Titre : Les Ailes : journal hebdomadaire de la locomotion aérienne / directeur, rédacteur en chef, Georges Houard
Éditeur : [s.n. ?] (Paris)
Date d'édition : 1936-04-23
Contributeur : Houard, Georges (1893-1964). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326846379
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 12981 Nombre total de vues : 12981
Description : 23 avril 1936 23 avril 1936
Description : 1936/04/23 (A16,N775). 1936/04/23 (A16,N775).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6555215g
Source : Musée Air France, 2013-273367
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 28/10/2013
N" 775 - 23-4-36 — PACE 12
y Il
LES AILBS
On constatera que si les N&' 2 et 86
(Hobineau et « P.C.C.C. ») ont le plus
faible écart vertical entre les deux ailes
ce sont eux aussi qui ont le moindre re-
couvrement. Par contre, le NG 26 (Edouard
Joly), qui a le plus fort recouvrement a
aussi l'écart le plus élevé. Ceci coinpen-
se-t-il cela? La « sortie > de la fente
manche à fond en arrière, n'est, sur ces
appareils, jamais inférieure à 20 cm. et
atteint, pour deux d'entre eux, 25 cm.
Tout cela est, répétons-le, hypothèse
plausible, mais hypothèse. Ce qu'il nous
faut, c'est une certitude. Il faut placer un
« Pou » dans les conditions de 1 accident,
rechercher l'écart d'ailes et le recouvre-
ment supposés dangereux et voir si, effec-
tivement, ils produisent le piqué. S'il en
est ainsi, on sera fixé et, par corrections
successives, on pourra déterminer égale-
ment les positions d'ailes à partir desquel-
les le phenomène cesse de se produire. Il
n'est pas question, naturellement, de pro-
céder à cette expérimentation en vol, mais
avec un « Pou » en grandeur et un pilote
à bord, à la soufflerie de Chalais-Meudon.
Ce sont ces essais à Chalais-Meudon que
nous demandons instamment au Ministère
de l'Air d'entreprendre le plus vite possi-
ble et qui seuls, éclaireront définitivement
la question « Pou-du-Ciel ».
L'opinion de Mignet
L'article qu'on vient de lire était composé
quand nous en avons reçu un d'Henri Mi-
gnet. Nous le publierons jeudi. Disons sim-
plement, aujourd'hui, qu'il confirme l'hypo-
thèse que nous venons d'exposer. Mignet con-
clut en demandant, avec Les Ailes, que des
essais soient taits sans retard, avec un appa-
reil en grandeur, à la soufflerie de Chalais-
Meudon, pour déterminer, sans discussion
possible, les conditions dans lesquelles un
« Pou,. est susceptible de s'engager. Lui tota-
lise plus de 200 heures sur les appareils de
sa formule et n'a jamais constaté de tendance
au piqué.
* MAURICE LENOIR, l'un des dix experts
de l'A.F.A., chef-nUote de l'Aéro-Club de Pi-
canlie. vient de réceptionner un nouveau « Pou-
dn-Ciel ». Il s'agit de celui de M. Edouard
IJhaille, à Amiens.
C'est un « Pou. Mignet 100 pour 100, équipé
du moteur Aubier-ct-Dunne, 3 cylindres, 27 CV.
Commandes rigides. Train d'atterrissage Lam-
bert.
Maurice Lenoir a d'abord effectué deux
ïisjnes droites avec bonds. L'appareil répon-
dant bien en profondeur et en direction, le
pilote a effectué un tour de piste d'une durée
de dix minutes.
Le centrage est à 70 cm. L'appareil révèle
une tendance à piquer et à virer sur la droite.
L'aile avant sera avancée de 2 cm. pour situer
le centrage à 72 cm. Le manche sera déplacé
vers la gauche de 5 cm. environ pour obtenir
la ligne droite.
Le moteur est utilisé à 1.400 tours alors que
le régime maximum est de 1.600 tours.
Les cotes d'ailes et de carlingue, conclut
Maurice Lenoir dans son rapport, devront être
reprises. Mais l'appareil petit, dès maintenant,
voter sans inconvénient.
♦♦♦ HENRI MIGNET et Madame sont pas-
sés, ta semaine dernière, au terrain de Nice-
La Californie. Une petite escadrille de « Pou-
du-Ciel » leur fut présentée, ainsi que le nou-
veau moteur F. L. de M. Franz Lefèvre. Sur
son « Pou » équipé de ce moteur, Jean Colli
a effectué, devant Mignet, une très belle dé-
monstration de décollage rapide et de mania-
bilité. « Le moteur Fi., a déclaré Mignet, est
très bien réalisé, et Colli est un pilote de
grande classe. »
Mignet a volé lui-même sur le « Pou » du
« P.C.C.C. » (le NI 86). Sur ce c Pou », Edward
Uret, le touriste connu, a fait une magnifique
exhibition, accompagné en vol par Colli, celui-
ci sur un SFAN.
