Titre : Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris
Auteur : Paris. Auteur du texte
Auteur : Seine. Auteur du texte
Auteur : Paris (Département / 1975-....). Auteur du texte
Éditeur : Imprimerie municipale (Paris)
Date d'édition : 1933-11-02
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343512457
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 240410 Nombre total de vues : 240410
Description : 02 novembre 1933 02 novembre 1933
Description : 1933/11/02 (A52,N252,T4)-1933/11/03. 1933/11/02 (A52,N252,T4)-1933/11/03.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse Collection numérique : Bibliographie de la presse
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6441215q
Source : Ville de Paris / Bibliothèque de l'Hôtel de Ville (BHdV), 2012-46765
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/03/2014
4022 BULLETIN MUNICIPAL OFFICIEL du vendredi 3 novembre 1933
N° 624. — 2 novembre 1933. — Les len-
teurs apportées à l'installation du chauffage
central dans les écoles de la Ville de Paris
font que, dans les quartiers périphériques,
où les classes sont particulièrement surchar-
gées, les femmes de service doivent continuer
à monter le charbon dans les étages.
Les femmes de service sont en général des
veuves de guerre souvent âgées.
Ce travail, particulièrement pénible, est
au-dessus de leur force et il est inadmissible
et inhumain de leur demander un pareil
effort.
M. Louis Gélis, conseiller municipal, a
déjà l'an dernier posé à ce sujet une question.
L'Administration lui a répondu comme elle
sait le faire. Aujourd'hui le conseiller du
quartier de la Maison-Blanche fait une pro-
position concrète. Il demande que dans toutes
les écoles où il n'y a pas le chauffage central
(et elles sont malheureusement trop nom-
breuses), un homme soit affecté à ce service,
étant entendu que le même pourra s'occuper
de plusieurs établissements scolaires.
N° 625. — 2 novembre 1933. — Malgré le
mauvais état de la chaussée et des trottoirs,
la rue Gandon devient de plus en plus pas-
sante. La proximité d'usines importantes
provoque une circulation intense et des me-
sures de préservation doivent être prises à
l'égard des enfants qui fréquentent le patro-
nage situé au n° 25 de cette rue.
C'est pourquoi, M. Louis Gélis, conseiller
municipal, demande à M. le Préfet de police
de vouloir faire décider que des panneaux
c ralentir » seront placés à proximité et qu'un
passage clouté sera établi.
(
• N° 626. - 2 novembre 1933. — Les zoniers
Compris entre les portes d'Italie et de Choisy
sont expropriés depuis près de six mois. La
plupart d'entre eux se sont adressés à leur
conseiller municipal pour lui manifester leur
impatience de quitter les lieux à condition,
bien entendu, de toucher l'indemnité allouée
par le jury d'expropriation.
Voici donc des zoniers dont on disait qu'il
Serait impossible de les faire partir qui
demandent, au contraire, à s'en aller.
Quand pourront-ils le faire?
M. Louis Gélis, conseiller municipal,
pourtant très habitué, surtout dans ce do-
maine, aux lenteurs administratives, ne peut
cependant pas comprendre que les services
chargés de cette opération n'apportent pas
plus d'activité pour la résoudre. 11 ne demande
pas le départ immédiat de tous les zoniers
expropriés ; il veut simplement que ceux qui
le désirent puissent partir.
Le conseiller soussigné a l'impression très
nette que le problème zonier est compliqué
sans raison et que les bureaux, après avoir
tâtonné indéfiniment, ne veulent pas admettre
que cette grave question s'est aujourd'hui
modifiée et simplifiée singulièrement surtout
depuis que les petits locataires zoniers (no-
tamment ceux rattachés à Maison Blanche)
se sont rendu compte qu'ils n'étaient pas
sacrifiés, comme le leur avait prédit certains
intéressés, plutôt défenseurs des gros zoniers.
M. Louis Gélis a la conviction, et il le dit
que, si l'Administration voulait se rendre à
l'évidence et cesser ses méthodes archaïques,
tatillonnes et têtues, la question zonière
pourrait être rapidement résolue à la satis-
faction et dans l'intérêt de tous.
RÉPONSES AUX QUESTIONS ÉCRITES
N° 449. — 25 août 1933. — La question de
l'installation d'un troisième établissement
d'alimentation et de limonade, qui se crée-
rait, cette fois, sur l'emplacement occupé par
la gare de la place Pereire, semble de nou-
veau prendre consistance.
