Titre : Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-10-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348662d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 68676 Nombre total de vues : 68676
Description : 08 octobre 1921 08 octobre 1921
Description : 1921/10/08 (A41,N15,T79). 1921/10/08 (A41,N15,T79).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6504200b
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302223
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2013
316 LE GENIE CIVIL TOME LXXIX - No 15
La situation des mines de fer
et de l'industrie métallurgique en Meurthe-et-Moselle.
Le département de Meurthe-et-Moselle (') donnait avant la
guerre près de 20 millions de tonnes de minerai, 3500000 tonnes
de fonte et 2 300 000 tonnes de lingots d'acier, soit : 91 de la
production française de minerai, 68 de sa production de fonte
et 50 de sa production de lingots d'acier.
Les Allemands occupèrent une grande partie du département
pendant la guerre et ne l'abandonnèrent après l'armistice qu'après
avoir dévasté avec raffinements toutes les usines métallur-
giques (4). Quant aux mines, ils en ont tiré parti avec une telle
« négligence dans l'entretien ou maladresse dans l'exploitation
que la perte par gaspillage atteint et même dépasse le tonnage
extrait », suivant les termes employés par M. Crussard, ingénieur
en chef des mines de Nancy.
Aussi, après l'armistice, alors que les Allemands avaient toutes
leurs installations industrielles intactes, les années 1919 et 1920
n'ont été pour les mines et industries métallurgiques du nord du
département de Meurthe-et-Moselle, qu'une période de recon-
struction. M. J. Seigle expose cette situation dans la Revue de
Métallurgie de juin.
Les mines de fer. — Le tableau ci-dessous donne en milliers de
tonnes les productions des minerais de fer pour les années 1919
et 1920, comparées à celles de 1913, pour les trois bassins:
1913 1919 1920
Bassin de Nancy.. 1894 629 = 35 de 1913 816 = 43 %de 1913
Bassin de Longwy. 2958 198 = 6,5 — 714 = 24 —
Bassin de Briey.. 15104 621 = 4 — 3466=23 —
TOTAL. 19956 1448 = 7,83 — 4996 = 25 —
Le rapide développement de l'exploitation du bassin de Briey
avait nécessité l'emploi d'une importante main-d'œuvre étrangère
(italienne surtout) ; il y avait, en 1913, environ 50 000 étrangers
dans l'arrondissement de Briey. A l'armistice, les cités construites
pour toute cette population étaient détruites ou inhabitables; ce
n'est qu'en 1920 que commencèrent à revenir les ouvriers italiens :
leur recrutement devra être recommencé et amplifié dès que
reprendra l'activité métallurgique.
L'Allemagne est maintenant un pays pauvre en minerai, mais
la privation des usines de Lorraine fait que les besoins de fer de
la nouvelle Allemagne seront très diminués. Et comme, d'autre
part, elle peut recourir dans une plus large mesure à des mine-
rais d'autre provenance, notre exportation de minette sera sans
doute fort diminuée.
Les usines métallurgiques, - Jusque vers le milieu de 1920, la
marche des hauts fourneaux du bassin de Nancy fut très ralentie
par le manque de coke; quant à la production des bassins envahis
de Briey et de Longwy, elle était alors encore bien faible, leurs
réparations se faisant lentement, faute de main-d'œuvre et de
moyens de transport.
La remise en marche des aciéries Thomas, entièrement
détruites pour la plupart, a été plus longue encore et ce n'est que
dans le courant de 1922 que les dernières aciéries seront prêtes
à fonctionner. Voici les chiffres comparatifs de production, en
milliers de tonnes, pour tout le département de Meurthe-et-Moselle :
1920
1913 1919 1" semestre 2- semestre Total
Acier Thomas 2142 200 143 415 558
Acier Martin. 157 15 9 31 40
TOTAL 2 299 215 152 446 598
Les transports. — Les difficultés de transport dont on a par-
tout souffert en France, pendant toute l'année 1919 et le premier
semestre 1920, ont eu une influence particulièrement nuisible
dans les régions dévastées, dont elles ont retardé les réparations.
Il n'est pas inutile de noter en passant que les nouveaux tarifs
sont quatre fois et demie à cinq fois plus forts que les anciens.
Il est bon de rappeler aussi l'intérêt considérable que présente,
pour l'industrie minière et métallurgique de Meurthe-et-Moselle,
le développement des canaux permettant de relier la Meurthe-et-
Moselle avec la Sarre, la Westphalie, le nord de la France, la
Belgique et l'Angleterre.
(1) Voir, au sujet de la situation générale de l'industrie métallurgique française, le
Génie Civil du 9 août 1919 (t. LXXV, no 6).
(2) Voir, à ce sujet, le Génie Civil des 29 mars 1919 (t. LXXIV, no 13) et
13 novembre 1920 (t. LXXVIII, DO 20).
Les besoins de combustibles. — En 1913, les usines métallur-
giques consommaient 4 millions de tonnes de coke et 600000
tonnes de charbon et les mines de fer environ 150000 tonnes de
charbon. En comptant 4 tonnes de charbon pour en produire
3 de coke, on voit que le département de Meurthe-et-Moselle avait
besoin de 6 millions de tonnes de charbon : c'est encore ce qu'il
faudra lui fournir pour revenir à la marche d'avant-guerre.
Mais pourrons-nous remonter à la production d'avant-guerre?
Le combustible est beaucoup plus cher en France que dans les
pays voisins. En décembre 1920, suivant M. Guy de Wendel (1),
le charbon et le coke coûtaient respectivement : en France
200 francs et 175 francs; en Angleterre, 115 et 175 francs, en
Allemagne, 47 et 65 francs; en Belgique, 90 à 100 francs et
145 francs. On peut se rendre compte de la différence de prix de
revient qui en résulte pour les divers produits métallurgiques et
de notre infériorité sur les marchés extérieurs.
Les prix de revient plus élevés contribuent évidemment à la
crise actuelle de la métallurgie, en France. Mais il existe aussi,
en Meurthe-et-Moselle, des causes spéciales qui aggravent cette
crise ; on peut citer : outre le manque de coke et son prix dont il
a été question, les arrivages trop variables de ce combustible;
l'interdiction d'exportation des fontes du 24 juillet au 24 oc-
tobre 1920 qui a permis à nos rivaux de nous supplanter à
l'étranger; et surtout la lenteur de la reconstruction des aciéries
Thomas, qui empêche l'allumage de plusieurs hauts fourneaux
prêts à fonctionner et en oblige d'autres à une production exagérée
de fonte de moulage.
La transmission pneumatique des messages
à bord des navires de guerre.
Ce mode de transmission, qui a été employé avec succès sur des
navires [de guerre, dérive de celui qu'ont adopté les Postes et
Télégraphes en Grande-Bretagne; l'Engineering, du 6 mai, en a
donné la description détaillée.
A chaque extrémité de la canalisation est branchée une pompe
à commande électrique, que surmontent deux silencieux et un
robinet à deux directions. Généralement, l'une de ces pompes
est montée sur le pont inférieur, tandis que l'autre est installée
dans la chambre réservée aux ventilateurs.
Les silencieux sont simplement des corps cylindriques sec-
tionnés intérieurement, au moyen de chicanes, de façon à diviser
FIG. 1. — Coupe d'une cartouche
pour transmission pneumatique.
la masse d'air et à obvier a
la transmission et à l'en-
traînement dans la canalisa-
tion des bruits très gênants
que provoquerait l'échappe-
ment des pompes. Leur
large section leur permet
également de jouer le rôle
de purgeurs ou de collec-
teurs de poussières, au fond
desquels tout corps étranger se dépose facilement en raison de la
faible vitesse de l'air à la traversée du silencieux. Chaque groupe
moto-pompe électrique peut développer une puissance de l'ordre
de 1 cheval à 1 cheval '/4, en tournant à la vitesse angulaire de
600 tours par minute et en assurant une pression maximum d'en-
viron 1 kilogr. dans les canalisations.
Celles-ci font normalement des coudes de lm 50 de rayon
environ, et n'en doivent jamais faire qui aient un rayon inférieur
à 45 ou 50 centimètres. Le diamètre des tubes de laiton employés
d'ordinaire est de 37 millimètres environ.
Les plis transportés se chargent à l'intérieur d'une sorte de
cartouche (fig. 1), dont le corps creux a, analogue à celui d'une
cartouche d'arme à feu, porte à l'avant un piston b en fibre
garnie de feutre. Un ressort c maintient le message à l'intérieur.
La vitesse de cette cartouche dans les canalisations atteint
30 kilom. à l'heure en moyenne ; il suffit d'une dizaine de secondes
pour assurer la transmission d'un message sur les plus longues
canalisations que comportent actuellement les gros navires
britanniques.
Les garanties de transmission sont d'une nature bien supé-
rieure à celles que donnerait la transmission phonique, surtout
en tenant compte des bruits du bord.
(1) Voir le discours de M. de Wendel, prononcé le 16 décembre 1920 à la
Chambre des Députés.
La situation des mines de fer
et de l'industrie métallurgique en Meurthe-et-Moselle.
Le département de Meurthe-et-Moselle (') donnait avant la
guerre près de 20 millions de tonnes de minerai, 3500000 tonnes
de fonte et 2 300 000 tonnes de lingots d'acier, soit : 91 de la
production française de minerai, 68 de sa production de fonte
et 50 de sa production de lingots d'acier.
Les Allemands occupèrent une grande partie du département
pendant la guerre et ne l'abandonnèrent après l'armistice qu'après
avoir dévasté avec raffinements toutes les usines métallur-
giques (4). Quant aux mines, ils en ont tiré parti avec une telle
« négligence dans l'entretien ou maladresse dans l'exploitation
que la perte par gaspillage atteint et même dépasse le tonnage
extrait », suivant les termes employés par M. Crussard, ingénieur
en chef des mines de Nancy.
Aussi, après l'armistice, alors que les Allemands avaient toutes
leurs installations industrielles intactes, les années 1919 et 1920
n'ont été pour les mines et industries métallurgiques du nord du
département de Meurthe-et-Moselle, qu'une période de recon-
struction. M. J. Seigle expose cette situation dans la Revue de
Métallurgie de juin.
Les mines de fer. — Le tableau ci-dessous donne en milliers de
tonnes les productions des minerais de fer pour les années 1919
et 1920, comparées à celles de 1913, pour les trois bassins:
1913 1919 1920
Bassin de Nancy.. 1894 629 = 35 de 1913 816 = 43 %de 1913
Bassin de Longwy. 2958 198 = 6,5 — 714 = 24 —
Bassin de Briey.. 15104 621 = 4 — 3466=23 —
TOTAL. 19956 1448 = 7,83 — 4996 = 25 —
Le rapide développement de l'exploitation du bassin de Briey
avait nécessité l'emploi d'une importante main-d'œuvre étrangère
(italienne surtout) ; il y avait, en 1913, environ 50 000 étrangers
dans l'arrondissement de Briey. A l'armistice, les cités construites
pour toute cette population étaient détruites ou inhabitables; ce
n'est qu'en 1920 que commencèrent à revenir les ouvriers italiens :
leur recrutement devra être recommencé et amplifié dès que
reprendra l'activité métallurgique.
L'Allemagne est maintenant un pays pauvre en minerai, mais
la privation des usines de Lorraine fait que les besoins de fer de
la nouvelle Allemagne seront très diminués. Et comme, d'autre
part, elle peut recourir dans une plus large mesure à des mine-
rais d'autre provenance, notre exportation de minette sera sans
doute fort diminuée.
Les usines métallurgiques, - Jusque vers le milieu de 1920, la
marche des hauts fourneaux du bassin de Nancy fut très ralentie
par le manque de coke; quant à la production des bassins envahis
de Briey et de Longwy, elle était alors encore bien faible, leurs
réparations se faisant lentement, faute de main-d'œuvre et de
moyens de transport.
La remise en marche des aciéries Thomas, entièrement
détruites pour la plupart, a été plus longue encore et ce n'est que
dans le courant de 1922 que les dernières aciéries seront prêtes
à fonctionner. Voici les chiffres comparatifs de production, en
milliers de tonnes, pour tout le département de Meurthe-et-Moselle :
1920
1913 1919 1" semestre 2- semestre Total
Acier Thomas 2142 200 143 415 558
Acier Martin. 157 15 9 31 40
TOTAL 2 299 215 152 446 598
Les transports. — Les difficultés de transport dont on a par-
tout souffert en France, pendant toute l'année 1919 et le premier
semestre 1920, ont eu une influence particulièrement nuisible
dans les régions dévastées, dont elles ont retardé les réparations.
Il n'est pas inutile de noter en passant que les nouveaux tarifs
sont quatre fois et demie à cinq fois plus forts que les anciens.
Il est bon de rappeler aussi l'intérêt considérable que présente,
pour l'industrie minière et métallurgique de Meurthe-et-Moselle,
le développement des canaux permettant de relier la Meurthe-et-
Moselle avec la Sarre, la Westphalie, le nord de la France, la
Belgique et l'Angleterre.
(1) Voir, au sujet de la situation générale de l'industrie métallurgique française, le
Génie Civil du 9 août 1919 (t. LXXV, no 6).
(2) Voir, à ce sujet, le Génie Civil des 29 mars 1919 (t. LXXIV, no 13) et
13 novembre 1920 (t. LXXVIII, DO 20).
Les besoins de combustibles. — En 1913, les usines métallur-
giques consommaient 4 millions de tonnes de coke et 600000
tonnes de charbon et les mines de fer environ 150000 tonnes de
charbon. En comptant 4 tonnes de charbon pour en produire
3 de coke, on voit que le département de Meurthe-et-Moselle avait
besoin de 6 millions de tonnes de charbon : c'est encore ce qu'il
faudra lui fournir pour revenir à la marche d'avant-guerre.
Mais pourrons-nous remonter à la production d'avant-guerre?
Le combustible est beaucoup plus cher en France que dans les
pays voisins. En décembre 1920, suivant M. Guy de Wendel (1),
le charbon et le coke coûtaient respectivement : en France
200 francs et 175 francs; en Angleterre, 115 et 175 francs, en
Allemagne, 47 et 65 francs; en Belgique, 90 à 100 francs et
145 francs. On peut se rendre compte de la différence de prix de
revient qui en résulte pour les divers produits métallurgiques et
de notre infériorité sur les marchés extérieurs.
Les prix de revient plus élevés contribuent évidemment à la
crise actuelle de la métallurgie, en France. Mais il existe aussi,
en Meurthe-et-Moselle, des causes spéciales qui aggravent cette
crise ; on peut citer : outre le manque de coke et son prix dont il
a été question, les arrivages trop variables de ce combustible;
l'interdiction d'exportation des fontes du 24 juillet au 24 oc-
tobre 1920 qui a permis à nos rivaux de nous supplanter à
l'étranger; et surtout la lenteur de la reconstruction des aciéries
Thomas, qui empêche l'allumage de plusieurs hauts fourneaux
prêts à fonctionner et en oblige d'autres à une production exagérée
de fonte de moulage.
La transmission pneumatique des messages
à bord des navires de guerre.
Ce mode de transmission, qui a été employé avec succès sur des
navires [de guerre, dérive de celui qu'ont adopté les Postes et
Télégraphes en Grande-Bretagne; l'Engineering, du 6 mai, en a
donné la description détaillée.
A chaque extrémité de la canalisation est branchée une pompe
à commande électrique, que surmontent deux silencieux et un
robinet à deux directions. Généralement, l'une de ces pompes
est montée sur le pont inférieur, tandis que l'autre est installée
dans la chambre réservée aux ventilateurs.
Les silencieux sont simplement des corps cylindriques sec-
tionnés intérieurement, au moyen de chicanes, de façon à diviser
FIG. 1. — Coupe d'une cartouche
pour transmission pneumatique.
la masse d'air et à obvier a
la transmission et à l'en-
traînement dans la canalisa-
tion des bruits très gênants
que provoquerait l'échappe-
ment des pompes. Leur
large section leur permet
également de jouer le rôle
de purgeurs ou de collec-
teurs de poussières, au fond
desquels tout corps étranger se dépose facilement en raison de la
faible vitesse de l'air à la traversée du silencieux. Chaque groupe
moto-pompe électrique peut développer une puissance de l'ordre
de 1 cheval à 1 cheval '/4, en tournant à la vitesse angulaire de
600 tours par minute et en assurant une pression maximum d'en-
viron 1 kilogr. dans les canalisations.
Celles-ci font normalement des coudes de lm 50 de rayon
environ, et n'en doivent jamais faire qui aient un rayon inférieur
à 45 ou 50 centimètres. Le diamètre des tubes de laiton employés
d'ordinaire est de 37 millimètres environ.
Les plis transportés se chargent à l'intérieur d'une sorte de
cartouche (fig. 1), dont le corps creux a, analogue à celui d'une
cartouche d'arme à feu, porte à l'avant un piston b en fibre
garnie de feutre. Un ressort c maintient le message à l'intérieur.
La vitesse de cette cartouche dans les canalisations atteint
30 kilom. à l'heure en moyenne ; il suffit d'une dizaine de secondes
pour assurer la transmission d'un message sur les plus longues
canalisations que comportent actuellement les gros navires
britanniques.
Les garanties de transmission sont d'une nature bien supé-
rieure à celles que donnerait la transmission phonique, surtout
en tenant compte des bruits du bord.
(1) Voir le discours de M. de Wendel, prononcé le 16 décembre 1920 à la
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