Titre : Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-07-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348662d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 68676 Nombre total de vues : 68676
Description : 30 juillet 1921 30 juillet 1921
Description : 1921/07/30 (A41,N5,T79). 1921/07/30 (A41,N5,T79).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6504190d
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302223
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2013
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- SOMMAIRE.
- .......... Page(s) .......... 102
- .......... Page(s) .......... 106
- .......... Page(s) .......... 111
- .......... Page(s) .......... 112
- .......... Page(s) .......... 113
- .......... Page(s) .......... 114
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- .......... Page(s) .......... 120
- ANNONCES: Informations diverses.
- .......... Page(s) .......... II
30 JUILLET 1921 LE GÉNIE CIVIL 111
avec précision la question des barrages-réservoirs a montré,
naguère, qu'on ne saurait annihiler les crues d'un grand bassin,
comme celui de la Loire, en multipliant les retenues. Au contraire,
il convient d'en réduire le nombre, en établissant des réserves
de capacité maximum, comme on l'a fait sur le Furens. Le lac
artificiel du Gouffre d'Enfer, de 440 000 mètres cubes, a non seu-
lement mis la cité stéphanoise à l'abri des inondations, mais il con-
court à l'alimentation de toute la population en eau potable.
C'est en vertu du même principe que la Ville de Paris a imaginé
d'édifier quatre réservoirs d'arrêt sur la Loire et la Sioule, aux
fins de capter 272 millions de mètres cubes pour relever de 10 à
30 mètres cubes le débit d'étiage de la Loire à Roanne, comme
contre-partie du détournement qu'elle projette des eaux du val
de Loire, dans la région de Gien.
Toutefois, M. Lévy-Salvador fait, à ce sujet, d'expresses
réserves :
On ne doit pas se dissimuler pourtant, dit-il, que si elle est réalisée,
cette entreprise n'aura, en ce qui concerne le régime de la Loire, que
des effets locaux relativement peu importants. La réserve constituée
par l'emmagasinement des crues (qui n'atteint même pas la moitié du
chiffre regardé comme nécessaire en 1860) est, en effet, beaucoup trop
faible pour qu'elle diminue sensiblement les effets des inondations
de la moyenne et de la basse Loire. De son côté, l'amélioration du
débit en basses eaux ira rapidement en s'atténuant à mesure qu'on
s éloignera des retenues, étant donnée surtout la nature absorbante du
lit aux abords de Gien.
Mais l'objection n'est plus valable si l'on envisage des usages
permanents, comme la production de l'énergie hydro-électrique.
Au contraire, dans certaines régions, comme le Massif Central,
l'exécution des réservoirs régulateurs s'impose, en dépit de la
dépense, avant toute mise en œuvre dynamique des rivières, afin
de relever les débits de leurs basses eaux.
Ainsi va-t-on opérer sur la Truyère et la Dordogne. Le débit
de crues de la Truyère est 600 fois supérieur à celui des étiages.
Pour rétablir l'équilibre, on va aménager à Pradal une retenue
de 253 millions de mètres cubes. On pourra, conséquemment,
assurer au torrent un débit minimum de 30 mètres cubes, et même
de 40 mètres cubes pendant dix heures par jour. Ce réservoir
permettra de renforcer la puissance des usines industrielles action-
nées par le Lot à l'aval d'Entraygues (on en compte 76) dont la
force pourra être quintuplée (30 000 chevaux, contre 6 600 en ser-
vice) La navigation du Lot (93 834 tonnes à la descente, 9 460 à la
remonte en 1913) bénéficiera largement aussi de la régularisation.
Quant à la Dordogne, elle pourra fournir une réserve de
850 millions de mètres cubes avec quelques ouvrages. On peut
donc admettre « qu'elle constituera plus tard une voie navigable
de la première importance ».
On peut se demander, a observé M. Lévy-Salvador, ce qu'il
adviendrait au cas où une crue surviendrait au moment où un
réservoir serait plein. Des mesures de précaution simples per-
mettront de détourner le nouveau flot, et la situation à l'aval
du barrage sera identique à celle qu'on aurait enregistrée dans
le cas où le barrage n'eût pas existé. On réservera, d'ailleurs, un
vide pour des eaux subites d'excédent. Il est plus difficile de
préciser les modifications devant résulter de la vidange des
réservoirs.
, Si ceux-ci étaient établis uniquement dans le but de maintenir à
1 aval un débit sinon absolument constant, au moins aussi régulier que
possible, la situation serait simple. Mais, si la Compagnie d'Orléans,
la Société « Énergie électrique du Sud-Ouest », la Société des Forces
motrices de la Truyère et autres, vont dépenser des centaines de
millions pour la réalisaiion d'immenses réserves à l'amont des cours
d'eau qu'elles utilisent, c'est dans le but de pouvoir disposer, dans
les usines hydro-électriques projetées, de quantités d'énergie variables,
en synchronisme avec les besoins à desservir. On ne doit donc pas
prendre au pied de la lettre l'annonce que les usagers d'aval pourront
compter sur un débit constant. Le volume qui retournera dans le
cours d'eau alimentaire, après avoir actionné les turbines des usines
échelonnées les unes au-dessous des autres, sera forcément variable,
Don seulement avec les époques de l'année, mais encore, dans un même
Jour, avec les heures (exemple : pointe de l'éclairage pendant l'hiver,
vers 17 à 20 heures). Toutefois, l'amplitude des oscillations sera cer-
tainement moins accentuée après les travaux de régularisation du
reglme, qu'avant. En particulier, les débits d'étiage seront relevés
dans une très forte proportion, et les périodes de chômage en crues,
réduites. La situation des usagers d'aval se trouvera donc fort amé-
lorée, il en sera de même des conditions de navigabilité des cours
eau que les réservoirs d'arrêt commandent.
M. Lévy-Salvador a terminé son long exposé en critiquant
la politique actuelle de sous-alimentation des canaux. Il faut
profiter, a-t-il conclu, de l'aménagement des forces hydrauliques
pour examiner le problème d'ensemble de l'aménagement des
eaux.
En outre, il a été d'avis que pour faciliter la réalisation
des travaux, il siérait, comme on l'a fait à l'étranger, de créer
des ressources nouvelles en appliquant à l'eau le principe de la
plus-value, reconnu par la loi française de 1807 (article 20).
M. l'Inspecteur général des Ponts et Chaussées VIDAL a cru
devoir ajouter à cette communication quelques observations
personnelles. Il s'est justement étonné de l'habitude qu'on a prise
d'envisager exclusivement, dans l'étude des réservoirs d'arrêt,
soit les richesses hydrauliques d'un cours d'eau, soit l'atténuation
des crues, soit la régularisation du régime, comme s'il y avait —
ce qui n'est pas — antinomie entre les diverses utilisations de
ces ouvrages.
On peut, au contraire, avec un barrage régulateur de débit,
d'autant mieux qu'avec les progrès techniques récents, on n'ignore
point à l'avance les menaces de crues, atténuer les inondations
en déchaînant une pré-crue ; il suffirait que l'exploitation des
réservoirs fût confiée à une personnalité responsable.
Après interventions de MM. Périer de Féral, président de la
Chambre syndicale de la Marine (navigation intérieure), Dreux,
président de la Chambre de Commerce de Nancy, et Colmet-
Daage, ingénieur en chef des Travaux de Paris, le vœu suivant
fut accepté à l'unanimité :
Le Congrès émet le vœu que l'on cherche à tirer simultanément
tous les effets utiles possibles des barrages-réservoirs dont les
besoins en énergie multiplient le nombre. Une partie des réserves en
eau ainsi constituées devra, chaque fois que cela est réalisable, être
attribuée à l'alimentation des canaux, pour éviter le retour des désas-
treux arrêts de navigation qu'amènent toutes les années sèches.
Le Congrès appelle toute l'attention de l'Administration sur la
possibilité d'utiliser dans une large mesure certains de ces barrages-
réservoirs, créés en vue de soutenir le débit d'été des couis d'eau,
pour diminuer en même temps les effets néfastes des crues maxima
dans les vallées que ces barrages commandent.
Le Congrès signale aussi la convenance pressante de préciser et
d'introduire dans les cahiers des charges des concessions comportant
des régularisations de régime, les mesures techniques et administra-
tives nécessaires pour que ces possibilités soient toujours utilisées
au mieux.
(A suivre.) Auguste PAWLOWSKI.
VARIÉTÉS
Le balisage lumineux des routes aériennes
pour la navigation nocturne.
La navigation aérienne ne peut exister commercialement que
si les services qu'elle offre au public sont réguliers. L'avion doit
aller directement à son but; il faut, à cet effet, qu'il soit guidé,
pendant la nuit, par un réseau complet de signaux lumineux
balisant les routes principales et permettant au navigateur de
corriger à temps ses erreurs de route. M. Edmond Marcotte
étudie dans l'Aérophile, du ler-15 avril, comment organiser avec
économie et méthode ce balisage lumineux.
Le balisage comprendra des phares principaux, des feux
d'aérodromes, des feux de signalisation d'obstacles et dans cer-
tains cas des feux d'alignement. Les phares principaux devront
être placés sur les routes habituellement suivies par les aéronefs;
les feux d'aérodromes, évidemment, à chaque lieu d'atterrissage.
Les puissances les plus grandes, destinées à illuminer les
optiques et les miroirs sont obtenues à l'aide de l'arc électrique,
qui semble convenir aux aérophares principaux. Les divers
modes d'éclairage à l'incandescence : lampes électriques à filament
concentré, becs à acétylène dissous ou brûleur à la vapeur de
pétrole, seraient appliqués aux phares secondaires.
Arcs électriques. — La lumière de l'arc voltaïque ressemble
assez à la lumière solaire ; elle est moins riche en radiations vertes
ou oranges, mais plus riche en rayons bleus et ultra-violets.
La température au fond du cratère positif atteint 3 500°,
avec précision la question des barrages-réservoirs a montré,
naguère, qu'on ne saurait annihiler les crues d'un grand bassin,
comme celui de la Loire, en multipliant les retenues. Au contraire,
il convient d'en réduire le nombre, en établissant des réserves
de capacité maximum, comme on l'a fait sur le Furens. Le lac
artificiel du Gouffre d'Enfer, de 440 000 mètres cubes, a non seu-
lement mis la cité stéphanoise à l'abri des inondations, mais il con-
court à l'alimentation de toute la population en eau potable.
C'est en vertu du même principe que la Ville de Paris a imaginé
d'édifier quatre réservoirs d'arrêt sur la Loire et la Sioule, aux
fins de capter 272 millions de mètres cubes pour relever de 10 à
30 mètres cubes le débit d'étiage de la Loire à Roanne, comme
contre-partie du détournement qu'elle projette des eaux du val
de Loire, dans la région de Gien.
Toutefois, M. Lévy-Salvador fait, à ce sujet, d'expresses
réserves :
On ne doit pas se dissimuler pourtant, dit-il, que si elle est réalisée,
cette entreprise n'aura, en ce qui concerne le régime de la Loire, que
des effets locaux relativement peu importants. La réserve constituée
par l'emmagasinement des crues (qui n'atteint même pas la moitié du
chiffre regardé comme nécessaire en 1860) est, en effet, beaucoup trop
faible pour qu'elle diminue sensiblement les effets des inondations
de la moyenne et de la basse Loire. De son côté, l'amélioration du
débit en basses eaux ira rapidement en s'atténuant à mesure qu'on
s éloignera des retenues, étant donnée surtout la nature absorbante du
lit aux abords de Gien.
Mais l'objection n'est plus valable si l'on envisage des usages
permanents, comme la production de l'énergie hydro-électrique.
Au contraire, dans certaines régions, comme le Massif Central,
l'exécution des réservoirs régulateurs s'impose, en dépit de la
dépense, avant toute mise en œuvre dynamique des rivières, afin
de relever les débits de leurs basses eaux.
Ainsi va-t-on opérer sur la Truyère et la Dordogne. Le débit
de crues de la Truyère est 600 fois supérieur à celui des étiages.
Pour rétablir l'équilibre, on va aménager à Pradal une retenue
de 253 millions de mètres cubes. On pourra, conséquemment,
assurer au torrent un débit minimum de 30 mètres cubes, et même
de 40 mètres cubes pendant dix heures par jour. Ce réservoir
permettra de renforcer la puissance des usines industrielles action-
nées par le Lot à l'aval d'Entraygues (on en compte 76) dont la
force pourra être quintuplée (30 000 chevaux, contre 6 600 en ser-
vice) La navigation du Lot (93 834 tonnes à la descente, 9 460 à la
remonte en 1913) bénéficiera largement aussi de la régularisation.
Quant à la Dordogne, elle pourra fournir une réserve de
850 millions de mètres cubes avec quelques ouvrages. On peut
donc admettre « qu'elle constituera plus tard une voie navigable
de la première importance ».
On peut se demander, a observé M. Lévy-Salvador, ce qu'il
adviendrait au cas où une crue surviendrait au moment où un
réservoir serait plein. Des mesures de précaution simples per-
mettront de détourner le nouveau flot, et la situation à l'aval
du barrage sera identique à celle qu'on aurait enregistrée dans
le cas où le barrage n'eût pas existé. On réservera, d'ailleurs, un
vide pour des eaux subites d'excédent. Il est plus difficile de
préciser les modifications devant résulter de la vidange des
réservoirs.
, Si ceux-ci étaient établis uniquement dans le but de maintenir à
1 aval un débit sinon absolument constant, au moins aussi régulier que
possible, la situation serait simple. Mais, si la Compagnie d'Orléans,
la Société « Énergie électrique du Sud-Ouest », la Société des Forces
motrices de la Truyère et autres, vont dépenser des centaines de
millions pour la réalisaiion d'immenses réserves à l'amont des cours
d'eau qu'elles utilisent, c'est dans le but de pouvoir disposer, dans
les usines hydro-électriques projetées, de quantités d'énergie variables,
en synchronisme avec les besoins à desservir. On ne doit donc pas
prendre au pied de la lettre l'annonce que les usagers d'aval pourront
compter sur un débit constant. Le volume qui retournera dans le
cours d'eau alimentaire, après avoir actionné les turbines des usines
échelonnées les unes au-dessous des autres, sera forcément variable,
Don seulement avec les époques de l'année, mais encore, dans un même
Jour, avec les heures (exemple : pointe de l'éclairage pendant l'hiver,
vers 17 à 20 heures). Toutefois, l'amplitude des oscillations sera cer-
tainement moins accentuée après les travaux de régularisation du
reglme, qu'avant. En particulier, les débits d'étiage seront relevés
dans une très forte proportion, et les périodes de chômage en crues,
réduites. La situation des usagers d'aval se trouvera donc fort amé-
lorée, il en sera de même des conditions de navigabilité des cours
eau que les réservoirs d'arrêt commandent.
M. Lévy-Salvador a terminé son long exposé en critiquant
la politique actuelle de sous-alimentation des canaux. Il faut
profiter, a-t-il conclu, de l'aménagement des forces hydrauliques
pour examiner le problème d'ensemble de l'aménagement des
eaux.
En outre, il a été d'avis que pour faciliter la réalisation
des travaux, il siérait, comme on l'a fait à l'étranger, de créer
des ressources nouvelles en appliquant à l'eau le principe de la
plus-value, reconnu par la loi française de 1807 (article 20).
M. l'Inspecteur général des Ponts et Chaussées VIDAL a cru
devoir ajouter à cette communication quelques observations
personnelles. Il s'est justement étonné de l'habitude qu'on a prise
d'envisager exclusivement, dans l'étude des réservoirs d'arrêt,
soit les richesses hydrauliques d'un cours d'eau, soit l'atténuation
des crues, soit la régularisation du régime, comme s'il y avait —
ce qui n'est pas — antinomie entre les diverses utilisations de
ces ouvrages.
On peut, au contraire, avec un barrage régulateur de débit,
d'autant mieux qu'avec les progrès techniques récents, on n'ignore
point à l'avance les menaces de crues, atténuer les inondations
en déchaînant une pré-crue ; il suffirait que l'exploitation des
réservoirs fût confiée à une personnalité responsable.
Après interventions de MM. Périer de Féral, président de la
Chambre syndicale de la Marine (navigation intérieure), Dreux,
président de la Chambre de Commerce de Nancy, et Colmet-
Daage, ingénieur en chef des Travaux de Paris, le vœu suivant
fut accepté à l'unanimité :
Le Congrès émet le vœu que l'on cherche à tirer simultanément
tous les effets utiles possibles des barrages-réservoirs dont les
besoins en énergie multiplient le nombre. Une partie des réserves en
eau ainsi constituées devra, chaque fois que cela est réalisable, être
attribuée à l'alimentation des canaux, pour éviter le retour des désas-
treux arrêts de navigation qu'amènent toutes les années sèches.
Le Congrès appelle toute l'attention de l'Administration sur la
possibilité d'utiliser dans une large mesure certains de ces barrages-
réservoirs, créés en vue de soutenir le débit d'été des couis d'eau,
pour diminuer en même temps les effets néfastes des crues maxima
dans les vallées que ces barrages commandent.
Le Congrès signale aussi la convenance pressante de préciser et
d'introduire dans les cahiers des charges des concessions comportant
des régularisations de régime, les mesures techniques et administra-
tives nécessaires pour que ces possibilités soient toujours utilisées
au mieux.
(A suivre.) Auguste PAWLOWSKI.
VARIÉTÉS
Le balisage lumineux des routes aériennes
pour la navigation nocturne.
La navigation aérienne ne peut exister commercialement que
si les services qu'elle offre au public sont réguliers. L'avion doit
aller directement à son but; il faut, à cet effet, qu'il soit guidé,
pendant la nuit, par un réseau complet de signaux lumineux
balisant les routes principales et permettant au navigateur de
corriger à temps ses erreurs de route. M. Edmond Marcotte
étudie dans l'Aérophile, du ler-15 avril, comment organiser avec
économie et méthode ce balisage lumineux.
Le balisage comprendra des phares principaux, des feux
d'aérodromes, des feux de signalisation d'obstacles et dans cer-
tains cas des feux d'alignement. Les phares principaux devront
être placés sur les routes habituellement suivies par les aéronefs;
les feux d'aérodromes, évidemment, à chaque lieu d'atterrissage.
Les puissances les plus grandes, destinées à illuminer les
optiques et les miroirs sont obtenues à l'aide de l'arc électrique,
qui semble convenir aux aérophares principaux. Les divers
modes d'éclairage à l'incandescence : lampes électriques à filament
concentré, becs à acétylène dissous ou brûleur à la vapeur de
pétrole, seraient appliqués aux phares secondaires.
Arcs électriques. — La lumière de l'arc voltaïque ressemble
assez à la lumière solaire ; elle est moins riche en radiations vertes
ou oranges, mais plus riche en rayons bleus et ultra-violets.
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