Presse et revues
16 pages
Titre : Les Ailes : journal hebdomadaire de la locomotion aérienne / directeur, rédacteur en chef, Georges Houard
Éditeur : [s.n. ?] (Paris)
Date d'édition : 1937-10-28
Contributeur : Houard, Georges (1893-1964). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326846379
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 12981 Nombre total de vues : 12981
Description : 28 octobre 1937 28 octobre 1937
Description : 1937/10/28 (A17,N854). 1937/10/28 (A17,N854).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6560525m
Source : Musée Air France, 2013-273367
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 11/11/2013
tt. AILES
|ff' 854 — 28-10-3T — PAGE 15
L'Â VIA TION
MARCHANDE,
Les contacts
franco-américains
Pour l'Atlantique-Nord
Gouverneur Général Ollivier, qui est Vice-
jConseil d'Administration d'Air-
tl tique, vient d'avoir à New- Y ork
l "1tese de conversations destinées à amorcer des
tes Pour la liaison aérienne France-Etats-
t'It" av ir pris contact avec différentes per-
u Couvernement, le Gouverneur Gé-
j1 4
r, deeu une série d'entretiens avec les anima-
';r, p., fan-American Airways » : M. Juan
ent, et M. Cooper, Vice-Président.
p! Q|]?IVsler et Jean Schneider firent porter les
Particulièrement sur les liaisons météo-
elt sur le travail du Carimaré. Il fut
surtout des échanges d'informations mé-
f p verneur Général visita la base provisoire
¡ 't tl\ Arnerican Airways » à Port-Washing-
es travaux de la nouvelle base de New-
Il l'alla des projets français, de l'aménage-
f de aiscarosse, de la création d'une base
( sti f Portes de Paris. Ce dernier projet, sur-
attention des Américains.
1" dersatlOns ont également porté sur la
î raJ^-télégraphique. M. Paskiewicz., ingé-
i aU ^linisière de l'Air, assistait à ce sujet
j; ; v'er.
Il Ville-de-Dakar bat
SOn propre record
Ii- arman. a quatre moteurs Hispano-
'6,rI/e.de-Dakar, parti de Dakar, le 18 octo-
î
; 3941, est arrivé à Natal, à 19 h. 20, après
de Vol, avec 375 kg. de courrier.
jns* battu de quelques minutes son
:"it rJcédent de la traversée Atlantique-Sud
r¡ds de 12 h. 55. Il avait aussi battu le record
j J de courrier transporté.
; V. comprenait Guerrero, Dufour, Sal-
I. Moutet.
iL ———
"'i¿VlON r< VILLE-DE-MONTEVIDEO »,
Quitté Natal le 13 octobre, à 2 h. 18, est
¡¡Pa altar, à 18 h. 44.
"1 ®"e ■ Delaunay, Dufour, Saldo, Gimie,
"ÏDls QUE LA « VILLE-DE-DAKAR »
r,OI), Propre record de l'Atlantique-Sud, un
Qrimoteur Farman, la Ville-de-Mehdoza
t le voyage dans le sens opposé. Parti
1 le 19 octobre, à 1 h. 20, il est arrivé à
à 17 k- 21. ,
'lPa : Espitalier, Kersual. Boua;eard, Roux,
e Ichard.
AU BOURGET
i;g,a¡.24 octobre, le trafic de * l'Aviation mar-
'ff aéroport du Bourget sest traduit par
''4rtfS suivants :
'art'* - 15 avions; 1.425 passagers; 17.856
• essagenes; 3.389 kg. de poste.
:1. s, - 187 avions; 1.404 passagers; 21.707
''es3ageries ; 3.529 kg. de poste.
r¿ 1 cette période, on signale les départs,
seu d' Air-France, le 18, de Prague pour
\Jo "la Paris. du fils du Président Mazarik ;
'tior¡ur Londres, de M. Corbin, Directeur de
s, d c'vile, et de M. Porquet; le 20, pour
,>». j P'iote américain Dick Merrill et. pour
Georges Carpentier ; enfin, le 22.
V , Pour Londres, de M. Rivollet, ancien
Qt es Pensions
'j11' d'autre part, le 21, l'arrivée de Lon-
|,1 !Vl L fa d ja h Gae k wan de Baro d a, par les
tii de Baroda, par les
th Airways » et, le 22, le départ pour
.'i u Docteur Lamers, Sous-Secrétaire
à | a Chancellerie du Reich, sur un avion
à la Chance l lerie du Reich, sur un avion
V. dp9 Lufthansa ».
'1"11011111111111110111101111111111111111111.
IILE DES PROFESSIONNELS
! DE L'HERONRUTIQUI
A ru Secrétariat général,
V® St-Victor. — PARIS (5 )
; .;'r, ci: teconnue par les Ministères de
Marine, de la Guerre, prépare I
i , 'e es gens, pour une cotisation men-
> cïue' au C.A.E.M.M.A. (Certifi-
:' trot). e pour l'incorporation d'office dans
t Ρ'i'JeIUtlqUe militaire et le devancement
f ^'Del)
V jHevets de cette Société sont recon- I
H ®r sont recon-
tnt eronautique maritime et per-
titulaires d'être incorporés
|'Ce d aris cette arme avec de nombreux
IItc; llloraux et matériels.
S FONCTIONNENT:
- '!Y, tiTv PARIS B.. COURBEVOIE.
uEfL, ARGENTEUIL. BOURG-
LA-p,F-INE, VERSAILLES
S été a créé deux sections d'Avia-
%PoPh.U' aire-
A r tou. ,..
'-t)Qt' L s renseignements, ecrrre a
A4d e EFEVRE, président de l'A.P.A.
rue Saint-Victor, PARIS (5")
: tble Invention
hl>Vplie
t'nPtié' Protégée par un brevet devient 1.
et 1\\IIler¡e eaclusivQ de l'inventeur. Pour Mvoif
^ufîW»itpi.lacet'<;1" pour garantir, défendre
(in I(!i aclii lne invention lisez le Manuel-
r\!'I'CIe gratis sur demande par M.
ru» i Office pour Brevet a'ww»
\)1\, L,e La BoëtieVPjri». * -
Coups d'Aiies
IIFermé l'hiverll
c
'EST décidé : la « Maison des Ailes Il
va fermer ou a déjà fermé ses por-
tes, pour tout l'hiver. Raisons in-
voquées : pas d'argent et pas de
pensionnaires — ou si peu de pensionnaires
qu'on ne peut maintenir, pour eux, la
« Maison » ouverte, couvrir les frais que
cela entraîne, payer le personnel.
Nous persistons à écrire ce que nous
avons écrit à plusieurs reprises : la ferme-
ture de la « Maison des Ailes » est un
petit scandale parce que, en admettant que
les raisons invoquées soient bonnes, on ne
fait rien, on n'a jamais rien voulu faire
pour doter l'institution des fonds réguliers
nécessaires à son fonctionnement, ni trou-
ver des pensionnaires.
Le remède est simple: quand on aura
remplacé le Comité de Direction de la
« Maison des Ailes » par un Comité décidé
à assurer la vie de l'oeuvre, à développer
celleci, à la faire fonctionner. elle fonc-
tionnera. Mais tant que la direction de la
« Maison » sera confiée à des gens, pleins
de bonne volonté peut-être, mais qui n'ont
ni le temps nécessaire, ni la foi suffisante
pour remplir cette mission, le petit scan-
dale subsistera.
UNE VRILLE
SENTIMENTALE
En juin dernier - ça te passait le 13. sur le
terrain de Moisselles — le pilote de planeur Ro-
bert Grimaud faisait une chute grave, consécuti-
ve a une vrille. Le 40-P qu'il montait s'écrasait
au sol et le pilote était sérieusement blessé. On le
transporta à l hôpital de Montmorency où, peu à
peu, il se rétablit.'
Mais cette chute, si douloureuse qu'elle fut pour
Robert Grimaud, aura tout de même eu, pour lui,
deux conséquences heureuses.
La première, c'est qu'il put mesurer la sympa-
thie et la camaraderie de ses nombreux amis du
club qui lui apportèrent l'appui réconfortant de
leurs visites et de leurs encouragements pendant
tout le temps qu'il resta sur son lit de souffrance.
La seconde, c'est qu'il trouva, pour le soigner à
Montmorency, une gracieuse jeune fille st dé-
vouée, si empressée en la personne de Mlle Marie-
Louise Guyader, que cela finit, à la manière des
bons films sentimentaux, par un mariage.
Comme quoi, une vrille a quelquefois dfi bon
puisque, sans elle, Robert Grimaud n'aurait pas
trouvé celle qui allait être l'élue de son cœur.
Sous le double signe du vol à voile et de la croix
rouge, leur union ne peut être qu'heureuse.
Mais que cette petite histoire, qui finit bien,
n'incite pas les pilotes de planeur à flirter avec
la vrille. Généralement, ça finit mal.
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
POUR REUSSIR EN AVIATION
et y occuper une situation d'avenir (civile ou militaire) il est INDISPENSA-
BLE d'acquérir au préalable les connaissances professionnelles sans lesquelles
aucun espoir de réussite n'est permis.
L'enseignement par correspondance de la technique aéronautique protessé
depuis dix-huit ans par
L'ECOLE SPECIALE D'AVIATION
15, avenue Victor-Hugo (Parc des Princes), BOULOCNE (Paris)
vous permettra, par quelques niui" d'éttulp. auréaldes i-ïiez vous, d'atteindre
sûrement le but que vous vous assignerez.
Demandez aujourd 'hui la hrochuiv lIU UKATUITE. Tél. : MOL. 29-33.
sT NE CONVIENT PAS A TOCrt
~<~ ,
kî) *
~K (, 'fé, S
l)t\ H |J s\
~--"~
1 t
* LA MÊME CRÈME I A RASER >um /t/ujf
Suivant la nature de votre pocm La crème 'rapide som savon
Suivant la nature de rotre peau, IL ILg&ljS La crème rapide sans savon
choisisses celle des deux crèmes «jl Sjr*T^| Gibbs convient particulièrement
à raser Gibbs qui vous permettra l|f jk K J 'T WÊ aux peaux sèches : Ni savon, ni
d'être rasé avec la plus grande IgL, blaireau. Et quelle rapidité:
JH K M ||| vous en serez émerveillé.
facilité, dans un minimum de K * v3| W- vous en serez émerveUlé.
temps. S jgsJm Jm La crèine de savon Gibba,
9m% ~~B' mousse abondamment : elle dé-
k ^Ilft ~~a~S barrasse ie poU du Sébum qui
jfijf *l»iir.]'JM 3 barrasse le poil du Sébum qui
l'entoure, permettant ainsi de se
? ..s~ M raser de près sans irriter la peau.
CHOISISSEZ <—————————————- *
M ION A REMPLIR ET A RETOURNER
LA CRÈME A RASER Jf W M BBC A TUbtfuii-CKbbi •* CI*, tt. rat d* Ma- 1
reoevcb etatube-
., *c ">4 H, 1 B IP HP mmm cI.u: tchoaMMeM d.- ettmM 6
put a rmvu::-l'eRl<' VHPWHiRilA! ra*#r' luhM MWjwmli pour 10 bœbeL
NOIll J - - - Ã-
PROTEGEZ
LES AMAETEURSI
On peut avoir l'opinion que l'on oeuf sur
rAviation d'amateur; on ne peut nier que l'effort
accompli par les amateurs — qui, le plus sou-
vent, ne sont pas riches — est digne d'admiration
et même de respect, car il témoigne d'un bel en-
thousiasme aéronautique.
Un de ces amateurs avait abouti, après deux
années de travail, à réaliser un petit avion, genre
H.M.-S. Une fois terminé, il l'amena sur le ter-
rain de son pays et fit quelques essais. Une aOarte
survint et l'appareil, démonté, fut remisé dans un
hangar dont disposait le club local.
Quand il en avait le temps, à ses moment. de
loisirs, notre amateur montait au terrain et répa-
rait son appareil. Evidemment, ça n'allait pas
vite, car les heures de liberté étaient comptées.
Est-ce pour cela que le club local prit la décision
de mettre dehors la malheureuse aoionnette
Peut-être. En tout cas, celle-ci fut expulsée du
hangar, abandonnée aux intempéries et, quand
l'amateur vint voir son appareil, il ne trouva plus
qu'un amas informe de bois et de toile. La ma-
gnéto du moteur avait même dû tenter quelqu'un,
car elle avait disparu.
Toutes les économies du malheureux avaient
été englouties dans cette construction et, avec la
destruction de l'appareil, tous ses espoirs se sont
effondrés.
Un club qui a pour but le développement de
l'idée aéronautique ne devrait-il pas avoir plus
d'égards pour ceux qui la servent avec tant de
foi et de conviction?
UNE SANCTION
CONTESTABLE
Sûrement, le club dont nous parlons dans VéchQ
précédent, n'aime pas le samateurs.
A la tigueur, il pouvait essayer de justifier
l'expulsion de l'avionnette, en disant : a elle. est
inutilisable; elle ne vole pas; son exposition dans
le hangar est un spectacle fâcheux pour la pro-
pagande ». Mais cet argument ne tient pas pour,
un autre petit appareil d'amateur qui a été mis
dehors, lui aussi, bien que,* depuis cinq ans, il ait
totalisé quelque cent heures de vol.
L'expulsion a été décidée, paraît-il, à la ma-
nière d'une sanction parce que le pilote de ce
petit avion, lassé de tourner autour du terrain, a
parfois été plus loin que ne l'y autorisaient le*
règlements. Mais que celui qui n'a jamais enfreint
la Loi de 1924 lui jette la première pierre!.
En tout cas. l'amateur ne s'est pas laissé faire.
Il tient à son avion comme à la prunelle de ses
yeux et l'a réintégré à l'intérieur du hangar en
interdisant à quiconque d'y toucher.
Le club, de son côté, prétend être maître chez
lui et n'accepter, dans son hangar, que ceux qu'il
lui plaît de recevoir.
D'où un procès en cours.
L'Aviation, vraiment, a mieux à faire que de
se disputer et, avec un peu de compréhension
réciproque, de telles histoires devraient être évi-
tées,
L'ENSEIGNEMENT
DU DROIT AERIEN -
Décidément — et c'est fort heureux — l'Aéro-
nautique pénètre de plus en plus dans tous les
rouages de la Nation.
Un de nos jeunes lecteurs nous signale que la
Faculté de Droit d'A ix -en-Provence ouvre, en
1937, un cours de Droit aérien. C'est à notre con-
naissance, la première fois qu'un tel cours sera
professé de façon régulière, au même titre que
les autres branches du Droit.
Félicitons la Faculté J'A ix t
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIUIIIIIIIIIIIIIIlIllIlilSHI
- COMPAS VION =
I 38, rue de Turenne, PARIS 1
1 Plus de 100 traversées de l'Atlantioae. Les records 1
du monde de distance, es circuit fermé, de Bouee.
trot et Rossi; en ligne droite et en ligne brisée, 4e
Codos et Rossi. Les Coupes Bibesco, Hélène-Boucher. 1
Les liaisons rapides de Mermoz, Péraad. Génia et
Robert. lapy. La traversée de l'Atlantique Swd par
Mame Barfié
»
* ■ ,-, J. - -
TOUTES APPUCATtONa ~~-
oe LA ~P~
PHOTO oes
AERIENNE '='~
$ ECIAUSTES, , j
~6~ BOUU. SERURtER ARLS.
|ff' 854 — 28-10-3T — PAGE 15
L'Â VIA TION
MARCHANDE,
Les contacts
franco-américains
Pour l'Atlantique-Nord
Gouverneur Général Ollivier, qui est Vice-
jConseil d'Administration d'Air-
tl tique, vient d'avoir à New- Y ork
l "1tese de conversations destinées à amorcer des
tes Pour la liaison aérienne France-Etats-
t'It" av ir pris contact avec différentes per-
u Couvernement, le Gouverneur Gé-
j1 4
r, deeu une série d'entretiens avec les anima-
';r, p., fan-American Airways » : M. Juan
ent, et M. Cooper, Vice-Président.
p! Q|]?IVsler et Jean Schneider firent porter les
Particulièrement sur les liaisons météo-
elt sur le travail du Carimaré. Il fut
surtout des échanges d'informations mé-
f p verneur Général visita la base provisoire
¡ 't tl\ Arnerican Airways » à Port-Washing-
es travaux de la nouvelle base de New-
Il l'alla des projets français, de l'aménage-
f de aiscarosse, de la création d'une base
( sti f Portes de Paris. Ce dernier projet, sur-
attention des Américains.
1" dersatlOns ont également porté sur la
î raJ^-télégraphique. M. Paskiewicz., ingé-
i aU ^linisière de l'Air, assistait à ce sujet
j; ; v'er.
Il Ville-de-Dakar bat
SOn propre record
Ii- arman. a quatre moteurs Hispano-
'6,rI/e.de-Dakar, parti de Dakar, le 18 octo-
î
; 3941, est arrivé à Natal, à 19 h. 20, après
de Vol, avec 375 kg. de courrier.
jns* battu de quelques minutes son
:"it rJcédent de la traversée Atlantique-Sud
r¡ds de 12 h. 55. Il avait aussi battu le record
j J de courrier transporté.
; V. comprenait Guerrero, Dufour, Sal-
I. Moutet.
iL ———
"'i¿VlON r< VILLE-DE-MONTEVIDEO »,
Quitté Natal le 13 octobre, à 2 h. 18, est
¡¡Pa altar, à 18 h. 44.
"1 ®"e ■ Delaunay, Dufour, Saldo, Gimie,
"ÏDls QUE LA « VILLE-DE-DAKAR »
r,OI), Propre record de l'Atlantique-Sud, un
Qrimoteur Farman, la Ville-de-Mehdoza
t le voyage dans le sens opposé. Parti
1 le 19 octobre, à 1 h. 20, il est arrivé à
à 17 k- 21. ,
'lPa : Espitalier, Kersual. Boua;eard, Roux,
e Ichard.
AU BOURGET
i;g,a¡.24 octobre, le trafic de * l'Aviation mar-
'ff aéroport du Bourget sest traduit par
''4rtfS suivants :
'art'* - 15 avions; 1.425 passagers; 17.856
• essagenes; 3.389 kg. de poste.
:1. s, - 187 avions; 1.404 passagers; 21.707
''es3ageries ; 3.529 kg. de poste.
r¿ 1 cette période, on signale les départs,
seu d' Air-France, le 18, de Prague pour
\Jo "la Paris. du fils du Président Mazarik ;
'tior¡ur Londres, de M. Corbin, Directeur de
s, d c'vile, et de M. Porquet; le 20, pour
,>». j P'iote américain Dick Merrill et. pour
Georges Carpentier ; enfin, le 22.
V , Pour Londres, de M. Rivollet, ancien
Qt es Pensions
'j11' d'autre part, le 21, l'arrivée de Lon-
|,1 !Vl L fa d ja h Gae k wan de Baro d a, par les
tii de Baroda, par les
th Airways » et, le 22, le départ pour
.'i u Docteur Lamers, Sous-Secrétaire
à | a Chancellerie du Reich, sur un avion
à la Chance l lerie du Reich, sur un avion
V. dp9 Lufthansa ».
'1"11011111111111110111101111111111111111111.
IILE DES PROFESSIONNELS
! DE L'HERONRUTIQUI
A ru Secrétariat général,
V® St-Victor. — PARIS (5 )
; .;'r, ci: teconnue par les Ministères de
Marine, de la Guerre, prépare I
i , 'e es gens, pour une cotisation men-
> cïue' au C.A.E.M.M.A. (Certifi-
:' trot). e pour l'incorporation d'office dans
t Ρ'i'JeIUtlqUe militaire et le devancement
f ^'Del)
V jHevets de cette Société sont recon- I
H ®r sont recon-
tnt eronautique maritime et per-
titulaires d'être incorporés
|'Ce d aris cette arme avec de nombreux
IItc; llloraux et matériels.
S FONCTIONNENT:
- '!Y, tiTv PARIS B.. COURBEVOIE.
uEfL, ARGENTEUIL. BOURG-
LA-p,F-INE, VERSAILLES
S été a créé deux sections d'Avia-
%PoPh.U' aire-
A r tou. ,..
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A4d e EFEVRE, président de l'A.P.A.
rue Saint-Victor, PARIS (5")
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hl>Vplie
t'nPtié' Protégée par un brevet devient 1.
et 1\\IIler¡e eaclusivQ de l'inventeur. Pour Mvoif
^ufîW»itpi.lacet'<;1" pour garantir, défendre
(in I(!i aclii lne invention lisez le Manuel-
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\)1\, L,e La BoëtieVPjri». * -
Coups d'Aiies
IIFermé l'hiverll
c
'EST décidé : la « Maison des Ailes Il
va fermer ou a déjà fermé ses por-
tes, pour tout l'hiver. Raisons in-
voquées : pas d'argent et pas de
pensionnaires — ou si peu de pensionnaires
qu'on ne peut maintenir, pour eux, la
« Maison » ouverte, couvrir les frais que
cela entraîne, payer le personnel.
Nous persistons à écrire ce que nous
avons écrit à plusieurs reprises : la ferme-
ture de la « Maison des Ailes » est un
petit scandale parce que, en admettant que
les raisons invoquées soient bonnes, on ne
fait rien, on n'a jamais rien voulu faire
pour doter l'institution des fonds réguliers
nécessaires à son fonctionnement, ni trou-
ver des pensionnaires.
Le remède est simple: quand on aura
remplacé le Comité de Direction de la
« Maison des Ailes » par un Comité décidé
à assurer la vie de l'oeuvre, à développer
celleci, à la faire fonctionner. elle fonc-
tionnera. Mais tant que la direction de la
« Maison » sera confiée à des gens, pleins
de bonne volonté peut-être, mais qui n'ont
ni le temps nécessaire, ni la foi suffisante
pour remplir cette mission, le petit scan-
dale subsistera.
UNE VRILLE
SENTIMENTALE
En juin dernier - ça te passait le 13. sur le
terrain de Moisselles — le pilote de planeur Ro-
bert Grimaud faisait une chute grave, consécuti-
ve a une vrille. Le 40-P qu'il montait s'écrasait
au sol et le pilote était sérieusement blessé. On le
transporta à l hôpital de Montmorency où, peu à
peu, il se rétablit.'
Mais cette chute, si douloureuse qu'elle fut pour
Robert Grimaud, aura tout de même eu, pour lui,
deux conséquences heureuses.
La première, c'est qu'il put mesurer la sympa-
thie et la camaraderie de ses nombreux amis du
club qui lui apportèrent l'appui réconfortant de
leurs visites et de leurs encouragements pendant
tout le temps qu'il resta sur son lit de souffrance.
La seconde, c'est qu'il trouva, pour le soigner à
Montmorency, une gracieuse jeune fille st dé-
vouée, si empressée en la personne de Mlle Marie-
Louise Guyader, que cela finit, à la manière des
bons films sentimentaux, par un mariage.
Comme quoi, une vrille a quelquefois dfi bon
puisque, sans elle, Robert Grimaud n'aurait pas
trouvé celle qui allait être l'élue de son cœur.
Sous le double signe du vol à voile et de la croix
rouge, leur union ne peut être qu'heureuse.
Mais que cette petite histoire, qui finit bien,
n'incite pas les pilotes de planeur à flirter avec
la vrille. Généralement, ça finit mal.
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
POUR REUSSIR EN AVIATION
et y occuper une situation d'avenir (civile ou militaire) il est INDISPENSA-
BLE d'acquérir au préalable les connaissances professionnelles sans lesquelles
aucun espoir de réussite n'est permis.
L'enseignement par correspondance de la technique aéronautique protessé
depuis dix-huit ans par
L'ECOLE SPECIALE D'AVIATION
15, avenue Victor-Hugo (Parc des Princes), BOULOCNE (Paris)
vous permettra, par quelques niui" d'éttulp. auréaldes i-ïiez vous, d'atteindre
sûrement le but que vous vous assignerez.
Demandez aujourd 'hui la hrochuiv lIU UKATUITE. Tél. : MOL. 29-33.
sT NE CONVIENT PAS A TOCrt
~<~ ,
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~K (, 'fé, S
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~--"~
1 t
* LA MÊME CRÈME I A RASER >um /t/ujf
Suivant la nature de votre pocm La crème 'rapide som savon
Suivant la nature de rotre peau, IL ILg&ljS La crème rapide sans savon
choisisses celle des deux crèmes «jl Sjr*T^| Gibbs convient particulièrement
à raser Gibbs qui vous permettra l|f jk K J 'T WÊ aux peaux sèches : Ni savon, ni
d'être rasé avec la plus grande IgL, blaireau. Et quelle rapidité:
JH K M ||| vous en serez émerveillé.
facilité, dans un minimum de K * v3| W- vous en serez émerveUlé.
temps. S jgsJm Jm La crèine de savon Gibba,
9m% ~~B' mousse abondamment : elle dé-
k ^Ilft ~~a~S barrasse ie poU du Sébum qui
jfijf *l»iir.]'JM 3 barrasse le poil du Sébum qui
l'entoure, permettant ainsi de se
? ..s~ M raser de près sans irriter la peau.
