Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1930-08-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 11 août 1930 11 août 1930
Description : 1930/08/11 (Numéro 24679). 1930/08/11 (Numéro 24679).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6322385
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2008
,11—8 — 30
Le Petit Journal
NOTRE mmd CONCOURS
, DES DÉPARTEMENTS
-L«~. 2.SÛO PrSx
d'une val eur de 25Q.Q OO francs
PREMIER PRIX : Un Voyage de quinze jours pour 2 personnes
Lsi Route des Alpes et la Cote d Azur (l'arcours en 1™ classe, séjours dans le» meilleurs hôte»)
Principales étapes du voyage : PARIS-Aii-Zes-Baïns — La Grande Chartreuse, Grenoble et les
sites alpestres — Quatre jours d Nice — La Grande Corniche — Beaulieu, Monaco, Monte-Carlo, Men
ton — Cannes et le Cap d'Antïbes — Grasse et les Gorges du Loup — Tout le littoral de Nice à Mar
seille — Marseille en auto-car — Marseille- PARIS. (Le gagnant et la personne gui l'accompagmra
auront la faculté de faire le voyage à la dàte qu'ils choisiront et les trais de chemin de fer, en 1" classe
du lieu de leur résidence à Paris, seront également assurés par le PETIT JOURNAL
DEUXIÈME PRIX : Un superbe Phonographe électrique
contenu dans un luxueux meuble eu acajou (Union Industrielle Parisienne)
TROISIÈME PRIX : Un poste de T. S. F. "Acer", modèle "Lux" complet
4 e prix: Une motocyclette "Le Grimpeur" - 5° prix : Une motocycletteD.F.R. '
Bicyclettes. — Objets d'ameublements — Phonographes — Pendules Montres — Bijoux —Lustres
d'appartements — Trousses de toilette — Parfums — Ustensiles de ménage — Objets d'art — Orfèvrerie
— Produits alimentaires — etc., etc.,| @
Rappel du Règlement
Question principale
Du mardi 5 Août au vendredi 29 Ao&t
C 'est-à-dire pendant 25 jours, le « fetit
Journal » publiera chaque Jour > deux
dessins humoristiques d'Alain Salnt-
Ogan. Chacun des 50 dessins tte Saint-
Ogan sera accompagné d'une légende
composée de quatre vers dont les der
nières syllabes ou les derniers mots,
laissés en blanc, forment, par « & peu
près », des noms de départements fran
çais (la liste-type des 50 départements
est déposée chez M* Dessalx, nulssler,
11, rue Monsigny, à Paris.)
Pour répondre à la question princi
pale, 11 s'agira simplement de trouver
les syllabes ou les mots manquants
afin de reconstituer, par consonance:
les noms des départements. Les dessins;
seront numérotés de 1 à 50 ; da cette
façon, les concurrents n'auront pas à.
les joindre à léur solution : 11 leur sut-.;
flra d'Indiquer sur la feuille de réponses,
devant chaque numéro d'ordre, le nom'
du département formé par les syllabes:
ou les mots manquants de la légende du'
dessin. (Le nombre de points rempla
çant les syllabes ou les mots n'est pas
une Indication). ,
Nous publions aujourd'hui les treir
jtième et quatorzième dessins avec leurs
légendes.
Questions subsidiaires
Les concurrents n'auront a repondre
qu'à deux ' questions subsidiaires :
_ 1" Quels sont, 'jarmi les SO départe
ments qui font l'objet du concours, tes
5 départements qu'il vous'semblerait le
plus Intéressant de visiter au point de
vue touristique, (Répondre en Indi-'
quant le nom des départements en tou»
tes lettres, par ordre de préférence.)
2 1 Quels sont, parmi les 60 dessins de
Salnt-Ogan, les 10 dessins qui vous ont
le plus amusé. (Répondre en Indiquant
les?numéros d'ordre des dessins choisis,
par ordre de préférence.)
Les listes-types seront établies d'après
tes suffrages des lecteurs,
* Question principale :
Quels sont les noms des Départements, formés
par les syllabes ou les mots manquants ?
Douce avant de se marier
C'est depuis une âpre mégère
1J faut, toujours se défier
D'une apparence menson . . ? ,
— N° 14
JjOCj ktt Sii'tXï
Le soir venu, Minet, qui rôde
Aux alentours de la maison,
Se méfie, èl non sans raison :
Minet, échaudê f craint Peau ch
Réponses : Les noms des Départements sont :
Dessin N' 13. ».. *..... *...... •] Dessin N* 14.
* •. ê • * *
Observations générales
Les réponses devront Être établies sur
la feuille spéciale- que nous publierons
en temps utile.
■ Aucune réponse ne doit être envoyée
avant la date que nous fixerons. ,
- Dans le cas où des concurrents te
trouveraient ex-œquo, nous leur pose
rions de nouvelles questions subsidiaires
pour les départager.
ATTENTION ! — A chaque solu
tion devront être Joints 25 lions
numérotés. ' Ces bons paraissent
régulièrement eti Z' page du « Ce*
tit Journal » '(première colonne)/
Conservez-les soigneusement
Le fait de concourir Implique l'accep
tation du règlement du concours et des
décisions que pourrait être appelé à
prendre le Jury du .concours.
Plusieurs personnes d'une même fa
mille peuvent concourir, mslls chacun#
d'elles devra faire un envoi séparé de
sa solution.
Elle est délicieuse : pure pour bien digérer à l'eau pour se.désaltérer — glacée pour se rafraîchir
COURRIER DE LA T.S.F.
KCOt'ÏÏZ AVaotIBP 'HVI ;
13 h. 85 ;>W1| P.T.T. : (9s.
dvut i Le Chant du dé»Mt (Romberg) ;
Jour de f#ff, (Grieg) ; Un Amant, un
»wv** M» 'i vw nui
Mari (Yvain). — 1? h. 3Û : Radlo-Parls :
" ■ -■■■■■ -
, : Ra,pHo-Paris : Orchestre
LocatelU, — 10 h. «S : Radio-Paris ;
Airs du Barbier de SèvilU (Rowslnij. —
13 n. *. Radlo-TouloUM ; Sou d» piano,
ih<
— 18 h, 30
Retransmission du concert donné tu
conservatoire américain de Fontainebleau.
— 18 h. : Radio-Toulouse : Musique dé
danse. —19 h. 30 : Radio-Paris : Ou
verture de Philémon et Baucls (Gounod) ;
Air de la Jolie Fille de Parth (Bizet) ;
Marché du Prophète (Meyei'besr). — 20 h.i
Radio-Pàrli j Conc'rt. — 90 13. 20 : Tour
Eiffel : Lu Prlnoesse Jaune (Salnt-Saêns);
Pavane pour une infante défunte (Ravèi);
— 21 h. : Marseille P.T.T, ! Le Printemps
des autres, comédie de J.-J, Bernard. —
21 h. : Poste Parisien : Concert. — 21 h. :
Radio-Toulouse : Opéras-comiques. —•
Si h. 90 : Radio L.-L. : chanté des Valeurs
de la Volga (A.'Doyen) . ■■■<■■
E tranger. — 12 h. ! Londrt* régio
nal : Concert vocal. — 12 h. 15 : Mjlan :
Musique légère. — 1» h. 30 : Stuttgart ;
Lleder. — afD h. National Daventry ; Œu
vra* de Wagner,
FRANCE, Mardi', 12 Août
10 h. 30 Kaillo-Lyon. 38# jn. Concert.
13 h. Kadlo-Lyon, 264 m. i, Concsrt-
12 h. 28 i>arls P.T.Ï., 447 m. Cr*»m m
piy eoffee (de Sylva) ; Valse n» 1 (Dvo
rak) ; Lontanetta, (Raslgade) ; Meen
to me (Turk) ; Menuet (Schubert) ;
Mauresque (Granados) : Tlp Toes
(Qershwln) ; Klsmet (M&rkez) ; Po
chette surprise (Verdun) ; Sérénade
(Duclos) ; Aubade 6 la fiancé* (Vol*
parti) ; Tarentelle (d'Ambrosio).
12 h. 30 Lille l'.T.T., 266 m. Cohcfert.
12 h. 30 ludlo-l'urls, 1.724 m. Disques ;
Concert symphonique : « La mer et
les musiciens » : Ouverture du Vais
seau fantôme (Wagner)..; Bulte algé
rienne i En vue d'Alger (6alnt-S*(!hs);
. Baroarolie (Chopin) ; Deux chansons
de marins (Caplt, Hayfet) : Shéhéra
zade (Rlnuby-Kqreakolî) ; Deux chan
sons de marins (Caplt. Hayet) ; La
.cathédrale engloutie (Debussy) ; Es
cales (J. Ibert) ; Sirènes (Debussy),
18 h. 80 Kai))o-l,yon. 281 m. +. Concert.
12 h. 30 hafllo-Maroe, 414 m. Concert.
12 h. 45 Marseille l'.T.T., 316 m. Disques,
13 h. Mce-Jimn-les-l'lns, 24B m. Concert.
1ST h. Kadlo-Toulousè, 361 m. jaez.
16 h. 30 Uadio-Lyon, 281 m, Concert,
15 h. 45 Kadlo-Parls, m. Notte Bor-'
rentlna (V. Montl) [ Gart-en-mèlodlè
(Schumiftn) ; Danse sisvë (Dvorak) ;
lies senteurs de la nuit (Marc Delmas-
Rouweau) ; Prélude, Menuet, fiieau-
don (Ravel) , j Valse (8metana-Leo-
ppld) ; Lied (Oortoin) : Nocturne
(Henry Vassemr) Fileuse (Duhkier) ;
Madame 1 Cupldon (Félix Hesse).
16 h.. UaUlo-Slaroc, 414 m. Disques,
17 h. 30 Marseille, P.T.T., Sic m. Disques.
18 h; Kadlo-ïouloyse, 381 m, Musique
de danse.'
18 h. 25 Kadio-Toulouse, 861 m. Orches
tre divers.
lu h. 30 Paris 447 m. Disques,
lfl h..Kadlo-1'arts, 1.724 m. Disques : La
Procession .nocturne (Rabaud) ; Mi
reille : phanson du pfttj-e (Oounod) :
Danse arabe (aierg), \ .
19 h. Hudio-Touiuu&e, w 381 m. Ttngos
chantés. -
19 h. 40 Kadlo-Touloime. 381 m, Duo. trio.
20 h. Kadlo-Parls, 1,734 m. Concert orga
nisé par l'Association des auditeurs de
la radiodiffusion française : Véronique
(Messager), avec le concours de Mlles
Andrée Vavon, de l"Opér«-Comlqu« :
Luoy Maltes, Jeepne Morlet : MU. Hl-
rlgaray, Maquatre, Morturler et Herent.
Choeurs et orchestre sous la direction
de M. Raoul Labls.
20 h. Itadlo-Maroe, 414 tti, Concert.
20 h. Radio-Lyon. 206 m. Concert.
20 b. 1S Lille P.T.T,, 265 m. Concert.
20 h. 15 Kudlo-Touiouse, 361 m, Chan
sonnettes.
20 h. 20 Tour Eiffel. 1,448 (9. Concert.
20 h. 30 Iturdeaux-Larayette, 304 mitres
concert.
20 ii. 30 KtuMo-Toulnuce, 381 m. Disques
20 h. 30 Paris r.T.T., 447 m. Le Barbier
de Sévllle, comédie de Beaumarchais,
avec le concours de Mlle Adrienne Gal
lon ; MM. Louis Coghet. Albert A11-
gell. André Lorlére..Jean-Tarragone.
20 h. 30 Mre-Juan-les-I'Ins, 348 m. Fes
tival. Rlmsky-KorsakoK) ; Schéhéra-
'zade:
21 h. ilursellle ItT.ïiJal^ M. Concert.
21 h. Poste l'arftleti, 328 m. M. Pierre
Fouchy, de ropéra'-Comlque C l M b Le
Roi d'Ys (Lalo) -, La Status ! Comme
raube nouvelle... (Reyer) 1 Le Chalet 1
. Elle est à mol... (Adam) : Fra Diavolo
(Auber) i ouverture au Tasse (d'Har-
court) ; IntemesMo en Si (Mascagni) ;
Suite miniature (Bric Contes) ; Bon-
ton d'or «3. Pierné) : Thaïs (Masse-
net) ; Chansou Joyeuse de- La Nuit
de mai ( Rlmsky-Korsakoff ) ; Les élé
phants savants (Florent (Schmltt) ;
Zambra Granadlna (Albenla).
31 h, Itadlo-Toulouse, 381 m. Orchestre
viennois.
21 K. Kadio-Lyon, 291 m, L« Barbier de
fieville. de R om I ui, „
33 h. Raillo'Maroe, 414 m. Disques.
„ . „ ETRANGER
la h. Lonates rétionat, 358 m. Trio.
12 h. National Daventry, 1.554 m. 4. Con
cert vocal. '
12 h. 30 National Daventry : Orgue.
13 h. Londres, 356 mètres et .Daventrv,
1.554 m. 4. Musique légère.
13 h. Midland régional (Daventry), 479 m.
Concert.
14 h. Berlin. 418 m. et Koeiiigswusterliuu-
sen, 1.635 m, Airs et duos (Disques),
14 h. Daventry, 474 m, Mlilluftd régional !
Musique légère.
16 li. National Daventry, 1.S54 m. 4.
Orchestre
16 h. 30 National Duventry, 1.554 m. 4<
Concert.
16 h. 30 lierlln. 418 m. et Kueiilgswaster-
liaiisen, 1,636 m, Concert.
17 ta, 18 Londres tèg.. 856 m. Orchestre.
18 h. 40 Nutioitikl Daventry, 1.554 m. 4.'
Sonates de Beethoven.
18 h. 40 Daventry, 479 m. Midland rég. :
Musique jégère.i ,• >
19 h, Ueriln. 418 M. et Ksenlgswiisterlmu-
seii, 1.638 fil. Chansons d'hier et d'au
jourd'hui.
19 h. 30 National !>a*entry, 1.554 m. 4.
Music-hall.
20 h. Londres régloual, 856 m. Concert.
20 h, Merlin. 416 m. et KienlKswuster-
liausen, 1.635 m. Chansons du temps
passé. -
20 h. 45 National Daventry^ 1.554 m. 4.
Concert.
21 h. 25 Berlin. 418 m. et Kienigswuster-
liausen. 1.636 m. Les Saisons (Vivaldi).
82 h. 05 Daventry. 479 n;. Midland rég. :
Comédie musicale.
musique de D anse
17 H. Lausanne.
22 h. 98 National Daventry.
PETITE CHRONIQUE
Potte récepteur.(tuite)
Pour terminer Vituit* du poste d trois
limpéa dont nous avons déjà entretenu
; LES COURSES :
Hier, E&ghien
Prix de Plaisance (Attelé, 4 vendre),
T.500 fp., 2.880 m. i 1. Vouieua, à M.
Thonnçy (Poirier) i l. Aurore VI. <—
N. pl. : Carmen VI, Bolide X. Union,
ÇhCtte^urensjrd, Bengali. 7 part. <-»
4'15", 4'17", 4'20'\ 4'^Q"2/6i Le Wi, i
l'31"l/10.
Mutuel ; a. 10 2 P. 11, 27
Prix du Jardin des Plantes (Attelé),
10.000 tr., 2.G00 m. : 1. Espiègle IV, à M.
J. C sm I (V. Canal) ; 2. EmUe II. —
N. pl, ! Esbroureur, Kucalyptus. Stolle
du Rol ( ïtolle du Nord II, Espiègle. —
7 part. ~ 4'33" 4'23"l/6, 4'a«", 4'88' f , —
Le kil. t l'33"B/10,
.Mutuel : G 156.50 ; p. 43.50, 15
Prix de l'Oiléon (&ïonté), lo.ooo fr.,
l).800 m. : 1. Dame dee Bols, i M. Essar-
WM père (L. Potvier) ; 3. Epernon ; 8.
Danvilie. —- M. pl, : Dameo, D«r!aie
Epauiette B. DentsHe d'Or, Domina D. —
fi part. — 3'37", 8'37"l/6, 8'89", 3'40". Le
Wl. ! 1 , 84"3/10.
Mutuel : Q. 38 ; P. V, 8. 6.50
Prix du Louvre (Àttélé), >8.000 fr.,
2.000 m. i 1. Çros III, a M. Vld«l (C. Mas-
sôn) ; 2. caspio ; 8. Diamant IV. —
N. pl. : Café Noir, Crsmsyel, Corbon, Co
libri, Drapeau, Cri de Paris, — 9 part. —
4'11", 4'll' ! 2/5, 4'H"4/6, 4'I»", Le kU, i
îisn/io. '
Mutuel : G. >T ; P. 12, 1, 14.80
Prix du Panthéon (Monté), 20,000 fr„
9.300 m. : 1. Sglonne II, à 14. E, Burin
(Lefévre) i 2. Diable Boiteux ; 8, Dérou-
lède. — N. pl. : EurVHle, Bar' Tout. ' as
des As, Alo^l», Br«ve, Parlsette, (Capady-
pile ne prend pas 'part fc la course et les
paris faits sur sa chance sont rembour
sés). — 10 part. — 3'24", 3'34"4/5, 3'S}S".
8 '85 "a/8. Le kil, : l'27"7/10, '
■ Mutuel : Q, 71 ; P. 19.50, 18, 11.80
Prit de To(iio (Attelé), 30.000 ïr„ 9.278
m. : 1. Criori, i, M, J. Manteau (pué*
rouit) ; 3. Esix, — ïf, pl, ; Belle Poule H,
Bstoualà III, Clovis O, Daisq, Capricieux
se II. 7 part, — S'«", 8'i4"l/6, 8 'li"
3/10, s'U'-s/?. Le kii. : rae"ï/5.
Mutuel s G, 26.80 : P. «, 6
Prix■ des invalides (Attelé), 7.800 If.,
2.300 m, : 1. Chariot H, S Mme J. Vas;
seur (Ja^isaen) ; 3, Donaoé : 8, Coupé
Filt. — N, pi. ! Cicéron II. Déjanire III,
Centaure, Clair de Lune, Vssél, Domia,
Darllng II, Denfert, D'Artagnan VII, Co
rs Wllkes, Dacba. — 14 part. — 3'32"8/fi.
8'32"4/5, 3'34", 3'84"2/8. Le kil. : l'30"l/6
(Mutuel •; G, 18.50 ; P. 8.80, 13.50, 17
Hier, De&uville
Prix des bergeries (A vendre), 10.000
fr., 1.000 m. : 1, Mlsty Hlll, « il, Dudley
Gllroy (Û, Duforeï) : 2. Mme Chrysan
thème : 3. BtajUug. — n , pi. ; Bonne Fi
liane», Irish Prld'e, Jarnibleu, Thé
Ar
row II, Filigrane. Etoile du - porilieur.
~ ' II, Ce ~ ' r "
courte tête.
Florida
ce. Maya.' — 18 part. — 1 1. 1/2.
'onfédératlon. Sainte Engra-
, 1 1.»
Mutuel i O, 41 ; P, 14.50, 22.50, 17
Prix des Cheneltes. 20.003 fr.,. 3.000 m. :
1. Pierre le Grand, é M. J. Wlttouck |W,
Scanian) i 3. ïtisur %, Estoublon. ~*
N. pl. : Joli Coco. Flylhg Fool, Ultra Vlo*
let, Dardanus, Marylfeboue, Gioacine, La
Fiéohe d'Or. 10 part. — 1 i„ 3 1., 1 l.
Mutuel ; Q, 24 j P. 7.50, 8.50, 7.50
Prix Jacques Le Marols, 100.000 fr.
l.«oo m. : 1. Ponict Chuet, a M, Robert
Lazard (R. Brethés) ; 2. Potiphar. —
N. pl, : dolden Manna, Boupeur, Baoulé,
Paris Ne* York, Lpvfclaee. •— 1 part, —
1 1. 1/2. 9 l„ tète, .
Mutuel : G, 4« i P. 14.80, 8
Prix ealut-CrespIn, 20,004 fr„ 2.400 ai.:
1, feudbp. * il. O. Homberg (a. Va tard) :
2, Buck up : 3. West Nor West, — n , pl.:
Stilbée, Cesstus, Barbus. Les Trois Epis,
AdamellP, Don Bartolo, Franeesca, — 10
part, — 2 1. 1/2, encolure. 3 L
Mutuel : G 60 ; P. 18, 11, 13
Prix ne In Touques, 35.000 fr., 1.200 m.;
1, Merveille du Monde, A M. Pierre Wer»
theiiu. (E. Haynés) ; ,2. Staylace. —
N, pl. : Cryptomeria. Msshonaiand. Àna-
nae II, Igny. «- 6 part. —• 1/2 li, 1/2 lu
8 1.'..".'
. Mutuel : O. 10.50'; P. 8, 7
Prix de l^iiray (Handicap), 20,000 fr.,
3.600 m. : 1. Khan, i M, J. Hennessy
(J, Peckette) ; 2, Afrieati Glrl : 8, Cas
sis, — N, pl. ; Sir Edward, Prince Noir,
Chanteau, Plu&tom. Kersvnot, Jsveleur.
Molsan, Canne Blanche. — n part. —
3/4 l„ l 1., 1/2 1. ....
, Sjjutuel : G. 81 60 j P. 2Û,"13V 20.50
fil Vichy' ' -t
Prix de Pruvtuee de la d'Kii-
rouragenieiit, 19.600 fr„ 3^09 m. : J, In*
cognlto (A, Gordon). — N. pl. : Rose
Cocktail Belfry Bat. — 8 part.' — 2 1. 1/2
1 1., 1/2 1.
Mutuel : G, 7
Prix de l'HOtel des t.llus (A réel., han-
dlcau). 7,800 fr., 3.200 m. ; i. Azycourl
(L. tJUfoh) j 2. Chab^lfi^eaU 8. Jxi Pom
me, N, {si. Biroeeo I. taturite. Pruth.
Coquérant lu. Caraïb, Nsmur, Bagdad IX
Y «ni no, — il part, — 1/2 !.. encolure.
2 1.
Mutuel : G 99 : P, 23, 13.60, 7
Pris des Kaolin» de Weauvetr, 16.M&
fr„ 1,900 n», i 1. Msryittua (A. cordon) ;
3, Colbun i 8. Dompteur, N. pl. i Bout»
guignent}*, Piouwunsch, »an Tucher, La
brador II, Mise Ukase, Moscatello. Jean
Urruty. Saint Maurice. — 12 part. *»■
2 !., 1/2 1., 3 1.
nos itcteurs. nous verrons aujourd'hui le
viojitage des deux dernières lampe» : de-
lectrice et amplificuMoe.
Il est évident qu'elles doivent être chof
Iles pour ce rôle. Le temps ou l'on utili
sât une lampe quelconque uussi bien d
l'ampUUcatioiii Haute irequence qu'à m
détection ou en basse frèquenct est au
jourd'hui pdssÉ. Pour ttrér le maximum
d'une boite de réception il faut spécialiser
chaeun de ses éléments.
La fnile de ta deuxième lampe est con
nectée uu 44 p«f une petite risittanct de
3 migokms et reliée au circuit oscillant
de. plaque de la première lampi par un
condensateur de 0,2 millième de micro-
farad. La plaque est reunie par une con
nexion d'une part au H- 60 volts et d'au
tre part au circuit oscillant de plaque de
la première bigrillt et ce à travers deux
condensateurs de 0.2 millièmes don£. l'un
est variable. Celui-ci sera utilisé pour la
réaction. Disons en passant que la cons
truction du poste pourrait s'arretet là, in
son état présent le montage que non» étu
dions serait assex puissant pouf actionner
sur bonne antenne un haut-parleur tt
moyenne puissance. Il suffirait d'intetca*
1er oe haut-parleur dani le circuit plaque
de la derntèr» lampe et de connecter la
sortie du, fil au 4 -60 volts de la batterie
haute tension.
Itevenons au poste récepteur a trois
lampes. La défnière, l'amplificatrice, est
une bigrille de puissance. SO» montage n'a
rien de partieuiier ; la grille externe est
polarisée par une petite pile de 9 votts, et
le haut-parltur shunté par un condensa
teur de 4 mitlièmes, tandis que la grille
interne et lé plaque sont réunies au +150
volts. Noua donnerons le schéma et Ut ré
glage dan s la prochaint etironiqut.
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Rtedertr, Ecurie Céran Maillard-, — Prix
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imonté), 10,000 fr., 2.400 m. û tiratuui,
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Prix ^«teinte (attelé), 18.000 tr„ 2,sou
m. : Express, Eiaghieu. Prlv de Uerea-
dur (Steeple). Chevaux de selVe, 10.000 fr„
3,400 m. : Dartiav, Emaiiville.
Dijnaln mardi 1 Courhes à- Des avilie ét
à Knglitrii, — La Moripye.
I. .m ...
LA CHKONHIVE U V xurp
Ce vads mecum du spiortsman. présente
toujours un très série.ux Intérêt. Nous
sommes i une époque (df l'anuèe oy tous
çpux qui «'occupent Ac oourses, proprié
taires, éleveurs, spectateurs plus ou moins
professionnels ont besoin de l'enseigne
ment» qu'ils sent assurés de trouver dans
les volumes annuel^ «t mensuels édités
par la direction de» établissement» Chéri.
i rt» ' ' - ' '
Le Bulletin Orphéonique
— Les fétes_ dfc l'Assomption seront,
cette annee, ferciles en manifestatii>ns
orphéonlques. ' Aussi, poutons-nous an
noncer pour la journée de vendredi prd»
éhaiii) la août, un concours k Brassao-ies-
Mlae» (Puy-de-Dôme) ayant M. Moneyrét
pour secrétaire gonèral! un v concours- t
Salnt-Amand-Mont-.Roud (Cher), «êCrét.
gén, M. Garban, fi. cours Fleubus; u«:
festival, d'organisation récente, à Athis-
Mons (Selne-et-oite ), réservé aus harmo
nies, fanfares et sociétés de trompettes,
avec M Rousseau, 91. rue de Juvisy, a
Atliis-Vul (Selne-ei-Oisei. pour secrétaire.
puis, pour les Journées des 16, 16 et
17 aobt, nous aurous l'importa it concours
de Baint-Dizier (Haute-Marne), qui sers
présidé par M. Hansen. On ponrra notam«
ment y entendre la Grat.f.e Fanfare
Champenoise, dirigée par M.. Ouillaume
Balay. Le secrétariat est assuré p*r M
Robart. 33, rue Carnot. La niême' période
est Axée pour le concours De Ijlbiurne
(Gironde), dont le maître Kwo Deliuas
a accepté la présidence', M. pointet,. 26
tue Orbe, étant secrétaire général.-
Les Journées des 18 et 1' août verront
se dérouler le concours clt Saint-Jumen
(Haute-Viennel, dont on a beaucoup ap
précié l'excellante préparation par Ses
soins de M. Dutheli. secrétaire, 37, rue
Lucien-Duuias.
Enfin, au ICremlin-Bicétre (Seine), le
dimanche 17 aotlt, S'accompliront Us
prouesses des Joyeuses sociétés de blgo-
phonés pour un festival-concours qui
comporte une épreuve, louable assuré
ment» de lecture a vue. f,
— Sous la présidence du maître Marc
Delmçs. le concours de Villeneuve-Salnt-
GeargéS iSïltit) ^ obtenu, dimanche der-
f>ier„,le,*uccés. l ]s plus.'frsné. De tiés im-
portàntes chorales, harmonies, fanfares et
sociétés de trompettes étalent présentes
et ont pu coopérer à la première'exécu
tion publique, sous la direction de M, L.
Biémant, de l'Hymne à la Musique, texte
d'André Rlvolre, must^ue de Marc Det-
mas. Le succès de cette belle œuvre cho
rale et instrumentale a été tel, l'après-
midi, (ju'une seconde audition «a fut de
mandée, le soir, au Théâtre de Verdure.
Le samedi soir, veille du concours, notre
grande fanfare parisienne, La Sirène, avec
un programme artlstiqtre 'Judicieusement
compose, obtint, sous ln direction de M.
Ch. Willielm, le triomphe Je -plus écla
tant et le plus légitime,
— Apres Boulogne-Bllispcourt, Sirs*-
bourg, Le Havre. Mftscamet et Fougères,
voici que la ville de Montpellier annonce
également, pour 1831, un grand concours
musical. L'an prochain promet d'égaler
1930, pour le plus grau.d profit moral de
orphéonique., — ~
l'institution
Moucliet.
Gustave
QOOipOQOOOOOQ
La fumure des pâturages
En dé{>ensant deux 'tente francs
d'engrais par hectare sur les pâtu
rages, vous pouvez récupérer mille à
douze cents francs de viande ou de
lait en plus. '
M. Fauchère donne des dStolbi très
intéressants à ce sujet dans le
n» 1.716 du
Petit Journal Agricole
000000000000
Coiins de. couteau. — Avant-hier soir,
vers 33 h. 30, au cours d'une discussion
dans la cour de l'hôtel où lia habitent,
18, rue de l'Eseaut, l'Italien Êrmano
Grossi, 36 Ans, a porté un violent coup
de couteau i, la cuisse de son compatriote
Antoine Gazzeloni, 34 ans, manoeuvre, La
Victime dont les jours ne sont pas en
danger a été transportée à l'hôpital Saint*
Louis. Son agresseur, qui * pris la fuite,
i ... . ■
est activement recherce
REVUE FINANCIERE
ET ECONOMIQUE
La réorganisation
de l a Cou lisse
Le maraAme boursier, pour Une large
part, traduit une crise de confiance. Le
public s'abstient parce ajue diverses ex
périences l'ont incité & la réserve,. Et
cette attitude s'applique en particulier
& la coulisse. Etat d'esprit plus ou moins
raisonnable niajis dont ja réalité ne peut
être contestér^.
Aussi, le nilnistre des finances, que
préoccupe depuis longtemps l'avenir de
notre marché financier, s'est-il appliqué
à étudier avant toute chose la réorgani
sation! de la coulisse. L'initiative des
pouvoirs publics s'est rencontrée, est-il
besoin de le dire, avec Je sincère désir de
collaboration des intéressés.
Les pourparlers, toutefois, ont traîné
en longueur, Comme l'ont indiqué au
Jour le Jour les informations de presse,
les difficulté» ne manquent pas. Mais
seul, il vrai dire, le contraire serait sur
prenant, L'entreprise soulève, en effet,
dps questions de principe délicates, en
même temps que s'avivent oert8ins con
flits d'intérêt, ' ■
Ls but poursuivi est d'accroître la sé
curité des transactions sur le marché en
banque, et pour cela, de renforcer le lien
corporatif entre les intermédiaires, de
façon à réaliser une solidarité véritable
en face des risques professionnels. :
Mais un obstacle 1 surgit aussitôt. L'or
ganisation projetée s'inspirerait de ceFie
du Parquet, Or une différence impor
tante existe entre la fonction de l'agent
de change et celle du coulissier,
Le premier n'est qu'un mandataire. L»e
second est aussi un banquier et il ar
rivera, comme II est déjà arrivé, qu'il
soit surtout un banquier se livrant à deâ
spéculations personnelles, assumant mê
me la direction de vastes syndicats. Dsjnâ
ces conditions,, la réalisation d'une so
lidarité intégrale apparaît difficile, t
raison d'abord du contrôle, voire de l'in
quisition qu'elle suppose ; à raison aussi
de l'imnortance des sacrifices consente
éventuellement.
Une série de mesures ont été néan
moins envisagées comme tendant & ser
rer cet objectif du plus prés possible, La
plus importante consiste à foudre en un
syndicat unique les deux syndicats exis
tants. La distinction consacrée du comp
tant et du terme serait donc abolie. Au
cours d'.une réunion, tenue le 31 juillet,
les coulissiers ont fini, sur les instances
du gouvernement, par se rallier à oette
réforme fc la presque unanimité.
Ce n'est encore qu'un premier pa£ U
s'agira ensuite d'unifier en quelque soHe
le standing des membres de la coulisse,
Jusqu'ici assex Inégal d'abord d'un syn
dicat k l'autre, mais aussi d'une tna.taou
il l'autre. Dans cette Intention. ïl y aurii
lieu sans doute de relever le minimum
de capital imposé.
D'autre part, il b été question depuis
bien des mois de constituer une caisgg
de reports, offrant & la clientèle des dis-»
ponibilités à conditions moins sujettes
a variation.
Supposons maintenant le problème ré
solu. La coulisse — et c'est là. semble»
t-il, le vûeu de l'administration des fU .
nances ~ aura été en quelques mesures
assimilée au Parquet. Jusqu'à quel point
le Parcf jet verra-t-il d'un bon œil cette!
transformation ? Les dispositions géné
rales qu'il affiche en ce moment né sau
raient faire oublier qu'une querelle sé
culaire a divisé le marché officiel et le
marché libre. Du reste, si le marché libre
se met fc « doubler » l'autre, ne verra-
t-'on pas; sous l'empire des mêmes.n 1 »-.
soins permanents qui firent naître jadis
la Coulitec. se créer Un- nouvfeau marché
libre, vraiment digne de Cé'>nom.
■Quoi' qu'il en soit," les pouvoirs publics .
paraisfcent disposer de moyens de persua-T.
aion a&tes puissants pour venir à bout
de ces difficultés, et révolution récente
de# esprits il eet égard est significative.
Ils ne sauraient toutefois, étant inter
venus. avec tant de vigueur, borner là
leur iatervention. Les milieux intéressés
font observer avec raison qu'un des han
dicaps, et non le moins gênant, qui pèsent
sur lA Coulisse, est la difficulté de ravi-
taiiiçr sa cote en bons titres étrangers.
Maintenant que le gouvernement est
incita par de pressantes considérations
'monétaires à faire de Paris un grand
pari $ié international, il serait'opportun,
ftit-on ressortir, de supprimer les bar-
^ères dressées par les lois et les règle-
nentïi contre la facile introduction des
tfres étrangers. Le contrôle officiel, com-
n? l'u montré l'expérience fâcheuse de
réxmt nement, aujourd'hui heureusement
réKruié, n'offre qu'une garantie de sé
curité illusoire, tandis qu'il compromet
le développement normal du marché.
Tout compte fait, le gouvernement a
été bien inspiré de hâter par son initia
tive la réorganisation Indispensable de 'a
Coulisse. Des maintenant, le principe de
l'unification des syndicats n'est plus en
cause : ce n'est plus, désormais qu'une
question de réglementation «t d'organi
sation qui se pose. Avec ,1a collaboration
des pouvoirs publics, elle sera sans doute
définitivement tranchée à la rentrée des
vacances, pour le plus grand bien futur
du marché financier français.
Physionomie de la semaine
La tendance de notre marché a été
nettement lourde au cours de la période
sous revue, tant en raison de l'atonie
des affaires que par suite des avis qui
nous parvenaient de l'étranger. H est
Indéniable que le peu d'empressement de
la clientèle, oblige les professionnels A
POUR
* *
vos REINS
—ea— Feuilleton du Petit Journal. 11 Août 1930
îî|,
VÂSS1Â KAZAN
Grand rouan Inédit
par Louis cTARVERS
*a w-is.*» »*■
XL. — Où est-a ? (suite)
Mais l'âme délicate et sensible de la
vieille dame lui faisait lire un reproebe
dans le moindre" regard dans une expres
sion de visage ou dans le ton d'une phra
se. Elle n'osait plus passer- dans la gale'
rie des portraits d'où sa nièce avait fait
enlever le portrait de son mari en habit
de cour:
Le portrait, avait été relégué dans un pe
tit salon ouvrant sur l'oratoire de Nora, et il
arrivait parfois que la jeune femme ou
vrait la porte de ce salon pour le regarder.
Il lui semblait alors qu'il était vraiment
^devant elle si semblable à te qu'il était aux
'grandes réceptions de Salraz ou aux bals
de la Cour de Vienne. Elle se, souvenait
combien elle avait été flére de sa belle
allure et de sa parfaite distinction.
Qui aurait pu supposer alors qu'il n'é
tait qu'us bâtard fils d'esclave !
Adaptation- of W«mila fey Ouida.
Mais ce soir-là plus encore que jamais
elle sentait qu'elle était injuste envers lui
en pensant ainsi. En toutes choses hormis
la dissimulation de sa naissance, il s'était
conduit en vrai gentilhomme... Il avait
hérité des façons et du caractère du prin
ce Paul bien que la loi n'ait pas présidé
à sa naissance. Et là pensée de la malheu-
se femme devenant plus calme, lui per
mettait enfin de reconnaître que son or
gueil blessé l'avait rendue injuste. Elle n'a
vait voulu voir que la faute. Elle avait
trop oublié tout le resta...
Elle er. était là de ses réflexions quand
la chanoinesse vint la surprendre.
Elles échangèrent d'abord quelques
phrases banales sur tes affaires intérieu
res de la maison, mais ,1e regard de la
chanoines.°e se fixait plus attentif ce soir
sur le visage de la jeune femme.
Et après quelques minutes elle fit un ef
fort de courage.
— Nora vous êtes pourtant chrétienne,
fit-elle, et les chrétiens doivent pardon
ner.
Nora qui avait approché d'elle un mé
tier à tapisserie se pencha sur. son ou
vrage.
— Qu'est-ce que pardonner ? Ne pas se
venger ? Eh bien je me suis abstenue de
toute vengeance. .
— C'est autre chose encore-...
— Alors je ne m'élève pas jusqu'à cette
autre chose.
— Non, et c'est pourquoi je vous de
mande si vous juge» que vous êtes en rè
gle avec votre doctrine et avec vos de
voirs ?
Une flamme de colère chassa,la pâleur
du visage émacié de Nora.
— J'ai en mot le sang de plusieurs
nérations 'd'hommes qui n'ont pas tou
jours été chrétiens, mais qui, même la»
crcyants, savaient ce qu'était l'honneur. U
y a telles chose» qui sont tellement vtlés
qu'il faudrait être vile soi-même pour les
pardonner»
La chanoinesse soupira :
— Je suis trop ignorante <3ë I» nature
du tort qui vous a été fait pour vous don
ne:- un conseil. Mais ce que je sais c'est
qu'Us se trompent ceux qui vous donnent
l'absolution pendant que vous portez !a
rancune en votre âme.
« Fourrais-Je maintenant découvrir Olon
âme et sa honte à un prêtre ? » pen
sait Nora, mais elle g»cda sa pensée pour
elle et répondit simplement
— Croyez-moi. ma tante. J'ai été plus in
dulgente que bien des femmes à ma 'Dlace.
— Vous Voulez dire que vous n'avez pas
réclamé le divorce ? Vraiment cse n'est là
avoir fait acte d'indulgence, mais senie-
ment de dignité et dé respect d® Tous-mè-
n -! vous êtes trop grande dame pour cé
der à vosr instincts de; colère et de ven-
gearce en vous donnant en spectacle au
monde, voflà tout f
Nora hésita à parler. Une seconde elle
avait senti comme u» besoin de se Gonfler»
de ne plus souffrir seule, mais elle- r^pous
sa. là tentation de cette faiblesse.-
Tout au fond d'elle-même elle èrtiignlt
que, connaissant tout, la chanoinesse tût
plus sévère encore qu'elle-même.
' La vieille damé sr levait humilié* dé
stort échec et des larmes brillaient dans ses
yeux.
— Vous éti«z si heurstix... et il vous
adorait l mttrmura-t-elle. Tout cela ns
peut pourtant pas avoir disparu comme
un château de carte$i
' Que m'a-t-on dit 1* jour de mes fian
çailles ? riposta Nora, que je fii'appUyais
stti 1 un roseau. Le roseau a fléchi. Et,
vous le voyez, je reste debout sans lui,
Elle conduisit sa tante jusqu'à son afr*
parlement selon-l'habitude établie et re
tourna en sa chambre solitaire.
Pardonner ! Jusqu'où va l'obligation du
pardon ?... Pas jusqu'à pardoniieT le
déshonneur, évidemment car ce serait sé
déshonorer soi-même.
Mais cette nuit-là, Bela fut éveillé par
sa mère debout prés de son lit.
Elle courba la tête et mit Un baiser sur
ses boucles.
— J'ai été un peu sévère pour vous au
jourd'hui, mon chéri et je veux vous dire
que vous avez raison en toutes choses. Vous
devez toujours penser à votre père et ne
jamais l'oublier.
Bela se souleva. Son petit visage rougit
et »11# lut du bonheur dan» se» yeux bien
qu'ils fussent seulement à demi ouverts :
— Merci, dit-tï gentiment, j'avais peur
que vous n'aimiez pas-qtie je me souvienne
de ltii. Je suis heureux maintenant.
Et comme elle le regardait avec un sou
rire qui ressemblait presque aux sourires
d'autrefois il s'enhardit :
— Quand je serai grand j'irai le cher
cher et je le ramènerai,
Nora se détourna.*
Hélas I quand il serait arrivé à l'âge
d'homme if entendrait l'histoire de son
pèrtf et qui pouvait savoir ce qu'il en di?
rait ? ■■■»..■
Sans ajouter un mot elle fit à l'enfant
uné dernier»! caresse et sortit.
Bëia la suivit du regard :
• — Elle est très malheureuse pensa-t-L.
Si j# pouvais le trouver et le lui ramener
elle serait heureuse.
Et toùté la chevalerie, tout le dévoue^
ment qui était éri sa charmante nature lé
fit frémir d'enthousiasme.
» Si seulement je savais où aller pouf
le trôùver f confia-t-il à son frère quelque*
heufes plus iard f je prendrai mon bon
Falko et j'irais jusqu'au bout du mondé
s'U le fallait.
— Vous ne traverseriez pas la mer avec
Falko, objecta sagement Gela.
— C'est vrai ! je n'ai jamais vu la met,.
Mais alors que pouvons nous faire Gela !..
Cherchez ( le docteur dit toujours que
vous êtes plus intelligent que moi.
delà médita tin instant : ,
— Prions avec tout notre pouvoir, dit-
j il solennellement.
Et les deux petits garçons sautèrent à
bas de leur lit et s'agenûtiillant, cote à
côte, prièrent pour leur père.
Quand Bela se releva son visage était
empreint de résolution. Il tira de son
fourreau une petite épée à poignée d'or
qu'Egon de Valesy lui avait donnée au
trefois et la regarda pensivement.
On doit prier d'abord se disait-il, mais
ensuite On dait'agir. Aide-toi le ciel t'aide
ra, dit toujours notre professeur. Dieu
n'aime pa£ les lâches»
Le jour venu il se mit en quête de son
vieil ami Otto. Son frère et lui avaient
toujours eu la permission d'aller rejoindre
ce fidèle domestique dans sa petite maison
à l'entrée du bois.
— Otto, où peut être papa ? demanda-
t-il sans autre préambule.
— Ah ! mon petit comte, si seulement
je le savais ! je ferais des kilomètres et
dés kilomètres pour aller le retrouver.
— jVous dites bien vrai, Otto ?
Pourquoi mentirai-je, mon cher pe
tit comte, fit le vieux chasseur d'un ton
de reproche. Depuis cette malheureuse
nuit que votre père nous a quittés, nous
n'avons jamais pu l'apercevoir malgré nos
recherches. Si madame la princesse ne sait
pas où il est. comment le saurions-nous ?
— Jé le trouverai, dit solennellement le
petit garçon, tout. vibrant d'un juvénile
courage.
tA suivre.)
■ i x
< s
Le Petit Journal
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d'une val eur de 25Q.Q OO francs
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sites alpestres — Quatre jours d Nice — La Grande Corniche — Beaulieu, Monaco, Monte-Carlo, Men
ton — Cannes et le Cap d'Antïbes — Grasse et les Gorges du Loup — Tout le littoral de Nice à Mar
seille — Marseille en auto-car — Marseille- PARIS. (Le gagnant et la personne gui l'accompagmra
auront la faculté de faire le voyage à la dàte qu'ils choisiront et les trais de chemin de fer, en 1" classe
du lieu de leur résidence à Paris, seront également assurés par le PETIT JOURNAL
DEUXIÈME PRIX : Un superbe Phonographe électrique
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d'appartements — Trousses de toilette — Parfums — Ustensiles de ménage — Objets d'art — Orfèvrerie
— Produits alimentaires — etc., etc.,| @
Rappel du Règlement
Question principale
Du mardi 5 Août au vendredi 29 Ao&t
C 'est-à-dire pendant 25 jours, le « fetit
Journal » publiera chaque Jour > deux
dessins humoristiques d'Alain Salnt-
Ogan. Chacun des 50 dessins tte Saint-
Ogan sera accompagné d'une légende
composée de quatre vers dont les der
nières syllabes ou les derniers mots,
laissés en blanc, forment, par « & peu
près », des noms de départements fran
çais (la liste-type des 50 départements
est déposée chez M* Dessalx, nulssler,
11, rue Monsigny, à Paris.)
Pour répondre à la question princi
pale, 11 s'agira simplement de trouver
les syllabes ou les mots manquants
afin de reconstituer, par consonance:
les noms des départements. Les dessins;
seront numérotés de 1 à 50 ; da cette
façon, les concurrents n'auront pas à.
les joindre à léur solution : 11 leur sut-.;
flra d'Indiquer sur la feuille de réponses,
devant chaque numéro d'ordre, le nom'
du département formé par les syllabes:
ou les mots manquants de la légende du'
dessin. (Le nombre de points rempla
çant les syllabes ou les mots n'est pas
une Indication). ,
Nous publions aujourd'hui les treir
jtième et quatorzième dessins avec leurs
légendes.
Questions subsidiaires
Les concurrents n'auront a repondre
qu'à deux ' questions subsidiaires :
_ 1" Quels sont, 'jarmi les SO départe
ments qui font l'objet du concours, tes
5 départements qu'il vous'semblerait le
plus Intéressant de visiter au point de
vue touristique, (Répondre en Indi-'
quant le nom des départements en tou»
tes lettres, par ordre de préférence.)
2 1 Quels sont, parmi les 60 dessins de
Salnt-Ogan, les 10 dessins qui vous ont
le plus amusé. (Répondre en Indiquant
les?numéros d'ordre des dessins choisis,
par ordre de préférence.)
Les listes-types seront établies d'après
tes suffrages des lecteurs,
* Question principale :
Quels sont les noms des Départements, formés
par les syllabes ou les mots manquants ?
Douce avant de se marier
C'est depuis une âpre mégère
1J faut, toujours se défier
D'une apparence menson . . ? ,
— N° 14
JjOCj ktt Sii'tXï
Le soir venu, Minet, qui rôde
Aux alentours de la maison,
Se méfie, èl non sans raison :
Minet, échaudê f craint Peau ch
Réponses : Les noms des Départements sont :
Dessin N' 13. ».. *..... *...... •] Dessin N* 14.
* •. ê • * *
Observations générales
Les réponses devront Être établies sur
la feuille spéciale- que nous publierons
en temps utile.
■ Aucune réponse ne doit être envoyée
avant la date que nous fixerons. ,
- Dans le cas où des concurrents te
trouveraient ex-œquo, nous leur pose
rions de nouvelles questions subsidiaires
pour les départager.
ATTENTION ! — A chaque solu
tion devront être Joints 25 lions
numérotés. ' Ces bons paraissent
régulièrement eti Z' page du « Ce*
tit Journal » '(première colonne)/
Conservez-les soigneusement
Le fait de concourir Implique l'accep
tation du règlement du concours et des
décisions que pourrait être appelé à
prendre le Jury du .concours.
Plusieurs personnes d'une même fa
mille peuvent concourir, mslls chacun#
d'elles devra faire un envoi séparé de
sa solution.
Elle est délicieuse : pure pour bien digérer à l'eau pour se.désaltérer — glacée pour se rafraîchir
COURRIER DE LA T.S.F.
KCOt'ÏÏZ AVaotIBP 'HVI ;
13 h. 85 ;>W1| P.T.T. : (9s.
dvut i Le Chant du dé»Mt (Romberg) ;
Jour de f#ff, (Grieg) ; Un Amant, un
»wv** M» 'i vw nui
Mari (Yvain). — 1? h. 3Û : Radlo-Parls :
" ■ -■■■■■ -
, : Ra,pHo-Paris : Orchestre
LocatelU, — 10 h. «S : Radio-Paris ;
Airs du Barbier de SèvilU (Rowslnij. —
13 n. *. Radlo-TouloUM ; Sou d» piano,
ih<
— 18 h, 30
Retransmission du concert donné tu
conservatoire américain de Fontainebleau.
— 18 h. : Radio-Toulouse : Musique dé
danse. —19 h. 30 : Radio-Paris : Ou
verture de Philémon et Baucls (Gounod) ;
Air de la Jolie Fille de Parth (Bizet) ;
Marché du Prophète (Meyei'besr). — 20 h.i
Radio-Pàrli j Conc'rt. — 90 13. 20 : Tour
Eiffel : Lu Prlnoesse Jaune (Salnt-Saêns);
Pavane pour une infante défunte (Ravèi);
— 21 h. : Marseille P.T.T, ! Le Printemps
des autres, comédie de J.-J, Bernard. —
21 h. : Poste Parisien : Concert. — 21 h. :
Radio-Toulouse : Opéras-comiques. —•
Si h. 90 : Radio L.-L. : chanté des Valeurs
de la Volga (A.'Doyen) . ■■■<■■
E tranger. — 12 h. ! Londrt* régio
nal : Concert vocal. — 12 h. 15 : Mjlan :
Musique légère. — 1» h. 30 : Stuttgart ;
Lleder. — afD h. National Daventry ; Œu
vra* de Wagner,
FRANCE, Mardi', 12 Août
10 h. 30 Kaillo-Lyon. 38# jn. Concert.
13 h. Kadlo-Lyon, 264 m. i, Concsrt-
12 h. 28 i>arls P.T.Ï., 447 m. Cr*»m m
piy eoffee (de Sylva) ; Valse n» 1 (Dvo
rak) ; Lontanetta, (Raslgade) ; Meen
to me (Turk) ; Menuet (Schubert) ;
Mauresque (Granados) : Tlp Toes
(Qershwln) ; Klsmet (M&rkez) ; Po
chette surprise (Verdun) ; Sérénade
(Duclos) ; Aubade 6 la fiancé* (Vol*
parti) ; Tarentelle (d'Ambrosio).
12 h. 30 Lille l'.T.T., 266 m. Cohcfert.
12 h. 30 ludlo-l'urls, 1.724 m. Disques ;
Concert symphonique : « La mer et
les musiciens » : Ouverture du Vais
seau fantôme (Wagner)..; Bulte algé
rienne i En vue d'Alger (6alnt-S*(!hs);
. Baroarolie (Chopin) ; Deux chansons
de marins (Caplt, Hayfet) : Shéhéra
zade (Rlnuby-Kqreakolî) ; Deux chan
sons de marins (Caplt. Hayet) ; La
.cathédrale engloutie (Debussy) ; Es
cales (J. Ibert) ; Sirènes (Debussy),
18 h. 80 Kai))o-l,yon. 281 m. +. Concert.
12 h. 30 hafllo-Maroe, 414 m. Concert.
12 h. 45 Marseille l'.T.T., 316 m. Disques,
13 h. Mce-Jimn-les-l'lns, 24B m. Concert.
1ST h. Kadlo-Toulousè, 361 m. jaez.
16 h. 30 Uadio-Lyon, 281 m, Concert,
15 h. 45 Kadlo-Parls, m. Notte Bor-'
rentlna (V. Montl) [ Gart-en-mèlodlè
(Schumiftn) ; Danse sisvë (Dvorak) ;
lies senteurs de la nuit (Marc Delmas-
Rouweau) ; Prélude, Menuet, fiieau-
don (Ravel) , j Valse (8metana-Leo-
ppld) ; Lied (Oortoin) : Nocturne
(Henry Vassemr) Fileuse (Duhkier) ;
Madame 1 Cupldon (Félix Hesse).
16 h.. UaUlo-Slaroc, 414 m. Disques,
17 h. 30 Marseille, P.T.T., Sic m. Disques.
18 h; Kadlo-ïouloyse, 381 m, Musique
de danse.'
18 h. 25 Kadio-Toulouse, 861 m. Orches
tre divers.
lu h. 30 Paris 447 m. Disques,
lfl h..Kadlo-1'arts, 1.724 m. Disques : La
Procession .nocturne (Rabaud) ; Mi
reille : phanson du pfttj-e (Oounod) :
Danse arabe (aierg), \ .
19 h. Hudio-Touiuu&e, w 381 m. Ttngos
chantés. -
19 h. 40 Kadlo-Touloime. 381 m, Duo. trio.
20 h. Kadlo-Parls, 1,734 m. Concert orga
nisé par l'Association des auditeurs de
la radiodiffusion française : Véronique
(Messager), avec le concours de Mlles
Andrée Vavon, de l"Opér«-Comlqu« :
Luoy Maltes, Jeepne Morlet : MU. Hl-
rlgaray, Maquatre, Morturler et Herent.
Choeurs et orchestre sous la direction
de M. Raoul Labls.
20 h. Itadlo-Maroe, 414 tti, Concert.
20 h. Radio-Lyon. 206 m. Concert.
20 b. 1S Lille P.T.T,, 265 m. Concert.
20 h. 15 Kudlo-Touiouse, 361 m, Chan
sonnettes.
20 h. 20 Tour Eiffel. 1,448 (9. Concert.
20 h. 30 Iturdeaux-Larayette, 304 mitres
concert.
20 ii. 30 KtuMo-Toulnuce, 381 m. Disques
20 h. 30 Paris r.T.T., 447 m. Le Barbier
de Sévllle, comédie de Beaumarchais,
avec le concours de Mlle Adrienne Gal
lon ; MM. Louis Coghet. Albert A11-
gell. André Lorlére..Jean-Tarragone.
20 h. 30 Mre-Juan-les-I'Ins, 348 m. Fes
tival. Rlmsky-KorsakoK) ; Schéhéra-
'zade:
21 h. ilursellle ItT.ïiJal^ M. Concert.
21 h. Poste l'arftleti, 328 m. M. Pierre
Fouchy, de ropéra'-Comlque C l M b Le
Roi d'Ys (Lalo) -, La Status ! Comme
raube nouvelle... (Reyer) 1 Le Chalet 1
. Elle est à mol... (Adam) : Fra Diavolo
(Auber) i ouverture au Tasse (d'Har-
court) ; IntemesMo en Si (Mascagni) ;
Suite miniature (Bric Contes) ; Bon-
ton d'or «3. Pierné) : Thaïs (Masse-
net) ; Chansou Joyeuse de- La Nuit
de mai ( Rlmsky-Korsakoff ) ; Les élé
phants savants (Florent (Schmltt) ;
Zambra Granadlna (Albenla).
31 h, Itadlo-Toulouse, 381 m. Orchestre
viennois.
21 K. Kadio-Lyon, 291 m, L« Barbier de
fieville. de R om I ui, „
33 h. Raillo'Maroe, 414 m. Disques.
„ . „ ETRANGER
la h. Lonates rétionat, 358 m. Trio.
12 h. National Daventry, 1.554 m. 4. Con
cert vocal. '
12 h. 30 National Daventry : Orgue.
13 h. Londres, 356 mètres et .Daventrv,
1.554 m. 4. Musique légère.
13 h. Midland régional (Daventry), 479 m.
Concert.
14 h. Berlin. 418 m. et Koeiiigswusterliuu-
sen, 1.635 m, Airs et duos (Disques),
14 h. Daventry, 474 m, Mlilluftd régional !
Musique légère.
16 li. National Daventry, 1.S54 m. 4.
Orchestre
16 h. 30 National Duventry, 1.554 m. 4<
Concert.
16 h. 30 lierlln. 418 m. et Kueiilgswaster-
liaiisen, 1,636 m, Concert.
17 ta, 18 Londres tèg.. 856 m. Orchestre.
18 h. 40 Nutioitikl Daventry, 1.554 m. 4.'
Sonates de Beethoven.
18 h. 40 Daventry, 479 m. Midland rég. :
Musique jégère.i ,• >
19 h, Ueriln. 418 M. et Ksenlgswiisterlmu-
seii, 1.638 fil. Chansons d'hier et d'au
jourd'hui.
19 h. 30 National !>a*entry, 1.554 m. 4.
Music-hall.
20 h. Londres régloual, 856 m. Concert.
20 h, Merlin. 416 m. et KienlKswuster-
liausen, 1.635 m. Chansons du temps
passé. -
20 h. 45 National Daventry^ 1.554 m. 4.
Concert.
21 h. 25 Berlin. 418 m. et Kienigswuster-
liausen. 1.636 m. Les Saisons (Vivaldi).
82 h. 05 Daventry. 479 n;. Midland rég. :
Comédie musicale.
musique de D anse
17 H. Lausanne.
22 h. 98 National Daventry.
PETITE CHRONIQUE
Potte récepteur.(tuite)
Pour terminer Vituit* du poste d trois
limpéa dont nous avons déjà entretenu
; LES COURSES :
Hier, E&ghien
Prix de Plaisance (Attelé, 4 vendre),
T.500 fp., 2.880 m. i 1. Vouieua, à M.
Thonnçy (Poirier) i l. Aurore VI. <—
N. pl. : Carmen VI, Bolide X. Union,
ÇhCtte^urensjrd, Bengali. 7 part. <-»
4'15", 4'17", 4'20'\ 4'^Q"2/6i Le Wi, i
l'31"l/10.
Mutuel ; a. 10 2 P. 11, 27
Prix du Jardin des Plantes (Attelé),
10.000 tr., 2.G00 m. : 1. Espiègle IV, à M.
J. C sm I (V. Canal) ; 2. EmUe II. —
N. pl, ! Esbroureur, Kucalyptus. Stolle
du Rol ( ïtolle du Nord II, Espiègle. —
7 part. ~ 4'33" 4'23"l/6, 4'a«", 4'88' f , —
Le kil. t l'33"B/10,
.Mutuel : G 156.50 ; p. 43.50, 15
Prix de l'Oiléon (&ïonté), lo.ooo fr.,
l).800 m. : 1. Dame dee Bols, i M. Essar-
WM père (L. Potvier) ; 3. Epernon ; 8.
Danvilie. —- M. pl, : Dameo, D«r!aie
Epauiette B. DentsHe d'Or, Domina D. —
fi part. — 3'37", 8'37"l/6, 8'89", 3'40". Le
Wl. ! 1 , 84"3/10.
Mutuel : Q. 38 ; P. V, 8. 6.50
Prix du Louvre (Àttélé), >8.000 fr.,
2.000 m. i 1. Çros III, a M. Vld«l (C. Mas-
sôn) ; 2. caspio ; 8. Diamant IV. —
N. pl. : Café Noir, Crsmsyel, Corbon, Co
libri, Drapeau, Cri de Paris, — 9 part. —
4'11", 4'll' ! 2/5, 4'H"4/6, 4'I»", Le kU, i
îisn/io. '
Mutuel : G. >T ; P. 12, 1, 14.80
Prix du Panthéon (Monté), 20,000 fr„
9.300 m. : 1. Sglonne II, à 14. E, Burin
(Lefévre) i 2. Diable Boiteux ; 8, Dérou-
lède. — N. pl. : EurVHle, Bar' Tout. ' as
des As, Alo^l», Br«ve, Parlsette, (Capady-
pile ne prend pas 'part fc la course et les
paris faits sur sa chance sont rembour
sés). — 10 part. — 3'24", 3'34"4/5, 3'S}S".
8 '85 "a/8. Le kil, : l'27"7/10, '
■ Mutuel : Q, 71 ; P. 19.50, 18, 11.80
Prit de To(iio (Attelé), 30.000 ïr„ 9.278
m. : 1. Criori, i, M, J. Manteau (pué*
rouit) ; 3. Esix, — ïf, pl, ; Belle Poule H,
Bstoualà III, Clovis O, Daisq, Capricieux
se II. 7 part, — S'«", 8'i4"l/6, 8 'li"
3/10, s'U'-s/?. Le kii. : rae"ï/5.
Mutuel s G, 26.80 : P. «, 6
Prix■ des invalides (Attelé), 7.800 If.,
2.300 m, : 1. Chariot H, S Mme J. Vas;
seur (Ja^isaen) ; 3, Donaoé : 8, Coupé
Filt. — N, pi. ! Cicéron II. Déjanire III,
Centaure, Clair de Lune, Vssél, Domia,
Darllng II, Denfert, D'Artagnan VII, Co
rs Wllkes, Dacba. — 14 part. — 3'32"8/fi.
8'32"4/5, 3'34", 3'84"2/8. Le kil. : l'30"l/6
(Mutuel •; G, 18.50 ; P. 8.80, 13.50, 17
Hier, De&uville
Prix des bergeries (A vendre), 10.000
fr., 1.000 m. : 1, Mlsty Hlll, « il, Dudley
Gllroy (Û, Duforeï) : 2. Mme Chrysan
thème : 3. BtajUug. — n , pi. ; Bonne Fi
liane», Irish Prld'e, Jarnibleu, Thé
Ar
row II, Filigrane. Etoile du - porilieur.
~ ' II, Ce ~ ' r "
courte tête.
Florida
ce. Maya.' — 18 part. — 1 1. 1/2.
'onfédératlon. Sainte Engra-
, 1 1.»
Mutuel i O, 41 ; P, 14.50, 22.50, 17
Prix des Cheneltes. 20.003 fr.,. 3.000 m. :
1. Pierre le Grand, é M. J. Wlttouck |W,
Scanian) i 3. ïtisur %, Estoublon. ~*
N. pl. : Joli Coco. Flylhg Fool, Ultra Vlo*
let, Dardanus, Marylfeboue, Gioacine, La
Fiéohe d'Or. 10 part. — 1 i„ 3 1., 1 l.
Mutuel ; Q, 24 j P. 7.50, 8.50, 7.50
Prix Jacques Le Marols, 100.000 fr.
l.«oo m. : 1. Ponict Chuet, a M, Robert
Lazard (R. Brethés) ; 2. Potiphar. —
N. pl, : dolden Manna, Boupeur, Baoulé,
Paris Ne* York, Lpvfclaee. •— 1 part, —
1 1. 1/2. 9 l„ tète, .
Mutuel : G, 4« i P. 14.80, 8
Prix ealut-CrespIn, 20,004 fr„ 2.400 ai.:
1, feudbp. * il. O. Homberg (a. Va tard) :
2, Buck up : 3. West Nor West, — n , pl.:
Stilbée, Cesstus, Barbus. Les Trois Epis,
AdamellP, Don Bartolo, Franeesca, — 10
part, — 2 1. 1/2, encolure. 3 L
Mutuel : G 60 ; P. 18, 11, 13
Prix ne In Touques, 35.000 fr., 1.200 m.;
1, Merveille du Monde, A M. Pierre Wer»
theiiu. (E. Haynés) ; ,2. Staylace. —
N, pl. : Cryptomeria. Msshonaiand. Àna-
nae II, Igny. «- 6 part. —• 1/2 li, 1/2 lu
8 1.'..".'
. Mutuel : O. 10.50'; P. 8, 7
Prix de l^iiray (Handicap), 20,000 fr.,
3.600 m. : 1. Khan, i M, J. Hennessy
(J, Peckette) ; 2, Afrieati Glrl : 8, Cas
sis, — N, pl. ; Sir Edward, Prince Noir,
Chanteau, Plu&tom. Kersvnot, Jsveleur.
Molsan, Canne Blanche. — n part. —
3/4 l„ l 1., 1/2 1. ....
, Sjjutuel : G. 81 60 j P. 2Û,"13V 20.50
fil Vichy' ' -t
Prix de Pruvtuee de la d'Kii-
rouragenieiit, 19.600 fr„ 3^09 m. : J, In*
cognlto (A, Gordon). — N. pl. : Rose
Cocktail Belfry Bat. — 8 part.' — 2 1. 1/2
1 1., 1/2 1.
Mutuel : G, 7
Prix de l'HOtel des t.llus (A réel., han-
dlcau). 7,800 fr., 3.200 m. ; i. Azycourl
(L. tJUfoh) j 2. Chab^lfi^eaU 8. Jxi Pom
me, N, {si. Biroeeo I. taturite. Pruth.
Coquérant lu. Caraïb, Nsmur, Bagdad IX
Y «ni no, — il part, — 1/2 !.. encolure.
2 1.
Mutuel : G 99 : P, 23, 13.60, 7
Pris des Kaolin» de Weauvetr, 16.M&
fr„ 1,900 n», i 1. Msryittua (A. cordon) ;
3, Colbun i 8. Dompteur, N. pl. i Bout»
guignent}*, Piouwunsch, »an Tucher, La
brador II, Mise Ukase, Moscatello. Jean
Urruty. Saint Maurice. — 12 part. *»■
2 !., 1/2 1., 3 1.
nos itcteurs. nous verrons aujourd'hui le
viojitage des deux dernières lampe» : de-
lectrice et amplificuMoe.
Il est évident qu'elles doivent être chof
Iles pour ce rôle. Le temps ou l'on utili
sât une lampe quelconque uussi bien d
l'ampUUcatioiii Haute irequence qu'à m
détection ou en basse frèquenct est au
jourd'hui pdssÉ. Pour ttrér le maximum
d'une boite de réception il faut spécialiser
chaeun de ses éléments.
La fnile de ta deuxième lampe est con
nectée uu 44 p«f une petite risittanct de
3 migokms et reliée au circuit oscillant
de. plaque de la première lampi par un
condensateur de 0,2 millième de micro-
farad. La plaque est reunie par une con
nexion d'une part au H- 60 volts et d'au
tre part au circuit oscillant de plaque de
la première bigrillt et ce à travers deux
condensateurs de 0.2 millièmes don£. l'un
est variable. Celui-ci sera utilisé pour la
réaction. Disons en passant que la cons
truction du poste pourrait s'arretet là, in
son état présent le montage que non» étu
dions serait assex puissant pouf actionner
sur bonne antenne un haut-parleur tt
moyenne puissance. Il suffirait d'intetca*
1er oe haut-parleur dani le circuit plaque
de la derntèr» lampe et de connecter la
sortie du, fil au 4 -60 volts de la batterie
haute tension.
Itevenons au poste récepteur a trois
lampes. La défnière, l'amplificatrice, est
une bigrille de puissance. SO» montage n'a
rien de partieuiier ; la grille externe est
polarisée par une petite pile de 9 votts, et
le haut-parltur shunté par un condensa
teur de 4 mitlièmes, tandis que la grille
interne et lé plaque sont réunies au +150
volts. Noua donnerons le schéma et Ut ré
glage dan s la prochaint etironiqut.
Mutuel i a, 21.50.! P. 7.SQ. 7.50, >
Prix de l'Hôtel du Parc. 20.000 Jr„ 1.000
m, : 1. Lalicelot'II (Le Guél\ennec). | 2,
Jus de pomme, — N. pl. \ Napel, Tomine,
Dàair de Plaire. Lion JNoir. 6. part.
Encolure, 1 1. l/â, 1 l,v
Mutuel : O. 34.5b : P. 18, 17.50'
Qteeple-t'hase de Vlcliy (»• Pri* de la
Société.«les steeple) (Handicap), 27,ooo
fr„ I.10Q m. ! i, La Mardohale III (M<
— 1 1. 1/2,'l 1,, 8'1.
Alutucl : G. 14 ; P, 6.80, 8.Ç0, 7.50
Aujourd'hui,
Clairefontaine-Deauville
Favoris du PtUt Journal :
Prix rte la Croix-Konnct (Jïaiési. laoqo
fr„ 3.300 m. : Golden Fleet, Là Solitaire.
—. Prix des Hortensias (Haie*. Handicap,
6 vendre aux ènchèree), 8.000 ïr„ 9.800
m. ; Lady Mariette, Soiumière.—» t>rlx de
la Borielé Sportive d'Encouragement
(Steepie-Chase, Handicap), îfi.ooo fr.,
3.500 m, ! Kérange, Sucrier. — prix des
Clématites (à vendre aux enchères), ç.0O(V
lr„ 1,600 m. : Kuut*ftr, Graijdval. — l'rl:v
du Gouvernement. 12.000 fr., 2.300 m. :
Ecurie tvictouek, Arbitre. — Prix d'OWb'ec,
7.500 fr., 3.300 m. : liallna, Jacqminia,
Aujourd'hui, Caen
' favoris au Petit Journal t
Prix <)u Ctuioell tiéuérul du (oalvadoe
(monté), fi.000 fr., 8,300 m.-! Ecu«le Ulry-
Rtedertr, Ecurie Céran Maillard-, — Prix
de La Noï (attelé), 81000 fr„ ?a;soo m. ;
l'orimise, Fiamir.i», — Prix -, Normand
imonté), 10,000 fr., 2.400 m. û tiratuui,
cantipou. prix Smart (morue), 15.000
ft„ 2.400 m. i fittirraude 11, litres XI. —
Prix ^«teinte (attelé), 18.000 tr„ 2,sou
m. : Express, Eiaghieu. Prlv de Uerea-
dur (Steeple). Chevaux de selVe, 10.000 fr„
3,400 m. : Dartiav, Emaiiville.
Dijnaln mardi 1 Courhes à- Des avilie ét
à Knglitrii, — La Moripye.
I. .m ...
LA CHKONHIVE U V xurp
Ce vads mecum du spiortsman. présente
toujours un très série.ux Intérêt. Nous
sommes i une époque (df l'anuèe oy tous
çpux qui «'occupent Ac oourses, proprié
taires, éleveurs, spectateurs plus ou moins
professionnels ont besoin de l'enseigne
ment» qu'ils sent assurés de trouver dans
les volumes annuel^ «t mensuels édités
par la direction de» établissement» Chéri.
i rt» ' ' - ' '
Le Bulletin Orphéonique
— Les fétes_ dfc l'Assomption seront,
cette annee, ferciles en manifestatii>ns
orphéonlques. ' Aussi, poutons-nous an
noncer pour la journée de vendredi prd»
éhaiii) la août, un concours k Brassao-ies-
Mlae» (Puy-de-Dôme) ayant M. Moneyrét
pour secrétaire gonèral! un v concours- t
Salnt-Amand-Mont-.Roud (Cher), «êCrét.
gén, M. Garban, fi. cours Fleubus; u«:
festival, d'organisation récente, à Athis-
Mons (Selne-et-oite ), réservé aus harmo
nies, fanfares et sociétés de trompettes,
avec M Rousseau, 91. rue de Juvisy, a
Atliis-Vul (Selne-ei-Oisei. pour secrétaire.
puis, pour les Journées des 16, 16 et
17 aobt, nous aurous l'importa it concours
de Baint-Dizier (Haute-Marne), qui sers
présidé par M. Hansen. On ponrra notam«
ment y entendre la Grat.f.e Fanfare
Champenoise, dirigée par M.. Ouillaume
Balay. Le secrétariat est assuré p*r M
Robart. 33, rue Carnot. La niême' période
est Axée pour le concours De Ijlbiurne
(Gironde), dont le maître Kwo Deliuas
a accepté la présidence', M. pointet,. 26
tue Orbe, étant secrétaire général.-
Les Journées des 18 et 1' août verront
se dérouler le concours clt Saint-Jumen
(Haute-Viennel, dont on a beaucoup ap
précié l'excellante préparation par Ses
soins de M. Dutheli. secrétaire, 37, rue
Lucien-Duuias.
Enfin, au ICremlin-Bicétre (Seine), le
dimanche 17 aotlt, S'accompliront Us
prouesses des Joyeuses sociétés de blgo-
phonés pour un festival-concours qui
comporte une épreuve, louable assuré
ment» de lecture a vue. f,
— Sous la présidence du maître Marc
Delmçs. le concours de Villeneuve-Salnt-
GeargéS iSïltit) ^ obtenu, dimanche der-
f>ier„,le,*uccés. l ]s plus.'frsné. De tiés im-
portàntes chorales, harmonies, fanfares et
sociétés de trompettes étalent présentes
et ont pu coopérer à la première'exécu
tion publique, sous la direction de M, L.
Biémant, de l'Hymne à la Musique, texte
d'André Rlvolre, must^ue de Marc Det-
mas. Le succès de cette belle œuvre cho
rale et instrumentale a été tel, l'après-
midi, (ju'une seconde audition «a fut de
mandée, le soir, au Théâtre de Verdure.
Le samedi soir, veille du concours, notre
grande fanfare parisienne, La Sirène, avec
un programme artlstiqtre 'Judicieusement
compose, obtint, sous ln direction de M.
Ch. Willielm, le triomphe Je -plus écla
tant et le plus légitime,
— Apres Boulogne-Bllispcourt, Sirs*-
bourg, Le Havre. Mftscamet et Fougères,
voici que la ville de Montpellier annonce
également, pour 1831, un grand concours
musical. L'an prochain promet d'égaler
1930, pour le plus grau.d profit moral de
orphéonique., — ~
l'institution
Moucliet.
Gustave
QOOipOQOOOOOQ
La fumure des pâturages
En dé{>ensant deux 'tente francs
d'engrais par hectare sur les pâtu
rages, vous pouvez récupérer mille à
douze cents francs de viande ou de
lait en plus. '
M. Fauchère donne des dStolbi très
intéressants à ce sujet dans le
n» 1.716 du
Petit Journal Agricole
000000000000
Coiins de. couteau. — Avant-hier soir,
vers 33 h. 30, au cours d'une discussion
dans la cour de l'hôtel où lia habitent,
18, rue de l'Eseaut, l'Italien Êrmano
Grossi, 36 Ans, a porté un violent coup
de couteau i, la cuisse de son compatriote
Antoine Gazzeloni, 34 ans, manoeuvre, La
Victime dont les jours ne sont pas en
danger a été transportée à l'hôpital Saint*
Louis. Son agresseur, qui * pris la fuite,
i ... . ■
est activement recherce
REVUE FINANCIERE
ET ECONOMIQUE
La réorganisation
de l a Cou lisse
Le maraAme boursier, pour Une large
part, traduit une crise de confiance. Le
public s'abstient parce ajue diverses ex
périences l'ont incité & la réserve,. Et
cette attitude s'applique en particulier
& la coulisse. Etat d'esprit plus ou moins
raisonnable niajis dont ja réalité ne peut
être contestér^.
Aussi, le nilnistre des finances, que
préoccupe depuis longtemps l'avenir de
notre marché financier, s'est-il appliqué
à étudier avant toute chose la réorgani
sation! de la coulisse. L'initiative des
pouvoirs publics s'est rencontrée, est-il
besoin de le dire, avec Je sincère désir de
collaboration des intéressés.
Les pourparlers, toutefois, ont traîné
en longueur, Comme l'ont indiqué au
Jour le Jour les informations de presse,
les difficulté» ne manquent pas. Mais
seul, il vrai dire, le contraire serait sur
prenant, L'entreprise soulève, en effet,
dps questions de principe délicates, en
même temps que s'avivent oert8ins con
flits d'intérêt, ' ■
Ls but poursuivi est d'accroître la sé
curité des transactions sur le marché en
banque, et pour cela, de renforcer le lien
corporatif entre les intermédiaires, de
façon à réaliser une solidarité véritable
en face des risques professionnels. :
Mais un obstacle 1 surgit aussitôt. L'or
ganisation projetée s'inspirerait de ceFie
du Parquet, Or une différence impor
tante existe entre la fonction de l'agent
de change et celle du coulissier,
Le premier n'est qu'un mandataire. L»e
second est aussi un banquier et il ar
rivera, comme II est déjà arrivé, qu'il
soit surtout un banquier se livrant à deâ
spéculations personnelles, assumant mê
me la direction de vastes syndicats. Dsjnâ
ces conditions,, la réalisation d'une so
lidarité intégrale apparaît difficile, t
raison d'abord du contrôle, voire de l'in
quisition qu'elle suppose ; à raison aussi
de l'imnortance des sacrifices consente
éventuellement.
Une série de mesures ont été néan
moins envisagées comme tendant & ser
rer cet objectif du plus prés possible, La
plus importante consiste à foudre en un
syndicat unique les deux syndicats exis
tants. La distinction consacrée du comp
tant et du terme serait donc abolie. Au
cours d'.une réunion, tenue le 31 juillet,
les coulissiers ont fini, sur les instances
du gouvernement, par se rallier à oette
réforme fc la presque unanimité.
Ce n'est encore qu'un premier pa£ U
s'agira ensuite d'unifier en quelque soHe
le standing des membres de la coulisse,
Jusqu'ici assex Inégal d'abord d'un syn
dicat k l'autre, mais aussi d'une tna.taou
il l'autre. Dans cette Intention. ïl y aurii
lieu sans doute de relever le minimum
de capital imposé.
D'autre part, il b été question depuis
bien des mois de constituer une caisgg
de reports, offrant & la clientèle des dis-»
ponibilités à conditions moins sujettes
a variation.
Supposons maintenant le problème ré
solu. La coulisse — et c'est là. semble»
t-il, le vûeu de l'administration des fU .
nances ~ aura été en quelques mesures
assimilée au Parquet. Jusqu'à quel point
le Parcf jet verra-t-il d'un bon œil cette!
transformation ? Les dispositions géné
rales qu'il affiche en ce moment né sau
raient faire oublier qu'une querelle sé
culaire a divisé le marché officiel et le
marché libre. Du reste, si le marché libre
se met fc « doubler » l'autre, ne verra-
t-'on pas; sous l'empire des mêmes.n 1 »-.
soins permanents qui firent naître jadis
la Coulitec. se créer Un- nouvfeau marché
libre, vraiment digne de Cé'>nom.
■Quoi' qu'il en soit," les pouvoirs publics .
paraisfcent disposer de moyens de persua-T.
aion a&tes puissants pour venir à bout
de ces difficultés, et révolution récente
de# esprits il eet égard est significative.
Ils ne sauraient toutefois, étant inter
venus. avec tant de vigueur, borner là
leur iatervention. Les milieux intéressés
font observer avec raison qu'un des han
dicaps, et non le moins gênant, qui pèsent
sur lA Coulisse, est la difficulté de ravi-
taiiiçr sa cote en bons titres étrangers.
Maintenant que le gouvernement est
incita par de pressantes considérations
'monétaires à faire de Paris un grand
pari $ié international, il serait'opportun,
ftit-on ressortir, de supprimer les bar-
^ères dressées par les lois et les règle-
nentïi contre la facile introduction des
tfres étrangers. Le contrôle officiel, com-
n? l'u montré l'expérience fâcheuse de
réxmt nement, aujourd'hui heureusement
réKruié, n'offre qu'une garantie de sé
curité illusoire, tandis qu'il compromet
le développement normal du marché.
Tout compte fait, le gouvernement a
été bien inspiré de hâter par son initia
tive la réorganisation Indispensable de 'a
Coulisse. Des maintenant, le principe de
l'unification des syndicats n'est plus en
cause : ce n'est plus, désormais qu'une
question de réglementation «t d'organi
sation qui se pose. Avec ,1a collaboration
des pouvoirs publics, elle sera sans doute
définitivement tranchée à la rentrée des
vacances, pour le plus grand bien futur
du marché financier français.
Physionomie de la semaine
La tendance de notre marché a été
nettement lourde au cours de la période
sous revue, tant en raison de l'atonie
des affaires que par suite des avis qui
nous parvenaient de l'étranger. H est
Indéniable que le peu d'empressement de
la clientèle, oblige les professionnels A
POUR
* *
vos REINS
—ea— Feuilleton du Petit Journal. 11 Août 1930
îî|,
VÂSS1Â KAZAN
Grand rouan Inédit
par Louis cTARVERS
*a w-is.*» »*■
XL. — Où est-a ? (suite)
Mais l'âme délicate et sensible de la
vieille dame lui faisait lire un reproebe
dans le moindre" regard dans une expres
sion de visage ou dans le ton d'une phra
se. Elle n'osait plus passer- dans la gale'
rie des portraits d'où sa nièce avait fait
enlever le portrait de son mari en habit
de cour:
Le portrait, avait été relégué dans un pe
tit salon ouvrant sur l'oratoire de Nora, et il
arrivait parfois que la jeune femme ou
vrait la porte de ce salon pour le regarder.
Il lui semblait alors qu'il était vraiment
^devant elle si semblable à te qu'il était aux
'grandes réceptions de Salraz ou aux bals
de la Cour de Vienne. Elle se, souvenait
combien elle avait été flére de sa belle
allure et de sa parfaite distinction.
Qui aurait pu supposer alors qu'il n'é
tait qu'us bâtard fils d'esclave !
Adaptation- of W«mila fey Ouida.
Mais ce soir-là plus encore que jamais
elle sentait qu'elle était injuste envers lui
en pensant ainsi. En toutes choses hormis
la dissimulation de sa naissance, il s'était
conduit en vrai gentilhomme... Il avait
hérité des façons et du caractère du prin
ce Paul bien que la loi n'ait pas présidé
à sa naissance. Et là pensée de la malheu-
se femme devenant plus calme, lui per
mettait enfin de reconnaître que son or
gueil blessé l'avait rendue injuste. Elle n'a
vait voulu voir que la faute. Elle avait
trop oublié tout le resta...
Elle er. était là de ses réflexions quand
la chanoinesse vint la surprendre.
Elles échangèrent d'abord quelques
phrases banales sur tes affaires intérieu
res de la maison, mais ,1e regard de la
chanoines.°e se fixait plus attentif ce soir
sur le visage de la jeune femme.
Et après quelques minutes elle fit un ef
fort de courage.
— Nora vous êtes pourtant chrétienne,
fit-elle, et les chrétiens doivent pardon
ner.
Nora qui avait approché d'elle un mé
tier à tapisserie se pencha sur. son ou
vrage.
— Qu'est-ce que pardonner ? Ne pas se
venger ? Eh bien je me suis abstenue de
toute vengeance. .
— C'est autre chose encore-...
— Alors je ne m'élève pas jusqu'à cette
autre chose.
— Non, et c'est pourquoi je vous de
mande si vous juge» que vous êtes en rè
gle avec votre doctrine et avec vos de
voirs ?
Une flamme de colère chassa,la pâleur
du visage émacié de Nora.
— J'ai en mot le sang de plusieurs
nérations 'd'hommes qui n'ont pas tou
jours été chrétiens, mais qui, même la»
crcyants, savaient ce qu'était l'honneur. U
y a telles chose» qui sont tellement vtlés
qu'il faudrait être vile soi-même pour les
pardonner»
La chanoinesse soupira :
— Je suis trop ignorante <3ë I» nature
du tort qui vous a été fait pour vous don
ne:- un conseil. Mais ce que je sais c'est
qu'Us se trompent ceux qui vous donnent
l'absolution pendant que vous portez !a
rancune en votre âme.
« Fourrais-Je maintenant découvrir Olon
âme et sa honte à un prêtre ? » pen
sait Nora, mais elle g»cda sa pensée pour
elle et répondit simplement
— Croyez-moi. ma tante. J'ai été plus in
dulgente que bien des femmes à ma 'Dlace.
— Vous Voulez dire que vous n'avez pas
réclamé le divorce ? Vraiment cse n'est là
avoir fait acte d'indulgence, mais senie-
ment de dignité et dé respect d® Tous-mè-
n -! vous êtes trop grande dame pour cé
der à vosr instincts de; colère et de ven-
gearce en vous donnant en spectacle au
monde, voflà tout f
Nora hésita à parler. Une seconde elle
avait senti comme u» besoin de se Gonfler»
de ne plus souffrir seule, mais elle- r^pous
sa. là tentation de cette faiblesse.-
Tout au fond d'elle-même elle èrtiignlt
que, connaissant tout, la chanoinesse tût
plus sévère encore qu'elle-même.
' La vieille damé sr levait humilié* dé
stort échec et des larmes brillaient dans ses
yeux.
— Vous éti«z si heurstix... et il vous
adorait l mttrmura-t-elle. Tout cela ns
peut pourtant pas avoir disparu comme
un château de carte$i
' Que m'a-t-on dit 1* jour de mes fian
çailles ? riposta Nora, que je fii'appUyais
stti 1 un roseau. Le roseau a fléchi. Et,
vous le voyez, je reste debout sans lui,
Elle conduisit sa tante jusqu'à son afr*
parlement selon-l'habitude établie et re
tourna en sa chambre solitaire.
Pardonner ! Jusqu'où va l'obligation du
pardon ?... Pas jusqu'à pardoniieT le
déshonneur, évidemment car ce serait sé
déshonorer soi-même.
Mais cette nuit-là, Bela fut éveillé par
sa mère debout prés de son lit.
Elle courba la tête et mit Un baiser sur
ses boucles.
— J'ai été un peu sévère pour vous au
jourd'hui, mon chéri et je veux vous dire
que vous avez raison en toutes choses. Vous
devez toujours penser à votre père et ne
jamais l'oublier.
Bela se souleva. Son petit visage rougit
et »11# lut du bonheur dan» se» yeux bien
qu'ils fussent seulement à demi ouverts :
— Merci, dit-tï gentiment, j'avais peur
que vous n'aimiez pas-qtie je me souvienne
de ltii. Je suis heureux maintenant.
Et comme elle le regardait avec un sou
rire qui ressemblait presque aux sourires
d'autrefois il s'enhardit :
— Quand je serai grand j'irai le cher
cher et je le ramènerai,
Nora se détourna.*
Hélas I quand il serait arrivé à l'âge
d'homme if entendrait l'histoire de son
pèrtf et qui pouvait savoir ce qu'il en di?
rait ? ■■■»..■
Sans ajouter un mot elle fit à l'enfant
uné dernier»! caresse et sortit.
Bëia la suivit du regard :
• — Elle est très malheureuse pensa-t-L.
Si j# pouvais le trouver et le lui ramener
elle serait heureuse.
Et toùté la chevalerie, tout le dévoue^
ment qui était éri sa charmante nature lé
fit frémir d'enthousiasme.
» Si seulement je savais où aller pouf
le trôùver f confia-t-il à son frère quelque*
heufes plus iard f je prendrai mon bon
Falko et j'irais jusqu'au bout du mondé
s'U le fallait.
— Vous ne traverseriez pas la mer avec
Falko, objecta sagement Gela.
— C'est vrai ! je n'ai jamais vu la met,.
Mais alors que pouvons nous faire Gela !..
Cherchez ( le docteur dit toujours que
vous êtes plus intelligent que moi.
delà médita tin instant : ,
— Prions avec tout notre pouvoir, dit-
j il solennellement.
Et les deux petits garçons sautèrent à
bas de leur lit et s'agenûtiillant, cote à
côte, prièrent pour leur père.
Quand Bela se releva son visage était
empreint de résolution. Il tira de son
fourreau une petite épée à poignée d'or
qu'Egon de Valesy lui avait donnée au
trefois et la regarda pensivement.
On doit prier d'abord se disait-il, mais
ensuite On dait'agir. Aide-toi le ciel t'aide
ra, dit toujours notre professeur. Dieu
n'aime pa£ les lâches»
Le jour venu il se mit en quête de son
vieil ami Otto. Son frère et lui avaient
toujours eu la permission d'aller rejoindre
ce fidèle domestique dans sa petite maison
à l'entrée du bois.
— Otto, où peut être papa ? demanda-
t-il sans autre préambule.
— Ah ! mon petit comte, si seulement
je le savais ! je ferais des kilomètres et
dés kilomètres pour aller le retrouver.
— jVous dites bien vrai, Otto ?
Pourquoi mentirai-je, mon cher pe
tit comte, fit le vieux chasseur d'un ton
de reproche. Depuis cette malheureuse
nuit que votre père nous a quittés, nous
n'avons jamais pu l'apercevoir malgré nos
recherches. Si madame la princesse ne sait
pas où il est. comment le saurions-nous ?
— Jé le trouverai, dit solennellement le
petit garçon, tout. vibrant d'un juvénile
courage.
tA suivre.)
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