♦♦♦ A FLERS (Nord), les membres du Club
d'Avions Légers des Flandres n'étaient pas très
enthousiastes pour la formule Mignet, ce qui
est compréhensible, puisqu'ils ont, eux, la
possibilité d'utiliser des avions de grande
classe. Ils redoutaient surtout de « voir leurs
amis s'embarquer, sans expérience, sur des
engins plus ou moins bien construits ».
Il faut, cependant, rendre au C. A. L. F. cet
hommage qu'il suit avec le plus grand intérêt
les efforts de M. Fauvarque et applaudit à ses
succès. M. Fauvarque, après quelques heures
de double commande, a mis au point, avec
persévérance, un c Pou-du-Ciel », parfaite-
ment construit. Après avoir complété son en-
traînement à La Brayelle, M. Fauvarque a
amené, en vol, son appareil à Flers où il fut
accueilli cordialement par le C. A. L. F.
Aujourd'hui, le « Pou » de M. Fauvarque,
qui compte plus de vingt-cinq heures de vol,
abrite ses ailes dans le hangar du club, et uti-
lise le terrain de Fiers, comme les autres
avions.
♦♦♦ A REETH, près d'Anvers (Belgique),
cinq enthousiastes de la formule Mignet ont
construit un « Pou »• Cette association est
composée de trois mécaniciens, d'un menuisier
et d'un vicaire, l'Abbé Fr. Vanhamme. Le
« Pou » de Reeth n'attend plus qu'un moteur
pour commencer ses essais.
♦♦♦ A NOUMEA (Nouvelle-Calédonie), le
e Pou-du-Ciel » construit par M. Tunica, avec
la collaboration de M. E. de Hensch, a été
essayé sur le terrain le plus favorable qu'on
ait trouvé dans les environs et qui est situé
à. 75 km. de la ville! Terrain très beau d'ail-
leurs, constitué par un marais, asséché dix
mois de l'année, long de plusieurs kilomètres
et large de 800 mètres.
Après dix heures de lignes droites qui per-
mirent de roder le moteur, et au cours des-
quelles des bonds de 50 à 250 mètres furent
réalisés, on décida de tenter le premier vol
véritable. Hélas! en voulant remettre en mar-
che sa voiture à la manivelle, pour la déplacer
sur le lieu même des essais, juste avant cette
tentative, M. Tunica fut victime d'un retour
qui lui brisa l'avant-bras. Il y en avait pour
un mois de repos!
M. Tunica n'attendit pas d'être rétabli pour
reprendre ses essais. Un beau jour, avec son
bras en écharpe, il prit place dans la carlingue,
et, un Canaque ayant mis l'hélice en route, il
décolla franchement et monta à une cinquan-
taine de mètres. L'atterrissage fut normal. Un
deuxième essai se termina par un atterrissage
un peu dur, et la roulette arrière fut faussée.
Quelque temps plus tard, M. Tunica, son
bras étant alors raccommodé, voulut repartir :
une roue se coinça et l'appareil se mit en
pylône. L'hélice, venue de France, fut brisée.
Elle fut remplacée depuis par une autre, cons-
truite à Nouméa.
Nous attendons maintenant des nouvelles du
« Pou » néocalédonien, que M. Tunica avait
la ferme intention de réceptionner dans les
premiers jours de mars dernier.
Signalons que le « Pou » de M. Tunica est
pourvu d'une commande doublée : une rigide,
une par câble. Pour celle-ci, le sandow avant
a été remplacé par un ressort au bord de fuite,
système presque généralisé sur les c Pou »
anglais. L'atterrisseur est inspiré du système
Lambert.
♦♦♦ EN AUSTRALIE, quelques « Pou-du-
Ciel » se construisent. L'un d'eux, terminé, a
même volé parfaitement à Melbourne. Ses évo-
lutions ont été diffusées par les cinémas d'Aus-
tralie. Malheureusement, le Ministère de l'Air
a suspendu ses essais parce que ceux-ci furent
entrepris sans que le constructeur en ait de-
mandé, au préalable, l'autorisation.
D'autre part, un Autrichien, M. Pelton, spé-
cialiste du vol sans moteur, achève un c Pou »
auquel il a apporté quelques modifications et
qui doit être essayé ces temps-ci. M. Pelton
en construira un autre avec aile avant canti-
lever sans hauban.
> LES GRANDES COMPETITIONS DE 1936
Déjà TRENTE-SIX engagements
pour les "Douze Heures d'Angers"
Vingt-deux avions légers dans la Coupe des "Ailes"
c
'EST un très brillant succès d'engagements
qu'ont connu les « Douze Heures d'An-
gers ». Jamais encore la grande épreuve
de l'Aéro-Club de l'Ouest n'avait réuni, à la
clôture des inscriptions à droit simple, autant
d'inscriptions.
