Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-01-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 janvier 1921 14 janvier 1921
Description : 1921/01/14 (T17,N1650). 1921/01/14 (T17,N1650).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6425383k
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
F DES
-
FFAIRES étrangères
1 -
1 N° 1650
Vendredi 14 janvier 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits integralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
p
liESSE ALLEMANDE. - Le désarmement de
Allemagne : les gardes bavaroises et
les gardes de Prusse orientale (Frank-
lUTter Zeitung). - L'Allemagne et la
Grande-Bretagne (R. Breitsoheid dans
So:.ialist). - Les Etats-Unis et le Traité
de Versailles (Deutsche Allgemeine Zei-
tung).
RESSE ANGLAISE. - La crise' ministérielle
en France (Times, Morning Post, Daily
ChTonide, Daily News).
PRES:'SE BELGE. - L'Allemagne et les répara-
tions (Nation Belge). 1
RESSE ESPAGNOLE. - La politique espa-
gnole : Vers la France ou vers l'Angle-
terre (Correspondancia Militar).
PRESSE ITALIENNE. - Le désarmement uni-
ersel et le Traité de Sèvres (général
Benclvenga dans Tempo). - L'Italie et
la Petite Entente (Idea Nazionale). -
Socialisme et bolchevisme : un livre
Sur la Russie (Turati dans Giornale
d'l talia).
---- ——————
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
LE TRAITÉ DE VERSAILLES
SEt DESARMEMENT. - GARDES BAVAROI-
GARDES DE PRUSSE ORIENTALE. — De
• ^ait^t 5.1 : Lorsque les publicistes
traitent la question des gardes de frontiè-
orient~ es gardes de localités en Prusse
orierit ,
Un ale, Ils commettent l'erreur d'établir
£ a^d,cV' entre ces institutions et les
ls s bavaroises. Cette façon d'envisager
leIllenses, 5ue l'Entente a faite sienne éga-
Puisque dans ses notes elle men-
lions sans distinction les gardes d'habi-
tants de Bavière et de Prusse orientale,
de fausses conclusions. Les
gardes d'habitants bavaroises sont issues
SOnt besoin de politique intérieure, elles
sont , estinées à assurer la sécurité contre
COU- D (e force, et il est donc naturel
litiqU -s .solent imbues d'une tendance de po-
tOntr e. Int.érieure. En Prusse orientale, au
faire lre, les gardes ont été créées pour
Ce à un danger extérieur, pour parer
t d nace de l'annexionnisme polonais
i - e Ilmpérialismo déguisé des Soviets.
La propagande des Soviets s'efforce, avec
des résultats visibles, de préparer la pro-
vince à la conquête russe, en dispersant les
troupes, en créant des organisations secrè-
tes qui prendront les armes au moment
donné. C'est ce qui s'est déjà produit au
moment de l'avance russe en juillet 1920.
L'Oberprésident Siehr s'était inspiré d'une
pensée excellente et sainement démocrati-
que en fondant des gardes d'habitants et de
localités régulières pour les substituer aux
organisations secrètes de défense privée
qui poursuivaient des buts réactionnaires.
Il a sensiblement affaibli la réaction.
Veut-on lui redonner la vitalité ? M. Lloyd
George veut-il créer en Prusse orientale une
nouvelle Irlande ?
FRANKFURTER ZEITUNG, 12.1.
L'ALLEMAGNE ET LES REPARATIONS.
- L'Allemagne a connu la faim, elle a
vécu des heures très difficiles, mais elle a
surmonté celle crise et actuellement elle a
tout en abondance. Elle le doit pour une
bonne part à son travail. Dans ses usines,
qui n'ont souffert en rien de la guerre et
où ronronne, soigneusement camouflée, plus
d'une machine volée à l'industrie belge, ses
ouvriers travaillent comme des nègres. Il
sa peut qu'officiellement la journée de huit
heures existe, mais nul ne rechigne aux
heures supplémentaires.
Pourtant tout le monde dans ce pays, est
d'accord pour déclarer que jamais on ne
paiera un pfennig à l'Entente.
Pour soustraire le plus d'argent possible
à l'impôt sur les fortunes au profit de l'En-
tente (Reichsnotopfer), on ne dépose en
banque que le strict nécessaire, et l'on ca-
che le reste. On cache là-bas les billets de
banque comme on cachait cheznous pendant
la guerre le cuivre ou les journaux clandes-
tins. La première maison où je découvris ce
sport est celle d'un industriel de Cologne
qui me montra comment il avait réussi à
dissimuler dans un placard couvert par une
horloge mille billets de 1.000 marks. Après
cela, on me fit voir tant de cachettes que
cela' en devint banal. J'en ai vu à Trêves
comme à Coblence, à Aix-la-Chapelle et à
Bonn comme à Mayence, sur la rive gau-
che comme en pays occupé. J'en ai vu dans
des salons et dans des cuisines ; dans une
maison privée on m'a montré dans la
« Herrnzimmer » un paquet de 500.000
marks dormant derrière un petit calendrier
très « gemütlich ». Il y a d'ailleurs des spé
cialistes pour « organiser » ces cachettes.
Mais cette « organisation » soustrait des
millions à l'impôt qui doit payer l'En-
tente. »
NATION BELGE, 12.1
L'ALLEMAGNE ET LA GRANDE-BRE-
TAGNE. - (( DIEU BÉNISSE L'ANGLETERRE ».
- Quel changement ! Les mêmes milieux
qui, pendant Ja guerre, résumaient leur
haine de Germains et l'aveu de leur fai-
blesse dans la prière « Dieu punisse l'An-
gleterre » ne sont pas très éloignés mainte-
nant d'appeler les bénédictions célestes sur
la tête de la perfide Albion. Les nationa-
listes allemands pensent voir le salut venir
de Londres ; tandis que les Français exi-
gent la dissolution immédiate des gardes
d'habitants en Bavière et en Prusse orien-
tale, en faisant remarquer que l'Allemagne
est en retard pour accomplir ses obliga-
tions de Spa, le « peuple de boutiquiers dé-
testé » montre de l'indulgence. D'après un
télégramme de Reuter, l'Angleterre ne veut
pas exercer de contrainte sur l'Allemagne.
Malgré toute la reconnaissance que la
réaction allemande croit devoir à l'Angle-
terre accommodante, elle fera bien de ne
pas s'imaginer que la question du désarme-
ment a cessé d'être un problème internatio-
nal. L'exposé de Reuter n'a aucun caractère
officiel. Des opinions contraires s'élèvent
dans le Cabinet anglais et la décision défi-
nitive interviendra à la conférence que la
France s'efforce de faire réunir bientôt. Il
est vraisemblable que le Gouvernement an-
glais n'est pas prêt à renoncer complète-
ment aux clauses du désarmement si vive-
ment soulignées à Spa par Lloyd George
même. En mettant tout au mieux, elle nous
ménagera une prolongation de délai. S'il
n'y a pas de danger communiste, la réaction
- d'après ce que nous apprenons - tâ-
chera de provoquer des troubles, afin de
démontrer aux Alliés le bien fondé de ses
affirmations et la nécessité de maintenir les
protecteurs de l'ordre. Il est plus que dou-
teux que nos adversaires acceptent cette dé-
monstration comme concluante. - Rud.
Breitscheid.
SOZIALIST, 8.1.
L'ATTITUDE, DES ETATS-UNIS. - Le
sénateur Knox a récemment déclaré que le
but de la politique américaine sous la nou-
velle présidence serait de s'occuper le moins
possible de la politique européenne. Depuis,
on a appris que l'ambassadeur américain à
Paris Wallace, avait été averti de ne plus
prendre part aux séances de la Conférence
des ambassadeurs et que l'Amérique s'abs-
tiendrait désormais de se faire représenter
aux réunions du Conseil Suprême : on a pu
conclure alors que l' « Aloofness » déjà pra-
tiqué en fait depuis un certain temps allait
commencer aussi formellement.
On sait que, dans le programme du nou-
veau Président, figure te rétablissement de
l'état de paix avec l'Allemagne. Au surplus.
F DES
-
FFAIRES étrangères
1 -
1 N° 1650
Vendredi 14 janvier 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits integralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
p
liESSE ALLEMANDE. - Le désarmement de
Allemagne : les gardes bavaroises et
les gardes de Prusse orientale (Frank-
lUTter Zeitung). - L'Allemagne et la
Grande-Bretagne (R. Breitsoheid dans
So:.ialist). - Les Etats-Unis et le Traité
de Versailles (Deutsche Allgemeine Zei-
tung).
RESSE ANGLAISE. - La crise' ministérielle
en France (Times, Morning Post, Daily
ChTonide, Daily News).
PRES:'SE BELGE. - L'Allemagne et les répara-
tions (Nation Belge). 1
RESSE ESPAGNOLE. - La politique espa-
gnole : Vers la France ou vers l'Angle-
terre (Correspondancia Militar).
PRESSE ITALIENNE. - Le désarmement uni-
ersel et le Traité de Sèvres (général
Benclvenga dans Tempo). - L'Italie et
la Petite Entente (Idea Nazionale). -
Socialisme et bolchevisme : un livre
Sur la Russie (Turati dans Giornale
d'l talia).
---- ——————
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
LE TRAITÉ DE VERSAILLES
SEt DESARMEMENT. - GARDES BAVAROI-
GARDES DE PRUSSE ORIENTALE. — De
• ^ait^t 5.1 : Lorsque les publicistes
traitent la question des gardes de frontiè-
orient~ es gardes de localités en Prusse
orierit ,
Un ale, Ils commettent l'erreur d'établir
£ a^d,cV' entre ces institutions et les
ls s bavaroises. Cette façon d'envisager
leIllenses, 5ue l'Entente a faite sienne éga-
Puisque dans ses notes elle men-
lions sans distinction les gardes d'habi-
tants de Bavière et de Prusse orientale,
de fausses conclusions. Les
gardes d'habitants bavaroises sont issues
SOnt besoin de politique intérieure, elles
sont , estinées à assurer la sécurité contre
COU- D (e force, et il est donc naturel
litiqU -s .solent imbues d'une tendance de po-
tOntr e. Int.érieure. En Prusse orientale, au
faire lre, les gardes ont été créées pour
Ce à un danger extérieur, pour parer
t d nace de l'annexionnisme polonais
i - e Ilmpérialismo déguisé des Soviets.
La propagande des Soviets s'efforce, avec
des résultats visibles, de préparer la pro-
vince à la conquête russe, en dispersant les
troupes, en créant des organisations secrè-
tes qui prendront les armes au moment
donné. C'est ce qui s'est déjà produit au
moment de l'avance russe en juillet 1920.
L'Oberprésident Siehr s'était inspiré d'une
pensée excellente et sainement démocrati-
que en fondant des gardes d'habitants et de
localités régulières pour les substituer aux
organisations secrètes de défense privée
qui poursuivaient des buts réactionnaires.
Il a sensiblement affaibli la réaction.
Veut-on lui redonner la vitalité ? M. Lloyd
George veut-il créer en Prusse orientale une
nouvelle Irlande ?
FRANKFURTER ZEITUNG, 12.1.
L'ALLEMAGNE ET LES REPARATIONS.
- L'Allemagne a connu la faim, elle a
vécu des heures très difficiles, mais elle a
surmonté celle crise et actuellement elle a
tout en abondance. Elle le doit pour une
bonne part à son travail. Dans ses usines,
qui n'ont souffert en rien de la guerre et
où ronronne, soigneusement camouflée, plus
d'une machine volée à l'industrie belge, ses
ouvriers travaillent comme des nègres. Il
sa peut qu'officiellement la journée de huit
heures existe, mais nul ne rechigne aux
heures supplémentaires.
Pourtant tout le monde dans ce pays, est
d'accord pour déclarer que jamais on ne
paiera un pfennig à l'Entente.
Pour soustraire le plus d'argent possible
à l'impôt sur les fortunes au profit de l'En-
tente (Reichsnotopfer), on ne dépose en
banque que le strict nécessaire, et l'on ca-
che le reste. On cache là-bas les billets de
banque comme on cachait cheznous pendant
la guerre le cuivre ou les journaux clandes-
tins. La première maison où je découvris ce
sport est celle d'un industriel de Cologne
qui me montra comment il avait réussi à
dissimuler dans un placard couvert par une
horloge mille billets de 1.000 marks. Après
cela, on me fit voir tant de cachettes que
cela' en devint banal. J'en ai vu à Trêves
comme à Coblence, à Aix-la-Chapelle et à
Bonn comme à Mayence, sur la rive gau-
che comme en pays occupé. J'en ai vu dans
des salons et dans des cuisines ; dans une
maison privée on m'a montré dans la
« Herrnzimmer » un paquet de 500.000
marks dormant derrière un petit calendrier
très « gemütlich ». Il y a d'ailleurs des spé
cialistes pour « organiser » ces cachettes.
Mais cette « organisation » soustrait des
millions à l'impôt qui doit payer l'En-
tente. »
NATION BELGE, 12.1
L'ALLEMAGNE ET LA GRANDE-BRE-
TAGNE. - (( DIEU BÉNISSE L'ANGLETERRE ».
- Quel changement ! Les mêmes milieux
qui, pendant Ja guerre, résumaient leur
haine de Germains et l'aveu de leur fai-
blesse dans la prière « Dieu punisse l'An-
gleterre » ne sont pas très éloignés mainte-
nant d'appeler les bénédictions célestes sur
la tête de la perfide Albion. Les nationa-
listes allemands pensent voir le salut venir
de Londres ; tandis que les Français exi-
gent la dissolution immédiate des gardes
d'habitants en Bavière et en Prusse orien-
tale, en faisant remarquer que l'Allemagne
est en retard pour accomplir ses obliga-
tions de Spa, le « peuple de boutiquiers dé-
testé » montre de l'indulgence. D'après un
télégramme de Reuter, l'Angleterre ne veut
pas exercer de contrainte sur l'Allemagne.
Malgré toute la reconnaissance que la
réaction allemande croit devoir à l'Angle-
terre accommodante, elle fera bien de ne
pas s'imaginer que la question du désarme-
ment a cessé d'être un problème internatio-
nal. L'exposé de Reuter n'a aucun caractère
officiel. Des opinions contraires s'élèvent
dans le Cabinet anglais et la décision défi-
nitive interviendra à la conférence que la
France s'efforce de faire réunir bientôt. Il
est vraisemblable que le Gouvernement an-
glais n'est pas prêt à renoncer complète-
ment aux clauses du désarmement si vive-
ment soulignées à Spa par Lloyd George
même. En mettant tout au mieux, elle nous
ménagera une prolongation de délai. S'il
n'y a pas de danger communiste, la réaction
- d'après ce que nous apprenons - tâ-
chera de provoquer des troubles, afin de
démontrer aux Alliés le bien fondé de ses
affirmations et la nécessité de maintenir les
protecteurs de l'ordre. Il est plus que dou-
teux que nos adversaires acceptent cette dé-
monstration comme concluante. - Rud.
Breitscheid.
SOZIALIST, 8.1.
L'ATTITUDE, DES ETATS-UNIS. - Le
sénateur Knox a récemment déclaré que le
but de la politique américaine sous la nou-
velle présidence serait de s'occuper le moins
possible de la politique européenne. Depuis,
on a appris que l'ambassadeur américain à
Paris Wallace, avait été averti de ne plus
prendre part aux séances de la Conférence
des ambassadeurs et que l'Amérique s'abs-
tiendrait désormais de se faire représenter
aux réunions du Conseil Suprême : on a pu
conclure alors que l' « Aloofness » déjà pra-
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