Titre : Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-07-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348662d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 68676 Nombre total de vues : 68676
Description : 09 juillet 1921 09 juillet 1921
Description : 1921/07/09 (A41,N2,T79). 1921/07/09 (A41,N2,T79).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6504187x
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302223
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2013
9 JUILLET 1921 LE GÉNIE CIVIL 47
watts, dont l'énergie sera ensuite transportée
sous forme de courant à 66 000 volts par des
lignes aériennes, les câbles étant aériens jus-
qu'à leur point de destination et descendant
directement du toit de l'usine dans la salle
des transformateurs.
SCIENCES
L'électricité et la matière. — Sir ERNEST
RUTHI RFORD a entrepris, dans trois communi-
cations dont la première a été faite le 10 mars
à la Royal Institution de Londres et publiée
dans l'Engineering, du 11 mars, de mettre à
jour les idées qu'on peut, à propos des rap-
ports entre l'électricité et la matière, dégager
des recherches déjà nombreuses entreprises
par le monde savant, et en particulier par les
éminents physiciens de l'école anglaise.
En remontant aux travaux de Volta, et
en donnant toute l'attention qu'ils méritent à
ceux de Faraday, l'auteur a montré de quelle
importance étaient les rapports, alors pres-
sentis entre certaines quantités entrant en jeu
dans l'électricité et dans la chimie.
Les valences que fait ressortir la chimie ont,
avec les atomes considérés en électricité, des
relations qu'a plus tard précisées, en 1891,
M. Johnstone Stone, à qui en doit la connais-
sance des lois de l'électrolyse dans leurs rap-
ports avec l'électricité, et la création du mot
« électron » pour exprimer la nature atomique
de l'électricité.
Le savant professeur de Dublin supposait
alors, sans justifier entièrement cette hypo-
thèse, que « l'atome d'électricité était égal à la
charge portée par l'atome d'hydrogène dans
l'électrolyse » et appelait cet atome l' « élec-
tron ».
Les faits qui lui ont donné finalement rai-
son. et qui ont comblé les lacunes que ses
seuls moyens d'investigation ne pouvaient pas
alors combler de façon satisfaisante, ont été
mis à jour an cours des études récentes aux-
quelles ont donné lieu les gaz rendus conduc-
teurs par l'action ionisante des agents d'ionisa-
tion tels que les rayons X.
L'auteur montre comment les prévisions de
Stokes, les travaux de Townsendet ses propres
expériences ont permis de mettre au point la
question d'une façon qu'on peut considérer
aujourd'hui comme assez certaine, sinon abso-
lument définitive.
STATISTIQUE
L'analyse des recensements et autres don-
nées statistiques, par les machines Hollerith.
— Les travaux de la British Tabulating Ma-
chine Co, de Londres, méthodiquement exé-
cutés pour mettre en pratique les recherches
et les inventions de M. HOLLERITH, ont conduit
cette société à créer un certain nombre de
machines destinées à établir, à analyser et à
totaliser les données statistiques de toute na-
ture, et notamment les données relatives aux
divers éléments qui font l'objet des statistiques
officielles et des recensements de la popula-
tion, tant dans l'Afrique du Sud, qu'en Aus-
tralie.
L'Enginecl', du 27 janvier 1911 et les numé-
ros suivants du même journal, ont longuement
exposé, dans toute leur complexité, les pro-
blèmes que soulève la réalisation de telles
machines, les principes adoptés par Hollerith
et leur application aux machines diverses qu'il
a créées.
Sans reveniren détail sur cette série d'études
très complexes, l'Enginecr, du 20 mai, expose
les caractéristiques générales et les perfec-
tionnements qui, aujourd'hui, font des ma-
chines Hollerith des auxiliaires très utiles des
statisticiens.
Le principe du système est d'employer des
fiches de dimensions appropriées (en l'espèce
des fiches de 185 millimètres environ sur
85 millimètres), divisées en colonnes affectées
directement aux éléments de statistique dési-
gnés par les titres qu'on y imprime.
On conçoit, par exemple, que les fiches de
recensement, comportant une colonne pour la
désignation du sexe, une colonne pour l'âge,
une autre pour la nationalité, la profes-
sion, etc., ne doivent recevoir, de la machine
à perforer dans laquelle on les passe, qu'une
seule perforation par colonne (ce qui constitue
un moyen de vérification), et que les poinçons
perforant les fiches peuvent être commandés à
une vitesse suffisante pour permettre de débi-
ter jusqu'à 350 fiches par minute.
Les machines créées pour la production et
l'analyse de ces fiches de statistiques sont à la
fois remarquables par leurs caractéristiques
mécaniques et électriques, et leur adoption
par divers services de recensement a permis
de s'assurer parfaitement de leur bon fonc-
tionnement 'pratique.
TRAVAUX PUBLICS
L'usine chinoise de Fou-Tchéou, utilisant la
force de la marée. — L'Engineering Nell's-
Record, du 3 mars, signale l'existence, près
de Fou-Tchéou, de moulins à riz utilisant
l'énergie des marées. Cette installation parait
être une des premières fonctionnant industriel-
lement, et il ne semble pas qu'elle soit unique
en Chine. Elle est d'ailleurs d'un caractère
assez primitif, et son fonctionnement est
loin de satisfaire aux conditions d'automaticité
qu'on doit désirer dans une installation mo-
derne.
A marée montante, l'eau s'engage entre les
culées d'un pont traversant l'estuaire choisi
pour l'utilisation de l'énergie de la mer; elle
passe alors au-dessus de pièces de bois en-
gagées, à mains d'hommes, entre des rainures
de maçonnerie pratiquées dans les piles.
Quand, du côté aval, la marée est devenue
assez basse pour qu'on puisse retourner à la
mer l'eau qu'on a emprisonnée derrière le
barrage, on ouvre celui-ci, et l'eau s'engage
dans un canal de décharge et vient actionner
une roue à aubes fonctionnant comme turbine
à impulsion. Cette roue a 5m 50 de diamètre
et 75 centimètres environ de largeur. Elle est
entièrement en bois dur, et son arbre tourne
sur des coussinets en bois, simplement graissés
au moyen d'un courant d'eau amené de façon
appropriée.
Cette roue hydraulique entraîne une ma-
chine servant au nettoyage du riz, machine
qui fonctionne cinq à six heures à chaque
cycle de basse mer, soit dix à douze heures
par jour.
La pose des câbles électriques en tranchée
sous l'eau pour la traversée des cours d'eau
ou estuaires. — Le Scientific American, du
4 juin, donne quelques renseignements sur la
pose d'un câble téléphonique au travers d'un
estuaire très fréquenté par des navires de
tout genre, et dans lequel, par suite, les câbles
sont exposés au choc des ancres.
Pour éviter cet inconvénient, une compagnie
de téléphones a eu l'idée de poser le câble dans
une tranchée creusée au travers de l'estuaire
par un matériel spécial, ce qui le met à l'abri
des avaries par chocs. A cet effet, on emploie
un ponton qui se déplace d'une rive à l'autre
guidé par deux câbles tendus en travers du cours
d'eau. A l'avant de ce ponton se trouve une tige
verticale très robuste descendant jusqu'au fond
du cours d'eau, et qui porte à sa partie inférieure
une sorte de charrue. Cette charrue pénètre dans
le lit du lfeuve et y creuse une tranchée dans
laquelle le câble est posé aussitôt. A l'arrière
de la charrue est montée en effet une poulie,
sur laquelle passe le câble, posté sur le pont
du ponton par une bobine qui se déroule à
mesure de l'avancement. Les bords de la tran-
chée soulevés par la charrue retombent ensuite
et protègent le câble.
L'ensemble est propulsé par un câble,
enroulé sur un treuil établi sur la rive, et qui
tire le ponton d'un bord à l'autre. La tige qui
porte la charrue est montée sur un trépied
par un dispositif à coulisse, qui lui permet de
suivre les variations de la profondeur au cours
de la traversée.
BREVETS D'INVENTION
Perfectionnements apportés aux résis-
tances électriques appelées à supporter ou à
développer des températures élevées. — La
Société Poncet, Lacroix et Cie, de Lyon, a
obtenu en France, pour des résistances de cette
nature, un brevet, n° 506082, publié le
13 août.
Dans la figure 1, qui en représente seule-
ment une des formes de réalisation, le noyau
FIG. 1. ■— Nouvelle résistance électrique.
qui porte le fil résistant D est constitué par
une bobine isolante A, pourvue de cannelures
en hélice.
Le boudin de fil chauffant D est logé dans
ces cannelures, non directement, mais sous
forme d'un élément complexe CD pour con-
stituer cet élément, on enroule le fil D sur
une àme en amiante C, et celle-ci a pour
double utilité, de fournir un support méca-
nique au fil D, qui sans cela pourrait s'affais-
ser sous l'effet de la chaleur, et d'égaliser la
température du fil chauffant, très irrégulière
dans les éléments comportant des boudins de
fil plus ou moins déformables.
Perfectionnements apportés au refroidisse-
ment des moteurs thermiques. — La British
Thomson-Houston Co, de Londres, a obtenu,
pour de tels perfectionnements, un brevet
anglais, n° 150 879, publié le 24 novembre.
De la chemise du cylindre, le courant d'eau
envoyé au radiateur est commandé par un
clapet ou une soupape thermostatique.
Cette soupape est montée dans une section
tubulaire très courte, et la tige en est com-
mandée par l'échauffement d'un long ruban de
métal enroulé en spirale et offrant l'aspect
d'un ressort.
Mode de montage des bagues isolées sur
des arbres ou noyaux cylindriques. — Les
modes de montage employés jusqu'ici offrent
un certain degré d'incertitude, sur la place où
sera définitivement monté chaque anneau ou
bague à forcer sur un arbre, et sur la pression
qu'il faudra lui appliquer pour arriver au
watts, dont l'énergie sera ensuite transportée
sous forme de courant à 66 000 volts par des
lignes aériennes, les câbles étant aériens jus-
qu'à leur point de destination et descendant
directement du toit de l'usine dans la salle
des transformateurs.
SCIENCES
L'électricité et la matière. — Sir ERNEST
RUTHI RFORD a entrepris, dans trois communi-
cations dont la première a été faite le 10 mars
à la Royal Institution de Londres et publiée
dans l'Engineering, du 11 mars, de mettre à
jour les idées qu'on peut, à propos des rap-
ports entre l'électricité et la matière, dégager
des recherches déjà nombreuses entreprises
par le monde savant, et en particulier par les
éminents physiciens de l'école anglaise.
En remontant aux travaux de Volta, et
en donnant toute l'attention qu'ils méritent à
ceux de Faraday, l'auteur a montré de quelle
importance étaient les rapports, alors pres-
sentis entre certaines quantités entrant en jeu
dans l'électricité et dans la chimie.
Les valences que fait ressortir la chimie ont,
avec les atomes considérés en électricité, des
relations qu'a plus tard précisées, en 1891,
M. Johnstone Stone, à qui en doit la connais-
sance des lois de l'électrolyse dans leurs rap-
ports avec l'électricité, et la création du mot
« électron » pour exprimer la nature atomique
de l'électricité.
Le savant professeur de Dublin supposait
alors, sans justifier entièrement cette hypo-
thèse, que « l'atome d'électricité était égal à la
charge portée par l'atome d'hydrogène dans
l'électrolyse » et appelait cet atome l' « élec-
tron ».
Les faits qui lui ont donné finalement rai-
son. et qui ont comblé les lacunes que ses
seuls moyens d'investigation ne pouvaient pas
alors combler de façon satisfaisante, ont été
mis à jour an cours des études récentes aux-
quelles ont donné lieu les gaz rendus conduc-
teurs par l'action ionisante des agents d'ionisa-
tion tels que les rayons X.
