Titre : Revue illustrée / F.-G. Dumas, directeur
Éditeur : Ludovic Baschet (Paris)
Date d'édition : 1901-06-01
Contributeur : Dumas, François-Guillaume (1847-19..). Directeur de publication
Contributeur : Baschet, René (1860-1949). Directeur de publication
Contributeur : Namur, Paul-Franz (1877-1958). Directeur de publication
Contributeur : Ficker, Gustave. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32860043j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 27128 Nombre total de vues : 27128
Description : 01 juin 1901 01 juin 1901
Description : 1901/06/01 (A6,N12). 1901/06/01 (A6,N12).
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6361170w
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/11/2012
particulier on peut leur reprocher « de négliger systé-
matiquement la jeune musique française ». Il n'est
pas jusqu'au propre témoignage de l'auteur qui ne
vienne nous donner raison. Il a reconnu être peu ou
presque pas documenté sur notre école moderne. Mais
il promet de l'étudier. En cela au moins l'incident
aura eu du bon puisqu'il nous fera connaître les im-
pressions d'un critique qui n'est certes pas le premier
venu.
Mais abstraction faite des personnes, il y aurait bien
une moralité à tirer de ce petit événement. Il faudrait
alors prendre la chose à son point de vue le plus général
possible. M. Marcel Remy l'a fait pour l'Allemagne
dans son article (Guide musical du 3 février) que je tiens
à signaler pour quelques aperçus très clairvoyants
qui s'y rencontrent. C'était aussi, si ma mémoire ne me
trompa pas, le sens de l'article de Louis de Fourcaud
qui fut le point de départ des polémiques. Il est mal-
heureusement certain qu'en certains pays, si les cri-
tiques les plus autorisés restent impartiaux, beaucoup
de comparses tâchent de discréditer notre vie artisti-
que. Je pourrais citer des articles où non seulement
ou faisait l'éloge du mouvement musical de Berlin à
l'encontre de celui de Paris (sans rien discuter, il se-
rait amusant de savoir si le signataire connaissait les
deux villes), mais où on engageait les étudiants à
venir dans la capitale prussienne parce que les tables
d'hôte y sont moins chères, les places de concert
plus abordables et autres non moins artistiques rai-
sons Je me souviens que depuis deux ou trois ans
j'avais parlé de cet état d'esprit à M. de Fourcaud. Il
m'avait même engagé à faire une étude sur le sujet,
étude que je n'ai pas cru devoir écrire poui: la raison
que je suis insuffisamment instruit de toutes les lan-
gues qu'il m'eut fallu connaître. Je signale donc sim-
plement la chose en y appelant l'attention des con-
frères plus polyglottes que moi.
Ayant eu le vif regret de manquer l'audition de la
Symphonie de Weingartner, je n'en puis rien dire
pour aujourd'hui. (Si son éditeur, mais quel est-il?
était aimable, il me ferait tenir la partition.) Je me
contente de signaler le succès remporté par M. Vaguet
dans les fragments de Fervaal; de constater, non sans
surprise, l'enthousiasme manifesté chez Chevillard pour
la Faust-Symphonie de Liszt; et je m'étonne que le
pianiste Delafosse ait choisi la pièce de Weber qu'au
concert on appelle Concirstttck et que dans les pen-
sionnats on nomme le Croisé. Notons les intéres-
santes séances données par M. Ricardo Vifies, Henri
Saïller, Louis Abbiate ; le Récital de piano que donne
demain (8 Mars) Mmo Hanka Schjelderup ; le concert
de la Nationale qui se féminise : Mlle Ducourau est
exécutée par la charmante Juliette Toutain. Et cons-
tatons que nous commettons de très nombreux oublis.
GUSTAVE ROBERT.
P.-S. A Pétersbourg on est tout aux jubilés.
La basse Stravinsky donne une représentation pour
ses vingt-cinq années d'exercice, avec le concours de-
Mmes Litwinne et Gorlenko-Dolina. Excusez du peu.
Pour la centième de Vanta, cette dernière a sa fête
personnelle que l'Empereur sanctionne par la nomi-
nation précieuse de soliste de Sa Majesté. Enfin on
fait bruit autour du jubilé littéraire de notre distingué
confrère Wladimir de Baskine.
ttttttttttttttttttttttttt
PIANOS GUlL LOT
MO, Boulevard St-Bettta, Paris.
Location depuIslOfr. Vente en se mois.
OCCASIONS DE tena FACTEURS-ECHANGE
;;;.;;;;;;;;;;;;;;;;;;
A la Librairie TARIDE. -' Œdipe à Colone, traduit
en vers par M. Emile Marc. Cette traduction d'un
des chefs-d'œuvre de Sophocle, suite d'Œdipe-roi et
prologue d'Antigone, se distingue par le souci cons-
tant qu'apporte l'auteur à suivre littéralement le texte
grec dans sonMyrisme comme dans son éloquente sim-
plicité.
JOUIPItifit ftp la JïBobp
Voici quelques jolies toilettes aperçues à la première
de Pour être aimée, la nouvelle pièce représentée à
l'Athénée.
Mlle Yahne. l'héroïn» de la pièce, porte deux jolies
toilettes de Doucet. L'une est en mousseline rose
plissée indépassable, terminée au bas par un large
entre-deux et une dentelle de fine guipure bise. Le
corsage décolleté est rehaussé de dentelle, disposée en
cœur, retombant derrière en deux longs pans de cein-
ture jusqu'au bas de la jupe. Manches terminées au
coude, très originale en guipure, avec bouffants de
mousseline. Grosse touffe d'anémones sur le côté du
corsage.
L'autre toilette est en mousseline blanche, avec
corsage ouvert et haut de jupe en guipure de Luxeuil.
Biais de taffetas à la jupe et ceinture nouée derrière
avec longs pans.
Mile Bignon porte une superbe toilette princesse,
en crêpe de Chine turquoise entièrement brodée de
paillettes d'argent.
Mlle Leriche est vêtue d'une élégante toilette en
crêpe de Chine bleu pâle, brodée en camaïeu de bran-
ches de fleurs remontant sur la jupe et garnissant tout
le haut du corsage et les manches longues. De forme
princesse, cette toilette d'un genre nouveau, est croisée
devant, fixée par deux bijoux de côté.
Par devoir professionnel, j'ai dû assister ces temps
derniers à deux grands mariages, tous deux fort élé-
gants : celui de la Reine de Hollande et celui de
M. Deschanel. Je ne ferai pas l'éloge des toilettes
que j'y ai remarquées, cela ayant été fait cent fois
avant moi, mais je désire tirer de ces deux grandes so-
lennités quelques pronostics pour la mode de demain
dans les cérémonies de mariage.
Parmi les nombreuses robes de velours, aucune n'a
attiré mon attention, mais j'ai pu constater en re-
vanche la superbe élégance de quelques toilettes de
drap, et je crois pouvoir affirmer que ce tissu sera
avant peu en grande estime.
Voici une toilette de mariée qu'une des premières
maisons de Paris vient de créer. D'un magnifique
drap blanc à reflets satinés et de forme princesse, la
robe est composée d'un col formant revers, elle est
attachée à gauche par des choux de crêpe de Chine
blanc reliés entre eux par une guirlande de fleurs
d'oranger ; le bas de la jupe est garni, ainsi que le col
et les manches, d'une grande broderie d'art lamée d'ar-
gent, et bordée par une chicorée de crêpe de Chine
lanc.
Quant aux mariés, je ne saurai trop recommander à
leurs fiancées de les obliger à quitter l'horrible etdis-
gracieux habit, pour porter la redingote, vêtement Il
plus élégant et plus masculin. Ils satisferont ainsi au H
goût et à la mode. Du reste, M. Deschanel s'est marié I
en redingote, et chacun sait que depuis que le prince IH
de Galles est empereur des Indçs.
H. CAUSON. API
-- .t
1 ROBES, COLLETS, JUPONS - sVili
TæèB élégants
A. façon depuis 25 franos I
SI
Madame NoUrigat II
0 rue Ménessler 6 T
PARIS (Montmartre) 1 I
1
Fleurs de Deuil. Il
4 couronnes, une croix ou coussin, 100 francs. H'
Gerbe palme, io fr. :
Téléphone : 247. 25. H
Expéditions : H
LION, 19, bd de la Nfadeleine. H
PARFUMERIE COLGATE I
Extra supérieure ̃
GRAND PRIX 1900 I
PARIS. 27, Rue des Pyramides. PARIS. I
LÉVÊQUE ET FILS (0 *' I
Rue Liégat Ivry-sur-Seine I
Spécialité de Rosiers
Meubles anciens 1
S'AIDOMSSIEIL 1
A M. AN DR IV ON, à St-Farg.o/,
par Marcillat (Allier)
44 à CHÀTEÀUHEOF-LES-BAIHS (Purde-Dôme).
1,(Li tpr eot- c c m e u ri g 1 p , 1
e.t>et'it'n¡p
.a
GRANDE TUILERIE 0 IVRY FOeoic Rit 1(134
ivçty-poft-r Fais PAPJ3
LA PLUS VASTfc ùfrINC OU MONDE 01 Pf\O0UIT6 Ctl(AMlQU C A
.pou* eoNintucT*on «NOirtTiiie et proquctioms o'a*t
EXÉCUTION! cm SRÈSVt®
ocs OEUVRESk KâiT
DE LA r
̃ Jhsi&WMW1
BUVÊ TEMEMTS W ( MULLER
a'ARCMifECTBRgfc. I l'A
scuLFi^RE Rî*
DECORATIVE. ;
-======0 MW~~ t
SALON ~ë-~~Ë~I~
0'EHiPosiTiowi ] * r,
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;
matiquement la jeune musique française ». Il n'est
pas jusqu'au propre témoignage de l'auteur qui ne
vienne nous donner raison. Il a reconnu être peu ou
presque pas documenté sur notre école moderne. Mais
il promet de l'étudier. En cela au moins l'incident
aura eu du bon puisqu'il nous fera connaître les im-
pressions d'un critique qui n'est certes pas le premier
venu.
Mais abstraction faite des personnes, il y aurait bien
une moralité à tirer de ce petit événement. Il faudrait
alors prendre la chose à son point de vue le plus général
possible. M. Marcel Remy l'a fait pour l'Allemagne
dans son article (Guide musical du 3 février) que je tiens
à signaler pour quelques aperçus très clairvoyants
qui s'y rencontrent. C'était aussi, si ma mémoire ne me
trompa pas, le sens de l'article de Louis de Fourcaud
qui fut le point de départ des polémiques. Il est mal-
heureusement certain qu'en certains pays, si les cri-
tiques les plus autorisés restent impartiaux, beaucoup
de comparses tâchent de discréditer notre vie artisti-
que. Je pourrais citer des articles où non seulement
ou faisait l'éloge du mouvement musical de Berlin à
l'encontre de celui de Paris (sans rien discuter, il se-
rait amusant de savoir si le signataire connaissait les
deux villes), mais où on engageait les étudiants à
venir dans la capitale prussienne parce que les tables
d'hôte y sont moins chères, les places de concert
plus abordables et autres non moins artistiques rai-
sons Je me souviens que depuis deux ou trois ans
j'avais parlé de cet état d'esprit à M. de Fourcaud. Il
m'avait même engagé à faire une étude sur le sujet,
étude que je n'ai pas cru devoir écrire poui: la raison
que je suis insuffisamment instruit de toutes les lan-
gues qu'il m'eut fallu connaître. Je signale donc sim-
plement la chose en y appelant l'attention des con-
frères plus polyglottes que moi.
Ayant eu le vif regret de manquer l'audition de la
Symphonie de Weingartner, je n'en puis rien dire
pour aujourd'hui. (Si son éditeur, mais quel est-il?
était aimable, il me ferait tenir la partition.) Je me
contente de signaler le succès remporté par M. Vaguet
dans les fragments de Fervaal; de constater, non sans
surprise, l'enthousiasme manifesté chez Chevillard pour
la Faust-Symphonie de Liszt; et je m'étonne que le
pianiste Delafosse ait choisi la pièce de Weber qu'au
concert on appelle Concirstttck et que dans les pen-
sionnats on nomme le Croisé. Notons les intéres-
santes séances données par M. Ricardo Vifies, Henri
Saïller, Louis Abbiate ; le Récital de piano que donne
demain (8 Mars) Mmo Hanka Schjelderup ; le concert
de la Nationale qui se féminise : Mlle Ducourau est
exécutée par la charmante Juliette Toutain. Et cons-
tatons que nous commettons de très nombreux oublis.
GUSTAVE ROBERT.
P.-S. A Pétersbourg on est tout aux jubilés.
La basse Stravinsky donne une représentation pour
ses vingt-cinq années d'exercice, avec le concours de-
Mmes Litwinne et Gorlenko-Dolina. Excusez du peu.
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personnelle que l'Empereur sanctionne par la nomi-
nation précieuse de soliste de Sa Majesté. Enfin on
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A la Librairie TARIDE. -' Œdipe à Colone, traduit
en vers par M. Emile Marc. Cette traduction d'un
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tant qu'apporte l'auteur à suivre littéralement le texte
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de Pour être aimée, la nouvelle pièce représentée à
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plissée indépassable, terminée au bas par un large
entre-deux et une dentelle de fine guipure bise. Le
corsage décolleté est rehaussé de dentelle, disposée en
cœur, retombant derrière en deux longs pans de cein-
ture jusqu'au bas de la jupe. Manches terminées au
coude, très originale en guipure, avec bouffants de
mousseline. Grosse touffe d'anémones sur le côté du
corsage.
L'autre toilette est en mousseline blanche, avec
corsage ouvert et haut de jupe en guipure de Luxeuil.
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avec longs pans.
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Mlle Leriche est vêtue d'une élégante toilette en
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le haut du corsage et les manches longues. De forme
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devant, fixée par deux bijoux de côté.
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M. Deschanel. Je ne ferai pas l'éloge des toilettes
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Voici une toilette de mariée qu'une des premières
maisons de Paris vient de créer. D'un magnifique
drap blanc à reflets satinés et de forme princesse, la
robe est composée d'un col formant revers, elle est
attachée à gauche par des choux de crêpe de Chine
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et les manches, d'une grande broderie d'art lamée d'ar-
gent, et bordée par une chicorée de crêpe de Chine
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