C'est, en effet, trente-six appareils qui, à ce
jour, sont régulièrement inscrits, le plus grand
nombre dans la catégorie des 2 litres, celle qui,
outre les prix en espèces, est dotée de la Coupe
des Ailes. L'intérêt puissant de l'Aviation Lé-
gère est ainsi démontré une fois de plus. Nous
ne croyons pas être exagérément optimistes,
en disant que, à la clôture définitive des en-
gagements, on comptera plus de cinquante ins-
criptions.
La liste, à ce jour, s'établit comme suit :
CATEGORIE 8 LITRES
1. Avion Maillet (M. de Saint-Anne), moteur
Régnier.
2. Avion X. (Mme Maryse Bastié).
3. Avion Caudron-c Rafale » (M. Maurice Ar-
noux), moteur Renault.
4. Avion Caudron (Mme Dupeyron), moteur
Renault.
5. Avion Caudron (M. Gilbert Denis), moteur
Renault.
6. Avion Caudron-c Rafale » (M. Trivier),
moteur Renault.
7. Avion Caudron (Mlle Régina Wincza), mo-
teur Renault.
8. Avion Maillet (Mme Claire Roman).
CATEGORIE 4 LITRES
1. Avion Mauboussin - « Corsaire i,, moteur
Salmson.
2. Avion Comper-« Swift » (M. Victor Giroud),
moteur Pobjoy 75 CV,
3. Avion Fauvel AV-14.
4. Avion Payen c Flèche-Volante », moteur
Train.
5. Avion Comper-c Swift » (M. Paul Lemée),
moteur Pobjoy.
6. Avion Comper-c Swift » (M. Bellon), mo-
, teur Pobjoy.
CATEGORIE 2 LITRES
1. Avion Mauboussin, type c Hémiptère »,
moteur Train.
2. Avion « Pou-du-Ciel » (M. Jean Tuilliez),
moteur Ava 27/30 CV.
3. Avion « Baby »-Praga (M. Edouard Ga-
ranti), moteur Praga 36 CV.
4. Avion Tipsy S-2. moteur Ava 27/30 CV.
5. Avion Tipsy S-2. moteur Ava 27/30 CV.
6. Avion c Pou-du-Ciel » (M. Pierre Equiau),
moteur Mengin 25 CV.
7. Avion « L.G.-4 » (M. Léon Gateu), moteur
Mengin 35 CV.
8. Avion Farman « Moustique ».
9. Avion Farman « Moustique ».
10. Avion Farman < Moustiques.
11. Avion Farman «Moustique».
12. Avion Farman « Moustique ».
13. Avion Tipsy (M. Yves Vautier), moteur Ava
27/30 CV.
14. Avion G.M.P., moteur G.M.P.
15. Avion Adam, type 6.
16. Avion « Pou-du-Ciel » (M. Rochet), moteur
Mengin.
17. Avion Bassou F-B.20, moteur Mengin.
18. Avion Bassou F-B.30, moteur Mengin.
18. Avion Carmier (M. Carmier), moteur Ava.
20. Avion « Alcya » :
21. Avion S.F.C.A.
22. Avion Peyret- c Taupin », moteur Mengin
, 35 CV.
Parmi ces inscriptions, certaines appellent
quelques remarques.
D'abord, en ce qui concerne la catégorie des
8 litres, constatons que personne, en dehors
de la S.F.C.A.-Régnier, ne songe à courir
J'épreuve avec un autre matériel que -celui de
Caudron-Renault. Le handicap est trop lourd
à remonter. et l'étude et la construction d'un
avion nouveau, avec un moteur de 8 litres,
sont trop coûteuses pour décider des construc-
teurs trop peu sportifs à les entreprendre.
Dans la catégorie des 4 litres, il y a deux
nouveautés : c l'aile volante », de Charles
Fauvel, qui a fait ses preuves, et l'étrange
« flèche volante » de Payen, qui est pratique-
ment terminée à l'atelier, mais dont seuls les
essais révéleront les possibilités. Il est proba-
ble que dans cette catégorie, les semaines qui
vont suivre amèneront d'autres engagements :
la série des moteurs AD-9 de Salmson (40. 60,
80 CV). sont des 4 litres avec lesquels on peut
réaliser, pour les c 12 Heures », des ensembles
avion-moteur intéressants.
C'est évidemment dans la catégorie des 2 li-
tres que se trouve, avec les plus grandes
nouveautés, le plus gros effort : résultat de
l'esprit « Aviation nouvelle » et aussi de la
possibilité de construire, sans grosses dépenses,
des petites machines intéressantes. Outre des
appareils désormais éprouvés, comme le Tipsy,
le « Moustique » Farman, le Peyret-c Taupin »,
le « Baby »-Praga, on nous annonce des appa-
reils nouveaux.
Ce sont d'abord les avions G.M.P. et Adam,
sur lesquels, avouons-le, nous n'avons aucune
précision. C'est le petit monoplan à aile sur-
baissée que termine le Groupe Alcya, le mono-
place et le biplace de Bassou — le premier
vient de commencer ses essais, — l'appareil
de Léon Gateu et celui de Carmier. Léon Gateu
est une vieille connaissance des Ailes : il pré-
senta, il y a dix ans, à Vauyille, un petit
biplan de sa construction, équipé d'un Salin-
son 25 CV., avec lequel il fit de beaux vols.
