Titre : Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-08-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348662d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 68676 Nombre total de vues : 68676
Description : 06 août 1921 06 août 1921
Description : 1921/08/06 (A41,N6,T79). 1921/08/06 (A41,N6,T79).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6504191t
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302223
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2013
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- SOMMAIRE.
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- .......... Page(s) .......... 137
- .......... Page(s) .......... 137
- .......... Page(s) .......... 140
- ANNONCES: Informations diverses.
128
LE GENIE CIVIL
TOME LXXIX No 6
Présence d'armatures longitudinales. - La présence d'armatures
longitudinales n'est pas un empêchement à l'application de la
méthode que nous étudions, à condition que dans l'état élastique
créé par le décintrement, elles soient inutiles à la stabilité, au
droit de la section de clavage. Comme on est maître de la distri-
bution des charges au moment du décintrement, cette condition
pourra toujours être réalisée.
Il conviendra, comme il est par ailleurs logique, de distribuer
les armatures à la périphérie de la section, au droit de laquelle
elles seront interrompues. Elles seront laissées hors du béton,
ou bien remises à nu par repiquage après le décintrement. Ceci
fait, on les reliera aisément par des barres disposées en couvre-
joint et noyées dans du béton frais. Il sera bon de prévoir le
prolongement, dans ce béton, d'armatures transversales nom-
breuses, pour assurer sa bonne liaison à la masse de la voûte.
CRÉATION DES PRESSIONS. J'ai réalisé des soulèvements de
voûtes avec des coins en acier et même en bois, mais le seul
moyen vraiment pratique est le vérin hydraulique.
J'emploie couramment des vérins en acier forgé de 0m 40 de
diamètre extérieur, de 0m 15 de hauteur totale et 0m 08 de course
maximum. Ils sont établis pour des pressions de 500 tonnes,
qu'ils transmettent au béton par l'intermédiaire de plaques d'appui
carrées de 40 centimètres de côté. Chaque vérin est muni de deux
orifices qu'on peut à volonté fermer ou munir d'une tubulure de
jonction aux autres vérins ou aux pompes.
Celles-ci sont munies chacune d'un manomètre, d'un robinet
d'isolement et d'un robinet de détente, dont l'action peut être
aussi lente qu'on le désire.
La sûreté de fonctionnement de ce matériel est très remar-
quable. Aux basses pressions, on observe quelquefois de légers
suintements; ils disparaissent complètement aux pressions élevées
qui assurent un contact parfait des garnitures. On peut maintenir
les charges très longtemps.
Ces dispositions permettent de créer des pressions d'intensité
quelconque et connue. En divisant les vérins en groupes indé-
pendants, au point de vue du remplissage, on se donne la faculté
de déplacer à son
gré, au cours de
l'opération, le cen-
tre d'application
de ces pressions.
En ce cas, il faut
se mettre en garde
contre l'abaisse-
ment accidentel de
la pression dans un
des groupes des
vérins, ce qui ex-
poserait les autres
à des surcharges
imprévues, et
pourrait détermi-
ner dans la voûte
des déformations
dangereuses. A
- - - - -
FJG. 14. Schéma du groupement des vérins
pour le décintrement du pont
de Villeneuve-sur-Lot.
Villeneuve, les vérins étaient disposés suivant le schéma (lig. 14) ;
ils formaient à volonté un ou deux groupes indépendants, par la
simple manœuvre d'un pointeau. Une troisième pompe était en
réserve, prête à remplacer une des pompes en service, en cas
d'avarie.
Conduite de l'opération. Tout étant disposé pour per-
mettre de créer une pression de grandeur et de position variable
à notre gré, nous mettons en action les vérins, en suivant les
variations de l'état élastique de l'arc par l'observation des valeurs
des pressions dans chaque groupe des vérins et les déformations
provoquées : notamment les dimensions de l'ouverture du joint,
les déplacements des culées, les flèches et les déformations locales
en divers points de la voûte, d'où l'on pourra déduire directement
les fatigues : la valeur de E pouvant être connue, comme je l'ai
déjà indiqué.
Lorsque l'ensemble des renseignements et des contrôles
recueillis fera connaître que l'état élastique désiré est réalisé, on
immobilisera les vérins et on procédera au remplissage des joints,
par exemple en mortier de ciment. Après un durcissement suffi-
sant de celui-ci, on pourra supprimer la pression dans les vérins.
L'emploi de mortiers à durcissement rapide permettra de réduire
à quelques heures le délai de maintien en charge des vérins.
Simplifications. On peut simplifier beaucoup l'opération
quand il est possible de connaître à l'avance les dimensions des
cales de clavage, ce qui est le cas de beaucoup le plus fréquent.
On peut alors préparer, comme à Villeneuve-sur-Lot, des cales
de dimension convenable, ouvrir un joint un peu trop large,
introduire les cales et laisser le joint se refermer sur elles.
Un groupe unique de vérins et une seule pompe suffisent en
général pour réaliser cette manœuvre, qui est d'une extrême
simplicité. Un seul homme soulève la voûte au-dessus du cintre,
1 abaisse à nouveau, la relève, la manie à son gré, puis l'immobilise
dans la position choisie, avec une impressionnante précision. On
est bien loin de la complexité et des aléas du décintrement d'une
grande voûte par abaissement du cintre.
J'ai indiqué que l'opération elle-même fournit des renseigne-
ments utiles à la fixation des dimensions des cales. Pour bénéficier
de ces renseignements, on pourra, soit effectuer à l'avance une
opération à blanc, soit préparer des jeux de cales d'épaisseurs
diverses, entre lesquels on pourra se déterminer, d'après les
circonstances du soulèvement.
On peut aussi constituer des cales d'épaisseur variable. Au
Veurdre, elles étaient formées par des piles de feuillards. Au
Bernand, on devait les réaliser par une série de coins d'acier à
faible pente, maintenus constamment serrés au cours de l'élargis-
sement du joint. Celui-ci devait être provoqué par l'action de
quatre groupes indépendants de vérins, disposés de manière à
pouvoir maintenir constamment le parallélisme des faces selon la
verticale et provoquer éventuellement une déviation angulaire
horizontale de la fibre moyenne.
Dans ce système, le clavage est constamment réalisé, et l'on
peut, à un moment quelconque non prévu d'avance, suspendre
l'opération et supprimer la pression dans tout ou partie des vérins.
Il peut arriver que l'épaisseur calculée à une des extrémités
des cales soit négative. En ce cas, on substituera au joint sans
épaisseur un joint épais, qui pourra être obtenu en disposant, à
la construction, une cale préparée d'avance entre les deux tronçons
de la voûte. On enlèvera cette cale et on lui substituera une cale
de clavage dont les épaisseurs comprendront la cale théorique
et la cale de construction.
E. FREYSSINET,
(A suivre.) Ingénieur des Ponts et Chaussées, en disponibilité.
*
TRAVAUX PUBLICS
LE VIe CONGRÈS NATIONAL DE LA NAVIGATION INTÉRIEURE
(Rouen, 5-9 juillet 1921).
(Suite et fin'.)
LE CANAL DU NORD-EST. Nul n'était plus qualifié que
M. DREUX, président de la Région économique de l'Est, de la
Chambre de Commerce de Nancy, et des Aciéries de Longwy,
pour traiter du canal du Nord-Est (fig. 1), dont il préconise
l'exécution depuis le début du siècle.
Dès 1871, au lendemain du traité de Francfort, on songea à
canaliser la Chiers. On évaluait alors à 450000 tonnes le trafic de
la voie nouvelle. M. de Freycinet, en 1879, classa les canaux de
la Chiers et de l'Escaut à la Meuse au nombre des artères à
réaliser d'urgence, les industriels garantissant un péage annuel
de 300 000 francs.
En 1900, MM. Millerand et Baudin reprirent le projet, et l'on
admit pour la Chiers un trafic de 1 million de tonnes et pour la
voie Escaut-Meuse un tonnage de 2300 000 tonnes. Le coût du
canal du Nord-Est avait été évalué à cette époque à 120 millions.
Les houillères du Nord s'étant refusées à contribuer à la dépense,
le Sénat ne ratifia pas le vote de la Chambre.
La question fut reprise ensuite, en 1908 par M. Barthou, et
M l'Inspecteur général Jozon fixa à 118 millions le coût du canal
Escaut-Meuse, à 32 millions celui de la Chiers jusqu'à Longuyon,
à 25 millions le prix d'une dérivation Longuyon-Longwy, à
53 millions celui de la section Longuyon-Jœuf, par Briey.
(1) Voir le Génie Civil des 23 et 30 juillet 1921 (t. LXXIX, no. 4 et 5, p. 80 et 108).
LE GENIE CIVIL
TOME LXXIX No 6
Présence d'armatures longitudinales. - La présence d'armatures
longitudinales n'est pas un empêchement à l'application de la
méthode que nous étudions, à condition que dans l'état élastique
créé par le décintrement, elles soient inutiles à la stabilité, au
droit de la section de clavage. Comme on est maître de la distri-
bution des charges au moment du décintrement, cette condition
pourra toujours être réalisée.
Il conviendra, comme il est par ailleurs logique, de distribuer
les armatures à la périphérie de la section, au droit de laquelle
elles seront interrompues. Elles seront laissées hors du béton,
ou bien remises à nu par repiquage après le décintrement. Ceci
fait, on les reliera aisément par des barres disposées en couvre-
joint et noyées dans du béton frais. Il sera bon de prévoir le
prolongement, dans ce béton, d'armatures transversales nom-
breuses, pour assurer sa bonne liaison à la masse de la voûte.
CRÉATION DES PRESSIONS. J'ai réalisé des soulèvements de
voûtes avec des coins en acier et même en bois, mais le seul
moyen vraiment pratique est le vérin hydraulique.
J'emploie couramment des vérins en acier forgé de 0m 40 de
diamètre extérieur, de 0m 15 de hauteur totale et 0m 08 de course
maximum. Ils sont établis pour des pressions de 500 tonnes,
qu'ils transmettent au béton par l'intermédiaire de plaques d'appui
carrées de 40 centimètres de côté. Chaque vérin est muni de deux
orifices qu'on peut à volonté fermer ou munir d'une tubulure de
jonction aux autres vérins ou aux pompes.
Celles-ci sont munies chacune d'un manomètre, d'un robinet
d'isolement et d'un robinet de détente, dont l'action peut être
aussi lente qu'on le désire.
La sûreté de fonctionnement de ce matériel est très remar-
quable. Aux basses pressions, on observe quelquefois de légers
suintements; ils disparaissent complètement aux pressions élevées
qui assurent un contact parfait des garnitures. On peut maintenir
les charges très longtemps.
Ces dispositions permettent de créer des pressions d'intensité
quelconque et connue. En divisant les vérins en groupes indé-
pendants, au point de vue du remplissage, on se donne la faculté
de déplacer à son
gré, au cours de
l'opération, le cen-
tre d'application
de ces pressions.
En ce cas, il faut
se mettre en garde
contre l'abaisse-
ment accidentel de
la pression dans un
des groupes des
vérins, ce qui ex-
poserait les autres
à des surcharges
imprévues, et
pourrait détermi-
ner dans la voûte
des déformations
dangereuses. A
- - - - -
FJG. 14. Schéma du groupement des vérins
pour le décintrement du pont
de Villeneuve-sur-Lot.
Villeneuve, les vérins étaient disposés suivant le schéma (lig. 14) ;
ils formaient à volonté un ou deux groupes indépendants, par la
simple manœuvre d'un pointeau. Une troisième pompe était en
réserve, prête à remplacer une des pompes en service, en cas
d'avarie.
Conduite de l'opération. Tout étant disposé pour per-
mettre de créer une pression de grandeur et de position variable
à notre gré, nous mettons en action les vérins, en suivant les
variations de l'état élastique de l'arc par l'observation des valeurs
des pressions dans chaque groupe des vérins et les déformations
provoquées : notamment les dimensions de l'ouverture du joint,
les déplacements des culées, les flèches et les déformations locales
en divers points de la voûte, d'où l'on pourra déduire directement
les fatigues : la valeur de E pouvant être connue, comme je l'ai
déjà indiqué.
Lorsque l'ensemble des renseignements et des contrôles
recueillis fera connaître que l'état élastique désiré est réalisé, on
immobilisera les vérins et on procédera au remplissage des joints,
par exemple en mortier de ciment. Après un durcissement suffi-
sant de celui-ci, on pourra supprimer la pression dans les vérins.
L'emploi de mortiers à durcissement rapide permettra de réduire
à quelques heures le délai de maintien en charge des vérins.
Simplifications. On peut simplifier beaucoup l'opération
quand il est possible de connaître à l'avance les dimensions des
cales de clavage, ce qui est le cas de beaucoup le plus fréquent.
On peut alors préparer, comme à Villeneuve-sur-Lot, des cales
de dimension convenable, ouvrir un joint un peu trop large,
introduire les cales et laisser le joint se refermer sur elles.
Un groupe unique de vérins et une seule pompe suffisent en
général pour réaliser cette manœuvre, qui est d'une extrême
simplicité. Un seul homme soulève la voûte au-dessus du cintre,
1 abaisse à nouveau, la relève, la manie à son gré, puis l'immobilise
dans la position choisie, avec une impressionnante précision. On
est bien loin de la complexité et des aléas du décintrement d'une
grande voûte par abaissement du cintre.
J'ai indiqué que l'opération elle-même fournit des renseigne-
ments utiles à la fixation des dimensions des cales. Pour bénéficier
de ces renseignements, on pourra, soit effectuer à l'avance une
opération à blanc, soit préparer des jeux de cales d'épaisseurs
diverses, entre lesquels on pourra se déterminer, d'après les
circonstances du soulèvement.
On peut aussi constituer des cales d'épaisseur variable. Au
Veurdre, elles étaient formées par des piles de feuillards. Au
Bernand, on devait les réaliser par une série de coins d'acier à
faible pente, maintenus constamment serrés au cours de l'élargis-
sement du joint. Celui-ci devait être provoqué par l'action de
quatre groupes indépendants de vérins, disposés de manière à
pouvoir maintenir constamment le parallélisme des faces selon la
verticale et provoquer éventuellement une déviation angulaire
horizontale de la fibre moyenne.
Dans ce système, le clavage est constamment réalisé, et l'on
peut, à un moment quelconque non prévu d'avance, suspendre
l'opération et supprimer la pression dans tout ou partie des vérins.
Il peut arriver que l'épaisseur calculée à une des extrémités
des cales soit négative. En ce cas, on substituera au joint sans
épaisseur un joint épais, qui pourra être obtenu en disposant, à
la construction, une cale préparée d'avance entre les deux tronçons
de la voûte. On enlèvera cette cale et on lui substituera une cale
de clavage dont les épaisseurs comprendront la cale théorique
et la cale de construction.
E. FREYSSINET,
(A suivre.) Ingénieur des Ponts et Chaussées, en disponibilité.
*
TRAVAUX PUBLICS
LE VIe CONGRÈS NATIONAL DE LA NAVIGATION INTÉRIEURE
(Rouen, 5-9 juillet 1921).
(Suite et fin'.)
LE CANAL DU NORD-EST. Nul n'était plus qualifié que
M. DREUX, président de la Région économique de l'Est, de la
Chambre de Commerce de Nancy, et des Aciéries de Longwy,
pour traiter du canal du Nord-Est (fig. 1), dont il préconise
l'exécution depuis le début du siècle.
Dès 1871, au lendemain du traité de Francfort, on songea à
canaliser la Chiers. On évaluait alors à 450000 tonnes le trafic de
la voie nouvelle. M. de Freycinet, en 1879, classa les canaux de
la Chiers et de l'Escaut à la Meuse au nombre des artères à
réaliser d'urgence, les industriels garantissant un péage annuel
de 300 000 francs.
En 1900, MM. Millerand et Baudin reprirent le projet, et l'on
admit pour la Chiers un trafic de 1 million de tonnes et pour la
voie Escaut-Meuse un tonnage de 2300 000 tonnes. Le coût du
canal du Nord-Est avait été évalué à cette époque à 120 millions.
Les houillères du Nord s'étant refusées à contribuer à la dépense,
le Sénat ne ratifia pas le vote de la Chambre.
La question fut reprise ensuite, en 1908 par M. Barthou, et
M l'Inspecteur général Jozon fixa à 118 millions le coût du canal
Escaut-Meuse, à 32 millions celui de la Chiers jusqu'à Longuyon,
à 25 millions le prix d'une dérivation Longuyon-Longwy, à
53 millions celui de la section Longuyon-Jœuf, par Briey.
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