Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 mars 1922 20 mars 1922
Description : 1922/03/20 (T20,N2008). 1922/03/20 (T20,N2008).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253377k
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
M'MSTÈRE
~B8
'tra^gères
N° 2008
Lundi 20 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ALLENIANDE. — Le contrôle allié en
orise d» J £ ïeuz~Zeitwri9, Tag). (i La
crise de 1905 (VosSische Zeilung).
nEsSE ICAINE' — Les Etats-Unis et la
('°nférfnde Gênes (New York Ame-
Conférence de Gênes (New Yor/i; Arne-
ri can). - La France et les sous-ma-
fias : l'a.ri,icle du commandant Castex
(New York Evcning Post).
SE ANGLAISE, - Le contrôle allié en
sion (DaHy News). - La répres-
Allemagne (Daily News). trique du Sud
des troubles dans l'Afrique du Sud
§ouvem feSS' Daily Le
(je L ernemenl. et la presse : un discours
de ord BUlTlham (Daily Telegraph). -
e Larri "Wrnham (Daily Telegraph). —
Le gOUvernement de L\llemagne
Il" SPAGNOLE. - L'accord financier du
S: ^'es frais d'occupation des
Ëtatoïrnis (A B C).
V E ITALlENNE- — La déclaration ministé-
vieille riU Cahinet Facta (Corriere della
sera)
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE oDE GÊNES
t'A
f?iu"DE DES ETATS-UNIS. -
lies d BEARST. es nations européen
e Urident avec insistance aux Etats-
tellee d enVoyer des délégués à la Conle-
reh e De, Gênes, Le Président invite les
Etats-Unis x 6nVOyer des délégués aux au-
le à envoYer des délégués aux au-
ùs etats-TTnis doivent-ils écouter ces
b ils f \T^ écouter ces
n. Pourquoi ?
qUelles 1 que toutes les conférences aux-
a es ^es Etats-Unis participent sont des
défaites diplo- matiques pour nous. des
A il C IPlornatiques pour nous.
<>n £ e- de Paris, qu'ont obtenu
!% S r,; Rien pour les Etats-Unis,
• En ont-ils obtenu pour les
W f^erre achl-vant la ruine du rival de
-s ;I[¡oy rre, ils ont donné à l'Angleterre
ete. d'établir sa suprématie com-
'ale en p
obOei^ ; l'Angletepre règne sur
^p11Ce liro éennes ! Les délégués ont
it>répapnKi à nos dépens, c'est une
?«lUtPas tout t POur la nation. Mais ce
ont obtenu d'autres ré-
hui l'p.
tqtg.. L'pnr°^e balkanisée en est au-
é Preuve. Et tout cela était des-
ti~~ à Qs,su rer le principal résultat : la
confirmation et la consolidation de la puis-
sance britannique.
A la Conférence de Washington les dé
légués américains continuèrent l'œuvre
commencée à Paris. Après avoir donné à
l'Angleterre la suprématie sur l'Atlantique,
ils lui donnèrent la suprématie sur le Pa-
cifique. En acceptant de limiter le tonnage
de sa marine, l'Amérique a donné le Paci-
fique aux Anglais. En acceptant officielle-
ment la division anglo-japonaise des ter-
ritoires du Pacifique, l'Amérique a sacrifié
le droit qui lui appartient de défendre son
commerce, ses possessions et sa politi-
que dans cet Océan. En acceptant enfin de
former l'arrière-garde militaire des agres-
seurs anglais et japonais en Extrême-
Orient, l'Amérique a sacrifié son prestige,
sa puissance, son commerce futur sur le
continent asiatique. Voilà ce qu'on fait les
délégués américains durant les trois der-
niers mois. Ils ont fait tout ce qui leur
était possible de faire pour donner à la
Grande-Bretagne la suprématie sur le
monde entier et pour la garantir contre la
rivalité américaine.
Qu'ont obtenu les délégués américains,
en retour ? Des promesses de paix et des
perspectives de guerres futures, notam-
ment une promesse relative à l'égalité de
traitement en Asie — promesse donnée
déjà à plusieurs reprises et aussi souvent
violée. Enfin, ils ont obtenu un contrat sur
papier et ce contrat veut dire que le peu-
ple américain peut, en adhérant à l'al-
liance anglo- japonaise et en acceptant ses
desseins en Asie, éviter d'être un jour
instrument qui les détruira.
Et maintenant que l'Amérique a été, au
cours de deux conférences, dépouillée de sa
politique et de ses aspirations, renvoyée
sans même recevoir un trophée, pendant
que la Grande-Bretagne emportait de butin
et maintenant qu'elle est battue et humi-
liée. que peut-elle encore donner? Que
peut-on lui prendre qui n'ait pas encore
été pris ? Bien des choses, pourrait-on
dire ? Mais nous n'en citerons qu'une : no-
tre supériorité quant à la richesse, aux
ressources générales, et à la stabilité fi-
nancière. Ceci est toujours la propriété du
peuple américain, et personne actuellement
ne peut le lui contester. — Mais voilà pré-
cisément ce que l'on convoite encore, après
tous les sacrifices, toutes les capitulations
de l'Amérique à Paris et à Washington !
Aux yeux des Anglais, nous n'avons plus
que notre puissance financière.
On invite donc le peuple américain, dé-
pouillé de tout le reste, à risquer ce tré-
sor que nous avons sauvé de la guerre.
On lui demande de le confier à ses délé-
gués qui pourront en user ou en abuser. On
lui demande de risquer, après deux capitu-
lations, -la source de sa grandeur et de sa
prospérité, de son indépendance et de son
bien-être. On nous demande de verser le
tribut de la timidité, de l'obéissance et de
l'humilité à une puissance qui s'empare
de tout ce que nous avons, mais qui ne
donne et ne rend nen à personne.
Quels sont donc les hommes auxquels on
pourrait confier cette tâche ? Nous ne les
voyons point parmi nos maîtres actuels ou
parmi ceux qui furent récemment nos
maîtres. Il y a des Américains loyaux,
intelligents, avisés. Mais on ne les a pas
choisis. On ne daignera pas leur confier
cette lourde tâche, cette responsabilité
qu'impose une conférence des nations.
A Paris, qu'ont fait pour l'Amérique les
Wilson, les Bliss, les White, les Lansing ?
Et qu'ont-ils fait pour l'Angleterre ? Lisez
le compte rendu, si vous pouvez réprimer
un sentiment de honte ! Qu'ont-ils fait, les
Hughes, les Root, les Lodge, les Under-
wood pour les Etats-Unis à Washington ?
Et qu'ont-ils fait pour l'Angleterre ? Lisez
le compte rendu encore une fois, et rou-
gissez de honte en songeant que ce sont là
des Américains.
Instruit par l'expérience, après avoir vu
ses délégués, ses représentants à l'œuvre,
après avoir vu leurs « performances » et
s'être rendu compte de la conception qu'ils
ont du devoir, après avoir assisté à ces sa-
crifices successifs sur l'autel de la supré-
matie britannique, le peuple américain doit-
il donc faire un nouvel effort, affronter le
péril d'un autre conseil des nations, risquer
un nouveau châtiment, accepter encore une
fois l'ordre qui lui sera donné de sacrifier
ses intérêts aux affaires mondiales ?
Après avoir été deux fois trahi, faut-il
que le peuple américain accepte de nou-
velles humiliations pour rendre encore
plus éclatante l'auréole de gloire d'une
puissance étrangère ? Notre réponse, la ré-
ponse de tous ceux qui peuvent encore en-
tendre les conseils de leur terre natale, la
voici : « N'y allons pas ! N'y allons pas ! , ■
Que les autres nations discutent, si elles le
veulent, mais nous, demeurons à l'écart !
Que les autres notions fassent des com-
promis, des sacrifices, si tel est leur désir.
L'Amérique, qui a fait tous les sacrifices et
accepté tous les compromis sans rien obte-
nir, demeurera à l'écart ! Que les autres
gouvernements fassent confiance à leurs
hommes d'Etat, s'il leur plaît ainsi. L'Amé-
rique, qui a fait confiance à ses hommes
d'Etat, et qui sait ce que cela lui coûte,
se tiendra à l'écart ! Il y a encore, dans le
patrimoine américain, un certain nombre
de choses qui n'ont pas été sacrifiées, et
que les autres convoitent. Tenons-nous donc
à l'écart. Encore une fois, n'y allons pas,
restons chez nous ! » — (Ed.)
