1417 ALBÉRON 1418
où Albéron n'était qu'un intrus. D'aucuns prétendent
à la vérité que cette lettre renferme une faute de co-
piste. Richter, Corp. juris canon., t. I, p. 363.
Quoi qu'il en soit, Albéron figure, le 1er juin 1101,
à Aix-la-Chapelle, parmi les membres du tribunal
qui trancha contre l'évêque Guillaume de Namur dans
l'affaire de l'abbaye Saint-Jacques, à Liège. Le 6 jan-
vier 1102, il consacre Brunon archevêque de Trèves.
Le 4 mars 1103, il intervient à la diète de Spire, en fa-
veur du couvent de Lorsch.
Cette même année, Poppon disparaît de la scène
sans avoir laissé trace d'une opposition belliqueuse à
Albéron. La scission du diocèse en deux juridictions
expliquerait très bien la coexistence de ces deux
évêques qui n'en viennent pas aux mains.
Seul maître du terrain, Albéron fut accepté par
le clergé et par le pape, sans doute grâce à l'inter-
vention d'Henri V, alors en faveur à Rome. En 1107,
l'évêque s'occupa beaucoup du conflit qui s'était élevé
à l'abbaye de Saint-Trond, à Liège, entre deux préten-
dants à la dignité d'abbé et il installa en cette qualité
Rodolphe (1108).
La paix régna dans son diocèse jusqu'au réveil de
la querelle des investitures, à la suite du voyage
d'Henri V à Rome, pour son couronnement, en 1111.
C'est alors que le clergé de Metz, Albéron, prévôt du
chapitre de Saint-Arnaud en tête, commença à se sou-
lever contre son évêque trop favorable aux préten-
tions de l'empereur. On avait de plus à reprocher au
prélat des actes simoniaques et tyranniques.
Suspendu par Pascal II, Albéron ne tint aucun
compte de cette mesure. Il fut déposé, en 1117, sur le
rapport que le prévôt Albéron présenta au pape, et
remplacé par Théoger. Fort de la protection impé-
riale, l'évêque déposé se maintint à Metz, où la majo-
rité était, d'ailleurs, pour lui. Il fut excommunié et la
ville mise en interdit. Il mourut avant 1119 sans s'être
réconcilié avec l'Église, ce qui obligea le prévôt Albé-
ron à le faire ensevelir hors du sanctuaire.
C'est à tort que Potthast, Bibliotheca medii ævi, et
Gams, Series episcoporum, p. 293, le font chasser de
Metz en 1117 et remonter ensuite sur le siège épis-
copal de Liège. Ils le confondent avec le personnage
suivant.
Bernold, Chronique, dans Monum. Germ., Script., t. v,
p. 456. - Hugue de Flavigny, Chronique, ibid., t. VIII,
p. 473. - Gesta abbatum Trud., ibid., t. x, p. 262-282. —
Gesta episcop. lVIeltensÏllm, ibid., t. x, p. 543. - Vita Theo-
geri, ibid., t. XII, p. 466 sq. — Gallia christiana, t. XIII,
col. 735, 819. — Huyskens, Albero von Montreuil, Erzbis-
chof von Trier, Münster, 1879, passim, surtout p. 77-79.
— Chaussier, Les évêques de Metz du Xe au XIIe siècle,
dans Revue ecclésiastique de Metz, 1890-1892. — Voir aussi
l'article Albéron de Montreuil (col. 1420).
L. BOITEUX.
3. ALBÉRON (I), évêque de Liège. Fils d'Henri II,
comte de Louvain, et d'Adèle de Thuringe, primi-
cier de l'église de Metz, Albéron fut élevé, après le
30 mars et avant la mi-juin 1123, au siège de Liège,
vacant par la mort de saint Frédéric (27 mai 1121),
après qu'Alexandre de Juliers, élu par une partie du
chapitre, eut retiré sa candidature. Son premier soin
fut de pacifier son diocèse, fortement agité par la
querelle des investitures, sous le règne d'Otbert, et
troublé ensuite par les intrigues d'Alexandre de Ju-
liers. Le principal moyen dont il se servit pour réta-
blir la paix et la discipline fut la tenue régulière des
synodes annuels. Albéron favorisa de tout son pou-
voir les fondations religieuses; il approuva l'établis-
sement des bénédictins de Cluny à Bertrée, de ceux
de Liessies à Sart-les-Moines et de ceux de Saint-
Hubert à Bouillon, en même temps que son frère
Godefroid, duc de Brabant, appelait des moines
d'Afflighem à Vlierbeek, près de Louvain; il fut le
protecteur des prémontrés à Floreffe et au Mont-
Cornillon, tandis qu'il fondait, en faveur des cha-
noines réguliers de Saint-Augustin, un monastèré à
Saint-Gilles de Liège, et agréait leur établissement à
Géronsart et à Beaufays. Il confirma également la fon-
dation des religieuses de Solières qui, avant d'embras
ser, au XIIIe siècle, la règle de Cîteaux, suivirent celle
de Saint-Augustin. Il acquit pour son église la sei-
gneurie de Bouillon, que Godefroid de Bouillon lui
avait engagée avant son départ pour la Terre Sainte
et qui n'avait pas été rachetée dans le terme fixé.
Gilles d'Orval lui attribue l'abrogation du droit de
mainmorte ; il faut toutefois remarquer que le prélè-
vement d'une taxe au décès d'un serf ne disparut
généralement du pays de Liège qu'après la première
moitié du XIIe siècle. C'est à tort qu'on lui attribue la
disparition du château de Fauquemont; ce repaire
de brigands avait été détruit, en 1122, par son frère
Godefroid, sur l'ordre de l'empereur Henri V. L'évêque
Albéron, dont le chroniqueur contemporain de Saint-
Trond loue les grandes vertus, mourut le 1er janvier
1128 et fut enterré dans l'église du monastère de
Saint-Gilles en Publémont. Bien que les historiens
liégeois lui aient accordé le titre de bienheureux,
on ne rencontre aucune trace de culte liturgique.
Gesta abbatum Trudonen., dans Mon. Germ. hist., Script.,
t. x, p. 304-306.- Gilles d'Orval, Gesta episc. Leodien.. ibid.,
t. xxv, p. 98. —Fisen, Histor. eccZ. Leodiensis, Llege, 1696,'
pars .1, p. 226-228; Flores eccl. - Leodiensis. Lille. 1647,
p. 31-32. - Gallia christ., t. III, col. 86'/-1)0;:). - De Ram,
Biographie nation. (de Belgique), 1866,t.1, col. 177-182. —
X. de Theux, Le chapitre de S. Lambert à Liège, Bruxelles,
1871, t. I, p. 124-126. — Jos. Halkin, Albéron Ier, évêque
de Liège, 1123-1128, dans Bull. de la Soc. d'art et d'histoire
du dioc. de Liège, 1894, t. VIII, p. 321-354. — A. Gauchie,
Lettre de Frédéric, archev. de Cologne, à Albéron Ier, év. de
Liège, concernant l'établissement des prémontrés, dans Ana-
lectes pour servir à l'hist. eccl. de Belgique, 1909, t. xxxv,
p. 285-288. Arcli ives belges, 1910, p. 84, 106.
o U. BERLIÈRE.
4. ALBERON (II), évêque de Liège. Beau-frère de
Godefroid de Louvain et neveu par sa mère du comte
Godefroid de Namur, Albéron était fils du comte
Otton de Chiny et d'Alix de Namur. Il occupait la
charge de primicier à Metz, quand il fut élu, entre le
6 juin et le 10 novembre 1135, autant pour le prestige
de sa naissance que pour l'éclat de ses mérites. Il rem-
plaçait l'évêque Alexandre déposé au concile de Pise.
En 1136 et 1137 il prend part à l'expédition de Lo-
thaire en Italie, rencontre, après le 29 juin 1137, près
de Melfi, le pape Innocent II, qui lui avait accordé,
le 29 novembre 1135, le privilège de porter le rational.
Il assiste à l'élection de Conrad III, à Coblentz, le
22 février 1138, puis au concile provincial de Co-
logne, en avril, et se trouvait à Fosses, dans son dio-
cèse, le 25 mai suivant. On le voit dès lors tenir une
série de synodes diocésains. L'acte le plus important
de son gouvernement fut la reprise, en 1141, du châ-
teau de Bouillon, dont le comte Renaud de Bar s'était
emparé en 1134. A cette occasion, les Liégeois trans-
portèrent devant Bouillon le corps de saint Lambert.
Cet épisode a fourni le sujet de deux travaux histo-
riques contemporains : le Triumphus sancti Lamberti
de castro Bullonio, d'un chanoine de Saint-Lambert à
Liège, et le Triumphale Bulonicum du moine Renier de
Saint-Laurent de Liège. Mon. Germ. hist., Script.,
t. xx, p. 497-511, 583-592. On ne peut accepter les
accusations portées contre cet évêque et contre le
clergé liégeois par l'auteur du Vila Odiliæ, dont le récit
a été reproduit par Gilles d'Orval et par la plupart des
auteurs liégeois. Si l'on a des preuves de l'intérêt qu'il
porta aux communautés religieuses du diocèse, si
Gilles d'Orval a enregistré la tradition que, de son
temps, l'église de Liège adopta l'office hebdomadaire
où Albéron n'était qu'un intrus. D'aucuns prétendent
à la vérité que cette lettre renferme une faute de co-
piste. Richter, Corp. juris canon., t. I, p. 363.
Quoi qu'il en soit, Albéron figure, le 1er juin 1101,
à Aix-la-Chapelle, parmi les membres du tribunal
qui trancha contre l'évêque Guillaume de Namur dans
l'affaire de l'abbaye Saint-Jacques, à Liège. Le 6 jan-
vier 1102, il consacre Brunon archevêque de Trèves.
Le 4 mars 1103, il intervient à la diète de Spire, en fa-
veur du couvent de Lorsch.
Cette même année, Poppon disparaît de la scène
sans avoir laissé trace d'une opposition belliqueuse à
Albéron. La scission du diocèse en deux juridictions
expliquerait très bien la coexistence de ces deux
évêques qui n'en viennent pas aux mains.
Seul maître du terrain, Albéron fut accepté par
le clergé et par le pape, sans doute grâce à l'inter-
vention d'Henri V, alors en faveur à Rome. En 1107,
l'évêque s'occupa beaucoup du conflit qui s'était élevé
à l'abbaye de Saint-Trond, à Liège, entre deux préten-
dants à la dignité d'abbé et il installa en cette qualité
Rodolphe (1108).
La paix régna dans son diocèse jusqu'au réveil de
la querelle des investitures, à la suite du voyage
d'Henri V à Rome, pour son couronnement, en 1111.
C'est alors que le clergé de Metz, Albéron, prévôt du
chapitre de Saint-Arnaud en tête, commença à se sou-
lever contre son évêque trop favorable aux préten-
tions de l'empereur. On avait de plus à reprocher au
prélat des actes simoniaques et tyranniques.
Suspendu par Pascal II, Albéron ne tint aucun
compte de cette mesure. Il fut déposé, en 1117, sur le
rapport que le prévôt Albéron présenta au pape, et
remplacé par Théoger. Fort de la protection impé-
riale, l'évêque déposé se maintint à Metz, où la majo-
rité était, d'ailleurs, pour lui. Il fut excommunié et la
ville mise en interdit. Il mourut avant 1119 sans s'être
réconcilié avec l'Église, ce qui obligea le prévôt Albé-
ron à le faire ensevelir hors du sanctuaire.
C'est à tort que Potthast, Bibliotheca medii ævi, et
Gams, Series episcoporum, p. 293, le font chasser de
Metz en 1117 et remonter ensuite sur le siège épis-
copal de Liège. Ils le confondent avec le personnage
suivant.
Bernold, Chronique, dans Monum. Germ., Script., t. v,
p. 456. - Hugue de Flavigny, Chronique, ibid., t. VIII,
p. 473. - Gesta abbatum Trud., ibid., t. x, p. 262-282. —
Gesta episcop. lVIeltensÏllm, ibid., t. x, p. 543. - Vita Theo-
geri, ibid., t. XII, p. 466 sq. — Gallia christiana, t. XIII,
col. 735, 819. — Huyskens, Albero von Montreuil, Erzbis-
chof von Trier, Münster, 1879, passim, surtout p. 77-79.
— Chaussier, Les évêques de Metz du Xe au XIIe siècle,
dans Revue ecclésiastique de Metz, 1890-1892. — Voir aussi
l'article Albéron de Montreuil (col. 1420).
L. BOITEUX.
3. ALBÉRON (I), évêque de Liège. Fils d'Henri II,
comte de Louvain, et d'Adèle de Thuringe, primi-
cier de l'église de Metz, Albéron fut élevé, après le
30 mars et avant la mi-juin 1123, au siège de Liège,
vacant par la mort de saint Frédéric (27 mai 1121),
après qu'Alexandre de Juliers, élu par une partie du
chapitre, eut retiré sa candidature. Son premier soin
fut de pacifier son diocèse, fortement agité par la
querelle des investitures, sous le règne d'Otbert, et
troublé ensuite par les intrigues d'Alexandre de Ju-
liers. Le principal moyen dont il se servit pour réta-
blir la paix et la discipline fut la tenue régulière des
synodes annuels. Albéron favorisa de tout son pou-
voir les fondations religieuses; il approuva l'établis-
sement des bénédictins de Cluny à Bertrée, de ceux
de Liessies à Sart-les-Moines et de ceux de Saint-
Hubert à Bouillon, en même temps que son frère
Godefroid, duc de Brabant, appelait des moines
d'Afflighem à Vlierbeek, près de Louvain; il fut le
protecteur des prémontrés à Floreffe et au Mont-
Cornillon, tandis qu'il fondait, en faveur des cha-
noines réguliers de Saint-Augustin, un monastèré à
Saint-Gilles de Liège, et agréait leur établissement à
Géronsart et à Beaufays. Il confirma également la fon-
dation des religieuses de Solières qui, avant d'embras
ser, au XIIIe siècle, la règle de Cîteaux, suivirent celle
de Saint-Augustin. Il acquit pour son église la sei-
gneurie de Bouillon, que Godefroid de Bouillon lui
avait engagée avant son départ pour la Terre Sainte
et qui n'avait pas été rachetée dans le terme fixé.
Gilles d'Orval lui attribue l'abrogation du droit de
mainmorte ; il faut toutefois remarquer que le prélè-
vement d'une taxe au décès d'un serf ne disparut
généralement du pays de Liège qu'après la première
moitié du XIIe siècle. C'est à tort qu'on lui attribue la
disparition du château de Fauquemont; ce repaire
de brigands avait été détruit, en 1122, par son frère
Godefroid, sur l'ordre de l'empereur Henri V. L'évêque
Albéron, dont le chroniqueur contemporain de Saint-
Trond loue les grandes vertus, mourut le 1er janvier
1128 et fut enterré dans l'église du monastère de
Saint-Gilles en Publémont. Bien que les historiens
liégeois lui aient accordé le titre de bienheureux,
on ne rencontre aucune trace de culte liturgique.
Gesta abbatum Trudonen., dans Mon. Germ. hist., Script.,
t. x, p. 304-306.- Gilles d'Orval, Gesta episc. Leodien.. ibid.,
t. xxv, p. 98. —Fisen, Histor. eccZ. Leodiensis, Llege, 1696,'
pars .1, p. 226-228; Flores eccl. - Leodiensis. Lille. 1647,
p. 31-32. - Gallia christ., t. III, col. 86'/-1)0;:). - De Ram,
Biographie nation. (de Belgique), 1866,t.1, col. 177-182. —
X. de Theux, Le chapitre de S. Lambert à Liège, Bruxelles,
1871, t. I, p. 124-126. — Jos. Halkin, Albéron Ier, évêque
de Liège, 1123-1128, dans Bull. de la Soc. d'art et d'histoire
du dioc. de Liège, 1894, t. VIII, p. 321-354. — A. Gauchie,
Lettre de Frédéric, archev. de Cologne, à Albéron Ier, év. de
Liège, concernant l'établissement des prémontrés, dans Ana-
lectes pour servir à l'hist. eccl. de Belgique, 1909, t. xxxv,
p. 285-288. Arcli ives belges, 1910, p. 84, 106.
o U. BERLIÈRE.
4. ALBERON (II), évêque de Liège. Beau-frère de
Godefroid de Louvain et neveu par sa mère du comte
Godefroid de Namur, Albéron était fils du comte
Otton de Chiny et d'Alix de Namur. Il occupait la
charge de primicier à Metz, quand il fut élu, entre le
6 juin et le 10 novembre 1135, autant pour le prestige
de sa naissance que pour l'éclat de ses mérites. Il rem-
plaçait l'évêque Alexandre déposé au concile de Pise.
En 1136 et 1137 il prend part à l'expédition de Lo-
thaire en Italie, rencontre, après le 29 juin 1137, près
de Melfi, le pape Innocent II, qui lui avait accordé,
le 29 novembre 1135, le privilège de porter le rational.
Il assiste à l'élection de Conrad III, à Coblentz, le
22 février 1138, puis au concile provincial de Co-
logne, en avril, et se trouvait à Fosses, dans son dio-
cèse, le 25 mai suivant. On le voit dès lors tenir une
série de synodes diocésains. L'acte le plus important
de son gouvernement fut la reprise, en 1141, du châ-
teau de Bouillon, dont le comte Renaud de Bar s'était
emparé en 1134. A cette occasion, les Liégeois trans-
portèrent devant Bouillon le corps de saint Lambert.
Cet épisode a fourni le sujet de deux travaux histo-
riques contemporains : le Triumphus sancti Lamberti
de castro Bullonio, d'un chanoine de Saint-Lambert à
Liège, et le Triumphale Bulonicum du moine Renier de
Saint-Laurent de Liège. Mon. Germ. hist., Script.,
t. xx, p. 497-511, 583-592. On ne peut accepter les
accusations portées contre cet évêque et contre le
clergé liégeois par l'auteur du Vila Odiliæ, dont le récit
a été reproduit par Gilles d'Orval et par la plupart des
auteurs liégeois. Si l'on a des preuves de l'intérêt qu'il
porta aux communautés religieuses du diocèse, si
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