Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1916-03-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 mars 1916 05 mars 1916
Description : 1916/03/05 (N4,T1). 1916/03/05 (N4,T1).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6514168v
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 13/05/2013
MINISTÈRES DE LA GUERRE
(E.-M.-A., 5e BH,U)
ET DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 4
Paris, le 5 mars 1916.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Front occidental. — En dehors du secteur
de Verdun, rien ne se dessine clairement.
On annonce qu'une intense action de l'artil-
lerie anglaise se développe sur lYser. Il
se peut qu'une contre-attaque anglaise soit
imminente. — Daily Graphie, 3.3.
De Rotterdam : Entre Ypres et Arras se
livrent de violents combats. Les armées ad-
verses ont commencé une campagne active.
Tous les renseignements de Belgique s'ac-
cordent sur l'importance des préparatifs al-
lemands qui annoncent, une lutte sévère et
prolongée. — Daily Mail, 4.3.
D'Amsterdam aux Central News: Sui-
vant informations allemandes le Fort de
Vaux, détruit par des mortiers de 305, a été
évacué par les Français ; mais leur artille-
rie lourde en interdit l'accès aux Allemands.
Les Allemands ont concentré près de Buzy
90 000 hommes, qui, renforcés par des trou-
pes d'Argonne, reprendront l'offensive. -
Daily Express, 3.3.
Le nombre des canons pris à Verdun par
les Allemands est sensiblement inférieur au
total des pièces tombées, dans les mains des
Français en Champagne. Les pertes des Al-
lemands sont cinq fois supérieures à celles
de nos alliés. — Times, 3.3.
La côte du Poivre est formée par une se
rie de contreforts : l'ennemi a pris pied sur
la pente nord du premier d entre eux, mais
les crêtes de ces contreforts et la crête prin-
cipale sont solidement tenues par les trou-
pes françaises. — Times, 3.3.
Lundi soir, 222 trains de blessés avaient
plissé à Aix-la-Chapelle, et autant à Metz.
Le Kaiser et von Falkenhayn, retournant
en Allemagne, ont traversé Louvain mardi
soir, en automobile blindée. -Daily Ex-
press, 3.3.
Balkans. - Une partie du 1er régiment
grec d'artillerie de campagne, retiré de Ma-
cédoine, a débarqué le 18 février au Pirée,
venant d'Ecatérini. — Messager d'Athènes,
19.2.
Le 3e régiment de cavalerie, avec son co-
- lonel, prince André de Grèce, est arrivé le
20 février à Athènes, venant de Salonique,
par le chemin de fer de Larissa. - Néa H
méra, 20.2.
Guerre aérienne. - Au cours de leur raid
sur Smyrne, les aviateurs français ont épar-
gné la ville ; mais les forts ont été atteints,
particulièrement ceux du Nord-Ouest (Hau-
leurs des Jumeaux). Le grand stand de
l'aérodrome a été détruit. — Daily Mail, 3.3.
Sur mer. — L'ambassade anglaise a été
Informée de la capture du « Mœwe ». -
Washington Post, 6.2.
CRITIQUE DES OPERATIONS
Front occidental. — L'attaque des lignes
de Verdun représente l'effort maximum de
l'armée allemande dont l'objectif bien défini
était de briser sur ce point même le front
français. — Les Français sont certains
maintenant que la bataille de Verdun n'est
pas une attaque démonstrative ; s'il n'y a
pas eu, pendant ces huit jours et dans un
autre secteur, une pression analogue, c'est
parce que les Allemands ont concentré de-
vant la place forte le maximum de leurs for-
ces en vue d'atteindre leur principal objectif.
Ils ont perdu la partie. Les Français ont
reculé de 9 kilomètres, dira-t-on. Qu'im-
porte ! N'avaient-ils pas reculé de Charleroi
à la Marne, sur près de 200 kilomètres et,
en fin de compte, les Allemands ne furent-
ils pas les vaincus ? — (Ribeiro.) A Lucta
(portug.), 29.2.
— Les Allemands attaquant Verdun nous
font songer au petit garçon qui siffle bien
fort lorsqu'il a à passer près d'un cimetière
par un soir d'hiver. « Nous avons appris à
nous en rapporter de préférence aux com-
muniqués officiels français, et nous savons
que la confiance de la nation française est
en général bien placée. » — Glasgow He-
rald, 28.2.
— Des officiers, blessés au nord de Ver-
dun, estiment que les Allemands y avaient
quatre fois plus d'artillerie que les Français
n'en eurent en Champagne, en septembre
1915. — Daily Express, 3.3.
— Rosner écrit du G. Q. G. allemand,
29.2, que la force offensive des troupes alle-
mandes ne faiblit pas. Leurs pertes sont
peu élevées relativement au terrain conquis.
Mais il reste encore beaucoup à faire. -
Lokàl-Anzeiger, 1.3.
— La guerre de tranchées sur le front
occidental durait depuis la bataille de la
Marne. Les cinq grandes offensives du gé-
néral Joffre avaient pour but le retour à la
guerre de mouvement. Maintenant les jour-
naux français croient que nous sommes ca-
pables de réussir dans l'entreprise où ils
ont échoué. De là leur angoisse. Il est ce-
pendant prématuré de juger si la guerre de
tranchées est vraiment finie. — Norddeuts-
che Allgemeine Zeitung, 2.3.
— Le fort de Douaumont n'était pas dé-
sarmé, ainsi que les Français l'ont pré-
tendu. Les canons des coupoles cuirassées
et quelques autres pièces y étaient restées
et entrèrent en action pendant le combat.
Un bataillon d'infanterie qui devait consti-
tuer la garnison du fort, ne put y parvenir
à temps. Il s'y trouvait environ une cen-
taine de soldats qui s'y étaient réfugiés
mais ne se défendirent pas ; les mitrailleu-
ses du fort ne tirèrent donc pas. Enfin si le
fort n'avait pas une extrême importance, les
Français ne feraient pas tant d'efforts pour
le reprendre. Ils n'ont pas avoué non plus
la perte de Cinq groupes fortifiés près de
Hardaumont. — Koelnisctië Volkszeitung,
2.3.
Asie Mineure. — D'après les Birievia
Viédomosti 4/17.2, la chute d'Erzeroum dé-
tachera les tribus kurdes de l'empire otto-
man. Cette défection aura une grande ré-
percussion en Perse et en Mésopotamie. Elle
ne sera pas sans importance au point de
vue militaire, car elle privera les Turcs de
la cavalerie dont ils disposaient sur le front
russe.
MATERIEL
Grèce. — A la séance du 20 février, le dé-
puté Tsoucalas a interpellé le ministre de
la Guerre au sujet des effets d'habillement
de l'armée de Macédoine : elle est vêtue de
toile au cœur de l'hiver. Le ministre n'a
pas nié le fait. — Patris, 7/20.2.
Aviation allemande. — C. G. Grey, dis-
cutant l'effectif probable de la flotte aérien-
ne allemande, conclut qu'il ne doit pas exis-
ter plus de trente-cinq ou quarante zeppe-
lins en service, dont vingt-cinq seulement
seraient disponibles à la fois pour un raid
sur l'Angleterre. En septembre prochain,
ces chiffres seront doublés. — Daily Ex-
press, 3.3.
Le Rousskoié Slovo. 4.117.2, reproduit
certains détails sur l'aviation allemande
fournis par des aviateurs prisonniers. Le
nombre des écoles d'aviation en Allemagna
a triplé. Chaque fabrique d'appareils en
possède une. Tous les rapports sur l'avia-
tion venant du front doivent être lus par
les pilotes, les observateurs et les mécani-
ciens. Les nouveautés et les détails intéres-
sants y sont étudiés et appliqués au be-
soin. Tout pilote doit être parfaitement au
courant de ce qu'on exige d'un observateur
et chaque observateur doit au bout d'une
période déterminée devenir pilote. L'exer-
cice du lancement de bombes est pratiqué
d'une façon méthodique dans des polygones
sur des buts simulés. On s'attend à une
grande activité de la part de l'aviation al-
lemande.
ORGANISATION
D'après la Epoca (esp.), 1.3, les Alliés
sont tellement résolus à lutter jusqu'au
bout qu'ils signent des contrats et prépa-
rent des travaux pour une autre campagne
d'hiver. « Ce n'est, dit-elle, un secret pour
personne. »
Angleterre. — Lord Lansdowne n'a ac-
cordé que des promesses vagues aux objur- *
gations de Lord Derby demandant l'extrê-
me restriction des exemptions accordées
aux célibataires. Pourtant de promptes dé-
cisions s'imposent. Nos plans sont liés à
ceux de nos alliés ; il faut non seulement *
fournir des effectifs, mais encore les fournir
à temps. — Times, 3.3.
— Les hommes du Voluteer Training
Corps, âgés de 40 à 70 ans, ne doivent s or-
vir qu'en cas d'invasion et pour la défense
du territoire. Ils ne sont pas incorporés et
(E.-M.-A., 5e BH,U)
ET DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 4
Paris, le 5 mars 1916.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Front occidental. — En dehors du secteur
de Verdun, rien ne se dessine clairement.
On annonce qu'une intense action de l'artil-
lerie anglaise se développe sur lYser. Il
se peut qu'une contre-attaque anglaise soit
imminente. — Daily Graphie, 3.3.
De Rotterdam : Entre Ypres et Arras se
livrent de violents combats. Les armées ad-
verses ont commencé une campagne active.
Tous les renseignements de Belgique s'ac-
cordent sur l'importance des préparatifs al-
lemands qui annoncent, une lutte sévère et
prolongée. — Daily Mail, 4.3.
D'Amsterdam aux Central News: Sui-
vant informations allemandes le Fort de
Vaux, détruit par des mortiers de 305, a été
évacué par les Français ; mais leur artille-
rie lourde en interdit l'accès aux Allemands.
Les Allemands ont concentré près de Buzy
90 000 hommes, qui, renforcés par des trou-
pes d'Argonne, reprendront l'offensive. -
Daily Express, 3.3.
Le nombre des canons pris à Verdun par
les Allemands est sensiblement inférieur au
total des pièces tombées, dans les mains des
Français en Champagne. Les pertes des Al-
lemands sont cinq fois supérieures à celles
de nos alliés. — Times, 3.3.
La côte du Poivre est formée par une se
rie de contreforts : l'ennemi a pris pied sur
la pente nord du premier d entre eux, mais
les crêtes de ces contreforts et la crête prin-
cipale sont solidement tenues par les trou-
pes françaises. — Times, 3.3.
Lundi soir, 222 trains de blessés avaient
plissé à Aix-la-Chapelle, et autant à Metz.
Le Kaiser et von Falkenhayn, retournant
en Allemagne, ont traversé Louvain mardi
soir, en automobile blindée. -Daily Ex-
press, 3.3.
Balkans. - Une partie du 1er régiment
grec d'artillerie de campagne, retiré de Ma-
cédoine, a débarqué le 18 février au Pirée,
venant d'Ecatérini. — Messager d'Athènes,
19.2.
Le 3e régiment de cavalerie, avec son co-
- lonel, prince André de Grèce, est arrivé le
20 février à Athènes, venant de Salonique,
par le chemin de fer de Larissa. - Néa H
méra, 20.2.
Guerre aérienne. - Au cours de leur raid
sur Smyrne, les aviateurs français ont épar-
gné la ville ; mais les forts ont été atteints,
particulièrement ceux du Nord-Ouest (Hau-
leurs des Jumeaux). Le grand stand de
l'aérodrome a été détruit. — Daily Mail, 3.3.
Sur mer. — L'ambassade anglaise a été
Informée de la capture du « Mœwe ». -
Washington Post, 6.2.
CRITIQUE DES OPERATIONS
Front occidental. — L'attaque des lignes
de Verdun représente l'effort maximum de
l'armée allemande dont l'objectif bien défini
était de briser sur ce point même le front
français. — Les Français sont certains
maintenant que la bataille de Verdun n'est
pas une attaque démonstrative ; s'il n'y a
pas eu, pendant ces huit jours et dans un
autre secteur, une pression analogue, c'est
parce que les Allemands ont concentré de-
vant la place forte le maximum de leurs for-
ces en vue d'atteindre leur principal objectif.
Ils ont perdu la partie. Les Français ont
reculé de 9 kilomètres, dira-t-on. Qu'im-
porte ! N'avaient-ils pas reculé de Charleroi
à la Marne, sur près de 200 kilomètres et,
en fin de compte, les Allemands ne furent-
ils pas les vaincus ? — (Ribeiro.) A Lucta
(portug.), 29.2.
— Les Allemands attaquant Verdun nous
font songer au petit garçon qui siffle bien
fort lorsqu'il a à passer près d'un cimetière
par un soir d'hiver. « Nous avons appris à
nous en rapporter de préférence aux com-
muniqués officiels français, et nous savons
que la confiance de la nation française est
en général bien placée. » — Glasgow He-
rald, 28.2.
— Des officiers, blessés au nord de Ver-
dun, estiment que les Allemands y avaient
quatre fois plus d'artillerie que les Français
n'en eurent en Champagne, en septembre
1915. — Daily Express, 3.3.
— Rosner écrit du G. Q. G. allemand,
29.2, que la force offensive des troupes alle-
mandes ne faiblit pas. Leurs pertes sont
peu élevées relativement au terrain conquis.
Mais il reste encore beaucoup à faire. -
Lokàl-Anzeiger, 1.3.
— La guerre de tranchées sur le front
occidental durait depuis la bataille de la
Marne. Les cinq grandes offensives du gé-
néral Joffre avaient pour but le retour à la
guerre de mouvement. Maintenant les jour-
naux français croient que nous sommes ca-
pables de réussir dans l'entreprise où ils
ont échoué. De là leur angoisse. Il est ce-
pendant prématuré de juger si la guerre de
tranchées est vraiment finie. — Norddeuts-
che Allgemeine Zeitung, 2.3.
— Le fort de Douaumont n'était pas dé-
sarmé, ainsi que les Français l'ont pré-
tendu. Les canons des coupoles cuirassées
et quelques autres pièces y étaient restées
et entrèrent en action pendant le combat.
Un bataillon d'infanterie qui devait consti-
tuer la garnison du fort, ne put y parvenir
à temps. Il s'y trouvait environ une cen-
taine de soldats qui s'y étaient réfugiés
mais ne se défendirent pas ; les mitrailleu-
ses du fort ne tirèrent donc pas. Enfin si le
fort n'avait pas une extrême importance, les
Français ne feraient pas tant d'efforts pour
le reprendre. Ils n'ont pas avoué non plus
la perte de Cinq groupes fortifiés près de
Hardaumont. — Koelnisctië Volkszeitung,
2.3.
Asie Mineure. — D'après les Birievia
Viédomosti 4/17.2, la chute d'Erzeroum dé-
tachera les tribus kurdes de l'empire otto-
man. Cette défection aura une grande ré-
percussion en Perse et en Mésopotamie. Elle
ne sera pas sans importance au point de
vue militaire, car elle privera les Turcs de
la cavalerie dont ils disposaient sur le front
russe.
MATERIEL
Grèce. — A la séance du 20 février, le dé-
puté Tsoucalas a interpellé le ministre de
la Guerre au sujet des effets d'habillement
de l'armée de Macédoine : elle est vêtue de
toile au cœur de l'hiver. Le ministre n'a
pas nié le fait. — Patris, 7/20.2.
Aviation allemande. — C. G. Grey, dis-
cutant l'effectif probable de la flotte aérien-
ne allemande, conclut qu'il ne doit pas exis-
ter plus de trente-cinq ou quarante zeppe-
lins en service, dont vingt-cinq seulement
seraient disponibles à la fois pour un raid
sur l'Angleterre. En septembre prochain,
ces chiffres seront doublés. — Daily Ex-
press, 3.3.
Le Rousskoié Slovo. 4.117.2, reproduit
certains détails sur l'aviation allemande
fournis par des aviateurs prisonniers. Le
nombre des écoles d'aviation en Allemagna
a triplé. Chaque fabrique d'appareils en
possède une. Tous les rapports sur l'avia-
tion venant du front doivent être lus par
les pilotes, les observateurs et les mécani-
ciens. Les nouveautés et les détails intéres-
sants y sont étudiés et appliqués au be-
soin. Tout pilote doit être parfaitement au
courant de ce qu'on exige d'un observateur
et chaque observateur doit au bout d'une
période déterminée devenir pilote. L'exer-
cice du lancement de bombes est pratiqué
d'une façon méthodique dans des polygones
sur des buts simulés. On s'attend à une
grande activité de la part de l'aviation al-
lemande.
ORGANISATION
D'après la Epoca (esp.), 1.3, les Alliés
sont tellement résolus à lutter jusqu'au
bout qu'ils signent des contrats et prépa-
rent des travaux pour une autre campagne
d'hiver. « Ce n'est, dit-elle, un secret pour
personne. »
Angleterre. — Lord Lansdowne n'a ac-
cordé que des promesses vagues aux objur- *
gations de Lord Derby demandant l'extrê-
me restriction des exemptions accordées
aux célibataires. Pourtant de promptes dé-
cisions s'imposent. Nos plans sont liés à
ceux de nos alliés ; il faut non seulement *
fournir des effectifs, mais encore les fournir
à temps. — Times, 3.3.
— Les hommes du Voluteer Training
Corps, âgés de 40 à 70 ans, ne doivent s or-
vir qu'en cas d'invasion et pour la défense
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