CHOISISSEZ <—————————————- *
M ION A REMPLIR ET A RETOURNER
LA CRÈME A RASER Jf W M BBC A TUbtfuii-CKbbi •* CI*, tt. rat d* Ma- 1
reoevcb etatube-
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put a rmvu::-l'eRl<' VHPWHiRilA! ra*#r' luhM MWjwmli pour 10 bœbeL
NOIll J - - - Ã-
PROTEGEZ
LES AMAETEURSI
On peut avoir l'opinion que l'on oeuf sur
rAviation d'amateur; on ne peut nier que l'effort
accompli par les amateurs — qui, le plus sou-
vent, ne sont pas riches — est digne d'admiration
et même de respect, car il témoigne d'un bel en-
thousiasme aéronautique.
Un de ces amateurs avait abouti, après deux
années de travail, à réaliser un petit avion, genre
H.M.-S. Une fois terminé, il l'amena sur le ter-
rain de son pays et fit quelques essais. Une aOarte
survint et l'appareil, démonté, fut remisé dans un
hangar dont disposait le club local.
Quand il en avait le temps, à ses moment. de
loisirs, notre amateur montait au terrain et répa-
rait son appareil. Evidemment, ça n'allait pas
vite, car les heures de liberté étaient comptées.
Est-ce pour cela que le club local prit la décision
de mettre dehors la malheureuse aoionnette
Peut-être. En tout cas, celle-ci fut expulsée du
hangar, abandonnée aux intempéries et, quand
l'amateur vint voir son appareil, il ne trouva plus
qu'un amas informe de bois et de toile. La ma-
gnéto du moteur avait même dû tenter quelqu'un,
car elle avait disparu.
Toutes les économies du malheureux avaient
été englouties dans cette construction et, avec la
destruction de l'appareil, tous ses espoirs se sont
effondrés.
Un club qui a pour but le développement de
l'idée aéronautique ne devrait-il pas avoir plus
d'égards pour ceux qui la servent avec tant de
foi et de conviction?
UNE SANCTION
CONTESTABLE
Sûrement, le club dont nous parlons dans VéchQ
précédent, n'aime pas le samateurs.
A la tigueur, il pouvait essayer de justifier
l'expulsion de l'avionnette, en disant : a elle. est
inutilisable; elle ne vole pas; son exposition dans
le hangar est un spectacle fâcheux pour la pro-
pagande ». Mais cet argument ne tient pas pour,
un autre petit appareil d'amateur qui a été mis
dehors, lui aussi, bien que,* depuis cinq ans, il ait
totalisé quelque cent heures de vol.
L'expulsion a été décidée, paraît-il, à la ma-
nière d'une sanction parce que le pilote de ce
petit avion, lassé de tourner autour du terrain, a
parfois été plus loin que ne l'y autorisaient le*
règlements. Mais que celui qui n'a jamais enfreint
la Loi de 1924 lui jette la première pierre!.
En tout cas. l'amateur ne s'est pas laissé faire.
Il tient à son avion comme à la prunelle de ses
yeux et l'a réintégré à l'intérieur du hangar en
interdisant à quiconque d'y toucher.
Le club, de son côté, prétend être maître chez
lui et n'accepter, dans son hangar, que ceux qu'il
lui plaît de recevoir.
D'où un procès en cours.
L'Aviation, vraiment, a mieux à faire que de
se disputer et, avec un peu de compréhension
réciproque, de telles histoires devraient être évi-
tées,
L'ENSEIGNEMENT
DU DROIT AERIEN -
Décidément — et c'est fort heureux — l'Aéro-
nautique pénètre de plus en plus dans tous les
rouages de la Nation.
Un de nos jeunes lecteurs nous signale que la
Faculté de Droit d'A ix -en-Provence ouvre, en
1937, un cours de Droit aérien. C'est à notre con-
naissance, la première fois qu'un tel cours sera
professé de façon régulière, au même titre que
les autres branches du Droit.
Félicitons la Faculté J'A ix t
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIUIIIIIIIIIIIIIIlIllIlilSHI
- COMPAS VION =
I 38, rue de Turenne, PARIS 1
1 Plus de 100 traversées de l'Atlantioae. Les records 1
du monde de distance, es circuit fermé, de Bouee.
trot et Rossi; en ligne droite et en ligne brisée, 4e
Codos et Rossi. Les Coupes Bibesco, Hélène-Boucher. 1
Les liaisons rapides de Mermoz, Péraad. Génia et
Robert. lapy. La traversée de l'Atlantique Swd par
Mame Barfié
»
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TOUTES APPUCATtONa ~~-
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