Titre : Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-07-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348662d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 68676 Nombre total de vues : 68676
Description : 16 juillet 1921 16 juillet 1921
Description : 1921/07/16 (A41,N3,T79). 1921/07/16 (A41,N3,T79).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6504188b
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302223
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2013
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- SOMMAIRE.
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- .......... Page(s) .......... 57
- .......... Page(s) .......... 59
- .......... Page(s) .......... 63
- .......... Page(s) .......... 65
- - Variétés: Le moulage en usine de maisons en béton, et leur transport sur le terrain d'édification,.......... Page(s) .......... 66
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- .......... Page(s) .......... 70
- .......... Page(s) .......... 72
- ANNONCES: Informations diverses.
16 JUILLET 121 LE GENIE CIVIL 63
un, a côté, auquel on donnera la même flèche. Pourvu que sa
composition soit en métal de même densité, il révélera l'effort
subi par le câble voisin.
Si la section du câble est S, en millimètres carrés, et si la tension
du témoin t est exprimée en kilogrammes, on aura comme tension
totale : St - t. Comme, dans la pratique, le rapport entre les
deux sections 1 et S est très faible, on obtient une approximation
suffisante en multipliant simplement la tension du témoin par la
section du câble, soit St. Pour simplifier, nous avons admis que
le témoin est exactement calibré à un millimètre carré ; mais il va
de soi que l'opération est juste avec tout autre calibrage.
L'installation, des plus simples, consiste à attacher près d'un
câble libre AB un fil d un millimètre carré de section. A l'extré-
mite A est amarré un peson, accroché lui-même à un petit tendeur
FIG. 11. — Dispositif Arnodin,
mesurant les efforts subis par
un câble.
de réglage, à l'aide duquel on assure le parallélisme entre le
témoin ab et le câble AB.
On lit sur le peson la tension par millimètre carré que l'un et
l'autre supportent ; on démonte l'appareil et, pour plus de sûreté,
on vérifie le peson sous la même tension, à l'aide de poids contrôlés.
Il faut, toutefois, disposer d'une longueur de câble assez
grande pour que la flèche soit appréciable. Entre deux tiges de
suspension, cette longueur est insuffisante ; dans ce cas. on opère
la vérification sur un câble de retenue, et on en déduit, à 1 aide
de calculs ou d'un graphique simple, la tension sur le câble para-
bolique, compte tenu de la ditiérence d'angle au sommet du pilier.
♦
* *
De ce qui précè le, on peut conclure que le câble souple est un
matériau de construction précieux qui, par sa composition en
nombreux éléments, donne une résistance certaine, qui révèle
fidèlement ce qu'il ressent, et qui fournit le moyen d'en mesurer
facilement l'intensité.
De plus il peut, à l'expiration de sa carrière, grâce à son
amovibilité, être remplacé individuellement par un élément neuf
de force égale, moindre ou supérieure, et assurer ainsi la péren-
nité de la construction.
A. D.
ÉTUDES ÉCONOMIQUES
L'URBANISME EN ALLEMAGNE
L'urbanisme est, comme l'on sait, l'art de construire et d'amé-
nager les villes dans le triple but de leur assurer au plus haut
degré la commodité, l'hygiène et la beauté. Si le nom est de
création assez récente, la chose est vieille comme les diverses
civilisations qui se sont succédé et dont elle est l'une des mani-
festations les plus caractéristiques. Il suffit, pour s'en convaincre,
de se reporter aux magnifiques ruines grecques et romaines,
pour ne citer que celles dont toute trace n'est pas encore disparue.
Cependant, sauf peut-être les Romains, les bâtisseurs avaient
jusqu à présent porté leur attention sur le côté décoratif, sur
1 effet architectural, beaucoup plus que sur les autres objectifs
de l'art urbain, la commodité et l'hygiène, qui sont les points
auxquels s'attache avant tout l'urbaniste contemporain.
Des raisons sérieuses expliquent ce changement : les condi-
tions modernes de la vie ne sont plus ce qu'elles étaient autrefois.
La floraison d'une industrie aux usines immenses, l'entassement
des citadins dans des habitations aux multiples étages, et par-
dessus tout l'existence de moyens de transports rapides, à grande
capacité, inconnus de nos pères, ont modifié profondément les
fondements de la vie urbaine, sans toutelois en changer l'essence.
