1409 ALBÉRIC — ALDÉRIC DE REIMS 1410
En 1140,il était envoyé à Antioche, où il fit déposer
le patriarche Raoul. Labbe, Concilia, t. x, col. 1825 sq.
En 1141, il présidait un concile à Jérusalem et y rece-
vait la soumission du patriarche des Arméniens. En
1145,il était en France et, avec saintBernard et Gode-
froy, évêque de Chartres, se mettait en route pour aller
prêcher contre les partisans de l'hérétique Henri.
N'ayant pu rejoindre à Nantes Éon de l'Étoile, il
chargeait l'archevêque de Rouen, Hugues, de réfuter
son écrit.|A Bordeaux, il rétablit la paix entre l'arche-
vêque Geofroy du Loroux et son chapitre. Gallia chris-
tiana, t. II, col. 814. Il dut rentrer ensuite à Rome, car
nous trouvons son nom dans une bulle d'Eugène III
(février 1146) en faveur de la Chaise-Dieu. Mabillon,
Annales ord. S. Bened., t. VI, p. 699. Albéric accom-
pagna ce même pape dans son voyage en France et
mourut à Verdun en 1148. Il ne reste de lui que quel-
ques lettres.
Ciaconius-Oldoini, Vitæ et res gestæ ponlificum roman.
et S. R. E. cardinalium, Rome, 1677, t. I, col. 991-995. -
Gallia christiana, 1728, t. IV, col. 466. — Hefele-Leclercq,
Histoire des conciles, 1912, t. V, p. 721, 745-746, 817. —
Histoire littéraire de la France, 1814, t. XIII, p. 73-78.
U. ROUZIÈS.
9. ALBÉRIC DE HUMBERT, dit aussi de Laon et
de Hautvillers, archevêque de Reims. Né à Hautvillers
ou à Laon, il fit ses études à Paris et y fut reçu doc-
teur. Du Boulay, Historia univ. Paris., 1665, t. II,
p. 724. Il y prêchait en même temps que Foulques de
Neuilly et devint bientôt archidiacre. Nommé arche-
vêque de Reims, en 1206, sur la présentation d'Odon de
Sully, il prit possession de son siège le 1er juillet 1207.
Son premier acte fut d'obliger le chapitre à fournir au
roi des subsides. G. Marlot, Metropolis Rhemensis
historia, Lille, 1666, t. I, p. 467. Il prit part à la croi-
sade contre les Albigeois. Arrivé à l'armée le 6 juillet
1212, il était présent au siège de Moissac et y fut té-
moin du supplice atroce de son neveu, que les assié-
gés coupèrent en morceaux et jetèrent aux croisés
par-dessus les murailles. Il s'y rencontra avec saint
Dominique. Rentré dans son diocèse, il assista, le
6 mai 1210, à l'incendie de la cathédrale et de la ville.
Il siégea au concile de Latran, en 1215, et, l'année sui-
vante, fut présent, comme pair de France, à l'arrêt
prononcé entre Érard de Brienne et Blanche de Na-
varre sur l'hommage du comté de Champagne. Croisé
de nouveau en 1218, il partit pour la Terre Sainte, fut,
à son retour, capturé par les Maures à Lisbonne et
repris par les chevaliers de Calatrava. Quittant une
dernière fois son diocèse, il s'embarqua pour l'Italie
et alla mourir à Pavie, le 24 décembre 1218.
Il avait, dit-on, laissé un recueil manuscrit de Ser-
mons, qui aurait été conservé dans la bibliothèque du
garde des sceaux Molé, mais dont Marlot n'a pu re-
trouver la trace. Marlot, op. cit., t. II, p. 490.
Gallia christiana, 1751, t. IX, col. 104-107. — Petit-
Radel, dans Hist. litt. de la France, 1832, t. XVII, p. 202-
204. — Lecoy de la Marche, La chaire française au moyen
âge, Paris, 1886, p. 52, 496.
P. FOURNIER.
10. ALBÉRIC DE MILAN, computiste de date in-
connue. Il a écrit un Ars calculatoria, Vatican, ms.
5367, in-4°, dont l'incipit est : Quum fratribus ado-
lescentioribus nostris quædam calculatoriæ artis rudi-
menta communi sermone explicare cœpissem. D'où
on peut conclure que l'auteur était un religieux chargé
d'enseigner le comput aux novices.
G. Mazzuchelli, Gli scrittori d'Italia, Brescia, 1753, t. I,
p. 291.
