Titre : L'Argus : revue théâtrale et journal des comédiens : théâtre, littérature, modes, beaux-arts / M. Salvador, directeur-gérant et rédacteur en chef
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1850-06-06
Contributeur : Salvador (1803-1873). Directeur de publication
Contributeur : Le Roy, Alfred (01). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32701844x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4899 Nombre total de vues : 4899
Description : 06 juin 1850 06 juin 1850
Description : 1850/06/06 (A2). 1850/06/06 (A2).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63716200
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-1277
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/04/2013
Jeudi 6 Juin 1850
2* Année.
BUREMîX; i i j, H
aus Du CROISSANT, la.
,, *&&&> ■
ABONNEMENT AU JOUBNAL;
Un an. 30 fr.
Six mois.16
Trois mois 9
r
, - ;
RÉCLAMES
? 50 CENTIMES LA LIGNE.
!
•
Toutes les lettres et communications doi-
vent être adressées franches de pori iau
1 rédacteur en chef. ;;
Le gérant, E. Guerrier.
dG" , UUKEALX
i :
RUE DU xaoxssÀfÎT, la.
S&
ARONNEIIENT AU JOURNAL.
Un an. i 30 fr.
Six mois. 16
Trois mois. ; 4J
',; '* ANNONCES
t;j¡C£NTI.\IES LA .I(;Œ..i
Les insertions sent rerues de dix heures
du matin à cinq heures du soir, au
bureau du Journal.
1
il -
Imp. Schiller, r. du Croissant, 12.
DEll TBEATBEfII, ,
JOURNAL-PROGRAMME DES SPECTACLES ET DES CONCERTS,
Paraissant tous les jour. avec une illustration nouvelle. 9
Parle, 6 Jaln.
Uue nouvelle navrante est venue dou-
loureusement impressionner, hier au soir,
la foule de critiques et de gens de lettres
qui assistaient à la première représenta-
tation d'Un Vieil Innocent. On se racontait,
les larmes aux yeux, qu'Amédée Achard
un de ces jeunes hommes dontle nôm est,
dans le monde littéraire, synonyme d'hon-
netetéetde loyauté, avait été mortellement
blessé en duel par un journaliste italien
attaché à la rédaction du Constitutionnel
et du Corsaire. Un article inséré dans ce
dernier journal a excité la susceptibilité
d'Achard; et, oubliant qu'il est des injures
qui ne peuvent atteindre un cqeur haut
placé, notre courageux ami est venu offrir
sa noble poitrine à un fer qui a en a reçu,
ce jour là, un immense honneur.
Si, ce qu'à Dieu ne plaise, les craintes
qu'éveille l'état du blessé se réalisaient,
nous avons la conviction d'être entendu,
en appelant la société des gens de lettres
toute entière à paraître aux obsèques de
l'homme qui l'honorait par son talent et
par son caractère. Les littérateurs qui ne
ne font pas partie de cette Société donne-
ront également cette marque de sympa-
thie et d'estime à leur regrettable confrère.
! • *
D'UN RIZ AU LAIT ET DE CE QUI S'EN SUVIIT.
Notre héroïne s'appellera Prospéra et
notre héros La Léandrière. Ces pseudony-
mes baroques mais profonds, sont desti-
nés à remplacer les noms engagés dans des
liens que nous ne voulons certes pas voir
dénouer. Soyons indiscrets , mais soyons
prudens.
Prospéra (l'heureuse femme !) prenait,
certain jour, un riz au lait dans un café
du boulevart du Crime. Elle était en tom-
pagnie d'un jeune Cromwell qui la protè-
ge les yeux fermés; en sorte qu'il ne
vit pas le regard de la volage était in-
cessamment dirigé vers un bel acteur qui
venait de gagner quinte , quatorze et le
point dans une partie de piquet engagée
avec un camarade de l'endroit.
Cette quinte, ce quatorze et ce point fi-
rent beaucoup d'impression sur Prospéra.
Elle voulut voir jouer La Léandrière , —
c'était lui ! — elle le vit vingt fois dans le
même rôle, elle l'admira, l'aima, l'adora,
se passionna pour sa figure pâle et ses
longs cheveux, au point d'oublier le ciel,
la terre , ses devoirs et ses jetés-battus.
Vous ai-je dit que Prospéra dansait par
état? Elle est, en effet, coryphée-émérite
dans un grand théâtre.