M. Armand Massard, conseiller muni-
cipal, se permet de rappeler à M. le Préfet de
la Seine sa question précédente sur le même
sujet et renouvelle les protestations véhé-
mentes (dont il s'est fait l'écho et dont il ne
manquerait pas de faire état à l'occasion) que
soulève ce projet, de nature à porter un pré-
judice inadmissible à des commerçants ren-
contrant déjà assez de difficultés à pouvoir
subsister.
Réponse.
M. le Ministre des Travaux publics a fait
connaître que le Réseau de l'Etat ne lui a
soumis aucune proposition ayant trait à la
création éventuelle d'un établissement d'ali-
mentation dans les bâtiments de la station
Pereire-Levallois et il a donné l'assurance
que l'Administration préfectorale serait con-
sultée si un projet de cette nature était pré-
senté.
N° 463. — 6 septembre 1933. — Il n'est pas
rare de voir au croisement des rues les pas-
sants et les automobilistes hésiter sur la
direction à prendre lorsqu'ils sont à la
recherche d'un numéro. Cette difficulté, lors-
qu'il s'agit de voitures automobiles, provoque
bien souvent des embarras de circulation.
Aussi, M. Georges Prade, conseiller
municipal, attire-t-il l'attention de M. le
Préfet de la Seine sur une amélioration qu'il
a rencontrée à Stockholm. A chaque carrefour
important, une plaque complémentaire signale
les numéros les plus voisins et une flèche
indique la direction montante ou descen-
dante.
Ne serait-il pas possible de mettre à l'étude,
pour Paris, ce procédé qui ne manquerait pas
d'être très apprécié du public ?
Réponse.
Dès 1927, l'Administration a fait procéder
à des essais de la nature de ceux préconisés
par M. Georges Prade.
En 1930, on posa même, dans quelques
carrefours, des plaques portant à la fois le
numéro de l'immeuble sur lequel la plaque
est fixée et, à droite de ce numéro, en carac-
tères plus petits, le numéro de l'immeuble
suivant immédiatement, ces deux numéros
étant séparés par une flèche indiquant le
croissant des numéros de la voie.
Des plaques d'un des modèles adoptés seront
posées chaque fois que le besoin s'en o
sentir. Il ne peut, évidemment, être que®
d'appliquer la mesure à tous les carre^^
indistinctement, en raison de l'importance
la dépense qu'il faudrait engager.
N° 471. — 14 septembre 1933. — A la■
du 5 septembre, M. le Préfet de la Se
a bien voulu répondre à la question <1
M. Alfred Bour, conseiller munies j
avait posée le 22 juillet au sujet des in1&
tions relatives aux précautions à preD
pour déceler au public les canalisations et
robinets d'eau de Seine pouvant exister dans
les immeubles de Paris.
La réponse de M. le Préfet de la Seine #
une réponse de principe qui rappelle les 11l'
positions déjà connues et qui n'a trait
directement à la question posée. Celle-ci Pé-
tait en effet, plus spécialement sur l'utl
qu'il y aurait de demander à la Compaqje
des eaux de communiquer au service la
dépistage des canalisations d'eau potable
liste des immeubles relativement peu nO de
breux qui sont pourvus d'un poste d'ea ed 1
Seine. C'est à cette question que M. Al n f
Bour prie M.. le Préfet de la Seine de b1 l,:
vouloir répondre. jj
Réponse. !
La Compagnie générale des eaux dn
aux équipes qu'elle a constituées spécI,al s j
ment pour la recherche des communicati0
entre canalisations d'eau potable et d'eau s.'
rivière brute toutes les indica t i onsiae, ces,
saires à l'organisation des tournées de VISI e
des immeubles particuliers possédant 11
distribution d'eau non potable.
Elle fournit, d'autre part, au service tecb;
nique de l'Hygiène de l'habitation et au Se
vice de surveillance des eaux d'alimentatls
la liste des immeubles particuliers alime^
en partie en eau de rivière, liste qui est ¡nt
à jour périodiquement.
N° 481. — 20 septembre 1933. — M. 1tO
land, conseiller municipal, a l'honneur
demander à M. le Préfet de la Seine si U5
propriétaire, obligé par la loi à installer da1
son immeuble le tout à l'égout, est en roit
de récupérer sur ses locataires le suppléé6
de dépense d'eau qui en résulte.
Réponse. :
Les propriétaires et les locataires ont tottte
liberté pour passer entre eux des conventi0
particulières au sujet de la répartition et
remboursement des dépenses de conSOIJlJlllB j>
tion d'eau, à condition, toutefois, que
montant total des sommes réclamées eu
locataires par les propriétaires ne soit P j |
supérieur aux sommes payées par ceux-c1 ?
la Compagnie générale des eaux (art. 28
règlement des eaux).
L'Administration n'a d'ailleurs pas qualit®
pour intervenir dans les différends ei
peuvent surgir à ce sujet entre propriét;;ilO'
et locataires, notamment en cas de ai
N° 624. — 2 novembre 1933. — Les len-
teurs apportées à l'installation du chauffage
central dans les écoles de la Ville de Paris
font que, dans les quartiers périphériques,
où les classes sont particulièrement surchar-
gées, les femmes de service doivent continuer
à monter le charbon dans les étages.
Les femmes de service sont en général des
veuves de guerre souvent âgées.
Ce travail, particulièrement pénible, est
au-dessus de leur force et il est inadmissible
et inhumain de leur demander un pareil
effort.
M. Louis Gélis, conseiller municipal, a
déjà l'an dernier posé à ce sujet une question.
L'Administration lui a répondu comme elle
sait le faire. Aujourd'hui le conseiller du
quartier de la Maison-Blanche fait une pro-
position concrète. Il demande que dans toutes
les écoles où il n'y a pas le chauffage central
(et elles sont malheureusement trop nom-
breuses), un homme soit affecté à ce service,
étant entendu que le même pourra s'occuper
de plusieurs établissements scolaires.
N° 625. — 2 novembre 1933. — Malgré le
mauvais état de la chaussée et des trottoirs,
la rue Gandon devient de plus en plus pas-
sante. La proximité d'usines importantes
provoque une circulation intense et des me-
sures de préservation doivent être prises à
l'égard des enfants qui fréquentent le patro-
nage situé au n° 25 de cette rue.
C'est pourquoi, M. Louis Gélis, conseiller
municipal, demande à M. le Préfet de police
de vouloir faire décider que des panneaux
c ralentir » seront placés à proximité et qu'un
passage clouté sera établi.
(
• N° 626. - 2 novembre 1933. — Les zoniers
Compris entre les portes d'Italie et de Choisy
sont expropriés depuis près de six mois. La
plupart d'entre eux se sont adressés à leur
conseiller municipal pour lui manifester leur
impatience de quitter les lieux à condition,
bien entendu, de toucher l'indemnité allouée
par le jury d'expropriation.
Voici donc des zoniers dont on disait qu'il
Serait impossible de les faire partir qui
demandent, au contraire, à s'en aller.
Quand pourront-ils le faire?
M. Louis Gélis, conseiller municipal,
pourtant très habitué, surtout dans ce do-
maine, aux lenteurs administratives, ne peut
cependant pas comprendre que les services
chargés de cette opération n'apportent pas
plus d'activité pour la résoudre. 11 ne demande
pas le départ immédiat de tous les zoniers
expropriés ; il veut simplement que ceux qui
le désirent puissent partir.
Le conseiller soussigné a l'impression très
nette que le problème zonier est compliqué
sans raison et que les bureaux, après avoir
tâtonné indéfiniment, ne veulent pas admettre
que cette grave question s'est aujourd'hui
modifiée et simplifiée singulièrement surtout
depuis que les petits locataires zoniers (no-
tamment ceux rattachés à Maison Blanche)
se sont rendu compte qu'ils n'étaient pas
sacrifiés, comme le leur avait prédit certains
intéressés, plutôt défenseurs des gros zoniers.
M. Louis Gélis a la conviction, et il le dit
que, si l'Administration voulait se rendre à
l'évidence et cesser ses méthodes archaïques,
tatillonnes et têtues, la question zonière
pourrait être rapidement résolue à la satis-
faction et dans l'intérêt de tous.
RÉPONSES AUX QUESTIONS ÉCRITES
N° 449. — 25 août 1933. — La question de
l'installation d'un troisième établissement
d'alimentation et de limonade, qui se crée-
rait, cette fois, sur l'emplacement occupé par
la gare de la place Pereire, semble de nou-
veau prendre consistance.
M. Armand Massard, conseiller muni-
cipal, se permet de rappeler à M. le Préfet de
la Seine sa question précédente sur le même
sujet et renouvelle les protestations véhé-
mentes (dont il s'est fait l'écho et dont il ne
manquerait pas de faire état à l'occasion) que
soulève ce projet, de nature à porter un pré-
judice inadmissible à des commerçants ren-
contrant déjà assez de difficultés à pouvoir
subsister.