La France tenait naguère la tête dans cet art complexe qui
exige du goût, de la mesure et de l'ordre, qualités incontestables
de notre race. Nos grandes époques historiques nous ont légué
des ensembles urbains incomparables, tels que ceux de Paris,
Versailles, Nancy et Bordeaux, pour ne citer que les plus connus.
Maintenant encore, c'est bien souvent à des architectes ou
urbanistes français qu'ont recours les cités étrangères pour amé-
liorer un état de choses défectueux ou pour établir un plan
rationnel d'extension. C'est ainsi que Buenos-Aires vient d'être
remanié par un Français, et qu'un autre s'est vu décerner le pre-
mier prix, lors du concours pour l'établissement d'une capitale
fédérale en Australie. Mais, depuis un demi-siècle, l'effort
français en ce qui concerne l'urbanisme s'est ralenti sensible-
ment. On a manqué à la fois de vues d'ensemble, d'idées hardies,
et de confiance en 1 avenir.
Pendant ce temps, d'autres peuples, et notamment les Anglo-
Saxons, les Germains et les Scandinaves, travaillaient sans
relâche et systématisaien, chacun selon son génie propre, cet art
de l'urbanisme, qui est devenu une science complexe, touchant à
tout et se servant de tout.
Sans négliger, bien entendu, aucun des buts à atteindre, les
premiers ont plus spécialement porté leurs efforts sur la commo-
dité (transports, etc.) ; les seconds sur l'agrément de leurs villes
(architecture, espaces libres, etc.). Les uns et les autres, en cela
différents des Latins, se sont peu préoccupés de l'effet architec-
tural, de l'ordonnance de la ville en vue de sa beauté décorative.
Nulle nation ne pouvant se flatter d'être seule parvenue au
point culminant dans chacune des branches de l'activité humaine,
nous croyons intéressant et profitable de jeter un coup d'œil sur
ce qu'ont fait nos voisins. Nous nous proposons d étudier, en par-
ticulier, les caractères principaux de l'école urbaniste allemande.
Ce que nous en dirons s applique surtout à l'Allemagne d'avant-
guerre, le temps écoulé dep lis lors n'étant pas suffisant pour
juger s'il y a eu ou non évolution. Il est d'ailleurs très prohable,
étant donné ce qu'on sait d'elle, qu'elle ne changera pas avant
quelque temps.
* *
Tout d'abord, on peut se demander pourquoi il y a en Alle-
magne une doctrine urbaniste indubitablement bien établie, alors
qu'en France elle semble encore hésitante.
L'explication est bien simple. La France avec sa faible natalité,
son excédent annuel presque nul de naissances, son accroisse-
ment insignifiant de population, n'avait pas à faire face au pro-
blème de loger les 800 000 individus dont, avant la guerre,
s'accroissait, chaque année, la population de l'Allemagne.
Le nombre des constructions nouvelles indispensables étant
minime, la question était peu importante de savoir comment on
les construirait. Il n'en est pas de même à cette heure, où la
dévastation de nos départements du Nord et le surpeuplement
général des villes de toutes nos provinces imposent une solution
énergique et rapide.
D autre part, le problème de l'urbanisme est un de ceux pour
lesquels, étant donnée sa mentalité, l'Allemand est bien préparé.
Il ne vit vraiment qu'en communauté; il a coutume de s'occuper
de questions d'intérêt général, et l'urbanisme est bien de celles-
là. De plus, il n'attend pas que la nécessité le force à un
« débrouillage » rapide, plus ou moins heureux. Il s'efforce de
prévoir à l'avance les difficultés, pour examiner à loisir les façons
de les résoudre et choisir avec discernement celles qu'il jugera
les meilleures. Là encore, cette prédisposition de l'esprit germain
trouve un champ excellent d'application, l'art urbain étant de
ceux où il faut, de toute nécessité, voir loin dans l'avenir.
Certes, la littérature urbaniste est considérable en Alle-
magne ('); mais cela ne suffit pas pour élayer une doctrine con-
sistante. Il faut y joindre la communauté de formation intellec-
tuelle de ceux qui sont destinés à l'appliquer. Il faut enfin, pour
obtenir des résultats sérieux, que ces derniers aient une latitude
assez grande, et qu'ils possèdent une stabilité suffisante pour
concevoir et exécuter des œuvres de longue haleine, comme le sont
les travaux urbains. Ces deux conditions sont réunies outre-Rhin,
où existent des écoles spéciales et où la fonction d'administrateur
municipal est un métier aussi bien classé que celui d'administra-
teur de sociétés C).
