286 ESCOUBLEAU (d')
ESCOUBLEAU (d')
par lequel ce dernier renonçait en sa faveur aux droits
qu'il prétendait avoir sur la moitié de la sgrie des Gaz-
Harnaud (St-Aubin-de-Baubigné, D-S.). Cet acte fut
passé en la cour de Mauléon par Yvon Delahaye, notaire.
Pierre fit en son nom et en celui de sa femme Jeanne
PETIT un échange, le lundi avant la St-Michel 1352,
avec Etienne Bretiaut ? d'une borderie appelée la Ser-
veitère ? à lui donnée à cause de sa femme par Geoffroy
Petit, son beau-père. Il était décédé avant le 5 mars 1387,
ayant eu pour enfants : 1° PIERRE, qui suit ; 2° JEANNE,
mariée à Jean Braher, qui fit avec son mari, le 5 mars
1387, une cession à son frère, où l'on voit que leur
père était décédé ; 3° PHILIPPE, épouse de Guillaume de
Rorthays, varlet, céda avec son mari, le 31 oct. 1388,
une portion de rente à son frère ; 4° PERNELLE, céda
à la même date à son frère 100 sous de rente qu'elle
percevait sur le village et tènement du Plessis-Moulins
(St-Pierre des Echaubroignes, D.-S.) pour des droits
en la succession de son père. (Chérin, 73. Dos. 1502.)
7. — Eacoubleau (Pierre d'), Ec., sgr do
Sourdis, reçut de ses sœurs et beaux-frères les di-
verses cessions citées plus haut. Il lit cession d'un droit
d'hommage, le mercredi avant la Toussaint 1388, à
René de Talensac (D. F. 9), et fit une acquisition en
1396. Il rendit hommage lige et prêta serment de
fidélité, aux grandes assises de Thouars, le 21 août
1402, a cause de sa femme Jeanne BOUQUIN, De de la
Borderie, fille de Jean, alias Guillaume, Ec., sgr de la
Faysilière, et de Jeanne de la Verge, à cause de cer-
tains domaines situés a Ligron, qui avaient appartenu à
son beau-père. Il passa plusieurs actes pendant les
années 1402, 1404 et 1409, et eut pour enfants:
1° LÉONNET, qui suit ; 2* JEAN, s' de Vougnet, qui
donna quittance à son frère le 8 déc. 1440, et décéda
sans hoirs; 3° MARIE, mariée à Jean, sgr de Maumus-
son. (Elle est omise par Chérin, mais on la trouve citée
dans les Carrés de d'Hozier et Moréri.)
8. — Escoubleau (Léonnet d'), Ec., sgr de
Sourdis, la Borderie, fut cité aux assises de Thouars le
7 nov. 1418, et rendit hommage de Sourdis, le 20 mai
1419, a Marguerite de Clisson, Ch". de Penthièvre. Il
fit aussi hommage le 30 avril 1427 à Richard de Bre-
tagne, CI' d'Etampes. Le 2 déc. 1427, il partagea avec
Jean Robin de la Tremblaye les biens de la succession
de Jean Bouquin, Cher., sgr de la Borderie, et de Guil-
laume Bouquin, sgr de la Faysilière, et lui abandonna
l'hôtel de la Faysilière et la Sirmondière? etc., etc.
(Chérin, 173. Robin.) Il paya, le 8 déc. 1440, 60 écus
d'or à son frère Jean, à cause de divers acquêts faits
par lui. Il était décédé le 10 juin 1447, jour où Etien-
nette D'OYRON, sa veuve, rendit aveu à Louis de la
Haye, sgr de Passavant, pour les terres de la Restière
(psse de Massay). Ils eurent pour enfants : 1° MAURICE,
qui suit; 2° JEAN, Ec., rappelé dans la cession faite à
Marie, sa sœur, le 24 juin 1460 ; 3° GUYONNE, mariée
à Huguet Baudet, Ec., qui le 1er mai 1452 fit un accord
avec Maurice, son beau-frère ; 4° CATHERINE, épousa le
29 déc. 1456 Jean Luillier, sgr de la Grelière ; 5° LOUISE,
épouse de Jacques Payen, Ec., sgr du Boys-Payen,
qui avec sa femme fit une cession le 24 juin 1460 à
leur sœur Marie ; 6° MARIE, femme de André Fourré,
procureur en Parlement avant le 24 juin 1460, date de
la cession précitée ; 7* JEANNE, citée dans l'acte de
1460, ainsi que 8° PÉRINELLE et 9° HÉLÈNE, 10° sans
doute, ETIENNE, qui était prieur de Mallièvre en 1503.
(A. H. P. 20.)
