Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-05-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 mai 1917 15 mai 1917
Description : 1917/05/15 (T6,N440). 1917/05/15 (T6,N440).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64849385
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/05/2013
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! ^^TRANGÈUES
1
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N° 440
Paris, 15 mai 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
- - NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
ClOMFInPrMTIFI confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
- VI iT II^UIi I ! > ■■■ qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
- de la Guerre et des Affaires Étrangères.
r Gestions militais
DES OPERATIONS
rh\- Occidental. - La lutte pour la su-
eUr, Lee de l'air s'est décidée en notre fa-
? ls essayent d'expliquer leurs
Wr? ves 'en affirmant que nos avia-
Vlerulent que rarement au-dessus
alie)als riernies,, tandis que les avia-
sanr. Ct'uer leurs .attaques- etj leurs
(' %Jr. i ,,le aPPareils ennemis, c'est-à-dire
!QsQllt qtesances. Nods répondons à cela en
ÙÎU du ?rïl*)re total détruit par nous,
re total détruit par nous,
o dessus cendllS en avant de nos -lignes t
•W terrain occupé par l'ennemi.
.e' contra un ennemi supérieur en
(I ¡Je ; Cette ntre l Anglais tenace et coura-
te est dure et nous occasionne
gr'ft e SUI' ter;rtesMals de même que pour la
ee terre s comptait gagner
i% cla là. que l'ennemi comptait gagneir,
c 1331 l'homme et non ,pas
ètre a.chiI)" qui r®' mPortera. Nous pouvons
4 e viv l'emportera. Nous pouvons
ssS 5*Uci • ,esP[rit de Boelcke est en-
'- ger, !.5 :ilIls nos aviateurs. — Lokal-
h- Su»;' 5.
bu IUp !rit nionLP'ccidental, les aviateurs
Un peu plus dei modéra-
i, le -le Précédents, à cause pro-
~rip pertes quiils ont su-
i -i'ii )V5 taqua ^Unc escadrille'Wde Spad
-ve à appareils d'iraanterie,
PO-irit l'activité hardie
Mi et de leurs reconnaissan-
Mart', Pélllui Iln-eIhL Celui-ci perdit 21 appa-
sii > qnfi>îjt i- «leU^ x un triplan anglais. Ces tri-
orir? sëmn^Earition sur le. front il
ét^ ^es "à P'eiM, mais plu-
S1 5ls !Îé de Rra ri fCendus• Les Anglais
r espérances s,ur ces
e IhêIhe que Français sur
tii SPad. Es ont - aujourd'hui
SN?^?é1 sillusion« S;- Le pilote du triplan,
k 6 ca ®°.n vinatîînant von RicMhofen
appareil abattu)
lïaj'illel le mBemail i qui doit être consi-
'1* aviateur anglais.
UX ailleurs avia-
!ttr ()qt A.ge!:lie les Capitaine's Robins on' et
4fcWo li f) Berlin. Tagbl., îd-
gbul anique. -DIaPtrès des infor-
ral buidgetaire i 0viennpri+ dil quartier géné-
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, Qçu et Préparée par le
, loil. di^^S OSe de puissants
le 1 el, n av i-res de" rEntente
f'( d ol)lb;ecte.Ihent à la première
r ^éri -les escadriI]I Sf comniunications
Pltit l IJécléle DOWdrllle franco-aîiglaise a
ositio8 ita?sen cornniajide-
rques de Cavala
Il r> P®riadl2 p de Marédome. La
rations a pro-
Passion à Constantinopje,
où l'on craint que l'intensification de la
lutte sur le front balkanique ne compro-
mette définitivement la situation turque en
Asie Mineure. — (Pio Mari) Idea Nazion.,
12.5.
Considérations d'ensemble. — La prise de
Fresnoy est un désappointement, car elle
nous prive de notre principal gain du 3.5,
et elle montre que les Allemands sont en-
core en état de concentrer des forces irré-
sistibles sur les points qu'ils jugent impor-
tants. Cet échec rappelle celui de Longueval
et du Bois des Foureaux. Mais, en juillet
1916, les Russes menaient une offensive vic-
torieuse, et les Autrichiens avaient ramené
leur artillerie lourde dans le Trentin, tandis
qu'en août la Roumanie entrait dans la
guerre. Si nous pouvions compter cette an-
née sur une série d'événements équiva-
lents, notre situation serait bien meilleure
qu'elle ne l'est. Il est essentiel d'arriver à
une entente avec le Gouvernement russe au
sujet des buts politiques de la guerre. Une
offensive russe, survenant après une telle
entente, obligerait les Allemands à retirer de
France 250.000 hommes. Si en même temps
nous pouvions remporter une véritable vic-
toire en Syrie sur les Turcs, ou en Macé-
doine sur les Bulgares, les Allemands reti-
reraient sans doute 500.000 hommes du
front occidental. Cela suffirait. Nous se-
rions en mesure d'atteindre la Meuse cette
année. Mais nous devons choisir entre'la
Macédoine et la Syrie. Nous sommes plus
près d'un résultat décisif dans l'ouest que
nous ne l'avons jamais été Il ne faudrait
pas grand'chose pour faire pencher la ba-
lance en notre faveur. Nous ne devons pas
songer à ajourner la décision à l'an pro-
chain. — (Student of War) Manchest.
Guard., 12.5.
