Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-08-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 03 août 1920 03 août 1920
Description : 1920/08/03 (T15,N1515). 1920/08/03 (T15,N1515).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62385229
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
r MINISTÈRES
tb DES
^ÏHES ETRANGERES
-DE LA GUERRE
N° 1515
Mardi 3 Août 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont des
résumés, il est donne ci-dessous des traductions, intégra es ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque
| SOMMAIRE
i n.ESSE ALLEMANDE. — Troupes polonaises à
la frontière allemande (Kœlnische Volks-
1 zeitung). — Les Bolcheviks en Lithua-
nie (Kœlnische Volkszeitung). — L'état
d'esprit en Pologne (Taegliche Runds-
chau). — L'abolition du service militaire
obligatoire en Allemagne (Kœlnische
Volkszeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Une interview du co-
lonel House sur la situation de l'Europe
'(Public Ledger). — « Spa et sa signifi-
cation » (Frank H. Simonds dans New
York Tribune). — La prohibition de l'al-
cool et l'élection présidentielle (New
York Times). — Le sénateur Hiram
Johnson et le programme républicain
(New York Times). - M. Cox et le ré-
gime du Travail (Evening Post).
pREsSE AUTRICHIENNE. — La Pologne et la
Confédération danubienne : une inter-
view du Dr Benes (Neue Freie Presse).
ESSE ITALIENNE. — Une entrevue Lloyd
George-Giolitti (Tribuna). ■■— La question
de Rhodes (Idea Nazionale). — L'émi-
gration italienne (Idea Nazionale).
----
POLITIQUE GENERALE
l ET DIPLOMATIE
7 *
LA POLITIQUE ITALIENNE
LÎÏÏÎP ENTREVUE LLOYD GEORGE-GIO-
1i LITTÏ — [Cf. Bulletin n° 1514, page 1]. —
•| fuJ^te n°uvelle importante nous a été con-
* on ce matin dans certains milieux politi-
ques ordinairement. très bien informés.
Seiiïl^:revue entre les deux présidents du Con-
p* aura donc lieu en Suisse, mais la date
Clse n'en a pas encore été fixée, non plus
l'a. el'l'endroit. Il est fort probable qu'elle au-
cj. ^leu à Lucerne, mais il ne faut pas ex-
e l'éventualité qu'elle puisse se tenir
quelque autre ville suisse, comme par
ae1.lrPle Lausanne. Quant à la date, on sait
er^ent pour l'instant que la rencontre
aura lieu peu de jours après la fin de nos
1 aUx parlementaires.
t~1 :i' La politique étrangère de l'Italie a été
e jusqu'à présent — depuis le ministère
actuel — plutôt sous la haute direction de
M. Giolitti que par lui directement. Or, l'im-
portance toujours croissante des questions
internationales, et leur délicatesse qui de-
vient toujours plus prononcée, rendent le
besoin de conversations entre les chefs des
différents gouvernements toujours plus ur-
gent. v 1
Nous voyons, en effet, Lloyd George pour
l'Angleterre et Millerand pour la France
pratiquer toujours ces conversations. Et, là
où vont les chefs des autres gouvernements,
il est bon que le chef du gouvernement ita-
lien soif parfois présent lui aussi, avec l'au-
torité et le prestige qui lui sont propres.
l
Le retour de M. Giolitti au pouvoir a été
accueilli par les Alliés de façon à démon-
trer que les préventions de la diplomatie
contre lui n'étaient que des fantômes, fan-
tastiquement inventés par ses ennemis pour
faire obstacle à son retour au pouvoir.
Toute prévention supposée s'est démontrée
sans consistances devant l'autorité de cet
homme.
M. Giolitti va causer aveo M. Lloyd
George, armé d'un crédit et par conséquent
d'une influence modératrice plus grands en-
core que ceux déjà exceptionnels qu'il pos-
sédait dans le passé. Rien ne peut donc être
plus bienfaisant pour le cours de la politique
italienne et pour la paix européenne que
son intervention en des rencontres où l'on
traite des questions de caractère interna-
tional. Et cela non seulement à cause de la
valeur intrinsèque de l'homme, mais aussi
d'un fait psychologique qui peut exercer sur
la politique étrangère une grande influence.
Des hommes comme Lloyd George et Giolitti
sont faits pour s'entendre. Ils possèdent le
même point de vue sur la politique inté-
rieure, la même conscience de l'importance
des grands courants de l'opinion publique
pour une politique de paix, le même sérieux
mental. La précision de vue, l'appréciation
exacte de tous les faits et de tous les ges-
tes, qualités du Président du Conseil ita-
lien, ne peuvent que servir le prestige et
l'intérêt de l'Italie. <
TRIBUNA [de Rome], 31.7
LA QUESTION DE RHODES. - Tandis
que l'Italie épouse entièrement le point de
vue du gouvernement britannique dans la
question russe, il semble que M. Lloyd
George ne veuille point déplaire à son
« amant de cœur », l'enfant gâté de la for-
tune, M. Venizelos, en prenant parti contre
les folles prétentions de celui-ci à l'exécu-
tion d'un traité qui n'a été qu'arraché par
la fourberie d'usurier de l'habile Crétois à
la bonhomie sénile de notre pauvre Tittoni.
Quoique les conditions nécessaires à l'exé
cutîon de cet accord par l'Italie ne se soient
point produites, Venizelos essaie de nous
forcer à les tenir. Mais n'oublions pas que
nos accords avec les Alliés, pendant la
querre, nous assuraient la souveraineté sur
Vallona et d'autres avantages. Mais la nou-
velle politique italienne en Albanie nous
conduit en droit chemin à renoncer à cette
souveraineté. Le marché maladroit entre
Tittoni et Venizelos nous aurait amenés à
faire cadeau à ces estimables et si ingénieux
arrière-petits-enfants d'Ulysse, des îles de
la mer Egée occupées par nous en 1912.
n'avait-on, par hasard, rien d'autre à leur
donner ?
L'amertume avec laquelle l'Italie voit au-
jourd'hui ses alliés du 23 avril 1915 favo-
riser la Grèce, et tenir scandaleusement en
mépris les traités et la solidarité sanglante
de la guerre, fait mûrir en elle des pensées
et des intentions dont ni l'Angleterre ni la
France ne doivent se réjouir. Et la situation
ne fera qu'empirer si de nouvelles décep-
tions, ajoutées à toutes celles que nous
avons éprouvées dans ce domaine, devaient
aggraver encore une attitude d'esprit et un
état intérieur dus aux trois quarts à l'œuvre
des puissances qui furent nos alliés pen-
dant la guerre et sont nos ennemis dans la
paix.
Sur le château de Rhodes, construit par
les Italiens et que la fatalité des événements
a amené des Italiens à reconquérir, le dra-
peau italien ne doit point cesser de flotter.
Rhodes est pour l'Italie le fruit légitime du
sang et de la victoire. C'est le seul point
d'appui qui reste à l'expansion de son com-
merce et de sa culture dans le Levant.
C'est une île aux langues multiples, dans le
centre unique de laquelle les Turcs et les
Juifs, les uns et les autres très attachés à -
l'Italie, prédominent, de beaucoup, numéri-
quement, sur la population grecque, de
sorte que le coefficient statistique lui-même
ne saurait être invoqué en faveur des mons-
trueuses prétentions panhellénistes. Toutes
les raisons honnêtes, tous les arguments
légitimes militent en faveur du maintien à
l'Italie de la possession de Rhodes. C'est là
un point de vue dont le gouvernement ne
doit absolument pas s'écarter.
IDEA NAZIONALE, 1-8
LES ÉTATS-UNIS ET L'EUROPE
UNE INTERVIEW DU COLONEL
HOUSE. — De Londres : Le colonel House
a fait la déclaration suivante au service des
nouvelles de l'étranger du Public Ledger :
« Ceux qui examinent la situation poli-
tique et économique n'ont pas lieu d'être
satisfaits des perspectives actuelles. Les con-
ditions où se trouve la Pologne font prévoir
une crise prochaine. Si la Pologne suc-
combe sous une invasion russe, l'Allemagne
entrera en jeu, et cela surtout parce que l'Al-
lemagne en aura le désir. Il y aura peut-être
une résistance passive, mais la majorité des
Allemands accueilleront les Russes comme
des libérateurs. L'armée russe sera consi-
dérablement grossie par les recrues de l'an-
cienne armée allemande, et l'ensemble for-
mera une force redoutable, force à laquelle
il faudra opposer toutes les ressources des
puissances occidentales. Si cela se produit
et c'est tout à fait dans les choses proba-
bles, que feront l'Angleterre, la France et
les Etats-Unis ?. Si ces nations lèvent de
grandes armées pour intervenir, pourront-
tb DES
^ÏHES ETRANGERES
-DE LA GUERRE
N° 1515
Mardi 3 Août 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont des
résumés, il est donne ci-dessous des traductions, intégra es ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque
| SOMMAIRE
i n.ESSE ALLEMANDE. — Troupes polonaises à
la frontière allemande (Kœlnische Volks-
1 zeitung). — Les Bolcheviks en Lithua-
nie (Kœlnische Volkszeitung). — L'état
d'esprit en Pologne (Taegliche Runds-
chau). — L'abolition du service militaire
obligatoire en Allemagne (Kœlnische
Volkszeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Une interview du co-
lonel House sur la situation de l'Europe
'(Public Ledger). — « Spa et sa signifi-
cation » (Frank H. Simonds dans New
York Tribune). — La prohibition de l'al-
cool et l'élection présidentielle (New
York Times). — Le sénateur Hiram
Johnson et le programme républicain
(New York Times). - M. Cox et le ré-
gime du Travail (Evening Post).
pREsSE AUTRICHIENNE. — La Pologne et la
Confédération danubienne : une inter-
view du Dr Benes (Neue Freie Presse).
ESSE ITALIENNE. — Une entrevue Lloyd
George-Giolitti (Tribuna). ■■— La question
de Rhodes (Idea Nazionale). — L'émi-
gration italienne (Idea Nazionale).
----
POLITIQUE GENERALE
l ET DIPLOMATIE
7 *
LA POLITIQUE ITALIENNE
LÎÏÏÎP ENTREVUE LLOYD GEORGE-GIO-
1i LITTÏ — [Cf. Bulletin n° 1514, page 1]. —
•| fuJ^te n°uvelle importante nous a été con-
* on ce matin dans certains milieux politi-
ques ordinairement. très bien informés.
Seiiïl^:revue entre les deux présidents du Con-
p* aura donc lieu en Suisse, mais la date
Clse n'en a pas encore été fixée, non plus
l'a. el'l'endroit. Il est fort probable qu'elle au-
cj. ^leu à Lucerne, mais il ne faut pas ex-
e l'éventualité qu'elle puisse se tenir
quelque autre ville suisse, comme par
ae1.lrPle Lausanne. Quant à la date, on sait
er^ent pour l'instant que la rencontre
aura lieu peu de jours après la fin de nos
1 aUx parlementaires.
t~1 :i' La politique étrangère de l'Italie a été
e jusqu'à présent — depuis le ministère
actuel — plutôt sous la haute direction de
M. Giolitti que par lui directement. Or, l'im-
portance toujours croissante des questions
internationales, et leur délicatesse qui de-
vient toujours plus prononcée, rendent le
besoin de conversations entre les chefs des
différents gouvernements toujours plus ur-
gent. v 1
Nous voyons, en effet, Lloyd George pour
l'Angleterre et Millerand pour la France
pratiquer toujours ces conversations. Et, là
où vont les chefs des autres gouvernements,
il est bon que le chef du gouvernement ita-
lien soif parfois présent lui aussi, avec l'au-
torité et le prestige qui lui sont propres.
l
Le retour de M. Giolitti au pouvoir a été
accueilli par les Alliés de façon à démon-
trer que les préventions de la diplomatie
contre lui n'étaient que des fantômes, fan-
tastiquement inventés par ses ennemis pour
faire obstacle à son retour au pouvoir.
Toute prévention supposée s'est démontrée
sans consistances devant l'autorité de cet
homme.
M. Giolitti va causer aveo M. Lloyd
George, armé d'un crédit et par conséquent
d'une influence modératrice plus grands en-
core que ceux déjà exceptionnels qu'il pos-
sédait dans le passé. Rien ne peut donc être
plus bienfaisant pour le cours de la politique
italienne et pour la paix européenne que
son intervention en des rencontres où l'on
traite des questions de caractère interna-
tional. Et cela non seulement à cause de la
valeur intrinsèque de l'homme, mais aussi
d'un fait psychologique qui peut exercer sur
la politique étrangère une grande influence.
Des hommes comme Lloyd George et Giolitti
sont faits pour s'entendre. Ils possèdent le
même point de vue sur la politique inté-
rieure, la même conscience de l'importance
des grands courants de l'opinion publique
pour une politique de paix, le même sérieux
mental. La précision de vue, l'appréciation
exacte de tous les faits et de tous les ges-
tes, qualités du Président du Conseil ita-
lien, ne peuvent que servir le prestige et
l'intérêt de l'Italie. <
TRIBUNA [de Rome], 31.7
LA QUESTION DE RHODES. - Tandis
que l'Italie épouse entièrement le point de
vue du gouvernement britannique dans la
question russe, il semble que M. Lloyd
George ne veuille point déplaire à son
« amant de cœur », l'enfant gâté de la for-
tune, M. Venizelos, en prenant parti contre
les folles prétentions de celui-ci à l'exécu-
tion d'un traité qui n'a été qu'arraché par
la fourberie d'usurier de l'habile Crétois à
la bonhomie sénile de notre pauvre Tittoni.
Quoique les conditions nécessaires à l'exé
cutîon de cet accord par l'Italie ne se soient
point produites, Venizelos essaie de nous
forcer à les tenir. Mais n'oublions pas que
nos accords avec les Alliés, pendant la
querre, nous assuraient la souveraineté sur
Vallona et d'autres avantages. Mais la nou-
velle politique italienne en Albanie nous
conduit en droit chemin à renoncer à cette
souveraineté. Le marché maladroit entre
Tittoni et Venizelos nous aurait amenés à
faire cadeau à ces estimables et si ingénieux
arrière-petits-enfants d'Ulysse, des îles de
la mer Egée occupées par nous en 1912.
n'avait-on, par hasard, rien d'autre à leur
donner ?
L'amertume avec laquelle l'Italie voit au-
jourd'hui ses alliés du 23 avril 1915 favo-
riser la Grèce, et tenir scandaleusement en
mépris les traités et la solidarité sanglante
de la guerre, fait mûrir en elle des pensées
et des intentions dont ni l'Angleterre ni la
France ne doivent se réjouir. Et la situation
ne fera qu'empirer si de nouvelles décep-
tions, ajoutées à toutes celles que nous
avons éprouvées dans ce domaine, devaient
aggraver encore une attitude d'esprit et un
état intérieur dus aux trois quarts à l'œuvre
des puissances qui furent nos alliés pen-
dant la guerre et sont nos ennemis dans la
paix.
Sur le château de Rhodes, construit par
les Italiens et que la fatalité des événements
a amené des Italiens à reconquérir, le dra-
peau italien ne doit point cesser de flotter.
Rhodes est pour l'Italie le fruit légitime du
sang et de la victoire. C'est le seul point
d'appui qui reste à l'expansion de son com-
merce et de sa culture dans le Levant.
C'est une île aux langues multiples, dans le
centre unique de laquelle les Turcs et les
Juifs, les uns et les autres très attachés à -
l'Italie, prédominent, de beaucoup, numéri-
quement, sur la population grecque, de
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les raisons honnêtes, tous les arguments
légitimes militent en faveur du maintien à
l'Italie de la possession de Rhodes. C'est là
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IDEA NAZIONALE, 1-8
LES ÉTATS-UNIS ET L'EUROPE
UNE INTERVIEW DU COLONEL
HOUSE. — De Londres : Le colonel House
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nouvelles de l'étranger du Public Ledger :
« Ceux qui examinent la situation poli-
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satisfaits des perspectives actuelles. Les con-
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une résistance passive, mais la majorité des
Allemands accueilleront les Russes comme
des libérateurs. L'armée russe sera consi-
dérablement grossie par les recrues de l'an-
cienne armée allemande, et l'ensemble for-
mera une force redoutable, force à laquelle
il faudra opposer toutes les ressources des
puissances occidentales. Si cela se produit
et c'est tout à fait dans les choses proba-
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