Réponse.
M. le Ministre des Travaux publics a fait
connaître que le Réseau de l'Etat ne lui a
soumis aucune proposition ayant trait à la
création éventuelle d'un établissement d'ali-
mentation dans les bâtiments de la station
Pereire-Levallois et il a donné l'assurance
que l'Administration préfectorale serait con-
sultée si un projet de cette nature était pré-
senté.
N° 463. — 6 septembre 1933. — Il n'est pas
rare de voir au croisement des rues les pas-
sants et les automobilistes hésiter sur la
direction à prendre lorsqu'ils sont à la
recherche d'un numéro. Cette difficulté, lors-
qu'il s'agit de voitures automobiles, provoque
bien souvent des embarras de circulation.
Aussi, M. Georges Prade, conseiller
municipal, attire-t-il l'attention de M. le
Préfet de la Seine sur une amélioration qu'il
a rencontrée à Stockholm. A chaque carrefour
important, une plaque complémentaire signale
les numéros les plus voisins et une flèche
indique la direction montante ou descen-
dante.
Ne serait-il pas possible de mettre à l'étude,
pour Paris, ce procédé qui ne manquerait pas
d'être très apprécié du public ?
Réponse.
Dès 1927, l'Administration a fait procéder
à des essais de la nature de ceux préconisés
par M. Georges Prade.
En 1930, on posa même, dans quelques
carrefours, des plaques portant à la fois le
numéro de l'immeuble sur lequel la plaque
est fixée et, à droite de ce numéro, en carac-
tères plus petits, le numéro de l'immeuble
suivant immédiatement, ces deux numéros
étant séparés par une flèche indiquant le
croissant des numéros de la voie.
Des plaques d'un des modèles adoptés seront
posées chaque fois que le besoin s'en o
sentir. Il ne peut, évidemment, être que®
d'appliquer la mesure à tous les carre^^
indistinctement, en raison de l'importance
la dépense qu'il faudrait engager.
N° 471. — 14 septembre 1933. — A la■
du 5 septembre, M. le Préfet de la Se
a bien voulu répondre à la question <1
M. Alfred Bour, conseiller munies j
avait posée le 22 juillet au sujet des in1&
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pour déceler au public les canalisations et
robinets d'eau de Seine pouvant exister dans
les immeubles de Paris.
La réponse de M. le Préfet de la Seine #
une réponse de principe qui rappelle les 11l'
positions déjà connues et qui n'a trait
directement à la question posée. Celle-ci Pé-
tait en effet, plus spécialement sur l'utl
qu'il y aurait de demander à la Compaqje
des eaux de communiquer au service la
dépistage des canalisations d'eau potable
liste des immeubles relativement peu nO de
breux qui sont pourvus d'un poste d'ea ed 1
Seine. C'est à cette question que M. Al n f
Bour prie M.. le Préfet de la Seine de b1 l,:
vouloir répondre. jj
Réponse. !
La Compagnie générale des eaux dn
aux équipes qu'elle a constituées spécI,al s j
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entre canalisations d'eau potable et d'eau s.'
rivière brute toutes les indica t i onsiae, ces,
saires à l'organisation des tournées de VISI e
des immeubles particuliers possédant 11
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Elle fournit, d'autre part, au service tecb;
nique de l'Hygiène de l'habitation et au Se
vice de surveillance des eaux d'alimentatls
la liste des immeubles particuliers alime^
en partie en eau de rivière, liste qui est ¡nt
à jour périodiquement.
N° 481. — 20 septembre 1933. — M. 1tO
land, conseiller municipal, a l'honneur
demander à M. le Préfet de la Seine si U5
propriétaire, obligé par la loi à installer da1
son immeuble le tout à l'égout, est en roit
de récupérer sur ses locataires le suppléé6
de dépense d'eau qui en résulte.
Réponse. :
Les propriétaires et les locataires ont tottte
liberté pour passer entre eux des conventi0
particulières au sujet de la répartition et
remboursement des dépenses de conSOIJlJlllB j>
tion d'eau, à condition, toutefois, que
montant total des sommes réclamées eu
locataires par les propriétaires ne soit P j |
supérieur aux sommes payées par ceux-c1 ?
la Compagnie générale des eaux (art. 28
règlement des eaux).
L'Administration n'a d'ailleurs pas qualit®
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