1663 ANDRÉ DE DOMODOSSOLA - ANDRÉ DOTTI 1664
Scaciga Della Silva, Vite di Ossolani illustri, Domo-
dossola, 1847, p. 33-34. A. PALMIERI.
138. ANDRÉ DORIA, dominicain, né à Gênes, prit
l'habit religieux au couvent de San Domenico de la
même ville. Nous n'avons aucun renseignement sur
ce personnage, sinon que Martin V, par une bulle
en date du 28 mars 1427, le nomma à l'évêché d Andros,
dans l'île du même nom, la première des Cyclades.
Montaldo, Ligustici caeli sidera, p. 81, et Cappelletti,
Le chiese d'Italia, t. XXI, p. 79, se sont trompes en le
faisant évêque d'Andria, au royaume de Naples. Il
succéda, sur le siège grec, mais de rite latin, d'An-
dros à un certain Guillaume, dont le passage n est
pas autrement connu. Il faut savoir qu'à Andros,
comme en plusieurs autres villes grecques de l'Archi-
pel, il y avait deux évêques, l'un de rite grec, l'autre
de rite latin, ne se rattachant pas toujours à la
même métropole. André aurait assisté au concile de
Bâle, mais on ne retrouve nulle part sa signature
dans les actes du concile. Il mourut le 28 novem-
bre 1436, mais on ignore le lieu de sa mort; il
eut pour successeur sur le siège d'Andros un autre
dominicain, Leonardo ou Lamberto de Solis (12 dé-
cembre 1436), Eubel et Gams font de Leonardo un
franciscain ; les auteurs dominicains, au contraire,
Brémond, Échard, Cavalieri le donnent comme appar-
tenant à leur ordre. André Doria serait l'auteur d'un
traité sur les censures, qu'Échard signale, sans pouvoir
dire d'ailleurs où cet ouvrage se conservait de son
temps. Il est à remarquer que, parmi le grand nombre
de sujets donnés à l'ordre de Saint-Dominique par
l'illustre famille Doria de Gênes, notre André est le
seul qui ait été revêtu du caractère épiscopal. Au
contraire, un très grand nombre de membres de cette
famille, engagés dans le clergé séculier, arrivèrent
aux plus hautes charges dans l'Église et occupèrent
des sièges célèbres en Grèce, en Espagne et en Italie.
Montaldo, Ligustici caeli sidera, etc., Gênes, 1732, p. 81.
- Cappelletti, Le Chiese d'Italia, Venise, 1844-1870,
t. XXI, p. 79. — Rovetta, Bibliotheca chronologica illustrium
virorum provinciae Lombardiae sac. ord. praedicatorum
Bologne, 1691, p. 69.— Cavalieri, Galleria de' somm. ponte-
fici, etc., Bénévent, 1696, t.1, p. 232. — Ughelli, Italia
sacra, Venise, 1717-1722, t. VII, col. 227. - Fontana, Thea-
trum dominicanum, Rome, 1666, p. 123, 377. — Échard,
Scriptores ordinis praedicatorum, Paris, 1719-1721, t. x,
p. 790. — Brémond, Bullarium ordinis, Rome, 1730, t. II,
p. 676, 707. — Le Quien, Oriens christianus, Paris, 1740,
t. III, col. 862. — Vigna, Ivescovi domenicani Liguri, Gênes,
1887, p. 120-121,125. — Eubel, Hierarch. cathol., t.1, p. 89.
R. COULON.
139. ANDRE DOTTI (Bienheureux) naquit en
1250, à Borgo San Sepolcro, au pied de l'Apennin
central, sur le cours supérieur du Tibre, entre la Tos-
cane et l'Ombrie. Il appartenait à la noble famille
des Dotti, dont les membres exercèrent d'impor-
tantes fonctions dans la magistrature et dans
l'armée. Un des frères du bienheureux, Dotto Dotti,
devint général des archers dans les armées du roi de
France, Philippe le Bel. André, lui-même, porta
quelque temps les armes et, à l'âge de vingt-deux
ans, défendit vaillamment sa ville natale assiégée.
Très intelligent, il avait reçu une haute culture litté-
raire, et le monde était plein de promesses pour lui.
Désireux, néanmoins, de mener une vie franche-
ment chrétienne, il s'affilia, dès l'année suivante, en
1273, au tiers-ordre des servites de Marie, tout en
restant encore dans sa famille; mais, à l'âge de vingt-
huit ans, touché par un sermon de saint Philippe
Beniti sur la vanité des biens d'ici-bas et sur le renon-
cement à tout ce qui n'est pas éternel, il alla se jeter
à ses genoux, le suppliant de le recevoir dans l'ordre
des servites. Sa requête ayant été exaucée, il lit son
noviciat à Florence, et eut le bonheur d'y vivre dans
l'intimité d'un des sept fondateurs de l'ordre, saint
Alexis Falconieri. Ses progrès dans les vertus religieuses
furent si rapides, qu'il mérita bientôt d'être l'un des
compagnons les plus assidus de saint Beniti, qu'il
accompagna dans ses courses apostoliques, quoiqu'il
ne fût pas encore prêtre. C'est à son retour de nom-
breuses expéditions de ce genre qu'il reçut le sacerdoce.
Il fut alors placé dans le couvent établi, en 1255, près
de Borgo San Sepolcro. Un des fondateurs, saint
Sostegno, y résidait comme supérieur de la province
d'Ombrie. Excité par les exemples d'héroïsme surna-
turel qu'il avait sous les yeux, André Dotti travailla
avec une ardeur extrême à sa sanctification et au
salut des âmes.
Des solitaires qui habitaient l'ermitage de la Vallu-
cola, à une dizaine de kilomètres de Borgo San Sepolcro,
ayant exprimé le désir de s'unir aux servites, André
obtint la permission de se retirer parmi eux, et y vécut
dans une rare perfection, comblé de faveurs célestes.
Le rayonnement de sa vertu fut tel que ces solitaires
le choisirent pour supérieur; mais il ne resta pas
longtemps à leur tête, quoiqu'il eût mené à bonne fin,
en 1294, l'affaire de leur union aux servites, auxquels
il rattacha aussi, en 1295, les solitaires de Montevec-
chio, près de Massa Trebaria. L'obéissance le ramena
dans la vie active, en 1297, et il reprit l'œuvre de la
prédication. Ses missions à Florence, Sienne, Orvieto,
Milan, Asti, Alexandrie, dans le Piémont, et plusieurs
autres provinces de l'Italie, eurent du retentissement
et produisirent des résultats extraordinaires.
En 1310, André assista à la bienheureuse mort de
celui des sept fondateurs, qu'il avait particulièrement
connu : saint Alexis Falconieri. Il en fut si édifié qu'il
demanda l'autorisation de se retirer de nouveau dans
la solitude, après laquelle il soupirait toujours. Cette
grâce lui ayant été accordée, il partit pour l'ermitage
de la Vallucola, où on l'accueillit avec des transports
de joie, car il était considéré comme un saint. Nommé,
malgré. lui, supérieur, il s'y livra aux pratiques de
la mortification et de la contemplation. Il mourut
le 31 août 1315, ayant prédit l'heure de son trépas.
La nouvelle de sa mort, s'étant répandue, amena
auprès de son corps des multitudes appartenant à
toutes les conditions. De nombreux miracles illus-
trèrent son tombeau. Sa réputation de sainteté se
transmit à travers les âges. Au xve siècle, on le disait
encore di virtù pieno come lato fiume, plein de vertu
comme un large fleuve. Cf. Gasparino Borro, Della
beata visione, c. III. Son culte immémorial fut, le
29 novembre 1806, approuvé par Pie VII, qui fixa
la fête-du bienheureux au 31 août, jour anniversaire de
sa mort. Les Acta sanctorum ayant été publiés avant
que son culte fût officiellement reconnu, on n'y trouve
pas son nom.
