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- MÉMOIRES DE LA SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU MIDI DE LA FRANCE T. LIX - 1999
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- Le musée Fenaille à Rodez conserve une statuette féminine en bronze inédite, mise au jour en Grèce où elle a été acquise, peut-être même découverte, par le Général Higonet, lors de l'expédition de Morée en 1828-1829. L'objet provient du sanctuaire de Déméter et Korè à Eleusis. Il s'agit d'un support sur lequel reposait un objet non identifié. La forme de l'attache sur la tête de la jeune femme interdit de voir dans la statuette un pied de miroir. L'oeuvre, de style sévère, date probablement des années 480 av. J.-C. Elle appartient à un groupe que les divers spécialistes ont tenté de situer géographiquement. Les attributions divergent assez fortement. L'auteur souligne ici la forte ressemblance entre la statuette de Rodez et la protomé de l'hydrie inv. 26.50 conservée au Metropolitain Museum à New York. Or ce récipient porte une inscription précisant qu'il constituait le prix d'une épreuve aux concours de l'Héraion d'Argos. L'attribution du groupe à Argos paraît alors la plus vraisemblable.
- Des recherches effectuées à partir des archives des fouilles de Montmaurin ont permis d'apporter un nouvel éclairage sur trois points concernant l'architecture de la villa. Le premier concerne le triconque. Les croquis de Georges Fouet permettent de distinguer à cet endroit au moins trois phases successives dans la construction: une pièce trèflée puis une abside intermédiaire, sous l'hémicycle, puis enfin le portique en hémicycle que l'on peut voir actuellement. En second lieu, l'existence des escaliers, donnant accès aux salles dominant la seconde cour, n'est pas certaine. Le lien entre ces dernières pièces et la salle terminée en abside, aujourd'hui très restaurée, semble improbable. Enfin, l'étude des croquis de fouille permet de mieux comprendre la restauration de la colonnade de la cour des thermes et son ordre "pseudo-toscan". Les dessins sembleraient attester, comme les clichés de l'état avant restauration, de la liaison entre certains éléments découverts, mais se posent plusieurs questions: absence de base sur le parapet pour les colonnes, insuffisance des diamètres des chapiteaux par rapport aux fûts, rôle exact des "tailloirs"
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- Grâce à des ramassages au sol et une photographie aérienne, on sait que le site de Lamolie à Astaffort correspond à une grande villa gallo-romaine d'environ 1 ha, située dans la basse vallée du Gers. Les nombreux objets découverts, essentiellement des céramiques, permettent de dater l'occupation de cet établissement rural du tout début du Ier siècle au VIIe siècle ap. J.-C., et de replacer le gisement dans son environnement archéologique ainsi qu'au sein des échanges commerciaux effectués pendant l'Antiquité.
- La cathédrale Saint-Caprais d'Agen comporte un vaste ensemble de chapiteaux. Ils peuvent être répartis en deux groupes selon qu'ils possèdent un épannelage cubique ou dérivé du corinthien. Dans cette seconde catégorie, neuf oeuvres présentent des liens avec la sculpture de Saint-Sernin de Toulouse. Les chapiteaux à décor végétal reprennent essentiellement des motifs employés dans les parties hautes de la basilique toulousaine. Il ne s'agit toutefois pas de copies serviles mais plutôt d'interprétations des modèles toulousains. En outre, certains chapiteaux historiés ainsi qu'un tailloir figuré sont en relation avec la sculpture du cloître de Moissac. Il convient donc d'étudier les hypothèses qui peuvent expliquer cette double influence, toulousaine et moissagaise, sur le chantier de Saint-Caprais, et, de là, proposer une chronologie relative mettant en résonance les trois édifices
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- L'examen archéologique de la vieille nef de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse permet de distinguer les différentes étapes de sa construction dans ses états romans puis gothiques. Cette analyse établit que la nef unique du début du XIIIe siècle est le résultat d'un seul parti architectural et que son édification montre une grande maîtrise des techniques de construction et de l'organisation du chantier. Son étude sous le prisme des influences issues du contexte méridional, notamment du voûtement en berceau des nefs uniques de la deuxième moitié du XIIe siècle, en particulier à Saint-Pons-de-Thomières, donne des indications sur l'origine de l'architecture gothique méridionale à Toulouse. Cette dernière procède de la nef unique romane et du berceau brisé. Le contrebutement de la poussée continue des berceaux laisse entre les contreforts une zone fragile qui nécessite une maçonnerie de bonne qualité, ou l'épaulement par des bas-côtés ou des tribunes. Dans les nefs uniques, les arcs latéraux internes ont un rôle d'arcs de décharge conduisant une partie des efforts vers les contreforts. À Toulouse, ces arcs deviennent des formerets. Ils permettent de réaliser la voûte avant de terminer les fenêtres. Les croisées d'ogives sont rendues nécessaires pour faciliter le couvrement d'une portée de près de vingt mètres en dégageant des lunettes imposées par l'adoption de fenêtres à lancettes étroites mais hautes. Le bombement de ces voûtes n'est pas une maladresse mais résulte de la volonté d'adapter les ogives au rôle de support de la toiture, traditionnel dans le Midi.
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- À travers observations archéologiques et documents d'archives est menée une étude du plan de l'ancienne abbaye et de son évolution depuis le Haut Moyen Âge jusqu'à l'époque contemporaine où le passage de la voie ferrée a définitivement rompu l'unité spatiale du monastère. Si de nombreux bâtiments ont été profondément modifiés et ont changé de fonction, ils n'ont pas disparu aussi totalement qu'on pouvait le croire. Ainsi à l'occasion de travaux récents les quartiers nord ont-ils révélé des vestiges qui permettent de faire des hypothèses sur l'aspect médiéval de leurs élévations.
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- De sa fondation, peu avant le milieu du troisième siècle, à son érection en métropole, au début du quatorzième siècle, l'Église de Toulouse a été gouvernée par une longue succession d'évêques, dont le souvenir s'est lentement effacé: sépultures dispersées en divers lieux, absence de liste épiscopale ancienne. Telle qu'elle est connue aujourd'hui, la série des évêques résulte d'investigations érudites menées pour l'essentiel aux treizième, quatorzième, dix-septième et dix-huitième siècles. La présente étude se fonde sur le bilan de ces travaux, la critique de leurs sources et la recherche de nouveaux documents pour proposer une liste épiscopale révisée; celle-ci reste lacunaire et sa chronologie demeure parfois incertaine. Quant au lieu de la sépulture des évêques de Toulouse, il apparaît que, initialement établi à la basilique Saint-Sernin, il ne commence à se fixer à la cathédrale Saint-Étienne qu'à la fin du treizième siècle.
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- La Grand'Chambre de la Cour d'Appel de Toulouse a révélé en 1997, à l'occasion de sondages effectués en vue de sa restauration, un plafond peint qui semble contemporain de la construction de cette salle, terminée en 1492. Cet ensemble est à ce jour l'unique témoignage d'un plafond peint médiéval à Toulouse. Les sondages ont montré un décor homogène, à l'iconographie variée, et dont les caractéristiques stylistiques sont celles de beaucoup d'autres plafonds peints de la même période dans le Midi de la France. Couvrant une salle d'importance, tant par sa taille que par sa fonction, il se démarque pourtant des autres ensembles par sa structure, particulièrement complexe, davantage encore que par son décor. Exemple unique mais qui s'intègre dans un courant plus large, ce décor ne peut rester plus longtemps dissimulé: il mérite d'être entièrement dégagé et présenté au public.
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- L'église Saint-Paul d'Auterive possède une cloche ancienne remarquable par son épigraphie et les scènes figurées qui la décorent. L'inscription Mentem sanctam, spontaneam honorem deo et patrie liberationem, JHS XPS, se retrouve sur un grand nombre de cloches, en particulier dans les régions montagneuses, et a pour origine la légende de sainte Agathe qui aurait protégé Catane des laves de l'Étna. Les cartouches historiés qui l'accompagnent représentent des scènes bibliques, sans ordre apparent, ayant pour but la sacralisation du bronze et la consécration de la cloche au service de Dieu. La cloche de Beaumont-sur-Lèze était ornée des mêmes scènes; son inscription XPS vincit, XPS regnat, XPS imperat, XPS ab omni malo nos defendat est aussi une invocation pour que le Christ nous délivre du péché et nous protège des fléaux naturels. Les deux cloches, vraisemblablement fondues par le même atelier, peuvent être datées du début du XVe siècle. Bruno
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- En 1544, les Capitouls de Toulouse commandent au sculpteur Jean Rancy une figure représentant "Dame Tholose" pour remplacer la girouette de la Tour des archives. (Le bronze, coulé en 1550, y reste jusqu'en 1832 où, assortie de nouveaux attributs, la sculpture coiffe la colonne de la place Dupuy.) L'article examine dans quelles conditions a pu être conçu le premier bronze allégorique représentant une cité qui renouait par là avec le passé glorieux et l'épithète reprise par les humanistes de "Palladia Tolosa".
- Une fosse d'aisance mise au jour au nord-est de la cité, contre la Promenade-des-Capitouls, a livré de la céramique des XVIe-XVIIe siècles. Cette poterie se compose de vases de type fermé à liquide et des contenants culinaires. Ces derniers présentent des marmites et des coquemars. Ceux-là livrent surtout des pichets. À la vaisselle aux formes ouvertes correspond la céramique commune, comprenant des bassins, et de la poterie polychrome avec des assiettes et des coupes à décor sgraffité. La céramique à pâte blanche et décor peint comprend essentiellement des assiettes et des écuelles. La fosse présente enfin des contenants ayant trait à l'hygiène et au bien-être familial: albarelles, porte-dîner, réchaud, pot d'aisance, tirelire, et de la verrerie.
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- Au XVIIIe siècle, le rôle de l'architecte à Toulouse et ses prérogatives restent encore flous dans les projets de reconstruction d'ordre privé. Dans l'habitat populaire au schéma simple et répétitif, restreint par un parcellaire étroit, la maîtrise d'oeuvre est le plus souvent confiée au maçon, homme de terrain, issu du milieu des artisans. À l'inverse, dans l'habitat noble, domaine de l'érudition, les plans sont réalisés en majorité par un expert au savoir académique et apte à concevoir des modèles savants. Deux personnalités de la communauté artistique toulousaine semblent avoir marqué par les nombreuses commandes qu'ils reçurent la construction privée du XVIIIe siècle: Guillaume Cammas, peintre et architecte de la Ville, et Maduron, directeur des travaux publics de la Ville, ont su donné une interprétation très locale du classicisme français tout en conservant une architecture de briques traditionnelle. Les recherches d'attribution recouvrent encore un large domaine à exploiter mais il semble d'ores et déjà que les artistes étrangers à la sphère toulousaine éprouvèrent des difficultés à s'implanter dans la ville, l'aristocratie parlementaire, l'élite qui donne le ton, s'adressant plus spontanément aux tenants de la tradition.
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- The Fenaille Museum in Rodez possesses a little-known female figure in bronze, purchased and perhaps discovered in Greece by General Higonet, during the Morea campaign of 1828-1829. The statuette comes from the sanctuary of Demeter and Kore at Eleusis. The figure is in fact a support upon which some unknown object rested. The position of the points of attachment on the head of the young woman precludes the possibility that this was a mirror base. The work, in the severe style, probably dates from the 480's B.C.E., and belongs to a group whose place of origin various specialists have attempted to locate. Opinions on this subject vary widely. The author emphasizes the resemblance between the Rodez figure and the figured handles of the hydria from the Metropolitan Museum in New York (no. 26.50). Since this container bears an inscription stating that it was given as a prize for the games in honor of Hera at Argos, the attribution to the Argos group seems most likely.
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- Research based on Montmaurin's archaeological records have shed new light on three points concerning the architecture of the villa. The first concerns the three-lobed structure mentioned in the final publication. Georges Fouet's sketches allow us to distinguish at least three successive phases of construction in this area: a trefoilshape room, then an intermediate hall under a curved ceiling, and finally a curving portico, which can still be seen. In the second place, the existence of stairs leading to the rooms which overlook the second courtyard cannot be confirmed. Any connection between these rooms and the room which terminates in an apse, which has undergone a great deal of restoration, seems improbable. Finally, a study of the field sketches gives us a better understanding of the restoration carried out on the colonnade of the bath courtyard and its "pseudo-tuscan" design. The drawings, as well as the photos taken before restoration, seem to indicate a connection between some of the elements which have been excavated, but raise new problems: missing column bases along the parapet, the diameter of the column shafts which exceeds that of the capitals, and the uncertain role of the imposts.
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- Thanks to fieldwork and an aerial photograph, the site of Lamolie at Astaffort, in the lower valley of the Gers, has been identified as a large Gallo-Roman villa, of about 1 ha. The discovery of numerous objects, especially ceramics, allows us to date the occupation of this stratum to the period from the very beginning of the first century to the seventh A.D. It also allows us to place the site in its setting and underline its commercial role in the ancient world.
- The cathedral of Agen holds a vast collection of capitals, which can be divided into two groups: those with a cubic shape and those which are derived from the Corinthian style. In this second category, nine bear a resemblance to the sculpture of St. Sernin of Toulouse. The capitals with leaf motifs essentially employ the same motifs as those used in the upper areas of the Toulousan basilica. Nevertheless, these are not slavish copies, but rather interpretations of Toulousan models. Moreover, certain historiated capitals, as well as a figured impost, are related to the sculpture of the cloister at Moissac. Hypotheses to explain the double influence of Toulouse and Moissac on the St Caprais site should be studied, with the goal of proposing a relative chronology for the three buildings.
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- Archaeological examination of the old nave of the Cathedral of St. Etienne of Toulouse allows one to distinguish the various stages of its construction from the Romanesque to the Gothic periods. This analysis has shown that the simple nave from the early thirteenth century is the result of a single architectural undertaking and that its building demonstrates a thorough mastery of construction techniques and workshop organization. A study of the cathedral in the context of influences from the South of France, notably the barrel vault over a single nave in the second half of the twelfth century, as at St. -Pons-de-Thomières, provides information on the origins of southern Gothic architecture in Toulouse. The latter developed from the single Romanesque nave and the broken barrel vault. The outward force of the barrel vaults leaves a weakened area between the buttresses, which requires high-quality masonry, or the support of side-aisles or galleries. In some churches with single naves, the lateral internal arches serve to transfer part of the load towards the buttresses. In Toulouse, these arches were transformed into wall-arches. They allowed builders to complete the vault before the windows were completed. Crossings covered by pointed arches were necessary to cover the large span of nearly twenty meters, while opening lunettes imposed by the use of narrow, high windows. The bulging of these vaults does not indicate incompetence, but resulted from the decision to adopt the rib vault to the role of roof support, traditional in the south.
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- Archaeological findings and archival documents help to trace the plan of the former abbey and its evolution from the Early Middle Ages to contemporary times, when the construction of the railway definitively ended the spatial unity of the monastery. While many of the buildings have been significantly modified and have changed function, they have not disappeared as completely as had been believed. Thus, during recent works, the northern areas have revealed vestiges which allow speculation on the contours of the medieval topography.
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- From the time of its foundation shortly before the middle of the third century, to its elevation to metropolitan status at the beginning of the fourteenth, the church of Toulouse was administered by a long succession of bishops, who were slowly lost to memory. Their tombs were dispersed among different sites, and no ancient episcopal list has survived. As it exists today, the roll of bishops is a result of scholarly research primarily from the thirteenth, fourteenth seventeenth and eighteenth centuries. The current study is based on all of these works, a critical analysis of their sources and research from new documents, with the goal of proposing a revised episcopal list. The latter remains incomplete and its chronology is uncertain in parts. As for the burial place of the bishops of Toulouse, it appears that, while a site was initially established at the Basilica of St. Sernin, it was only moved to the Cathedral of St. Etienne at the end of the thirteenth century.
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- In 1997, during an examination of the Great Hall of the Court of Appeals in Toulouse, a painted ceiling was revealed. It seems contemporaneous with the construction of the Hall, completed in 1492. This is today the only example of a medieval painted ceiling in Toulouse. Investigations indicate a unified scheme of decoration, with varied iconography, whose stylistic characteristics resemble those of many other painted ceilings of the same period in the South of France. Covering a room notable both for its size and its function, the ceiling is distinguished from other similar structures more by its particularly complex design than by its decoration. As a unique example, yet one which may be placed in a wider context, this ceiling can no longer remain obscure: it deserves to be completely uncovered and presented to the public.
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- The church of St. Paul in Auterive possesses an antique bell which is notable for the epigraphy which adorns it. The inscription "Mentem sanctam, spontaneam honorem deo et patrie liberationem, JHS XPS", is to be found on a great number of bells, particularly in mountain areas, and arises from the legend of St. Agatha, who is said to have protected Catana from the lava of Aetna. The figured cartouches which accompany it represent biblical scenes, in no apparent order, and are intended to sanctify the bronze and consecrate the bell to the service of God. The same scenes were found on the bell of Beaumont-sur-Lèze. Its inscription "XPS vincit, XPS regnat, XPS imperat XPS ab omni malo nos defendat" is also a plea that Christ deliver us from our sins and protect us from natural disasters. The two bells, probably cast in the same workshop, may be dated to the beginning of the fifteenth century.
