Titre : L'Illustration théâtrale : comédies, fééries, opéras, vaudevilles, tragédies, concerts, ballets / [gérant : Ch. Jacquemet]
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1885-01-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327885313
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 417 Nombre total de vues : 417
Description : 13 janvier 1885 13 janvier 1885
Description : 1885/01/13 (A2,N2). 1885/01/13 (A2,N2).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62321860
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, FOL-YF-67
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/08/2012
16 L'ILLUSTRATION THÉATRALE
ARNOLD MORTIER
————~~<<**
Comme nous l'annoncions dans notre dernier
numéro, notre excellent confrère Arnold Mortier a
été enlevé prématurément à sa famille à l'âge de
quarante-deux ans.
Mortier était connu de beaucoup de monde, son
abord était facile ; tous ceux qui le connaissaient
ont été a même d'apprécier la valeur de cet homme
au caractère d'une aménité très grande.
Ce qui nous le faisait le plus aimer
était peut-être cettefaçon dont il accueil-
lait les jeunes.
Jeune lui-même par l'âge, quoique
grand déjà par la renommée, il savait
c omprendre les désirs de ceux que tail-
lade la soif d'écrire, d'avoir leur nom
dans un journal. ou ailleurs. Il les ai-
mait, les chérissait, ces incompris par-
fois; ces tenaces toujours, qui ont gé-
néralement du talent; mais qui, pour
.arriver, ont besoin d'une épaule forte,
bien placée, sur laquelle ils se puissent
appuyer pour se hisser un peu, eux
aussi, et goûter de la vanité littéraire,
de cette vanité qui est pour les jeunes
l'ambition sacrée, le fervent désir d'être
compris par quelqu'un, encouragés par
une personnalité à même de mettre à
leur disposition ce qu'ils ambitionnent.
Les uns un or gane où s'iront déverser
leurs pensées en lignes sublimes ou d'in-
dignation ou de louange; lignes qui
bien souvent étonnent les « anciens »,
ceux qui, arrivés, se demandent ce que
sont le désir et l'attente parfois écœu-
rante.
Aux autres, quelques bouts de plan-
ches, seulement un plan où ils puissent
dire un mot, un seul, qui laisse entrevoir
au public un acteur qui se sera évertué
de longtemps à mettre tout le feu sacré
dans une maigre tirade — l'objet de ses
convoitises chères.
Arnold Mortier était de ceux-là qui se -
sont dévoués aux jeunes ; il a été l'épaule
et il en a épaulé pas mal qui s'en souviennent.
s'en souviendront toujours et payeront ,.* sa mé-
moire le juste tribut qu'ils voudraient offrir à leur
protecteur lui-même.
Arnold Mortier avait une de ces physionomies
dont on se rappelle toujours et qu'on est en quelque
sorte obligé d'aimer. Il est de ces têtes qui vous
sont sympathiques on ne sait. comment, mais qui
vous plaisent quelquefois malgré vous.
Alors qu'il était jeune, Mortier était d'une timi-
dité assez prononcée. Il n'est pas rare que chez les
jeunes artistes, chez ceux qui sentent quelque chose
comme une perception intime de l'art bouillir en
leur cerveau et qui, quand même, veulent arriver,
de rencontrer cette timidité qui bientôt disparaîtra
ARNOLD MORTIER
D'après la Photographie do DAGRON.
pour faire place à une audace de vue et d'action
complètement opposée à la nature primitive.
Les débuts de Mortier furent difficiles ; il ne trou-
vait pas son but, oserais-je dire, sa vocation.
Comme tous ceux qui font de leur plume une
marotte et qui ne se sentent le goût de vivre que
par elle, il se fourra dans le journalisme, dans la
I
présse quotidienne où il ne parvint pas à se lancer,
à être quelque chose, comme il aurait voulu et
comme intérieurement il se sentait les dispositions
nécessaires d'être.
Ses chroniques, pour ètre consciencieusement
faites, charpentées suivant les règles les plus sévè-
res de la rhétorique, étaient souvent bien chevillées,
ce qui lui attirait souvent force réprimandes de la
part de ses directeurs qui reprochaient
à sa prose de manquer de ce je ne sais
quoi qui va droit au lecteur, bu etret,
en relisant ses articles et en les confron-
tant avec ceux des maîtres d'alors, on
sent l'absence de ce que je pourrais
appeler, de la part de l'auteur, l'intui-
tion sûre du public, de tout le public.
Ce qui manquait à Mortier n'était cer-
tes pas le talent. Il n'était pas dans sa
sphère; il était «ailleurs» comme on dit,
ou bien, si l'on veut, il n'était pas dans
la « peau de son article
Le jour où Villemessant le lit entrer
au Figaro, en 1873, pour créer ses Soirées
mondaines, que depuis tout le monde
s'est mis à lui prendre — sans pouvoir
l'égaler jamais — Mortier s'est senti en-
traîné par son sujet, et il y a été forcé-
ment débordant d'imagination, d'esprit,
de tout entin de ce qui charme et séduit
l'imagination.
C'est de cette période de sa vie d'é-
crivain que date la renommée dont les
jouissances viennent de lui être enlevées
par une mort prématurée.
Mortier était également fort apprécié
comme au tour dramatique; le nombre
de pièces qu'il a faites, seul ou en colla-
boration, est considérable; toutes ont
eu un succès et un retentissement très
mérité. Nous croyons qu'il est inutile
d'en citer les titres à nos lecteurs, tous
ayant à la mémoire, présentes ces joyeu-
ses comédies qui les ont tant fait rire et
un grand nombre des bons mots sont
passés dans la langue de la foule.
Cette mort laisse un vide bien grand dans le
monde théâtral, et nous nous associons avec une
douleur égale aux nombreux amis de notre regretté
confrère pour présenter à sa famille tous nos senti-
ments de profonde tristesse.
HENRI-F. GIRARD.
ECHOS UTILES
un nous prie d'annnonccr que Mme Dorsay, qui a fait
de nombreuses et importantes créations au théâtre
des Célestius de Lyon, et qui appartient en ce moment
à Déjazet. ne jouera plus dorénavant que sous ses
noms de famille d'Angé d'Orsay, afin d'éviter toute
confusion avec les personnes qui ont porté et portent
encore le nom de Dorsay.
Nous dirons en même temps que MIDe d'Ange d'Orsay
vient d'ouvrir un cours de déclamation au théâtre
Déjazet.
Pour tous renseignements, s'adresser au concierge.
Avis aux Dames artistes
Deux dames, ayant tenu un cours d'instruction de
jeunes filles du monde, désirent prendre une ou deux
jeunes filles pensionnaires.
Ces jeunes filles auront les meilleurs maîtres de
dessin, musique, langues étrangères. S'adresser BU,
boulevard de Courcelles.
COMMISSION - EXPORTATION
FABRIQUE D'ORNEMENTS POUR MODES
SPÉCIALITÉS D'ÉPINGLES NOUVEAUTÉ
ACHAT ET vente DE bijou*
NEUF ET OCCASION
OIPOULOUX, fabrloant
., rue MMtamreMy
PARIS
Bonne occasion.
A vendre ou à louer une belle propriétéà30 minutes
de Paris, gare Saint-Lazare, situation et vues magnifi-
(lues. S'adresser au bureau du journal.
Une occasion rare pour les amateurs de théâtre :
A vendre quatre entrées à l'année : deux au Gymnase,
une au Vaudeville, une aux Variétés.
HO francs chacune.
S'adresser à M. Debry, H, rue Ilippolyte-Lehas.
Maison LAURENS
ROBES & MANTEAUX
COSTUMES D'ENFANTS
IJ NUE ME DE LUXE
aa, Rue Buf'f'ault, ea
R A R l S
Institutions, Cours et leçons
IIUHX a rendu l'étude de la musique très attrayante,
t Dès la première leçon, on improvise, sur le piano,
on transpose, on prélude, on accompagne des chants, etc.
Leçon d'essai, rue Milton, 22, à Paris. Méthode élémen-
taire, 3 francs.
COURS GRATUITS PIANO ET SOLFÈGE. — M""
TAHIItt 11 Leghand, 2, r. deTurenue.
Cours spécial de dictée et théorie musicales. (On s'in-
scrit tous les jours.)
TRÈS BEAUX COSTUMES à 225 fr.; GARNIS ASTRAKAN,
250 fr. ; TRÈS RICHES TOILETTES. MAISON DEVAUX,
18, rue des Pyramides, au premier.
COUItS DE DANSE, M. et Mae PAUL, professeurs du
casino de Dieppe, U, rue du Faubourg-Saint-llonoré.
---------------
_-----------.
A VENDRE un très bon PIANO, presque neuf. Prix mo-
A déré. S'ad. à M. /lulu:df,-,,', nu, boulevard Barbes
On oi r iM'. GRATUITEMENT une très belle Malle pour
RÉUNIONS de Société ou répétitions d'Orphéon.
S'adresser au café de l'Ecu ih: France, 52, rue de
Ramhutcau.
On offre gratuitement une salle avec SCÈNE et
PIANO, pour Société lyrique, libre tous les dimanches
(quartier des Halles). S'adresser chez M. Rousset,
S, rue Coquillière, 5. -
Facilité de payement aux Propriétaires d Établis-
sements publics, cafés, restaurants, salles de concert
et de danse. ..relleMtrh"l" en tous genres pour con-
certs et pour la danslt ORCHESTRIONS de salon, imitant
à la perfection tous les instruments de bois et de cordes.
S'adresser à M. Gus'/m, 180, rue Masui, à Bruxelles
(Uelgique),
COSMÉTIQUE AU RAISIN
Pour les GERÇURES des LÈVRES
Pierlot, 55, rue Bonaparte, La boîte, 2 bâtons, f" 1 fr. 65
Avis aux amateurs de singes et d'oiseaux rares.
Nulle collection n'est aussi intéressante ni aussi
variée que celle de M. Petit aîné, le jeune natnralistc-
préparateur, dont les magasins viennent d'être trans-
fères rue Monsieur-le-Prince, 10.
Pour le montage et la préparation des pièces rares,
les classeurs ne sauraient mieux s'adresser qu'a ce
jeune explorateur, qui a acquis dans son voyage au
Congo une habileté exccptionnelle. Oiseaux français
et étrangers, oiseaux de mode, fantaisie pour parures
et fleurs, etc., etc.
ARNOLD MORTIER
————~~<<**
Comme nous l'annoncions dans notre dernier
numéro, notre excellent confrère Arnold Mortier a
été enlevé prématurément à sa famille à l'âge de
quarante-deux ans.
Mortier était connu de beaucoup de monde, son
abord était facile ; tous ceux qui le connaissaient
ont été a même d'apprécier la valeur de cet homme
au caractère d'une aménité très grande.
Ce qui nous le faisait le plus aimer
était peut-être cettefaçon dont il accueil-
lait les jeunes.
Jeune lui-même par l'âge, quoique
grand déjà par la renommée, il savait
c omprendre les désirs de ceux que tail-
lade la soif d'écrire, d'avoir leur nom
dans un journal. ou ailleurs. Il les ai-
mait, les chérissait, ces incompris par-
fois; ces tenaces toujours, qui ont gé-
néralement du talent; mais qui, pour
.arriver, ont besoin d'une épaule forte,
bien placée, sur laquelle ils se puissent
appuyer pour se hisser un peu, eux
aussi, et goûter de la vanité littéraire,
de cette vanité qui est pour les jeunes
l'ambition sacrée, le fervent désir d'être
compris par quelqu'un, encouragés par
une personnalité à même de mettre à
leur disposition ce qu'ils ambitionnent.
Les uns un or gane où s'iront déverser
leurs pensées en lignes sublimes ou d'in-
dignation ou de louange; lignes qui
bien souvent étonnent les « anciens »,
ceux qui, arrivés, se demandent ce que
sont le désir et l'attente parfois écœu-
rante.
Aux autres, quelques bouts de plan-
ches, seulement un plan où ils puissent
dire un mot, un seul, qui laisse entrevoir
au public un acteur qui se sera évertué
de longtemps à mettre tout le feu sacré
dans une maigre tirade — l'objet de ses
convoitises chères.
Arnold Mortier était de ceux-là qui se -
sont dévoués aux jeunes ; il a été l'épaule
et il en a épaulé pas mal qui s'en souviennent.
s'en souviendront toujours et payeront ,.* sa mé-
moire le juste tribut qu'ils voudraient offrir à leur
protecteur lui-même.
Arnold Mortier avait une de ces physionomies
dont on se rappelle toujours et qu'on est en quelque
sorte obligé d'aimer. Il est de ces têtes qui vous
sont sympathiques on ne sait. comment, mais qui
vous plaisent quelquefois malgré vous.
Alors qu'il était jeune, Mortier était d'une timi-
dité assez prononcée. Il n'est pas rare que chez les
jeunes artistes, chez ceux qui sentent quelque chose
comme une perception intime de l'art bouillir en
leur cerveau et qui, quand même, veulent arriver,
de rencontrer cette timidité qui bientôt disparaîtra
ARNOLD MORTIER
D'après la Photographie do DAGRON.
pour faire place à une audace de vue et d'action
complètement opposée à la nature primitive.
Les débuts de Mortier furent difficiles ; il ne trou-
vait pas son but, oserais-je dire, sa vocation.
Comme tous ceux qui font de leur plume une
marotte et qui ne se sentent le goût de vivre que
par elle, il se fourra dans le journalisme, dans la
I
présse quotidienne où il ne parvint pas à se lancer,
à être quelque chose, comme il aurait voulu et
comme intérieurement il se sentait les dispositions
nécessaires d'être.
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faites, charpentées suivant les règles les plus sévè-
res de la rhétorique, étaient souvent bien chevillées,
ce qui lui attirait souvent force réprimandes de la
part de ses directeurs qui reprochaient
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quoi qui va droit au lecteur, bu etret,
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tant avec ceux des maîtres d'alors, on
sent l'absence de ce que je pourrais
appeler, de la part de l'auteur, l'intui-
tion sûre du public, de tout le public.
Ce qui manquait à Mortier n'était cer-
tes pas le talent. Il n'était pas dans sa
sphère; il était «ailleurs» comme on dit,
ou bien, si l'on veut, il n'était pas dans
la « peau de son article
Le jour où Villemessant le lit entrer
au Figaro, en 1873, pour créer ses Soirées
mondaines, que depuis tout le monde
s'est mis à lui prendre — sans pouvoir
l'égaler jamais — Mortier s'est senti en-
traîné par son sujet, et il y a été forcé-
ment débordant d'imagination, d'esprit,
de tout entin de ce qui charme et séduit
l'imagination.
C'est de cette période de sa vie d'é-
crivain que date la renommée dont les
jouissances viennent de lui être enlevées
par une mort prématurée.
Mortier était également fort apprécié
comme au tour dramatique; le nombre
de pièces qu'il a faites, seul ou en colla-
boration, est considérable; toutes ont
eu un succès et un retentissement très
mérité. Nous croyons qu'il est inutile
d'en citer les titres à nos lecteurs, tous
ayant à la mémoire, présentes ces joyeu-
ses comédies qui les ont tant fait rire et
un grand nombre des bons mots sont
passés dans la langue de la foule.
Cette mort laisse un vide bien grand dans le
monde théâtral, et nous nous associons avec une
douleur égale aux nombreux amis de notre regretté
confrère pour présenter à sa famille tous nos senti-
ments de profonde tristesse.
HENRI-F. GIRARD.
ECHOS UTILES
un nous prie d'annnonccr que Mme Dorsay, qui a fait
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encore le nom de Dorsay.
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Déjazet.
Pour tous renseignements, s'adresser au concierge.
Avis aux Dames artistes
Deux dames, ayant tenu un cours d'instruction de
jeunes filles du monde, désirent prendre une ou deux
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Ces jeunes filles auront les meilleurs maîtres de
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Une occasion rare pour les amateurs de théâtre :
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IIUHX a rendu l'étude de la musique très attrayante,
t Dès la première leçon, on improvise, sur le piano,
on transpose, on prélude, on accompagne des chants, etc.
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taire, 3 francs.
COURS GRATUITS PIANO ET SOLFÈGE. — M""
TAHIItt 11 Leghand, 2, r. deTurenue.
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scrit tous les jours.)
TRÈS BEAUX COSTUMES à 225 fr.; GARNIS ASTRAKAN,
250 fr. ; TRÈS RICHES TOILETTES. MAISON DEVAUX,
18, rue des Pyramides, au premier.
COUItS DE DANSE, M. et Mae PAUL, professeurs du
casino de Dieppe, U, rue du Faubourg-Saint-llonoré.
---------------
_-----------.
A VENDRE un très bon PIANO, presque neuf. Prix mo-
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On oi r iM'. GRATUITEMENT une très belle Malle pour
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Ramhutcau.
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PIANO, pour Société lyrique, libre tous les dimanches
(quartier des Halles). S'adresser chez M. Rousset,
S, rue Coquillière, 5. -
Facilité de payement aux Propriétaires d Établis-
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et de danse. ..relleMtrh"l" en tous genres pour con-
certs et pour la danslt ORCHESTRIONS de salon, imitant
à la perfection tous les instruments de bois et de cordes.
S'adresser à M. Gus'/m, 180, rue Masui, à Bruxelles
(Uelgique),
COSMÉTIQUE AU RAISIN
Pour les GERÇURES des LÈVRES
Pierlot, 55, rue Bonaparte, La boîte, 2 bâtons, f" 1 fr. 65
Avis aux amateurs de singes et d'oiseaux rares.
Nulle collection n'est aussi intéressante ni aussi
variée que celle de M. Petit aîné, le jeune natnralistc-
préparateur, dont les magasins viennent d'être trans-
fères rue Monsieur-le-Prince, 10.
Pour le montage et la préparation des pièces rares,
les classeurs ne sauraient mieux s'adresser qu'a ce
jeune explorateur, qui a acquis dans son voyage au
Congo une habileté exccptionnelle. Oiseaux français
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