Poccianti, Chronicon rerum totius sacri ordinis servorum
beatae Mariae virginis, Florence, 1567, p. 62, 69 sq.,
115-118. — Ferrari, Catalogus sanctorum italiae, Milan,
1613. — Gianni, Annalium sacri ordinis fratrum servo-
rum beatae Mariae virginis, a suo institutionis exordio cen-
turiae quatuor, Côme, 1618, t. i, p. 27-72. — Mati, Meno-
logium Marianum, seu gesta sanctorum, beatorum., ordinis
servorum beatae Mariae virginis, in singulos anni dies
digesta, Douai, 1768. Dans l'édition italienne, Rome, 1882,
p. 115, on trouve cet éloge : Andrea Dotti del Borgo San
Sepolcro, uno dei più prodigiosi santi dei quali si è scritto. -
Morini, Ricordi del Padre Niccoló Mati dei servi di Maria
scritti nel 1384, sulla fondazione e sopra alcuni santi e
beati di detto ordine, Rome, 1882, p. 173. — Battini, Me-
morie intorno alla vita del beato Andrea Dotti di Borgo
San Sepolcro, Florence, 1807, ouvrage de grande éru- jj
dition, publié à l'occasion de la béatification. Un résumé, <
plusieurs fois réédité, en a été fait par l'auteur lui-même :
Vila del beato Andrea Dotti dei servi di Maria, Bolo-
gne, 1807. T. ORTOLAN.
Scaciga Della Silva, Vite di Ossolani illustri, Domo-
dossola, 1847, p. 33-34. A. PALMIERI.
138. ANDRÉ DORIA, dominicain, né à Gênes, prit
l'habit religieux au couvent de San Domenico de la
même ville. Nous n'avons aucun renseignement sur
ce personnage, sinon que Martin V, par une bulle
en date du 28 mars 1427, le nomma à l'évêché d Andros,
dans l'île du même nom, la première des Cyclades.
Montaldo, Ligustici caeli sidera, p. 81, et Cappelletti,
Le chiese d'Italia, t. XXI, p. 79, se sont trompes en le
faisant évêque d'Andria, au royaume de Naples. Il
succéda, sur le siège grec, mais de rite latin, d'An-
dros à un certain Guillaume, dont le passage n est
pas autrement connu. Il faut savoir qu'à Andros,
comme en plusieurs autres villes grecques de l'Archi-
pel, il y avait deux évêques, l'un de rite grec, l'autre
de rite latin, ne se rattachant pas toujours à la
même métropole. André aurait assisté au concile de
Bâle, mais on ne retrouve nulle part sa signature
dans les actes du concile. Il mourut le 28 novem-
bre 1436, mais on ignore le lieu de sa mort; il
eut pour successeur sur le siège d'Andros un autre
dominicain, Leonardo ou Lamberto de Solis (12 dé-
cembre 1436), Eubel et Gams font de Leonardo un
franciscain ; les auteurs dominicains, au contraire,
Brémond, Échard, Cavalieri le donnent comme appar-
tenant à leur ordre. André Doria serait l'auteur d'un
traité sur les censures, qu'Échard signale, sans pouvoir
dire d'ailleurs où cet ouvrage se conservait de son
temps. Il est à remarquer que, parmi le grand nombre
de sujets donnés à l'ordre de Saint-Dominique par
l'illustre famille Doria de Gênes, notre André est le
seul qui ait été revêtu du caractère épiscopal. Au
contraire, un très grand nombre de membres de cette
famille, engagés dans le clergé séculier, arrivèrent
aux plus hautes charges dans l'Église et occupèrent
des sièges célèbres en Grèce, en Espagne et en Italie.
Montaldo, Ligustici caeli sidera, etc., Gênes, 1732, p. 81.
- Cappelletti, Le Chiese d'Italia, Venise, 1844-1870,
t. XXI, p. 79. — Rovetta, Bibliotheca chronologica illustrium
virorum provinciae Lombardiae sac. ord. praedicatorum
Bologne, 1691, p. 69.— Cavalieri, Galleria de' somm. ponte-
fici, etc., Bénévent, 1696, t.1, p. 232. — Ughelli, Italia
sacra, Venise, 1717-1722, t. VII, col. 227. - Fontana, Thea-
trum dominicanum, Rome, 1666, p. 123, 377. — Échard,
Scriptores ordinis praedicatorum, Paris, 1719-1721, t. x,
p. 790. — Brémond, Bullarium ordinis, Rome, 1730, t. II,
p. 676, 707. — Le Quien, Oriens christianus, Paris, 1740,
t. III, col. 862. — Vigna, Ivescovi domenicani Liguri, Gênes,
1887, p. 120-121,125. — Eubel, Hierarch. cathol., t.1, p. 89.
