Titre : Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris
Auteur : Paris. Auteur du texte
Auteur : Seine. Auteur du texte
Auteur : Paris (Département / 1975-....). Auteur du texte
Éditeur : Imprimerie municipale (Paris)
Date d'édition : 1933-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343512457
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 240410 Nombre total de vues : 240410
Description : 01 juillet 1933 01 juillet 1933
Description : 1933/07/01 (A52,N150,T3). 1933/07/01 (A52,N150,T3).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse Collection numérique : Bibliographie de la presse
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6507718p
Source : Ville de Paris / Bibliothèque de l'Hôtel de Ville (BHdV), 2012-46765
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/04/2013
Supplément au BULLRTIN MUNICIPAL OFFICIEL du samedi i er juillet 1933 2723
1 No t O.
CONSEIL MUNICIPAL DE PARIS
Compte rendu de la séance
du vendredi 30 juin 1933.
La séance est ouverte à quinze heures trente
nutes, sous la présidence de M. René
lquet, président.
MM. Alfred Bour, Pierre Dailly, Dufrenne
et Georges Beaufumé, secrétaires.
1. - Observation sur le procès-verbal.
M. Alfred Bour, l'un des secrétaires,
donne lecture du procès-verbal de la séance
du 26 juin 1933.
bl- RObert Bos. — J'étais absent lors de
la dern^re séance, lorsque ma candidature a
etc posée à la vice-présidence du Conseil
:munICIpal sans mon consentement et même
sans que j'en aie été prévenu. Je déclare que
je n etais pas candidat et que je n'ai autorisé
personne à présenter ma candidature.
Je tiens à remercier, néanmoins, les dix-
ile,,r ,Iiè les qui, bien que je n'aie pas été
c uidat, m'ont bénévolement marqué leur
SYlIlpathie.
Sour le bénéfice de cette observation, le
Procès-verbal est adopté.
2. - Discours de M. le Président.
le M* le Président. — Mes chers collègues,
les remerciements que je vous ai exprimés
an nom du nouveau Bureau, immédiatement
après la proclamation du scrutin de lundi,
n ont Pas diminué notre dette de gratitude à
votre égard. Elle ne pourra être acquittée que
Par un labeur vigilant répondant pleinement
a la confiance que vous nous avez témoi-
Nous savons combien celle-ci est grande
!luisqu'elle'nous invite non seulement à repré-
n ale de Paris, mais encore à conti-
éluer, les traditions que nos prédécesseurs ont
élevée à un si haut degré de distinction.
C'est Une mission délicate, en particulier,
ed de prendre la suite d'un président tel que
M. de POntenay. Son autorité, faite à la fois
de flstIction et de courtoisie raffinées,
s'affi>aia^ à l'extérieur comme dans les
séances du Conseil. Durant une année, à
n otel de Ville comme à travers la cité, dans
nos lFS C0Iïlmeau dehors, un éclat nouveau
a t donn à une charge honorée déjà par
tant dhMa-ntes personnalités. Par bonheur
ce Prp .6 reste acquis à la fonction et
constitue un précieux viatique pour les titu-
es successifs toujours certains de trouver
laires s ccessifs toujours certains de trouver
ISo. to.
auprès de leurs aînés des exemples, des
conseils et des encouragements. (Très bien 1)
La bienveillante sympathie de l'Assemblée
tout entière et la collaboration de nos deux
Préfets si estimés, si aimés, qui nous appor-
tent, avec leurs qualités de chefs, les
compétences de leurs administrations, nous
permettent d'envisager avec confiance la
tâche proposée à nos efforts. (Très bien! —
Applaudissements.)
A des responsabilités sans cesse accrues
correspond, en effet, une entente toujours
plus intime des serviteurs de la Cité.
Le sens de la justice suffisait à nous impo-
ser la stricte impartialité nécessaire à la
direction des débats du Conseil. L'amour de
la concorde y' ajoutera son appui qui décu-
plera nos moyens.
Nous ne connaîtrons pas ici d'adversaires
mais des compagnons de travail et nous ne
distinguerons pas, dans notre affection, entre
les élus qui, par des méthodes différentes et
avec un idéal commun, n'ont d'autre but que
d'être utiles à la nation et à la Ville. (Très
bien ! — Applaudissements.)
Telle est, Messieurs, la leçon que nous a
apprise la camaraderie des tranchées. En y
restant fidèle, j'obéirai à une obligation
morale renforcée par votre geste: Je ne doute
point, en effet, que vos suffrages n'aient spé-
cialement favorisé en ma personne le Mutilé,
le président du Groupe des Elus anciens
combattants, dont votre indulgente sympa-
thie excusera la diminution physique et qui
puisera en votre amitié la certitude d'être
efficacement secondé dans sa besogne quoti-
dienne. (Très bien !)
Je ne puis oublier non plus que ma qualité
d'industriel a dû influer sur votre vote. Pour
la première fois depuis l'élection de M.Bellan,
les milieux commerciaux voient l'un des leurs
accéder à ce fauteuil. Au moment où le monde
de la production, patrons comme ouvriers,
artisans comme négociants, traverse des
difficultés particulièrement graves qui lui
révèlent sa solidarité profonde, vous lui avez
manifesté l'intérêt que, tous, vous lui vouez,
quelle que soit votre origine.
Je vous en remercie, personnellement et en
son nom, comme d'un précieux témoignage
de sollicitude. Cette entente nous permettra,
dans notre domaine propre, de maintenir et
de développer l'union des pouvoirs publics et
de l'initiative privée qui peut accomplir tant
de bien.
Déjà les efforts effectués pour ranimer
l'activité ont donné des résultats que nous
n'aurons garde de dédaigner.
C'est avec joie que nous constatons, depuis
quelque temps, dans les statistiques hebdo-
madaires, une régression importante du chô-
mage. Cette évolution est tout spécialement
sensible dans notre agglomération qui fut la
plus touchée et où on note en ce moment une
amélioration, non seulement saisonnière mais
aussi par rapport aux chiffres de l'an dernier
à la même époque.
De même trouvons-nous des motifs d'encou-
ragement dans la lecture du compte de
l'année 1932 récemment établi. Il se solde,
vous le savez, par un excédent de recettes
net et effectif de 50 millions. Ce sera là un
très précieux appoint pour le budget supplé-
mentaire de 1933 et nous y voyons, en outre,
un indice de la vitalité d'une ville qui résiste
si magnifiquement aux influences délétères
d'une crise universelle. (Très bien ! Très
bien !)
Sans doute, nous nous garderons, comme
du pessimisme déprimant, de l'optimisme
facile. Nous ne connaitrons guère avant
octobre les probabilités relatives à l'encaisse-
ment de nombreuses recettes et le fléchisse-
ment des rentrées de l'octroi est une invita-
tion à la prudence. Sans doute ne suffit-il
point même de maintenir l'équilibre. Il fau-
drait encore diminuer les charges qui handi-
capent sérieusement notre production. (Très
bien !)
Mais nous avons le droit de considérer
comme un réel succès la défensive acharnée
que notre cité a opposée aux attaques du mal
économique. Elle a, j'ose le dire, emporté une
victoire certaine en gardant ses positions
budgétaires, sans renoncer en rien au pro-
gramme édilitaire régulièrement poursuivi
tant en matière de travaux de voirie, grâce
aux crédits dégagés durant la dernière ses-
sion, que dans le domaine de la politique
hospitalière ou des autres travaux de l'urba-
nisme.
Ce présent et ce tout récent passé de labeur
nous engagent à nous tourner sans crainte
vers l'avenir. Loin de nous effrayer, les
vastes projets ne manqueront point d'animer
notre courage. Encore faut il cependant qu'ils
soient étudiés et préparés avec un soin
approprié à leur importance. Tel est, notam-
ment, le cas, grave entre tous, de l'Exposition
prévue pour 1937.
Ce sera là, peut-être, la question la plus
considérable soumise prochainement à vos
délibérations Je manquerais aux obligations
de ma charge si, au début même de cette
session, je n'adressais sinon un cri d'alarme,
du moins un signal d'extrême urgence aux
autorités qualifiées. Après notre distingué
Rapporteur général, M. François Latour, je
crois, du haut de ce fauteuil, devoir dégager
la responsabilité de la Ville de Paris et de ses
représentants qui ne gavent point encore
sur quel concours de l'Etat ils pourront
compter. (Très bien !)
Il est indispensable, aussi bien pour le
choix des emplacements que pour les possibi-
lités d'exécution matérielle, que le Conseil
soit mis en mesure de délibérer au cours de
cette session. Les chefs de nos services
administratifs et techniques, dont vous con-
naissez la compétence et le dévouement, ont
fait savoir que, si l'on voulait être prêt pour
1937, il fallait se mettre à la besogne dès
maintenant.
Ce souci est trop justifié pour ne point
être retenu. Nous nous y emploierons pour
notre part.
Quels que soient leur poste, leur situation
dans la hiérarchie, leurs attributions di-
verses, les serviteurs de Paris, élus et fonc-
tionnaires, n'ont qu'un seul désir, qu'un
même idéal : travailler pour la beauté, le
bonheur et la richesse de notre chère
capitale. (Très bien !)
Votre Bureau, Messieurs, saura se montrer
digne de votre confiance. Vous avez été et
vous restez pour nous les meilleurs des
collègues. Nous aurons à cœur de devenir
durant une année les plus dévoués des colla-
borateurs, heureux d'être, en toutes circons-
tances, des amis sans reproche. (Très bien t
— Vifs applaudissements.)
Mes chers collègues, je suis assuré de
1 No t O.
CONSEIL MUNICIPAL DE PARIS
Compte rendu de la séance
du vendredi 30 juin 1933.
La séance est ouverte à quinze heures trente
nutes, sous la présidence de M. René
lquet, président.
MM. Alfred Bour, Pierre Dailly, Dufrenne
et Georges Beaufumé, secrétaires.
1. - Observation sur le procès-verbal.
M. Alfred Bour, l'un des secrétaires,
donne lecture du procès-verbal de la séance
du 26 juin 1933.
bl- RObert Bos. — J'étais absent lors de
la dern^re séance, lorsque ma candidature a
etc posée à la vice-présidence du Conseil
:munICIpal sans mon consentement et même
sans que j'en aie été prévenu. Je déclare que
je n etais pas candidat et que je n'ai autorisé
personne à présenter ma candidature.
Je tiens à remercier, néanmoins, les dix-
ile,,r ,Iiè les qui, bien que je n'aie pas été
c uidat, m'ont bénévolement marqué leur
SYlIlpathie.
Sour le bénéfice de cette observation, le
Procès-verbal est adopté.
2. - Discours de M. le Président.
le M* le Président. — Mes chers collègues,
les remerciements que je vous ai exprimés
an nom du nouveau Bureau, immédiatement
après la proclamation du scrutin de lundi,
n ont Pas diminué notre dette de gratitude à
votre égard. Elle ne pourra être acquittée que
Par un labeur vigilant répondant pleinement
a la confiance que vous nous avez témoi-
Nous savons combien celle-ci est grande
!luisqu'elle'nous invite non seulement à repré-
n ale de Paris, mais encore à conti-
éluer, les traditions que nos prédécesseurs ont
élevée à un si haut degré de distinction.
C'est Une mission délicate, en particulier,
ed de prendre la suite d'un président tel que
M. de POntenay. Son autorité, faite à la fois
de flstIction et de courtoisie raffinées,
s'affi>aia^ à l'extérieur comme dans les
séances du Conseil. Durant une année, à
n otel de Ville comme à travers la cité, dans
nos lFS C0Iïlmeau dehors, un éclat nouveau
a t donn à une charge honorée déjà par
tant dhMa-ntes personnalités. Par bonheur
ce Prp .6 reste acquis à la fonction et
constitue un précieux viatique pour les titu-
es successifs toujours certains de trouver
laires s ccessifs toujours certains de trouver
ISo. to.
auprès de leurs aînés des exemples, des
conseils et des encouragements. (Très bien 1)
La bienveillante sympathie de l'Assemblée
tout entière et la collaboration de nos deux
Préfets si estimés, si aimés, qui nous appor-
tent, avec leurs qualités de chefs, les
compétences de leurs administrations, nous
permettent d'envisager avec confiance la
tâche proposée à nos efforts. (Très bien! —
Applaudissements.)
A des responsabilités sans cesse accrues
correspond, en effet, une entente toujours
plus intime des serviteurs de la Cité.
Le sens de la justice suffisait à nous impo-
ser la stricte impartialité nécessaire à la
direction des débats du Conseil. L'amour de
la concorde y' ajoutera son appui qui décu-
plera nos moyens.
Nous ne connaîtrons pas ici d'adversaires
mais des compagnons de travail et nous ne
distinguerons pas, dans notre affection, entre
les élus qui, par des méthodes différentes et
avec un idéal commun, n'ont d'autre but que
d'être utiles à la nation et à la Ville. (Très
bien ! — Applaudissements.)
Telle est, Messieurs, la leçon que nous a
apprise la camaraderie des tranchées. En y
restant fidèle, j'obéirai à une obligation
morale renforcée par votre geste: Je ne doute
point, en effet, que vos suffrages n'aient spé-
cialement favorisé en ma personne le Mutilé,
le président du Groupe des Elus anciens
combattants, dont votre indulgente sympa-
thie excusera la diminution physique et qui
puisera en votre amitié la certitude d'être
efficacement secondé dans sa besogne quoti-
dienne. (Très bien !)
Je ne puis oublier non plus que ma qualité
d'industriel a dû influer sur votre vote. Pour
la première fois depuis l'élection de M.Bellan,
les milieux commerciaux voient l'un des leurs
accéder à ce fauteuil. Au moment où le monde
de la production, patrons comme ouvriers,
artisans comme négociants, traverse des
difficultés particulièrement graves qui lui
révèlent sa solidarité profonde, vous lui avez
manifesté l'intérêt que, tous, vous lui vouez,
quelle que soit votre origine.
Je vous en remercie, personnellement et en
son nom, comme d'un précieux témoignage
de sollicitude. Cette entente nous permettra,
dans notre domaine propre, de maintenir et
de développer l'union des pouvoirs publics et
de l'initiative privée qui peut accomplir tant
de bien.
Déjà les efforts effectués pour ranimer
l'activité ont donné des résultats que nous
n'aurons garde de dédaigner.
C'est avec joie que nous constatons, depuis
quelque temps, dans les statistiques hebdo-
madaires, une régression importante du chô-
mage. Cette évolution est tout spécialement
sensible dans notre agglomération qui fut la
plus touchée et où on note en ce moment une
amélioration, non seulement saisonnière mais
aussi par rapport aux chiffres de l'an dernier
à la même époque.
De même trouvons-nous des motifs d'encou-
ragement dans la lecture du compte de
l'année 1932 récemment établi. Il se solde,
vous le savez, par un excédent de recettes
net et effectif de 50 millions. Ce sera là un
très précieux appoint pour le budget supplé-
mentaire de 1933 et nous y voyons, en outre,
un indice de la vitalité d'une ville qui résiste
si magnifiquement aux influences délétères
d'une crise universelle. (Très bien ! Très
bien !)
Sans doute, nous nous garderons, comme
du pessimisme déprimant, de l'optimisme
facile. Nous ne connaitrons guère avant
octobre les probabilités relatives à l'encaisse-
ment de nombreuses recettes et le fléchisse-
ment des rentrées de l'octroi est une invita-
tion à la prudence. Sans doute ne suffit-il
point même de maintenir l'équilibre. Il fau-
drait encore diminuer les charges qui handi-
capent sérieusement notre production. (Très
bien !)
Mais nous avons le droit de considérer
comme un réel succès la défensive acharnée
que notre cité a opposée aux attaques du mal
économique. Elle a, j'ose le dire, emporté une
victoire certaine en gardant ses positions
budgétaires, sans renoncer en rien au pro-
gramme édilitaire régulièrement poursuivi
tant en matière de travaux de voirie, grâce
aux crédits dégagés durant la dernière ses-
sion, que dans le domaine de la politique
hospitalière ou des autres travaux de l'urba-
nisme.
Ce présent et ce tout récent passé de labeur
nous engagent à nous tourner sans crainte
vers l'avenir. Loin de nous effrayer, les
vastes projets ne manqueront point d'animer
notre courage. Encore faut il cependant qu'ils
soient étudiés et préparés avec un soin
approprié à leur importance. Tel est, notam-
ment, le cas, grave entre tous, de l'Exposition
prévue pour 1937.
Ce sera là, peut-être, la question la plus
considérable soumise prochainement à vos
délibérations Je manquerais aux obligations
de ma charge si, au début même de cette
session, je n'adressais sinon un cri d'alarme,
du moins un signal d'extrême urgence aux
autorités qualifiées. Après notre distingué
Rapporteur général, M. François Latour, je
crois, du haut de ce fauteuil, devoir dégager
la responsabilité de la Ville de Paris et de ses
représentants qui ne gavent point encore
sur quel concours de l'Etat ils pourront
compter. (Très bien !)
Il est indispensable, aussi bien pour le
choix des emplacements que pour les possibi-
lités d'exécution matérielle, que le Conseil
soit mis en mesure de délibérer au cours de
cette session. Les chefs de nos services
administratifs et techniques, dont vous con-
naissez la compétence et le dévouement, ont
fait savoir que, si l'on voulait être prêt pour
1937, il fallait se mettre à la besogne dès
maintenant.
Ce souci est trop justifié pour ne point
être retenu. Nous nous y emploierons pour
notre part.
Quels que soient leur poste, leur situation
dans la hiérarchie, leurs attributions di-
verses, les serviteurs de Paris, élus et fonc-
tionnaires, n'ont qu'un seul désir, qu'un
même idéal : travailler pour la beauté, le
bonheur et la richesse de notre chère
capitale. (Très bien !)
Votre Bureau, Messieurs, saura se montrer
digne de votre confiance. Vous avez été et
vous restez pour nous les meilleurs des
collègues. Nous aurons à cœur de devenir
durant une année les plus dévoués des colla-
borateurs, heureux d'être, en toutes circons-
tances, des amis sans reproche. (Très bien t
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