Titre : Revue générale des chemins de fer
Éditeur : Dunod-Gauthier-Villars (Paris)
Éditeur : ElsevierElsevier (Paris)
Date d'édition : 1936-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343492000
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : multilingue
Format : Nombre total de vues : 17808 Nombre total de vues : 17808
Description : 01 septembre 1936 01 septembre 1936
Description : 1936/09/01 (A55,N3,T56). 1936/09/01 (A55,N3,T56).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : transports... Collection numérique : Corpus : transports ferroviaires
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64730216
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302355
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 21/02/2013
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- SOMMAIRE DES MATIÈRES DU N° DU 1er SEPTEMBRE 1936 INDEXÉES SUIVANT LES PRINCIPES DE LA CLASSIFICATION DÉCIMALE
Les matières indexées dans ce sommaire sont celles des notes de tête et de la rubrique: " Les Chemins de fer à l'étranger.
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sens ou dans l'autre) sont établis de manière à exciter le relais G et la lampe
rouge de contrôle, placée sous les yeux de l'aiguilleur est éteinte. Si une
Fia. 3.
mise à la terre se produit, par exemple sur le fil X, l'enroulement A est
court circuité par cette mise à la terre et l'équilibre de l'armature est
détruit, celle-ci étant attirée par l'enroulement C. Le mouvement de
l'armature coupe le contact 2 et établit par contre en 5 un contai 1
mettant en circuit l'enroulement B, maintient le collage de l'armature. L
mouvement de l'armature coupe en même temps l'un des contacts 4, ce qui
désexcite le relais G et allume la lampe rouge de contrôle. Le contact 3, qOl
a suivi également le mouvement de l'armature, allume dans la salle de:
relais une lampe témoin correspondant à la polarité de la terre décelée.
Lorsque l'aiguilleur voit s'allumer la lampe rouge de
contrôle, il doit noter la manœuvre qu'il vient d'effectuer et
prévenir sans délai le service d'entretien. L'agent d'entretin.
suivant la polarité indiquée par la lampe témoin allurnee.
appuie sur l'un des boutons poussoirs RI ou R2. Si, ce bouton
poussoir une fois abandonné, aucune lampe témoin ne s
rallume, c'est que, la mise à la terre affectait un circuit qUI
n'est plus en charge. Il suffit alors de demander à l'aiguilleur
de recommencer la manœuvre pour reproduire l'allumage e
permettre les recherches utiles. [e dispositif peut déceler une
terre de 7 000 ohms.
Des boutons poussoirs P1 et p2 permettent de mettre Õ 10
terre l'un ou l'autre des pôles de la batterie, par ln
médiaire d'une résistance de 1 500 ohms et de vérifier le bon
fonctionnement du dispositif en dehors de toute mise Õ 10
terre réelle.
VINOT.
Ingénieur principal, 10"
Chef du Service des Études de l'Exploltol n
des Chemins de fer de l'Est.
Le nouveau système téléphonique par courants porteurs
à haute fréquence de la Compagnie del Norte(l>
L'installation qui vient d'être mise en service a pour but de
créer, entre Madrid et Léon ou Miranda (distance 800 km),
une relation téléphonique directe sans pose de nouvelle ligne,
en utilisant le circuit existant depuis 1923 pour le téléphone à
appel sélectif du Dispatching.
Le problème à résoudre a été assez complexe, en particulier
du fait que le circuit du Dispatching présente des dérivations
à chaque poste intermédiaire.
Le dispositif est analogue àcelui qui est utilisé par lesChemins
de fer Suédois sur un parcours de 211 km entre Ange et Vannas.
Il comprend à chaque point de départ un poste à lampes,
émetteur de courant porteur à haute fréquence (5 000 périodes
dans un sens, 10 000 périodes dans l'autre), à chaque station
intermédiaire des filtres séparant les courants à haute et bOSe
fréquences et à chaque poste récepteur des filtres analog°eS
un équipement à lampes destiné à ramener la communicotl
téléphonique à son état primitif.
U"
Les résultats obtenus ont donné entière satisfaction. :
système spécial permet de maintenir constant le niveau de la
réception, quel que soit l'état de la ligne. Une interruption S
l'un des conducteurs sur une longueur de plusieurs me e
permet même de continuer la conversation à haute fréq^e
alors que celles à basse fréquence sont totalement interromp
V.
Les arbres vilebrequins en acier moulé
dans les moteurs à combustion interne (2)
On n'avait jusqu'ici que peu de renseignements sur la
valeur des fatigues de torsion et de flexion d'un arbre
vilebrequin. On a donc commencé par faire, à l'aide d'une
machine spéciale décrite et illustrée dans l'article, des essais
de torsion sur des arbres vilebrequins en acier forgé de
moteurs d'automobiles à 4 cylindres.
On a essayé ainsi 3 arbres vilebrequins représentés sur les
figures 4 à 6.
Le métal était à peu près le même (acier C 45.61); on a
(t) D'après Ferrocarriles y Tronvias - Avril 1936.
(2) Zeitschrift des Vereines deutscher Ingenieure, 4 Janvier 1936.
Article de MM. A. Thum et K. Bandow (Darmstadt):
indiqué dans le tableau ci-dessous les résultats obtenu o
cours d'essais de torsion :
Limite
Diamètre de fat'Oi"
Forme Tourillon de tourillon Métal à la tor, i
mm 7 kg/"
A (Fig. 4) creux 48 C 45.61 8 èJ 8,3
voisin de 8 S
B (Fig. 5) plein 44,5 C 45.61 8,3 à 8,5
C (Fig. 6) creux 46 C 45.61 8,3 à S
sens ou dans l'autre) sont établis de manière à exciter le relais G et la lampe
rouge de contrôle, placée sous les yeux de l'aiguilleur est éteinte. Si une
Fia. 3.
mise à la terre se produit, par exemple sur le fil X, l'enroulement A est
court circuité par cette mise à la terre et l'équilibre de l'armature est
détruit, celle-ci étant attirée par l'enroulement C. Le mouvement de
l'armature coupe le contact 2 et établit par contre en 5 un contai 1
mettant en circuit l'enroulement B, maintient le collage de l'armature. L
mouvement de l'armature coupe en même temps l'un des contacts 4, ce qui
désexcite le relais G et allume la lampe rouge de contrôle. Le contact 3, qOl
a suivi également le mouvement de l'armature, allume dans la salle de:
relais une lampe témoin correspondant à la polarité de la terre décelée.
Lorsque l'aiguilleur voit s'allumer la lampe rouge de
contrôle, il doit noter la manœuvre qu'il vient d'effectuer et
prévenir sans délai le service d'entretien. L'agent d'entretin.
suivant la polarité indiquée par la lampe témoin allurnee.
appuie sur l'un des boutons poussoirs RI ou R2. Si, ce bouton
poussoir une fois abandonné, aucune lampe témoin ne s
rallume, c'est que, la mise à la terre affectait un circuit qUI
n'est plus en charge. Il suffit alors de demander à l'aiguilleur
de recommencer la manœuvre pour reproduire l'allumage e
permettre les recherches utiles. [e dispositif peut déceler une
terre de 7 000 ohms.
Des boutons poussoirs P1 et p2 permettent de mettre Õ 10
terre l'un ou l'autre des pôles de la batterie, par ln
médiaire d'une résistance de 1 500 ohms et de vérifier le bon
fonctionnement du dispositif en dehors de toute mise Õ 10
terre réelle.
VINOT.
Ingénieur principal, 10"
Chef du Service des Études de l'Exploltol n
des Chemins de fer de l'Est.
Le nouveau système téléphonique par courants porteurs
à haute fréquence de la Compagnie del Norte(l>
L'installation qui vient d'être mise en service a pour but de
créer, entre Madrid et Léon ou Miranda (distance 800 km),
une relation téléphonique directe sans pose de nouvelle ligne,
en utilisant le circuit existant depuis 1923 pour le téléphone à
appel sélectif du Dispatching.
Le problème à résoudre a été assez complexe, en particulier
du fait que le circuit du Dispatching présente des dérivations
à chaque poste intermédiaire.
Le dispositif est analogue àcelui qui est utilisé par lesChemins
de fer Suédois sur un parcours de 211 km entre Ange et Vannas.
Il comprend à chaque point de départ un poste à lampes,
émetteur de courant porteur à haute fréquence (5 000 périodes
dans un sens, 10 000 périodes dans l'autre), à chaque station
intermédiaire des filtres séparant les courants à haute et bOSe
fréquences et à chaque poste récepteur des filtres analog°eS
un équipement à lampes destiné à ramener la communicotl
téléphonique à son état primitif.
U"
Les résultats obtenus ont donné entière satisfaction. :
système spécial permet de maintenir constant le niveau de la
réception, quel que soit l'état de la ligne. Une interruption S
l'un des conducteurs sur une longueur de plusieurs me e
permet même de continuer la conversation à haute fréq^e
alors que celles à basse fréquence sont totalement interromp
V.
Les arbres vilebrequins en acier moulé
dans les moteurs à combustion interne (2)
On n'avait jusqu'ici que peu de renseignements sur la
valeur des fatigues de torsion et de flexion d'un arbre
vilebrequin. On a donc commencé par faire, à l'aide d'une
machine spéciale décrite et illustrée dans l'article, des essais
de torsion sur des arbres vilebrequins en acier forgé de
moteurs d'automobiles à 4 cylindres.
On a essayé ainsi 3 arbres vilebrequins représentés sur les
figures 4 à 6.
Le métal était à peu près le même (acier C 45.61); on a
(t) D'après Ferrocarriles y Tronvias - Avril 1936.
(2) Zeitschrift des Vereines deutscher Ingenieure, 4 Janvier 1936.
Article de MM. A. Thum et K. Bandow (Darmstadt):
indiqué dans le tableau ci-dessous les résultats obtenu o
cours d'essais de torsion :
Limite
Diamètre de fat'Oi"
Forme Tourillon de tourillon Métal à la tor, i
mm 7 kg/"
A (Fig. 4) creux 48 C 45.61 8 èJ 8,3
voisin de 8 S
B (Fig. 5) plein 44,5 C 45.61 8,3 à 8,5
C (Fig. 6) creux 46 C 45.61 8,3 à S
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