Quant à Carmier, on n'a pas oublié l'intéres-
sant monoplan, à moteur Anzani 25 CV., qu'il
présenta au premier Tour de France des
Avionnettes, organisé en 1924, par l'Associa-
tion Française Aérienne et Les Ailes. Il avait
couvert, avec succès, l'étape Paris-Clermont-
Ferrand, mais, au départ tio cette escale, il
brisa son appareil. Carmier retrouvera aux
« Douze Heures d'Angers » le « Moustique »
Farman modernisé et qui, dans sa forme ori-
ginale, était déjà, il y a dix ans, son concur-
rent direct. La S.F.C.A., qui a acquis la licence
du Peyret, a engagé un autre appareil qu'elle
n'a pas désigné et qui, par conséquent, ne sera
peut-être pas un second Peyret-c Taupin ».
Enfin, en tête de liste, se trouve le curieux
« hémiptère » de Pierre Mauboussin, dont les
premiers essais sont attendus impatiemment.
L'étranger, cette fois encore, paraît bouder
l'épreuve. L'industrie anglaise sera cependant
représentée par des c omper-c Swift », et
l'Aviation belge, par les « Tipsy » qui, d'ici-là,
seront construits sous licence en France. Seule,
la Tchécoslovaquie courra sous son pavillon,
avec le « Baby »-Praga de M. Edouard Garand,
moniteur et chef-pilote de l'Union des Sous-
Officiers de Réserve de l'Armée de l'Air, et qui
aura peut-être pour passagère Mme Odette de
la Villatte. L'appareil utilisé est déjà désigné:
immatricule OK-PGD, c'est un type F-114, à
moteur Praga 36 CV., appartenant aux cons-
tructeurs.
D'ici la clôture définitive des engagements
(à droits majorés, puis à droits doubles), d'au-
tres inscriptions viendront allonger la liste
déjà imposante que nous avons publiée ci-
dessus. Les « Douze, Heures d'Angers » sont
une trop belle occasion de consacrer d'une fa-
çon retentissante la valeur des réalisations
industrielles et des formules nouvelles, pour
que d'autres constructeurs ne la saisissent pas.
Toute l'Aviation Légère sera à Angers le 5 juil-
let prochain.
iirtiiiiiiiiiiiiiiiiiKiiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiftiiiiiiiiiiiiiii
MOTEUR MENGIN
33 CV. - 1936
AU COMPTANT ET
VENTE A CREDIT
HOCHET
151. Faub. Poissonnière, PARIS (IX-)
:,.;..-f;V
flf AVIATION NOUVELLE
Gif AVIATION LEGERE
L'HELICE «CENTRALE»
est montée sur les trois prototypes en cours
de mise au point par Henri MIGNET et sur
le a Pou » de ROBtNEAU
•
A. VALENTIN
cr le spécialiste des petites puissances »
constructeur d'hélices depuis 1910
CE DORDIVES(Loiret) Téiéph. : 8
HOMOLOGATION C3
G Les essais d'homologation du moteur MENGIN,
type 2-Y.N. 35 CV., 1936, ont été eHectués avec le
, Surcarburant" AZllB",
et l'huile pour moteurs
"OLAZllB"
des
y Etablissements DESMARAIS Frères jj
fifoteur JfaiiersJJawie
810 cm3 type
"Jaguar
Puissance
à ill""Il~
l'arbre
d'hélice
27 CV
à 1,600 t.
R Supérieurement réalisés, d'un fonctionnement sûr, d'une endurance ■
y remarquable, dus à leur refroidissement très efficace et leur simplicité fl
n inhérente au deux-temps
| H inhérente au deux-temps 1
J cylindres "Jaguar"
I à cylindres en ligne, inversés, refroidissement par air sont I
I particulièrement désignés pour a Pou-du-Cie! a et Avions Légers I
8 Jj{oteursjfubiersjjuime SAINT - AM AHD-les-EAUX (Nord) I
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
IM.! JJIJiM..y.iII. n '.I.IUIJM 111 WJJ1 fl 1 JMI.MkWiMMHMHBBI
LES APPAREILS DE
RAVITAILLEMENT DE SECURITE
"RELLUMIT"
123. Avenue de Lutèce. 123"
LA GARENNE-COLOMBES. Seine.
tiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiiitiiiitiiimiiHiiiimiiiiimiiiii
Invention
une
nouvelle protégée par un brevet devient la
propriété exclusive de l'Inventeur. Pcni r savoir
comment procéder pour garantir, défendre
et exploiter une invention Usez le Manuel-
Guide adressé gratis auf demande par M.
BOETTCHKH, Office pour Brevets d'iaron-
tion, 23, rue La Boétie, Pari&
11111111111111111111111111 nmui 1111 1111111 III 11111111111111
y Il
LES AILBS
On constatera que si les N&' 2 et 86
(Hobineau et « P.C.C.C. ») ont le plus
faible écart vertical entre les deux ailes
ce sont eux aussi qui ont le moindre re-
couvrement. Par contre, le NG 26 (Edouard
Joly), qui a le plus fort recouvrement a
aussi l'écart le plus élevé. Ceci coinpen-
se-t-il cela? La « sortie > de la fente
manche à fond en arrière, n'est, sur ces
appareils, jamais inférieure à 20 cm. et
atteint, pour deux d'entre eux, 25 cm.
Tout cela est, répétons-le, hypothèse
plausible, mais hypothèse. Ce qu'il nous
faut, c'est une certitude. Il faut placer un
« Pou » dans les conditions de 1 accident,
rechercher l'écart d'ailes et le recouvre-
ment supposés dangereux et voir si, effec-
tivement, ils produisent le piqué. S'il en
est ainsi, on sera fixé et, par corrections
successives, on pourra déterminer égale-
ment les positions d'ailes à partir desquel-
les le phenomène cesse de se produire. Il
n'est pas question, naturellement, de pro-
céder à cette expérimentation en vol, mais
avec un « Pou » en grandeur et un pilote
à bord, à la soufflerie de Chalais-Meudon.
Ce sont ces essais à Chalais-Meudon que
nous demandons instamment au Ministère
de l'Air d'entreprendre le plus vite possi-
ble et qui seuls, éclaireront définitivement
la question « Pou-du-Ciel ».
L'opinion de Mignet
L'article qu'on vient de lire était composé
quand nous en avons reçu un d'Henri Mi-
gnet. Nous le publierons jeudi. Disons sim-
plement, aujourd'hui, qu'il confirme l'hypo-
thèse que nous venons d'exposer. Mignet con-
clut en demandant, avec Les Ailes, que des
essais soient taits sans retard, avec un appa-
reil en grandeur, à la soufflerie de Chalais-
Meudon, pour déterminer, sans discussion
possible, les conditions dans lesquelles un
« Pou,. est susceptible de s'engager. Lui tota-
lise plus de 200 heures sur les appareils de
sa formule et n'a jamais constaté de tendance
au piqué.
* MAURICE LENOIR, l'un des dix experts
de l'A.F.A., chef-nUote de l'Aéro-Club de Pi-
canlie. vient de réceptionner un nouveau « Pou-
dn-Ciel ». Il s'agit de celui de M. Edouard
IJhaille, à Amiens.
C'est un « Pou. Mignet 100 pour 100, équipé
du moteur Aubier-ct-Dunne, 3 cylindres, 27 CV.
Commandes rigides. Train d'atterrissage Lam-
bert.
Maurice Lenoir a d'abord effectué deux
ïisjnes droites avec bonds. L'appareil répon-
dant bien en profondeur et en direction, le
pilote a effectué un tour de piste d'une durée
de dix minutes.
Le centrage est à 70 cm. L'appareil révèle
une tendance à piquer et à virer sur la droite.
L'aile avant sera avancée de 2 cm. pour situer
le centrage à 72 cm. Le manche sera déplacé
vers la gauche de 5 cm. environ pour obtenir
la ligne droite.
Le moteur est utilisé à 1.400 tours alors que
le régime maximum est de 1.600 tours.
Les cotes d'ailes et de carlingue, conclut
Maurice Lenoir dans son rapport, devront être
reprises. Mais l'appareil petit, dès maintenant,
voter sans inconvénient.
♦♦♦ HENRI MIGNET et Madame sont pas-
sés, ta semaine dernière, au terrain de Nice-
La Californie. Une petite escadrille de « Pou-
du-Ciel » leur fut présentée, ainsi que le nou-
veau moteur F. L. de M. Franz Lefèvre. Sur
son « Pou » équipé de ce moteur, Jean Colli
a effectué, devant Mignet, une très belle dé-
monstration de décollage rapide et de mania-
bilité. « Le moteur Fi., a déclaré Mignet, est
très bien réalisé, et Colli est un pilote de
grande classe. »
Mignet a volé lui-même sur le « Pou » du
« P.C.C.C. » (le NI 86). Sur ce c Pou », Edward
Uret, le touriste connu, a fait une magnifique
exhibition, accompagné en vol par Colli, celui-
ci sur un SFAN.
♦♦♦ A FLERS (Nord), les membres du Club
d'Avions Légers des Flandres n'étaient pas très
enthousiastes pour la formule Mignet, ce qui
est compréhensible, puisqu'ils ont, eux, la
possibilité d'utiliser des avions de grande
classe. Ils redoutaient surtout de « voir leurs
amis s'embarquer, sans expérience, sur des
engins plus ou moins bien construits ».
Il faut, cependant, rendre au C. A. L. F. cet
hommage qu'il suit avec le plus grand intérêt
les efforts de M. Fauvarque et applaudit à ses
succès. M. Fauvarque, après quelques heures
de double commande, a mis au point, avec
persévérance, un c Pou-du-Ciel », parfaite-
ment construit. Après avoir complété son en-
traînement à La Brayelle, M. Fauvarque a
amené, en vol, son appareil à Flers où il fut
accueilli cordialement par le C. A. L. F.
Aujourd'hui, le « Pou » de M. Fauvarque,
qui compte plus de vingt-cinq heures de vol,
abrite ses ailes dans le hangar du club, et uti-
lise le terrain de Fiers, comme les autres
avions.
♦♦♦ A REETH, près d'Anvers (Belgique),
cinq enthousiastes de la formule Mignet ont
construit un « Pou »• Cette association est
composée de trois mécaniciens, d'un menuisier
et d'un vicaire, l'Abbé Fr. Vanhamme. Le
« Pou » de Reeth n'attend plus qu'un moteur
pour commencer ses essais.
♦♦♦ A NOUMEA (Nouvelle-Calédonie), le
e Pou-du-Ciel » construit par M. Tunica, avec
la collaboration de M. E. de Hensch, a été
essayé sur le terrain le plus favorable qu'on
ait trouvé dans les environs et qui est situé
à. 75 km. de la ville! Terrain très beau d'ail-
leurs, constitué par un marais, asséché dix
mois de l'année, long de plusieurs kilomètres
et large de 800 mètres.
Après dix heures de lignes droites qui per-
mirent de roder le moteur, et au cours des-
quelles des bonds de 50 à 250 mètres furent
réalisés, on décida de tenter le premier vol
véritable. Hélas! en voulant remettre en mar-
che sa voiture à la manivelle, pour la déplacer
sur le lieu même des essais, juste avant cette
tentative, M. Tunica fut victime d'un retour
qui lui brisa l'avant-bras. Il y en avait pour
un mois de repos!
M. Tunica n'attendit pas d'être rétabli pour
reprendre ses essais. Un beau jour, avec son
bras en écharpe, il prit place dans la carlingue,
et, un Canaque ayant mis l'hélice en route, il
décolla franchement et monta à une cinquan-
taine de mètres. L'atterrissage fut normal. Un
deuxième essai se termina par un atterrissage
un peu dur, et la roulette arrière fut faussée.
Quelque temps plus tard, M. Tunica, son
bras étant alors raccommodé, voulut repartir :
une roue se coinça et l'appareil se mit en
pylône. L'hélice, venue de France, fut brisée.
Elle fut remplacée depuis par une autre, cons-
truite à Nouméa.
Nous attendons maintenant des nouvelles du
« Pou » néocalédonien, que M. Tunica avait
la ferme intention de réceptionner dans les
premiers jours de mars dernier.
Signalons que le « Pou » de M. Tunica est
pourvu d'une commande doublée : une rigide,
une par câble. Pour celle-ci, le sandow avant
a été remplacé par un ressort au bord de fuite,
système presque généralisé sur les c Pou »
anglais. L'atterrisseur est inspiré du système
Lambert.
♦♦♦ EN AUSTRALIE, quelques « Pou-du-
Ciel » se construisent. L'un d'eux, terminé, a
même volé parfaitement à Melbourne. Ses évo-
lutions ont été diffusées par les cinémas d'Aus-
tralie. Malheureusement, le Ministère de l'Air
a suspendu ses essais parce que ceux-ci furent
entrepris sans que le constructeur en ait de-
mandé, au préalable, l'autorisation.
D'autre part, un Autrichien, M. Pelton, spé-
cialiste du vol sans moteur, achève un c Pou »
auquel il a apporté quelques modifications et
qui doit être essayé ces temps-ci. M. Pelton
en construira un autre avec aile avant canti-
lever sans hauban.
> LES GRANDES COMPETITIONS DE 1936
Déjà TRENTE-SIX engagements
pour les "Douze Heures d'Angers"
Vingt-deux avions légers dans la Coupe des "Ailes"
c
'EST un très brillant succès d'engagements
qu'ont connu les « Douze Heures d'An-
gers ». Jamais encore la grande épreuve
de l'Aéro-Club de l'Ouest n'avait réuni, à la
clôture des inscriptions à droit simple, autant
d'inscriptions.
C'est, en effet, trente-six appareils qui, à ce
jour, sont régulièrement inscrits, le plus grand
nombre dans la catégorie des 2 litres, celle qui,
outre les prix en espèces, est dotée de la Coupe
des Ailes. L'intérêt puissant de l'Aviation Lé-
gère est ainsi démontré une fois de plus. Nous
ne croyons pas être exagérément optimistes,
en disant que, à la clôture définitive des en-
gagements, on comptera plus de cinquante ins-
criptions.
La liste, à ce jour, s'établit comme suit :
CATEGORIE 8 LITRES
1. Avion Maillet (M. de Saint-Anne), moteur
Régnier.
2. Avion X. (Mme Maryse Bastié).
3. Avion Caudron-c Rafale » (M. Maurice Ar-
noux), moteur Renault.
4. Avion Caudron (Mme Dupeyron), moteur
Renault.
