Titre : Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris
Auteur : Paris. Auteur du texte
Auteur : Seine. Auteur du texte
Auteur : Paris (Département / 1975-....). Auteur du texte
Éditeur : Imprimerie municipale (Paris)
Date d'édition : 1895-03-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343512457
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 240410 Nombre total de vues : 240410
Description : 26 mars 1895 26 mars 1895
Description : 1895/03/26 (A14,N82). 1895/03/26 (A14,N82).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse Collection numérique : Bibliographie de la presse
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62913060
Source : Ville de Paris / Bibliothèque de l'Hôtel de Ville (BHdV), 2012-46765
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 05/08/2013
BULLETIN MUNICIPAL OFFICIEL du mardi 26 mars 1895. 799
de l'établissement pour lequel son équipe tra-
vaille.
« Vous trouverez, Messieurs, jointe au dos-
sier, sous le titre « Instruction pour l'exécu-
tion des travaux de peinture en régie », un
tournent donnant les renseignements les plus
détaillés sur l'organisation des travaux, les
fonctions et la responsabilité du conducteur. »
J'appelle sur le paragraphe suivant 'toute
l'attention du Conseil :
« Au double point de vue de la rapidité et
de la qualité du travail, le système a donné de
Dons résultats, les rapports des architectes
Sont unanimes à cet égard. »
M. Lerolle. — Je crois que la plupart des
j^einbres du Conseil ne suivent les explica-
pons de M. le Rapporteur. La quetion est très
^Portante : elle méritait, je crois, un rapport
écrit.
M. Navarre, rapporteur. — Si je ne n'ai
Pas fait de rapport écrit, c'est que la question
a déjà été longuement étudiée par le Conseil.
Je continue la citation :
« Comme conséquences financières, je dois
l'econnaître que nous n'avons pas eu une dé-
pose inférieure à celle que nous aurait occa-
sionnée le travail par l'entreprise, mais, à dé-
pense égale, nous devons considérer l'expé-
, rience des six années écoulées comme con-
tante, puisque, comme je viens de le dire, le
r,avail est meilleur et l'exécution plus ra-
pide. »
Comme conclusion, nous demandons que le
Conseil reprenne sa délibération du 2 mai
1888 et invite le Bureau à se .- mettre de nou-
eau en rapport avec les députés de Paris et
a Commission du travail. Depuis la dernière
Prévue entre le Bureau du Conseil munici-
pal et la Commission du travail, l'arrêt du
Coilseil d'Etat est intervenu.
,^e Bureau devrait demander à la Commis-
i°n de faire insérer les clauses des conditions
d" travail dans les cahiers des charges des
travaux municipaux de la ville de Paris : Elle
est saisie en effet d'un projet de loi de M.
Y Allant sur les travaux communaux pour
\lte la France. Quand nous nous sommes
Présentés devant elle, quelques-uns de ses
ambres ont fait observer qu'il était impossi-
6 d'admettre ces clauses pour toute la France
et qu',ainsi le projet de loi de M. Vaillant ne
Wait pas aboutir.
p Ainsi, tantôt on invoque contre la ville de
p arlS sa situation spéciale, son importance,
a Qualité de capitale pour lui dénier le droit
Qiinun ; tantôt, au contraire, quand nous
oaandons une loi spéciale pour la ville de
p '%lis) on nous répond qu'on ne peut faire pour
•p a"s me loi spéciale.
foi a donc là ou aberration ou mauvaise
el Le Conseil doit donc voter à nouveau les
clallses et conditions à inscrire dans les ca-
ers des charges.
le En Ce moment, en effet, il n'en reste rien ;
et %vernement a annulé nos délibérations
le Conseil d'Etat a confirmé le décret contre
luel nous nous étions pourvus.
Il faut dqnc, avant que le projet de M. Vail-
lant soit soumis à la Chambre, que nousmain-
J IOns nos revendications complètes.
j 6 vous propose, en conséquence, d'adopter
les conclusions suivantes de la Commission du
ia^ail ;
« Le Conseil
* Maintient intégralement les termes de la
délibération du 2 mai 1888 et invite le Bureau
à se mettre en rapport avec les représentants
de Paris et la Commission du travail, à la
Chambre des députés, pour faire accepter par
le Parlement, dans leur intégralité, les clauses
et conditions du travail votées par le Conseil
municipal, en vue de l'exécution des travaux
sur les chantiers communaux de la ville de
Paris. »
Adopté (1894; C. 1352).
Renvoi à la 5e Commission d'une de-
mande de souscription à un ouvrage
de M. le docteur Marcel Baudouin.
M. Deschamps. — Messieurs, je dépose
sur le bureau du Conseil un exemplaire d'un
ouvrage de M. le docteur Marcel Baudouin
intitulé : « Quelques remarques sur les hôpi-
taux des États-Unis ».
Je demande le renvoi de cet ouvrage à la
5e Commission, pour souscription.
Le renvoi à la 58 Commission est prononcé.
Allocation d'une bourse d'internat
au jeune Lalant, élève du lycée
Henri IV.
M. Bellan, au nom de la 4è Commission.
— Nous-avons été saisis d'une pétition de M.
Lalant, sollicitant une bourse d'internat en
faveur de son fils aîné, élève au lycée
Henri IV. La situation du pétitionnaire, père
ee sept enfants, est particulièrement digne
d'intérêt; de plus le jeune Lalant (Adrien), déjà
titulaire d'une démi-bourse communale, est
un excellent sujet qui, par sa bonne conduite
et son application au travail, mérite la faveur
qne vous voudrez bien lui accorder, en votant
une somme de 750 francs pour parfaire le
montant de la pensions entière.
Nous vous proposons donc, Messieurs, d'a-
dopter un projet de délibération conforme à
ces conclusions en y joignant les frais exigés
pour le trousseau et s'élevant à 650 francs.
Les conclusions de la Commission sont
adoptées (1895 ; P. 287).
Question de M. Bellan sur les travaux
en cours à l'école maternelle rue de
la Jussienne.
M. Bellan. —Je désire appeler l'attention
de M. l'inspecteur général des services d'Ar-
chitecture sur les conditions dans lesquelles
sont construites nos écoles: Dans une de celles
de mon quartier, rue de la Jussienne, la rup-
ture de conduites d'eau avait nécessité l'année
dernière une réparation importante. Un acci-
dent semblable vient de se produire et a né-
cessité encore de grands travaux.
Ces ruptures proviennent du tassement des
terres et il semble que l'on pourrait y remé-
dier en construisant des murs sous les con-
duites. Cette observation est d'autant, plus
importante à mon avis que de nombreuses.
constructions d'écoles vont être entreprises.
Un deuxième point sur lequel je veux appe-
ler l'attention, c'est la façon dont sont con-
struits les cabinets d'aisances dans la partie
du même bâtiment qui est affectée à l'école
maternelle. On y avait placé des sièges trop
grands et qui ont été remplacés par d'autres
sur lesquels il est encore impossible aux en-
fants de s'asseoir,
Je demande à l'Administration de remédier
à cet état de choses.
M. l'Inspecteur général des services
d'Architecture. — L'observation de M. Bel-
lan porte sur deux points : d'une part, sur
des travaux, peu importants d'ailleurs, qu'il
avait fallu exécuter par suite de rupture d'une
conduite d'eau à côté du cabinet d'aisances.
Pareille rupture s'est produite cette année à
la suite des gelées et a nécessité des répara-
tions peu coûteuses.
M. Bellan. — Mais pendant lesquelles il a
fallu installer des seaux hygiéniques.
M. l'Inspecteur général des services
d'Architecture. — Je le sais, puisque c'est
moi-même qui les y ait fait placer.
Quant à votre deuxième observation, elle
porte sur la manière dont les cabinets d'ai-
sances étaient installés dans l'école maternelle.
Les sièges qui existaient primitivement et
dans lesquels les enfants étaient encaissés
comme dans des boîtes ont été remplacés par
des sièges à lunette qui, je l'espère, rendront
les services qui en sont attendus.
L'école maternelle de la rue de la Jussienne
a été construite à une époque où l'on n'avait
pas encore, au point de vue de l'hygiène, réa-
lisé de grands progrès.
M. Bellan. — C'est fort bien en ce qui
concerne le passé, mais pour l'avenir ?
On ne peut, en effet, se servir de ces cabi-
nets. 1
M. l'Inspecteur général des services
d'Architecture. — Ils sont faits sur le mo-
dèle des cabinets de toutes les écoles.
Le Conseil est saisi d'un-projet de règlement
général pour les travaux à exécuter dans les
écoles. Lorsque ce règlement aura été approu-
vé, nous le mettrons à exécution.
L'incident est clos.
Renvoi au Bureau d'une proposition
de M. Caplain tendant au rétablisse-
ment de la promenade du bœuf gras.
M. Caplain. — Le succès de.la fête de la
Mi-Carême nous rappelle qu'autrefois la cor-
poration des bouchers donnait les jours gras
une fête qui procurait à la population pari-
sienne un divertissement fort goûté par elle.
Le Conseil doit favoriser tout ce qui doit ame-
ner à Paris un mouvement d'affaires dont tout
le monde profite.
La Ville trouve dans ces jours de fête un
boni considérable dans ses recettes d'octroi,
le commerce parisien y trouve un élément
d'affaires et la population démocratique de
Paris y trouve un plaisir à bon marché.
Je dépose donc la proposition suivante dont
je demande le renvoi au Bureau :
« Le Conseil
« Emet le vœu :
« Que la promenade du bœuf gras dans les
rues de Paris soit reprise les jours gras.
« Signé : Caplain, Caumeau. »
Je demande au Bureau de faire le nécessaire
au moment voulu pour se mettre en rapport
avec la Chambre syndicale de la boucherie.
Le renvoi au Bureau est prononcé.
Acquisition de divers ouvrages.
M. Piperaud, au nom de la -4e Commis-
sion. — Messieurs, votre 4e Commission a été
saisie de pétitions relatives à l'acquisition de
divers ouvrages :
de l'établissement pour lequel son équipe tra-
vaille.
« Vous trouverez, Messieurs, jointe au dos-
sier, sous le titre « Instruction pour l'exécu-
tion des travaux de peinture en régie », un
tournent donnant les renseignements les plus
détaillés sur l'organisation des travaux, les
fonctions et la responsabilité du conducteur. »
J'appelle sur le paragraphe suivant 'toute
l'attention du Conseil :
« Au double point de vue de la rapidité et
de la qualité du travail, le système a donné de
Dons résultats, les rapports des architectes
Sont unanimes à cet égard. »
M. Lerolle. — Je crois que la plupart des
j^einbres du Conseil ne suivent les explica-
pons de M. le Rapporteur. La quetion est très
^Portante : elle méritait, je crois, un rapport
écrit.
M. Navarre, rapporteur. — Si je ne n'ai
Pas fait de rapport écrit, c'est que la question
a déjà été longuement étudiée par le Conseil.
Je continue la citation :
« Comme conséquences financières, je dois
l'econnaître que nous n'avons pas eu une dé-
pose inférieure à celle que nous aurait occa-
sionnée le travail par l'entreprise, mais, à dé-
pense égale, nous devons considérer l'expé-
, rience des six années écoulées comme con-
tante, puisque, comme je viens de le dire, le
r,avail est meilleur et l'exécution plus ra-
pide. »
Comme conclusion, nous demandons que le
Conseil reprenne sa délibération du 2 mai
1888 et invite le Bureau à se .- mettre de nou-
eau en rapport avec les députés de Paris et
a Commission du travail. Depuis la dernière
Prévue entre le Bureau du Conseil munici-
pal et la Commission du travail, l'arrêt du
Coilseil d'Etat est intervenu.
,^e Bureau devrait demander à la Commis-
i°n de faire insérer les clauses des conditions
d" travail dans les cahiers des charges des
travaux municipaux de la ville de Paris : Elle
est saisie en effet d'un projet de loi de M.
Y Allant sur les travaux communaux pour
\lte la France. Quand nous nous sommes
Présentés devant elle, quelques-uns de ses
ambres ont fait observer qu'il était impossi-
6 d'admettre ces clauses pour toute la France
et qu',ainsi le projet de loi de M. Vaillant ne
Wait pas aboutir.
p Ainsi, tantôt on invoque contre la ville de
p arlS sa situation spéciale, son importance,
a Qualité de capitale pour lui dénier le droit
Qiinun ; tantôt, au contraire, quand nous
oaandons une loi spéciale pour la ville de
p '%lis) on nous répond qu'on ne peut faire pour
•p a"s me loi spéciale.
foi a donc là ou aberration ou mauvaise
el Le Conseil doit donc voter à nouveau les
clallses et conditions à inscrire dans les ca-
ers des charges.
le En Ce moment, en effet, il n'en reste rien ;
et %vernement a annulé nos délibérations
le Conseil d'Etat a confirmé le décret contre
luel nous nous étions pourvus.
Il faut dqnc, avant que le projet de M. Vail-
lant soit soumis à la Chambre, que nousmain-
J IOns nos revendications complètes.
j 6 vous propose, en conséquence, d'adopter
les conclusions suivantes de la Commission du
ia^ail ;
« Le Conseil
* Maintient intégralement les termes de la
délibération du 2 mai 1888 et invite le Bureau
à se mettre en rapport avec les représentants
de Paris et la Commission du travail, à la
Chambre des députés, pour faire accepter par
le Parlement, dans leur intégralité, les clauses
et conditions du travail votées par le Conseil
municipal, en vue de l'exécution des travaux
sur les chantiers communaux de la ville de
Paris. »
Adopté (1894; C. 1352).
Renvoi à la 5e Commission d'une de-
mande de souscription à un ouvrage
de M. le docteur Marcel Baudouin.
M. Deschamps. — Messieurs, je dépose
sur le bureau du Conseil un exemplaire d'un
ouvrage de M. le docteur Marcel Baudouin
intitulé : « Quelques remarques sur les hôpi-
taux des États-Unis ».
Je demande le renvoi de cet ouvrage à la
5e Commission, pour souscription.
Le renvoi à la 58 Commission est prononcé.
Allocation d'une bourse d'internat
au jeune Lalant, élève du lycée
Henri IV.
M. Bellan, au nom de la 4è Commission.
— Nous-avons été saisis d'une pétition de M.
Lalant, sollicitant une bourse d'internat en
faveur de son fils aîné, élève au lycée
Henri IV. La situation du pétitionnaire, père
ee sept enfants, est particulièrement digne
d'intérêt; de plus le jeune Lalant (Adrien), déjà
titulaire d'une démi-bourse communale, est
un excellent sujet qui, par sa bonne conduite
et son application au travail, mérite la faveur
qne vous voudrez bien lui accorder, en votant
une somme de 750 francs pour parfaire le
montant de la pensions entière.
Nous vous proposons donc, Messieurs, d'a-
dopter un projet de délibération conforme à
ces conclusions en y joignant les frais exigés
pour le trousseau et s'élevant à 650 francs.
Les conclusions de la Commission sont
adoptées (1895 ; P. 287).
Question de M. Bellan sur les travaux
en cours à l'école maternelle rue de
la Jussienne.
M. Bellan. —Je désire appeler l'attention
de M. l'inspecteur général des services d'Ar-
chitecture sur les conditions dans lesquelles
sont construites nos écoles: Dans une de celles
de mon quartier, rue de la Jussienne, la rup-
ture de conduites d'eau avait nécessité l'année
dernière une réparation importante. Un acci-
dent semblable vient de se produire et a né-
cessité encore de grands travaux.
Ces ruptures proviennent du tassement des
terres et il semble que l'on pourrait y remé-
dier en construisant des murs sous les con-
duites. Cette observation est d'autant, plus
importante à mon avis que de nombreuses.
constructions d'écoles vont être entreprises.
Un deuxième point sur lequel je veux appe-
ler l'attention, c'est la façon dont sont con-
struits les cabinets d'aisances dans la partie
du même bâtiment qui est affectée à l'école
maternelle. On y avait placé des sièges trop
grands et qui ont été remplacés par d'autres
sur lesquels il est encore impossible aux en-
fants de s'asseoir,
Je demande à l'Administration de remédier
à cet état de choses.
M. l'Inspecteur général des services
d'Architecture. — L'observation de M. Bel-
lan porte sur deux points : d'une part, sur
des travaux, peu importants d'ailleurs, qu'il
avait fallu exécuter par suite de rupture d'une
conduite d'eau à côté du cabinet d'aisances.
Pareille rupture s'est produite cette année à
la suite des gelées et a nécessité des répara-
tions peu coûteuses.
M. Bellan. — Mais pendant lesquelles il a
fallu installer des seaux hygiéniques.
M. l'Inspecteur général des services
d'Architecture. — Je le sais, puisque c'est
moi-même qui les y ait fait placer.
Quant à votre deuxième observation, elle
porte sur la manière dont les cabinets d'ai-
sances étaient installés dans l'école maternelle.
Les sièges qui existaient primitivement et
dans lesquels les enfants étaient encaissés
comme dans des boîtes ont été remplacés par
des sièges à lunette qui, je l'espère, rendront
les services qui en sont attendus.
L'école maternelle de la rue de la Jussienne
a été construite à une époque où l'on n'avait
pas encore, au point de vue de l'hygiène, réa-
lisé de grands progrès.
M. Bellan. — C'est fort bien en ce qui
concerne le passé, mais pour l'avenir ?
On ne peut, en effet, se servir de ces cabi-
nets. 1
M. l'Inspecteur général des services
d'Architecture. — Ils sont faits sur le mo-
dèle des cabinets de toutes les écoles.
Le Conseil est saisi d'un-projet de règlement
général pour les travaux à exécuter dans les
écoles. Lorsque ce règlement aura été approu-
vé, nous le mettrons à exécution.
L'incident est clos.
Renvoi au Bureau d'une proposition
de M. Caplain tendant au rétablisse-
ment de la promenade du bœuf gras.
M. Caplain. — Le succès de.la fête de la
Mi-Carême nous rappelle qu'autrefois la cor-
poration des bouchers donnait les jours gras
une fête qui procurait à la population pari-
sienne un divertissement fort goûté par elle.
Le Conseil doit favoriser tout ce qui doit ame-
ner à Paris un mouvement d'affaires dont tout
le monde profite.
La Ville trouve dans ces jours de fête un
boni considérable dans ses recettes d'octroi,
le commerce parisien y trouve un élément
d'affaires et la population démocratique de
Paris y trouve un plaisir à bon marché.
Je dépose donc la proposition suivante dont
je demande le renvoi au Bureau :
« Le Conseil
« Emet le vœu :
« Que la promenade du bœuf gras dans les
rues de Paris soit reprise les jours gras.
« Signé : Caplain, Caumeau. »
Je demande au Bureau de faire le nécessaire
au moment voulu pour se mettre en rapport
avec la Chambre syndicale de la boucherie.
Le renvoi au Bureau est prononcé.
Acquisition de divers ouvrages.
M. Piperaud, au nom de la -4e Commis-
sion. — Messieurs, votre 4e Commission a été
saisie de pétitions relatives à l'acquisition de
divers ouvrages :
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