Titre : Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris
Auteur : Paris. Auteur du texte
Auteur : Seine. Auteur du texte
Auteur : Paris (Département / 1975-....). Auteur du texte
Éditeur : Imprimerie municipale (Paris)
Date d'édition : 1933-07-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343512457
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 240410 Nombre total de vues : 240410
Description : 08 juillet 1933 08 juillet 1933
Description : 1933/07/08 (A52,N156,T3). 1933/07/08 (A52,N156,T3).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse Collection numérique : Bibliographie de la presse
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6507724d
Source : Ville de Paris / Bibliothèque de l'Hôtel de Ville (BHdV), 2012-46765
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/04/2013
Supplément au BULLETIN MUNICIPAL OFFICIBL du tamedi 8 juillet 1933 2873
N* 12.
CONSEIL MUNICIPAL DE PARIS
Compte rendu de la séance
du vendredi 7 juillet 1933.
t La séance est ouverte à quinze heures
trente minutes, sous la présidence de
bl. René Fiquet, président.
MM. Alfred Bour, Pierre Dailly, Dufrenne
et Georges Beaufumé, secrétaires.
1. - Convocation du Conseil en session
extraordinaire.
M. le Préfet de la Seine. — Messieurs,
J'ai l'honneur de donner lecture au Conseil
Municipal de l'arrêté de convocation sui-
vant :
« Le Préfet delà Seine,
< Vu les lois des 5 mai 1855 et 14 avril
1871:
« Vu l'urgence,
« Arrête :
« Article premier. — Le Conseil municipal
de la Ville de Paris est convoqué en session
ltraordinaire du vendredi 7 juillet au jeudi
13 juillet 1933 inclusivement.
« Art. 2. — Le Secrétaire général de la
préfecture de la Seine est chargé de l'exécu-
IOn du présent arrêté.
e Fait à Paris, le 4 juillet 1933.
« Edouard Renard. »
Messieurs, je déclare la session ouverte.
2— Observations sur le procès-verbal
de la séance du 3 juillet 1933.
M. Fernand - Laurent. — Messieurs,
lors de notre séance du 3 juillet, au cours du
développement de ma question à M. le Préfet
de la Seine sur la réalisation des opérations
Prévues au plan de campagne des grands tra-
YalIx, j'ai parlé d'articles publés par M. Emile
Willème dans « le Petit Journal » et réunis
eQsuite en plaquette.
Or, dans le compte rendu de la séance
blié au « Bulletin municipal officiel » du
4 juillet, page 2790, colonne 1, une confusion
sest produite qui paraît faire attribuer ces
Gicles à M. le Préfet de la Seine lui-même.
Nous savons tous que M. le Préfet de la
keine pourrait être un journaliste de haute
casse s'il n'était pas pour l'heure — et nous
Il?us en félicitons — un grand préfet. Sou-
cieux de me conformer au vieux précepte
9UI commande de donner à chacun le sien.
Je répète ce que j'ai déclaré à la tribune, à
"-- ,-'
N° t.
savoir que les remarquables articles aux-
quels j'ai fait allusion ont pour auteur le très
sympathique et très distingué président de
la Presse municipale, M. Emile Willème et
je demande que toutes rectifications utiles
soient faites au procès-verbal de la séance.
M. lé Président. — La parole est à
M. Armand Massard.
M. Armand Massard. — Messieurs, je
tiens à présenter une brève observation au
sujet d'un mémoire que M. Rebeillard a rap-
portée à la dernière séance et qui concerne
l'abatage d'un arbre dans la cour de l'école
de la rue Saint-Ferdinand. Je croyais que,
sur une objection de ma part, il avait été
décidé à la 4e Commission que le dépôt de ce
rapport serait ajourné à huitaine pour
enquête complémentaire ; or il a été adopté,
à la dernière séance.
M. Rebeillard. — Je n'ai rapporté ce
mémoire que d'accord avec le conseiller du
quartier intéressé.
M. Armand Massard. — Je croyais que
la discussion devait être ajournée.
M. Rebeillard. — Je vous demande
pardon.
M. Contenot, président de la 4e Commis-
sion. — Je crois que nous pouvons faire con-
fiance au rapporteur.
M. le Président. — M. Armand Massard
se préoccupe, avec juste raison, du sort des
arbres de Paris.
M. Rebeillard. — En tout cas je tiens à
faire remarquer que je n'ai rapporté ce mé-
moire qu'avec l'autorisation du conseiller du
quartier intéressé, M. Robert Monnier.
M. Armand Massard. —Dans ces condi-
tions, je ne veux pas insister et je retire mes
observations dictées par l'unique souci d'em-
pêcher, chaque fois que cela est possible,
l'abatage d'un arbre.
M. le Président. — Il sera tenu compte,
au procès-verbal, de la rectification demandée
par M. Fernand-Laurent, puisque M. Armand
Massard n'insiste pas pour ses observations.
3. — Excuses.
M. le Président. — Messieurs, notre
collègue, M. Léon Riotor, vient de subir une
opération, sans gravité, heureusement, et il
ne pourra prendre part à nos prochaines
séances.
Je suis votre interprète en lui souhaitant
un prompt rétablissement (Assentiment
unanime. )
4. — Condoléances.
M. le Président. — Mes chers collègues,
M. le Docteur Thierry, qui fut pendant dix
années le chef très compétent des services
techniques d'Hygiène de la Ville de Paris,
vient de trouver la mort dans un accident
d'automobile.
Le docteur Thierry, vous en avez tous
gardé le souvenir, avait, dans le domaine de
l'hygiène, rendu à la cité de précieux ser-
vices, des plus appréciés malgré sa grande
modestie.
Au moment où il disparaît si tragiquement
et alors qu'il pouvait espérer vivre encore de
longues années après une brillante carrière
consacrée à la science, j'ai le devoir de saluer
sa mémoire.
J'exprime à sa famille, à son gendre, le
docteur André Aubin — un de nos plus dis-
tingués médecins des hôpitaux — nos senti-
ments sincèrement attristés. (Très bien!).
M. Roéland. — Je demande la parole.
M. le Président. — La parole est à
M. Roéland,
M. Roéland. — Comme Rapporteur du
musée d'Hygiène, je tiens à m'associer de
tout cœur à l'éloge que vous venez de pro-
noncer de M. le Docteur Thierry, qui a rendu
les plus grands services dans tous les domai-
nes où son activité s'est exercée ; c'était un
savant et un grand cœur. (Très bien 1)
M. le Préfet de la Seine. — Je m'asso-
cie, au nom de mon administration aux con-
doléances qui viennent d'être exprimées par
M. le Président du Conseil municipal. Le doc-
teur Thierry a rendu des services remar-
quables à la Ville de Paris. Au bord de sa
tombe, je tiens à lui exprimer notre plus
vive gratitude. J'exprime à sa veuve ma bien
vive sympathie. (Très bien ! Très bien 1)
M. le Préfet de police. — La Préfecture
de police toute entière partage les sentiments
attristés qui viennent d'être exprimés. (Très
bien 1)
M. le Président. — C'est, en effet, une
belle figure de fonctionnaire qui disparaît.
5. — Félicitations.
M. le Président. — Mes chers Collègues,
M. le professeur Roussy, que nous connais-
sons tous de nom et de renom, et qui dirige,
avec la maîtrise que vous savez, le Centre
anticancéreux de la banlieue parisienne à
Villejuif, vient d'être proposé'par le Conseil.
de la Faculté de médecine à l'agrément de
M. le Ministre de l'Education nationale pour
le poste de doyen de la Faculté, vacant à la
suite de l'expiration du mandat de M. le pro-
fesseur Balthazard.
Vous savez tous la brillante carrière de
M. le professeur Roussy, ses travaux impor-
tants, ses efforts consacrés à la lutte contre
les fléaux sociaux. Le témoignage de sym-
pathie et d'estime qu'il reçoit de ses pairs
est pour lui un magnifique hommage.
Je suis votre interprète en lui adressant
nos bien vives félicitations. (Très bien !)
M. de Fontenay. — Je demande la
parole.
M. le Président. — La parole est à M. de
Fontenay.