R. COULON.
139. ANDRE DOTTI (Bienheureux) naquit en
1250, à Borgo San Sepolcro, au pied de l'Apennin
central, sur le cours supérieur du Tibre, entre la Tos-
cane et l'Ombrie. Il appartenait à la noble famille
des Dotti, dont les membres exercèrent d'impor-
tantes fonctions dans la magistrature et dans
l'armée. Un des frères du bienheureux, Dotto Dotti,
devint général des archers dans les armées du roi de
France, Philippe le Bel. André, lui-même, porta
quelque temps les armes et, à l'âge de vingt-deux
ans, défendit vaillamment sa ville natale assiégée.
Très intelligent, il avait reçu une haute culture litté-
raire, et le monde était plein de promesses pour lui.
Désireux, néanmoins, de mener une vie franche-
ment chrétienne, il s'affilia, dès l'année suivante, en
1273, au tiers-ordre des servites de Marie, tout en
restant encore dans sa famille; mais, à l'âge de vingt-
huit ans, touché par un sermon de saint Philippe
Beniti sur la vanité des biens d'ici-bas et sur le renon-
cement à tout ce qui n'est pas éternel, il alla se jeter
à ses genoux, le suppliant de le recevoir dans l'ordre
des servites. Sa requête ayant été exaucée, il lit son
noviciat à Florence, et eut le bonheur d'y vivre dans
l'intimité d'un des sept fondateurs de l'ordre, saint
Alexis Falconieri. Ses progrès dans les vertus religieuses
furent si rapides, qu'il mérita bientôt d'être l'un des
compagnons les plus assidus de saint Beniti, qu'il
accompagna dans ses courses apostoliques, quoiqu'il
ne fût pas encore prêtre. C'est à son retour de nom-
breuses expéditions de ce genre qu'il reçut le sacerdoce.
Il fut alors placé dans le couvent établi, en 1255, près
de Borgo San Sepolcro. Un des fondateurs, saint
Sostegno, y résidait comme supérieur de la province
d'Ombrie. Excité par les exemples d'héroïsme surna-
turel qu'il avait sous les yeux, André Dotti travailla
avec une ardeur extrême à sa sanctification et au
salut des âmes.
Des solitaires qui habitaient l'ermitage de la Vallu-
cola, à une dizaine de kilomètres de Borgo San Sepolcro,
ayant exprimé le désir de s'unir aux servites, André
obtint la permission de se retirer parmi eux, et y vécut
dans une rare perfection, comblé de faveurs célestes.
Le rayonnement de sa vertu fut tel que ces solitaires
le choisirent pour supérieur; mais il ne resta pas
longtemps à leur tête, quoiqu'il eût mené à bonne fin,
en 1294, l'affaire de leur union aux servites, auxquels
il rattacha aussi, en 1295, les solitaires de Montevec-
chio, près de Massa Trebaria. L'obéissance le ramena
dans la vie active, en 1297, et il reprit l'œuvre de la
prédication. Ses missions à Florence, Sienne, Orvieto,
Milan, Asti, Alexandrie, dans le Piémont, et plusieurs
autres provinces de l'Italie, eurent du retentissement
et produisirent des résultats extraordinaires.
En 1310, André assista à la bienheureuse mort de
celui des sept fondateurs, qu'il avait particulièrement
connu : saint Alexis Falconieri. Il en fut si édifié qu'il
demanda l'autorisation de se retirer de nouveau dans
la solitude, après laquelle il soupirait toujours. Cette
grâce lui ayant été accordée, il partit pour l'ermitage
de la Vallucola, où on l'accueillit avec des transports
de joie, car il était considéré comme un saint. Nommé,
malgré. lui, supérieur, il s'y livra aux pratiques de
la mortification et de la contemplation. Il mourut
le 31 août 1315, ayant prédit l'heure de son trépas.
La nouvelle de sa mort, s'étant répandue, amena
auprès de son corps des multitudes appartenant à
toutes les conditions. De nombreux miracles illus-
trèrent son tombeau. Sa réputation de sainteté se
transmit à travers les âges. Au xve siècle, on le disait
encore di virtù pieno come lato fiume, plein de vertu
comme un large fleuve. Cf. Gasparino Borro, Della
beata visione, c. III. Son culte immémorial fut, le
29 novembre 1806, approuvé par Pie VII, qui fixa
la fête-du bienheureux au 31 août, jour anniversaire de
sa mort. Les Acta sanctorum ayant été publiés avant
que son culte fût officiellement reconnu, on n'y trouve
pas son nom.
Poccianti, Chronicon rerum totius sacri ordinis servorum
beatae Mariae virginis, Florence, 1567, p. 62, 69 sq.,
115-118. — Ferrari, Catalogus sanctorum italiae, Milan,
1613. — Gianni, Annalium sacri ordinis fratrum servo-
rum beatae Mariae virginis, a suo institutionis exordio cen-
turiae quatuor, Côme, 1618, t. i, p. 27-72. — Mati, Meno-
logium Marianum, seu gesta sanctorum, beatorum., ordinis
servorum beatae Mariae virginis, in singulos anni dies
digesta, Douai, 1768. Dans l'édition italienne, Rome, 1882,
p. 115, on trouve cet éloge : Andrea Dotti del Borgo San
Sepolcro, uno dei più prodigiosi santi dei quali si è scritto. -
Morini, Ricordi del Padre Niccoló Mati dei servi di Maria
scritti nel 1384, sulla fondazione e sopra alcuni santi e
beati di detto ordine, Rome, 1882, p. 173. — Battini, Me-
morie intorno alla vita del beato Andrea Dotti di Borgo
San Sepolcro, Florence, 1807, ouvrage de grande éru- jj
dition, publié à l'occasion de la béatification. Un résumé, <
plusieurs fois réédité, en a été fait par l'auteur lui-même :
Vila del beato Andrea Dotti dei servi di Maria, Bolo-
gne, 1807. T. ORTOLAN.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Sujets similaires Église Histoire Église Histoire /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=dc.subject adj "Église Histoire"Histoire catholique de nostre temps, touchant l'estat de la religion Chrestienne, par S. Fontaine docteur en Theologie. Avec une response à quelque Apologie que les heretiques ces jours passez ont mis en avant, autheur A. de Monchi, docteur en Theologie /ark:/12148/bd6t537895690.highres Estat de l'Eglise, dez le temps des Apostres, jusques à l'an present (L'). Avec Un recueil des troubles avenus en France, sous le Roy François II. & Charles IX. Reveu, augmenté, & couché en breves Annales. Item un traité de la religion & republique des Juifs depuis le retour de l'exil de Babylone, jusques au dernier saccagement de Jerusalem /ark:/12148/bd6t537899130.highresGéographie ecclésiastique Géographie ecclésiastique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=dc.subject adj "Géographie ecclésiastique"
- Auteurs similaires Baudrillart Alfred Baudrillart Alfred /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Baudrillart Alfred" or dc.contributor adj "Baudrillart Alfred")Le Très Révérend Père Raphaël Delarbre d'Aurillac, franciscain, 1843-1924 (2e éd.) / R. P. M.-Lucien Dané,... ; [lettres-préfaces du cardinal E. Pacelli, du cardinal Alfred Baudrillart, du cardinal Charles Salotti, de Mgr Colomban-Marie Dreyer, du P. Agostino Gemelli et du P. Raymond Giscard] ; [préface du P. Léonard-Marie Bello] /ark:/12148/bpt6k3379945q.highres
La vie à Paris pendant la Révolution : [1789-1793] / G. Lenotre,... ; préface de S. Em. le cardinal A. Baudrillart /ark:/12148/bd6t5386470t.highres
Richard P Richard P /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Richard P" or dc.contributor adj "Richard P") Rouziès Urbain Rouziès Urbain /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Rouziès Urbain" or dc.contributor adj "Rouziès Urbain") Vogt Albert Vogt Albert /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Vogt Albert" or dc.contributor adj "Vogt Albert")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 856/950
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6561037d/f856.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6561037d/f856.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6561037d/f856.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6561037d/f856.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6561037d
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6561037d
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6561037d/f856.image × Aide