Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-08-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 août 1918 20 août 1918
Description : 1918/08/20 (T9,N902). 1918/08/20 (T9,N902).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524284
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTERES DE LA GUERRE
i RT DES
J ^Alftr,Ih^t^ngères
1
N° 902 1.
Paris, 20 aoùt 1918.
, .1
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère -
1 1
- CONFIDENTIEL
b-
'U-- .,..
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduire ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrano.A-,, * , les Ministres
Gestions militâmes
, La s FROMT OCCIDENTAL
:t1J::NNE trategle des Alliés. - Presse ita-
H6 ™aréchal Foch est absolument
,oU bie re de la situation. Il peut choisir :
le maît re de la situatioli Il peut choisii-- :
•Oi. Jleo «-nes avoir détruit pour plusieurs
: da
spaWs a, moins la possibilité d'une gran-
enn'eiI1ie, attendre que l'ennemi
dp °îiveau pour le battre de nou-
: 'qUi, avec l'aide des réserves américaines,
on bien mPs, auront continué d'affiner:
qui, entren temps P s. auront continué d'affluer-
r r. „
tjl,, érielle rt dé la dépression morale et
Plus en e de renne'mi pour le presser de
''S?®4 à nsei qu'il prendra le second
'ï i ori
l'IOde' il- a été, Pendant, la pénible pé-
^? la 1+ 5te défensive, scrupuleuse-
*1?écormrn e de VIes humaines, et il l'est
D»?oan^ à l'offe'nsive. Il a montré
Màrnû qu'il veut et sait admirable-
I'fteni eX]îloit 6r le Slu.ccès, mais sans jamais
tïo * ter an Jeu de l'ennemi. Quand il au-
^ii-f* ^lu, Dni1 briser la résistance, un effort
oc^ s'est contenté des ré-
lha t J i- obtenii 'i1 a continué, spécialement
Action ; il a continué, spécialement
sîon o, l'artillerie et de l'aviation,
D'v ?es>' Sur les lignes de défense alle-
ge aucunp a Porté l'attaque ailleurs. Il
^D)i-Ce îQêmûraiS0:n cfui empêche de croire
?V,Ué de i« système, si heureusement
Pliqu' égal i: a'rné à la Somme, ne le soit
très près. bonheur, Lautre l'art, loin où
e li:SS];; s , ,
fraiwf- --l.. Le succès de l'offensi-
e 8ûh^es Co-a éricalne se mesure aux
i lurs elle a obtenus le premier jour
C'est ce qui s'pst
!<^Proamternt le passé; la seule
toujours produits 'dans le passe ; la seule
-"' que cette foIs un heureux en-
de CirconstanAes a fait faire
tel™ f^-7e progrès en un jour qu'ils-
IhF^ ^kh^t m?' en 1917, en un mois. Ils
PlDil6'- si n3® à leur changement de
N Psi* J precIeux qu'ait été pour eux
)i?égiqupo ^s' qu'aux circonsltan-
e PosT.hvJ la Position de l'ennemi
lUjf <ÏUe Dr® ■d attaque, où il ne s'était
tAt lle P -.
S Al,°Ui taîvf emen^ pour poursui-,
s?n. °ffensivq| • La situation
fcu>L.et l'Aétait aride t la même entré la
ft6 T~s~re. Soissohs et Châ-
té pans les deux. cas les opéra-
ollt 6t, e identiques. - Le 'deuxième coup
lre^r FocJh a été plus inquiétant, que
ler- Tirr
Un c¿ro eVant Amiens, les Allemands
été CotïiiilM ^meilt surpris et refoulés,
'Irrlèr e de leurs positions d'artille-
t e Douvoir se fixer et se dé-
3ie' gt^cg ^0uv°ir se fixer et se dé-
t SePvfr- ,eqrconnaIsS'a'll'Ce apprô-
U ser "Ge en campagne. A un mo-
bkc) ^eVers_ faillit se transfor-
i-en ^-ÎW^faitp ; la césistance sur la ligne
UIrt, au nord-de la Sommer,
P le le front, allemand de l'Ancre
<
l
d'être emporté, et une percée complète de
l'ennemi d'aboutir sur la voie romaine au
sud de la Somme. Le 9 et le 10 août les
Allemands ont perdu 20.000 prisonniers et
de nombreux canons. Ces chiffres donnent
une idée de la violence de l'attaque brus-
quée ennemie. Si les Allemands- ont pu en-
rayer ce choc, c'est qu'ils ont amené rapi-
dement de nombreuses réserves : c'est aus-
si qu'ils avaient déjà étudié à l'avance un
mouvement de repli pour réduire le sail-
lant entre l'Oise et l'Ancre, quand la gran
de offensive sur l'Aisne a été étale. Il est
manifesté que la seconde offensive de Foch
s'est produite au moment de la re-
lève allemande, et qu'elle a dispersé des
troupes dont l'ordre de bataille était un
peu ébranlé. Lorsque cet ordre se rétablit,
avant que l'assaillant n'ait pu occuper la
transversale Montdidier-Rosières-Proyart-
Bray-Albert, une catastrophe-était conjurée.
En continuant l'attaque les Anglais, moins
prompts à s'adapter aux vicissitudes de la
bataille que les Français, qui manœuvrent
avec plus de souplesse, ont subi de lourdes
pertes. Cette fois-ci encore Foch a attaqué
tard, mais il la fait avec tant d'àpropos
qu'il a atteint l'adversaire, avant que ce-
lui-ci eût replié son front. Il faudra mainte-
nant que Foch continue sans arrêt son of-
fensive par échelons, pour enchaîner la vic-
toire à ses drapeaux et pour ébranler l'ar-
mature du front allemand, avant que la re-
concentration de Ludendorff ne trouve un
point d appui dans la zone des positions de
Hindenburg, et avant que l'Etat-Major alle-
mand ne regroupe à nouveau ses forcés
d'une part sur le large et profond terrain de
manœuvre, entre la Somme et l'Aisne
d'autre part, sur la ligne du canal La Fè-
re-Saint-Quentin-Cambrai-Lille. Naturelle-
ment, il faut s'attendre en même temps à
des manœuvres de surprise ou de diver-
sion en Champagne, sur la Meuse et dans
les Vosges. Si étroitement enlacés crue
soient dès maintenant les adversaires sur
la Vesle, l'Aisne, la Somme et la Marne la
mêlée sur le front occidental n'est pas én-
core générale. Dans l'ensemble du tableau,
il ne faut pas oublier les reconnaissances
faites par la flotte britannique dans la mer
du Nord. — (H St.) Bund. 14.8.
La stratégie allemande. — Il est certain
que le plan de Ludendorff a échoué jusqu'à
présent , il est donc intéressant d'exami-
ner les raisons de cet échec. Il a dû
y avoir des conflits d'une âpreté. peu
ordinaire au grand quartier général, al-
lemand sur la question de savoir s'il fallait
faire une grande offensive sur le front occi-
dental. Aux personnalites civiles de l'AL
lemagne, il a dû sembler injustifiable de
compromettre tous les triomphes acquis et
d'ébranler les fondations de l'Empire en
courant la chance des victoires militaires
Hindenburg, j'imagine, partageait cette opi-
nion ; de là son éclipse partielle de cette an-
née. Ludendorff, plus actif Et plus ambi-
Porter une victoire désive. En à rem-
plan semblé avoir marché la mi-juillet le
plan. semble avoir Illarché comme un mou-
vement d'lJOrlogerie,. Mais Un rayon de
jours si sombres et avec la lumières les
rance si SOmbres, et, avec la
sevéré devant une résistance opimâtre, et
alors qu'ils commençaent à éprouver des
pertes sévères, leur pensée dominante était
la terreur de perdrp. du monde Ils eurent
1 -
ia victoire à leu" r nortéP mais
ment, ifs à leur portée; mais, à ce mo-
ment, ils ne voulaient pas payer le Prix
sans léquel leurs precedent étaient
vains. Un autre trait de lumière jaillit du
discours de l'Empereur lorsq'il dévoilav le
secret si bien gardé de l'Etat major , en
exhortant.son peuple fà sf mnit paJient,
exhortant. son peuple à se montrer patient,
parce que l'exécution du plarLdemanderait.
trisa. Le Temps Grand Dieu 1 y avait-il
au monde une chose dont nous, alliés. f..=- -
sioni-, -niiii-
temps_ pour réparer toutes es s erreursl
commises par le * e~eurs
faute principale dans le plan de Ludendorff,
plan presque autrichien par son formalis-
me pédantesque était la croyance, sur, la-
quelle il reposait, que le voyance, sur. Ia-
importance. Si les hommes ont ce qu'ils
méritent, Ludendorff
du calcuil erroné le plus fatal l'histoire
militaire de la Prusse. (Colonel Repington)
Morning Post, 16
Entre Somme et Oise - PRESSE AN-
GLAISE: - Tout indique que l'enneini, en ce-
momont a l'intenfinn de combattre à peu
près sur la ligne qu'il occupe Iriaintenant ;
mais le fait ,que les Français-,ont pris tout
le Massif de lassigny obligera presque
certainelent les Allemands à un nouveau
recul sur cette partie du front ils iront
probablement derrière la divette. Il pourrait
même se faire qu'ils aillent plus loin, Mais
à l'heure actuelle leur - intention semble êtr,,
de ne pas se retirer derrière la Somme.
A notre point de vue, il est peut-être aussi
bien gne actuel continue à combattre sur
sa ligne actuelle, parce qu'il n'occupe pas
une position favorable.
16.8.
-Les événement ont suivi un cours lent
pendant est jours -derniers, mais le front de
semble certain maintpnSnf
semble certain maintenant que les Alle-
mands, au moment où ils se retiraierit au
delà de la Marné s'étaieni décidés à tecti-
fier leur ligne sur q'autres Points du front-
Quelques-unes de ces operations ont déjà
été effectuées. Le résultat de cette bataille
doit être d'augmenter considérablement les
difficultés de enn-em-i, quant à ,gles effectifs.
Les huit divisions de l'arméle, von Marwitz
ont été écrasées, etv seront hors de cause
pour quoique temps, ont été
ont .été écrasées,! Les Allemands ont été
i RT DES
J ^Alftr,Ih^t^ngères
1
N° 902 1.
Paris, 20 aoùt 1918.
, .1
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère -
1 1
- CONFIDENTIEL
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NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduire ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrano.A-,, * , les Ministres
Gestions militâmes
, La s FROMT OCCIDENTAL
:t1J::NNE trategle des Alliés. - Presse ita-
H6 ™aréchal Foch est absolument
,oU bie re de la situation. Il peut choisir :
le maît re de la situatioli Il peut choisii-- :
•Oi. Jleo «-nes avoir détruit pour plusieurs
: da
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enn'eiI1ie, attendre que l'ennemi
dp °îiveau pour le battre de nou-
: 'qUi, avec l'aide des réserves américaines,
on bien mPs, auront continué d'affiner:
qui, entren temps P s. auront continué d'affluer-
r r. „
tjl,, érielle rt dé la dépression morale et
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^? la 1+ 5te défensive, scrupuleuse-
*1?écormrn e de VIes humaines, et il l'est
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Màrnû qu'il veut et sait admirable-
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tïo * ter an Jeu de l'ennemi. Quand il au-
^ii-f* ^lu, Dni1 briser la résistance, un effort
oc^ s'est contenté des ré-
lha t J i- obtenii 'i1 a continué, spécialement
Action ; il a continué, spécialement
sîon o, l'artillerie et de l'aviation,
D'v ?es>' Sur les lignes de défense alle-
ge aucunp a Porté l'attaque ailleurs. Il
^D)i-Ce îQêmûraiS0:n cfui empêche de croire
?V,Ué de i« système, si heureusement
Pliqu' égal i: a'rné à la Somme, ne le soit
très près. bonheur, Lautre l'art, loin où
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e 8ûh^es Co-a éricalne se mesure aux
i lurs elle a obtenus le premier jour
C'est ce qui s'pst
!<^Proamternt le passé; la seule
toujours produits 'dans le passe ; la seule
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tel™ f^-7e progrès en un jour qu'ils-
IhF^ ^kh^t m?' en 1917, en un mois. Ils
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N Psi* J precIeux qu'ait été pour eux
)i?égiqupo ^s' qu'aux circonsltan-
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s?n. °ffensivq| • La situation
fcu>L.et l'Aétait aride t la même entré la
ft6 T~s~re. Soissohs et Châ-
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ollt 6t, e identiques. - Le 'deuxième coup
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sud de la Somme. Le 9 et le 10 août les
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avant que l'assaillant n'ait pu occuper la
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Bray-Albert, une catastrophe-était conjurée.
En continuant l'attaque les Anglais, moins
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avec plus de souplesse, ont subi de lourdes
pertes. Cette fois-ci encore Foch a attaqué
tard, mais il la fait avec tant d'àpropos
qu'il a atteint l'adversaire, avant que ce-
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fensive par échelons, pour enchaîner la vic-
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Hindenburg, et avant que l'Etat-Major alle-
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d'une part sur le large et profond terrain de
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d'autre part, sur la ligne du canal La Fè-
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il ne faut pas oublier les reconnaissances
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mais le fait ,que les Français-,ont pris tout
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à l'heure actuelle leur - intention semble êtr,,
de ne pas se retirer derrière la Somme.
A notre point de vue, il est peut-être aussi
bien gne actuel continue à combattre sur
sa ligne actuelle, parce qu'il n'occupe pas
une position favorable.
16.8.
-Les événement ont suivi un cours lent
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été effectuées. Le résultat de cette bataille
doit être d'augmenter considérablement les
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