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sent ans, elle fit le voyage de Rome, au sujet de
Mélanie la jeune, sa petite-fille, qui avait résolu, de
concert avec Pinien, son mari, de passer le reste de
ses jours dans la continence et la pratique des con-
seils de l'Evangile. Elle voulut se rendre auprès
d'elle pour la confirmer dans ces saintes résolutions.
S'étant embarquée à Césarée, elle aborda à Naples,
après vingt jours de navigation. Toute la noblesse
de Rome vint au-devant d'elle jusqu'à cette ville ;
mais ce brillant cortège, à la tête duquel elle fut
placée jusqu'à Rome, ne lui fit rien perdre de son
liumilité. Pendant le temps qu'elle passa en Occident,
elle fit un voyage en Afrique, et elle n'était pas en-
core de retour, lorsqu'elle apprit la mort de son fils
Publicola, père de Mélanie. Arrivée à Home, elle dé-
cida sa petite-fille et Pinien, son mari, à vendre
leurs grands biens pour en distribuer le prix aux
pauvres, et à se fixer dans une retraite éloignée de
Rome. Albine Avite, sa nièce, et Aibine, veuve de
Pubîicola, imitèrent cet exemple. Tout le monde ad-
mirait à Rome ces illustres conversions. Comme
rien ne la retenait plus en Italie, elle se hâta de re-
tourner dans sa solitude. Rufin, qui l'avait accompa-
gnée. mourut en Sicile. Arrivée à Jérusalem, elle
distribua aux pauvres ce qui lui restait d'argent.
Elte mourut quarante jours après, l'an 410, âgée de
soixante sept ans. On lui a reproché d'avoir montré ,
pendant quelque temps, trop de chaleur pour Ori-
gèue, que Rufin défendait; mais les louanges que lui
ont données saint Augustin, saint Jérôme et saint
Paulin ne permettent pas de douter de ses vertus ni
de son orthodoxie. Le dernier de ces Pères, qui était
son proche parent, la qualifie de sainte femme.
MKLANCY (saint) est honoré dans le diocèse de
Viviers.
MELCn (sainl), Melchus, évêque d'Ardachadh,
dans le comté de Longfort en Irlande, succéda, sur
la fin du ve siècle, à saint Mel, son frère, et était
comme lui neveu de saint Patrice.
MELDEOC (saint), Meldeocus, était autrefois ho-
noré près de Vannes, en Bretagne.
MELLYN (saint) est patron d'une église dans le
pays de Cornouailles, en Aligleterre.
Al EM ESSE (sainte), Memessa, vierge, est mention-
née par Jocelin.
ME MOU (saint) est honoré à Bary, dans la
Pouille, où ses reliques furent mises sous un autel
avant l'année 1091.
MÉiNÉVOU (saint) est patron de lludl, près de
Joinville.
MElUîOD (le bienheureux), prêtre et martyr, sortait
d'une illustre famille et était, à ce que l'on croit,
frère d'Ulrich, comte de Bregeniz. Il quitta le
monde pour se faire religieux dans l'abbaye de Mer-
crau, au diocèse de Constance, où il se distingua par
sa ferveur et ses austérités. Mais le désir d'une plus
grande perfection le porta à se retirer, avec la per-
mission de ses supérieurs, dans une forêt voisine, où
il se construisit une cellule. Le soin de sa propre
sanctification ne l'empêchait pas !le se livrer avec
zèle à l'instruction des ignorants, à la conversion
-des pécheurs et à l'extirpation des vices qui désho-
noraient les populations dont il était environné. Le
Seigneur daigna bénir ses efforts; mais ses remon-
trances irritèrent quelques scélérats, qui l'assassinè-
rent dans sa solitude, vers l'an 1129. Son corps fut
inhumé à Alberswende et son tombeau .a été illustré
par plusieurs miracles : aussi IiL-on son nom dans
quelques calendriers sous le 23 mars, qui paraît être
le jour de sa mort.
MESSELLN (saint), Messolinus, prêtre de Tarbes,
est loué par saint Grégoire de Tours. La ville de
Tarbes faisait autrefois une procession le 24 de mai
pour remercier Dieu de la délivrance qu'elle avait
obtenue par les prières et l'intercession de ce saint
qu'elle honore comme son patron.
MEUVIN (saint), Mervinus, moine en Angleterre,
était fils du prince Merwald et petit-fils d
roi des Merciens. il quitta la cour et le '||0 r
entrer dans un monastère, et il mourut sur i., aJlssi
vue siècle. Il avait trois sœurs qui se ,,r: ^gSj
religieuses, et qui sont sainte Milburge, sai
drède et sainte Mllgithe..
MICHEL NAGAXIMA, jésuite japonais et niâfl),rl
entra dans la compagnie de Jésus et se Vj n
un zèle infatigable à la prédication de * el
Arrêté en 16*26, il souffrit de cruelles toi (lir«sj|
lassa par sa patience la fureur de ses bourre I;:¡rôl
passa ensuite une année en prison, sans q»° l'
songer à lui; mais en décembre 1637 on c 0ni»
songer à lui ; mais en
mença à le torturer avec un redoublement1
barie, et il ne mourut qu'après plusieurs J^
souffrances inouïes. Son frère et sa mère souîjyjfeiit
aussi la mort pour la foi peu de temps aPi è, el
MICHEL LE NOBLET (le vénérable), Pr®ll ei
missionnaire en Bretagne, naquit l'an 15i7 sor,
tait d'une famille noble du diocèse de Léon- g,aiit
entré dans l'état ccclésiastique, il donna, pc
près de quarante ans, des missions et fit dcs C;illI'
chisines dans les villes, mais surtout dans leS et sa
pagnes dont il fut l'apôtre. Ses iiisirtielioli s53
sainteté ramenèrent à Dieu un grand nombre do é.
chcurs, Il était âgé de soixante-quinze ans, *°
mourut le 5 mai 1K52, et sa mémoire est en S a,,jei
vénération parmi les Bretons. , était
MICHEL MI (le vénérable), martyr tong-ki^'5^ ar-
maire de la commune de Viiieli-Tri, lorsque at.
rêté et conduit dans la prison de Yi-lloang aveCpu-
toine Dich, son beâu-père et Jacques Nain, Prgir6
indigène. Antoine Dicli eut à subir de cruelles CJlIler-
ves, et sa résolution paraissait chanceler par l
vailes ; mais son gendre ranimait son courage P ( je
vives exhortations, t Mon père, lui disait-il-c lSl-jg
dérez votre âge, il ne vous laisse pas l'espéra0
jouir longtemps de la vie. Deux espèces de u|0r d(1UI
placées tout près devant vous, l'une naturelle» rIeS
les suites sont incertaines, l'autre donnée P:l les
persécuteurs, dont une éternité de doiiiiée
persécuteurs, dont une éternité de bonheur SCchuit
récompense. Comment donc balancer dans Clijj%
où le meilleur parti est si facile à connaître ? 51 ance,
permis de regretter la vie dans une telle circolis
c'est à moi, jeune encore et vigoureux, que ce
viendrait; cependant vous voyez que je l'ai)1'" j0uiiC
gaiement pour Dieu. Vos enfants sont tous £ .lll(|s
et honnêtement établis : vivant, vous leur êtes 1111011 el
mort martyr, vous leur serez un objet d'édific^'j^r
de gloire. Pour moi, je laisse une épouse à I., lieur
de son âge, avec quatre enfants encore illcapavi r\'oÍr
gagner leur vie; mais Dieu saura bien pOtl'rollS
a leurs besoins; et du haut du ciel où nous sc isL"
b i-
bientôt, nous les protégerons par nos prières., ¡ou'
ce la douleur des coups de verges qui vous j
vante? Ne craignez tien, mon père, je recevr.|)C-
votre place ceux que les mandarins vous 5011
ront, ) et il tint parole. Quoiqu'il eût reçu, pO q\l:I-
compte, plus de cinq cents coups de verges ci, qlla,
rame jours, quand on l'avait frappé, i. se re levait,
tout sanglant et sollicitait, comme une grâce, Jle sC
cevoir les coups destinés à son beau-pèrc; e,' SC'
couchant de nouveau, il essuyait avec joie i11!*3 gC.
conde flagellation. Sa femme et ses enfants rellt
le visiter plusieurs fois, l'exhortant chaquC 10 foi.
mourir courageusement plutôt que de renier sJ
Les mandarins le condamnèrent à mort avec s Je
beau-père et le père Nain, ses deux compag»0"
captivité. Le roi Minh Mênh, ayant confirme e„.
tence, elle fut exécutée le 12 août 1853. à
qu'on les conduirait au supplice, le bouireau
Michel : c Donne-moi cinq ligatures et je te cotl/faire
la tête d'un seul coup de sabre pour ne pas c0l,'(ajrete
la tête d'un seul coup de sabre pour lie pas le f
souffrir. - Cr)upe- la en cent coups, Si tu veus
pourvu que tu me la coupes, cela me suffit-1oU jt.l
j,)
ligatures, quoiffue je n'en manque pas chez n*0 ^jj
ne t'en donnerai point : j'aime mieux quo 06
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sent ans, elle fit le voyage de Rome, au sujet de
Mélanie la jeune, sa petite-fille, qui avait résolu, de
concert avec Pinien, son mari, de passer le reste de
ses jours dans la continence et la pratique des con-
seils de l'Evangile. Elle voulut se rendre auprès
d'elle pour la confirmer dans ces saintes résolutions.
S'étant embarquée à Césarée, elle aborda à Naples,
après vingt jours de navigation. Toute la noblesse
de Rome vint au-devant d'elle jusqu'à cette ville ;
mais ce brillant cortège, à la tête duquel elle fut
placée jusqu'à Rome, ne lui fit rien perdre de son
liumilité. Pendant le temps qu'elle passa en Occident,
elle fit un voyage en Afrique, et elle n'était pas en-
core de retour, lorsqu'elle apprit la mort de son fils
Publicola, père de Mélanie. Arrivée à Home, elle dé-
cida sa petite-fille et Pinien, son mari, à vendre
leurs grands biens pour en distribuer le prix aux
pauvres, et à se fixer dans une retraite éloignée de
Rome. Albine Avite, sa nièce, et Aibine, veuve de
Pubîicola, imitèrent cet exemple. Tout le monde ad-
mirait à Rome ces illustres conversions. Comme
rien ne la retenait plus en Italie, elle se hâta de re-
tourner dans sa solitude. Rufin, qui l'avait accompa-
gnée. mourut en Sicile. Arrivée à Jérusalem, elle
distribua aux pauvres ce qui lui restait d'argent.
Elte mourut quarante jours après, l'an 410, âgée de
soixante sept ans. On lui a reproché d'avoir montré ,
pendant quelque temps, trop de chaleur pour Ori-
gèue, que Rufin défendait; mais les louanges que lui
ont données saint Augustin, saint Jérôme et saint
Paulin ne permettent pas de douter de ses vertus ni
de son orthodoxie. Le dernier de ces Pères, qui était
son proche parent, la qualifie de sainte femme.
MKLANCY (saint) est honoré dans le diocèse de
Viviers.
MELCn (sainl), Melchus, évêque d'Ardachadh,
dans le comté de Longfort en Irlande, succéda, sur
la fin du ve siècle, à saint Mel, son frère, et était
comme lui neveu de saint Patrice.
MELDEOC (saint), Meldeocus, était autrefois ho-
noré près de Vannes, en Bretagne.
MELLYN (saint) est patron d'une église dans le
pays de Cornouailles, en Aligleterre.
Al EM ESSE (sainte), Memessa, vierge, est mention-
née par Jocelin.
ME MOU (saint) est honoré à Bary, dans la
Pouille, où ses reliques furent mises sous un autel
avant l'année 1091.
MÉiNÉVOU (saint) est patron de lludl, près de
Joinville.
MElUîOD (le bienheureux), prêtre et martyr, sortait
d'une illustre famille et était, à ce que l'on croit,
frère d'Ulrich, comte de Bregeniz. Il quitta le
monde pour se faire religieux dans l'abbaye de Mer-
crau, au diocèse de Constance, où il se distingua par
sa ferveur et ses austérités. Mais le désir d'une plus
grande perfection le porta à se retirer, avec la per-
mission de ses supérieurs, dans une forêt voisine, où
il se construisit une cellule. Le soin de sa propre
sanctification ne l'empêchait pas !le se livrer avec
zèle à l'instruction des ignorants, à la conversion
-des pécheurs et à l'extirpation des vices qui désho-
noraient les populations dont il était environné. Le
Seigneur daigna bénir ses efforts; mais ses remon-
trances irritèrent quelques scélérats, qui l'assassinè-
rent dans sa solitude, vers l'an 1129. Son corps fut
inhumé à Alberswende et son tombeau .a été illustré
par plusieurs miracles : aussi IiL-on son nom dans
quelques calendriers sous le 23 mars, qui paraît être
le jour de sa mort.
MESSELLN (saint), Messolinus, prêtre de Tarbes,
est loué par saint Grégoire de Tours. La ville de
Tarbes faisait autrefois une procession le 24 de mai
pour remercier Dieu de la délivrance qu'elle avait
obtenue par les prières et l'intercession de ce saint
qu'elle honore comme son patron.
MEUVIN (saint), Mervinus, moine en Angleterre,
était fils du prince Merwald et petit-fils d
roi des Merciens. il quitta la cour et le '||0 r
entrer dans un monastère, et il mourut sur i., aJlssi
vue siècle. Il avait trois sœurs qui se ,,r: ^gSj
religieuses, et qui sont sainte Milburge, sai
drède et sainte Mllgithe..
MICHEL NAGAXIMA, jésuite japonais et niâfl),rl
entra dans la compagnie de Jésus et se Vj n
un zèle infatigable à la prédication de * el
Arrêté en 16*26, il souffrit de cruelles toi (lir«sj|
lassa par sa patience la fureur de ses bourre I;:¡rôl
passa ensuite une année en prison, sans q»° l'
songer à lui; mais en décembre 1637 on c 0ni»
songer à lui ; mais en
mença à le torturer avec un redoublement1
barie, et il ne mourut qu'après plusieurs J^
souffrances inouïes. Son frère et sa mère souîjyjfeiit
aussi la mort pour la foi peu de temps aPi è, el
MICHEL LE NOBLET (le vénérable), Pr®ll ei
missionnaire en Bretagne, naquit l'an 15i7 sor,
tait d'une famille noble du diocèse de Léon- g,aiit
entré dans l'état ccclésiastique, il donna, pc
près de quarante ans, des missions et fit dcs C;illI'
chisines dans les villes, mais surtout dans leS et sa
pagnes dont il fut l'apôtre. Ses iiisirtielioli s53
sainteté ramenèrent à Dieu un grand nombre do é.
chcurs, Il était âgé de soixante-quinze ans, *°
mourut le 5 mai 1K52, et sa mémoire est en S a,,jei
vénération parmi les Bretons. , était
MICHEL MI (le vénérable), martyr tong-ki^'5^ ar-
maire de la commune de Viiieli-Tri, lorsque at.
rêté et conduit dans la prison de Yi-lloang aveCpu-
toine Dich, son beâu-père et Jacques Nain, Prgir6
indigène. Antoine Dicli eut à subir de cruelles CJlIler-
ves, et sa résolution paraissait chanceler par l
vailes ; mais son gendre ranimait son courage P ( je
vives exhortations, t Mon père, lui disait-il-c lSl-jg
dérez votre âge, il ne vous laisse pas l'espéra0
jouir longtemps de la vie. Deux espèces de u|0r d(1UI
placées tout près devant vous, l'une naturelle» rIeS
les suites sont incertaines, l'autre donnée P:l les
persécuteurs, dont une éternité de doiiiiée
persécuteurs, dont une éternité de bonheur SCchuit
récompense. Comment donc balancer dans Clijj%
où le meilleur parti est si facile à connaître ? 51 ance,
permis de regretter la vie dans une telle circolis
c'est à moi, jeune encore et vigoureux, que ce
viendrait; cependant vous voyez que je l'ai)1'" j0uiiC
gaiement pour Dieu. Vos enfants sont tous £ .lll(|s
et honnêtement établis : vivant, vous leur êtes 1111011 el
mort martyr, vous leur serez un objet d'édific^'j^r
de gloire. Pour moi, je laisse une épouse à I., lieur
de son âge, avec quatre enfants encore illcapavi r\'oÍr
gagner leur vie; mais Dieu saura bien pOtl'rollS
a leurs besoins; et du haut du ciel où nous sc isL"
b i-
bientôt, nous les protégerons par nos prières., ¡ou'
ce la douleur des coups de verges qui vous j
vante? Ne craignez tien, mon père, je recevr.|)C-
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ront, ) et il tint parole. Quoiqu'il eût reçu, pO q\l:I-
compte, plus de cinq cents coups de verges ci, qlla,
rame jours, quand on l'avait frappé, i. se re levait,
tout sanglant et sollicitait, comme une grâce, Jle sC
cevoir les coups destinés à son beau-pèrc; e,' SC'
couchant de nouveau, il essuyait avec joie i11!*3 gC.
conde flagellation. Sa femme et ses enfants rellt
le visiter plusieurs fois, l'exhortant chaquC 10 foi.
mourir courageusement plutôt que de renier sJ
Les mandarins le condamnèrent à mort avec s Je
beau-père et le père Nain, ses deux compag»0"
captivité. Le roi Minh Mênh, ayant confirme e„.
tence, elle fut exécutée le 12 août 1853. à
qu'on les conduirait au supplice, le bouireau
Michel : c Donne-moi cinq ligatures et je te cotl/faire
la tête d'un seul coup de sabre pour ne pas c0l,'(ajrete
la tête d'un seul coup de sabre pour lie pas le f
souffrir. - Cr)upe- la en cent coups, Si tu veus
pourvu que tu me la coupes, cela me suffit-1oU jt.l
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