Guerre navale. — Depuis le 1er février,
les Anglais ont détruit en moyenne un
sous-marin par jour,. et dernièrement ils en
ont coulé ou capturé plus encore, s'il en
faut croire les renseignements apportés
hier à New-York par des personnes arri-
vant d'Europe, qui disent que ces chiffres
leur ont été donnés par des officiers de la
marine anglaise, et par de hauts fonction-
naires de l'Amirauté. Dans le mois qui sui-
vit la déclaration de guerre sous-marine, à
outrance, les Anglais coulèrent 32 sous-ma-
rins. Depuis, le chiffre moyen des sous-
marins détruits,chaque semaine a été entre
sept et quinze, et on est allé jusqu'à 23
dans la même semaine.- New York Times,
10.4.
- MATERIEL
Suisse. — On a présenté à la commission
d'experts, à Thun, un type de mitrailleuse
à moteur électrique, d'une vitesse in-
connue jusqu'ici ; les coups partent
sans détonation ; seul le bruit du moteur
indique que la mitrailleuse est en action.
Les troupes suisses de la frontière expéri-
mentent en ce moment un nouveau masque
contre les gaz, dont les résultats ont été
excellents. — Schweizerische Schüt-zenztg.,
cité par Berner Tagbl., 10.5.
ORGANISATION
Etats-Unis. — On prévoit qu'en cas d'éta-
blissement du service militaire obligatoire,
beaucoup d'Américains essayeront de s'y
soustraire sous le prétexte d'une opposi-
tion de principe à la guerre. Les sociétés
pacifistes annoncent qu'elles mettront gra-
tuitement des hommes de loi à la disposi-
tion de ces réfractaires, de façon à leur
donner la marche à suivre pour échapper
au service militaire. New York Tribune, 8.4. -
— On entend souvent des gens se réjouir
de ce que l'armée possède un Etat-Major
Général, et souhaiter que la marine soit
dotée d'une organisation semblable. A par-
ler , franc, la marine n'y gagnerait guère.
L'Etat-Major Général ne fait pas brillante
figure. et, bien, qu'un des projets visant
à établir la conscription s'appelle « projet
de l'Etat-Major -Général », ses membres
n'ont pas été consultés à son sujet. Qu'a
donc notre Etat-Major Général ? D'abord,
l'homme qui .est à sa tête n'a pas assez
d'envergure pour le poste qu'il occupe. Le
général Soott est. un gentleman aimable,
pour qui tout le -monde à de l'affection,
mais qui n'a jamais eu de véritable expé-
rience du métier d'officier général. Il se-
rait absurde dé mettre son nom à côté de
Geux de Robertson ou de Ludendorff. Si les
Etats-Unis doivent faire dans la guerre fi-
gure de professionnels, et non d'amateurs,
si leur rôle y doit être déterminé par des
militaire, et non par un ministre de la
Guerre qui est un pacifiste, l'Etat-Major
Général devra renfermer nos meilleurs of-
ficiers, et avoir à sa tête nos meilleurs
généraux. D'autre part, l'Etat-Major Gé-
néral n'a jamais eu la momdre autorité sur
les chefs des bureaux, et ceux-ci ont fait
décider que la moitié seulement des offi-
ciers en faisant partie pourrait séjourner à
Washington. Le résultat, est que des rap-
ports envoyés par les attachés militaires
américains en Europe n'ont jamais pu être
étudiés comme il aurait -convenu qu'ils le
fussent. ,— (C. W. Gilbert) New York-
Tribune, 10.4.
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES -
Grèce. — Le Gouvernement de Salonique
a décidé de résoudre la question agraire
en Macédoine ; le ministre des domaines
publics, M. Michalacopaulos, vient d'élabo-
rer un plan d'ensemble qui va être sou-
mis à l'approbation du Gouvernement.
D'après ce plan, ftnalogue à celui qui a été
appliqué en Roumanie, l'Etat mettra la
main sur tous les « tchifliks » ; il donnera en
retour à leurs propriétaines des reconnais-
sances qui porteront intérêt à 6 0/0. Les
domaines seront répartis entre les colons
,,,
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1
î
N° 440
Paris, 15 mai 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
- - NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
ClOMFInPrMTIFI confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
- VI iT II^UIi I ! > ■■■ qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
- de la Guerre et des Affaires Étrangères.
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rh\- Occidental. - La lutte pour la su-
eUr, Lee de l'air s'est décidée en notre fa-
? ls essayent d'expliquer leurs
Wr? ves 'en affirmant que nos avia-
Vlerulent que rarement au-dessus
alie)als riernies,, tandis que les avia-
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.e' contra un ennemi supérieur en
(I ¡Je ; Cette ntre l Anglais tenace et coura-
te est dure et nous occasionne
gr'ft e SUI' ter;rtesMals de même que pour la
ee terre s comptait gagner
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bu IUp !rit nionLP'ccidental, les aviateurs
Un peu plus dei modéra-
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~rip pertes quiils ont su-
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PO-irit l'activité hardie
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Mart', Pélllui Iln-eIhL Celui-ci perdit 21 appa-
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où l'on craint que l'intensification de la
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mette définitivement la situation turque en
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nous pouvions remporter une véritable vic-
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front occidental. Cela suffirait. Nous se-
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n'ont pas été consultés à son sujet. Qu'a
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publics, M. Michalacopaulos, vient d'élabo-
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appliqué en Roumanie, l'Etat mettra la
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