Titre : Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-11-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348662d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 68676 Nombre total de vues : 68676
Description : 26 novembre 1921 26 novembre 1921
Description : 1921/11/26 (A41,N22,T79). 1921/11/26 (A41,N22,T79).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65042077
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302223
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2013
- Aller à la page de la table des matières453
- SOMMAIRE.
- .......... Page(s) .......... 453
- .......... Page(s) .......... 458
- .......... Page(s) .......... 461
- .......... Page(s) .......... 464
- .......... Page(s) .......... 468
- .......... Page(s) .......... 469
- .......... Page(s) .......... 469
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- .......... Page(s) .......... 472
- .......... Page(s) .......... 473
- .......... Page(s) .......... 476
- ANNONCES: Informations diverses.
26 NOVEMBRE 1921 LE GENIE CIVIL 473
ceux des essais précédents, aux compressions
de cylindres de béton.
Plusieurs laboratoires scientifiques et indus-
triels sont d'ailleurs déjà pourvus de cette
machine, qui leur a permis d'obtenir des ré-
sultats fort intéressants.
M. Guillery termine en décrivant un petit
appareil de moulage pour éprouvettes de com-
pression; un dispositif extrêmement simple de
croisillons s'encastrant dans les rainures d'une
plaque de fonte permet un moulage très facile
et rapide de ces éprouvettes.
J. C.
BIBLIOGRAPHIE
REVUE DES PRINCIPALES PUBLICATIONS
TECHNIQUES
AÉRONAUTIQUE
Les essais effectués en usine sur les maté-
riaux utilisés en aviation. — La Technique
aéronautique, fondée jadis par notre distingué
collaborateur le lieutenant-colonel G. Espi-
tallier, et dont la guerre avait suspendu la
publication, vient de reparaître, sous une
direction nouvelle, à partir du 15 novembre 1921,
sous la forme d'une revue mensuelle (') com-
prenant, outre des articles inédits, une chro-
nique aéronautique, scientifique et industrielle,
le compte rendu des séances de la Société
française de Navigation aérienne, le bulletin de
l'Association française aérienne, et le bulletin
de l'Ecole supérieure d'Aéronautique. Son
rédacteur en chef est notre collaborateur
M. Lesage.
Dans le premier numéro de cette nouvelle
série, M. E. PITOIS, chef du Service de con-
trôle au Service des Fabrications de l'Aéro-
nautique, commence la publication d'une
étude concernant les essais effectués en usine,
sur les matériaux utilisés en aviation, étude à
laquelle a fait allusion M. Lesage dans son
article sur le Salon de la Locomotion aérienne
(voir ce même numéro du Génie Civil, p. 464).
L'auteur y remarque d'abord que le temps
est, heureusement, passé où les industriels se
soumettaient pour leurs essais aux exigences
des cahiers des charges, comme on subit un
règlement de police. Aujourd'hui, on les con-
sidère à juste titre comme la méthode essen-
tielle d'obtention des meilleurs produits au
meilleur prix de revient. Ils exigent naturelle-
ment une organisation rationnelle des labora-
toires, qui comprend elle-même quatre subdi-
visions : locaux, matériel, personnel, méthodes
d utilisation du laboratoire.
M. Pitois consacre à chacune de ces questions
un chapitre succinct, mais clair et précis,
donnant sous une forme condensée des direc-
tives extrêmement pratiques. Des tableaux,
accompagnés de croquis récapitulant les essais
à faire, leur nombre et les résultats à obtenir,
sont annexés à cette étude, qui se poursuivra
dans le numéro du 15 décembre de la Tech-
nique aéronautique.
AUTOMOBILES
Procédé de freinage des remorques de
camions automobiles. — La difficulté que
l'on éprouve à avoir un serrage continu sur la
remorque, lorsque ces freins sont commandés
à partir du tracteur, vient de ce que la remor-
que est attelée au tracteur par l'intermédiaire
(1) Bureaux : 5, rue de l'Isly, Paris (So); abonnement :
24 francs pour la France, 30 francs pour l'étranger.
d'un ressort, qui, en se tendant ou se déten-
dant plus ou moins, fait varier la distance entre
le tracteur et la remorque.
On peut signaler, à ce sujet, le procédé
employé par la maison Latil pour empêcher
le ressort d'être une cause perturbatrice de
la régularité du freinage et l'employer, au
contraire, comme agent régulateur. A cet effet,
le câble actionné par le conducteurdu tracteur,
au lieu d'aller directement agir sur les freins
de la remorque, passe sur une poulie de ren-
voi solidaire du crochet d'attelage du tracteur
et, par suite, des mouvements dus au jeu du
ressort.
Le freinage de la remorque est ainsi assuré,
et, dans une descente, la remorque est en
équilibre, entre la légère traction exercée sur
elle par le crochet du tracteur et l'effort
retardateur exercé par ses freins.
CHEMINS DE FER
L'importance du matériel de transports
sur les chemins de fer des États-Unis. — Les
moyens de transport par voie ferrée sont uti-
lisés en Amérique dans une proportion beau-
coup plus grande que dans les autres pays.
Avant la guerre, il y était transporté près de
3 000 tonnes-milles par habitant, alors que la
moyenne des principaux pays d'Europe était à
peine de 480 tonnes-milles.
En 1918 le total des transports dépassait
1260 millions de tonnes (américaines de
907 kilogr.) aux États-Unis; avec les trans-
ports du Canada et du Mexique on arrivait à
un total de 1 330 millions de tonnes environ. Ces
chiffres devraient être majorés de 10 %, si on
ajoutait le combustible et les approvisionne-
ments divers à l'usage des chemins de fer.
Pour le transport des marchandises, les
chemins de fer des Etats-Unis disposent de
2 811 000 wagons leur appartenant let 175000
wagons appartenant à des particuliers ; l'ensem-
ble de ce matériel se divise à peu près égale-
ment en wagons fermés et wagons découverts.
La distance à laquelle les marchandises sont
transportées varie de 1 à 5 600 kilom. ; la
distance moyenne est de 523 kilomètres.
Les chemins de fer transportent environ un
voyageur pour deux tonnes de marchandises ;
mais la distance moyenne parcourue, par
voyageur, n'est que d'environ 25 de la dis-
tance moyenne à laquelle les marchandises
sont transportées. Le parcours kilométrique
des trains de voyageurs est d'environ 45 du
parcours kilométrique total des trains.
Les chemins de fer possèdent plus de
72 000 locomotives à voyageurs, à marchan-
dises et de gare : 509 sont des locomotives
électriques; parmi les autres, 2 900 environ
sont chauffées au pétrole.
D'après le rapport de W. H. WILLIAMS à
l'Association internationale des Chemins de
fer, publié dans son Bulletin d'octobre, auquel
sont empruntés tous ces chiffres, le voyage
d'un wagon de marchandises dure en moyenne
14,9 jours. Les chargements et décharge-
ments absorbent 36 de ce temps ; le wagon
passe 9 du même temps sur les voies de
réparation; son utilisation par le service de
l'exploitation n'est donc que de 55
Tubes spéciaux, dits S, pour chaudières
de locomotives. - Les tubes ordinaires
cylindriques, des chaudières de locomotives
ont été l'objet de divers perfectionnements,
par exemple la substitution aux tubes lisses
des tubes à ailettes Serve, qui ont une surface
supérieure, à dimensions égales. Ces tubes
sont toutefois peu employés, parce qu'ils s'en-
crassent plus rapidement et se nettoient moins
aisément.
La Zeitschrift des Vereines deutscher Inge-
nieure, du 1er octobre, signale un modèle de
tubes à cannelures en spirale, dits tubes S
(fig. 1 à 3), de fabrication suédoise, qui offre,
paraît-il, de réels avantages par rapport aux
tubes lisses, tout en étant d'un nettoyage très
facile.
Des essais comparatifs effectués par le pro-
fesseur Rosborg, de l'École technique supé-
rieure de Stockholm, avec des locomotives
similaires, mais équipées avec des tubes des
deux systèmes, auraient donné une économie
Fie. 1 à 3. — Vue extérieure et coupes
d'un tube S, pour chaudières de locomotives.
de charbon variant entre 10 et 18 %, avec les
tubes S, dont l'emploi est avantageux, surtout
pour les chaudières à tubes courts.
La profondeur des cannelures et leur pas
sont choisis de façon à ne pas créer une résis-
tance notable à la circulation des gaz de com-
bustion.
Les figures 2 et 3 montrent bien les pro-
portions adoptées dans la pratique.
CONSTRUCTIONS NAVALES
Dock d'épreuve pour sous-marin. — La
Revue maritime, de juin, mentionne la livraison
par les Allemands au port de Cherbourg d'un
dock spécial destiné à éprouver la solidité des
coques de sous-marins.
Il se compose d'un tube résistant ouvert à
une de ses extrémités; des ballasts assurent
sa stabilité et permettent de régler son immer-
sion.
Le tube et les ballasts sont munis de purges
et de remplissages, dont les commandes, ainsi
que les diverses turbines servant au remplis-
sage, à la vidange et à la compression de
l'eau, sont rassemblées dans une chambre de
manœuvre centrale..
Le sous-marin est introduit en surface dans
le tube ; l'extrémité ouverte est ensuite fermée
par une porte flottante de forme sphérique.
On refoule alors l'eau pour le remplir, puis
pour comprimer celle-ci à la pression d'essai
qui peut atteindre 10 kilogrammes.
Pendant la durée de l'essai, on peut péné-
trer dans l'intérieur du sous-marin, qui reste
à la pression atmosphérique, par un tube
résistant, boulonné sur l'emplacement d'un
panneau du sous-marin et débouchant dans la
chambre de machine centrale du dock.
ELECTRICITÉ
L'étude du fonctionnement d'un inter-
rupteur au moyen de la cinématographie. —
L'Electrician, du 7 octobre, en relatant des
essais faits sur les interrupteurs « tumbler »
de la Crabtree Co, fait ressortir l'importance
d'un fonctionnement rapide de ces appareils à
la fermeture. En effet, les lampes à filament de
tungstène, presque partout employées en
grand nombre et même en grandes puissances
unitaires, offrent un coefficient de résistance
négatif et donnent lieu à un afflux de courant
au moment de leur mise en circuit.
Un oscillographe Duddell, monté sur un
circuit à intensité normale de 6,6 ampères, a
enregistré un courant instantané de 39 am-
ceux des essais précédents, aux compressions
de cylindres de béton.
Plusieurs laboratoires scientifiques et indus-
triels sont d'ailleurs déjà pourvus de cette
machine, qui leur a permis d'obtenir des ré-
sultats fort intéressants.
M. Guillery termine en décrivant un petit
appareil de moulage pour éprouvettes de com-
pression; un dispositif extrêmement simple de
croisillons s'encastrant dans les rainures d'une
plaque de fonte permet un moulage très facile
et rapide de ces éprouvettes.
J. C.
BIBLIOGRAPHIE
REVUE DES PRINCIPALES PUBLICATIONS
TECHNIQUES
AÉRONAUTIQUE
Les essais effectués en usine sur les maté-
riaux utilisés en aviation. — La Technique
aéronautique, fondée jadis par notre distingué
collaborateur le lieutenant-colonel G. Espi-
tallier, et dont la guerre avait suspendu la
publication, vient de reparaître, sous une
direction nouvelle, à partir du 15 novembre 1921,
sous la forme d'une revue mensuelle (') com-
prenant, outre des articles inédits, une chro-
nique aéronautique, scientifique et industrielle,
le compte rendu des séances de la Société
française de Navigation aérienne, le bulletin de
l'Association française aérienne, et le bulletin
de l'Ecole supérieure d'Aéronautique. Son
rédacteur en chef est notre collaborateur
M. Lesage.
Dans le premier numéro de cette nouvelle
série, M. E. PITOIS, chef du Service de con-
trôle au Service des Fabrications de l'Aéro-
nautique, commence la publication d'une
étude concernant les essais effectués en usine,
sur les matériaux utilisés en aviation, étude à
laquelle a fait allusion M. Lesage dans son
article sur le Salon de la Locomotion aérienne
(voir ce même numéro du Génie Civil, p. 464).
L'auteur y remarque d'abord que le temps
est, heureusement, passé où les industriels se
soumettaient pour leurs essais aux exigences
des cahiers des charges, comme on subit un
règlement de police. Aujourd'hui, on les con-
sidère à juste titre comme la méthode essen-
tielle d'obtention des meilleurs produits au
meilleur prix de revient. Ils exigent naturelle-
ment une organisation rationnelle des labora-
toires, qui comprend elle-même quatre subdi-
visions : locaux, matériel, personnel, méthodes
d utilisation du laboratoire.
M. Pitois consacre à chacune de ces questions
un chapitre succinct, mais clair et précis,
donnant sous une forme condensée des direc-
tives extrêmement pratiques. Des tableaux,
accompagnés de croquis récapitulant les essais
à faire, leur nombre et les résultats à obtenir,
sont annexés à cette étude, qui se poursuivra
dans le numéro du 15 décembre de la Tech-
nique aéronautique.
AUTOMOBILES
Procédé de freinage des remorques de
camions automobiles. — La difficulté que
l'on éprouve à avoir un serrage continu sur la
remorque, lorsque ces freins sont commandés
à partir du tracteur, vient de ce que la remor-
que est attelée au tracteur par l'intermédiaire
(1) Bureaux : 5, rue de l'Isly, Paris (So); abonnement :
24 francs pour la France, 30 francs pour l'étranger.
d'un ressort, qui, en se tendant ou se déten-
dant plus ou moins, fait varier la distance entre
le tracteur et la remorque.
On peut signaler, à ce sujet, le procédé
employé par la maison Latil pour empêcher
le ressort d'être une cause perturbatrice de
la régularité du freinage et l'employer, au
contraire, comme agent régulateur. A cet effet,
le câble actionné par le conducteurdu tracteur,
au lieu d'aller directement agir sur les freins
de la remorque, passe sur une poulie de ren-
voi solidaire du crochet d'attelage du tracteur
et, par suite, des mouvements dus au jeu du
ressort.
Le freinage de la remorque est ainsi assuré,
et, dans une descente, la remorque est en
équilibre, entre la légère traction exercée sur
elle par le crochet du tracteur et l'effort
retardateur exercé par ses freins.
CHEMINS DE FER
L'importance du matériel de transports
sur les chemins de fer des États-Unis. — Les
moyens de transport par voie ferrée sont uti-
lisés en Amérique dans une proportion beau-
coup plus grande que dans les autres pays.
Avant la guerre, il y était transporté près de
3 000 tonnes-milles par habitant, alors que la
moyenne des principaux pays d'Europe était à
peine de 480 tonnes-milles.
En 1918 le total des transports dépassait
1260 millions de tonnes (américaines de
907 kilogr.) aux États-Unis; avec les trans-
ports du Canada et du Mexique on arrivait à
un total de 1 330 millions de tonnes environ. Ces
chiffres devraient être majorés de 10 %, si on
ajoutait le combustible et les approvisionne-
ments divers à l'usage des chemins de fer.
Pour le transport des marchandises, les
chemins de fer des Etats-Unis disposent de
2 811 000 wagons leur appartenant let 175000
wagons appartenant à des particuliers ; l'ensem-
ble de ce matériel se divise à peu près égale-
ment en wagons fermés et wagons découverts.
La distance à laquelle les marchandises sont
transportées varie de 1 à 5 600 kilom. ; la
distance moyenne est de 523 kilomètres.
Les chemins de fer transportent environ un
voyageur pour deux tonnes de marchandises ;
mais la distance moyenne parcourue, par
voyageur, n'est que d'environ 25 de la dis-
tance moyenne à laquelle les marchandises
sont transportées. Le parcours kilométrique
des trains de voyageurs est d'environ 45 du
parcours kilométrique total des trains.
Les chemins de fer possèdent plus de
72 000 locomotives à voyageurs, à marchan-
dises et de gare : 509 sont des locomotives
électriques; parmi les autres, 2 900 environ
sont chauffées au pétrole.
D'après le rapport de W. H. WILLIAMS à
l'Association internationale des Chemins de
fer, publié dans son Bulletin d'octobre, auquel
sont empruntés tous ces chiffres, le voyage
d'un wagon de marchandises dure en moyenne
14,9 jours. Les chargements et décharge-
ments absorbent 36 de ce temps ; le wagon
passe 9 du même temps sur les voies de
réparation; son utilisation par le service de
l'exploitation n'est donc que de 55
Tubes spéciaux, dits S, pour chaudières
de locomotives. - Les tubes ordinaires
cylindriques, des chaudières de locomotives
ont été l'objet de divers perfectionnements,
par exemple la substitution aux tubes lisses
des tubes à ailettes Serve, qui ont une surface
supérieure, à dimensions égales. Ces tubes
sont toutefois peu employés, parce qu'ils s'en-
crassent plus rapidement et se nettoient moins
aisément.
La Zeitschrift des Vereines deutscher Inge-
nieure, du 1er octobre, signale un modèle de
tubes à cannelures en spirale, dits tubes S
(fig. 1 à 3), de fabrication suédoise, qui offre,
paraît-il, de réels avantages par rapport aux
tubes lisses, tout en étant d'un nettoyage très
facile.
Des essais comparatifs effectués par le pro-
fesseur Rosborg, de l'École technique supé-
rieure de Stockholm, avec des locomotives
similaires, mais équipées avec des tubes des
deux systèmes, auraient donné une économie
Fie. 1 à 3. — Vue extérieure et coupes
d'un tube S, pour chaudières de locomotives.
de charbon variant entre 10 et 18 %, avec les
tubes S, dont l'emploi est avantageux, surtout
pour les chaudières à tubes courts.
La profondeur des cannelures et leur pas
sont choisis de façon à ne pas créer une résis-
tance notable à la circulation des gaz de com-
bustion.
Les figures 2 et 3 montrent bien les pro-
portions adoptées dans la pratique.
CONSTRUCTIONS NAVALES
Dock d'épreuve pour sous-marin. — La
Revue maritime, de juin, mentionne la livraison
par les Allemands au port de Cherbourg d'un
dock spécial destiné à éprouver la solidité des
coques de sous-marins.
Il se compose d'un tube résistant ouvert à
une de ses extrémités; des ballasts assurent
sa stabilité et permettent de régler son immer-
sion.
Le tube et les ballasts sont munis de purges
et de remplissages, dont les commandes, ainsi
que les diverses turbines servant au remplis-
sage, à la vidange et à la compression de
l'eau, sont rassemblées dans une chambre de
manœuvre centrale..
Le sous-marin est introduit en surface dans
le tube ; l'extrémité ouverte est ensuite fermée
par une porte flottante de forme sphérique.
On refoule alors l'eau pour le remplir, puis
pour comprimer celle-ci à la pression d'essai
qui peut atteindre 10 kilogrammes.
Pendant la durée de l'essai, on peut péné-
trer dans l'intérieur du sous-marin, qui reste
à la pression atmosphérique, par un tube
résistant, boulonné sur l'emplacement d'un
panneau du sous-marin et débouchant dans la
chambre de machine centrale du dock.
ELECTRICITÉ
L'étude du fonctionnement d'un inter-
rupteur au moyen de la cinématographie. —
L'Electrician, du 7 octobre, en relatant des
essais faits sur les interrupteurs « tumbler »
de la Crabtree Co, fait ressortir l'importance
d'un fonctionnement rapide de ces appareils à
la fermeture. En effet, les lampes à filament de
tungstène, presque partout employées en
grand nombre et même en grandes puissances
unitaires, offrent un coefficient de résistance
négatif et donnent lieu à un afflux de courant
au moment de leur mise en circuit.
Un oscillographe Duddell, monté sur un
circuit à intensité normale de 6,6 ampères, a
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