L'auteur montre comment les prévisions de
Stokes, les travaux de Townsendet ses propres
expériences ont permis de mettre au point la
question d'une façon qu'on peut considérer
aujourd'hui comme assez certaine, sinon abso-
lument définitive.
STATISTIQUE
L'analyse des recensements et autres don-
nées statistiques, par les machines Hollerith.
— Les travaux de la British Tabulating Ma-
chine Co, de Londres, méthodiquement exé-
cutés pour mettre en pratique les recherches
et les inventions de M. HOLLERITH, ont conduit
cette société à créer un certain nombre de
machines destinées à établir, à analyser et à
totaliser les données statistiques de toute na-
ture, et notamment les données relatives aux
divers éléments qui font l'objet des statistiques
officielles et des recensements de la popula-
tion, tant dans l'Afrique du Sud, qu'en Aus-
tralie.
L'Enginecl', du 27 janvier 1911 et les numé-
ros suivants du même journal, ont longuement
exposé, dans toute leur complexité, les pro-
blèmes que soulève la réalisation de telles
machines, les principes adoptés par Hollerith
et leur application aux machines diverses qu'il
a créées.
Sans reveniren détail sur cette série d'études
très complexes, l'Enginecr, du 20 mai, expose
les caractéristiques générales et les perfec-
tionnements qui, aujourd'hui, font des ma-
chines Hollerith des auxiliaires très utiles des
statisticiens.
Le principe du système est d'employer des
fiches de dimensions appropriées (en l'espèce
des fiches de 185 millimètres environ sur
85 millimètres), divisées en colonnes affectées
directement aux éléments de statistique dési-
gnés par les titres qu'on y imprime.
On conçoit, par exemple, que les fiches de
recensement, comportant une colonne pour la
désignation du sexe, une colonne pour l'âge,
une autre pour la nationalité, la profes-
sion, etc., ne doivent recevoir, de la machine
à perforer dans laquelle on les passe, qu'une
seule perforation par colonne (ce qui constitue
un moyen de vérification), et que les poinçons
perforant les fiches peuvent être commandés à
une vitesse suffisante pour permettre de débi-
ter jusqu'à 350 fiches par minute.
Les machines créées pour la production et
l'analyse de ces fiches de statistiques sont à la
fois remarquables par leurs caractéristiques
mécaniques et électriques, et leur adoption
par divers services de recensement a permis
de s'assurer parfaitement de leur bon fonc-
tionnement 'pratique.
TRAVAUX PUBLICS
L'usine chinoise de Fou-Tchéou, utilisant la
force de la marée. — L'Engineering Nell's-
Record, du 3 mars, signale l'existence, près
de Fou-Tchéou, de moulins à riz utilisant
l'énergie des marées. Cette installation parait
être une des premières fonctionnant industriel-
lement, et il ne semble pas qu'elle soit unique
en Chine. Elle est d'ailleurs d'un caractère
assez primitif, et son fonctionnement est
loin de satisfaire aux conditions d'automaticité
qu'on doit désirer dans une installation mo-
derne.
A marée montante, l'eau s'engage entre les
culées d'un pont traversant l'estuaire choisi
pour l'utilisation de l'énergie de la mer; elle
passe alors au-dessus de pièces de bois en-
gagées, à mains d'hommes, entre des rainures
de maçonnerie pratiquées dans les piles.
Quand, du côté aval, la marée est devenue
assez basse pour qu'on puisse retourner à la
mer l'eau qu'on a emprisonnée derrière le
barrage, on ouvre celui-ci, et l'eau s'engage
dans un canal de décharge et vient actionner
une roue à aubes fonctionnant comme turbine
à impulsion. Cette roue a 5m 50 de diamètre
et 75 centimètres environ de largeur. Elle est
entièrement en bois dur, et son arbre tourne
sur des coussinets en bois, simplement graissés
au moyen d'un courant d'eau amené de façon
appropriée.
Cette roue hydraulique entraîne une ma-
chine servant au nettoyage du riz, machine
qui fonctionne cinq à six heures à chaque
cycle de basse mer, soit dix à douze heures
par jour.
La pose des câbles électriques en tranchée
sous l'eau pour la traversée des cours d'eau
ou estuaires. — Le Scientific American, du
4 juin, donne quelques renseignements sur la
pose d'un câble téléphonique au travers d'un
estuaire très fréquenté par des navires de
tout genre, et dans lequel, par suite, les câbles
sont exposés au choc des ancres.
Pour éviter cet inconvénient, une compagnie
de téléphones a eu l'idée de poser le câble dans
une tranchée creusée au travers de l'estuaire
par un matériel spécial, ce qui le met à l'abri
des avaries par chocs. A cet effet, on emploie
un ponton qui se déplace d'une rive à l'autre
guidé par deux câbles tendus en travers du cours
d'eau. A l'avant de ce ponton se trouve une tige
verticale très robuste descendant jusqu'au fond
du cours d'eau, et qui porte à sa partie inférieure
une sorte de charrue. Cette charrue pénètre dans
le lit du lfeuve et y creuse une tranchée dans
laquelle le câble est posé aussitôt. A l'arrière
de la charrue est montée en effet une poulie,
sur laquelle passe le câble, posté sur le pont
du ponton par une bobine qui se déroule à
mesure de l'avancement. Les bords de la tran-
chée soulevés par la charrue retombent ensuite
et protègent le câble.
L'ensemble est propulsé par un câble,
enroulé sur un treuil établi sur la rive, et qui
tire le ponton d'un bord à l'autre. La tige qui
porte la charrue est montée sur un trépied
par un dispositif à coulisse, qui lui permet de
suivre les variations de la profondeur au cours
de la traversée.
BREVETS D'INVENTION
Perfectionnements apportés aux résis-
tances électriques appelées à supporter ou à
développer des températures élevées. — La
Société Poncet, Lacroix et Cie, de Lyon, a
obtenu en France, pour des résistances de cette
nature, un brevet, n° 506082, publié le
13 août.
Dans la figure 1, qui en représente seule-
ment une des formes de réalisation, le noyau
FIG. 1. ■— Nouvelle résistance électrique.
qui porte le fil résistant D est constitué par
une bobine isolante A, pourvue de cannelures
en hélice.
Le boudin de fil chauffant D est logé dans
ces cannelures, non directement, mais sous
forme d'un élément complexe CD pour con-
stituer cet élément, on enroule le fil D sur
une àme en amiante C, et celle-ci a pour
double utilité, de fournir un support méca-
nique au fil D, qui sans cela pourrait s'affais-
ser sous l'effet de la chaleur, et d'égaliser la
température du fil chauffant, très irrégulière
dans les éléments comportant des boudins de
fil plus ou moins déformables.
Perfectionnements apportés au refroidisse-
ment des moteurs thermiques. — La British
Thomson-Houston Co, de Londres, a obtenu,
pour de tels perfectionnements, un brevet
anglais, n° 150 879, publié le 24 novembre.
De la chemise du cylindre, le courant d'eau
envoyé au radiateur est commandé par un
clapet ou une soupape thermostatique.
Cette soupape est montée dans une section
tubulaire très courte, et la tige en est com-
mandée par l'échauffement d'un long ruban de
métal enroulé en spirale et offrant l'aspect
d'un ressort.
Mode de montage des bagues isolées sur
des arbres ou noyaux cylindriques. — Les
modes de montage employés jusqu'ici offrent
un certain degré d'incertitude, sur la place où
sera définitivement monté chaque anneau ou
bague à forcer sur un arbre, et sur la pression
qu'il faudra lui appliquer pour arriver au
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
- Collections numériques similaires Collections de l’École nationale des ponts et chaussées Collections de l’École nationale des ponts et chaussées /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPC000"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 23/24
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6504187x/f23.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6504187x/f23.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6504187x/f23.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6504187x/f23.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6504187x
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6504187x
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6504187x/f23.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest