Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-02-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 février 1918 08 février 1918
Description : 1918/02/08 (T8,N709). 1918/02/08 (T8,N709).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6338403v
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
"E LA GUERRE
s bE
ET DR CIJERRE
ETI\ANGÈRES
1NO 709
Paris, 8 février 1918.
Win Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
UtToS MILITAJRES
SwATI0Ns
es Allemands sont résolus à jouer le gros
Ieur western H dans une grande
S'^ui cfi rchem >, f?tt. e:ndre une « déci-
est" Des po"
qui cherchera à atteindre une « d é-ci-
son, quelque part dans l'Ouest. Des po-
ations dominantes ont été rePnses Par jes
V l^lsnp »,, reprises par les
CO11:nes Protè-
» de ^ais plus iil Est 1 ennemi a
pres" u y- terrain qui protè-
l'è se avslus eEst à 1, l'ennemi a
ervé l'avantage du terrain dans deux
et H' s°nt H'°^i pas besoin d'être
auU'e. Dan Meurs bien connus
,>e ie, A'ands?m Un choix moins
î!U ^U'a.wdvlr(if°is 8 ensemble on peut
S ie f de errain favorable à
nsive«i c; à
série niVf,anées- Le point
''InitNt Poi?11'^ sonÎ t plus forts en nom-
ro a ernent en artill-erie qu'ils ne
N depUirnent eIl artillerie qu'ils ne
U lie très
"enag oUbli très longtemps. Et il ne
rift¡ ,la. e: qUe, malgré des succès
Le tte eneOSltlOIl ur le front italien
enf/ ope des ri
ques très sérieux.-
moral rtul ^oune!s an§laises est aussi
H^'il le jut jam ;
4e i anglaises est aussi
tes de n.os u Jamais. On Peut en dire
011* à alh,és français.
62 Os r de ser.
llIltérieur. - (Ed.) Times,
lap ».
¡rIe Il CoQ( E. -. Nous sommes entrés,
* ,,Versailles, dans
S ^VïVrU? £ Ht Phase &, >a guerre. Cette
'Jl'¡e litl))ée de ab.rlSée par -la création
t Ma,,r,Icte .uvre et par le projet
f) re ~i se d, 'Vité sur le
a ue ^n°nce n!! SUr le front
ri 'Inrio nce une prochaine entre-
V2'Slieu lCorfoS eïr et de Politis;
:.Jt¡onda. UI),orfou.. et l'on achèvera d'y
il ell ft4 l'a eSPr:t r) 6 conciliation, la
,'u ré!l Grèce Prts entre l'Italie, la Ser-
réc entrctien que M. Orlando
::1 ctUder des Londre, aVec M-Trum-
■ n'eqi et signataire
,:l'tires re!;ter su, Il estPl'iobablement pas
Srf.5 »e rat-t^fr>ont deo Soa,oniSans che ru i,?^t-at. !!? A ces préli-
', tlféN sUr jî p front la reprise d'activité
C Ont de Salonique. Après
constituée, n'aVait or!ou, l'armée serbe, rc-
*ts ^ies ait , J i.?rmée serbe, re-
"'l'III 1I4I. iffi {J,us pris aucune part à
cuit
! « tr>,^cUltéo t"ser^es désor-
Ingetit armée reprendra son
^•l'le s'a j outerait
de drrient s'ajouterait
irn ;ensive l'Ou'peg grecques et une
0®- l du général Guillaumat
th 0re &e- guerre in-
a^
liu réation !! nlIvre \r.eIIllqUe et oelle de l'ar-
cornrnandement uni-
"in ''at'rrt(>e eIlcore réalisé, mais )a
ï pt d manœuvre est, dit-
nte » Cette armée,
..Iti Qura, COIltingents de troupes
frllnçllprobablement pour rhpf
IS, Elle sera tenue à 1/l
disposition du Conseil de Versailles, qui
l'enverra sur les points menacés par les
concentrations ennemies ; elle servira pour
l'offensive comme pour la défensive. Le
Conseil déterminera les éléments qui en
constitueront le noyau initial, et en choi-
sira le point de concentration. Le comman-
dant du contingent italien sera un général
qui s'est fait grand honneur durant la cam-
pagne. L'autorité de chacun des généra-
lissimes n'en sera pas diminuée ; tant que
l'armée de manœuvre n'aura pas lieu d'in-
tervenir, la direction des opérations sur les
divers théâtres de la guerre 'conservera
son autonomie actuelle. - (C. Sobrero)
Stampa, 5.2.
———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
ALIMENTATION
La guerre sous-marine et le ravitaille-
ment des Alliés. — Le début de 1918 trouve
les nations alliées dans une triste situation
au point de vue alimentaire. Les Italiens
n'ont pas de viande et ont peu de blé. Les
Français n'ont plus de pain. Les Anglais
sont rationnés pour la viande, et le ration-
nement obligatoire de toutes les matières
alimentaires sera mis en application en
avril. Tout cela provient de la campagne
sous-marine. Le taux des pertes des Alliés
est actuellement de 7.200.000 tonnes par an
sans compter les 566.000 tonnes perdues en
1917 par la Norvège. Il faut trouver le
moyen de couler les sous-marins allemands
et construire pour cela un type spécial de
croiseur. Il ne faut pas croire aux révoltes
des équipages des sous-marins en Allema-
gne. Au contraire, il y a trop de volontai-
res pour embarquer sur ces navires et les
Allemands construisent uir; sous-marin par
jour. - (Ryley Grannon) Washington
Post, 8.1.
Canada : LES DEMANDES DU PARTI DU TRA-
VAIL [sous ce titre] — D'Ottawa, 3.2 : La
conférence entre le Gouvernement et le
parti du travail organisée au Canada pour
augmenter la production des vivres pour
les Alliés a pris fin. Une déclaration offi-
cielle des travaillistes s'oppose à toute for-
me d'obligation ainsi qu'à l'importation de
main-d'œuvre (qu'il s'agisse d'étrangers,
d'ennemis ou de coolies), mais elle préco-
nise l'inauguration d'une campagne natio-
nale en faveur d'une augmentation de la
production. Les Unions nient qu'il y ait une
pénurie de main-d'œuvre et déclarent que
les seules difficultés auxquelles il faut fai-
re face ont rapport à la question des salai-
res et de l'administration. Elles sont en fa-
veur d'un recensement des effectifs du Do-
minion par le Labour Exchange provincial
et réclament la nationalisation de tous les
chemins de ~fer canadiens. Elles demandent
aussi que le Gouvernement empêche la spé-
culation pour permettre aux ouvriers dans
les villes d'obtenir à bon marché des peti-
tes fermes et réclament le recensement
de la fortune, si l'on procède au recense-
ment des effectifs. — Morning Post, 4.2.
GUERRE ECONOMIQUE
Résolution de la Chambre de Commerce
de Boston. — Voici les résolutions suggé-
rées par la Chambre de Commerce de Bos-
ton et qui vont être soumises à l'accepta-
tion de la Chambre de Commerce des Etats-
Unis : Attendu que les armements, l'atti-
tude, les actes présents de l'Allemagne sont
la conséquence de sa forme autocratique de
gouvernement qui n'a aucune responsabi-
lité devant le peuple allemand ; attendu
que les armements de l'Allemagne après
la guerre forceront les autres nations à un
effort militaire correspondant ; attendu
que les armements de l'Allemagne dans
l'avenir dépendront complètement du maté-
riel et des matières premières tirés de
l'étranger, la Chambre de Commerce des
Etats-Unis décide d'attirer l'attention des
nommes d'affaires de l'Allemagne sur ces
divers points et de les prier d'étudier de
leur côté la situation pour qu'ils coopèrent
à empêcher une guerre économique con-
tre l'Allemagne qui serait désastreuse pour
elle. — New York Herald, 14.1.
——— ———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
Suède et Finlande. — Le 30.1 est arrivé
à Stockholm M. Heikel, préfet de Va sa (Fin-
lande) pour présenter une requête au gou-
vernement suédois au nom du Sénat dirigé
par M. Svinhufvud et du général Manner-
heim. Bien que cette requête soit en rapport
avec les troubles de Finlande, elle ne vise
pas, contrairement à ce qu'on a prétendu,
une intervention militaire de la Suède, mais
une aide suédoise sous une autre forme. M.
Heikel restera à Stockholm jusqu'à ce que
le gouvernement ait statué sur la réponse à
faire. En attendant, il exprime dans une in-
terview sa confiance dans une amélioration
prochaine de la situation en Finlande. « Sans
doute, lorsque la garde blanche fut obligée, il
y a quelques jours, d'entrer en lutte ouverte
avec la soldatesque russe et les anarchistes
indigènes, elle ne disposait pas de la pro-
vision d'armes qu'il eût fallu. Mais un grand
nombre de soldats russes et de gardes rou-
ges ont été désarmés et nous ne manquons
pas d'hommes pour se servir des armes con-
quises En fait, la grande majorité des hom-
mes adultes de Finlande est à notre dispo-
sition. Parmi les classes âgées subsiste en-
core beaucoup de la discipline et de l'apti-
tude militaires du temps où les Finlandais
faisaient leur service ; mais même les jeu-
s bE
ET DR CIJERRE
ETI\ANGÈRES
1NO 709
Paris, 8 février 1918.
Win Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
UtToS MILITAJRES
SwATI0Ns
es Allemands sont résolus à jouer le gros
Ieur western H dans une grande
S'^ui cfi rchem >, f?tt. e:ndre une « déci-
est" Des po"
qui cherchera à atteindre une « d é-ci-
son, quelque part dans l'Ouest. Des po-
ations dominantes ont été rePnses Par jes
V l^lsnp »,, reprises par les
CO11:nes Protè-
» de ^ais plus iil Est 1 ennemi a
pres" u y- terrain qui protè-
l'è se avslus eEst à 1, l'ennemi a
ervé l'avantage du terrain dans deux
et H' s°nt H'°^i pas besoin d'être
auU'e. Dan Meurs bien connus
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î!U ^U'a.wdvlr(if°is 8 ensemble on peut
S ie f de errain favorable à
nsive«i c; à
série niVf,anées- Le point
''InitNt Poi?11'^ sonÎ t plus forts en nom-
ro a ernent en artill-erie qu'ils ne
N depUirnent eIl artillerie qu'ils ne
U lie très
"enag oUbli très longtemps. Et il ne
rift¡ ,la. e: qUe, malgré des succès
Le tte eneOSltlOIl ur le front italien
enf/ ope des ri
ques très sérieux.-
moral rtul ^oune!s an§laises est aussi
H^'il le jut jam ;
4e i anglaises est aussi
tes de n.os u Jamais. On Peut en dire
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62 Os r de ser.
llIltérieur. - (Ed.) Times,
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¡rIe Il CoQ( E. -. Nous sommes entrés,
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S ^VïVrU? £ Ht Phase &, >a guerre. Cette
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a ue ^n°nce n!! SUr le front
ri 'Inrio nce une prochaine entre-
V2'Slieu lCorfoS eïr et de Politis;
:.Jt¡onda. UI),orfou.. et l'on achèvera d'y
il ell ft4 l'a eSPr:t r) 6 conciliation, la
,'u ré!l Grèce Prts entre l'Italie, la Ser-
réc entrctien que M. Orlando
::1 ctUder des Londre, aVec M-Trum-
■ n'eqi et signataire
,:l'tires re!;ter su, Il estPl'iobablement pas
Srf.5 »e rat-t^fr>ont deo Soa,oni
', tlféN sUr jî p front la reprise d'activité
C Ont de Salonique. Après
constituée, n'aVait or!ou, l'armée serbe, rc-
*ts ^ies ait , J i.?rmée serbe, re-
"'l'III 1I4I. iffi {J,us pris aucune part à
cuit
! « tr>,^cUltéo t"ser^es désor-
Ingetit armée reprendra son
^•l'le s'a j outerait
de drrient s'ajouterait
irn ;ensive l'Ou'peg grecques et une
0®- l du général Guillaumat
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a^
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"in ''at'rrt(>e eIlcore réalisé, mais )a
ï pt d manœuvre est, dit-
nte » Cette armée,
..Iti Qura, COIltingents de troupes
frllnçllprobablement pour rhpf
IS, Elle sera tenue à 1/l
disposition du Conseil de Versailles, qui
l'enverra sur les points menacés par les
concentrations ennemies ; elle servira pour
l'offensive comme pour la défensive. Le
Conseil déterminera les éléments qui en
constitueront le noyau initial, et en choi-
sira le point de concentration. Le comman-
dant du contingent italien sera un général
qui s'est fait grand honneur durant la cam-
pagne. L'autorité de chacun des généra-
lissimes n'en sera pas diminuée ; tant que
l'armée de manœuvre n'aura pas lieu d'in-
tervenir, la direction des opérations sur les
divers théâtres de la guerre 'conservera
son autonomie actuelle. - (C. Sobrero)
Stampa, 5.2.
———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
ALIMENTATION
La guerre sous-marine et le ravitaille-
ment des Alliés. — Le début de 1918 trouve
les nations alliées dans une triste situation
au point de vue alimentaire. Les Italiens
n'ont pas de viande et ont peu de blé. Les
Français n'ont plus de pain. Les Anglais
sont rationnés pour la viande, et le ration-
nement obligatoire de toutes les matières
alimentaires sera mis en application en
avril. Tout cela provient de la campagne
sous-marine. Le taux des pertes des Alliés
est actuellement de 7.200.000 tonnes par an
sans compter les 566.000 tonnes perdues en
1917 par la Norvège. Il faut trouver le
moyen de couler les sous-marins allemands
et construire pour cela un type spécial de
croiseur. Il ne faut pas croire aux révoltes
des équipages des sous-marins en Allema-
gne. Au contraire, il y a trop de volontai-
res pour embarquer sur ces navires et les
Allemands construisent uir; sous-marin par
jour. - (Ryley Grannon) Washington
Post, 8.1.
Canada : LES DEMANDES DU PARTI DU TRA-
VAIL [sous ce titre] — D'Ottawa, 3.2 : La
conférence entre le Gouvernement et le
parti du travail organisée au Canada pour
augmenter la production des vivres pour
les Alliés a pris fin. Une déclaration offi-
cielle des travaillistes s'oppose à toute for-
me d'obligation ainsi qu'à l'importation de
main-d'œuvre (qu'il s'agisse d'étrangers,
d'ennemis ou de coolies), mais elle préco-
nise l'inauguration d'une campagne natio-
nale en faveur d'une augmentation de la
production. Les Unions nient qu'il y ait une
pénurie de main-d'œuvre et déclarent que
les seules difficultés auxquelles il faut fai-
re face ont rapport à la question des salai-
res et de l'administration. Elles sont en fa-
veur d'un recensement des effectifs du Do-
minion par le Labour Exchange provincial
et réclament la nationalisation de tous les
chemins de ~fer canadiens. Elles demandent
aussi que le Gouvernement empêche la spé-
culation pour permettre aux ouvriers dans
les villes d'obtenir à bon marché des peti-
tes fermes et réclament le recensement
de la fortune, si l'on procède au recense-
ment des effectifs. — Morning Post, 4.2.
GUERRE ECONOMIQUE
Résolution de la Chambre de Commerce
de Boston. — Voici les résolutions suggé-
rées par la Chambre de Commerce de Bos-
ton et qui vont être soumises à l'accepta-
tion de la Chambre de Commerce des Etats-
Unis : Attendu que les armements, l'atti-
tude, les actes présents de l'Allemagne sont
la conséquence de sa forme autocratique de
gouvernement qui n'a aucune responsabi-
lité devant le peuple allemand ; attendu
que les armements de l'Allemagne après
la guerre forceront les autres nations à un
effort militaire correspondant ; attendu
que les armements de l'Allemagne dans
l'avenir dépendront complètement du maté-
riel et des matières premières tirés de
l'étranger, la Chambre de Commerce des
Etats-Unis décide d'attirer l'attention des
nommes d'affaires de l'Allemagne sur ces
divers points et de les prier d'étudier de
leur côté la situation pour qu'ils coopèrent
à empêcher une guerre économique con-
tre l'Allemagne qui serait désastreuse pour
elle. — New York Herald, 14.1.
——— ———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
Suède et Finlande. — Le 30.1 est arrivé
à Stockholm M. Heikel, préfet de Va sa (Fin-
lande) pour présenter une requête au gou-
vernement suédois au nom du Sénat dirigé
par M. Svinhufvud et du général Manner-
heim. Bien que cette requête soit en rapport
avec les troubles de Finlande, elle ne vise
pas, contrairement à ce qu'on a prétendu,
une intervention militaire de la Suède, mais
une aide suédoise sous une autre forme. M.
Heikel restera à Stockholm jusqu'à ce que
le gouvernement ait statué sur la réponse à
faire. En attendant, il exprime dans une in-
terview sa confiance dans une amélioration
prochaine de la situation en Finlande. « Sans
doute, lorsque la garde blanche fut obligée, il
y a quelques jours, d'entrer en lutte ouverte
avec la soldatesque russe et les anarchistes
indigènes, elle ne disposait pas de la pro-
vision d'armes qu'il eût fallu. Mais un grand
nombre de soldats russes et de gardes rou-
ges ont été désarmés et nous ne manquons
pas d'hommes pour se servir des armes con-
quises En fait, la grande majorité des hom-
mes adultes de Finlande est à notre dispo-
sition. Parmi les classes âgées subsiste en-
core beaucoup de la discipline et de l'apti-
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