Titre : Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris
Auteur : Paris. Auteur du texte
Auteur : Seine. Auteur du texte
Auteur : Paris (Département / 1975-....). Auteur du texte
Éditeur : Imprimerie municipale (Paris)
Date d'édition : 1933-11-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343512457
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 240410 Nombre total de vues : 240410
Description : 23 novembre 1933 23 novembre 1933
Description : 1933/11/23 (A52,N268,T4). 1933/11/23 (A52,N268,T4).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse Collection numérique : Bibliographie de la presse
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6441231t
Source : Ville de Paris / Bibliothèque de l'Hôtel de Ville (BHdV), 2012-46765
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/03/2014
4182 BULLETIN MUNICIPAL OFFICIEL du jeudi 23 novembre 1933
quartier de la Gare, demande à M. le Préfet
de la Seine les raisons de ce retard et à
quelle date ces travaux seront entrepris.
ItSpONSHS AUX QUESTIONS âCRITBS
N° 533. — 6 octobre 1933. — Le" terrain
situé 1, rue Petitot et sur lequel devait être
construit un établissement de bains-douches
est libre de tout occupant; l'immeuble est
démoli, rien ne s'oppose maintenant à la
construction de l'établissement projété.
M. Gaston Pinot, conseiller municipal,
prie M. le Préfet de la Seine de lui faire
connaître à quelle époque pourra être entre-
prise la construction de ces bains-douches
dont les crédits ont été votés par le Conseil
municipal.
Réponse.
Le dossier d'exécution des travaux de
gros œuvre est actuellement au point et il
est procédé à l'appel à la concurrence régle-
mentaire.
Les travaux de construction seront entre-
pris au cours de la seconde quinzaine de
décembre prochain.
N° 546. — 9 octobre 1933. — L'Assistance
publique licencie actuellement, en partie tout
au moins, le personnel temporaire embauché
pour la période des congés.
Il n'est pas toujours tenu compte dans ces
icenciements, de la situation et en particu-
lier des charges de famille.
D'autre part, en ce qui concerne les céliba-
taires logés dans les établissements, ils sont
mis en demeure de quitter leur chambre en
même temps que leur emploi. S'ils vont dans
les hôtels, ils ne remplissent pas les condi-
tions (logés un mois avant leur mise en chô-
mage) pour que leurs logeurs aient droit au
remboursement des prestations.
M. Castellaz, conseiller municipal, de-
mande à M. le Préfet de la Seine et à M. le
Directeur général de l'Assistance publique, de
bien vouloir :
1° Donner les ordres nécessaires pour qu'il
soit tenu compte des charges de famille dans
les licenciements ;
2° D'examiner la possibilité de laisser aux
agents licenciés, par suite de manque de tra-
vail, la possibilité de continuer d'habiter leur
chambre (pour laquelle d'ailleurs une rede-
vance est perçue) au lieu de laisser les locaux
vides.
Réponse.
1° L'ordre de licenciement du personnel
temporaire recruté pour assurer les rempla-
cements pendant la période des congés tient
compte des charges de famille des intéressés.
Sont maintenus, par préférence, d'abord les
anciens pupilles de l'Assistance publique;
puis, les agents temporaires admis, après J
examen et au bout d'un an de services, à
suivre les cours des écoles d'infirmières ou
de préposés des hôpitaux.
La préférence est ensuite accordée, pour le
personnel féminin, aux femmes seules ayant
un ou plusieurs enfants ; et, pour le personnel
masculin, aux agents mariés ou veufs, ayant
un ou plusieurs enfants.
Les agents n'ayant pas de charges de
famille sont donc licenciés dans l'ordre d'an-
cienneté, avant tous autres.
2° Les agents temporaires, en principe, ne
sont pas logés. Ce n'est qu'exceptionnellement
et à titre essentiellement précaire, quand il
existe des locaux disponibles, que l'on peut
accorder le logement aux agents de cette
catégorie. L'avantage qui leur est consenti
ne peut leur être maintenu quand ils n'exer-
cent plus aucune fonction dans les établisse-
ments hospitaliers.
D'autre part, le licenciement des agents
temporaires féminins coïncidant avec la sortie
des élèves de l'école de la Salpêtrière, tous les
locaux disponibles doivent être récupérés
pour loger celles-ci.
N' 579. — 18 octobre 1933. — M. Georges
Prade, conseiller municipal, soucieux de
voir assurer à toute la population scolaire de
la Ville de Paris l'entraînement physique
jugé indispensable aux élèves des écoles,
s'étonne que cet enseignement spécial si bien
organisé et dirigé ne soit pas donné à toutes
les classes sur la base admise d'une demi-
heure par semaine. Il demeure entendu que
cette séance n'exclue pas les leçons excel-
lentes données par les instituteurs et les ins-
titutrices.
L'accroissement de la population scolaire
exige quelques sacrifices surtout lorsqu'il
s'agit de la santé et de la formation de nos
petits Parisiens, auxquels le Conseil muni-
cipal n'a jamais ménagé son appui et son
concours.
Aussi, M. Georges pfade se croit-il autorisé
à demander à M. le Préfet de la Seine de bien
vouloir mettre à la disposition de M. le Direc-
teur de l'Enseignement primaire de la Seine
les crédits nécessaires à la création des demi-
heures d'éducation physique par semaine
dont ne bénéficiaient pas un certain nombre
d'écoles de la Ville de Paris.
Réponse.
L'horaire réglementaire de l'éducation phy-
sique est de deux heures par semaine.
A Paris, l'Administration s'est efforcée de
faire donner dans toutes les écoles une demi-
heure de cet enseignement par les professeurs
spéciaux d'éducation physique, le surplus du
service étant assuré par les instituteurs.
Il est exact qu'un petit nombre d'écoles ou
de cours ne bénéficient pas de l'enseignement
du professeur spécial, en raison de l'insuffi-
sance des crédits.
Pour donner satisfaction à M. Georges
Prade, il faudrait augmenter les dotations
des enseignements spéciaux, car de nouvelles
classes viennent d'être ouvertes depuis le
1er octobre. Les difficultés budgétaires de
l'heure présente ont fait ajourner ces P
blêmes ; dès que les circonstances seront y
favorables, la question sera reprise en ae
d'une étude d'ensemble.
N° 593. — 24 octobre 1933. — Les rats pjjj
lulent dans Paris, c'est un fait. Mais, deplais
quelque temps, dans certains quartiers ar-
centre, à certaines heures de la nuit, en *
ticulier aux abords des marchés ou des la
rains vagues, c'est une invasion, sur *
chaussée comme dans les caves.
M. Charles des Isnards, consel le
municipal, a l'honneur de demander à B ■
Préfet de police s'il ne serait pas poSSl tr
soit par voie d'affiches, soit par tout a la
moyen, de faire connaître aux ParISIen urs
méthode à suivre pour détruire ces rongeblic
et même de mettre à la disposition du pu""
les moyens appropriés.
Réponse.
La Préfecture de police prend toutes ceS
mesures qui lui semblent les plus effica
pour éviter la pullulation des rats.
Elle recommande de grillager les soupIr deS
des caves et la fermeture hermétique des
poubelles.
Le service de dératisation effectue, à parui
comme en banlieue, toutes les opératIons q
lui sont demandées par des particuliers-
L'activité de ce service s'est même VIl
considérablement ces derniers tempS"dé il.
1 tr janvier au 1er octobre 1933, il a proce 5'ÍJ
1 015 opérations de dératisation contre pfi
l'année dernière, pendant la même pêrioa
Enfin, quand la clientèle viendra au » bara
des chats ratiers installé selon les desIf 1 f
Conseil général et du Conseil y
ue v
aura dans Paris et dans la banlieue leS
nombre de chats propres à combattfutle
rats qui permettra dans un certain délaI ,,08
lutte encore plus efficace.
No 596. 26 octobre 1933. 1 il st à
observer que les enfants des écoles de la ville,
auxquels on recommande la Pr
l'hygiène, ne peuvent suivre les r econlivao,
dations qui leur sont faites lorsqu1 ée,
lisent les lieux d'aisance mis à leur por 1 ur
Ils n'ont aucun papier hygiénique à pi
disposition et doivent employer des P ggt
souillés ou des imprimés dont lusaë ggt
dangereux. 1
M. Robert Bos, conseiller 08
demande à M. le Préfet de la Seipe à titre
serait pas possible de placer, au mOIn: Ville,
d'essai, dans la cour des écoles Il le ille,
notamment dans celle des écoles du q îlpier
du Val-de-Grâce, des distributeurs de fsot5
sanitaire, de façon à permettre aux
de pratiquer l'hygiène qu'on leur eDse
Réponse. f
L'adoption de la mesure preO se qUi
M. Robert Bos entraînerait une de" se
est impossible de chiffrer à l'heure
quartier de la Gare, demande à M. le Préfet
de la Seine les raisons de ce retard et à
quelle date ces travaux seront entrepris.
