Titre : Le Sport universel illustré
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1926-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32871962r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 27398 Nombre total de vues : 27398
Description : 01 janvier 1926 01 janvier 1926
Description : 1926/01/01 (T1,N1192)-1926/07/30 (T1,N1222). 1926/01/01 (T1,N1192)-1926/07/30 (T1,N1222).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65806547
Source : Institut français du cheval et de l'équitation, 2013-97801
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/03/2014
le Sport Universel illustré 109
1852, fut achevé et inauguré le Cirque d'Hiver actuel et M. Dejean
redevint le directeur des deux cirques. Il gardait avec lui Adolphe
Franconi qui resta son associé et son chef de piste jusqu'à sa mort,
survenue en 1855.
<, Les grands noms qui firent la gloire du Cirque des Champs-
Elysées sont, au début, les mêmes que ceux conservés dans les
archives des dernières années du Cirque Olympique.
Auriol, le prestigieux Auriol, fut le pensionnaire de Dejean de
1834 à 1852, sans interruption. Il savait sans cesse se renouveler
et le bruit de ses grelots seul suffisait à mettre le public en joie.
« Quoi de plus léger que le vent ? La femme.
Quoi de plus léger que la femme ? Auriol. »
disaient les petits journaux de l'époque.
D'autres clowns travaillèrent en même temps que l'enfant de
Toulouse ou peu après lui, au Cirque des Champs-Élysées. Citons
parmi eux : Candler, Laristi, Kemp, Boswell, les frères Price, enfin
Chadwick.
En même temps que Chadwick, apparut « mossieu Lôyal »,
Théodore Loyal succéda en 1855, à Adolphe Franconi comme chef
de piste, et son frère, Léopold,
lui succéda à son tour.
Le Cirque des Champs-Ély-
sées présenta un aspect très
différent sous la Monarchie de
Juillet et sous le second Em-
pire. Mais son succès fut iden-
tique pendant ces deux pé-
riodes de notre histoire. Après
avoir pris le nom de Cirque
National, de 1848 à 1852, il
s'appela jusqu'au 4 Septem-
bre 1870, Cirque de l'Impéra-
trice, et ce fut, sans doute,
sa plus brillante époque.
Essavons de reconstituer la
représentation d'ouverture
du Cirque des Champs-Ély-
sées, en 1841.
Dès sept heures du soir, la
salle est comble. Six mille
spectateurs attendent avec
impatience les premières me-
sures de l'orchestre. Il n'y a
point de loges ni de prome-
noir à cette époque : aux fau-
teuils de pourtour trônent les
« Lionnes» du jour, en robes
de taffetas rose ou bleu ciel,
en jupes à volants garnies de
Intérieur du Cirque National des Champs-Élysées, vers 1850.
ruches de tulle et de fleurs, en châles de cachemire aux longs
effilés, brodés ton sur ton. Les «anglaises» qui se défrisent mélan-
coliquement au dessus des épaules nues donnent à nos patriciennes
cet air de spleen alors si bien porté.
Encombrant les couloirs qui mènent aux écuries, les « Lions »
s'occupent, pour l'instant, fort peu de leurs compagnes de plaisirs.
Ils ne songent qu'à lorgner les écuyères. Moustaches et favoris
ébouriffés, chevelures bouclées et frisées au petit fer, surmontées
de chapeaux hauts de forme évasés et à larges bords, ces dandys
arborent des redingotes multicolores, allant du bleu de roi à la
nuance feuille morte, prune ou vert bouteille et ornées de cols de
velours. Ils portent le pantalon collant en nankin que des sous-
pieds tendent sur la botte vernie et leurs mâles figures émergent
de cravates en linon ou en satin nouées à plusieurs tours.
Sur la piste, le spectacle n'est pas moins brillant. Voici la bar-
rière en habit bleu barbeau, à la française, les palefreniers en bottes
à revers, les clowns habillés du classique costume de bouffon que
nous connaissons déjà. Adolphe Franconi, d'une majestueuse roton-
dité, tient la chambrière. Il porte le costume sous lequel nous avons
applaudi ses successeurs les Loyal, l'habit bleu, avec la chemise à
plastron et à col rabattu très bas. Ses chevaux dressés en liberté
font l'émerveillement des connaisseurs. Ils rapportent un mouchoir,
désignent la personne la plus amoureuse de la société, la jeune fille
encore sage, avec mille autres gentillesses analogues.
D'ailleurs, presque tout le spectacle est à la gloire de la plus noble
conquête de l'homme. Alternativement, paraissent au programme
le futur grand'maître de l'équitation savante, le successeur désigné
de Laurent Franconi, l'incomparable artiste Baucher, et la première
écuyère de haute école, Caroline Loyo, élève de Jules-Charles Pellier.
Car le grand Baucher fut un artiste de cirque et n'en rougissait
point : «A ceux, disait-il, qui prétendent que je ravale mon titre
d'écuyer en me mettant en scène, je réponds que Molière et Sha-
kespeare avaient aussi la bassesse de jouer leurs pièces en public. »
Il dressait également ses chevaux sur la piste, et c'est au cours d'une
répétition qu'il fut grièvement blessé par la chute du grand lustre.
Baucher sur Partisan, Caroline Loyo sur Rutler, font courir tout
Paris Jules Janin leur consacre une étincelante chronique.
On applaudit aussi la famille Cuzent qui a débuté chez Dejean
en 1834.
A cette époque, Paul Cuzent, le chef de la famille était âgé de
vingt ans. En même temps qu'excellent écuyer de panneau, il était
également un compositeur distingué. Il orchestrait lui-même toutes
ses entrées, ainsi que celles de Baucher. Il laissa un opéra en un
acte : « l'Habit de Noces ».
Ses deux sœurs, Antoinette et Armantine, deux brillantes
écuyères, travaillaient sous le nom de Jolibois, qui était le nom d'ar-
tiste de leur père, modeste comédien de province. Antoinette, dès
qu'elle atteignit l'âge de quinze ans en 1835, épousa l'écuyer Lejars,
qui exécutait la voltige sur cheval libre « en habit de Mercure ».
Devenue veuve en 1850, elle
se remaria avec le ténor Mont-
jauze et la chronique prétend
qu'elle fit marcher son deu-
xième époux à la cravache.
Ce fut elle, nous l'avons dit,
qui posa pour la statue éques-
tre de Pradier. Cette belle
artiste eut une fin lamentable.
Elle dut accepter de figurer
dans des pantomimes et mê-
me revenir comme ouvreuse
dans ce Cirque des Champs-
Élysées qui avait été son
théâtre de gloire. Elle mou-
rut, vers 1895, à l'hôpital,
âgée de soixante-quinze ans.
La troisième sœur de Paul
Cuzent fut plus célèbre en-
core. Pauline Cuzent étant
affectée d'une légère claudi-
cation, ne put suivre la car-
rière acrobatique. Elle jouait
la comédie au Théâtre de
Séraphin, mais, poussée par
l'amour du cheval, décida de
marcher sur les traces de
Caroline Loyo. Ayant pris
des leçons de Baucher, elle
égala bientôt sa rivale. Elle
mourut très jeune, vers 1850, d'une maladie de poitrine.
C'était une famille précieuse pour un directeur, cette famille
Cuzent. Aussi Dejean fit-il tout le possible pour la garder chez lui.
Il alla même jusqu'à faire un procès à Paul Cuzent, quand ce
dernier partit pour l'Allemagne et la Russie, avec ses sœurs,
ayant monté un cirque à lui. Il fit fortune en peu d'années à
Saint-Pétersbourg, où il mourut du choléra en 1856.
On applaudissait également, aux Champ-Élysées, M. Lalanne
exécutant la poste royale sur cinq chevaux, et les frères Loisset,
écuyers voltigeurs, dont l'un épousera plus tard Caroline Loyo.
A ces premiers artistes de l'inauguration, d'autres succédèrent :
les gracieuses écuyères de panneau, Virginie Kennebel, Palmyre
Annato et Coralie Ducos, l'écuyer Théodore Rancy, qui, en 1856,
fondera le cirque fameux, et les clowns que j'ai cités plus haut,
mais dont aucun ne rivalisera avec Auriol dans la faveur du
public.
Loyal, Loisset, Lalanne, Rancy : toutes les dynasties célèbres
de la piste française après la grande lignée des Franconi !
Ainsi le Cirque des Champs-Élysées mérite d'être surnommé le
conservatoire des as de la piste, surtout des as de l'équitation, art
qui était alors, en France, dans tout l'éclat de sa grande vogue.
Le Jockey-Club venait d'être fondé et tous ses membres les plus
illustres, lord Seymour et le comte Daru en tête, se pressaient aux
premiers rangs des fauteuils de pourtour, pour applaudir Baucher,
Caroline Loyo et Pauline Cuzent. Alfred de Dreux, de son crayon
romantique, esquissait au passage de fiévreuses ébauches, tandis
que les deux inséparables Gavarni et Théophile Gautier, surtout
épris de vigueur physique et de plastique, attendaient avec impa-
tience les tours de force et d'agilité d'Auriol.
(A suivre.) Henry THÉTARD.
1852, fut achevé et inauguré le Cirque d'Hiver actuel et M. Dejean
redevint le directeur des deux cirques. Il gardait avec lui Adolphe
Franconi qui resta son associé et son chef de piste jusqu'à sa mort,
survenue en 1855.
<, Les grands noms qui firent la gloire du Cirque des Champs-
Elysées sont, au début, les mêmes que ceux conservés dans les
archives des dernières années du Cirque Olympique.
Auriol, le prestigieux Auriol, fut le pensionnaire de Dejean de
1834 à 1852, sans interruption. Il savait sans cesse se renouveler
et le bruit de ses grelots seul suffisait à mettre le public en joie.
« Quoi de plus léger que le vent ? La femme.
Quoi de plus léger que la femme ? Auriol. »
disaient les petits journaux de l'époque.
D'autres clowns travaillèrent en même temps que l'enfant de
Toulouse ou peu après lui, au Cirque des Champs-Élysées. Citons
parmi eux : Candler, Laristi, Kemp, Boswell, les frères Price, enfin
Chadwick.
En même temps que Chadwick, apparut « mossieu Lôyal »,
Théodore Loyal succéda en 1855, à Adolphe Franconi comme chef
de piste, et son frère, Léopold,
lui succéda à son tour.
Le Cirque des Champs-Ély-
sées présenta un aspect très
différent sous la Monarchie de
Juillet et sous le second Em-
pire. Mais son succès fut iden-
tique pendant ces deux pé-
riodes de notre histoire. Après
avoir pris le nom de Cirque
National, de 1848 à 1852, il
s'appela jusqu'au 4 Septem-
bre 1870, Cirque de l'Impéra-
trice, et ce fut, sans doute,
sa plus brillante époque.
Essavons de reconstituer la
représentation d'ouverture
du Cirque des Champs-Ély-
sées, en 1841.
Dès sept heures du soir, la
salle est comble. Six mille
spectateurs attendent avec
impatience les premières me-
sures de l'orchestre. Il n'y a
point de loges ni de prome-
noir à cette époque : aux fau-
teuils de pourtour trônent les
« Lionnes» du jour, en robes
de taffetas rose ou bleu ciel,
en jupes à volants garnies de
Intérieur du Cirque National des Champs-Élysées, vers 1850.
ruches de tulle et de fleurs, en châles de cachemire aux longs
effilés, brodés ton sur ton. Les «anglaises» qui se défrisent mélan-
coliquement au dessus des épaules nues donnent à nos patriciennes
cet air de spleen alors si bien porté.
Encombrant les couloirs qui mènent aux écuries, les « Lions »
s'occupent, pour l'instant, fort peu de leurs compagnes de plaisirs.
Ils ne songent qu'à lorgner les écuyères. Moustaches et favoris
ébouriffés, chevelures bouclées et frisées au petit fer, surmontées
de chapeaux hauts de forme évasés et à larges bords, ces dandys
arborent des redingotes multicolores, allant du bleu de roi à la
nuance feuille morte, prune ou vert bouteille et ornées de cols de
velours. Ils portent le pantalon collant en nankin que des sous-
pieds tendent sur la botte vernie et leurs mâles figures émergent
de cravates en linon ou en satin nouées à plusieurs tours.
Sur la piste, le spectacle n'est pas moins brillant. Voici la bar-
rière en habit bleu barbeau, à la française, les palefreniers en bottes
à revers, les clowns habillés du classique costume de bouffon que
nous connaissons déjà. Adolphe Franconi, d'une majestueuse roton-
dité, tient la chambrière. Il porte le costume sous lequel nous avons
applaudi ses successeurs les Loyal, l'habit bleu, avec la chemise à
plastron et à col rabattu très bas. Ses chevaux dressés en liberté
font l'émerveillement des connaisseurs. Ils rapportent un mouchoir,
désignent la personne la plus amoureuse de la société, la jeune fille
encore sage, avec mille autres gentillesses analogues.
D'ailleurs, presque tout le spectacle est à la gloire de la plus noble
conquête de l'homme. Alternativement, paraissent au programme
le futur grand'maître de l'équitation savante, le successeur désigné
de Laurent Franconi, l'incomparable artiste Baucher, et la première
écuyère de haute école, Caroline Loyo, élève de Jules-Charles Pellier.
Car le grand Baucher fut un artiste de cirque et n'en rougissait
point : «A ceux, disait-il, qui prétendent que je ravale mon titre
d'écuyer en me mettant en scène, je réponds que Molière et Sha-
kespeare avaient aussi la bassesse de jouer leurs pièces en public. »
Il dressait également ses chevaux sur la piste, et c'est au cours d'une
répétition qu'il fut grièvement blessé par la chute du grand lustre.
Baucher sur Partisan, Caroline Loyo sur Rutler, font courir tout
Paris Jules Janin leur consacre une étincelante chronique.
On applaudit aussi la famille Cuzent qui a débuté chez Dejean
en 1834.
A cette époque, Paul Cuzent, le chef de la famille était âgé de
vingt ans. En même temps qu'excellent écuyer de panneau, il était
également un compositeur distingué. Il orchestrait lui-même toutes
ses entrées, ainsi que celles de Baucher. Il laissa un opéra en un
acte : « l'Habit de Noces ».
Ses deux sœurs, Antoinette et Armantine, deux brillantes
écuyères, travaillaient sous le nom de Jolibois, qui était le nom d'ar-
tiste de leur père, modeste comédien de province. Antoinette, dès
qu'elle atteignit l'âge de quinze ans en 1835, épousa l'écuyer Lejars,
qui exécutait la voltige sur cheval libre « en habit de Mercure ».
Devenue veuve en 1850, elle
se remaria avec le ténor Mont-
jauze et la chronique prétend
qu'elle fit marcher son deu-
xième époux à la cravache.
Ce fut elle, nous l'avons dit,
qui posa pour la statue éques-
tre de Pradier. Cette belle
artiste eut une fin lamentable.
Elle dut accepter de figurer
dans des pantomimes et mê-
me revenir comme ouvreuse
dans ce Cirque des Champs-
Élysées qui avait été son
théâtre de gloire. Elle mou-
rut, vers 1895, à l'hôpital,
âgée de soixante-quinze ans.
La troisième sœur de Paul
Cuzent fut plus célèbre en-
core. Pauline Cuzent étant
affectée d'une légère claudi-
cation, ne put suivre la car-
rière acrobatique. Elle jouait
la comédie au Théâtre de
Séraphin, mais, poussée par
l'amour du cheval, décida de
marcher sur les traces de
Caroline Loyo. Ayant pris
des leçons de Baucher, elle
égala bientôt sa rivale. Elle
mourut très jeune, vers 1850, d'une maladie de poitrine.
C'était une famille précieuse pour un directeur, cette famille
Cuzent. Aussi Dejean fit-il tout le possible pour la garder chez lui.
Il alla même jusqu'à faire un procès à Paul Cuzent, quand ce
dernier partit pour l'Allemagne et la Russie, avec ses sœurs,
ayant monté un cirque à lui. Il fit fortune en peu d'années à
Saint-Pétersbourg, où il mourut du choléra en 1856.
On applaudissait également, aux Champ-Élysées, M. Lalanne
exécutant la poste royale sur cinq chevaux, et les frères Loisset,
écuyers voltigeurs, dont l'un épousera plus tard Caroline Loyo.
A ces premiers artistes de l'inauguration, d'autres succédèrent :
les gracieuses écuyères de panneau, Virginie Kennebel, Palmyre
Annato et Coralie Ducos, l'écuyer Théodore Rancy, qui, en 1856,
fondera le cirque fameux, et les clowns que j'ai cités plus haut,
mais dont aucun ne rivalisera avec Auriol dans la faveur du
public.
Loyal, Loisset, Lalanne, Rancy : toutes les dynasties célèbres
de la piste française après la grande lignée des Franconi !
Ainsi le Cirque des Champs-Élysées mérite d'être surnommé le
conservatoire des as de la piste, surtout des as de l'équitation, art
qui était alors, en France, dans tout l'éclat de sa grande vogue.
Le Jockey-Club venait d'être fondé et tous ses membres les plus
illustres, lord Seymour et le comte Daru en tête, se pressaient aux
premiers rangs des fauteuils de pourtour, pour applaudir Baucher,
Caroline Loyo et Pauline Cuzent. Alfred de Dreux, de son crayon
romantique, esquissait au passage de fiévreuses ébauches, tandis
que les deux inséparables Gavarni et Théophile Gautier, surtout
épris de vigueur physique et de plastique, attendaient avec impa-
tience les tours de force et d'agilité d'Auriol.
(A suivre.) Henry THÉTARD.
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