(1) Chez nous aussi, elle s'est développée, ces dernières années, d'une façon remar-
quable.
(2) Voir, à ce sujet, l'article sur l'organisation des Services municipaux de Stras-
bourg, dans le Génie Civil du 4 décembre 1920 (t. LXXV11, no 23).
un, a côté, auquel on donnera la même flèche. Pourvu que sa
composition soit en métal de même densité, il révélera l'effort
subi par le câble voisin.
Si la section du câble est S, en millimètres carrés, et si la tension
du témoin t est exprimée en kilogrammes, on aura comme tension
totale : St - t. Comme, dans la pratique, le rapport entre les
deux sections 1 et S est très faible, on obtient une approximation
suffisante en multipliant simplement la tension du témoin par la
section du câble, soit St. Pour simplifier, nous avons admis que
le témoin est exactement calibré à un millimètre carré ; mais il va
de soi que l'opération est juste avec tout autre calibrage.
L'installation, des plus simples, consiste à attacher près d'un
câble libre AB un fil d un millimètre carré de section. A l'extré-
mite A est amarré un peson, accroché lui-même à un petit tendeur
FIG. 11. — Dispositif Arnodin,
mesurant les efforts subis par
un câble.
de réglage, à l'aide duquel on assure le parallélisme entre le
témoin ab et le câble AB.
On lit sur le peson la tension par millimètre carré que l'un et
l'autre supportent ; on démonte l'appareil et, pour plus de sûreté,
on vérifie le peson sous la même tension, à l'aide de poids contrôlés.
Il faut, toutefois, disposer d'une longueur de câble assez
grande pour que la flèche soit appréciable. Entre deux tiges de
suspension, cette longueur est insuffisante ; dans ce cas. on opère
la vérification sur un câble de retenue, et on en déduit, à 1 aide
de calculs ou d'un graphique simple, la tension sur le câble para-
bolique, compte tenu de la ditiérence d'angle au sommet du pilier.
♦
* *
De ce qui précè le, on peut conclure que le câble souple est un
matériau de construction précieux qui, par sa composition en
nombreux éléments, donne une résistance certaine, qui révèle
fidèlement ce qu'il ressent, et qui fournit le moyen d'en mesurer
facilement l'intensité.
De plus il peut, à l'expiration de sa carrière, grâce à son
amovibilité, être remplacé individuellement par un élément neuf
de force égale, moindre ou supérieure, et assurer ainsi la péren-
nité de la construction.
A. D.
ÉTUDES ÉCONOMIQUES
L'URBANISME EN ALLEMAGNE
L'urbanisme est, comme l'on sait, l'art de construire et d'amé-
nager les villes dans le triple but de leur assurer au plus haut
degré la commodité, l'hygiène et la beauté. Si le nom est de
création assez récente, la chose est vieille comme les diverses
civilisations qui se sont succédé et dont elle est l'une des mani-
festations les plus caractéristiques. Il suffit, pour s'en convaincre,
de se reporter aux magnifiques ruines grecques et romaines,
pour ne citer que celles dont toute trace n'est pas encore disparue.
Cependant, sauf peut-être les Romains, les bâtisseurs avaient
jusqu à présent porté leur attention sur le côté décoratif, sur
1 effet architectural, beaucoup plus que sur les autres objectifs
de l'art urbain, la commodité et l'hygiène, qui sont les points
auxquels s'attache avant tout l'urbaniste contemporain.
Des raisons sérieuses expliquent ce changement : les condi-
tions modernes de la vie ne sont plus ce qu'elles étaient autrefois.
La floraison d'une industrie aux usines immenses, l'entassement
des citadins dans des habitations aux multiples étages, et par-
dessus tout l'existence de moyens de transports rapides, à grande
capacité, inconnus de nos pères, ont modifié profondément les
fondements de la vie urbaine, sans toutelois en changer l'essence.
La France tenait naguère la tête dans cet art complexe qui
exige du goût, de la mesure et de l'ordre, qualités incontestables
de notre race. Nos grandes époques historiques nous ont légué
des ensembles urbains incomparables, tels que ceux de Paris,
Versailles, Nancy et Bordeaux, pour ne citer que les plus connus.
Maintenant encore, c'est bien souvent à des architectes ou
urbanistes français qu'ont recours les cités étrangères pour amé-
liorer un état de choses défectueux ou pour établir un plan
rationnel d'extension. C'est ainsi que Buenos-Aires vient d'être
remanié par un Français, et qu'un autre s'est vu décerner le pre-
mier prix, lors du concours pour l'établissement d'une capitale
fédérale en Australie. Mais, depuis un demi-siècle, l'effort
français en ce qui concerne l'urbanisme s'est ralenti sensible-
ment. On a manqué à la fois de vues d'ensemble, d'idées hardies,
et de confiance en 1 avenir.
Pendant ce temps, d'autres peuples, et notamment les Anglo-
Saxons, les Germains et les Scandinaves, travaillaient sans
relâche et systématisaien, chacun selon son génie propre, cet art
de l'urbanisme, qui est devenu une science complexe, touchant à
tout et se servant de tout.
Sans négliger, bien entendu, aucun des buts à atteindre, les
premiers ont plus spécialement porté leurs efforts sur la commo-
dité (transports, etc.) ; les seconds sur l'agrément de leurs villes
(architecture, espaces libres, etc.). Les uns et les autres, en cela
différents des Latins, se sont peu préoccupés de l'effet architec-
tural, de l'ordonnance de la ville en vue de sa beauté décorative.
Nulle nation ne pouvant se flatter d'être seule parvenue au
point culminant dans chacune des branches de l'activité humaine,
nous croyons intéressant et profitable de jeter un coup d'œil sur
ce qu'ont fait nos voisins. Nous nous proposons d étudier, en par-
ticulier, les caractères principaux de l'école urbaniste allemande.
Ce que nous en dirons s applique surtout à l'Allemagne d'avant-
guerre, le temps écoulé dep lis lors n'étant pas suffisant pour
juger s'il y a eu ou non évolution. Il est d'ailleurs très prohable,
étant donné ce qu'on sait d'elle, qu'elle ne changera pas avant
quelque temps.
* *
Tout d'abord, on peut se demander pourquoi il y a en Alle-
magne une doctrine urbaniste indubitablement bien établie, alors
qu'en France elle semble encore hésitante.
L'explication est bien simple. La France avec sa faible natalité,
son excédent annuel presque nul de naissances, son accroisse-
ment insignifiant de population, n'avait pas à faire face au pro-
blème de loger les 800 000 individus dont, avant la guerre,
s'accroissait, chaque année, la population de l'Allemagne.
Le nombre des constructions nouvelles indispensables étant
minime, la question était peu importante de savoir comment on
les construirait. Il n'en est pas de même à cette heure, où la
dévastation de nos départements du Nord et le surpeuplement
général des villes de toutes nos provinces imposent une solution
énergique et rapide.
D autre part, le problème de l'urbanisme est un de ceux pour
lesquels, étant donnée sa mentalité, l'Allemand est bien préparé.
Il ne vit vraiment qu'en communauté; il a coutume de s'occuper
de questions d'intérêt général, et l'urbanisme est bien de celles-
là. De plus, il n'attend pas que la nécessité le force à un
« débrouillage » rapide, plus ou moins heureux. Il s'efforce de
prévoir à l'avance les difficultés, pour examiner à loisir les façons
de les résoudre et choisir avec discernement celles qu'il jugera
les meilleures. Là encore, cette prédisposition de l'esprit germain
trouve un champ excellent d'application, l'art urbain étant de
ceux où il faut, de toute nécessité, voir loin dans l'avenir.
Certes, la littérature urbaniste est considérable en Alle-
magne ('); mais cela ne suffit pas pour élayer une doctrine con-
sistante. Il faut y joindre la communauté de formation intellec-
tuelle de ceux qui sont destinés à l'appliquer. Il faut enfin, pour
obtenir des résultats sérieux, que ces derniers aient une latitude
assez grande, et qu'ils possèdent une stabilité suffisante pour
concevoir et exécuter des œuvres de longue haleine, comme le sont
les travaux urbains. Ces deux conditions sont réunies outre-Rhin,
où existent des écoles spéciales et où la fonction d'administrateur
municipal est un métier aussi bien classé que celui d'administra-
teur de sociétés C).
(1) Chez nous aussi, elle s'est développée, ces dernières années, d'une façon remar-
quable.
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