Un jour cependant le trop confiant
Cromwell, fatigué d'entendre toujours les
mêmes acteurs dans la même pièce du
même théâtre, refusa d'assister à la vingt-
septième représentation.
Lors une idée nouvelle surgit dans le
cerveau et dans l'estomac de Prospéra.
« Il doit aller tous les soirs à ce café où je
le vis pour la première fois», pensa-t-elle.
— Mon chéri, s'entendit dire le Crom-
well, te rappelles-tu cet excellent riz au
lait du café du théâtre Trois-Etoiles ? J'ai
bien envie de retourner en prendre un, car
il n'y a vraiment que là où il soit aussi
delicieux ! 4
Le Cromwell eut la faiblesse de convenir
qu'en effet ce riz au lait lui avait paru
bon. A partir de ce moment, il lui fallut,
bon gré mal gré, conduire Prospéra tous
les soirs au café, où elle prenait invaria-
blement un riz au lait. Le total de ces riz
au lait engloutis par la tendre Prospéra se
monta, dans cette année-là, à trois cent
- -'., .< ,
,-A ! T l'année était bissextile.
Mais, hélas ! si le Cromwell se senlaif on
ne peut plus écœuré devant cette effroya-
ble consommation de riz, le cœur de Pros-
péra n'était pas moins désolé. La Léan-
drière ne venait jamais à ce café maudit.
Le seul jour qu'il eût jamais mis les pieds
était celui où il avait été vu de Prospéra.
A bout de patience et de riz, Prospéra
rencontra enfin une sienne amie qui lui
ménagea une entrevue avec La Léandrière.
Enfin ! enfin! enfin! il allait donc être
approché, ce beau, cet aimable, ce sédui-
sant, cet «appétissant La Léandrière ! La
constance et les riz de Prospéra allaient re-
cevoir leur récompense ! Prospéra ne ferma
pas l'œil de la nuit qui précéda le jour si
désiré. f
Elle s'habille et se fait belle à croquer.
- Son intention était bien de l'être un
peu. — Elle monte palpitante, et quatre
à quatre, les escaliers de son amie. Elle
entre, et trouve le beau La Léandrière
nonchalamment étendu sur un sofa. *
La Léandrière la salue faiblement ; il
ne l'a jamais vue, ni remarquée, et ne la
connaît pas. L'amie est obligée de lui dé-
cliner les noms, qualités et intentions de
Prospéra, restée immobile et déconte
nancée.
La Léandrière consent alors à déployer
ses grâces ; mais c'en est fait, le voile est
tombé, l'illusion détruite. Prospéra.le trou-
ve médiocre dévisagé et médiocre d'esprit.
Elle ne se livre pas, elle s'accorde, et pro-
met à grand' peine un rendez-vous pour
le lendemain.
Le lendemain La Léandrière se trouve
au rendez-vous, et n'y trouve point Pros-
péra. L'amour-propre irrité, l'espoir, un
attrait nouveau et irrésistible, l'y condui-
sirent pendant neuf mois de suite !
Un jour Prospéra, passant par là, pa
hasard, le vit et lui dit : « Je n'ai pas pu
venir la dernière fois, j'essayais un corset
de nouvelle invention. Je vous trouve un
peu maigri. » Et elle lui donna rendez-
vous pour le lendemain.
Il y a de cela un an et demi. La Léan-
drière continue d'aller à ce rendez-vous,
et il trouve que Prospéra est bien long-
temps à essayer ses corsets. Il est devenu
maigre comme un chat.
Prospéra, au contraire , est comme
l'huître de Lafontaine, grosse, grasse et
blanche, car, comme l'a dit le poète :
Elle aimait trop.le riz : c'est ce qui l'a gouflée.
Les Variétés ont représenté, lundi, trois
pièces nouvelles, et ont obtenu deux suc-
cès.
Dans In Fantôme, charmante pièce di
MM. de Villeneuve et Laffargue, Mlle Del-
phine Marquet, que l'on voit trop rare-
ment, puisqu'on ne la voit pas tous les
jours, a fait remarquer et applaudir sa
beauté, sa distinction, son excellente te- <
nue et sa vive intelligence. A côté d'elle
Mlle Page s'est montrée gracieuse et ave-
nante.
Le Chevalier de Sértgny est une fort
agréable comédie en vers, jouée d'une ma-
nière charmante par Mutée et Mlle Ozy.
L'auteur est une femme, une actrice, et
les indiscrets prétendent que c'est Mlle Ozy
elle-même qui a. essayé de se cacher der-
rière le singulier pseudonyme de Lelarge.
Quant à la Gamine de M. Deslandes,
c'est un des plus beaux succès qu'ait ja-
mais obtenus l'auteur de Deux Anges gar-
.diens. Ce ravissant petit acte est gros de
recettes, et l'on y applaudira long-temps
Leclère, Hoffmann et Mlle Virginie.
2* Année.
BUREMîX; i i j, H
aus Du CROISSANT, la.
,, *&&&> ■
ABONNEMENT AU JOUBNAL;
Un an. 30 fr.
Six mois.16
Trois mois 9
r
, - ;
RÉCLAMES
? 50 CENTIMES LA LIGNE.
!
•
Toutes les lettres et communications doi-
vent être adressées franches de pori iau
1 rédacteur en chef. ;;
Le gérant, E. Guerrier.
dG" , UUKEALX
i :
RUE DU xaoxssÀfÎT, la.
S&
ARONNEIIENT AU JOURNAL.
Un an. i 30 fr.
Six mois. 16
Trois mois. ; 4J
',; '* ANNONCES
t;j¡C£NTI.\IES LA .I(;Œ..i
Les insertions sent rerues de dix heures
du matin à cinq heures du soir, au
bureau du Journal.
1
il -
Imp. Schiller, r. du Croissant, 12.
DEll TBEATBEfII, ,
JOURNAL-PROGRAMME DES SPECTACLES ET DES CONCERTS,
Paraissant tous les jour. avec une illustration nouvelle. 9
Parle, 6 Jaln.
Uue nouvelle navrante est venue dou-
loureusement impressionner, hier au soir,
la foule de critiques et de gens de lettres
qui assistaient à la première représenta-
tation d'Un Vieil Innocent. On se racontait,
les larmes aux yeux, qu'Amédée Achard
un de ces jeunes hommes dontle nôm est,
dans le monde littéraire, synonyme d'hon-
netetéetde loyauté, avait été mortellement
blessé en duel par un journaliste italien
attaché à la rédaction du Constitutionnel
et du Corsaire. Un article inséré dans ce
dernier journal a excité la susceptibilité
d'Achard; et, oubliant qu'il est des injures
qui ne peuvent atteindre un cqeur haut
placé, notre courageux ami est venu offrir
sa noble poitrine à un fer qui a en a reçu,
ce jour là, un immense honneur.
Si, ce qu'à Dieu ne plaise, les craintes
qu'éveille l'état du blessé se réalisaient,
nous avons la conviction d'être entendu,
en appelant la société des gens de lettres
toute entière à paraître aux obsèques de
l'homme qui l'honorait par son talent et
par son caractère. Les littérateurs qui ne
ne font pas partie de cette Société donne-
ront également cette marque de sympa-
thie et d'estime à leur regrettable confrère.
! • *
D'UN RIZ AU LAIT ET DE CE QUI S'EN SUVIIT.
Notre héroïne s'appellera Prospéra et
notre héros La Léandrière. Ces pseudony-
mes baroques mais profonds, sont desti-
nés à remplacer les noms engagés dans des
liens que nous ne voulons certes pas voir
dénouer. Soyons indiscrets , mais soyons
prudens.
Prospéra (l'heureuse femme !) prenait,
certain jour, un riz au lait dans un café
du boulevart du Crime. Elle était en tom-
pagnie d'un jeune Cromwell qui la protè-
ge les yeux fermés; en sorte qu'il ne
vit pas le regard de la volage était in-
cessamment dirigé vers un bel acteur qui
venait de gagner quinte , quatorze et le
point dans une partie de piquet engagée
avec un camarade de l'endroit.
Cette quinte, ce quatorze et ce point fi-
rent beaucoup d'impression sur Prospéra.
Elle voulut voir jouer La Léandrière , —
c'était lui ! — elle le vit vingt fois dans le
même rôle, elle l'admira, l'aima, l'adora,
se passionna pour sa figure pâle et ses
longs cheveux, au point d'oublier le ciel,
la terre , ses devoirs et ses jetés-battus.
Vous ai-je dit que Prospéra dansait par
état? Elle est, en effet, coryphée-émérite
dans un grand théâtre.
Un jour cependant le trop confiant
Cromwell, fatigué d'entendre toujours les
mêmes acteurs dans la même pièce du
même théâtre, refusa d'assister à la vingt-
septième représentation.
Lors une idée nouvelle surgit dans le
cerveau et dans l'estomac de Prospéra.
« Il doit aller tous les soirs à ce café où je
le vis pour la première fois», pensa-t-elle.
— Mon chéri, s'entendit dire le Crom-
well, te rappelles-tu cet excellent riz au
lait du café du théâtre Trois-Etoiles ? J'ai
bien envie de retourner en prendre un, car
il n'y a vraiment que là où il soit aussi
delicieux ! 4
Le Cromwell eut la faiblesse de convenir
qu'en effet ce riz au lait lui avait paru
bon. A partir de ce moment, il lui fallut,
bon gré mal gré, conduire Prospéra tous
les soirs au café, où elle prenait invaria-
blement un riz au lait. Le total de ces riz
au lait engloutis par la tendre Prospéra se
monta, dans cette année-là, à trois cent
- -'., .< ,
,-A ! T l'année était bissextile.
Mais, hélas ! si le Cromwell se senlaif on
ne peut plus écœuré devant cette effroya-
ble consommation de riz, le cœur de Pros-
péra n'était pas moins désolé. La Léan-
drière ne venait jamais à ce café maudit.
Le seul jour qu'il eût jamais mis les pieds
était celui où il avait été vu de Prospéra.
A bout de patience et de riz, Prospéra
rencontra enfin une sienne amie qui lui
ménagea une entrevue avec La Léandrière.
Enfin ! enfin! enfin! il allait donc être
approché, ce beau, cet aimable, ce sédui-
sant, cet «appétissant La Léandrière ! La
constance et les riz de Prospéra allaient re-
cevoir leur récompense ! Prospéra ne ferma
pas l'œil de la nuit qui précéda le jour si
désiré. f
Elle s'habille et se fait belle à croquer.
- Son intention était bien de l'être un
peu. — Elle monte palpitante, et quatre
à quatre, les escaliers de son amie. Elle
entre, et trouve le beau La Léandrière
nonchalamment étendu sur un sofa. *
La Léandrière la salue faiblement ; il
ne l'a jamais vue, ni remarquée, et ne la
connaît pas. L'amie est obligée de lui dé-
cliner les noms, qualités et intentions de
Prospéra, restée immobile et déconte
nancée.
La Léandrière consent alors à déployer
ses grâces ; mais c'en est fait, le voile est
tombé, l'illusion détruite. Prospéra.le trou-
ve médiocre dévisagé et médiocre d'esprit.
Elle ne se livre pas, elle s'accorde, et pro-
met à grand' peine un rendez-vous pour
le lendemain.
Le lendemain La Léandrière se trouve
au rendez-vous, et n'y trouve point Pros-
péra. L'amour-propre irrité, l'espoir, un
attrait nouveau et irrésistible, l'y condui-
sirent pendant neuf mois de suite !
Un jour Prospéra, passant par là, pa
hasard, le vit et lui dit : « Je n'ai pas pu
venir la dernière fois, j'essayais un corset
de nouvelle invention. Je vous trouve un
peu maigri. » Et elle lui donna rendez-
vous pour le lendemain.
Il y a de cela un an et demi. La Léan-
drière continue d'aller à ce rendez-vous,
et il trouve que Prospéra est bien long-
temps à essayer ses corsets. Il est devenu
maigre comme un chat.
Prospéra, au contraire , est comme
l'huître de Lafontaine, grosse, grasse et
blanche, car, comme l'a dit le poète :
Elle aimait trop.le riz : c'est ce qui l'a gouflée.
Les Variétés ont représenté, lundi, trois
pièces nouvelles, et ont obtenu deux suc-
cès.
Dans In Fantôme, charmante pièce di
MM. de Villeneuve et Laffargue, Mlle Del-
phine Marquet, que l'on voit trop rare-
ment, puisqu'on ne la voit pas tous les
jours, a fait remarquer et applaudir sa
beauté, sa distinction, son excellente te- <
nue et sa vive intelligence. A côté d'elle
Mlle Page s'est montrée gracieuse et ave-
nante.
Le Chevalier de Sértgny est une fort
agréable comédie en vers, jouée d'une ma-
nière charmante par Mutée et Mlle Ozy.
L'auteur est une femme, une actrice, et
les indiscrets prétendent que c'est Mlle Ozy
elle-même qui a. essayé de se cacher der-
rière le singulier pseudonyme de Lelarge.
Quant à la Gamine de M. Deslandes,
c'est un des plus beaux succès qu'ait ja-
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