5. Avion Caudron (M. Gilbert Denis), moteur
Renault.
6. Avion Caudron-c Rafale » (M. Trivier),
moteur Renault.
7. Avion Caudron (Mlle Régina Wincza), mo-
teur Renault.
8. Avion Maillet (Mme Claire Roman).
CATEGORIE 4 LITRES
1. Avion Mauboussin - « Corsaire i,, moteur
Salmson.
2. Avion Comper-« Swift » (M. Victor Giroud),
moteur Pobjoy 75 CV,
3. Avion Fauvel AV-14.
4. Avion Payen c Flèche-Volante », moteur
Train.
5. Avion Comper-c Swift » (M. Paul Lemée),
moteur Pobjoy.
6. Avion Comper-c Swift » (M. Bellon), mo-
, teur Pobjoy.
CATEGORIE 2 LITRES
1. Avion Mauboussin, type c Hémiptère »,
moteur Train.
2. Avion « Pou-du-Ciel » (M. Jean Tuilliez),
moteur Ava 27/30 CV.
3. Avion « Baby »-Praga (M. Edouard Ga-
ranti), moteur Praga 36 CV.
4. Avion Tipsy S-2. moteur Ava 27/30 CV.
5. Avion Tipsy S-2. moteur Ava 27/30 CV.
6. Avion c Pou-du-Ciel » (M. Pierre Equiau),
moteur Mengin 25 CV.
7. Avion « L.G.-4 » (M. Léon Gateu), moteur
Mengin 35 CV.
8. Avion Farman « Moustique ».
9. Avion Farman « Moustique ».
10. Avion Farman < Moustiques.
11. Avion Farman «Moustique».
12. Avion Farman « Moustique ».
13. Avion Tipsy (M. Yves Vautier), moteur Ava
27/30 CV.
14. Avion G.M.P., moteur G.M.P.
15. Avion Adam, type 6.
16. Avion « Pou-du-Ciel » (M. Rochet), moteur
Mengin.
17. Avion Bassou F-B.20, moteur Mengin.
18. Avion Bassou F-B.30, moteur Mengin.
18. Avion Carmier (M. Carmier), moteur Ava.
20. Avion « Alcya » :
21. Avion S.F.C.A.
22. Avion Peyret- c Taupin », moteur Mengin
, 35 CV.
Parmi ces inscriptions, certaines appellent
quelques remarques.
D'abord, en ce qui concerne la catégorie des
8 litres, constatons que personne, en dehors
de la S.F.C.A.-Régnier, ne songe à courir
J'épreuve avec un autre matériel que -celui de
Caudron-Renault. Le handicap est trop lourd
à remonter. et l'étude et la construction d'un
avion nouveau, avec un moteur de 8 litres,
sont trop coûteuses pour décider des construc-
teurs trop peu sportifs à les entreprendre.
Dans la catégorie des 4 litres, il y a deux
nouveautés : c l'aile volante », de Charles
Fauvel, qui a fait ses preuves, et l'étrange
« flèche volante » de Payen, qui est pratique-
ment terminée à l'atelier, mais dont seuls les
essais révéleront les possibilités. Il est proba-
ble que dans cette catégorie, les semaines qui
vont suivre amèneront d'autres engagements :
la série des moteurs AD-9 de Salmson (40. 60,
80 CV). sont des 4 litres avec lesquels on peut
réaliser, pour les c 12 Heures », des ensembles
avion-moteur intéressants.
C'est évidemment dans la catégorie des 2 li-
tres que se trouve, avec les plus grandes
nouveautés, le plus gros effort : résultat de
l'esprit « Aviation nouvelle » et aussi de la
possibilité de construire, sans grosses dépenses,
des petites machines intéressantes. Outre des
appareils désormais éprouvés, comme le Tipsy,
le « Moustique » Farman, le Peyret-c Taupin »,
le « Baby »-Praga, on nous annonce des appa-
reils nouveaux.
Ce sont d'abord les avions G.M.P. et Adam,
sur lesquels, avouons-le, nous n'avons aucune
précision. C'est le petit monoplan à aile sur-
baissée que termine le Groupe Alcya, le mono-
place et le biplace de Bassou — le premier
vient de commencer ses essais, — l'appareil
de Léon Gateu et celui de Carmier. Léon Gateu
est une vieille connaissance des Ailes : il pré-
senta, il y a dix ans, à Vauyille, un petit
biplan de sa construction, équipé d'un Salin-
son 25 CV., avec lequel il fit de beaux vols.
Quant à Carmier, on n'a pas oublié l'intéres-
sant monoplan, à moteur Anzani 25 CV., qu'il
présenta au premier Tour de France des
Avionnettes, organisé en 1924, par l'Associa-
tion Française Aérienne et Les Ailes. Il avait
couvert, avec succès, l'étape Paris-Clermont-
Ferrand, mais, au départ tio cette escale, il
brisa son appareil. Carmier retrouvera aux
« Douze Heures d'Angers » le « Moustique »
Farman modernisé et qui, dans sa forme ori-
ginale, était déjà, il y a dix ans, son concur-
rent direct. La S.F.C.A., qui a acquis la licence
du Peyret, a engagé un autre appareil qu'elle
n'a pas désigné et qui, par conséquent, ne sera
peut-être pas un second Peyret-c Taupin ».
Enfin, en tête de liste, se trouve le curieux
« hémiptère » de Pierre Mauboussin, dont les
premiers essais sont attendus impatiemment.
L'étranger, cette fois encore, paraît bouder
l'épreuve. L'industrie anglaise sera cependant
représentée par des c omper-c Swift », et
l'Aviation belge, par les « Tipsy » qui, d'ici-là,
seront construits sous licence en France. Seule,
la Tchécoslovaquie courra sous son pavillon,
avec le « Baby »-Praga de M. Edouard Garand,
moniteur et chef-pilote de l'Union des Sous-
Officiers de Réserve de l'Armée de l'Air, et qui
aura peut-être pour passagère Mme Odette de
la Villatte. L'appareil utilisé est déjà désigné:
immatricule OK-PGD, c'est un type F-114, à
moteur Praga 36 CV., appartenant aux cons-
tructeurs.
D'ici la clôture définitive des engagements
(à droits majorés, puis à droits doubles), d'au-
tres inscriptions viendront allonger la liste
déjà imposante que nous avons publiée ci-
dessus. Les « Douze, Heures d'Angers » sont
une trop belle occasion de consacrer d'une fa-
çon retentissante la valeur des réalisations
industrielles et des formules nouvelles, pour
que d'autres constructeurs ne la saisissent pas.
Toute l'Aviation Légère sera à Angers le 5 juil-
let prochain.
iirtiiiiiiiiiiiiiiiiiKiiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiftiiiiiiiiiiiiiii
MOTEUR MENGIN
33 CV. - 1936
AU COMPTANT ET
VENTE A CREDIT
HOCHET
151. Faub. Poissonnière, PARIS (IX-)
:,.;..-f;V
flf AVIATION NOUVELLE
Gif AVIATION LEGERE
L'HELICE «CENTRALE»
est montée sur les trois prototypes en cours
de mise au point par Henri MIGNET et sur
le a Pou » de ROBtNEAU
•
A. VALENTIN
cr le spécialiste des petites puissances »
constructeur d'hélices depuis 1910
CE DORDIVES(Loiret) Téiéph. : 8
HOMOLOGATION C3
G Les essais d'homologation du moteur MENGIN,
type 2-Y.N. 35 CV., 1936, ont été eHectués avec le
, Surcarburant" AZllB",
et l'huile pour moteurs
"OLAZllB"
des
y Etablissements DESMARAIS Frères jj
fifoteur JfaiiersJJawie
810 cm3 type
"Jaguar
Puissance
à ill""Il~
l'arbre
d'hélice
27 CV
à 1,600 t.
R Supérieurement réalisés, d'un fonctionnement sûr, d'une endurance ■
y remarquable, dus à leur refroidissement très efficace et leur simplicité fl
n inhérente au deux-temps
| H inhérente au deux-temps 1
J cylindres "Jaguar"
I à cylindres en ligne, inversés, refroidissement par air sont I
I particulièrement désignés pour a Pou-du-Cie! a et Avions Légers I
8 Jj{oteursjfubiersjjuime SAINT - AM AHD-les-EAUX (Nord) I
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
IM.! JJIJiM..y.iII. n '.I.IUIJM 111 WJJ1 fl 1 JMI.MkWiMMHMHBBI
LES APPAREILS DE
RAVITAILLEMENT DE SECURITE
"RELLUMIT"
123. Avenue de Lutèce. 123"
LA GARENNE-COLOMBES. Seine.
tiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiiitiiiitiiimiiHiiiimiiiiimiiiii
Invention
une
nouvelle protégée par un brevet devient la
propriété exclusive de l'Inventeur. Pcni r savoir
comment procéder pour garantir, défendre
et exploiter une invention Usez le Manuel-
Guide adressé gratis auf demande par M.
BOETTCHKH, Office pour Brevets d'iaron-
tion, 23, rue La Boétie, Pari&
11111111111111111111111111 nmui 1111 1111111 III 11111111111111
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.44%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.44%.
- Auteurs similaires Mubārak Yuwākīm Mubārak Yuwākīm /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Mubārak Yuwākīm" or dc.contributor adj "Mubārak Yuwākīm")La chambre nuptiale du coeur : approches spirituelles et questionnements de l'Orient syriani / par Youakim Moubarac /ark:/12148/bpt6k3369835q.highres
"Opera minora". Tome 2 / Louis Massignon ; textes recueillis, classés et présentés, avec une bibliographie, par Y. Moubarac /ark:/12148/bpt6k3365763f.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 12/16
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6555215g/f12.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6555215g/f12.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6555215g/f12.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6555215g/f12.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6555215g
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6555215g
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6555215g/f12.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest