V PÀLiïÉRÎNt* ' t * ~
j-.. m' Niji/tVl « —
. îï/L< .é;?:. a; i?P u b'J- :':i\ no'ifp fipid
PalttièHno; .^nî^aiia' Voû réd't^ç|s^r-"
mpe » ■* '' ' M * , ' * H . \
a Je nè voûi iérâî 1 pkif fà triste et tô^'gîe'
hiko'irë, de ' 'mes résistances^efdé me§ 'côm-
batà J càr rài'résisté 'd'aboM;. |e you^le ré-:
pèteVj'ai combattu çdptr# inoi-mêmé loya-
Iement, avec le désir sincère dt> triompher.
Mais j'étais si fatalement prédestiné f,çette,
nè faisaient,.que i'ènfqncefd,avantage.; I( fai
llit bieû énîln me déclarerykincu, e.t j'eTn'a-
bahdonnaldès-lprs à,ma destinée?, , ;
p . Un, jouï pourtant, ] je m'imaginai qpp
j'allais ressaisir les, rênes de ma volonté.et
rester maître,. du champ de bataille ; je m'é-
tàjs si bien,' raispnné, si biën!goùrmandé,
j'avais ' "évoqué 1 devant. ïpot, âyeç une,, telle "
clairvoyâticB^ line impartialité Si absôiuè.
les impossibilités, les dangers,,les, tortures
ottjè nie. précipitai^, .aveu^lémèpt^we j'en
aeud.uce ipl HVyo
à sa, cbaînéiUlTie nous laisse erpire up ips- ;
tant à' notre force que ptiur fâiïeéclater'
mieux notre faiblesse.
» CommçXéteis danscettedisp^ition d'es
prit, il y-eut,'à la &iav uûé.grande file où
ie fus invité. Ma présence y fit presque sen-
sation; je dus* le crôiïe a^ 'moins/en enten-
begH^alabrais^q^'on. m'ayftit dpn#,, et les
;piq| belleSifempaes, d^ la cour me lemoj--
: gna,ieijt,assez parleur? regards,par leurs sou-
; rjr^ : aue ç'éfeit bien 4 moi M'jls s'adfes-
i saient..Maisétait-il pou? mp^ans l'univers
|eptier,t d'autres, "que^ellfi qu'iavjiit
!toutnjop.culte pt tout mou amour? JLa ^iqe,
ie^é^nême'me.iÛt l'honneur pe ; m'engagcr,â
danser ayec)éUi?. £ommé,après.la danse, je la
irecondyisais ,à ; sop!siège, j'aperçû^,,pour là
:prçpiiçm. fpis, ; '4â princesse éblouissante de
paru/e, ^bloiyssaple y dé bça^té. ^e rougis, je
miUi§; mes. genqujt,"§e, dérobèrent. sous moi r
jet,' au lieu d'oi}rir mon bras àlâ. reine, je fus,
•obligé
■fixéin.eut, et,frappée sans do,ute demapalp'ur,
jdu tiOplgverseipent,de.tous paes traits, elle ine
jdepiànjia si je,^ irqûyais mal. Jp'jbâlbùtiai
U1 «« ^vitiinA nmVtCkitunoc^A /Irsni
fpôînt qu'elle n'attribuât mon troublé à la
dis.tinçtiftn,dppteUe m'avait, hpnt^ré.en dan
sait ayéç moii-iCette erreur jpae sauva. Je me
remispa!r d^résj pt quand je fus pnfin.ren.:,.
nu a la,libérté f je mf réfugiai dans un foin
du salon,où je pissat tout le .reste de la nij.it
plongé dans une contemplation, silencieuse.
Et voila,. Hudéntz, comrpp i'etais. gUéril
j •» Q'.est de. ce mom e 9t queje cessai de'lut-
|vemmer: encore, e.nry rétpurnanj, le fer, mille
jet mille fpis. Je,cherchais avec ardeup toutes
lesl nccasions* dp, rencontrer la princesse ,
sidqîmèm^ iri^n!, jdufuime tremblément
qui avaient $dlli,rme -pérore; au. bal; de.- Ja
capr, Qpel éjbitmpn : wt^mori,,éspé) , àpcè ?
jEh-| Iç-^âyaisfje mo^mêm® ?, J'aimai!?, popr
aimer, içnmmel'Oiseau chante, pour,çhantqr;.
je\p'esp^ais' rien, je. ne, voulait .riçn que
yfwc,,la 1 pri Q pes§e s , et la voir toiijour^. Je me-
fondais «nettement compte de p^a pqsilion,.-
pu^ je nayaiStpaSjiiue seyfe des illusiops dont
iVmoprjë^ i^ riçhe ? je,,sa.vfti? flûe la prinf
ç^se ignorait mon -nom etpeut-^t^.pion-
^S,tfiûe,&ilqu'pUe n ayaU fr, peine Remarqué
WPrése^, ^oiqu'elïti^pi'é^, yu & |ant dp,
fois, ; sou. apx. pof,tes,du. palaiSj,. soit $ la
f *■« ' I4 i > i * 1 \}\X 00 ,
vu**#;:;*** ^
Îtorfcfere-de-soa* carrosser soit ïneàie--aux
êtes 4e, & m o 9-Pbsp.!i4té 5
âneme, vp,% le, airâji-je^ n<\. me déplaisait-',
t' as,. Je, Jrç^vaiç.je'.iiè sais "quel"bp'njheuç.i
ti-angé à^e^tér.jÇpçfopdii pour el}é dans là,'
ifôule, l'a,iorer en seçfet.; Voilà, yojlà Jie.yé-,
iritable àmpur^jàl. apnnë tout et né réclame,,
jriepi en échange!;) Il.se sacjrifie, e|,le prix d e
jspn sapriffçe eslsôitsacrifice même.Onm'pur n
xait demandés} je consentirais)à passer ainsi;,
itpufe ma'vie, qpe j'eu^eVrepôndu; ÛuiJ
» » t Cri jour vint, qependant, et ç eét'Té.na-^
tâit,'un my s 1ère, ^enfoui 'dânsJé plu? profond,
dé mes£ptrai jîes,. mai spaùh potence et .saiis T
dpûte aussi m°n nom. La .cpnr étaij^à Car ;
serte. J'ét?is de g§r(iq â .l^'po^e^'u palais.
•La • pripeesse .était .sortiè^en .carfoàe/p&m" •
tune promenadp,'dans les environs. Un,orage !
avait, éclaté. CQmme elle rentrait et/pif son ::
carrosse était déjà arrête au |ia^ du p'érrôn',
m'aperçus, Qûe le's marches où. elle tj.evg.it
dqsçendre étaiént f ,mouillées'par. là plûie'i j
J'y ptendls àl'insutpt mon inauteaif saps mé-
ponnerle témp^.delaréflexïop,. pa. gnricésjsp
m'en répompenser,
sa; main^sùrmon , , t/ ,
marchepied $e la voiture su^ lé, premi^rde ij jj
gré du perron! Je'sus' plus* ; ïar4,vqu'el}e|
çivait été réprimandée pouf cette, ïî|fraction
â l'étiquette, et moi" je fus envoyé aux ai-rêts )
pour.liuit jours .par, .mon, çplonel; à Èsti-
^ mez-vous tfès beureux, me dit-il ,sévère- 7
» ment, qup yotre inconvenance ait eu lieu ? t
» à Casertè' : ce,séjour de la,campagne, relà- ,<
j> che toujours un pçu la règle du : palais», À >
b Naples, vous ne yop^en seriez pas. tira, â «
P si bon marché". Ouè ceci' vôuij çprvè.de le-
|> .çoij. Soye? à,,l,'ayeriir plus .circonspect et jj
| moins téméraire, » Je le laissai parler.tani: r
quil, voulut sans l'interrpmpre ; ^ lui don-
nai raison sur tous les points', et je *,passai .
mes huit jou^s d'arrêts dans uu emvremeùi
tel,- qu'il approchait paffois dés limites;-dç,.;
laf folip. ^on ( piieauT ( àa mjainavaii,tou,cbé mPnbjàiJj s , , j
| J> t ^.quelque'temps 4® là^ la cour, rétour-î' ; ,
na a Naple8., Uq mat4çi que, mô^ séryiee m' 8 -- - s
•> *«■">» i .-c... : ï . r n >
-^vait appelé* tlans*- r intérieur ^des-apparte^- ^e^aigQerf^lifr^ta-- : le^inouchcrnreHe^efe-
. tviotic! ItirnoinnAcca nnsen /Intront WIAI SVA+o.!* . 1« W A«t;Ai.A. .Tl 4^*^.1 m ■ ,r*i » .
me^îj, 1^'Rr.incesse passa, dçvapt^mçi» pétait,
la premièrq.fois ,qua je,la ffiyoya|^;,depuis.Ja
petite,ay^ptur.ede Càsej;t'e:'J^fus;pris'comme-i
toujours,,a, sa yu§ ( , dUrn t,el saisissemçpt.què,
j'ojibliai-fiè lin rendre les nonaem"s militai-'
rès que l'on, devait^" tpûs.lës-membre,S, 4® 14.
famûlg royale. ÊJlie f aperçut dp ma distrac-f.
tion-; mais,.loin de s'en ciïçnsèj;', elle-meje-j
garda ^n souriant, et ce souifire était sj gf-
fable, ; si. bienveillant,, qu'il .sémblâft dire
«,Je vous pârdpnne 1 p.£^eut-être*:j'g Je vous,
» comprends! ». Puis, tourriapt Iesj-yeux au-!
tour.de ^appartement;,* t; . ^ [' !>H
, ., « Personne, ne yous a. yu, .me, lii^lfi
». voix basse : cette fois* vous n'iresz pas amc.,
»>rêtsU, ! , i/xv'SÏli ,,/?*,
. j>;Elle,m'avait4onp reconnu/ Ëllç me con-,
naissai().,,Ene se .^ouyenajrque, j'avais-été;
puni à caisse d'elle, cquime^ë'-mème avait"
été réprimandée çaiise; 4e ; moi,J[p' u'é^r
tais plus ^out à fcpt. jin. étranger; pojir. ellp,-
II,y avait entre pous Un li^n',. p/ësqiie, u,n sSït
cret. N'étàis-je pas, 'ami, le plus heureux dss ,,
homrnqs?,;., .. ..7 ..r^^.Vî
,» Yous trouvez, je, le çrain?., loi^§ ces dér ;(
•tails ,bien puerij^., Mais,- de fy quol yivent.lçs .
passions ? N,'e5tr.ee pas de ces. mjllé puérilités,, i
. dçjces mille. nensj que.l'amour,frans|lgure
I et que sa baguette ench^téè jtrâpsforipe èn,
• évéuemfens? Il m'e^ reyi^.'ëÂpp'f^ uu à îa
mémoire; kouffrez que jè votis le Raconte; çe '
sera le dernier; nops eptj-eîpris «nfuite; d in^ -
Jes entrailles àêmes d^^ àrc^nè| mysférieiix. ,
que. la mort, -héias.!, yjept" dq .dèpouer si .
brusquement.^. s n j ,V
0 Pendant une; cpjùrsê, a* Porticiy pendant;
laquelle j'escortais la.voiture royale ,■ je ga"jJi
lopaisià l'une 4es portières,; celle précisé- -
ment dgicôté de laquelle la t princessê- é'ait
assise. Il était impossible 'qu'elle ne rae-,y)t •
pas et qu'plle .'no m'eut pas reconnu. Quant j
a moi", j'osais à peifie la regarder,udâns'la
Crainte que le saisissement que .j'çpro^ypis
toujours à sa vue ne m e déçonefrtàt aqpoiii^,<
da me faire perdre les éviers. Tout à-coup*
une des glaces-dn .çarrQsse, se brisa, \ r je pei
son meuchoir ; ppis^-au bout, de. quelques
instans, la blessure, sans douté, ay^ pessé.
'ar,la,pqi;îi§E& dl ,tpmb|ij?i.beur,eu§emÊPtr
toour ; môi ï'^plevaij sansm'arrêter, aype
la pointeûfte rpgn épée et jIq, fiàpliai furtiyer,-
^nent. d'ans ^spoijtrme.^lqn .mouvement,
avait été, si prompt, que personne i?p l'avait
remarqué, A jpq^onne,. exqçp,té;la pripçegsp,
jquj.jHjugft ex.ce.§si,yemep t,et ^ç.rpjet^ dans Igj
i'ond dû carrosse,jsans pluç.p.araitrp aila ppr^
iièfe, comme,4^)il'ayaii.sou i yer|t, J lait .;ftupa-
rayapt. Jl. était : vi,sible quq mpn. aydSCPÀ-;
jvait blessée^, je, n'en pus. dputeç,, car, depuis
ce, jou^.ellejalTecla, chaque Çôisqijie je,la re-,
L 'is,dejgie 1 me pôiiltrfconp^r^iPlus dê sou-,
ire'sj plusder^gardsj .§( >n œi} -était de:glaç% :
pn.visagft,4^marbrq« - '
quelfiprix ^ayais-je acheté i*»..; J'étais au-
ésespoir.de 4qi a^oir dqplu 4 çt 4'aatant,plus
plaindre, que je n'avais auèun mo.yenid%
i^jqsijfie^jjo^çe^ueij'aurais pu, tenter
ôur.r^ntrer.gn graoe auprè? d'elle.,n"éûjt,été <
p ma parj. qu'une.pôuvelle offense.-Jamais,
ricore je n'avais été si malheureux^et jamajs (
[çpujs.jene-île fus -davantage^ J^ T #n'étais
f endu. coupable '.d'une injure involontaire
sans.dojite et pa|[4onnable §- tgnt d'amour,
mais enfin que, la princesse* avait .ressentie et
pont «lie mé ■ pynifsait .gévèiremen^ Ôh !,
combien ..dors» je ({regrettais; • çes.,premiers
temps ,4>ùi n'étant pas j connu; d'elle pt;me-
! éroant dans-Ja lpule^ je pouvais 1»
'osais maiptenant leyer ! lps.ygu? 1 siy: elle,de,
ëur de rftnçoptrerifes sieps^td'y lire.le. mé-_
ris. -je. ne me flattais pa? même d'y .trouver/
eîa#olène>i, Juoi .iô> vM'S'.acM
», Lorsqu'ellepa^sait devant moiindiffé-
entç e.t flere, ; sans; m'hpnorer d'un regard, ;
edétQprpais humblement la-vue, -et.jç de-
nandais à la terre de m'engloulif jdans.son
i iein. Puis, quand j!avaisflfli,mM service, au
jieu de chercher des distractions otites di
versions, j'allais m'ensevçUrjdanSjlasQU&ide
èL4ai|s ma.îdQ.u|eaS. torrsssîsde m®,larmes
|e;mpuchoir dérobé par surprise, iCèpay^si,
hèJ.i.j'aJtachaisipej lèvres sur h. pré»
iéujfc t doq.t,ili portait la traqfe et,j'aurais
Qqnp iouUe mmpour. un moJU.qift distje^.
pur un seul regard de celle que j'ay»'i» oféi
VW^ÇMSsSsWÎBan-»»»»»;'. i »»<-»»»<«
fensee-pour l'avoir trop âlméè elirritée.sanV "
ffgtppr,''i i • m ■ b - >r't r.', u. t ■<
I -%;Le (Suicide im,'avait souri «omme dn'ëûr
âsile^ lorsque,.léprpuvanb.ltes'premièrëè at- -
jteintes Ide >cetiamouri impossible,» ^je -Voulais
m'y,soustraire;à toutprixf; âLrévint alors me
f tenter, mais fois: ayeetant dë-sédue-'
jtions, tant d'insistadce) que{jè Succombai"
âjla tentation, - iNe î-pouvant plus-vivre ainsi,
le résolus :de. .mourir, et! si Je. n'exécutai i
pas sur - le - champ cette résolution funes-^ 0
îe». «'est jqnîiL reste-àu jfpnd ides malheurs les
-plus I désespéra .un levain ; d'espérance qûi "
pttache à la ^ie^ari-midernier'lih'i-^ Avant"
de'leïompcej smedisfje/essiàydns'd'tlà parti
Extrême ? qa'jes^îce, 1 que je risque it qifai-je "
!:perdre?*Si.j'écbï)uej je n'en serai-ni plus"
tipioins malpeureux, et ib sera toiijours ti
•anps 4'eu fiqiri -r iCet ajournement conclu "
ayee mo^même, je.met sonUs plus Lalmè, et a
jne..misja chercher iavec un ^aog-froid si-
nistre-ca moyen-suprême quideVaitiné sau- 0
Ver ou me perdre tout-à-fait. -* *;• j, - D 11 «
-^Le.basardi'leitiel'pejit-'êtsre,! vint-à m
)tincessa. faisait ■ fair^S^on-portrait par le-
jçintro du roij ,Je> pris sur-le-champ mon
>arti;ifit qudique je ne cobnussè pas le peiri-- -
re, j'allai Le trouver.ie matin même. -« ;
,« Monsieuc/lui dis-je, j'ai fait un pari
> -considérable jet' vous seul ! pouvëz me le
>, faire gagner.- Le;voùlez-vous ? ' i ■ -. ' ,
De qUbiis'agit^il?"t ni|» .-i - !r >
• —» Yous! faites le portrait de la princesse *
et j'ai parié que je la-verrais poser. Mebeî-
.pour yatr&éleve, votre aide,:vôtre broyeur
de.couleurs, vbtee Ijiveiirde pinceaux,'tout
•ce que vousTOUdrez; pourvu que j-'ëattel
Qùe je 'gagne seulement m'a gageure; je
prends toiib le rèsfe sur meti. » > ■
t» Le peintre refusa pet; C'était Un,coûrti-
;an ; il craignait dff' èe comprômettre et de
jerdre sa place de pèintre officiel', pins j'in-
iistaisjfplus fl rse:-.montrait rétif, et mes 10s'*
ancesi n'eprént aucun» succès. ^Lê. voyant 1
;Qurd;àimes prièces^je m'adressai à, son in-
érêtetûavibrâr £in ly.i les fibres-toujours si-
cteiies àiémouvvir d'e la-cupidité. »-*1 i 4
je lierds mott pari, ïui dis-je^Je éè- !
> s"--J
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