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- In 1544, the Capitouls of Toulouse commissioned sculptor Jean Rancy to create a figure representing "Dame Tholose" to replace the vane of the Tower of the Archives. (The bronze, cast in 1550, remained there until 1832 where, with additions, the sculpture adorned the column of Dupuy square.) The article examines the possible conditions which produced the first allegorical bronze representing a city, which served thus to unite a glorious past and the epithet of the humanists: "Palladia Tolosa".
- A cesspit uncovered to the northeast of the old town, near the Promenade des Capitouls, has turned up ceramics of the sixteenth and seventeenth centuries. This pottery is made up of kitchen ware, and closed containers intended for liquids. The former include pots and jugs, while most of the latter are pitchers. The wide-mouthed vessels are of common ceramic, including basins and polychrome pottery, with plates and cups decorated with sgrafitto. The white clay ceramic vessels with painted decorations are primarily plates and bowls. Finally, the site has provided pottery intended for hygienic and family use: jars, trays, chafing dishes, chamber pots, and glassware.
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- In the course of the eighteenth century, the role and the prerogatives of the architect undertaking private restoration projects remained badly-defined. In common dwellings, based on simple and often-repeated plans, constrained by narrow lots, construction was most often entrusted to masons who were local craftsmen. On the contrary, in the dwellings of the upper classes, a milieu of erudition, plans were most often carried out by experts with academic knowledge, more likely to think along scholarly lines. Two personalities of the Toulousan artistic community seem to have left their mark on the eighteenth century private construction, through the numerous commissions they received. Guillaume Cammas, the town's official painter and architect, and Maduron, the town's public works director, were able to give a very local interpretation to French Classicism, while conserving the traditional brick architecture. There is still a great deal of unexplored ground to cover in researching attribution, but at this point it seems that artists from outside Toulouse had trouble establishing themselves in the town, since the the parliamentary aristocracy, the elite, set the tone and preferred to call upon those who upheld Toulousan traditions.
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- Se conserva en el Museo Fenaille, de Rodez, una pequeña estatua feminina, inédita, en bronce y que fué descubierta en Grecia. La adquirió, y tal vez la descubrió, el General Higonet, a raíz de la expedición de Moree por los anos 1828-1829. Procede del santuario de Demeter y Koré en Eleusis. Se trata de un soporte sobre el cual descansaba un objeto no identificado. La forma de la atadura que lleva la jóven en la cabeza prohibe ver en esta estatua la base de un espejo. La obra, de estilo severo, se puede fechar por los anos 480 antes de J.C. Pertenece a un grupo que los distintos especialistas han intentado situar geográficamente. Las atribuciones varian bastante. Subraya aquí el autor la tan fuerte semejanza entre la pequeña estatua de Rodez y la mascarilla de la hidria inv. 26.50 conservada en el Metropolitan Museum, en Nueva-York. Pero este recipiente lleva una inscripción indicando que constituía el premio entregado cuando se desarrollaban los concursos en el Heraion de Argos. Parece pues lo mas verosímil la atribución al grupo de Argos.
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- Investigaciones efectuadas a partir de archivos de excavaciones de Montmaurin, han permitido aportar una nueva luz en tres puntos de la arquitectura de la villa. El primero es el triconque. Los esbozos realizados por Georges Fouet permiten distinguir, a ese nivel, por lo menos tres faces sucesivas en la construcción: una pieza trilobada, luego un abside intermediario, debajo del hemiciclo que aún se puede ver. En segundo lugar, la existencia de las escaleras que conducen a las salas dominando el segundo patio, no se puede certificar. La relación entre estas últimas piezas y la sala que se termina en abside - hoy muy restaurada - parece improbable. Por fin, con el estudio de los croquis de excavaciones se comprende mejor la restauración de la columnata del patio de las termas y su orden pseudo-toscano. Los dibujos parecen atestiguar, asimismo como los cliches hechos antes de la restauración, la relación entre varios elementos descubiertos pero entonces se plantean varias preguntas: ausencia de bases en el parapeto para las columnas; diametro insuficiente para los capiteles en relación con los fustes; papel exacto de las " abacas
- Recogiendo por el suelo y por una foto aérea se sabe que el sitio de Lamolie, en Astaffort, corresponde a una gran villa galo-romana, de una ha. aproximadamente. Esta situada en el valle bajo del departamento del Gers. La cantidad de objetos descubiertos, esencialmente cerámicas, permiten fechar el tiempo de ocupación de este lugar rural que va desde principios del siglo I hasta el siglo VII después de J.C. Se puede así situar el yacimiento en su ambiente arqueológico así como en el seno de intercambios comerciales efectuados durante la Antigüedad.
- La catedral Saint-Caprais, en Agen, presenta un importante conjunto de capiteles. Se pueden repartir en dos grupos: unos que poseen un desbaste cúbico; otros derivados del corintio. En este segundo grupo, nueve de ellos tienen relación con la escultura de Saint-Sernin de Toulouse. Los capiteles con decoración vegetal recuperan principalmente motivos empleados en las partes altas de la basílica tolosana. No se trata de copias serviles, sino más bien de interpretaciones de los modelos tolosanos. Además, ciertos capiteles historiados, así como un ábaco igualmente historiado, tienen relación con la escultura del claustro de Moissac. Conviene pues estudiar las hipótesis que expliquen esta doble influencia, la tolosana y la de Moissac, en la obra de Saint-Caprais, y a partir de ahí, proponer una relativa cronología que ponga en resonancia los tres edificios.
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- El examen arqueológico de la vieja nave de la catedral Saint- Étienne de Toulouse permite distinguir las diferentes etapas de su construcción en sus estados románico y luego gótico. Con este análisis se puede establecer que la única nave de principios del siglo XIII es resultada de un solo partido arquitectural y que su edificación demuestra una gran maestria de las técnicas de construcción y de organización en el marco de la obra. Su estudio, bajo el punto de vista de las influencias nacidas en el contexto meridional, principalmente en el abovedamiento de medio canon de las naves de la segunda mitad del siglo XII, en particular en Saint-Pons-de-Thomières, da indicaciones sobre el origen de la arquitectura gótica meridional en Toulouse. Procede esta de la nave única románica y del cañón de arco apuntalado. El apuntalar del empuje continuo de la bóveda deja entre los contrafuertes una zona frágil que necesita una albañilería de gran calidad, o bien apoyos en naves colaterales o en tribunas. En las naves únicas los arcos laterales internos tienen un papel de arcos de descargar dirigendo así parte de los empujes hacia los contrafuertes. En Toulouse, estos arcos se vuelven arco formero y se puede así realizar la bóveda antes de terminar las ventanas. Son entonces necesarias las crucerías de ojivas para facilitar mantener un empuje de casi veinte metros salvando los lunetos impuestos por adoptar ventanas de lancetas, estrechas pero altas. No es torpeza el bombeo de las naves sino la voluntad de adaptar las ojivas al papel de sostén de la cubierta, tradición en el Mediodía.
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- A través de observaciones arqueológicas y documentos de archivos, se hace un estudio del plano de la antigua abadía y su evolución desde la época medieval hasta la época contemporánea, cuando la via del ferrocarril rumpió definitivamente la unidad espacial del monasterio. Si muchos edificios han sido profundamente modificados y han cambiado de función, no han por lo tanto desaparecido totalmente como se podía creer. Es así como, con ocasión de obras realizadas recientemente en los barrios norte, han aparecido vestigios que permiten hacer hipótesis en lo que concierne el aspecto medieval de las elevaciones.
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- Desde su fundación poco antes de la mitad del siglo III hasta su erección en metrópoli a principios del siglo XIV, la Iglesia de Toulouse ha sido gobernada por una larga sucesión de obispos, cuyo recuerdo se ha borrado lentamente: sepulturas esparcidas por lugares distintos, ausencia de lista episcopal antigua. Tal como hoy se conoce, la serie de obispos resulta de eruditas investigaciones llevadas a cabo, por lo esencial, en los siglos XIII-XIV, XVII y XVIII. Este estudio se funda en el balance de aquellos trabajos, sobre la crítica de las fuentes y también buscar nuevos documentos para poder proponer una lista episcopal revisada; esta tiene huecos y su cronología, a veces, es incierta. En cuanto al lugar de sepultura de los obispos de Toulouse parece que, inicialmente establecido en la basílica de Saint-Sernin sólo en el siglo XIII empezó a fijarse en la catedral de Saint-Étienne.
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- La Gran Camara de la Audiencia territorial de Toulouse revelo, en le ano 1997, con ocasion de sondeos efectuados en vista de su restauracion, un techo pintado que parece corresponder a la época en que se construyo la sala, terminada en el ano 1492. Este conjunto es, en el dia de hoy, el unico testimonio de un techo pintado en época medieval en Toulouse. Los sondeos muestran una decoracion homogénea, con iconografia variada, cuyas caracteristicas estilisticas son las de muchos techos pintados, por la misma época, en Francia. Aunque cubra una sala importante, tanto por sus dimensiones como por su funcion, se demarca sin embargo de otros conjuntos por su estructura particularmente compleja, aun mas que por su decoracion. Ejemplo unico, pero que bien se integra en una corriente mas amplia, esta decoracion no puede estar mas tiempo disimulada: merece ser totalmente despejada y presentada al publico.
- La iglesia Saint-Paul, en Auterive, posee una campana antigua que se puede poner de relieve por una inscripcion y las escenas representadas. La inscripcion Mentem sanctam, spontaneam honorem deo et patrie liberationem, JHS XPS, se senala en un gran numéro de campanas, particularmente en las regiones montanosas, y tuvo origen en la leyenda de Santa Agata quien se dice protegio Catana de las lavas del volcan Etna. Los cartuchos historiados que acompanan representan escenas biblicas, sin orden aparente, pero con una meta: sacralizar el bronce y consagrar la campana al servicio de Dios. La campana de Beaumont-sur-Lèze estaba decorada con idénticas escenas; su inscripción XPS vincit, XPS regnat, XPS imperat, XPS ab omni malo nos defendat es también una manera de invocar a Jesús para que nos salve del pecado y nos proteja de las calamidades naturales. Las dos campanas, sin duda fundidas en el mismo taller, se pueden fechar a principios del siglo XV.
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- En el ano 1544, los Capitouls de Toulouse encargan al escultor Jean Rancy una figura representando a "Dame Tholose" para reemplazar la veleta de la Torre de los archivos. (El bronce realizado en el ano 1550 se queda en su sitio hasta el ano 1832, momento en que, añadiendo nuevos atributos, la escultura cubre la columna de la plaza Dupuy.) El artículo examina en que condiciones se ha podido concebir el primer bronce alegórico representando a una ciudad, y reanudando así con el glorioso pasado, recogiendo el epíteto usado por los humanistos de "Palladia Tolosa".
- Un pozo negro, descubierto en el noroeste de la ciudad, junto al paseo de los Capitouls, ha dado cerámica de los siglos XVI-XVII. El ajuar ofrece jarras cerradas destinadas a recibir líquido, y también de recipientes para la cocina: ollas, vasija para calentar agua. Pero sobre todo jarras. A la vasija con formas abiertas corresponde la cerámica común que incluye barrenos, y alfarería policroma con platos y copas decorados a " raspadura ". La cerámica de pasta blanca y decoración pintada se compone esencialmente de platos y escudillas. El pozo, por fin, ofrece recipientes destinados a la higiene y el bienestar familiar: calderas, bandeja, infermillo, orinal, hucha, y por fin cristalería.