P. FOURNIER.
11.ALBÉRIC DU MONT-CASSIN. Filsd'unnoble
de Settefrati en Campanie, entré au monastère sous
l'abbé Girard, donc entre 1111 et 1123 (Pierre Diacre,
Chron. Cassin., IV, 66, P. L., t. CLXXIII, col. 888;
Mon. Germ. hist., Script., t. VII, p. 794), se distingua
par l'éclat de ses vertus. Il écrivit une Visio du ciel et
de l'enfer, qu'il eut dans son enfance, et qu'on a par-
fois considérée comme un précurseur de Dante. Édit.
par Fr. Cancellieri, Osservazioni intorno alla questions.
sopra l'originalilà della Divina commedia di Dante,
Rome, 1814, p. 131 sq. ; Bibliotheca Cassinensis, 1894,
t. v, p. 191-206; P. de Saint-Victor, La vision de frère
Albéric, dans Le Correspondant, 1844, t. vin, p. 214-
237; Cat. de Vivo, La visione di Alberico ristampata,
tradotta e comparata con la Divina commedia. Ariano,
1899. Tosti considère le ms. 239 du Mont-Cassin comme
l'autographe. Storia della badia di Monte Cassino,
Naples, 1842, t. II, p. 38. On ne peut affirmer avec cer-
titude que Dante ait eu communication de la Visio
Alberici; il y a cependant en faveur de cette hypothèse
des rapprochements frappants. Ozanam, Dante et la
philosophie catholique au XIIIe siècle, Paris, 1839, p. 330-
331; Tosti, loc. cit., p. 102-109.
U. BERLIÈRE.
12. ALBÉRIC DE REIMS (?-1141).— I. VIE. -
Après des premières études à Reims, Albéric se rendit
à Laon, auprès du célèbre scolastique Anselme. C'est
là qu'il connut Lutolphe de Novare. Attiré par la ré-
putation du maître, Abélard lui aussi était venu à
Laon. Dans son Historia calamilalum, Abélard nous
a laissé de l'école d'Anselme un portrait qu'on a tout
lieu de croire injuste. Albéric n'y est pas épargné : il
eût joui avec une vanité ombrageuse de succès sco-
laires bien surfaits : Abélard l'eût éprouvé le jour où,
dégoûté de l'insuffisance .d'Anselme, il se mit à com-
menter Ézéchiel; cf. col. 73. Dès lors, Albéric et son ami
Lutolphe lui auraient rendu par leurs dénonciations
le séj our de Laon intolérable (1113).
Tandis qu'Abélard recevait à Paris la direction de
l'école de Notre-Dame, Albéric inaugurait à Reims,
sous le pontificat de Raoul le Verd ( Gall.chr., t.IX, col. 80)
et de Raymond de Martigny, un enseignement que les
contemporains ont célébré. Voir ce qu'en écrit Wibald
de Corbie, en 1149, à Manegold. Martène, Amplissima
colleclio, t. II, p. 334. Non certes que cet enseignement
fût sans défaut : le maître était obscur au point qu'on
pourra de bonne foi lui attribuer de graves erreurs.
Voir une lettre de Gautier de Mortagne, dans du Bou-
lay, Hist. univ. Paris., t. II, col. 75; voir aussi comment
Abélard parle de « ce docteur qui enseigne en France»
et où l'on a reconnu Albéric. P. L., t. CLXXVIII,
col. 1056,1285; cf. Robert, Les écoles et l'enseignement
de la théologie, Paris, 1909, p. 199, 207. Le maître était
même insuffisant s'il est vrai que parfois son auditoire
ait pris plaisir à l'embarrasser. Albéric d'ailleurs au-
rait mal pris la chose et eût été tenace en ses rancunes.
Vie anonyme de Hugues de Marchiennes, Martène,
Thesaurus. anecd., t. III, col. 1712. Il faut constater qu'il
y a en tout cela beaucoup d'affaires personnelles qui
rendent parfois quelque peu suspectes ces accusations.
Nous savons, d'autre part, qu'auprès des archevêques
de Reims et auprès du peuple, la réputation de ferme
orthodoxie d'Albéric resta au-dessus de tout soupçon.
Et cette orthodoxie du maître explique son attitude
lorsqu'en 1121 il dénonça, d'accord avec Lutolphe, et
peut-être avec Roscelin, les doctrines très risquées
d'Abélard sur la Trinité. Cf. article ABÉLARD, t. I,
col. 75, ou dans le Dictionnaire de théologie, t.I, col. 37,
39, 45. Abélard ne vit en tout cela que chicanes de
métier, vieilles et inavouables rancunes d'un jaloux
qui veut régner seul au domaine de la théologie. P. L.,
t. CLXXVIII, col. 145-147. Et il triomphe en nous ra-
contant le bon tour qui ferma net la bouche à Albéric.
Ibid., col. 147.
En 1126, notre scolastique fut appelé par le clergé
et le peuple de Châlons à succéder, non pas à Guillaume
DICT. D'HIST. ET DE GÉOG. ECCLÉS. 1. — 45
En 1140,il était envoyé à Antioche, où il fit déposer
le patriarche Raoul. Labbe, Concilia, t. x, col. 1825 sq.
En 1141, il présidait un concile à Jérusalem et y rece-
vait la soumission du patriarche des Arméniens. En
1145,il était en France et, avec saintBernard et Gode-
froy, évêque de Chartres, se mettait en route pour aller
prêcher contre les partisans de l'hérétique Henri.
N'ayant pu rejoindre à Nantes Éon de l'Étoile, il
chargeait l'archevêque de Rouen, Hugues, de réfuter
son écrit.|A Bordeaux, il rétablit la paix entre l'arche-
vêque Geofroy du Loroux et son chapitre. Gallia chris-
tiana, t. II, col. 814. Il dut rentrer ensuite à Rome, car
nous trouvons son nom dans une bulle d'Eugène III
(février 1146) en faveur de la Chaise-Dieu. Mabillon,
Annales ord. S. Bened., t. VI, p. 699. Albéric accom-
pagna ce même pape dans son voyage en France et
mourut à Verdun en 1148. Il ne reste de lui que quel-
ques lettres.
Ciaconius-Oldoini, Vitæ et res gestæ ponlificum roman.
et S. R. E. cardinalium, Rome, 1677, t. I, col. 991-995. -
Gallia christiana, 1728, t. IV, col. 466. — Hefele-Leclercq,
Histoire des conciles, 1912, t. V, p. 721, 745-746, 817. —
Histoire littéraire de la France, 1814, t. XIII, p. 73-78.
U. ROUZIÈS.
9. ALBÉRIC DE HUMBERT, dit aussi de Laon et
de Hautvillers, archevêque de Reims. Né à Hautvillers
ou à Laon, il fit ses études à Paris et y fut reçu doc-
teur. Du Boulay, Historia univ. Paris., 1665, t. II,
p. 724. Il y prêchait en même temps que Foulques de
Neuilly et devint bientôt archidiacre. Nommé arche-
vêque de Reims, en 1206, sur la présentation d'Odon de
Sully, il prit possession de son siège le 1er juillet 1207.
Son premier acte fut d'obliger le chapitre à fournir au
roi des subsides. G. Marlot, Metropolis Rhemensis
historia, Lille, 1666, t. I, p. 467. Il prit part à la croi-
sade contre les Albigeois. Arrivé à l'armée le 6 juillet
1212, il était présent au siège de Moissac et y fut té-
moin du supplice atroce de son neveu, que les assié-
gés coupèrent en morceaux et jetèrent aux croisés
par-dessus les murailles. Il s'y rencontra avec saint
Dominique. Rentré dans son diocèse, il assista, le
6 mai 1210, à l'incendie de la cathédrale et de la ville.
Il siégea au concile de Latran, en 1215, et, l'année sui-
vante, fut présent, comme pair de France, à l'arrêt
prononcé entre Érard de Brienne et Blanche de Na-
varre sur l'hommage du comté de Champagne. Croisé
de nouveau en 1218, il partit pour la Terre Sainte, fut,
à son retour, capturé par les Maures à Lisbonne et
repris par les chevaliers de Calatrava. Quittant une
dernière fois son diocèse, il s'embarqua pour l'Italie
et alla mourir à Pavie, le 24 décembre 1218.
Il avait, dit-on, laissé un recueil manuscrit de Ser-
mons, qui aurait été conservé dans la bibliothèque du
garde des sceaux Molé, mais dont Marlot n'a pu re-
trouver la trace. Marlot, op. cit., t. II, p. 490.
Gallia christiana, 1751, t. IX, col. 104-107. — Petit-
Radel, dans Hist. litt. de la France, 1832, t. XVII, p. 202-
204. — Lecoy de la Marche, La chaire française au moyen
âge, Paris, 1886, p. 52, 496.
P. FOURNIER.
10. ALBÉRIC DE MILAN, computiste de date in-
connue. Il a écrit un Ars calculatoria, Vatican, ms.
5367, in-4°, dont l'incipit est : Quum fratribus ado-
lescentioribus nostris quædam calculatoriæ artis rudi-
menta communi sermone explicare cœpissem. D'où
on peut conclure que l'auteur était un religieux chargé
d'enseigner le comput aux novices.
G. Mazzuchelli, Gli scrittori d'Italia, Brescia, 1753, t. I,
p. 291.
P. FOURNIER.
11.ALBÉRIC DU MONT-CASSIN. Filsd'unnoble
de Settefrati en Campanie, entré au monastère sous
l'abbé Girard, donc entre 1111 et 1123 (Pierre Diacre,
Chron. Cassin., IV, 66, P. L., t. CLXXIII, col. 888;
Mon. Germ. hist., Script., t. VII, p. 794), se distingua
par l'éclat de ses vertus. Il écrivit une Visio du ciel et
de l'enfer, qu'il eut dans son enfance, et qu'on a par-
fois considérée comme un précurseur de Dante. Édit.
par Fr. Cancellieri, Osservazioni intorno alla questions.
sopra l'originalilà della Divina commedia di Dante,
Rome, 1814, p. 131 sq. ; Bibliotheca Cassinensis, 1894,
t. v, p. 191-206; P. de Saint-Victor, La vision de frère
Albéric, dans Le Correspondant, 1844, t. vin, p. 214-
237; Cat. de Vivo, La visione di Alberico ristampata,
tradotta e comparata con la Divina commedia. Ariano,
1899. Tosti considère le ms. 239 du Mont-Cassin comme
l'autographe. Storia della badia di Monte Cassino,
Naples, 1842, t. II, p. 38. On ne peut affirmer avec cer-
titude que Dante ait eu communication de la Visio
Alberici; il y a cependant en faveur de cette hypothèse
des rapprochements frappants. Ozanam, Dante et la
philosophie catholique au XIIIe siècle, Paris, 1839, p. 330-
331; Tosti, loc. cit., p. 102-109.
U. BERLIÈRE.
12. ALBÉRIC DE REIMS (?-1141).— I. VIE. -
Après des premières études à Reims, Albéric se rendit
à Laon, auprès du célèbre scolastique Anselme. C'est
là qu'il connut Lutolphe de Novare. Attiré par la ré-
putation du maître, Abélard lui aussi était venu à
Laon. Dans son Historia calamilalum, Abélard nous
a laissé de l'école d'Anselme un portrait qu'on a tout
lieu de croire injuste. Albéric n'y est pas épargné : il
eût joui avec une vanité ombrageuse de succès sco-
laires bien surfaits : Abélard l'eût éprouvé le jour où,
dégoûté de l'insuffisance .d'Anselme, il se mit à com-
menter Ézéchiel; cf. col. 73. Dès lors, Albéric et son ami
Lutolphe lui auraient rendu par leurs dénonciations
le séj our de Laon intolérable (1113).
Tandis qu'Abélard recevait à Paris la direction de
l'école de Notre-Dame, Albéric inaugurait à Reims,
sous le pontificat de Raoul le Verd ( Gall.chr., t.IX, col. 80)
et de Raymond de Martigny, un enseignement que les
contemporains ont célébré. Voir ce qu'en écrit Wibald
de Corbie, en 1149, à Manegold. Martène, Amplissima
colleclio, t. II, p. 334. Non certes que cet enseignement
fût sans défaut : le maître était obscur au point qu'on
pourra de bonne foi lui attribuer de graves erreurs.
Voir une lettre de Gautier de Mortagne, dans du Bou-
lay, Hist. univ. Paris., t. II, col. 75; voir aussi comment
Abélard parle de « ce docteur qui enseigne en France»
et où l'on a reconnu Albéric. P. L., t. CLXXVIII,
col. 1056,1285; cf. Robert, Les écoles et l'enseignement
de la théologie, Paris, 1909, p. 199, 207. Le maître était
même insuffisant s'il est vrai que parfois son auditoire
ait pris plaisir à l'embarrasser. Albéric d'ailleurs au-
rait mal pris la chose et eût été tenace en ses rancunes.
Vie anonyme de Hugues de Marchiennes, Martène,
Thesaurus. anecd., t. III, col. 1712. Il faut constater qu'il
y a en tout cela beaucoup d'affaires personnelles qui
rendent parfois quelque peu suspectes ces accusations.
Nous savons, d'autre part, qu'auprès des archevêques
de Reims et auprès du peuple, la réputation de ferme
orthodoxie d'Albéric resta au-dessus de tout soupçon.
Et cette orthodoxie du maître explique son attitude
lorsqu'en 1121 il dénonça, d'accord avec Lutolphe, et
peut-être avec Roscelin, les doctrines très risquées
d'Abélard sur la Trinité. Cf. article ABÉLARD, t. I,
col. 75, ou dans le Dictionnaire de théologie, t.I, col. 37,
39, 45. Abélard ne vit en tout cela que chicanes de
métier, vieilles et inavouables rancunes d'un jaloux
qui veut régner seul au domaine de la théologie. P. L.,
t. CLXXVIII, col. 145-147. Et il triomphe en nous ra-
contant le bon tour qui ferma net la bouche à Albéric.
Ibid., col. 147.
En 1126, notre scolastique fut appelé par le clergé
et le peuple de Châlons à succéder, non pas à Guillaume
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