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- SOMMAIRE
- SOMMAIRE
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- L'étude des lampes à huile d'Auterive montre la romanisation rapide de la basse vallée de l'Ariège du Ier siècle avant J.-C. au premier siècle de notre ère. Alors que les couches gauloises du second Âge du Fer renferment encore des lampes d'origine campanienne ou de tradition grecque et leurs imitations locales ou régionales, les couches plus récentes révèlent un afflux de lampes italiques où dominent les décors de tradition romaine illustrant la mythologie et les scènes populaires des jeux de cirque. Les lampes à têtes d'oiseaux subsistent encore, plus rares, ainsi que les lampes à anses rubanées et à bec pourvu d'un canal, mais les lampes à bec triangulaire, sans canal et sans anses, deviennent le type le plus fréquent, caractéristique de la première moitié du Ier siècle de notre ère.
- Des quatre trésors monétaires exhumés durant les dix dernières années du XIXe siècle sur le territoire des communes de Martres-Tolosane et de Cazères (Haute-Garonne), aucun ne le fut par Léon Joulin en personne. Tous sont issus de trouvailles fortuites, réalisées lors de travaux agricoles alors que le savant travaillait dans la région. Fort heureusement, ces découvertes rapidement dispersées ont été consignées dans son volumineux mémoire, publié en 1901, sur les établissements gallo-romains de la plaine de Martres-Tolosane. Dans ce premier article, nous analyserons à nouveau les nombreuses publications qui concernent ces quatre trésors monétaires de la fin du IIIe siècle en nous appuyant notamment sur un manuscrit rédigé par Michel Labrousse en 1948. Cette étude portera plus particulièrement sur le trésor dit Bergès II dont plusieurs centaines de monnaies ont été retrouvées dans le médaillier du musée Saint-Raymond, musée des Antiques de Toulouse.
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- petit bourg de Mayrinhac-le-Francal s'est développé autour d'un petit prieuré bénédictin de l'abbaye de Tulle (en Corrèze) sur la voie de pèlerinage reliant la vallée de la Dordogne à Rocamadour. Il ne subsiste de cet ensemble monastique que l'église Saint-Martin, haut et étroit vaisseau de pierre adoptant un plan en "double boîte", dont les murs conservent les traces de multiples phases de construction. Un premier état, daté de la première moitié du XIe siècle, est illustré par le choeur quadrangulaire et la première travée de la nef. Il est caractérisé par d'étroites fenêtres construites en claveaux de travertin et par des contreforts semi-cylindriques uniques dans le Midi. A une phase de construction du XIIe siècle succède durant la guerre de Cent Ans une nouvelle campagne de travaux ayant pour objectif de fortifier l'église qui sera dotée dans la seconde moitié du XVe-début XVIe siècle d'une citerne intérieure motivant alors la surélévation du niveau de sol de la nef.
- La cathédrale Saint-Étienne de Cahors a conservé d'infimes témoignages de son décor peint extérieur et de la polychromie de son portail principal, vraisemblablement réalisé à la fin du XIIIe siècle. Ces éléments ont pu être comparés aux peintures médiévales conservées à l'intérieur de l'édifice au revers du massif occidental, mais cette mise en parallèle méritait d'être confortée par de plus amples investigations, en raison de la lisibilité relative de ces peintures extérieures. Des prélèvements et des analyses physico-chimiques ont donc été réalisés, et les résultats obtenus permettent d'avoir une connaissance plus complète du précieux decorum extérieur de l'une des grandes cathédrales du Midi, un aperçu auquel l'histoire de l'art seule ne pouvait accéder que
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- Le château de Blanquefort, situé en Agenais, résulte de la recomposition au XIXe siècle d'éléments apparemment disparates des XIIIe et XVe siècles. Le castrum qui l'a précédé apparaît dans la documentation dans la première moitié du XIIIe siècle; il est vraisemblable qu'il ait été fondé par les seigneurs voisins de Fumel sur l'ancienne paroisse Notre-Dame de Veyrines, en liaison avec un prieuré de la Sauve-Majeure. L'analyse de l'édifice montre que sur les ruines des constructions (maisons de milites?) qui voisinaient la turris primitive fut établie une seconde turris à l'époque (milieu du XIIIe siècle) où les Fumel furent contraints de partager la seigneurie avec un second lignage, les Pujols. Restés seuls maîtres des lieux, les Pujols réunifièrent le site à partir de la fin du XIIIe siècle. A la fin du XVe siècle, Bérenger de Roquefeuil (alias Pujols) entreprit la modernisation de l'ensemble en ajoutant notamment des logis flanqués par une tour militaire. Ce chantier sera vite interrompu au profit de celui de Bonaguil, situé quelques kilomètres plus à l'ouest. Du XIIIe siècle subsistent notamment les vestiges des deux tours maîtresses et des bâtiments qui les voisinaient, d'une courtine merlonnée, d'un logis avec tour adossée et d'un corps de garde. La mieux conservée des deux tours maîtresses présente une architecture archaïque (fenêtres) qui l'a fait passer pour un ouvrage "roman". La tour militaire du XVe siècle présente une mixité intéressante d'équipements défensifs, résidentiels et domestiques qui conduisent à s'interroger sur les concepts typologiques.
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- Le clocher de Noguès se dresse encore à côté de l'église en ruine de Notre-Dame du Clocher, connue à l'origine sous le nom de Notre-Dame Descoemps. Ce qu'on peut connaître de l'histoire de cette église réside dans les quelques documents qui subsistent pour les origines, en particulier une Bulle papale datée de 1195, dans les registres notariaux du XVIe siècle, les visites épiscopales du XVIIIe siècle et les registres municipaux du XIXe siècle. L'architecture de l'église et de la tour clocher surtout est ici analysée, révélant une histoire compliquée de la construction est des restaurations à différentes périodes.
- "Gervais Drouet, inventeur de cet autel, na faict de ces mains que le lapidement de St Estienne. 1670". Gravée sur une large plaque de marbre noir, cette étonnante inscription est apposée, bien en vue, au bas de l'immense retable majeur de la cathédrale de Toulouse. Dans le domaine de l'art sacré, rares sont les oeuvres portant signature de leur auteur, sinon, parfois, au revers d'une statue ou sous l'apprêt d'une dorure, en toute discrétion et parfaite humilité. En ce sens, il n'existe rien d'équivalent à l'ostentatoire revendication du sculpteur Gervais Drouet. Nombre de documents permettent de retracer les circonstances et les diverses phases de la construction de cet imposant ensemble, voulu par les chanoines de la cathédrale pour dépasser en splendeur tout autre retable de la région. Ils confièrent cette surenchère décorative à un artiste au talent déjà très affirmé. Héritier des sculpteurs de retable de l'ouest de la France, formé à Rome auprès des plus grands maîtres de son temps mais aussi riche d'une profonde inventivité, Gervais Drouet sut allier l'ampleur monumentale, la sophistication des décors et la recherche des mises en scène. Et si son ombrageuse fierté l'incita à défendre son honneur par l'écrit, c'est bien parce qu'il l'avait mise en jeu dans l'exceptionnelle ambition de son art, dans l'un des plus beaux retables du XVIIe siècle, arc de triomphe de la sculpture.
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- L'ancien archevêché de Toulouse, devenu préfecture, paraît homogène et semble remonter au temps de Mgr Colbert à l'extrême fin du XVIIe siècle. Mais il conserve des traces importantes des palais précédents. On ignore tout des bâtiments du XIIIe siècle, à l'exception de la chapelle dont on connaît le carrelage. Les constructions du XVe siècle ont imposé leur présence. Leur sont dus le plan d'une grande partie de l'aile gauche, l'élévation des murs de cette même aile au rez-de-chaussée et au premier étage et l'emplacement de l'aile sur jardin. Les agrandissements du cardinal François de Joyeuse à la fin du XVIe siècle ne sont plus visibles, mais la régularisation de la façade sur jardin de l'aile gauche par Charles de Montchal annonce les travaux analogues de Mgr Colbert dans la cour d'honneur.
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- Le couvent des Jacobins a connu, sous le règne de Louis XIII, une activité artistique traduisant le renouveau de la dévotion favorisé par le retour à l'observation de la règle. Parmi les ouvrages les plus notables qui furent commandés alors, figure le retable de l'autel majeur dans le choeur des religieux, oeuvre du sculpteur Antoine Morizot pour la boiserie, avec un tableau peint par Jacques de la Carrière (1611). Le second chantier concerne la construction, en 1615, de la chapelle du Rosaire, qui reçut un riche décor où intervinrent, pour le retable, le menuisier Louis Behorry et le sculpteur Artus Legoust, et pour ses tableaux le peintre Jean de Salinge (1618). Ce décor, couvrant lemur du fond, fut doré et peint par Bernard Saint-Gaudens (1621). Enfin on ne saurait passer sous silence, bien que plus tardives, les peintures du dôme, commandées au peintre Paul Romiguières (1656). Mais le chantier le plus prestigieux fut celui du nouveau mausolée construit pour recevoir les reliques de saint Thomas d'Aquin, conservées dans une châsse due à l'orfèvre parisien Jean II de Laon (1619-1621). Le monument, imaginé par deux concers du couvent, les frères Claude Borrey et Jean Raymond Renard, était remarquable par son plan, ses dimensions, ses sculptures et ses marbres. Il fut inauguré en 1628. Parmi d'autres travaux, on peut citer la reconstruction de la chapelle de la confrérie des marchands, dite aussi chapelle des Trois Rois, qui ouvrait sur le petit cloître. Elle était ornée d'un remarquable plafond à caissons, comportant soixante quatre portraits des rois de France et de personnages tirés de l'histoire sacrée, peints par Gabriel Rivet (1623).
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- L'église paroissiale Notre-Dame de Mirande (Gers) conserve une grande Assomption, (classée MH en 1981) restée jusqu'ici anonyme. La toile, qui provient de l'ancienne abbaye de Berdoues où elle se trouvait à la Révolution, fut acquise par la municipalité en 1806, avec l'ensemble de son autel. Un docuement des Archives Nationales (publié en annexe) confirme cette provenance et montre que l'oeuvre était alors attribuée - sans fondement - à Rubens; En réalité son style désigne une oeuvre de jeunesse du parisien Antoine Coypel (1661-1722). Plus précisément, il s'agit de son May de 1680, pour lequel deux dessins préparatoires (l'un à l'Ashmolean Museum d'Oxford, l'autre récemment passé en vente publique) ont pu être repérés. Dans sa très brillante carrière, la commande de l'Assomption marquit une étape dont l'importance fut immédiatement soulignée par le Mercure galant. Mais dans la cèlèbre série des Mays, offerts de 1630 à 1707 à Notre-Dame de Paris par les orfèvres de la capitale puis dispersés à la Révolution, le tableau aujourd'hui à Mirande est à part: créé à un moment de crise, il semble en effet probable qu'il ne fut jamais mis en place dans la cathédrale. Les circonstances de son arrivée à Berdoues sont inconnues. On peut seulement attirer l'attention sur la visite qu'y fit en 1743 Nicolas-Philibert Guyot, abbé de sa maison-mère (Morimond, au diocèse de Langres), qui passe pour avoir été actif amateur d'art.
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- Les procès-verbaux des séances de la Société rendent compte de ses différentes activités, reproduisant en particulier les discussions qui suivent les communications, que celles-ci soient publiées ou non dans les Mémoires. On y trouvera aussi des informations sur des fouilles archéologiques, des restaurations en cours ou des découvertes diverses à Toulouse et dans la région ainsi que des comptes rendus et des notes variées: La collégiale Saint-Étienne de Capestang, un chantier exceptionnel de la première moitié du XIVe siècle; Remarques sur le thème de l'Ascension à la porte Miégeville; Le rayonnement de Sain-Sernin de Toulouse à travers les associations de prière au Moyen Âge; Gervais Drouet et le retable majeur de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse (1662-1667): l'honneur d'un sculpteur; L'église de Boccarrisse (commune de Gazar-Boccarrise, Gers)...
- SUMMARIES
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- A study of the oil-lamps of Auterive shows how rapid was the process of Romanisation in the lower Ariège valley between the first century B.C. and the first century A.D. The Gallic levels of the later Iron Age contain lamps of Campanian origin and in traditional Greek style along with local or regional imitations of these, whereas the more recent levels reveal a surge of Italic-style lamps dominated by traditional Roman decoration illustrating characters from mythology or popular circus scenes. Lamps with birds'heads are still found, but more rarely, and also lamps with banded handles and an elongated nozzle, but lamps with a triangular nozzle and no projecting spout, and without handles, become the most frequent type and are characteristic of the first century A.D.
- Of the four treasure hoards excavated during the last decade of the 19th century on the communes of Martres-Tolosane and Cazères, none were discovered by Leon Joulin himself. All of them were fortuitous discoveries made in the course of agricultural work during the period when this scholar was working in the area. These finds were rapidly dispersed but fortunately were all recorded in his voluminous work on the Gallo-Roman settlements of the Martres-Tolosane plain, published in 1901. This article provides a fresh analysis of the numerous publications concerning these four treasure hoards of the late third century, basing itself in particular on a manuscript report by Michel Labrousse of 1948. This study concentrates on the hoard known as Berges II, many hundreds of coins from which are found in the coin collections of the Musée Saint-Raymond in Toulouse.
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- The little town of Mayrinhac-Le-Francal grew up around a small Benedictine priory of the Abbey of Tulle (in the Corrèze), on the pilgrimage route linking the Dordogne valley to Rocamadour. All that remains of this monastic establishment is the church of St Martin, with its high and narrow single rectangular nave, with a narrower quadrangular chancel, whose stone walls preserve the traces of numerous phases of construction. The earliest parts of the structure, dating from the first half of the 11th century, are seen in the quadrangular chancel and the first bay of the nave. It is characterised by narrow windows with a semicircular arch above and by semicylindrical buttresses unique in the Midi. A 12th-century building phase was followed during the Hundred Years War by a construction campaign aimed at fortifying the church which then in the second half of the 15th century or early 16th century was provided with an interior cistern necessitating the raising of the level of the nave.
- The cathedral of Saint-Etienne (St Stephen) in Cahors has preserved minute traces of its exterior painted ornamentation and of the polychromic decor of its main porch which was probably carried out at the end of the 13th century. These elements have been compared with the medieval paintings preserved inside the building on the rear of the western wall, but it was worth seeking confirmation of this comparison in a fuller investigation, given the relative legibility of the exterior paintings. Samples were thus taken and physicochemical analyses carried out. The results obtained bring enhanced understanding of the precious exterior decoration of one of the great cathedrals of the Midi, providing a view to which traditional art history methods could only accede in part.
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- The castle of Blanquefort in the Agenais is a 19th-century reconstruction from apparently disparate elements of the 13th and 15 th centuries. The castrum which preceded the castle appears in archive records of the first half of the 13th century and was probably founded by the neighbouring lors of Fumel in the former parish of Notre-Dame de Veyrines, and was linked to a priory of Sauve-Majeure. An analysis of the building shows that above the ruins of previous buildings (housing for soldiers?) next to the original tower, a second tower was built at the time (mid-13th century) when the Fumel were forced to share the lordship with another family, the Pujols. The Pujols became sole masters and unified the site from the end of the 13th century. At the end of the 15th century, Bérenger de Roquefeuil (alias Pujols) undertook a modernisation of the whole site by adding residentiel wings flanked by a military tower. But this work was soon abandoned in favour of the site of Bongauil, some few kilometres further west. From the 13th-century there remain the remnants of the two main towers and the nearby buildings, of a connecting parapet wall, a residential wing with adjacent tower, and a guardroom. The better preserved of the main towers is in an archaic architectural style (the windows) which has led to its being taken for "Romanesque". The 15th-century military tower shows an interesting mixture of defensive, residential and domestic apparatus which lead one to question typological concepts.
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- The Clocher de Nogès still stands beside the ruined church of Notre Dame du Clocher, known earlier as Notre Dame Descoemps. What one can learn of the history of this church is traced from the few documents that surive of earlier centuries, notably a Papal Bull of 1195, notarial registers of the 16th century, episcopal visitations of the 18th century, and the 19th-century registers recording the meetings of the municipal council. The architectures of the church and of the belltower in particular is them examined and analysed, revealing a complicated history of building and restoration work at various periods.
- A remarkable and very visible inscrption on a black marble plaque at the base of the huge main altarpiece of Toulouse cathedral records that Gervais Drouet designed this whole altarpiece but that'with his own hands'he only carried out the Stoning of St Stephen, and gives the date of 1670. In religious art it is rare to find a work signed by the artist, except occasionally on the back of a statue or under the finish of some gilding, completely discreet and in full himility. One can thus find nothing comparable to this ostentatious declaration of the sculptor Gervais Drouet. A number of documents allow one to trace the circumstances that led to the construction of this imposing piece and the suceeding stages of its construction. The canons of the cathedral had wanted it to outdo in its splendour all other altarpieces in the region, and entrusted this sensational decorative work to an artist whose great talents were already well-known. Gervais Drouet worked in the line of inheritance of the altarpiece sculptors of western France, he had been trained in Rome under the greatest masters of the time, but he also possessed a rich and deep inventivity and knew how to combine great monumental size with sophisticated decoration and carefully studied set scenes. If his touchy pride led him to defend his honour in writing, then it was because he had indeed staked it in this exceptionally ambitious work, one of the most beautiful altapieces of the seventeenth century, a triumph of the sculptor's art.
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- daThe former archbishop's palace of Toulouse, now the Prefecture, seems to be in a homogenous style dating from the time of Archbishop Colbert, of the very end of the 17th century. But it preserves important traces of the earlier palace. Nothing is known of the 13th-century building apart form the chapel whose tiled floor is known. The 15th-century buildings have determined the plan of a large of the left wing, the height of the walls of this wing on the ground and first floors, and the situation of the garden wing. The extensions of Cardinal François de Joyeuse at the end of the 16th century are no longer visible, but the regularisation of the façade of the left wing as it fronts on to the garden, carried out by Charles de Montchal, was a precursor of the similar work carried out by Archbishop Colbert in the main courtyard.
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- The Dominican convent (the Jacobins) saw great artistic activity during the reign of Louis XIII, reflecting a newfound devotion based on a return to full observation of the Rule. Among the most notable works of the period is the altarpiece for the high altar in the conventual choir, whose wood panelling was the work of the sculptor Antoine Morizot, the painting being by Jacques de la Carrière (1611). Next came the building in 1615 of the Rosary Chapel which was given a sumptuous decor: the altarpiece was the work of the cabinet-maker Louis Behorry and the sculptor Artus Legoust, and the paintings were done by Jean de Salinge (1618); this decoration of the end wall was gilded and painted by Bernard de Saint-Gaudens (1621). One must also mention, although they are later, the paintings of the cupola for which the painter Paul Romiguières was engaged. But the most prestigious project was that of the new mausoleum built to house the relics of St Thomas Aquinas, kept in a reliquary made by the Parisian goldsmith Jean II de Laon (1619-1621). This monument, designed by two lay-brothers of the convent, Claude Borrey and Jean Raymond Renard, was remarkable in its design, its dimensions, its sculptures and its use of marble. It was inaugurated in 1628. Among other work one can cite the rebuilding of the chapel of the merchants'confraternity, known also as the Chapel of the Three Kings, which opened out on to the small cloister. It was decorated with a remarkable panelled ceiling containing 64 portraits of kings of France and religious figures, painted by Gabriel Rivet (1623).
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- The parish church of Notre-Dame de Mirande in the Gers has preserved a large painting of the Assumption (classed as an historic monument in 1981), which has remained anonymous until now. It came from the former Abbey of Berdoues, where it was at the time of the Revolution, and was acquired by the commune in 1806, along with the whole altar to which it belonged. A document in the Archives Nationales (published as an annexe here) confirms this provenance and shows that the work was at that time attributed - without any basis - to Rubens. In fact its style denotes a youthful work by the Parisian Antoine Coypel (1661-1722), his "May" of 1680 for which two preparatory sketches are known (one in the Ashmolean Museum in Oxford, the other sold recently at auction). This commission for an Assumption marked a notable stage in his brilliant career and its importance was at once underlined by the Mercure galant. But in the famous series of "Mays", presented between 1630 and 1707 to Notre-Dame de Paris by the goldsmiths of the city, and then dispersed at the Revolution, this painting now in Mirande stands apart: produced at a period of crisis, it seems in fact probable that it was never put up in the cathedral. How it reached Berdoues is unknown, but one might draw attention to the visit there in 1743 of Nicolas-Philibert Guyot, Abbot of the Order's mother-house (Morimond, in the Langres diocese), who is said to have been an active art-lover.
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- The minutes of the meetings of the Society give an account of its various activities, recording in particular the discussions which followed the lectures presented, whether or not the latter are published in the Mémoires. Also included is information on archaeological digs, restorations in progress and various discoveries in Toulouse and the region, as well as the following summaries and notes: The collegiate church of St-Etienne de Capestang, a remarkable work of the first half of the 14th century; Notes on the theme of the Ascension in the Miégeville gateway; The influence of St Sernin in Toulouse as seen through medieval prayer associations; Gervais Drouet and the main altarpiece of the Cathedral of Toulouse (1662-1667): a sculptor's honour; The church of Boccarrisse (in the commune of Gazax-Boccarrisse in the Gers).
- SUMARIO
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- El estudio de los candiles de Auterive muestra la rápida romanización del bajo valle de Ariège, del primer siglo a. C. al primero de nuestra era. Mientras que las capas de la época gala de la segunda Edad del Hierro todavía contienen candiles de origen campaniano o de tradición griega y sus imitaciones locales o regionales, las capas mas recientes revelan una afluencia de candiles italicos en los que predominan las decoraciones de tradición romana que ilustran la mitologia y las escenas populares de los juegos circenses. Los candiles con cabezas de pájaro en relieve todavía subsisten aunque son menos frecuentes, así como las lámparas con asas encintadas y con una boquilla provista de un canal. Sin embargo, las lámparas con boquilla triangular, sin canal y sin asas, son el tipo de lámparas más frecuente, caracteristico de la primera mitad del primer siglo de nuestra era.
- De los cuatro tesoros monetarios exhumados durante los diez últimos anos del siglo XIX en el territorio os municipios de Martres-TolosaneTolosane y Cazères ( (Haute ninguno lo fue por Léon Joulin en persona. Todos se encontraron fortuitamente, durante faenas agricolas, meintras el sabio tarabajaba en la region. Dichos descubrimientos se dispersaron con rapidez, pero afortunandamente, Léon Joulin los anoto en su voluminosa memoria sobre establecimientos galorromanos de la llanura de Martres-Tolosane, que fue publicada en 1901. En este primer articulo, analizaremos de nuevo las numerosas publicaciones que conciernen a estos cuatro tesoros monetarios de finales del siglo III, basandonos especialmente en un manuscrito redactado por Michel Labrousse en 1948. Este estudio tratara en concreto sobre el tesoro llamado Bergès II, del que se encontraron varios centenares de monedas en la coleccion del museo Saint-Raymond, el museo de antigüedades de
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- de El pequeño burgo de Mayrinhac-Le-Francal se desarrolló alrededor de un pequeño priorato benedictino e a abadia de Tulle (en la provincia de Corrèze) en el camino de peregrinacion que une el valle de Dordogne Rocamadour. De este conjunto monástico solamente subsiste la iglesia de San Martin, un edificio de piedra alto y estrecho, que présenta una planta cuyos muros conservan las marcas de multiples fases de construcción. primer estado, datado de la primera mitad del siglo XI, está ilustrado por el coro cuadrangular y el primer tramo de la nave. Se caracteriza por ventanas estrechas cubiertas con arcos en travertino y por contrafuertes semicilindricos únicos en el Mediodía francés. Tras una de las fases de construcción del siglo XII, tuvieron lugar nuevas obras con el objetivo de fortificar la iglesia, durante la guerra de Cien Anos. En la segunda mitad del siglo XV y principios del XVI, la iglesia se doto de una cisterna interior, lo cual motivo la elevacion del nivel del suelo de la nave.
- La catedral de Saint-Étienne de Cahors solamente ha conservado ínfimas muestras de su decoración pintada exterior y de la policromia de de en portico principal, principal, principal, probablementeprobablemente realizado realizado realizado realizado a finales -del siglo XIII. Estos policromia de su pui portico probablementeprobablementeprobablementeprobablementeprobablemente realizado a finales del siglo XIII. Estos elementos se pudieron comparar con las pinturas medievales conservadas en el interior del edificio en la parte posterior del macizo occidental, pero este cotejo merecio investigaciones mas detalladas, en razon de la nitidez relativa de dichas pinturas exteriores. Ao pues, se llevaron a cabo extracciones y analisis fisico-quimicos, y los resultados obtenidos permitieron disponer de un conocimiento mas completo de la valiosa decoracion externa de una las grandes catedrales del Mediodia frances, cosa que la historia del arte sola hubiese podido obtener unicamente de manera parcial.
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- El castillo de Blanquefort, situado en la región de Agen, es el resultado de la recomposición en el siglo XIX de elementos aparentemente discordantes de los siglos XIII y XV. El castrum que lo precedió aparece en la documentación en la primera mitad del siglo XIII, y parece probable que fuese fundado por los señores vecinos de Fumel sobre la antigua parroquia de Notre-Dame de Veyrines, en relación con un priorato de Sauve-Majeure. El análisis del edificio muestra que sobre las ruinas de las construcciones (? casas de soldados?) vecinas de la torre primitiva se estableció otra torre en la época en que los Fumel se vieron obligados a compartir el señorío con otro linaje: los Pujols (a mediados del siglo XIII). Al quedarse como únicos dueños de la propiedad, los Pujols reunificaron el sitio a partir de finales del siglo XIII. A finales del siglo XV, Bérenger de Roquefeuil (alias Pujols) emprendió la modernización del conjunto, añadiendo casas flanqueadas por una torre militar. Estas obras fueron rápidamente interrumpidas para privilegiar las de Bonaguil, situadas a algunos kilómetros mas al oeste. Del siglo XIII subsisten concretamente los vestigios de las dos torres principales y de sus edificios vecinos, de una cortina con merlón, de una vivienda con una torre adosada y de un cuerpo de guardia. La mejor conservada de las dos torres principales présenta una arquitectura arcaica (ventanas) que la hace pasar por una obra románica. La torre militar del siglo XV présenta una mezcla interesante de equipamientos defensivos, residenciales y domésticos que conducen a interrogarse sobre los conceptos tipológicos.
- El campanario de Noguès se erige todavía al lado de la iglesia en ruinas de Notre-Dame du Clocher, conocida originariamente con el nombre de Notre-Dame Descoemps. Lo que podemos conocer de la historia de esta iglesia reside en los pocos documentos que subsisten en cuanto a sus orígenes, en particular una bula papal de 1195, en los registros notariales del siglo XVI, las visitas episcopales del siglo XVIII y los registros municipales del siglo XIX. La arquitectura de la iglesia y sobre todo la de la torre campanario se analiza en ellos, revelando la complicada evolución de la construcción y de las restauraciones en diferentes periodos.
- "Gervais Drouet, inventor de este altar, efectuó con sus propias manos la lapidación de San Etienne solamente. 1670". Esta sorprendente inscripción grabada sobre una gran placa de mármol negro queda muy visible en la parte inferior del inmenso retablo mayor de la catedral de Toulouse. En el ámbito del arte sagrado, pocas son las obras que muestran la firma de su autor, y en tal caso, como mucho en la parte posterior de una estatua o bajo una doradura, con total discreción y completa humildad. Así pues, no existe nada équivalente a la ostentativa reivindicación del escultor Gervais Drouet. Numerosos documentos permiten recordar las circunstancias y las diversas fases de la construcción de este imponente conjunto, que los canónigos de la catedral quisieron para superar en esplendor a cualquier otro retablo de la región. Esta sobreabundancia decorativa la confiaron a un artista que ya demostraba un talento muy afirmado. Gervais Drouet, dotado de una profunda capacidad inventiva, discípulo de los escultores de retablos del oeste de Francia y cuya formación tuvo lugar en Roma con los grandes maestros de su tiempo, supo aliar la grandeza monumental, la sofisticación de las decoraciones y el cuidado del detalle de las puestas en escena. Y si su susceptible orgullo lo incitó a defender su honor por escrito, es porque se lo había jugado con la excepcional ambición de su arte, en uno de los mas bellos retablos del siglo XVII, que es un arco de triunfo de la escultura.
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- El antiguo arzobispado de Toulouse, convertido en prefectura, parece ser homogéneo y remontar al tiempo de Monsenor Colbert, muy a finales del siglo XVII. Sin embargo, conserva marcas importantes de los palacios precedentes. No se sabe nada de los edificios del siglo XIII, a excepcion de la capilla, de la que se conocen los azulejos. Las construcciones del siglo XV han impuesto su presencia. La planta de una gran parte del ala izquierda, la elevacion de las paredes de esta misma ala en la planta baja y la primera planta, y el emplazamiento del ala que da al jardin son tipicos de esta época. Las ampliaciones del cardenal François de Joyeuse a finales del siglo XVI ya no estan visibles, pero la regularizacion de la fachada del jardin del ala
- izquierda llevada a cabo por Charles de Montchal anuncia las obras analogas de Monsenor Colbert en el patio de honor.
