Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-04-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 avril 1922 14 avril 1922
Description : 1922/04/14 (T20,N2030). 1922/04/14 (T20,N2030).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533995
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
D88
IttAII\ES ÉTRANGÈRES
N° 2030
Vendredi 14 avril 1922
Bolletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PBESSE ALLEMANDE. — La réponse de l'Alle-
magne à la commission des réparations
(ïranhfurter Zeitung). — La conférence
de Gênes : la séance d'ouverture (Georg
BeTnhard, dans Vossische Zeitung ;
Th. Wolff) dans Berliner Tageblatt;
Frankfurter Zeitung, Berliner Volks-
zeitung, Tœgliche Rundschau) ; la re-
présentation des puissances dans les
commissions (Frankfurter Zeitung).
PnESSE AMÉRICAINE. — Les dettes des alliés
aux Etats-Unis (Chicago Daily News).
^ESSE ANGLAISE.— La conférence de Gênes :
l? séance d'ouverture (Daily Herald) ;
Attitude de la Russie (Wickham Steed,
dans Times).
finESSE ESPAGNOLE. — La conférence de Gè-
nes : la séance d'ouverture (Diario
Cnivcrsal, Correspondencia Militar; Ra-
nçon de Olascoaga, dans Debate ; Ro-
vira y Virgili, dans Publicidad).
finESSE ITALIENNE. — La conférence de Gê-
nes : la séance d'ouverture (Tribtma,
Stampa; Goffredo Bellonci, dans Epoca).
PnESSE SUÉDOISE. — La Russie à Gênes :
(( L'avènement de l'Europe orientale »
(Social-Demokl"aten)..
'--- ob-
POLITIQUE GENERALE
'1,1.';
LES REPARATIONS
toLâ REPONSE DE L'ALLEMAGNE A LA
^®®V0SSXON DES REPARATIONS. —
c elldant qu'on parle à Gênes de paix et de
dOllfiance entre les peuples, certains milieux
Sa Paris méditent des projets de violence.
ans aucun doute, les rapports entre la
ance et l'Allemagne deviennent de plus
ço Wus tendus, sans aucun doute il faudra
Il 'uttr prochainement à une solution, soit
M8 le mauvais, soit dans le bon sens. Il
donc de notre devoir d'être tout à fait
toI' nos gardes et de tout fane pour enlever
Prétexte aux puissances désireuses que
lesehoses tournent mal. Il n'y a pas lieu
°*s de s'émouvoir pour l'instant. Car
en est pas encore à l'emploi de me-
* de violence, et, d'ailleurs, l'ensemble
n la situation générale actuelle se prête
» à leur émploi.
Le dernier motif de mécontentement
d \Iont les milieux de Paris leur est venu
c~~ réponse allemande à la note de la
Fission des réparations. Ce document
est bref. Il exprime l'opinion du Reichstag
et la volonté de tout le peuple allemand. On
y repousse sous une forme polie les tenta-
tives de la commission des réparations en
vue de s'immiscer dans la législation fis-
cale de l'Allemagne et de s'arroger un droit
de contrôle sur notre budget. La capacité
de prestation de l'Allemagne a diminué de-
puis janvier par suite de la nouvelle chute
d.u mark. Aussi demande-t-on un nouvel
examen de la décision du 31 mars, et cela
conformément à l'article 263. La note alle-
mande se place absolument sur le terrain
du traité de Versailles, dont nous pouvons
revendiquer toute la protection pourvu que
nous fassions notre possible pour mettre
nos finances en ordre. Mais, pour un vain-
queur dont l'orgueil est fort susceptible, il
est désagréable d'essuyer de la part d'un
vaincu un refus. (D'ailleurs pourquoi la
France ne montre-t-elle une telle susceptibi-
lité que lorsqu'il s'agit de refus allemand :
la commission des réparations n'a-t-elle
déjà pas essuyé des refus analogues de la
part de l'Autriche, de la Hongrie et récem-
ment encore de la Bulgarie ?) Dans leur ir-
ritabilité, les Français ne voient pas la
partie la plus importante de la réponse al-
lemande, c'est-à-dire l'offre de nouvelles né-
gociations orales. Par écrit il est parfois
difficile de tout exprimer et l'on risque de
parler sans s'entendre. De vive voix, il est
plus facile de se rendre compte du vrai
point de vue de l'interlocuteur. Voilà pour-
quoi l'Allemagne voudrait en ce moment ne
pas s'engager dans une longue discussion
écrite de la question des réparations et voilà
pourquoi elle offre des conversations orales.
On ne peut donc voir dans la brièveté de la
réponse allemande aucune impolitesse. On
prétend à Paris que nous avons envoyé no-
tre réponse juste à la veille de Gênes, afin
d'évoquer tout le litige des réparations de-
vant la conférence de Gênes. Or les faits
eux-mêmes contredisent cette assertion. Rap-
pelons l'information venue de Paris à- la
fin de la semaine dernière, disant que la
commission des réparation avait demandé
au gouvernement du Reich une prompte ré-
ponse à la note du 21 mars. Le désir de
connaître, avant la conférence de Gênes, le
point de vue de l'Allemagne dans la ques-
tion, est donc venu de Paris. Nous ne
croyons pas non plus que la délégation alle-
mande ait à Gênes l'intention d'évoquer de-
vant la conférence la question des répara-
tions. Cela serait une entreprise assez oi-
seuse étant donné l'attitude nette de la
France et les concessions faites à cet égard
à Poincaré par Lloyd George. Nous ne com-
prenons certes pas comment on pourra par-
ler à Gênes du rétablissement des changes
de l'Europe Centrale sans aborder égale-
ment la question des réparations. Mais, en
tout état de cause, il vaut mieux, pour nous,
laisser à d'autres l'initiative. Ce qui est
clair en tous cas, c'est que Paris s'émeut de
nouveau pour des choses qui ne corres-
pondent à aucune réalité.
FRANKFURTER ZEITUNG, 12.4.. soir
——— ———
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LA SEANCE D'OUVERTURE. — PRESSE
ALLEMANDE. — Sous le titre : « La conférence
sauvée ». — De Gênes, 10 avril: .La confé-
rence est sauvée. Et cela après une épreuve
telle que celle qui fut annoncée ici même il
y a quelques jours, mais que les principaux
participants à la conférence n'attendaient
pas ou même jugeaient impossible. Abor-
der avec ostentation la question du désar-
mement constitue une ignorance absolue -
des principes établis à Boulogne entre les
alliés, et cette ignorance — les Français-
devraient s'en rendre compte — ne fut pas
le fait personnel des Russes. Lloyd George;
qui avait collaboré à la rédaction des prin-
cipes de Boulogne, avait été mis dans la
confidence et la conclusion de son discours
d'apaisement visait plus à refréner un tem-
pérament qu'il avait lui-même poussé dans
cette voie qu'à réprimander le sens et le
contenu du discours de Tchitcherine. Par
là, la scène qui avait été préparée par un
habile régisseur aboutit à une défaite de
Barthou. Non point parce que la question
du désarmement qui n'avait pas été ins-
crite à l'ordre du jour parut sur le tapis,
non pas parce que l'Angleterre se fit ap-
plaudir par la majorité du congrès, mais
surtout parce que le pays de l' « Armée
Rouge », le pays du militarisme concentré,
aborda la question du désarmement dans
l'attente d'une réaction de la France. Mais
précisément parce que cette affaire est gro-
tesque : la Russie apôtre du désarmement,
la défaite de Barthou est plus grave ; il
n'a pas vu à temps le piège que lui tendait
le régisseur. S'il est vrai, comme on se le
raconte ici, que Poincaré a envoyé son
rival Barthou à Gênes pour le couler, son
projet a parfaitement réussi. En effet, quel
que soit l'effet produit par le ton fort de
Barthou sur les tenants de la politique du
poing d'acier en France, les Français qui
ont un jugement politique sain se deman-
deront pourquoi l'on a renversé Briand,
soi-disant trop faible contre Lloyd George,
si Barthou - l'homme des interpellations
anti-anglaises, à la Chambre — commence
par offrir à Lloyd George un incomparable
succès, dès le premier jour.
En effet, pour l'opinion, le chef de ce
congrès, c'est Lloyd George. Il a servi les
Russes qui devront de gré ou de force sou-
D88
IttAII\ES ÉTRANGÈRES
N° 2030
Vendredi 14 avril 1922
Bolletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PBESSE ALLEMANDE. — La réponse de l'Alle-
magne à la commission des réparations
(ïranhfurter Zeitung). — La conférence
de Gênes : la séance d'ouverture (Georg
BeTnhard, dans Vossische Zeitung ;
Th. Wolff) dans Berliner Tageblatt;
Frankfurter Zeitung, Berliner Volks-
zeitung, Tœgliche Rundschau) ; la re-
présentation des puissances dans les
commissions (Frankfurter Zeitung).
PnESSE AMÉRICAINE. — Les dettes des alliés
aux Etats-Unis (Chicago Daily News).
^ESSE ANGLAISE.— La conférence de Gênes :
l? séance d'ouverture (Daily Herald) ;
Attitude de la Russie (Wickham Steed,
dans Times).
finESSE ESPAGNOLE. — La conférence de Gè-
nes : la séance d'ouverture (Diario
Cnivcrsal, Correspondencia Militar; Ra-
nçon de Olascoaga, dans Debate ; Ro-
vira y Virgili, dans Publicidad).
finESSE ITALIENNE. — La conférence de Gê-
nes : la séance d'ouverture (Tribtma,
Stampa; Goffredo Bellonci, dans Epoca).
PnESSE SUÉDOISE. — La Russie à Gênes :
(( L'avènement de l'Europe orientale »
(Social-Demokl"aten)..
'--- ob-
POLITIQUE GENERALE
'1,1.';
LES REPARATIONS
toLâ REPONSE DE L'ALLEMAGNE A LA
^®®V0SSXON DES REPARATIONS. —
c elldant qu'on parle à Gênes de paix et de
dOllfiance entre les peuples, certains milieux
Sa Paris méditent des projets de violence.
ans aucun doute, les rapports entre la
ance et l'Allemagne deviennent de plus
ço Wus tendus, sans aucun doute il faudra
Il 'uttr prochainement à une solution, soit
M8 le mauvais, soit dans le bon sens. Il
donc de notre devoir d'être tout à fait
toI' nos gardes et de tout fane pour enlever
Prétexte aux puissances désireuses que
lesehoses tournent mal. Il n'y a pas lieu
°*s de s'émouvoir pour l'instant. Car
en est pas encore à l'emploi de me-
* de violence, et, d'ailleurs, l'ensemble
n la situation générale actuelle se prête
» à leur émploi.
Le dernier motif de mécontentement
d \Iont les milieux de Paris leur est venu
c~~ réponse allemande à la note de la
Fission des réparations. Ce document
est bref. Il exprime l'opinion du Reichstag
et la volonté de tout le peuple allemand. On
y repousse sous une forme polie les tenta-
tives de la commission des réparations en
vue de s'immiscer dans la législation fis-
cale de l'Allemagne et de s'arroger un droit
de contrôle sur notre budget. La capacité
de prestation de l'Allemagne a diminué de-
puis janvier par suite de la nouvelle chute
d.u mark. Aussi demande-t-on un nouvel
examen de la décision du 31 mars, et cela
conformément à l'article 263. La note alle-
mande se place absolument sur le terrain
du traité de Versailles, dont nous pouvons
revendiquer toute la protection pourvu que
nous fassions notre possible pour mettre
nos finances en ordre. Mais, pour un vain-
queur dont l'orgueil est fort susceptible, il
est désagréable d'essuyer de la part d'un
vaincu un refus. (D'ailleurs pourquoi la
France ne montre-t-elle une telle susceptibi-
lité que lorsqu'il s'agit de refus allemand :
la commission des réparations n'a-t-elle
déjà pas essuyé des refus analogues de la
part de l'Autriche, de la Hongrie et récem-
ment encore de la Bulgarie ?) Dans leur ir-
ritabilité, les Français ne voient pas la
partie la plus importante de la réponse al-
lemande, c'est-à-dire l'offre de nouvelles né-
gociations orales. Par écrit il est parfois
difficile de tout exprimer et l'on risque de
parler sans s'entendre. De vive voix, il est
plus facile de se rendre compte du vrai
point de vue de l'interlocuteur. Voilà pour-
quoi l'Allemagne voudrait en ce moment ne
pas s'engager dans une longue discussion
écrite de la question des réparations et voilà
pourquoi elle offre des conversations orales.
On ne peut donc voir dans la brièveté de la
réponse allemande aucune impolitesse. On
prétend à Paris que nous avons envoyé no-
tre réponse juste à la veille de Gênes, afin
d'évoquer tout le litige des réparations de-
vant la conférence de Gênes. Or les faits
eux-mêmes contredisent cette assertion. Rap-
pelons l'information venue de Paris à- la
fin de la semaine dernière, disant que la
commission des réparation avait demandé
au gouvernement du Reich une prompte ré-
ponse à la note du 21 mars. Le désir de
connaître, avant la conférence de Gênes, le
point de vue de l'Allemagne dans la ques-
tion, est donc venu de Paris. Nous ne
croyons pas non plus que la délégation alle-
mande ait à Gênes l'intention d'évoquer de-
vant la conférence la question des répara-
tions. Cela serait une entreprise assez oi-
seuse étant donné l'attitude nette de la
France et les concessions faites à cet égard
à Poincaré par Lloyd George. Nous ne com-
prenons certes pas comment on pourra par-
ler à Gênes du rétablissement des changes
de l'Europe Centrale sans aborder égale-
ment la question des réparations. Mais, en
tout état de cause, il vaut mieux, pour nous,
laisser à d'autres l'initiative. Ce qui est
clair en tous cas, c'est que Paris s'émeut de
nouveau pour des choses qui ne corres-
pondent à aucune réalité.
FRANKFURTER ZEITUNG, 12.4.. soir
——— ———
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LA SEANCE D'OUVERTURE. — PRESSE
ALLEMANDE. — Sous le titre : « La conférence
sauvée ». — De Gênes, 10 avril: .La confé-
rence est sauvée. Et cela après une épreuve
telle que celle qui fut annoncée ici même il
y a quelques jours, mais que les principaux
participants à la conférence n'attendaient
pas ou même jugeaient impossible. Abor-
der avec ostentation la question du désar-
mement constitue une ignorance absolue -
des principes établis à Boulogne entre les
alliés, et cette ignorance — les Français-
devraient s'en rendre compte — ne fut pas
le fait personnel des Russes. Lloyd George;
qui avait collaboré à la rédaction des prin-
cipes de Boulogne, avait été mis dans la
confidence et la conclusion de son discours
d'apaisement visait plus à refréner un tem-
pérament qu'il avait lui-même poussé dans
cette voie qu'à réprimander le sens et le
contenu du discours de Tchitcherine. Par
là, la scène qui avait été préparée par un
habile régisseur aboutit à une défaite de
Barthou. Non point parce que la question
du désarmement qui n'avait pas été ins-
crite à l'ordre du jour parut sur le tapis,
non pas parce que l'Angleterre se fit ap-
plaudir par la majorité du congrès, mais
surtout parce que le pays de l' « Armée
Rouge », le pays du militarisme concentré,
aborda la question du désarmement dans
l'attente d'une réaction de la France. Mais
précisément parce que cette affaire est gro-
tesque : la Russie apôtre du désarmement,
la défaite de Barthou est plus grave ; il
n'a pas vu à temps le piège que lui tendait
le régisseur. S'il est vrai, comme on se le
raconte ici, que Poincaré a envoyé son
rival Barthou à Gênes pour le couler, son
projet a parfaitement réussi. En effet, quel
que soit l'effet produit par le ton fort de
Barthou sur les tenants de la politique du
poing d'acier en France, les Français qui
ont un jugement politique sain se deman-
deront pourquoi l'on a renversé Briand,
soi-disant trop faible contre Lloyd George,
si Barthou - l'homme des interpellations
anti-anglaises, à la Chambre — commence
par offrir à Lloyd George un incomparable
succès, dès le premier jour.
En effet, pour l'opinion, le chef de ce
congrès, c'est Lloyd George. Il a servi les
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