M. de Fontenay, président de la 5eCom-
mission. — Je tiens, Messieurs, au nom de la
5e Commission, à m'associer aux paroles que
M. le Président du Conseil municipal vient de
prononcer. Si M. le professeur Roussy
n'appartient pas au corps des médecins des
hôpitaux de l'Assistance publique, nous le
connaissons ici de longue date comme colla-
N* 12.
CONSEIL MUNICIPAL DE PARIS
Compte rendu de la séance
du vendredi 7 juillet 1933.
t La séance est ouverte à quinze heures
trente minutes, sous la présidence de
bl. René Fiquet, président.
MM. Alfred Bour, Pierre Dailly, Dufrenne
et Georges Beaufumé, secrétaires.
1. - Convocation du Conseil en session
extraordinaire.
M. le Préfet de la Seine. — Messieurs,
J'ai l'honneur de donner lecture au Conseil
Municipal de l'arrêté de convocation sui-
vant :
« Le Préfet delà Seine,
< Vu les lois des 5 mai 1855 et 14 avril
1871:
« Vu l'urgence,
« Arrête :
« Article premier. — Le Conseil municipal
de la Ville de Paris est convoqué en session
ltraordinaire du vendredi 7 juillet au jeudi
13 juillet 1933 inclusivement.
« Art. 2. — Le Secrétaire général de la
préfecture de la Seine est chargé de l'exécu-
IOn du présent arrêté.
e Fait à Paris, le 4 juillet 1933.
« Edouard Renard. »
Messieurs, je déclare la session ouverte.
2— Observations sur le procès-verbal
de la séance du 3 juillet 1933.
M. Fernand - Laurent. — Messieurs,
lors de notre séance du 3 juillet, au cours du
développement de ma question à M. le Préfet
de la Seine sur la réalisation des opérations
Prévues au plan de campagne des grands tra-
YalIx, j'ai parlé d'articles publés par M. Emile
Willème dans « le Petit Journal » et réunis
eQsuite en plaquette.
Or, dans le compte rendu de la séance
blié au « Bulletin municipal officiel » du
4 juillet, page 2790, colonne 1, une confusion
sest produite qui paraît faire attribuer ces
Gicles à M. le Préfet de la Seine lui-même.
Nous savons tous que M. le Préfet de la
keine pourrait être un journaliste de haute
casse s'il n'était pas pour l'heure — et nous
Il?us en félicitons — un grand préfet. Sou-
cieux de me conformer au vieux précepte
9UI commande de donner à chacun le sien.
Je répète ce que j'ai déclaré à la tribune, à
"-- ,-'
N° t.
savoir que les remarquables articles aux-
quels j'ai fait allusion ont pour auteur le très
sympathique et très distingué président de
la Presse municipale, M. Emile Willème et
je demande que toutes rectifications utiles
soient faites au procès-verbal de la séance.
M. lé Président. — La parole est à
M. Armand Massard.
M. Armand Massard. — Messieurs, je
tiens à présenter une brève observation au
sujet d'un mémoire que M. Rebeillard a rap-
portée à la dernière séance et qui concerne
l'abatage d'un arbre dans la cour de l'école
de la rue Saint-Ferdinand. Je croyais que,
sur une objection de ma part, il avait été
décidé à la 4e Commission que le dépôt de ce
rapport serait ajourné à huitaine pour
enquête complémentaire ; or il a été adopté,
à la dernière séance.
M. Rebeillard. — Je n'ai rapporté ce
mémoire que d'accord avec le conseiller du
quartier intéressé.
M. Armand Massard. — Je croyais que
la discussion devait être ajournée.
M. Rebeillard. — Je vous demande
pardon.
M. Contenot, président de la 4e Commis-
sion. — Je crois que nous pouvons faire con-
fiance au rapporteur.
M. le Président. — M. Armand Massard
se préoccupe, avec juste raison, du sort des
arbres de Paris.
M. Rebeillard. — En tout cas je tiens à
faire remarquer que je n'ai rapporté ce mé-
moire qu'avec l'autorisation du conseiller du
quartier intéressé, M. Robert Monnier.
M. Armand Massard. —Dans ces condi-
tions, je ne veux pas insister et je retire mes
observations dictées par l'unique souci d'em-
pêcher, chaque fois que cela est possible,
l'abatage d'un arbre.
M. le Président. — Il sera tenu compte,
au procès-verbal, de la rectification demandée
par M. Fernand-Laurent, puisque M. Armand
Massard n'insiste pas pour ses observations.
3. — Excuses.
M. le Président. — Messieurs, notre
collègue, M. Léon Riotor, vient de subir une
opération, sans gravité, heureusement, et il
ne pourra prendre part à nos prochaines
séances.
Je suis votre interprète en lui souhaitant
un prompt rétablissement (Assentiment
unanime. )
4. — Condoléances.
M. le Président. — Mes chers collègues,
M. le Docteur Thierry, qui fut pendant dix
années le chef très compétent des services
techniques d'Hygiène de la Ville de Paris,
vient de trouver la mort dans un accident
d'automobile.
Le docteur Thierry, vous en avez tous
gardé le souvenir, avait, dans le domaine de
l'hygiène, rendu à la cité de précieux ser-
vices, des plus appréciés malgré sa grande
modestie.
Au moment où il disparaît si tragiquement
et alors qu'il pouvait espérer vivre encore de
longues années après une brillante carrière
consacrée à la science, j'ai le devoir de saluer
sa mémoire.
J'exprime à sa famille, à son gendre, le
docteur André Aubin — un de nos plus dis-
tingués médecins des hôpitaux — nos senti-
ments sincèrement attristés. (Très bien!).
M. Roéland. — Je demande la parole.
M. le Président. — La parole est à
M. Roéland,
M. Roéland. — Comme Rapporteur du
musée d'Hygiène, je tiens à m'associer de
tout cœur à l'éloge que vous venez de pro-
noncer de M. le Docteur Thierry, qui a rendu
les plus grands services dans tous les domai-
nes où son activité s'est exercée ; c'était un
savant et un grand cœur. (Très bien 1)
M. le Préfet de la Seine. — Je m'asso-
cie, au nom de mon administration aux con-
doléances qui viennent d'être exprimées par
M. le Président du Conseil municipal. Le doc-
teur Thierry a rendu des services remar-
quables à la Ville de Paris. Au bord de sa
tombe, je tiens à lui exprimer notre plus
vive gratitude. J'exprime à sa veuve ma bien
vive sympathie. (Très bien ! Très bien 1)
M. le Préfet de police. — La Préfecture
de police toute entière partage les sentiments
attristés qui viennent d'être exprimés. (Très
bien 1)
M. le Président. — C'est, en effet, une
belle figure de fonctionnaire qui disparaît.
5. — Félicitations.
M. le Président. — Mes chers Collègues,
M. le professeur Roussy, que nous connais-
sons tous de nom et de renom, et qui dirige,
avec la maîtrise que vous savez, le Centre
anticancéreux de la banlieue parisienne à
Villejuif, vient d'être proposé'par le Conseil.
de la Faculté de médecine à l'agrément de
M. le Ministre de l'Education nationale pour
le poste de doyen de la Faculté, vacant à la
suite de l'expiration du mandat de M. le pro-
fesseur Balthazard.
Vous savez tous la brillante carrière de
M. le professeur Roussy, ses travaux impor-
tants, ses efforts consacrés à la lutte contre
les fléaux sociaux. Le témoignage de sym-
pathie et d'estime qu'il reçoit de ses pairs
est pour lui un magnifique hommage.
Je suis votre interprète en lui adressant
nos bien vives félicitations. (Très bien !)
M. de Fontenay. — Je demande la
parole.
M. le Président. — La parole est à M. de
Fontenay.
M. de Fontenay, président de la 5eCom-
mission. — Je tiens, Messieurs, au nom de la
5e Commission, à m'associer aux paroles que
M. le Président du Conseil municipal vient de
prononcer. Si M. le professeur Roussy
n'appartient pas au corps des médecins des
hôpitaux de l'Assistance publique, nous le
connaissons ici de longue date comme colla-
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