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- Bajo el reinado de Luis XIII, el convento de los Jacobins cononcio una actividad artistica que reflejaba el rebrote de la devocion, favorecido por el retorno de la observancia de la regla. Entre las obras mas notables que se encargaron entonces figura el retablo del altar mayor del coro de los religiosos, obra del escultor Antoine Morizot, notable por el artesonado, y con un cuadro pintado por Jacques de la Carrière (1611). El segundo trabajo concierne la construccion, en 1615, de la capilla del Rosaire, que recibio una rica decoracion en la que intervinieron el ebanista Louis Behorry y el escultor Artus Legoust, para el retablo, y el pintor Jean de Salinge para sus cuadros (1618). Esta decoracion, que cubre la pared del fondo, fue dorada y pintada por Bernard Saint-Gaudens (1621). Por ultimo, aunque fueran mas tardias, no se dejar de mencionar las pinturas de la cupula, encargadas al pintor Paul Romiguières (1656). sin embargo, el trabajo mas prestigioso fue el del nuevo mausoleo construido para recibir las reliquias de Santo Tomas de Aquino, conservadas en un relicario elaborado por el orfebre parisino Jean II de Laon (1619-1621). El monumento, imaginado por dos conversos del convento: los hermanos Claude Borrey y Jean Raymond Renard, destacaba por du planta, sus dimensiones, esculturas y marmoles. Fue inagurado en 1628. Entre otros trabajos, se puede citar la reconstruccion de la capilla de la cofradia de los comerciantes, llamada también capilla de Trois Rois, que se abria hacia el claustro pequeno. Dicha capilla estaba ornada con un magnifico techo de artesones, que comportaba sesenta y cuatro retratos de los reyes de Francia y de personajes de la Historia Sagrada, pintados por Gabriel Rivet (1623).
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- La iglesia parroquial de Notre-Dame de Mirande (provincia de Gers) conserva una gran Asunción, (declarada Monumento Historico en 1981), anonima hasta la actualidad. La tela, que proviene de la antigua abadia de Berdoues, donde se encontraba durante la Revolucion Francesa, fue adquirida por la municipalidad en 1806, con el conjunto de su altar. Un documento de los Archivos Nacionales (publicado en anexo) confirma esta proveniencia y muestra que la obra se atribuia entonces a Rubens, sin ningun fundamento. En realidad su estilo designa una obra del parisino Antoine Coypel (1661-1722), de cuando era joven. Mas exactamente, se trata de su May de 1680, para el que se han podido localizar dos dibujos preparatorios (uno en el Ashmolean Museum de Oxford y el otro recientemente puesto en venta publica). En su brillantisima carrera, el pedido de la Asuncion marco una etapa cuya importancia fue innediatamente acentuada por el Mercure galant. Sin embargo, en la famosa serie de los cuadros llamados Mays, ofrendados a la Virgen de Notre-Dame de Paris por los orfebres de la capital de 1630 à 1707 y dispersados posteriormente durante la Revolucion, el cuadro que actuelmente esta en Mirande es aparte: creado en un momento de crisis, parece probable que nunca se instalara en la catedral. Se desconocen las circunstancias de su llegada en Berdoues. Solo se puede destacar la visita en 1743 de Nicolas-Philibert Guyot, abad de su sede (Morimond, en las diocesis de Langres), que pasa por haber sido un amante activo de arte.
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- Las actas de las sesionesde la Sociedad dan cuenta de sus diferentes actividades, y reproducen especialmette las discusiones consecutivas a las comunicaciones, publicadas o no en las Memorias. Tambien se encuentran en ellas informaciones sobre excavaciones arqueologicas, restauraciones en curso o descubrimientos diversos en Toulouse y su region, ademas de informes y notas diversas: La colegiata de Saint-Étienne de Capestang, una obra excepcional de la primera mitad del siglo XIV; Observaciones sobre el tema de la Ascension a la puerta de Miégeville; La proyeccion de Saint-Sernin de Toulouse mediante las asociaciones de oracion de la Edad Media; Gervais Drouet y el retablo mayor de la catedral de Saint-Étienne de Toulouse (1662-1667): el honor de un escultor, La iglesia de Baccarrisse (municipio de Gazax-Baccarrisse, provincia de Gers)...
MÉMOIRES
DE LA
SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE
DU MIDI DE LA FRANCE
FONDÉE EN 1831 ET RECONNUE D'UTILITÉ PUBLIQUE PAR DÉCRET DU 10 NOVEMBRE 1850
TOME LXVII
2007
OUVRAGE PUBLIÉ AVEC LE CONCOURS DU CONSEIL GÉNÉRAL DE LA HAUTE-GARONNE
TOULOUSE
HÔTEL D'ASSÉZAT - Place d'Assézat - 31000 Toulouse
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