9— EacouMeau (Maurice d'), Chev., sgr de
Sourdis. la Borderie, Beauchesne, qu'il afferma le
23 oct. 1443, par acte passé devant Sapinault et Pilet,
not. à Mauléon, rendit hommage de Sourdis en 1449 et
1455. Il assista au mariage de sa sœur Catherine en
1456, et céda en 1460, avec sa sœur Louise et son
beau-frère Jacques du Boys-Payen, à leur autre sœur
Marie une rente qui provenait de leur mère Etiennette
d'Oyron. Il était décédé avant le 21 janv. 1472. Marié
vers 1450 à Guillemette FOUCHER, fille de Antoine,
Chev., sgr de Thénies, et de Marguerite de Chasteau-
briand, il en eut : 1° JEAN, qui suit ; 2* PIERRE, qui
fut chargé avec son frère aîné de la procuration de sa
mère le 22 juil. 1473 ; 3° ETIENNE, auteur de la branche
d'Alluye, § III ; 4* MAURICETTE, épouse vers 1480 de
Louis Symon, Ec., sgr du Mortier; 5* RENÉ, habitant la
sgrie de Bressuire, qui servit comme archer aux bans
de 1491 et 1492 ; 6° peut-être Louis, moine de l'abbaye
de St-Jouin, qui fit profession le 28 mars 1491, et était
en 1505 prieur de S'-Vincent de Tiffauges. (D. Chamard.)
Ce dernier était le 29 sept. 1529 tuteur des enfants mi-
neurs de Jean d'Escoubleau, son neveu (11e deg., § 1er).
10. — Escoubleau (Jean d'), Chev., sgr de
Sourdis, la Borderie, Beauchesne, etc., servait dans
la compagnie du Cte du Maine en 1460. Il reçut
aveu le 7 mai 1470, de Jean Payen, pour le quart du
village de la Coudraye-Audouys (pli. St-Pierre des
Echaubroignes) et fit hommage au Vte de Thouars, le
2 sept. de la même année, pour la terre de Beauchesne.
Il rendit aveu pour son fief de Sourdis le 29 avril 1479.
Au ban du Poitou de 1471, il servit comme homme
d'armes, et à ceux de 1491 et 1492, il fut accompagné de
deux archers. Il mourut le 29 déc. 1494. Il s'était marié
2 fois : 1° en 1485 à Françoise BUOR, fille de Jean, Ec.,
sgr de la Gerbaudière, et de Jeanne Fresneau, qui lui
donna : JEAN, qui suit. Il y eut aussi peut-être des filles
dont les prénoms sont inconnus, car Etienne d'Escoubleau
est dit tuteur de ses neveux et nièces ; 2* le 31 janv.
1491 il épousa (Pain et Barreau, not. à Mauléon) Ca-
therine DE TUSSEAU, De de la Saullaye, dont il n'eut
pas d'enfants. D'après le reg. de Malte, c'est elle qui
aurait eu JEAN, qui suit.
11. — Escoubleau (Jean d'), Chev., sgr de
Sourdis, fit offre de quatre hommages en 1508 à René
de Brosse, Cte de Penthièvre, et rendit aveu à Thouars,
pour son fief de Sourdis, le 5 mars de la même année.
Le 13 janv. 1519, il fit saisir la terre de la Lande-Buor
sur François Buor. Il fut assassiné, ainsi que Jacques
de la Pastellière, en 1527, par Rolland Baye, Ec., sgr
de la Gronnière. François d'Escoubleau, son fils, obtint
le 26 mai 1542 un arrêt du Parlement qui condamnait
le meurtrier à être décapité, et a fonder une chapelle
sur le lieu où étaient inhumés les deux défunts. Jean
avait épousé avec dispense de parenté au 4e degré, le
31 mai 1511, Françoise DE BRYE-SERRANT, fille de Fran-
çois, et de Marie Pierres, qui lui donna : 1° FRANÇOIS, qui
suit; 2° RENÉE, marié eu 1531 a René d'Aubigné, Ec.,
sgr de la Jousselinière.
12. — Escoubleau (François d'), Chev., sgr
de Sourdis, les Restières, était mineur en 1529. C'est
lui qui, avec Adrien de la Pastellière, fit rendre l'arrêt
du 26 mai 1542, condamnant le meurtrier de leurs
pères. Il fit divers hommages en 1537, 1541, 1545 et
1561. Etant mort en 1563, l'inventaire de ses biens fut
fait le 17 mars 1563, par Toussaint Loges, licencié ès
lois, et René Gomaye, greffier de la châtel nie des Deffends,
pays de Poitou. (Arch. nat. M. 619.) Il avait épousé le
29 déc. 1549 (Doumaige et Le Faye, not. à Mauléon)
Marguerite DE MELUN, fille de Léon, Ec., sgr de Courtery,
et de Catherine de Rorthays, dont il eut RENÉ, qui suit.
13. — Escoubleau (René d'), Chev., sgr
de Sourdis, Bon de Courtery, sgr de la Borderie, la
ESCOUBLEAU (d')
par lequel ce dernier renonçait en sa faveur aux droits
qu'il prétendait avoir sur la moitié de la sgrie des Gaz-
Harnaud (St-Aubin-de-Baubigné, D-S.). Cet acte fut
passé en la cour de Mauléon par Yvon Delahaye, notaire.
Pierre fit en son nom et en celui de sa femme Jeanne
PETIT un échange, le lundi avant la St-Michel 1352,
avec Etienne Bretiaut ? d'une borderie appelée la Ser-
veitère ? à lui donnée à cause de sa femme par Geoffroy
Petit, son beau-père. Il était décédé avant le 5 mars 1387,
ayant eu pour enfants : 1° PIERRE, qui suit ; 2° JEANNE,
mariée à Jean Braher, qui fit avec son mari, le 5 mars
1387, une cession à son frère, où l'on voit que leur
père était décédé ; 3° PHILIPPE, épouse de Guillaume de
Rorthays, varlet, céda avec son mari, le 31 oct. 1388,
une portion de rente à son frère ; 4° PERNELLE, céda
à la même date à son frère 100 sous de rente qu'elle
percevait sur le village et tènement du Plessis-Moulins
(St-Pierre des Echaubroignes, D.-S.) pour des droits
en la succession de son père. (Chérin, 73. Dos. 1502.)
7. — Eacoubleau (Pierre d'), Ec., sgr do
Sourdis, reçut de ses sœurs et beaux-frères les di-
verses cessions citées plus haut. Il lit cession d'un droit
d'hommage, le mercredi avant la Toussaint 1388, à
René de Talensac (D. F. 9), et fit une acquisition en
1396. Il rendit hommage lige et prêta serment de
fidélité, aux grandes assises de Thouars, le 21 août
1402, a cause de sa femme Jeanne BOUQUIN, De de la
Borderie, fille de Jean, alias Guillaume, Ec., sgr de la
Faysilière, et de Jeanne de la Verge, à cause de cer-
tains domaines situés a Ligron, qui avaient appartenu à
son beau-père. Il passa plusieurs actes pendant les
années 1402, 1404 et 1409, et eut pour enfants:
1° LÉONNET, qui suit ; 2* JEAN, s' de Vougnet, qui
donna quittance à son frère le 8 déc. 1440, et décéda
sans hoirs; 3° MARIE, mariée à Jean, sgr de Maumus-
son. (Elle est omise par Chérin, mais on la trouve citée
dans les Carrés de d'Hozier et Moréri.)
8. — Escoubleau (Léonnet d'), Ec., sgr de
Sourdis, la Borderie, fut cité aux assises de Thouars le
7 nov. 1418, et rendit hommage de Sourdis, le 20 mai
1419, a Marguerite de Clisson, Ch". de Penthièvre. Il
fit aussi hommage le 30 avril 1427 à Richard de Bre-
tagne, CI' d'Etampes. Le 2 déc. 1427, il partagea avec
Jean Robin de la Tremblaye les biens de la succession
de Jean Bouquin, Cher., sgr de la Borderie, et de Guil-
laume Bouquin, sgr de la Faysilière, et lui abandonna
l'hôtel de la Faysilière et la Sirmondière? etc., etc.
(Chérin, 173. Robin.) Il paya, le 8 déc. 1440, 60 écus
d'or à son frère Jean, à cause de divers acquêts faits
par lui. Il était décédé le 10 juin 1447, jour où Etien-
nette D'OYRON, sa veuve, rendit aveu à Louis de la
Haye, sgr de Passavant, pour les terres de la Restière
(psse de Massay). Ils eurent pour enfants : 1° MAURICE,
qui suit; 2° JEAN, Ec., rappelé dans la cession faite à
Marie, sa sœur, le 24 juin 1460 ; 3° GUYONNE, mariée
à Huguet Baudet, Ec., qui le 1er mai 1452 fit un accord
avec Maurice, son beau-frère ; 4° CATHERINE, épousa le
29 déc. 1456 Jean Luillier, sgr de la Grelière ; 5° LOUISE,
épouse de Jacques Payen, Ec., sgr du Boys-Payen,
qui avec sa femme fit une cession le 24 juin 1460 à
leur sœur Marie ; 6° MARIE, femme de André Fourré,
procureur en Parlement avant le 24 juin 1460, date de
la cession précitée ; 7* JEANNE, citée dans l'acte de
1460, ainsi que 8° PÉRINELLE et 9° HÉLÈNE, 10° sans
doute, ETIENNE, qui était prieur de Mallièvre en 1503.
(A. H. P. 20.)
9— EacouMeau (Maurice d'), Chev., sgr de
Sourdis. la Borderie, Beauchesne, qu'il afferma le
23 oct. 1443, par acte passé devant Sapinault et Pilet,
not. à Mauléon, rendit hommage de Sourdis en 1449 et
1455. Il assista au mariage de sa sœur Catherine en
1456, et céda en 1460, avec sa sœur Louise et son
beau-frère Jacques du Boys-Payen, à leur autre sœur
Marie une rente qui provenait de leur mère Etiennette
d'Oyron. Il était décédé avant le 21 janv. 1472. Marié
vers 1450 à Guillemette FOUCHER, fille de Antoine,
Chev., sgr de Thénies, et de Marguerite de Chasteau-
briand, il en eut : 1° JEAN, qui suit ; 2* PIERRE, qui
fut chargé avec son frère aîné de la procuration de sa
mère le 22 juil. 1473 ; 3° ETIENNE, auteur de la branche
d'Alluye, § III ; 4* MAURICETTE, épouse vers 1480 de
Louis Symon, Ec., sgr du Mortier; 5* RENÉ, habitant la
sgrie de Bressuire, qui servit comme archer aux bans
de 1491 et 1492 ; 6° peut-être Louis, moine de l'abbaye
de St-Jouin, qui fit profession le 28 mars 1491, et était
en 1505 prieur de S'-Vincent de Tiffauges. (D. Chamard.)
Ce dernier était le 29 sept. 1529 tuteur des enfants mi-
neurs de Jean d'Escoubleau, son neveu (11e deg., § 1er).
10. — Escoubleau (Jean d'), Chev., sgr de
Sourdis, la Borderie, Beauchesne, etc., servait dans
la compagnie du Cte du Maine en 1460. Il reçut
aveu le 7 mai 1470, de Jean Payen, pour le quart du
village de la Coudraye-Audouys (pli. St-Pierre des
Echaubroignes) et fit hommage au Vte de Thouars, le
2 sept. de la même année, pour la terre de Beauchesne.
Il rendit aveu pour son fief de Sourdis le 29 avril 1479.
Au ban du Poitou de 1471, il servit comme homme
d'armes, et à ceux de 1491 et 1492, il fut accompagné de
deux archers. Il mourut le 29 déc. 1494. Il s'était marié
2 fois : 1° en 1485 à Françoise BUOR, fille de Jean, Ec.,
sgr de la Gerbaudière, et de Jeanne Fresneau, qui lui
donna : JEAN, qui suit. Il y eut aussi peut-être des filles
dont les prénoms sont inconnus, car Etienne d'Escoubleau
est dit tuteur de ses neveux et nièces ; 2* le 31 janv.
1491 il épousa (Pain et Barreau, not. à Mauléon) Ca-
therine DE TUSSEAU, De de la Saullaye, dont il n'eut
pas d'enfants. D'après le reg. de Malte, c'est elle qui
aurait eu JEAN, qui suit.
11. — Escoubleau (Jean d'), Chev., sgr de
Sourdis, fit offre de quatre hommages en 1508 à René
de Brosse, Cte de Penthièvre, et rendit aveu à Thouars,
pour son fief de Sourdis, le 5 mars de la même année.
Le 13 janv. 1519, il fit saisir la terre de la Lande-Buor
sur François Buor. Il fut assassiné, ainsi que Jacques
de la Pastellière, en 1527, par Rolland Baye, Ec., sgr
de la Gronnière. François d'Escoubleau, son fils, obtint
le 26 mai 1542 un arrêt du Parlement qui condamnait
le meurtrier à être décapité, et a fonder une chapelle
sur le lieu où étaient inhumés les deux défunts. Jean
avait épousé avec dispense de parenté au 4e degré, le
31 mai 1511, Françoise DE BRYE-SERRANT, fille de Fran-
çois, et de Marie Pierres, qui lui donna : 1° FRANÇOIS, qui
suit; 2° RENÉE, marié eu 1531 a René d'Aubigné, Ec.,
sgr de la Jousselinière.
12. — Escoubleau (François d'), Chev., sgr
de Sourdis, les Restières, était mineur en 1529. C'est
lui qui, avec Adrien de la Pastellière, fit rendre l'arrêt
du 26 mai 1542, condamnant le meurtrier de leurs
pères. Il fit divers hommages en 1537, 1541, 1545 et
1561. Etant mort en 1563, l'inventaire de ses biens fut
fait le 17 mars 1563, par Toussaint Loges, licencié ès
lois, et René Gomaye, greffier de la châtel nie des Deffends,
pays de Poitou. (Arch. nat. M. 619.) Il avait épousé le
29 déc. 1549 (Doumaige et Le Faye, not. à Mauléon)
Marguerite DE MELUN, fille de Léon, Ec., sgr de Courtery,
et de Catherine de Rorthays, dont il eut RENÉ, qui suit.
13. — Escoubleau (René d'), Chev., sgr
de Sourdis, Bon de Courtery, sgr de la Borderie, la
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