ItSpONSHS AUX QUESTIONS âCRITBS
N° 533. — 6 octobre 1933. — Le" terrain
situé 1, rue Petitot et sur lequel devait être
construit un établissement de bains-douches
est libre de tout occupant; l'immeuble est
démoli, rien ne s'oppose maintenant à la
construction de l'établissement projété.
M. Gaston Pinot, conseiller municipal,
prie M. le Préfet de la Seine de lui faire
connaître à quelle époque pourra être entre-
prise la construction de ces bains-douches
dont les crédits ont été votés par le Conseil
municipal.
Réponse.
Le dossier d'exécution des travaux de
gros œuvre est actuellement au point et il
est procédé à l'appel à la concurrence régle-
mentaire.
Les travaux de construction seront entre-
pris au cours de la seconde quinzaine de
décembre prochain.
N° 546. — 9 octobre 1933. — L'Assistance
publique licencie actuellement, en partie tout
au moins, le personnel temporaire embauché
pour la période des congés.
Il n'est pas toujours tenu compte dans ces
icenciements, de la situation et en particu-
lier des charges de famille.
D'autre part, en ce qui concerne les céliba-
taires logés dans les établissements, ils sont
mis en demeure de quitter leur chambre en
même temps que leur emploi. S'ils vont dans
les hôtels, ils ne remplissent pas les condi-
tions (logés un mois avant leur mise en chô-
mage) pour que leurs logeurs aient droit au
remboursement des prestations.
M. Castellaz, conseiller municipal, de-
mande à M. le Préfet de la Seine et à M. le
Directeur général de l'Assistance publique, de
bien vouloir :
1° Donner les ordres nécessaires pour qu'il
soit tenu compte des charges de famille dans
les licenciements ;
2° D'examiner la possibilité de laisser aux
agents licenciés, par suite de manque de tra-
vail, la possibilité de continuer d'habiter leur
chambre (pour laquelle d'ailleurs une rede-
vance est perçue) au lieu de laisser les locaux
vides.
Réponse.
1° L'ordre de licenciement du personnel
temporaire recruté pour assurer les rempla-
cements pendant la période des congés tient
compte des charges de famille des intéressés.
Sont maintenus, par préférence, d'abord les
anciens pupilles de l'Assistance publique;
puis, les agents temporaires admis, après J
examen et au bout d'un an de services, à
suivre les cours des écoles d'infirmières ou
de préposés des hôpitaux.
La préférence est ensuite accordée, pour le
personnel féminin, aux femmes seules ayant
un ou plusieurs enfants ; et, pour le personnel
masculin, aux agents mariés ou veufs, ayant
un ou plusieurs enfants.
Les agents n'ayant pas de charges de
famille sont donc licenciés dans l'ordre d'an-
cienneté, avant tous autres.
2° Les agents temporaires, en principe, ne
sont pas logés. Ce n'est qu'exceptionnellement
et à titre essentiellement précaire, quand il
existe des locaux disponibles, que l'on peut
accorder le logement aux agents de cette
catégorie. L'avantage qui leur est consenti
ne peut leur être maintenu quand ils n'exer-
cent plus aucune fonction dans les établisse-
ments hospitaliers.
D'autre part, le licenciement des agents
temporaires féminins coïncidant avec la sortie
des élèves de l'école de la Salpêtrière, tous les
locaux disponibles doivent être récupérés
pour loger celles-ci.
N' 579. — 18 octobre 1933. — M. Georges
Prade, conseiller municipal, soucieux de
voir assurer à toute la population scolaire de
la Ville de Paris l'entraînement physique
jugé indispensable aux élèves des écoles,
s'étonne que cet enseignement spécial si bien
organisé et dirigé ne soit pas donné à toutes
les classes sur la base admise d'une demi-
heure par semaine. Il demeure entendu que
cette séance n'exclue pas les leçons excel-
lentes données par les instituteurs et les ins-
titutrices.
L'accroissement de la population scolaire
exige quelques sacrifices surtout lorsqu'il
s'agit de la santé et de la formation de nos
petits Parisiens, auxquels le Conseil muni-
cipal n'a jamais ménagé son appui et son
concours.
Aussi, M. Georges pfade se croit-il autorisé
à demander à M. le Préfet de la Seine de bien
vouloir mettre à la disposition de M. le Direc-
teur de l'Enseignement primaire de la Seine
les crédits nécessaires à la création des demi-
heures d'éducation physique par semaine
dont ne bénéficiaient pas un certain nombre
d'écoles de la Ville de Paris.
Réponse.
L'horaire réglementaire de l'éducation phy-
sique est de deux heures par semaine.
A Paris, l'Administration s'est efforcée de
faire donner dans toutes les écoles une demi-
heure de cet enseignement par les professeurs
spéciaux d'éducation physique, le surplus du
service étant assuré par les instituteurs.
Il est exact qu'un petit nombre d'écoles ou
de cours ne bénéficient pas de l'enseignement
du professeur spécial, en raison de l'insuffi-
sance des crédits.
Pour donner satisfaction à M. Georges
Prade, il faudrait augmenter les dotations
des enseignements spéciaux, car de nouvelles
classes viennent d'être ouvertes depuis le
1er octobre. Les difficultés budgétaires de
l'heure présente ont fait ajourner ces P
blêmes ; dès que les circonstances seront y
favorables, la question sera reprise en ae
d'une étude d'ensemble.
N° 593. — 24 octobre 1933. — Les rats pjjj
lulent dans Paris, c'est un fait. Mais, deplais
quelque temps, dans certains quartiers ar-
centre, à certaines heures de la nuit, en *
ticulier aux abords des marchés ou des la
rains vagues, c'est une invasion, sur *
chaussée comme dans les caves.
M. Charles des Isnards, consel le
municipal, a l'honneur de demander à B ■
Préfet de police s'il ne serait pas poSSl tr
soit par voie d'affiches, soit par tout a la
moyen, de faire connaître aux ParISIen urs
méthode à suivre pour détruire ces rongeblic
et même de mettre à la disposition du pu""
les moyens appropriés.
Réponse.
La Préfecture de police prend toutes ceS
mesures qui lui semblent les plus effica
pour éviter la pullulation des rats.
Elle recommande de grillager les soupIr deS
des caves et la fermeture hermétique des
poubelles.
Le service de dératisation effectue, à parui
comme en banlieue, toutes les opératIons q
lui sont demandées par des particuliers-
L'activité de ce service s'est même VIl
considérablement ces derniers tempS"dé il.
1 tr janvier au 1er octobre 1933, il a proce 5'ÍJ
1 015 opérations de dératisation contre pfi
l'année dernière, pendant la même pêrioa
Enfin, quand la clientèle viendra au » bara
des chats ratiers installé selon les desIf 1 f
Conseil général et du Conseil y
ue v
aura dans Paris et dans la banlieue leS
nombre de chats propres à combattfutle
rats qui permettra dans un certain délaI ,,08
lutte encore plus efficace.
No 596. 26 octobre 1933. 1 il st à
observer que les enfants des écoles de la ville,
auxquels on recommande la Pr
l'hygiène, ne peuvent suivre les r econlivao,
dations qui leur sont faites lorsqu1 ée,
lisent les lieux d'aisance mis à leur por 1 ur
Ils n'ont aucun papier hygiénique à pi
disposition et doivent employer des P ggt
souillés ou des imprimés dont lusaë ggt
dangereux. 1
M. Robert Bos, conseiller 08
demande à M. le Préfet de la Seipe à titre
serait pas possible de placer, au mOIn: Ville,
d'essai, dans la cour des écoles Il le ille,
notamment dans celle des écoles du q îlpier
du Val-de-Grâce, des distributeurs de fsot5
sanitaire, de façon à permettre aux
de pratiquer l'hygiène qu'on leur eDse
Réponse. f
L'adoption de la mesure preO se qUi
M. Robert Bos entraînerait une de" se
est impossible de chiffrer à l'heure
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliographie de la presse Bibliographie de la presse /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "BIPNOUV"
- Auteurs similaires Paris Paris /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Paris" or dc.contributor adj "Paris")Seine Seine /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Seine" or dc.contributor adj "Seine") Paris Paris /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Paris" or dc.contributor adj "Paris")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 2/16
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6441231t/f2.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6441231t/f2.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6441231t/f2.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6441231t/f2.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6441231t
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6441231t
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6441231t/f2.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest