Titre : Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-08-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348662d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 68676 Nombre total de vues : 68676
Description : 06 août 1921 06 août 1921
Description : 1921/08/06 (A41,N6,T79). 1921/08/06 (A41,N6,T79).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6504191t
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302223
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2013
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- SOMMAIRE.
- .......... Page(s) .......... 121
- .......... Page(s) .......... 131
- .......... Page(s) .......... 132
- .......... Page(s) .......... 134
- .......... Page(s) .......... 135
- .......... Page(s) .......... 136
- .......... Page(s) .......... 137
- .......... Page(s) .......... 137
- .......... Page(s) .......... 140
- ANNONCES: Informations diverses.
134 LE GENIE CIVÎL TOME LXXIX No 6
tutives suffit pour la fixer aux rails, sans recourir à aucune sorte
d'attache (crampons, tirefonds, selles ou boulons). Lorsque ce
dispositif est appliqué à des traverses en bois, le cube de matière
employée est inférieur d'un tiers à celui des traverses ordinaires.
La traverse se compose d'un madrier central placé de champ
et possédant deux entailles, dont l'un des côtés épouse exactement
la forme du profil des rails à maintenir. Sous chacun de ces der-
niers, deux autres madriers de faibles dimensions, et également
placés de champ, sont munis d'une entaille identique, mais dis-
posée de telle sorte qu'une fois accolés aux rails, l'enfoncement,
dans les trous correspondants, de quatre broches en bois (deux
par rail) suffit pour assembler les cinq madriers et maintenir
en même temps, d'une façon très énergique, les rails encastrés
dans la poutre ainsi constituée.
Montage. Après avoir préparé dans le ballast de la voie
l'emplacement nécessaire, on passe le madrier central sous les
rails; on le soulève pour engager les patins des rails dans ses
entailles, puis on le glisse dans le sens convenable jusqu'à ce que
les parties profilées desdites entailles viennent exactement
coïncider avec les rails; on approche ensuite les petits madriers
et on les dispose de manière que les trous destinés aux broches
d'assemblage correspondent bien entre eux. On enfonce alors
ces broches avec un marleau; on fixe les semelles, au moyen de
clés, de chevilles en bois ou de simples pointes, et le montage est
terminé.
Avantages. On fait valoir, en faveur de ce système, qu'il
assure des économies :
1° D'un tiers sur le volume de matière employée;
2° De la totalité des tirefonds, crampons ou boulons: selles et
coussinets ;
30 D'entretien, par réduction du travail nécessaire aux simples
bourrages, relevages ou dressages des voies ;
4° De main-d'œuvre et d'outillage, grâce à la suppression des clés
à tirefonds, des clés à boulons, des tarières, des herminettes, etc.;
5° De transports et manutentions, grâce au poids réduit des élé-
ments de la traverse;
6° De remplacement des traverses hors d'usage, puisqu'il est
possible de ne remplacer que les parties usées.
La traverse Marcel est applicable à tous les profils de rails;
pour les voies armées en rails à double champignon, elle permet
de supprimer les coussinets en fonte ou en acier, et leurs coins.
Utilisée pour le soutien des joints de rails, elle fait disparaître
les inconvénients résultant du relâchement des éclisses, par suite
du desserrage de leurs boulons.
Au point de vue sécurité, toutes les garanties données par
les traverses ordinaires le sont également par celle-ci. La surface
portante est la même; celle s'opposant aux déplacements trans-
versaux est supérieure; la diminution de poids résultant du faible
volume de matière employée est compensée par la charge plus
forte du [hallast agissant sur les semelles inférieures de la tra-
verse; la résistance au cheminement des rails est plus grande.
D'autre part, les dangers de rupture provenant de la tendance
qu'ont certains ouvriers à bourrer les traverses dans leur partie
médiane, disparaissent. Enfin, d'une manière générale, la tra-
verse Marcel répond aux exigences de la Convention de Berne,
concernant les garanties de sécurité que doit présenter le matériel
de chemins de fer.
E. LmwENGuTH,
Chef de section aux Chemins de fer de l'hat.
Situation des industries minière et sidérurgique
aux Etats-Unis, en 1920.
L'année 1920 a été dans son ensemble une année plutôt privi-
légiée en ce qui concerne les industries minière et sidérurgique
aux Etats-Unis. Le Comité des Forges de France, dans son Bulle-
tin du 3 juin, fait connaître leur situation actuelle et leurs progrès.
Le tableau ci-joint donne la production totale annuelle en 1910
et depuis 1913, exprimée en millions de tonnes de 907 kilogr.
pour la houille et l'anthracite, le coke métallurgique, et le mine-
rai de fer et en millions de tonnes de 1 016 kilogr. pour la fonte
et pour l'acier :
Houille et Coke Minerai
Année anthracite métallurgique de fer Fonte Acier
- - - - - -
1910 502 42 57 27 26
1913 513 35 41 23 24
1915 532 42 56 30 32
1916 590 55 75 39 43
1917 651 56 75 39 45
1918 678 56 70 39 44
1919 545 45 60 31 35
1920 645 52 68 37 41 (*)
(*) Suivant estimation.
Houille et anthracite. En 1920, la production surpasse celle
de toutes les années antérieures, à l'exception des années de guerre
très légèrement supérieures. La valeur de la production de la
houille sur le carreau de la mine en 1920 est évaluée à 2 225 mil-
lions de dollars, chiffre qui n'avait jamais été atteint; l'activité
de cette industrie s'est trouvée stimulée, il est vrai, par l'ac-
croissement des demandes de l'étranger.
La consommation intérieure a été sensiblement plus élevée
qu'en 1919, et cependant les transports ont été grandement gênés
par la grève des aiguilleurs et la pénurie de wagons.
Les salaires étaient de 0,71 $ l'heure en moyenne pour les
ouvriers du fond, représentant 77 du nombre total, et de 0,45 $
pour les ouvriers de la surface. Les salaires ont progressé de la
façon suivante, sur ceux de 1913 :
1919 Avril 1920
Piqueur à la main. 53, 7 71,8
à la machine 77,9 109,6
« Pipemen » 101,8 113
Fermeurs de porte (jeunes gens) 128,8 140,9
Toutes catégories. 79,6 104,4
Au mois de septembre, une augmentation de 10 fut accordée
aux mineurs à la tâche, et une de 1,5 $ par jour aux mineurs à
temps. Les bénéfices exagérés des exploitants servirent de prétexte
aux mineurs pour justifier leurs demandes d'augmentation. Voici,
en effet, ce qu'ils étaient à différentes époques d'après la « Fédéral
Trade Commission » :
Prix de vente Prix de revient Bénéfice
moyen au puits de la tonne par tonne
Janvier 2,78$2,32$0,42$
Mai. 3,23 2,72 0,51
Juin 3,44 2,69 0,74
Le commerce extérieur de l'année 1920 fait, plus que tout,
ressortir la situation prospère de l'industrie charbonnière aux
Etats-Unis; le chiffre des exportations a atteint près de 40 millions
de tonnes métriques, presque le double d'avant-guerre et supé-
rieur de 46 à celui de 1917. Les principaux pays destinataires
sont : le Canada 14 500000 tonnes, la France 3 650 000 tonnes,
l'Italie 2 400000 tonnes et les Pays-Bas 2 150 000 tonnes. La crise
anglaise et la baisse du fret ont grandement favorisé l'augmen-
tation de ces exportations.
Coke métallurgique. La production totale de coke métallur-
gique pendant l'année 1920 est estimée à 50 millions de tonnes
métriques, en augmentation de 15 sur 1919 et de 11 sur 1913,
année qui avait atteint le maximum d'avant-guerre, et inférieure
seulement de 10,5 sur 1918.
La proportion fournie par les fours à récupération a atteint
60 %; or, ce n'est que l'année précédente qu'elle avait, pour la
première fois, légèrement dépassé celle des fours à ruches. A
noter, à ce sujet, que dans le courant de l'année, 853 nouveaux
fours à récupération ont été terminés et qu'il y en avait en
décembre 580 en construction.
La moyenne des prix pour l'ensemble de l'année peut s'établir
à 11,33 $ pour le coke de haut fourneau et 12,31 $ pour celui de
fonderie.
Minerai de fer. Les statistiques du « Geological Survey »
estiment à près de 69 millions de tonnes métriques la production
du minerai de fer non manganésifère, chiffre supérieur de 12
tutives suffit pour la fixer aux rails, sans recourir à aucune sorte
d'attache (crampons, tirefonds, selles ou boulons). Lorsque ce
dispositif est appliqué à des traverses en bois, le cube de matière
employée est inférieur d'un tiers à celui des traverses ordinaires.
La traverse se compose d'un madrier central placé de champ
et possédant deux entailles, dont l'un des côtés épouse exactement
la forme du profil des rails à maintenir. Sous chacun de ces der-
niers, deux autres madriers de faibles dimensions, et également
placés de champ, sont munis d'une entaille identique, mais dis-
posée de telle sorte qu'une fois accolés aux rails, l'enfoncement,
dans les trous correspondants, de quatre broches en bois (deux
par rail) suffit pour assembler les cinq madriers et maintenir
en même temps, d'une façon très énergique, les rails encastrés
dans la poutre ainsi constituée.
Montage. Après avoir préparé dans le ballast de la voie
l'emplacement nécessaire, on passe le madrier central sous les
rails; on le soulève pour engager les patins des rails dans ses
entailles, puis on le glisse dans le sens convenable jusqu'à ce que
les parties profilées desdites entailles viennent exactement
coïncider avec les rails; on approche ensuite les petits madriers
et on les dispose de manière que les trous destinés aux broches
d'assemblage correspondent bien entre eux. On enfonce alors
ces broches avec un marleau; on fixe les semelles, au moyen de
clés, de chevilles en bois ou de simples pointes, et le montage est
terminé.
Avantages. On fait valoir, en faveur de ce système, qu'il
assure des économies :
1° D'un tiers sur le volume de matière employée;
2° De la totalité des tirefonds, crampons ou boulons: selles et
coussinets ;
30 D'entretien, par réduction du travail nécessaire aux simples
bourrages, relevages ou dressages des voies ;
4° De main-d'œuvre et d'outillage, grâce à la suppression des clés
à tirefonds, des clés à boulons, des tarières, des herminettes, etc.;
5° De transports et manutentions, grâce au poids réduit des élé-
ments de la traverse;
6° De remplacement des traverses hors d'usage, puisqu'il est
possible de ne remplacer que les parties usées.
La traverse Marcel est applicable à tous les profils de rails;
pour les voies armées en rails à double champignon, elle permet
de supprimer les coussinets en fonte ou en acier, et leurs coins.
Utilisée pour le soutien des joints de rails, elle fait disparaître
les inconvénients résultant du relâchement des éclisses, par suite
du desserrage de leurs boulons.
Au point de vue sécurité, toutes les garanties données par
les traverses ordinaires le sont également par celle-ci. La surface
portante est la même; celle s'opposant aux déplacements trans-
versaux est supérieure; la diminution de poids résultant du faible
volume de matière employée est compensée par la charge plus
forte du [hallast agissant sur les semelles inférieures de la tra-
verse; la résistance au cheminement des rails est plus grande.
D'autre part, les dangers de rupture provenant de la tendance
qu'ont certains ouvriers à bourrer les traverses dans leur partie
médiane, disparaissent. Enfin, d'une manière générale, la tra-
verse Marcel répond aux exigences de la Convention de Berne,
concernant les garanties de sécurité que doit présenter le matériel
de chemins de fer.
E. LmwENGuTH,
Chef de section aux Chemins de fer de l'hat.
Situation des industries minière et sidérurgique
aux Etats-Unis, en 1920.
L'année 1920 a été dans son ensemble une année plutôt privi-
légiée en ce qui concerne les industries minière et sidérurgique
aux Etats-Unis. Le Comité des Forges de France, dans son Bulle-
tin du 3 juin, fait connaître leur situation actuelle et leurs progrès.
Le tableau ci-joint donne la production totale annuelle en 1910
et depuis 1913, exprimée en millions de tonnes de 907 kilogr.
pour la houille et l'anthracite, le coke métallurgique, et le mine-
rai de fer et en millions de tonnes de 1 016 kilogr. pour la fonte
et pour l'acier :
Houille et Coke Minerai
Année anthracite métallurgique de fer Fonte Acier
- - - - - -
1910 502 42 57 27 26
1913 513 35 41 23 24
1915 532 42 56 30 32
1916 590 55 75 39 43
1917 651 56 75 39 45
1918 678 56 70 39 44
1919 545 45 60 31 35
1920 645 52 68 37 41 (*)
(*) Suivant estimation.
Houille et anthracite. En 1920, la production surpasse celle
de toutes les années antérieures, à l'exception des années de guerre
très légèrement supérieures. La valeur de la production de la
houille sur le carreau de la mine en 1920 est évaluée à 2 225 mil-
lions de dollars, chiffre qui n'avait jamais été atteint; l'activité
de cette industrie s'est trouvée stimulée, il est vrai, par l'ac-
croissement des demandes de l'étranger.
La consommation intérieure a été sensiblement plus élevée
qu'en 1919, et cependant les transports ont été grandement gênés
par la grève des aiguilleurs et la pénurie de wagons.
Les salaires étaient de 0,71 $ l'heure en moyenne pour les
ouvriers du fond, représentant 77 du nombre total, et de 0,45 $
pour les ouvriers de la surface. Les salaires ont progressé de la
façon suivante, sur ceux de 1913 :
1919 Avril 1920
Piqueur à la main. 53, 7 71,8
à la machine 77,9 109,6
« Pipemen » 101,8 113
Fermeurs de porte (jeunes gens) 128,8 140,9
Toutes catégories. 79,6 104,4
Au mois de septembre, une augmentation de 10 fut accordée
aux mineurs à la tâche, et une de 1,5 $ par jour aux mineurs à
temps. Les bénéfices exagérés des exploitants servirent de prétexte
aux mineurs pour justifier leurs demandes d'augmentation. Voici,
en effet, ce qu'ils étaient à différentes époques d'après la « Fédéral
Trade Commission » :
Prix de vente Prix de revient Bénéfice
moyen au puits de la tonne par tonne
Janvier 2,78$2,32$0,42$
Mai. 3,23 2,72 0,51
Juin 3,44 2,69 0,74
Le commerce extérieur de l'année 1920 fait, plus que tout,
ressortir la situation prospère de l'industrie charbonnière aux
Etats-Unis; le chiffre des exportations a atteint près de 40 millions
de tonnes métriques, presque le double d'avant-guerre et supé-
rieur de 46 à celui de 1917. Les principaux pays destinataires
sont : le Canada 14 500000 tonnes, la France 3 650 000 tonnes,
l'Italie 2 400000 tonnes et les Pays-Bas 2 150 000 tonnes. La crise
anglaise et la baisse du fret ont grandement favorisé l'augmen-
tation de ces exportations.
Coke métallurgique. La production totale de coke métallur-
gique pendant l'année 1920 est estimée à 50 millions de tonnes
métriques, en augmentation de 15 sur 1919 et de 11 sur 1913,
année qui avait atteint le maximum d'avant-guerre, et inférieure
seulement de 10,5 sur 1918.
La proportion fournie par les fours à récupération a atteint
60 %; or, ce n'est que l'année précédente qu'elle avait, pour la
première fois, légèrement dépassé celle des fours à ruches. A
noter, à ce sujet, que dans le courant de l'année, 853 nouveaux
fours à récupération ont été terminés et qu'il y en avait en
décembre 580 en construction.
La moyenne des prix pour l'ensemble de l'année peut s'établir
à 11,33 $ pour le coke de haut fourneau et 12,31 $ pour celui de
fonderie.
Minerai de fer. Les statistiques du « Geological Survey »
estiment à près de 69 millions de tonnes métriques la production
du minerai de fer non manganésifère, chiffre supérieur de 12
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