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- En el siglo XVIII, en Toulouse, el papel y las prerogativas del arquitecto no aparecen muy claramente en cuanto a los proyectos de reconstrucción de tipo privado. Para la vivienda popular, con esquema sencillo repetitivo, restringido por un parcelario estrecho, la maestria de las obras se confia, la mayoría de las veces, al albañil, hombre de terreno procediente del ambiente artesano. Por lo contrario, la vivienda noble, terreno de la erudición, los planos corren en cargo, la mayoría de las veces, de un experto, con conocimientos académicos y persona capaz de concebir modelos sabios. Si se juzga por la cantidad de pedidos hechos, dos personalidades del mundo tolosano parecen haber dominado la construcción privada en el siglo XVIII: Guillaume Cammas, pintor y arquitecto de la Villa, y Maduron, director de obras públicas de la Villa. Supieron dar una interpretación muy local del clasicismo francés aun así conservando una arquitectura tradicional en la ciudad. Queda aun por investigar, pero parece ser que los artistas que no pertenecían a la esfera tolosana tuvieron dificultades para implantarse en la ciudad, pues la aristocracia parlamentaria, la élite, qui orienta los gustos, se dirigía espontaneamente a los que mantenían la tradición.
LES ÉVÊQUES DE TOULOUSE (IIIe-XIVe SIÈCLES) 147
65 IO (l Durannus 2 exuit 3 uestire 4 Cluniacenci) ; manuscrit 4991 A, f. 158 r° (1 Durandus 2 exiuit 3 uestre 4 Cluniacensi) =
Rupin 1897' p. 56 = C LFM- 1982, p. 160 = LA HAYE 1994, p. 84-86.15 RUPIN 1897, n° 33, p. 262-264 ; fig. 113, p. 263 - CLEM.
1982 32, p. 159-160 ; pl. LXXVIII, fig. 164 - LA HAYE 1994, p. 83 (ill.), 85 (n. 153). Cf. AYMERIC DE PEYRAC, Opus, f. 158
R° A LA HAAYE 1994, p. 84-85.
Isarn (de LavaUr) 6 décembre 1071 - 7 février 1105
COseign' zarnus, Ysarnus, Hisarnus, Hysarnus ; ("Isamus, vel Isarius"). — Fils de Guillaume et neveu de Pierre (1),
Âton peurs de Lavaur (2) ; frère de Raymond, Gilbert, Bernard Guillaume et Pierre Guillaume ; oncle de Raymond
rnonstnSsAon, Guillaume Bérenger et Raymond Bérenger (3). — Paraît très vraisemblablement comme prévôt du
ttionastèrg s de Toulouse dans un acte datable du 15 août * 1070 (4). — Mentionné dans une charte datable
du dernie rn .re 1071 comme ayant été promu au siège épiscopal de Toulouse dans le courant de l'année (5). — Paraît
en dernier lieu comme évêque de Toulouse dans un acte datable du milieu de septembre *1104 (6). — Décédé
Jean Mablelnt le 7 février (7) 1105, plutôt que le "14" (8). — Dédoublé, puis restauré dans son identité unique, par
Jean Mabin (9).
[.] ego Will 1
ceditnus et d e mus et frater meus Petrus et filii nostri Raymundus et Isarnus et Guilabertus et Bernardus et Petrus et Hugo
Facta carta naus [•••] cum consilio Willelmi comitis et domni Duranti episcopo Tolosensis et consilio nostrorum militum [.]
Paris, carta a ln mense nouembrio, feria v, regnante Philippo Francorum rege. [.] Cartulaire de Sainte-Foy de Conques =
paris, B.îsj p ection Doat, CLXXXIII, f. 246 = H. G.L. 1 1733, p. 227 ; n° CCXXVII, c. 249-250 = .G.L.3 1872 (III), p. 376 ;
1875 (V), NO 271, c. 532-533 ; n° I, c. 1538. 2 Arrondissement de Castres, Tarn. On ne voit pas sur quoi R. Aubert se fonde pour
(AUBERT assurer qu'Isarn était "très probablement apparenté aux vicomtes de S.-Antonin, localité du Rouergue où il naquit"
(Aubert 1997 129). 3 [.] ego Isarnus, gratia Dei Tolosanus episcopus, et fratres mei Bernardus Guillelmi et Petrus Guillelmi,
et nePotes meiR aymundus Atonis et Pontius Atonis et Guillelmus Berengarii et Raymundus Berengarii [.] donamus [.] Scripta
c ^artQ huius j ?n^ on^s anno Domini millesimo nonagesimo octauo, feria quinta mensis augusti, regnante Philippo rege. [. ]
Archives de 1' anno Domini millesimo nonagesimo octauo, feria quinta mensis augusti, regnante Philippo rege. [.]
ol°sance, n° de Lavaur = CATEL 1633, p. 320-322, 867 = G.C.2 1656, p. 681-682 = G.C.3 1785, Instrumenta Ecclesiœ
CABAU 1992 XII, c. 12-13 H G U 1733, p. 227 = H.G.L.3 1872 (III), p. 376 ; 1875 (V), n° II, c. 1538 ; 1876 (IV-2), p. 438. 4
lsarnus epis p. 126-127, 129 - CABAU 1998, p. 44. 5 CABAU 1992, p. 129. 6 CABAU 1992, p. 129-130.7 VII. id.feb. obiit dominus
arniis episèo°J°lOSanUS• Nécrologe de Saint-Sernin de Toulouse, p. 440 = H.G.L.3 1876 (IV-2), p. 523 (n. 1) = CABAU 1992,
loci [les troi d aledas Mardi). Eodem die obiit [.] Et dompnus Ysarnus, bone memorie Tholosanus episcopus, familiaris istius
1706, année 95rlllrs mots sont biffés]. Obituaire de Saint-Étienne de Toulouse, f. 117 r° = CABAU 1992, p. 130. 9 MABILLON
1706@ ANNÉE 95 , n 51 ; 1707, p. 853, c. 1 (errata) - H.G.L. 1 1733, p. 576 = H.G.L.3 1872 (IV-1), p. 100.
