Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 février 1922 14 février 1922
Description : 1922/02/14 (T20,N2003). 1922/02/14 (T20,N2003).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253372h
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
t~?STË~
~? %s ^TRANGÈRESi?Tî)
-
N° 2008
Mardi 14 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
sommaire
PRESSE AtLEMANDE. - La Conférence de
\leg , , B de
"er .,' e r-efus des Etats-Unis (Berli-
<'Cr">ania]°)latf' Fran^lurt('r Zeitung,
PRESSE AMERICAINE .- M H larve y et !e Sé-
J^t ; u6 Grna|ide de rappel (Nciu York
Times) demrinde de l'appel (New Y'or/.
PRESSE: A\GI IS E" Eu Conférence de Gênes:
'e refus , s Etats-Unis (Daily Chro-
refus des Etats-Unis (Daily Chro-
'~) ~o CC0rd financier du 11 mars :
H fra;„ ,OGcdpation des Etats-Unis
nai; y Chronicle, Westminster Gazette,
~, ij
\J, {Ir fJel"ald). - La démission de
~tonf~" : la situation de lord Rea-
ditig (AIOIniiig Post, Daily Telegraph,
^Uii fli r,>nicle' Westminster Gazette,
fi nJ.:SS!o' il fJerald).
~e~- - La Conférence de
[.'rets : le refus des Etats-Unis (Neue
hreie n, 7esse, Deiitsches Volksblatt).
\;SS) ¡
dl¡', rH.LANDAISE. — L'accord financier
Il Urnnrsr : les frais d'occupation des
'0s ^ra's d'occupation des
PRESSE ITALIENNE.- La Conférence de Gê-
1tNF" - La Conférence de Gê-
!l°s : lo° fus des Etats-Unis (Mondo) ;
r'f!nc0 e, le pl'Ogramme de la Confé-
IQTJE GENERALE
LA - 1
tt: CONFÉRENCE DE GÊNES
DES ETATS-UNIS. - PRESSE
fi¡ ~nt -- yfl George a pensé sauver
; e'l'ence, dont il avait besoin notam-
iw lX»iip €s dessems. de politique inté-
f aisUt des concessions à Poin-
9 nationalistes français. Il n'a
bo Sailvé dn
1 et chacun sait que,
: Vaf'0ri amô 1^^6' €t cliacun sait que,
; e' la, Conférence ne peut
fet ou au moins elle ne peut avoir d'ef-
! SH dOlltle e la déclaration américaine le
as f clairement à entendre, il
Pr tqit «icorre e.s.sayer d'obtenir un chan-
1 V de hr°gmmme- On peut se deman-
• aura le courage d'affronter la
j e ec Une demande de ce genre; ce-
pendant on n e Peilt méconnaître que la dé-
f> peut méconnaître que la dé-
11'1: .Caine Ini donne même contre
^igp^Caré' Uf moyen de pression non né-
gr f Pp
re serait-il opportun pour
ment allemand de faire preuve
!
de quelque activité en cet état des choses.
Peut-être se console-t-on en France de la
leçon contenue dans la déclaration rte
Washington en songeant que, grâce au ciel,
la désagréable conférence est à nouveau
menacée mais, à la longue, l'expérience
apprendra que ces petites satisfactions fi-
nissent par aboutir à une situation funeste.
BERLINER TAGEBLATT,
10.3 soir.
— Le refus de l'Amérique d'aller à Gê-
nes devrait constituer une leçon pour l'Eu-
rope. Il ne sert de rien de se tenir oisifs
au bord de l'Atlantique à attendre l'aide qui
doit venir de l'autre bord. Les peuples d'Eu-
rope doivent teinter par eux-mêmes de met-
tre de l'ordre dans leur maison et alors,
l'aide américaine viendra d'elle-même. La
leçon s'adresse à tous, mais particulière-
ment à nous ert au pays avec lequel nous
avons le plus de rapports : la France. Les
relations franco-allemandes tournent dans
un cercle. Le peuple allemand comprend
parfaitement que les bases de la politique
française sont : garantie et réparation.
Pourtant, la France poursuit ses desseins
dans un esprit qui l'éloigne de leur réali-
sation. Il nous importe de comprendre ce
que la France désire, mais c'est à la France
de trouver les moyens adéquats.
FRANKFURTER ZEITUNG,
12.3 1re matin.
— Le refus des Etats-Unis ne constitue
pas, on le comprend, un avantage pour la
Conférence. On doit déplorer extrêmement,
au contraire, que la plus grande puissance
économique du monde ne participe pas aux
négociations de Gênes. La Conférence con-
serve pourtant sa signification. Nous avons
déjà déclaré, après l'entrevue de Boulogne,
que le principal était de continuer d'échan-
ger des vues sur la reconstruction économi-
que, bien que l'on ne dùt rien attendre de
la conversation de Gênes. Cette vérité vaut
encore maintenant : nous attendons de la
Conférence de Gênes qu'elle permette de
reprendre la marche en avant, après le re-
cul marqué en janvier.
Le Dr Rathenau avait pleinement raison
de mettre en garde contre la tendance qui
consiste à rabaisser l'importance de la reu-
nion où se discuteront les causes générales
de la crise mondiale et il avait encore rai-
son de ne considérer Gênes que comme 1a
première étape d'une série de conférences.
Espérons que l'Amérique pourra participer
à ces conférences. Ce pourrait être,
croyons-nous, la suite logique de sa démar-
che actuelle qui, selon la Chicago Tribune,
est considérée, à Washington, comme le
début d'une campagne « de pression dis-
crète sur l'Europe ». Ces conférences qui
suivront la réunion de Gênes ne pourront
négliger les questions que l'on exclue au-
jourd'hui des délibérations. Ceci s'applique
avant tout au problème des réparations
mais aussi à la question du désarmement
contre laquelle le militarisme français se
défend encore aujourd'hui.
GERMANIA, 11.3 1re édit. matin.
PRESSE AUTRICHIENNE. — L'Amérique ne
veut pas participer à une parodie de Confé-
rence où précisément les questions essen-
tielles qui dominent tout ne sont pas trai-
tées, où les délégués se présentent avec un
cadenas sur la bouche, où les vainqueurs
fixent l'objet de la délibération et où l'on es-
camote le problème véritable. Des médecins
examinent l'état d'un malade, mais il leur
est inlerdit sous peine de mort d'indiquer ce
qui lui manque et encore moins d'employer
le seul remède qui puisse le sauver de a
modo
Dans ces conditions, le refus de l'Amérique
n a rien de surprenant, il est la conséquence de
la politique des Alliés depuis la guerre.
Nous regrettons l'abstention de l'Améri-
que parce qu'une participation sous certai-
nés conditions aurait eu peut-être des ré-
sultats plus rapides. Mais cet avertisse-
ment grave à l'Entente ne peut qu'être en-
tendu, car, sans l'Amérique, ni l'Allemagne
ni la llussie ne peuvent être sauvées et,
sans le rétablissement de ces deux pays,
la crise ne peut être résolue. Une ruine ca-
pitaliste ne peut être conjurée que par les
remèdes du capital, qui sont : le rétablisse-
ment de la confiance, la solidarité d'inté-
rêts entre les nations et la reconnaissance
de la communauté intellectuelle et écono-
mique. Tant que ces principes n'auront pas
triomphé, ni l'Europe, ni le monde entier,
ne pourront se tirer d'affaire.
NEUE FREIE PRESSE, 11.3 matin.
L'attitude de la France à la Conférence de
Washington lui a fait perdre beaucoup de sym-
pathies en Amérique ; le « sabotage » de la
Conférence de Gênes par M. Poincaré aboutit au
même résultat.
Avec une franchise louable M. Hughes,
secrétaire d'Etat américain, dans une note
adressée à l'ambassadeur italien Ricci.
cloue au pilori cette manœuvre criminelle
du gouvernement français.
DEUTSCHES VOLKSBLA TT
[de Vienne], 11.3.
PHESSE ITALIENNE. — Le gouvernement des
Etats-Unis s'abstient de participer officiel-
lement à Gènes pour ne pas être « impliqué
dans des questions qui intéressent la poli-
tique européenne. »
~? %s ^TRANGÈRESi?Tî)
-
N° 2008
Mardi 14 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
sommaire
PRESSE AtLEMANDE. - La Conférence de
\leg , , B de
"er .,' e r-efus des Etats-Unis (Berli-
<'Cr">ania]°)latf' Fran^lurt('r Zeitung,
PRESSE AMERICAINE .- M H larve y et !e Sé-
J^t ; u6 Grna|ide de rappel (Nciu York
Times) demrinde de l'appel (New Y'or/.
PRESSE: A\GI IS E" Eu Conférence de Gênes:
'e refus , s Etats-Unis (Daily Chro-
refus des Etats-Unis (Daily Chro-
'~) ~o CC0rd financier du 11 mars :
H fra;„ ,OGcdpation des Etats-Unis
nai; y Chronicle, Westminster Gazette,
~, ij
\J, {Ir fJel"ald). - La démission de
~tonf~" : la situation de lord Rea-
ditig (AIOIniiig Post, Daily Telegraph,
^Uii fli r,>nicle' Westminster Gazette,
fi nJ.:SS!o' il fJerald).
~e~- - La Conférence de
[.'rets : le refus des Etats-Unis (Neue
hreie n, 7esse, Deiitsches Volksblatt).
\;SS) ¡
dl¡', rH.LANDAISE. — L'accord financier
Il Urnnrsr : les frais d'occupation des
'0s ^ra's d'occupation des
PRESSE ITALIENNE.- La Conférence de Gê-
1tNF" - La Conférence de Gê-
!l°s : lo° fus des Etats-Unis (Mondo) ;
r'f!nc0 e, le pl'Ogramme de la Confé-
IQTJE GENERALE
LA - 1
tt: CONFÉRENCE DE GÊNES
DES ETATS-UNIS. - PRESSE
fi¡ ~nt -- yfl George a pensé sauver
; e'l'ence, dont il avait besoin notam-
iw lX»iip €s dessems. de politique inté-
f aisUt des concessions à Poin-
9 nationalistes français. Il n'a
bo Sailvé dn
1 et chacun sait que,
: Vaf'0ri amô 1^^6' €t cliacun sait que,
; e' la, Conférence ne peut
fet ou au moins elle ne peut avoir d'ef-
! SH dOlltle e la déclaration américaine le
as f clairement à entendre, il
Pr tqit «icorre e.s.sayer d'obtenir un chan-
1 V de hr°gmmme- On peut se deman-
• aura le courage d'affronter la
j e ec Une demande de ce genre; ce-
pendant on n e Peilt méconnaître que la dé-
f> peut méconnaître que la dé-
11'1: .Caine Ini donne même contre
^igp^Caré' Uf moyen de pression non né-
gr f Pp
re serait-il opportun pour
ment allemand de faire preuve
!
de quelque activité en cet état des choses.
Peut-être se console-t-on en France de la
leçon contenue dans la déclaration rte
Washington en songeant que, grâce au ciel,
la désagréable conférence est à nouveau
menacée mais, à la longue, l'expérience
apprendra que ces petites satisfactions fi-
nissent par aboutir à une situation funeste.
BERLINER TAGEBLATT,
10.3 soir.
— Le refus de l'Amérique d'aller à Gê-
nes devrait constituer une leçon pour l'Eu-
rope. Il ne sert de rien de se tenir oisifs
au bord de l'Atlantique à attendre l'aide qui
doit venir de l'autre bord. Les peuples d'Eu-
rope doivent teinter par eux-mêmes de met-
tre de l'ordre dans leur maison et alors,
l'aide américaine viendra d'elle-même. La
leçon s'adresse à tous, mais particulière-
ment à nous ert au pays avec lequel nous
avons le plus de rapports : la France. Les
relations franco-allemandes tournent dans
un cercle. Le peuple allemand comprend
parfaitement que les bases de la politique
française sont : garantie et réparation.
Pourtant, la France poursuit ses desseins
dans un esprit qui l'éloigne de leur réali-
sation. Il nous importe de comprendre ce
que la France désire, mais c'est à la France
de trouver les moyens adéquats.
FRANKFURTER ZEITUNG,
12.3 1re matin.
— Le refus des Etats-Unis ne constitue
pas, on le comprend, un avantage pour la
Conférence. On doit déplorer extrêmement,
au contraire, que la plus grande puissance
économique du monde ne participe pas aux
négociations de Gênes. La Conférence con-
serve pourtant sa signification. Nous avons
déjà déclaré, après l'entrevue de Boulogne,
que le principal était de continuer d'échan-
ger des vues sur la reconstruction économi-
que, bien que l'on ne dùt rien attendre de
la conversation de Gênes. Cette vérité vaut
encore maintenant : nous attendons de la
Conférence de Gênes qu'elle permette de
reprendre la marche en avant, après le re-
cul marqué en janvier.
Le Dr Rathenau avait pleinement raison
de mettre en garde contre la tendance qui
consiste à rabaisser l'importance de la reu-
nion où se discuteront les causes générales
de la crise mondiale et il avait encore rai-
son de ne considérer Gênes que comme 1a
première étape d'une série de conférences.
Espérons que l'Amérique pourra participer
à ces conférences. Ce pourrait être,
croyons-nous, la suite logique de sa démar-
che actuelle qui, selon la Chicago Tribune,
est considérée, à Washington, comme le
début d'une campagne « de pression dis-
crète sur l'Europe ». Ces conférences qui
suivront la réunion de Gênes ne pourront
négliger les questions que l'on exclue au-
jourd'hui des délibérations. Ceci s'applique
avant tout au problème des réparations
mais aussi à la question du désarmement
contre laquelle le militarisme français se
défend encore aujourd'hui.
GERMANIA, 11.3 1re édit. matin.
PRESSE AUTRICHIENNE. — L'Amérique ne
veut pas participer à une parodie de Confé-
rence où précisément les questions essen-
tielles qui dominent tout ne sont pas trai-
tées, où les délégués se présentent avec un
cadenas sur la bouche, où les vainqueurs
fixent l'objet de la délibération et où l'on es-
camote le problème véritable. Des médecins
examinent l'état d'un malade, mais il leur
est inlerdit sous peine de mort d'indiquer ce
qui lui manque et encore moins d'employer
le seul remède qui puisse le sauver de a
modo
Dans ces conditions, le refus de l'Amérique
n a rien de surprenant, il est la conséquence de
la politique des Alliés depuis la guerre.
Nous regrettons l'abstention de l'Améri-
que parce qu'une participation sous certai-
nés conditions aurait eu peut-être des ré-
sultats plus rapides. Mais cet avertisse-
ment grave à l'Entente ne peut qu'être en-
tendu, car, sans l'Amérique, ni l'Allemagne
ni la llussie ne peuvent être sauvées et,
sans le rétablissement de ces deux pays,
la crise ne peut être résolue. Une ruine ca-
pitaliste ne peut être conjurée que par les
remèdes du capital, qui sont : le rétablisse-
ment de la confiance, la solidarité d'inté-
rêts entre les nations et la reconnaissance
de la communauté intellectuelle et écono-
mique. Tant que ces principes n'auront pas
triomphé, ni l'Europe, ni le monde entier,
ne pourront se tirer d'affaire.
NEUE FREIE PRESSE, 11.3 matin.
L'attitude de la France à la Conférence de
Washington lui a fait perdre beaucoup de sym-
pathies en Amérique ; le « sabotage » de la
Conférence de Gênes par M. Poincaré aboutit au
même résultat.
Avec une franchise louable M. Hughes,
secrétaire d'Etat américain, dans une note
adressée à l'ambassadeur italien Ricci.
cloue au pilori cette manœuvre criminelle
du gouvernement français.
DEUTSCHES VOLKSBLA TT
[de Vienne], 11.3.
PHESSE ITALIENNE. — Le gouvernement des
Etats-Unis s'abstient de participer officiel-
lement à Gènes pour ne pas être « impliqué
dans des questions qui intéressent la poli-
tique européenne. »
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Fonds régional : Rhône-Alpes Fonds régional : Rhône-Alpes /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "RhoneAlp1"Rapport d'avis de la commission d'enquête du chemin de fer de Saint-Étienne à Lyon... /ark:/12148/bd6t542064861.highres Édit... portant suppression de l'office de notaire au fauxbourg de la Croix-Rousse de Lyon, et l'établissement dudit office au bourg de Cuire... [Enregistré au Parlement le 8 janvier 1716.] /ark:/12148/bd6t54204044p.highresBibliothèque Francophone Numérique Bibliothèque Francophone Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "RfnEns0"
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")Les Monuments historiques de la France : bulletin des diverses sections de la Commission des monuments historiques et de la Commission supérieure des monuments naturels et des sites /ark:/12148/bd6t5377978f.highres Annales de la Société des architectes de l'Est et Annuaire du bâtiment : Ardennes, Meuse, Meurthe-et-Moselle, Vosges /ark:/12148/bd6t543240573.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/12
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6253372h/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6253372h/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6253372h/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6253372h/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6253372h
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6253372h
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6253372h/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest