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enter, importuner, tourner la tête à quelqu'un, Bc;
cf. sous la Irc forme à la fin.
~%JL$>j dégoût de l'étude, Bc.
■ ~wj glissade, Aie. (cayda como deslizandose, des-
lizamiento).
La~ hors des gonds, hors de soi, Bc.
~^15^ exaspération, Bc.
dans le Voc. sous labi.
vj»>î *)j lubrici silices, Freytag d'après J. - J. Schul-
tens, qui cite le Diw. Hodz.; c'est dans l'édit. 188,
YS. 39.
\~t~-~ n. d'act. de la lrc forme (voyez). — Lieu
glissant, Voc., Aie. (deleznadero).
/<~r~, car c'est ainsi que porte le man., expliqué
par (jia**J ~iwoju ~~UO! J~j , Diw. Hodz. 289, 2.
\~A~9 vétilleur ou vétilleux, qui fait des difficul-
tés, (ouvrage) plein de petites difficultés, Bc.
~iiks>jA lieu glissant, Voc., Aie. (deslizadero, resba-
ladero ).
- O >
m~j~o glissé, coulé, écoulé, Aie. (deslizado).
'AL~t 1 c. J p. flatter quelqu'un jusqu'à ce qu'on. l'ait
en son pouvoir, M.
n IV c. d. a. dégoûter quelqu'un de, Abou'l-Walid
782, 18.
Y puer, Payne Smith 1491.
~O - O
.<—!'. et X,-,» puantetw, Gl. Manç. in voce, qui
~o - - o o »
donne ~*—'< comme n. d'act. et r--O-j comme subst.;
~k4P) puanteur et vent piquant, M.
~&'. goilt sauvag-in, Bc.
* graisse j Voc.
~< 1 s'animer, prendre de l'éclat, Bc, — Se trouve
dans le sens de mépriser, dont Lane n'a pas rencon-
tré d'cxcmple, Bayân II, 131, 16, mais c. y p., et
non pas avec l'acc. — Badiner, Ht.
II animer, donner de la vivacité, de l'éclat, ra-
viver, Bc.
IV. (jv-b sLPjl, c.-à-d. a^Lctj #jtij, voyez
Kâmil 512, 2 et 3.
";j fraîcheur (du coloris), Bc. — Luxe, somptuo-
sité, Bc. — Recherche, affectation dans le style, Bc.
o
,.ePj fertile (jardin), Amari 16, 5.
t!~L-~. vivacité, force des couleurs, aussi <~L-P.
O!,Jj', Bc.
«Ij somptueux, Bc.
9 O"
endroit où le vent souffle, Macc. I, 436, 5.
2,
})- Nom d'un navire, non-seulement de Motawakkil,
mais aussi de Mo'tacim; voyez Gl. Fragm.
~Y').
== \;,j, Payne Smith 994, si ce n'est pas une
faute.
iuojjj ordures, Ht, Daumas Sahara 260, V. A. 133;
Roland le donne comme un quasi-pl. do ~J.
.,
l:P') 1 (formé de ~Q}*), voyez), al^U ~) être l'amant
d'une femme mariée; en parlant de la femme on dit
, M (sous ~tfj).
~<;') II, marier, donner en mariage à, se construit aussi
c. J, Abd-al-wàhid 7, 3, et c. E7'41 Bc; — c. a. et
~^«prendre une femme
pour son fils dans la famille d'un personnage géné-
reux et d'une naissance illustre,)) de Sacy Chrest. II,
474, 9 a f. ; — ~AÎU Q* ^- £ >5) il la maria en payant
lui-même la dot, Gl. Abulf. - Epouser, prendre en
mariage, Gl. Badroun, ~61. Djob., Haiyân-Bassâm I,
~C,t ,. i ,..
30 rO: ~HIAÀC ~"Lc ~J,' 'r>' ?W Jî
~0L0 Cr ~J< ~)JLL! <-~c >! <;;) ~JAL;c U !
~H
IV c. d. a. ~aJJo donner sa fille à quelqu'un, Bc.
VI s'apparier, Auw. II, 435, 16.
- .:£ ~)CI)
~g\j. c;:'.rJ' ou L~ est le LLiiL-
ou vitriol jaune, Most. in voce, ou selon d'autres, le
vitriol vert ou sulfate de fer, Bait. I, 510.
~£ 5;, mari, pl. 0 *9 chez Bc. — ~ë;:') ~J
fendu en deux, Aie. (hendido en dos partes). - Les
perles sont ~-'"t 4J ~~-~u~~ à M dans des coquilles
0:/
bivalves,» Djob. 67, 4. — xJLï r-Dj comme nous di-
~e- é.,:/
sons une paire de tenailles, Aie. (tenazas). — Une
paire de bœufs ou de mulets, Aie. (junta de bueyes