(du Puy) 20 mars 1105 - 22 avril 1139
p' lUS Ern l'
lerre Ray' e LUS, Amelianus ; Amelius Raimundus, Amelius Raimundi ; ("Aurelius", "Ammelius"). — Frère de
^erre Raym du puy' époux d'Adèle de Melgueil, elle-même sœur de Pons de Melgueil [filleul du pape Pascal II
Sbstantion) et abbe de Cluny (1109-1122)] et de Raymond de Melgueil [comte de Melgueil (ou Mauguio, ou
Substantion Parent de Raymond du Puy, deuxième grand maître de l'Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de
(ou Prézéla - Paraît sans doute comme abbé de Saint-Volusien de Foix et prieur de Saint-Antonin-de-Frédelas
l'oUloUse d s, autrement Pamiers) dans une charte des environs de 1100 (2). — Mentionné comme évêque de
- Nornrné ans Un acte datable du lundi 20 mars 1105 (3), puis dans une charte du 28 décembre *1105 ou 1106 (4).
22 vril 113n dernier lieu comme évêque de Toulouse les 1er juin (5), 30 juillet (6) et 23 août (7) 1137, puis le samedi
22 avril 1139 (8), et encore en "1140" (9), mais l'évêque de Toulouse est signalé comme "manquant" le mardi 25
aVril I139 nn\ Serait décédé un "7 novembre" (11), indication probablement erronée pour ce qui est du
1 G.c 3 1785
(III),p. 85, Instru Ecclesiœ Tolosanoe, n° XV, c. 14-15 - H. G L 1733, p. 351 ; 349-351, 363, 645-646 = H.G.L. 3 1872
18 p. 582 ■ 58 menta Eccleslæ Tolosanæ, n° XV, c. 14-15 - H.G.L.I 1733, p. 351 ; 349-351, 363,645-646:= H.G.L.3 1872
(111), P. 582. 1 P* 580-584, 604 768-769 (n.) ; 1872 (IV-1), p. 236-237. 2 Cartulaire de Saint-Sernin de Toulouse, n° 145 - H.G.L.3
2 ^-1), p 42Q (1^-2), p. 849 - CABAU 1996, n° 15, p. 181-182.3 Cartulaire de Saint-Pierre de Lézat, n° 1607 - CABAU
1992, P. in d' .] Amelius gratia Dei Tolosane sedis episcopus [.] Supradictum donum et laudamentum fuit factum v cal.
Sorèze S G.c3 1 sanctorum Innocentium, anno ab incarnatione Domini M. CVI. [.] Archives de Sainte-Marie de
ianurii, in die solemnitatis M~c~rM~! Innocentium, a~/!x 10, 1663.6 nstrumenta Ecclesiœ Vaurensis, n° III, c. 265-266 - CABAU 1992, p. 130. 5 Cartulaire de Lézat, nos 1513,
lfii'^3. G q U a'Fe de Lézat, n° 253. 7 Cartulaire de Lézat, nos 1580, 1601. 8 [.] Hec cartafuitfacta mense aprilis, luna
eplScopo. V"' ançno ° ab Incamatione Domini MCXXXIX, regnante Lodoico rege Francorum, Ildefonso comite Tolosano et Emelio
ePilSc°Po. [ 1 u aire de Lézat (acte disparu du cartulaire, non publié dans OURLIAC, MAGNOU 1984-1987) = Paris, B.N.F.,
65 IO (l Durannus 2 exuit 3 uestire 4 Cluniacenci) ; manuscrit 4991 A, f. 158 r° (1 Durandus 2 exiuit 3 uestre 4 Cluniacensi) =
Rupin 1897' p. 56 = C LFM- 1982, p. 160 = LA HAYE 1994, p. 84-86.15 RUPIN 1897, n° 33, p. 262-264 ; fig. 113, p. 263 - CLEM.
1982 32, p. 159-160 ; pl. LXXVIII, fig. 164 - LA HAYE 1994, p. 83 (ill.), 85 (n. 153). Cf. AYMERIC DE PEYRAC, Opus, f. 158
R° A LA HAAYE 1994, p. 84-85.
Isarn (de LavaUr) 6 décembre 1071 - 7 février 1105
COseign' zarnus, Ysarnus, Hisarnus, Hysarnus ; ("Isamus, vel Isarius"). — Fils de Guillaume et neveu de Pierre (1),
Âton peurs de Lavaur (2) ; frère de Raymond, Gilbert, Bernard Guillaume et Pierre Guillaume ; oncle de Raymond
rnonstnSsAon, Guillaume Bérenger et Raymond Bérenger (3). — Paraît très vraisemblablement comme prévôt du
ttionastèrg s de Toulouse dans un acte datable du 15 août * 1070 (4). — Mentionné dans une charte datable
du dernie rn .re 1071 comme ayant été promu au siège épiscopal de Toulouse dans le courant de l'année (5). — Paraît
en dernier lieu comme évêque de Toulouse dans un acte datable du milieu de septembre *1104 (6). — Décédé
Jean Mablelnt le 7 février (7) 1105, plutôt que le "14" (8). — Dédoublé, puis restauré dans son identité unique, par
Jean Mabin (9).
[.] ego Will 1
ceditnus et d e mus et frater meus Petrus et filii nostri Raymundus et Isarnus et Guilabertus et Bernardus et Petrus et Hugo
Facta carta naus [•••] cum consilio Willelmi comitis et domni Duranti episcopo Tolosensis et consilio nostrorum militum [.]
Paris, carta a ln mense nouembrio, feria v, regnante Philippo Francorum rege. [.] Cartulaire de Sainte-Foy de Conques =
paris, B.îsj p ection Doat, CLXXXIII, f. 246 = H. G.L. 1 1733, p. 227 ; n° CCXXVII, c. 249-250 = .G.L.3 1872 (III), p. 376 ;
1875 (V), NO 271, c. 532-533 ; n° I, c. 1538. 2 Arrondissement de Castres, Tarn. On ne voit pas sur quoi R. Aubert se fonde pour
(AUBERT assurer qu'Isarn était "très probablement apparenté aux vicomtes de S.-Antonin, localité du Rouergue où il naquit"
(Aubert 1997 129). 3 [.] ego Isarnus, gratia Dei Tolosanus episcopus, et fratres mei Bernardus Guillelmi et Petrus Guillelmi,
et nePotes meiR aymundus Atonis et Pontius Atonis et Guillelmus Berengarii et Raymundus Berengarii [.] donamus [.] Scripta
c ^artQ huius j ?n^ on^s anno Domini millesimo nonagesimo octauo, feria quinta mensis augusti, regnante Philippo rege. [. ]
Archives de 1' anno Domini millesimo nonagesimo octauo, feria quinta mensis augusti, regnante Philippo rege. [.]
ol°sance, n° de Lavaur = CATEL 1633, p. 320-322, 867 = G.C.2 1656, p. 681-682 = G.C.3 1785, Instrumenta Ecclesiœ
CABAU 1992 XII, c. 12-13 H G U 1733, p. 227 = H.G.L.3 1872 (III), p. 376 ; 1875 (V), n° II, c. 1538 ; 1876 (IV-2), p. 438. 4
lsarnus epis p. 126-127, 129 - CABAU 1998, p. 44. 5 CABAU 1992, p. 129. 6 CABAU 1992, p. 129-130.7 VII. id.feb. obiit dominus
arniis episèo°J°lOSanUS• Nécrologe de Saint-Sernin de Toulouse, p. 440 = H.G.L.3 1876 (IV-2), p. 523 (n. 1) = CABAU 1992,
loci [les troi d aledas Mardi). Eodem die obiit [.] Et dompnus Ysarnus, bone memorie Tholosanus episcopus, familiaris istius
1706, année 95rlllrs mots sont biffés]. Obituaire de Saint-Étienne de Toulouse, f. 117 r° = CABAU 1992, p. 130. 9 MABILLON
1706@ ANNÉE 95 , n 51 ; 1707, p. 853, c. 1 (errata) - H.G.L. 1 1733, p. 576 = H.G.L.3 1872 (IV-1), p. 100.
(du Puy) 20 mars 1105 - 22 avril 1139
p' lUS Ern l'
lerre Ray' e LUS, Amelianus ; Amelius Raimundus, Amelius Raimundi ; ("Aurelius", "Ammelius"). — Frère de
^erre Raym du puy' époux d'Adèle de Melgueil, elle-même sœur de Pons de Melgueil [filleul du pape Pascal II
Sbstantion) et abbe de Cluny (1109-1122)] et de Raymond de Melgueil [comte de Melgueil (ou Mauguio, ou
Substantion Parent de Raymond du Puy, deuxième grand maître de l'Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de
(ou Prézéla - Paraît sans doute comme abbé de Saint-Volusien de Foix et prieur de Saint-Antonin-de-Frédelas
l'oUloUse d s, autrement Pamiers) dans une charte des environs de 1100 (2). — Mentionné comme évêque de
- Nornrné ans Un acte datable du lundi 20 mars 1105 (3), puis dans une charte du 28 décembre *1105 ou 1106 (4).
22 vril 113n dernier lieu comme évêque de Toulouse les 1er juin (5), 30 juillet (6) et 23 août (7) 1137, puis le samedi
22 avril 1139 (8), et encore en "1140" (9), mais l'évêque de Toulouse est signalé comme "manquant" le mardi 25
aVril I139 nn\ Serait décédé un "7 novembre" (11), indication probablement erronée pour ce qui est du
1 G.c 3 1785
(III),p. 85, Instru Ecclesiœ Tolosanoe, n° XV, c. 14-15 - H. G L 1733, p. 351 ; 349-351, 363, 645-646 = H.G.L. 3 1872
18 p. 582 ■ 58 menta Eccleslæ Tolosanæ, n° XV, c. 14-15 - H.G.L.I 1733, p. 351 ; 349-351, 363,645-646:= H.G.L.3 1872
(111), P. 582. 1 P* 580-584, 604 768-769 (n.) ; 1872 (IV-1), p. 236-237. 2 Cartulaire de Saint-Sernin de Toulouse, n° 145 - H.G.L.3
2 ^-1), p 42Q (1^-2), p. 849 - CABAU 1996, n° 15, p. 181-182.3 Cartulaire de Saint-Pierre de Lézat, n° 1607 - CABAU
1992, P. in d' .] Amelius gratia Dei Tolosane sedis episcopus [.] Supradictum donum et laudamentum fuit factum v cal.
Sorèze S G.c3 1 sanctorum Innocentium, anno ab incarnatione Domini M. CVI. [.] Archives de Sainte-Marie de
ianurii, in die solemnitatis M~c~rM~! Innocentium, a~/!x 10, 1663.6 nstrumenta Ecclesiœ Vaurensis, n° III, c. 265-266 - CABAU 1992, p. 130. 5 Cartulaire de Lézat, nos 1513,
lfii'^3. G q U a'Fe de Lézat, n° 253. 7 Cartulaire de Lézat, nos 1580, 1601. 8 [.] Hec cartafuitfacta mense aprilis, luna
eplScopo. V"' ançno ° ab Incamatione Domini MCXXXIX, regnante Lodoico rege Francorum, Ildefonso comite Tolosano et Emelio
ePilSc°Po. [ 1 u aire de Lézat (acte disparu du cartulaire, non publié dans OURLIAC, MAGNOU 1984-1987) = Paris, B.N.F.,
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