NEW YORK AMERICAN, 27.2.
~B8
'tra^gères
N° 2008
Lundi 20 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ALLENIANDE. — Le contrôle allié en
orise d» J £ ïeuz~Zeitwri9, Tag). (i La
crise de 1905 (VosSische Zeilung).
nEsSE ICAINE' — Les Etats-Unis et la
('°nférfnde Gênes (New York Ame-
Conférence de Gênes (New Yor/i; Arne-
ri can). - La France et les sous-ma-
fias : l'a.ri,icle du commandant Castex
(New York Evcning Post).
SE ANGLAISE, - Le contrôle allié en
sion (DaHy News). - La répres-
Allemagne (Daily News). trique du Sud
des troubles dans l'Afrique du Sud
§ouvem feSS' Daily Le
(je L ernemenl. et la presse : un discours
de ord BUlTlham (Daily Telegraph). -
e Larri "Wrnham (Daily Telegraph). —
Le gOUvernement de L\llemagne
Il" SPAGNOLE. - L'accord financier du
S: ^'es frais d'occupation des
Ëtatoïrnis (A B C).
V E ITALlENNE- — La déclaration ministé-
vieille riU Cahinet Facta (Corriere della
sera)
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE oDE GÊNES
t'A
f?iu"DE DES ETATS-UNIS. -
lies d BEARST. es nations européen
e Urident avec insistance aux Etats-
tellee d enVoyer des délégués à la Conle-
reh e De, Gênes, Le Président invite les
Etats-Unis x 6nVOyer des délégués aux au-
le à envoYer des délégués aux au-
ùs etats-TTnis doivent-ils écouter ces
b ils f \T^ écouter ces
n. Pourquoi ?
qUelles 1 que toutes les conférences aux-
a es ^es Etats-Unis participent sont des
défaites diplo- matiques pour nous. des
A il C IPlornatiques pour nous.
<>n £ e- de Paris, qu'ont obtenu
!% S r,; Rien pour les Etats-Unis,
• En ont-ils obtenu pour les
W f^erre achl-vant la ruine du rival de
-s ;I[¡oy rre, ils ont donné à l'Angleterre
ete. d'établir sa suprématie com-
'ale en p
obOei^ ; l'Angletepre règne sur
^p11Ce liro éennes ! Les délégués ont
it>répapnKi à nos dépens, c'est une
?«lUtPas tout t POur la nation. Mais ce
ont obtenu d'autres ré-
hui l'p.
tqtg.. L'pnr°^e balkanisée en est au-
é Preuve. Et tout cela était des-
ti~~ à Qs,su rer le principal résultat : la
confirmation et la consolidation de la puis-
sance britannique.
A la Conférence de Washington les dé
légués américains continuèrent l'œuvre
commencée à Paris. Après avoir donné à
l'Angleterre la suprématie sur l'Atlantique,
ils lui donnèrent la suprématie sur le Pa-
cifique. En acceptant de limiter le tonnage
de sa marine, l'Amérique a donné le Paci-
fique aux Anglais. En acceptant officielle-
ment la division anglo-japonaise des ter-
ritoires du Pacifique, l'Amérique a sacrifié
le droit qui lui appartient de défendre son
commerce, ses possessions et sa politi-
que dans cet Océan. En acceptant enfin de
former l'arrière-garde militaire des agres-
seurs anglais et japonais en Extrême-
Orient, l'Amérique a sacrifié son prestige,
sa puissance, son commerce futur sur le
continent asiatique. Voilà ce qu'on fait les
délégués américains durant les trois der-
niers mois. Ils ont fait tout ce qui leur
était possible de faire pour donner à la
Grande-Bretagne la suprématie sur le
monde entier et pour la garantir contre la
rivalité américaine.
Qu'ont obtenu les délégués américains,
en retour ? Des promesses de paix et des
perspectives de guerres futures, notam-
ment une promesse relative à l'égalité de
traitement en Asie — promesse donnée
déjà à plusieurs reprises et aussi souvent
violée. Enfin, ils ont obtenu un contrat sur
papier et ce contrat veut dire que le peu-
ple américain peut, en adhérant à l'al-
liance anglo- japonaise et en acceptant ses
desseins en Asie, éviter d'être un jour
instrument qui les détruira.
Et maintenant que l'Amérique a été, au
cours de deux conférences, dépouillée de sa
politique et de ses aspirations, renvoyée
sans même recevoir un trophée, pendant
que la Grande-Bretagne emportait de butin
et maintenant qu'elle est battue et humi-
liée. que peut-elle encore donner? Que
peut-on lui prendre qui n'ait pas encore
été pris ? Bien des choses, pourrait-on
dire ? Mais nous n'en citerons qu'une : no-
tre supériorité quant à la richesse, aux
ressources générales, et à la stabilité fi-
nancière. Ceci est toujours la propriété du
peuple américain, et personne actuellement
ne peut le lui contester. — Mais voilà pré-
cisément ce que l'on convoite encore, après
tous les sacrifices, toutes les capitulations
de l'Amérique à Paris et à Washington !
Aux yeux des Anglais, nous n'avons plus
que notre puissance financière.
On invite donc le peuple américain, dé-
pouillé de tout le reste, à risquer ce tré-
sor que nous avons sauvé de la guerre.
On lui demande de le confier à ses délé-
gués qui pourront en user ou en abuser. On
lui demande de risquer, après deux capitu-
lations, -la source de sa grandeur et de sa
prospérité, de son indépendance et de son
bien-être. On nous demande de verser le
tribut de la timidité, de l'obéissance et de
l'humilité à une puissance qui s'empare
de tout ce que nous avons, mais qui ne
donne et ne rend nen à personne.
Quels sont donc les hommes auxquels on
pourrait confier cette tâche ? Nous ne les
voyons point parmi nos maîtres actuels ou
parmi ceux qui furent récemment nos
maîtres. Il y a des Américains loyaux,
intelligents, avisés. Mais on ne les a pas
choisis. On ne daignera pas leur confier
cette lourde tâche, cette responsabilité
qu'impose une conférence des nations.
A Paris, qu'ont fait pour l'Amérique les
Wilson, les Bliss, les White, les Lansing ?
Et qu'ont-ils fait pour l'Angleterre ? Lisez
le compte rendu, si vous pouvez réprimer
un sentiment de honte ! Qu'ont-ils fait, les
Hughes, les Root, les Lodge, les Under-
wood pour les Etats-Unis à Washington ?
Et qu'ont-ils fait pour l'Angleterre ? Lisez
le compte rendu encore une fois, et rou-
gissez de honte en songeant que ce sont là
des Américains.
Instruit par l'expérience, après avoir vu
ses délégués, ses représentants à l'œuvre,
après avoir vu leurs « performances » et
s'être rendu compte de la conception qu'ils
ont du devoir, après avoir assisté à ces sa-
crifices successifs sur l'autel de la supré-
matie britannique, le peuple américain doit-
il donc faire un nouvel effort, affronter le
péril d'un autre conseil des nations, risquer
un nouveau châtiment, accepter encore une
fois l'ordre qui lui sera donné de sacrifier
ses intérêts aux affaires mondiales ?
Après avoir été deux fois trahi, faut-il
que le peuple américain accepte de nou-
velles humiliations pour rendre encore
plus éclatante l'auréole de gloire d'une
puissance étrangère ? Notre réponse, la ré-
ponse de tous ceux qui peuvent encore en-
tendre les conseils de leur terre natale, la
voici : « N'y allons pas ! N'y allons pas ! , ■
Que les autres nations discutent, si elles le
veulent, mais nous, demeurons à l'écart !
Que les autres notions fassent des com-
promis, des sacrifices, si tel est leur désir.
L'Amérique, qui a fait tous les sacrifices et
accepté tous les compromis sans rien obte-
nir, demeurera à l'écart ! Que les autres
gouvernements fassent confiance à leurs
hommes d'Etat, s'il leur plaît ainsi. L'Amé-
rique, qui a fait confiance à ses hommes
d'Etat, et qui sait ce que cela lui coûte,
se tiendra à l'écart ! Il y a encore, dans le
patrimoine américain, un certain nombre
de choses qui n'ont pas été sacrifiées, et
que les autres convoitent. Tenons-nous donc
à l'écart. Encore une fois, n'y allons pas,
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